Whaoo, l’installation c’est tellement loin que je n’en ai plus de souvenir.
A l’usage cela fait ce que je veux ce qui me convient " />
Le
28/02/2020 à
09h
03
Le module copie de la version FF s’appelle “Panorama”. Perso j’utilise “Panorama Tab Groups” qui est un fork et qui est suivi régulièrement. C’est disponible dans les Modules complémentaires de FF.
J’ai aussi utilisé “Simple Tab Group” qui est plus sophistiqué. Il permet de mettre des règles qui vont automatiquement envoyer une URL dans un groupe et une autre qui va mettre l’onglet en hibernation complète (moins de ressources). Par contre le changement de groupe est beaucoup plus long, il faut réactiver les onglets.
Pour mon usage, Panorama me convient.
Le
26/02/2020 à
10h
27
Et qui a bien évolué par rapport au Panorama de base et dont je ne sais pas trop comment on peut faire sans (avec mes 40 onglets ouverts en permanence). Je dois dire que j’étais inquiet à l’annonce de la surpression de FF de base, mais que, à la réflexion, je pense que c’était une bonne idée et que cela à permis une bonne évolution.
A partir du moment où tu envisage d’utiliser le même article (L227-23 du CP) de loi pour condamner les deux actes, je ne vois pas comment tu pourrais considérer qu’il n’y a pas une équivalence de valeur entre ces deux actes. Le reste n’est que fanfaronnades.
Quand à savoir qu’il y a de la torture et de la barbarie dans un acte zoophile, dans de nombreuses déclarations, on est bien plus prêt d’une réaction d’anthropomorphisme que de la consultation d’études.
Comparer le viol d’un enfant avec une relation sexuel avec un animal me semble déplacé. Et tes arguments ne m’ont absolument pas convaincus.
Le
20/02/2020 à
08h
52
Je ne sais pas trop pourquoi l’idée de punir la zoophilie comme de la pédopornographie me donne un peu l’idée qu’un enfant à la même valeur qu’un animal s’il se fait violer.
Castaner, le plus mauvais ministre de l’intérieur depuis le début de la cinquième république.
Je ne vois pas trop comment on pourrait faire pire en terme de résultats (ou plutôt en absence du moindre résultat). Il est aidé par un gouvernent incompétent qui est probablement le plus mauvais de cette cinquième république, mais ce n’est pas une excuse.
D’où l’intérêt de la loi Avia qui va permettre d’automatiser toutes les formes de censures qui peuvent servir le pouvoir. Bientôt, avec une bonne petite modification, toutes critique d’un ami à Macron sera considérée comme un appel à la haine présidentielle, censuré !
Le
19/02/2020 à
07h
36
Le plus inquiétant est que personne dans ce gouvernement ne considère cette action comme une mise en danger de notre république.
Le
18/02/2020 à
13h
28
Mais, ça, personne n’en parle « officiellement ».
Soit on doit protéger sa vie privée (ce que l’on peut comprendre pour 99.99% des personnes. Soit on a un truc fumeux autour de sa conception de la famille et qu’il fait un « faîte ce que je dis pas ce que je fais », mais je ne connais pas assez son discours politique pour l’affirmer.
Mais le fait qu’il ait délibérément pris le risque de donner à un état étranger (ou à des mouvements intérieurs) des éléments permettant de le faire chanter alors qu’il était ministre, là, le silence.
Le
18/02/2020 à
13h
25
Non, pas frapper !
Il y avait un smiley " />
Le
18/02/2020 à
10h
54
Il l’est d’autant moins que cela aurait pu être utilisé plus discrètement pour le faire chanter alors qu’il était ministre. C’est plus qu’une erreur, c’est une faute.
Le
18/02/2020 à
10h
52
C’est bien ainsi que je l’avais comprise. Ma réponse était toute ironique aussi… Je m’étais dit qu’une réponse tout ironique à une réponse elle-même tout ironique seraient faites pour aller ensemble. Désolé que cela n’ait pas été plus lisible.
" />
Le
18/02/2020 à
08h
29
Vous êtes en accord avec le préfet Lallemen manifestement " />
Le
18/02/2020 à
08h
27
Tu veux des sources sur l’incompétence du gouvernement actuel ? C’est en trouver sur la compétence qui serait difficile.
Le
17/02/2020 à
14h
28
Vous oubliez peut-être de rajouter que LREM c’est abondamment servit de comptes anonyme dans ces campagnes, s’en servant pour diffuser sa propagande et déstabiliser les ses détracteurs, dont de nombreux GJ.
Notre problème vient l’aristocratie de l’incompétence qui nous gouverne.
Je ne comprend pas l’acharnement contre cette noble institution qui se charge de la défense de nos intérêt commun face aux pirates sans foies ni noix qui s’attaquent à notre culture en tant de ruiner les sociétés d’ayants droits.
Les sites qui surutilisent des pubs agressives pour des contenus à faible valeur ou qui ne leurs appartiennent pas.
Les sites qui utilisent les données des autres moyennant un faible retour sur les gains et qui abusent de publicités pour “le bien des autres” et surtout le leur.
Les sites qui vivent de ce qu’ils produisent et tentent de ce financer par la publicité.
Je ne parlais, bien évidement, que du troisième cas.
Vu que l’Europe, n’arrive même pas à faire payer des impôts légitimes aux GAFA sans que Trump propose de dynamiter les relations commerciales, je crains que la situation ne soit, à la longue, particulièrement compliquée à résoudre côté pubs.
Le
09/02/2020 à
11h
25
Le ration de rentabilité en publicité non ciblé et ciblé, ce n’est qu’une différence entre leurs ROI. Il est évident que, si tu en supprimes une, son ROI va tendre vers l’infini négatif et que l’autre sera toujours plus intéressant. Donc, en effet, si on supprime la pub ciblée, la non ciblée sera plus intéressante. Mais la pub ciblée existe et ne va pas disparaître. On est dans l’utopie.
Pour YouTube, je suis plutôt en accord avec toi. Pour Google d’une manière générale, cela fait longtemps que nous sommes le produit. Travaillant dans un des grands groupes d’ecommerce de France, je sais que les publicités que nous achetons sur Google sont pertinentes et particulièrement bien ciblées.
En effet, supprimer les pubs sur les vidéos YouTube ne doit pas les pénaliser beaucoup, si non cela fait longtemps qu’ils les auraient intégrées dans les vidéos diffusées sans possibilités de les passer ni de les différentier. Le fait même que tu passes certaines pubs avant la fin alors que d’autres non est une information intéressante pour pouvoir cibler celles que tu regarderas.
Google, le monde de la liberté, mais la liberté de quel monde ?
Le
09/02/2020 à
11h
19
Il faut revenir au début de la discutions. On ne peut à la fois vouloir la gratuité de tout et le fait que celui qui nous apporte un service, ici de l’information, doivent en plus de cet apport ne pas gagner sa vie et financer les moyens technique de la communication.
La solution existe pour ne pas être abruti de publicité, ne plus consulter de sites internet qui on l’outrecuidance de vouloir vivre de leurs services. Ou payer.
Le
06/02/2020 à
13h
37
Je suis d’accord sur les nuisances. C’est pour cela que, sur les sites qui m’intéressent, je paye, pour avoir et l’information de qualité et pas de pub.
Le pire étant certains journaux que tu payes ET qui rajoutent de la pub… (Non, pas ici)/
Mais la question reste posée, comment concilier une information de qualité (donc faite par des humains qui gagnent leur vie), avec un hébergement de qualité et un gratuité de consultation.
Il est certain qu’il faut rendre la publicité moins intrusive, mais, pour avoir des publicités de ce type, il faut aussi que cette publicité soit rentable pour l’annonceur, pour qu’il paye, à ta place, le produit consommé. Et ces trackers et autres outils de mesures permettent de valider que la pub à porté et de s’assurer, pour l’annonceur, que c’est la bonne pub qui s’affiche chez la personne qui à le plus de chance d’être intéressé.
Ce n’est plus la quadrature du cercle, mais la cubisation de la sphère !
Le
06/02/2020 à
11h
25
A un moment, il va falloir parler de financement, de revenu, de salarié, d’hébergement.
Je veux bien que la pub soit un vrai problème (je déteste ce truc), mais vouloir accéder à un contenu de qualité (parfois) sans jamais rien payer (ni abonnement, ni pub) ressemble plus à la quadrature du cercle qu’à un avenir serin.
Plutôt que de ce demander comment on peut arrêter la publicité, demandons-nous comment on pourrait avoir accès à des divertissements, sérieux, bien faits, bien hébergés, faisant vivre les créateurs et le tout en étant parfaitement gratuit pour les clients. Bonne chance.
Non. Dans le système actuellement en place, ceux qui ne fraudes pas payent pour le cas où ils frauderaient parce que l’on sait que tout le monde est coupable.
On veut supprimer la fraude (faudra aussi discuter de ce qu’est la fraude) et mettre des amandes plus élevée. OK. Mais faire payer tous le monde, un peu, avec un calcul aberrant et obscure basé sur des éléments calculés à la louche et mis en place uniquement sur la bonne volonté de ceux qui profitent du système. Non, rien à faire, c’est bien une mafia qui se sonne un aspect de respectabilité.
Le
06/02/2020 à
11h
13
C’est pas faux, mais ça casse l’espoir…
Le
05/02/2020 à
16h
52
J’ai toujours adoré la manière dont cette mafia ce donne un aspect de respectabilité. C’est très joliment fait.
A quand un gouvernement courageux pour virer ces voleurs ? Je crains qu’avant 2022 cela ne soit pas possible.
En terme RGPD une donnée privée reste une donnée privée. Peut importe comment elle a été publiée.
Il reste à se demander si le recueille d’information faites en France est conforme à l’article 2, alinéa 2d du texte. Parce que, dans le cas contraire, ils vont devoir faire un AIPD et ça va être plutôt chaud.
Premier cas, tu utilises un site dans un autre pays.
Dans ce cas ce site doit effectivement être conforme à l’application du RGPD et est responsable de tes données (en principe, l’atteindre judiciairement ne sera peut-être pas simple).
Deuxième cas. Tu es une entreprise en Europe qui gère des données personnelles.
Tu collecte les données de tes clients et tu les exploites pour un motif légitime (envoyer les commandes). Dans ton process tu passes par un sous traitant qui est situé dans un autre pays. Tu dois pouvoir garantir que ce sous-traitant, qui n’a pas un accès directe et qui effectue des tâches à ta demande, va gérer et stocker les données comme toi, européen, a obligation de le faire.
Dans ce cadre il y a trois listes de pays, ceux de l’union qui doivent être conformes. Ceux des pays de confiances définis par l’EU. Et les autres.
Cette question ici posée ne concerne donc que les sous-traitant d’entreprise responsables de traitement (et éventuellement les co-traitants).
Doit-on faire une énième loi ? Vu que la première loi qui vise à empêcher l’accès à la pornographie aux mineurs est un échec, ne rien faire ne serait pas mieux que de faire une deuxième loi (et pas une énième).
La question devrait donc être, doit-on modifier une loi qui est totalement inefficace pour l’améliorer. Ce qui manque, c’est la question suivante : cette nouvelle loi va-t-elle être plus efficace que la précédente ?
Sachant que cette loi n’est pas encore votée, il est difficile d’en débattre correctement, le texte peut encore largement évoluer. Dans cet article on débat plus spécifiquement d’un des points qui pourrait en faire partie et qui reviendrait à rendre pénal pour un entrepreneur le fait de laisser un mineur passer à travers les sécurités sensées l’en empêcher. Sachant que, nous ici informaticiens, considérons qu’il n’est pas techniquement possible de l’empêcher à tout les coups. Cette proposition d’évolution du texte future revient, in fine, à interdire la pornographie sous peine de prison pour l’entrepreneur. Pas parce qu’il fait de la pornographie, parce que le gouvernement, incapable de faire respecter ses décisions, lui demande de faire respecter des règles qu’il est de notoriété publique impossible de respecter. Cela pose un problème. Autant interdire la pornographie sous toutes ses formes, cela au moins serait clair.
Donc. Oui, la pornographie consommée par un mineur est le plus souvent nuisible à sa perception des relations sexuelles et peut le perturber durablement. Oui, il n’est pas possible de techniquement interdire. Oui, il n’est pas possible d’éduquer les enfants pour qu’ils ne soient pas profondément perturbés par de la pornographie adultes. Oui, il faut laisser aux adultes la possibilité d’accéder à de la pornographie en toute liberté et sans avoir à laisser des traces très visibles sur le net.
Parfois, être législateur demande de résoudre la quadrature du cercle.
Le
31/01/2020 à
09h
36
Un peu simpliste de dire que j’évacue une partie du problème, vu que j’ai écris à plusieurs reprises que c’est ce qui devrait être mais qu’il ne sera pas possible de le mettre en œuvre. Est-ce là un sophisme de l’homme de paille ?
Nos sociétés payent des frais à l’étranger en amendes si le fait de payer coûte moins cher que la perte des marchés s’ils ne payent pas. Vu la taille du marché Étasunien, le calcul est souvent rapide. Autre avantage, l’usage de payement en dollar qui donne, là aussi, un avantage. On se demande d’ailleurs pourquoi les différents présidents Étasuniens se battent pour que l’euro ne prenne pas plus d’importance dans le commerce international.
Le reste n’est qu’une reprise des éléments que j’ai déjà énumérés et qui font que la mise en œuvre est impossible. Les autres problèmes ne sont pas du même ordre, les mélanger ne peut que servir à noyer le poisson. Le débat est ici l’accès aux enfants à de la pornographie pour adulte (partant du fait qu’il n’existe pas de pornographie pour enfants).
La seule partie qui donne vraiment a débattre est la dernière de tes phrases. Est-ce que la prévention pourrait permettre de compenser l’absence d’accès ? Plutôt que “prévention”, je préfèrerais “éducation”. Et pas éducation des enfants mais de leurs parents.
Il sera compliquer de préparer les parents à la manière de réagir dans ces situations, d’apprendre à les prévenir. Le sexe est un sujet qui est déjà tabou entre une majorité d’adultes, alors arriver à faire que cela soit naturel entre eux et leurs enfants me semble presque aussi insurmontable que d’arriver à empêcher a des enfants d’accéder à du prono sans avoir à interdire le porno.
Le
30/01/2020 à
16h
58
Sauf que … la vente d’alcool est interdite aux mineurs, comme celle du tabac. Que ceux qui le vende à des mineurs risquent de très sévères sanctions. Et que si vous avez un gamin d’une dizaine d’année qui se présente dans un bar en licence 3 pour se faire servir un verre de vin ou de whisky, il n’a aucune chance d’être servi. Pas plus que s’il va acheter sa bouteille au supermarché du coin.
On parle ici d’enfant qui en cliquant sur le bouton “j’ai plus de 18 ans” peuvent accéder sans limitations à du contenu pornographique. Aucun réel contrôle.
Le
29/01/2020 à
17h
02
C’est parce que je pense que les éléments sont fondamentalement différent que l’on ne peut pas les comparer.
Et, étonnamment, je considère qu’il faut interdire efficacement l’accès à la pornographie pour les enfants parce que c’est nuisible à leur développement et à la construction de leur capacité à interpréter les relations humaines et sexuelles.
Autant je pense qu’il faut autoriser la vente encadrée de canabis pour tuer le trafic faute d’acheteurs. Cela ne veut pas dire que fumer ce poison est bon pour la santé, cela veut dire que les dégât causés par les trafiquants sont plus nuisibles.
Le
29/01/2020 à
10h
02
On débat, d’une manière intéressante, sur la possibilité de bloquer les flux d’accès à des sites pornographique. Je reconnais l’intérêt du débat sur un plan technique. Par contre, cela n’a aucun intérêt au vu du sujet de l’article.
En effet, l’idée n’est pas d’instituer un blocage technique mais un auto blocage sous peine de “toi, le patron, tu vas en tôle”. A partir du moment où le risque de tenir un tel site est plus important que le bénéfice que l’on peut espérer, il vaut mieux fermer le site. Et il n’est plus nécessaire de chercher à en interdit l’accès.
L’idée d’un identifiant permettant de savoir si la personne est majeur déporte le problème d’authentification et crée d’autres problèmes.
Il faut donc un tiers de confiance capable d’avoir la certitude de l’âge de celui qui va s’identifier. Ce tiers de confiance va aussi avoir un certain nombre d’information sur les connexions à de tels sites, la fréquences de connexion,… Hors ce type d’information fait partie, niveau RGPD des données dites sensibles.
Il faut financer ce tiers de confiance
Il faut définir la part de responsabilité en cas d’usage frauduleux des données d’accès (le site, le tiers, le propriétaire du code)
Je pense qu’il n’y a pas de solution simple, et pas de solution du tout. Il reste à savoir si cette volonté est bien dirigée vers une limitation de l’accès à la pornographie par les mineurs ou si c’est un prétexte pour interdire l’accès de la pornographie à tous.
Le
29/01/2020 à
09h
22
L’analogie est trop lointaine pour que je l’ai perçue !
Il reste que l’Angleterre a bien tenter d’interdire l’accès à la pornographie aux mineurs et que cela c’est révélé impossible à réaliser matériellement. Pas sans une réduction drastique des libertés individuelles.
Je crains que la consommation de cannabis ne soit autrement compliqué et implique des considération économiques, sécuritaires et politiques autrement compliquées. Il faudra un jour décider si les nuisances liées à une consommation incontrôlée de produits stupéfiant est plus ou moins important que les nuisances liées à son trafic.
Le
28/01/2020 à
14h
22
Humm, on est sur du troll là.
En quoi parler de pornographie pour adulte visionnée par des enfants est-il si perturbant que vous soyez obligé de changer le sujet pour l’envoyer sur la vente et la consommation de la drogue ?
Le
28/01/2020 à
14h
20
Il y a de nombreuses études sur la perception du sexe par des enfants ayant un contact trop précoce avec la pornographie adultes. La pornographie s’adresse à une clientèle précise (plusieurs en faits) avec des fantasmes précis et elle à pour principale objectif de les satisfaire (ce qui fait que la personne revient et paye à nouveau).
Manifestement, le publique visé ne couvre pas les préadolescents ou adolescents qui cherchent à comprendre les mystères des relations sexuelles entre adultes.
Vous avez notamment un bouquin intéressant de Liz Walker, Not for Kids qui en parle.
Les prises de parole de Gérard Bonnet, pédopsychiatre.
Une simple recherche sur votre moteur préféré, en anglais de préférence, va vous retourner un paquet d’études et de psychiatres qui s’expriment sur ce sujet.
La question n’est plus de ce demander s’il est nécessaire de traiter ce problème. La question est de ce demander si ce traitement vaut que l’on interdise totalement la pornographie pour éviter un naufrage sanitaire ou si une partie des enfants qui deviennent déviants sexuels adulte est tolérable pour notre confort à nous, adulte, à voir de la pornographie.
Le
28/01/2020 à
14h
06
Oui, d’accord. Et la marmotte ?
Le
28/01/2020 à
14h
01
On est un peu hors sujet là. Il est possible de contrôler le net, certains pays comme la Corée du Nord, la Chine, partiellement l’Iran et bientôt la Russie y arrivent. Il suffit de créer une sorte de réseau local géant avec très peu de point de liaison entre lui et le reste de l’internet, et de contrôler ces points.
Interdire un flux VPN est ainsi possible, et contrôler tous les accès sur certaines IP aussi. C’est plus lourd si l’on veut remonter à une URL en particulier. Mais cela reste faisable.
Ce n’est pas, ici, le cas de cet article. La censure pourrais être à un autre niveau, si c’est bien une tentative de censure. L’idée est de sanctionner le site qui aurait laissé une possibilité de connexion à un mineur. Pas de limitation sur le net, 5 ans de prison pour le patron du site porno, de quoi réfléchir à un problème de configuration… et ce demander, vu que l’exigence est irréalisable, s’il est toujours souhaitable de publier le site.
Il y a clairement une dichotomie entre la volonté affichée de diffusée l’information auprès des citoyens et les barrières administratives qui rendent impossible cet accès.
Ceci n’est qu’un exemple parmi d’autre, nombreux.
Le
29/01/2020 à
09h
16
On ne va pas se plaindre d’un journal informatique qui parle aussi du droit autour de l’informatique…
453 commentaires
Cortana coupe les ponts avec le grand public
02/03/2020
Le 02/03/2020 à 10h 28
Je sens que cela va terriblement me manquer.
Ou pas !
Opera 67 peut regrouper les onglets dans des espaces de travail
26/02/2020
Le 02/03/2020 à 10h 25
Whaoo, l’installation c’est tellement loin que je n’en ai plus de souvenir.
A l’usage cela fait ce que je veux ce qui me convient " />
Le 28/02/2020 à 09h 03
Le module copie de la version FF s’appelle “Panorama”. Perso j’utilise “Panorama Tab Groups” qui est un fork et qui est suivi régulièrement. C’est disponible dans les Modules complémentaires de FF.
J’ai aussi utilisé “Simple Tab Group” qui est plus sophistiqué. Il permet de mettre des règles qui vont automatiquement envoyer une URL dans un groupe et une autre qui va mettre l’onglet en hibernation complète (moins de ressources). Par contre le changement de groupe est beaucoup plus long, il faut réactiver les onglets.
Pour mon usage, Panorama me convient.
Le 26/02/2020 à 10h 27
Et qui a bien évolué par rapport au Panorama de base et dont je ne sais pas trop comment on peut faire sans (avec mes 40 onglets ouverts en permanence). Je dois dire que j’étais inquiet à l’annonce de la surpression de FF de base, mais que, à la réflexion, je pense que c’était une bonne idée et que cela à permis une bonne évolution.
Copie privée : des députés plaident pour plus d’objectivité et de transparence
02/03/2020
Le 02/03/2020 à 10h 23
Tant que notre droit autorisera le vol, il perdra en crédibilité.
Vers une loi contre la zoophilie, notamment sur Internet ?
19/02/2020
Le 21/02/2020 à 07h 36
A partir du moment où tu envisage d’utiliser le même article (L227-23 du CP) de loi pour condamner les deux actes, je ne vois pas comment tu pourrais considérer qu’il n’y a pas une équivalence de valeur entre ces deux actes. Le reste n’est que fanfaronnades.
Quand à savoir qu’il y a de la torture et de la barbarie dans un acte zoophile, dans de nombreuses déclarations, on est bien plus prêt d’une réaction d’anthropomorphisme que de la consultation d’études.
Comparer le viol d’un enfant avec une relation sexuel avec un animal me semble déplacé. Et tes arguments ne m’ont absolument pas convaincus.
Le 20/02/2020 à 08h 52
Je ne sais pas trop pourquoi l’idée de punir la zoophilie comme de la pédopornographie me donne un peu l’idée qu’un enfant à la même valeur qu’un animal s’il se fait violer.
Et cette idée m’est très désagréable.
Face au chiffrement de bout en bout, Christophe Castaner rêve de backdoors
20/02/2020
Le 21/02/2020 à 07h 30
Castaner, le plus mauvais ministre de l’intérieur depuis le début de la cinquième république.
Je ne vois pas trop comment on pourrait faire pire en terme de résultats (ou plutôt en absence du moindre résultat). Il est aidé par un gouvernent incompétent qui est probablement le plus mauvais de cette cinquième république, mais ce n’est pas une excuse.
Affaire Griveaux : le mauvais débat sur l’anonymat
17/02/2020
Le 20/02/2020 à 07h 41
D’où l’intérêt de la loi Avia qui va permettre d’automatiser toutes les formes de censures qui peuvent servir le pouvoir. Bientôt, avec une bonne petite modification, toutes critique d’un ami à Macron sera considérée comme un appel à la haine présidentielle, censuré !
Le 19/02/2020 à 07h 36
Le plus inquiétant est que personne dans ce gouvernement ne considère cette action comme une mise en danger de notre république.
Le 18/02/2020 à 13h 28
Mais, ça, personne n’en parle « officiellement ».
Soit on doit protéger sa vie privée (ce que l’on peut comprendre pour 99.99% des personnes. Soit on a un truc fumeux autour de sa conception de la famille et qu’il fait un « faîte ce que je dis pas ce que je fais », mais je ne connais pas assez son discours politique pour l’affirmer.
Mais le fait qu’il ait délibérément pris le risque de donner à un état étranger (ou à des mouvements intérieurs) des éléments permettant de le faire chanter alors qu’il était ministre, là, le silence.
Le 18/02/2020 à 13h 25
Non, pas frapper !
Il y avait un smiley " />
Le 18/02/2020 à 10h 54
Il l’est d’autant moins que cela aurait pu être utilisé plus discrètement pour le faire chanter alors qu’il était ministre. C’est plus qu’une erreur, c’est une faute.
Le 18/02/2020 à 10h 52
C’est bien ainsi que je l’avais comprise. Ma réponse était toute ironique aussi… Je m’étais dit qu’une réponse tout ironique à une réponse elle-même tout ironique seraient faites pour aller ensemble. Désolé que cela n’ait pas été plus lisible.
" />
Le 18/02/2020 à 08h 29
Vous êtes en accord avec le préfet Lallemen manifestement " />
Le 18/02/2020 à 08h 27
Tu veux des sources sur l’incompétence du gouvernement actuel ? C’est en trouver sur la compétence qui serait difficile.
Le 17/02/2020 à 14h 28
Vous oubliez peut-être de rajouter que LREM c’est abondamment servit de comptes anonyme dans ces campagnes, s’en servant pour diffuser sa propagande et déstabiliser les ses détracteurs, dont de nombreux GJ.
Notre problème vient l’aristocratie de l’incompétence qui nous gouverne.
Le compte Twitter du Syndicat des Avocats de France temporairement suspendu pour spam
18/02/2020
Le 19/02/2020 à 07h 34
" />
Coronavirus : Pour le ministre de la Santé, avec des réseaux sociaux ouverts, la Chine n’aurait pas été si réactive
18/02/2020
Le 18/02/2020 à 13h 23
“Faites attention, quand une démocratie est malade, le fascisme vient à son chevet mais ce n’est pas pour prendre de ses nouvelles.”, Albert Camus.
Le 18/02/2020 à 13h 23
" />
L’application Office pour Android est accessible à tous
18/02/2020
Le 18/02/2020 à 10h 48
L’essayer c’est l’adopter. Enfin pour moi. Et parce que dans la boite, tout est office. Mais c’est bien comme appli, propre, net et tout Microsoft !
Le cœur de la Hadopi (temporairement) menacé devant le Conseil constitutionnel
13/02/2020
Le 10/02/2020 à 15h 55
Je ne comprend pas l’acharnement contre cette noble institution qui se charge de la défense de nos intérêt commun face aux pirates sans foies ni noix qui s’attaquent à notre culture en tant de ruiner les sociétés d’ayants droits.
#OuPas
Adblock Plus 2.0 pour Android bloque les publicités YouTube
06/02/2020
Le 10/02/2020 à 14h 48
En effet, il faut distinguer plusieurs cas.
Je ne parlais, bien évidement, que du troisième cas.
Vu que l’Europe, n’arrive même pas à faire payer des impôts légitimes aux GAFA sans que Trump propose de dynamiter les relations commerciales, je crains que la situation ne soit, à la longue, particulièrement compliquée à résoudre côté pubs.
Le 09/02/2020 à 11h 25
Le ration de rentabilité en publicité non ciblé et ciblé, ce n’est qu’une différence entre leurs ROI. Il est évident que, si tu en supprimes une, son ROI va tendre vers l’infini négatif et que l’autre sera toujours plus intéressant. Donc, en effet, si on supprime la pub ciblée, la non ciblée sera plus intéressante. Mais la pub ciblée existe et ne va pas disparaître. On est dans l’utopie.
Pour YouTube, je suis plutôt en accord avec toi. Pour Google d’une manière générale, cela fait longtemps que nous sommes le produit. Travaillant dans un des grands groupes d’ecommerce de France, je sais que les publicités que nous achetons sur Google sont pertinentes et particulièrement bien ciblées.
En effet, supprimer les pubs sur les vidéos YouTube ne doit pas les pénaliser beaucoup, si non cela fait longtemps qu’ils les auraient intégrées dans les vidéos diffusées sans possibilités de les passer ni de les différentier. Le fait même que tu passes certaines pubs avant la fin alors que d’autres non est une information intéressante pour pouvoir cibler celles que tu regarderas.
Google, le monde de la liberté, mais la liberté de quel monde ?
Le 09/02/2020 à 11h 19
Il faut revenir au début de la discutions. On ne peut à la fois vouloir la gratuité de tout et le fait que celui qui nous apporte un service, ici de l’information, doivent en plus de cet apport ne pas gagner sa vie et financer les moyens technique de la communication.
La solution existe pour ne pas être abruti de publicité, ne plus consulter de sites internet qui on l’outrecuidance de vouloir vivre de leurs services. Ou payer.
Le 06/02/2020 à 13h 37
Je suis d’accord sur les nuisances. C’est pour cela que, sur les sites qui m’intéressent, je paye, pour avoir et l’information de qualité et pas de pub.
Le pire étant certains journaux que tu payes ET qui rajoutent de la pub… (Non, pas ici)/
Mais la question reste posée, comment concilier une information de qualité (donc faite par des humains qui gagnent leur vie), avec un hébergement de qualité et un gratuité de consultation.
Il est certain qu’il faut rendre la publicité moins intrusive, mais, pour avoir des publicités de ce type, il faut aussi que cette publicité soit rentable pour l’annonceur, pour qu’il paye, à ta place, le produit consommé. Et ces trackers et autres outils de mesures permettent de valider que la pub à porté et de s’assurer, pour l’annonceur, que c’est la bonne pub qui s’affiche chez la personne qui à le plus de chance d’être intéressé.
Ce n’est plus la quadrature du cercle, mais la cubisation de la sphère !
Le 06/02/2020 à 11h 25
A un moment, il va falloir parler de financement, de revenu, de salarié, d’hébergement.
Je veux bien que la pub soit un vrai problème (je déteste ce truc), mais vouloir accéder à un contenu de qualité (parfois) sans jamais rien payer (ni abonnement, ni pub) ressemble plus à la quadrature du cercle qu’à un avenir serin.
Plutôt que de ce demander comment on peut arrêter la publicité, demandons-nous comment on pourrait avoir accès à des divertissements, sérieux, bien faits, bien hébergés, faisant vivre les créateurs et le tout en étant parfaitement gratuit pour les clients. Bonne chance.
Tesla a désactivé à distance des fonctionnalités de l’Autopilot sur une Model S vendue d’occasion
10/02/2020
Le 10/02/2020 à 09h 47
Sans les contrats et les lois appliquées, il me semble un peu rapide de définir cela comme du vol. D’une part comme de l’autre d’ailleurs.
Redevance copie privée sur les PC fixes : un cahier des charges, avant l’étude d’usages
05/02/2020
Le 06/02/2020 à 11h 16
Non. Dans le système actuellement en place, ceux qui ne fraudes pas payent pour le cas où ils frauderaient parce que l’on sait que tout le monde est coupable.
On veut supprimer la fraude (faudra aussi discuter de ce qu’est la fraude) et mettre des amandes plus élevée. OK. Mais faire payer tous le monde, un peu, avec un calcul aberrant et obscure basé sur des éléments calculés à la louche et mis en place uniquement sur la bonne volonté de ceux qui profitent du système. Non, rien à faire, c’est bien une mafia qui se sonne un aspect de respectabilité.
Le 06/02/2020 à 11h 13
C’est pas faux, mais ça casse l’espoir…
Le 05/02/2020 à 16h 52
J’ai toujours adoré la manière dont cette mafia ce donne un aspect de respectabilité. C’est très joliment fait.
A quand un gouvernement courageux pour virer ces voleurs ? Je crains qu’avant 2022 cela ne soit pas possible.
La détection automatisée des fraudeurs présumés viole le droit à la vie privée
06/02/2020
Le 06/02/2020 à 11h 11
En terme RGPD une donnée privée reste une donnée privée. Peut importe comment elle a été publiée.
Il reste à se demander si le recueille d’information faites en France est conforme à l’article 2, alinéa 2d du texte. Parce que, dans le cas contraire, ils vont devoir faire un AIPD et ça va être plutôt chaud.
Le 06/02/2020 à 11h 07
Hé, Bercy, le Monsieur vous a dit coucou !!!!
[Ils n’écoutent pas]
Brexit : le RGPD s’appliquera au Royaume-Uni durant la période transitoire
04/02/2020
Le 05/02/2020 à 17h 13
Il y a deux cas à prendre en comptes.
Premier cas, tu utilises un site dans un autre pays.
Dans ce cas ce site doit effectivement être conforme à l’application du RGPD et est responsable de tes données (en principe, l’atteindre judiciairement ne sera peut-être pas simple).
Deuxième cas. Tu es une entreprise en Europe qui gère des données personnelles.
Tu collecte les données de tes clients et tu les exploites pour un motif légitime (envoyer les commandes). Dans ton process tu passes par un sous traitant qui est situé dans un autre pays. Tu dois pouvoir garantir que ce sous-traitant, qui n’a pas un accès directe et qui effectue des tâches à ta demande, va gérer et stocker les données comme toi, européen, a obligation de le faire.
Dans ce cadre il y a trois listes de pays, ceux de l’union qui doivent être conformes. Ceux des pays de confiances définis par l’EU. Et les autres.
Cette question ici posée ne concerne donc que les sous-traitant d’entreprise responsables de traitement (et éventuellement les co-traitants).
Microsoft Teams était inaccessible à cause d’un certificat non renouvelé
04/02/2020
Le 05/02/2020 à 17h 03
Et c’est tellement difficile de prévoir la date d’expiration …
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Clés USB, cartes mémoires : au J.O., le nouveau barème de redevance copie privée
31/01/2020
Le 03/02/2020 à 08h 48
Quand le vol est légalisé… Et que le législateur est complice.
Tour de vis LREM contre le porno en ligne
27/01/2020
Le 31/01/2020 à 13h 27
Doit-on faire une énième loi ? Vu que la première loi qui vise à empêcher l’accès à la pornographie aux mineurs est un échec, ne rien faire ne serait pas mieux que de faire une deuxième loi (et pas une énième).
La question devrait donc être, doit-on modifier une loi qui est totalement inefficace pour l’améliorer. Ce qui manque, c’est la question suivante : cette nouvelle loi va-t-elle être plus efficace que la précédente ?
Sachant que cette loi n’est pas encore votée, il est difficile d’en débattre correctement, le texte peut encore largement évoluer. Dans cet article on débat plus spécifiquement d’un des points qui pourrait en faire partie et qui reviendrait à rendre pénal pour un entrepreneur le fait de laisser un mineur passer à travers les sécurités sensées l’en empêcher. Sachant que, nous ici informaticiens, considérons qu’il n’est pas techniquement possible de l’empêcher à tout les coups. Cette proposition d’évolution du texte future revient, in fine, à interdire la pornographie sous peine de prison pour l’entrepreneur. Pas parce qu’il fait de la pornographie, parce que le gouvernement, incapable de faire respecter ses décisions, lui demande de faire respecter des règles qu’il est de notoriété publique impossible de respecter. Cela pose un problème. Autant interdire la pornographie sous toutes ses formes, cela au moins serait clair.
Donc. Oui, la pornographie consommée par un mineur est le plus souvent nuisible à sa perception des relations sexuelles et peut le perturber durablement. Oui, il n’est pas possible de techniquement interdire. Oui, il n’est pas possible d’éduquer les enfants pour qu’ils ne soient pas profondément perturbés par de la pornographie adultes. Oui, il faut laisser aux adultes la possibilité d’accéder à de la pornographie en toute liberté et sans avoir à laisser des traces très visibles sur le net.
Parfois, être législateur demande de résoudre la quadrature du cercle.
Le 31/01/2020 à 09h 36
Un peu simpliste de dire que j’évacue une partie du problème, vu que j’ai écris à plusieurs reprises que c’est ce qui devrait être mais qu’il ne sera pas possible de le mettre en œuvre. Est-ce là un sophisme de l’homme de paille ?
Nos sociétés payent des frais à l’étranger en amendes si le fait de payer coûte moins cher que la perte des marchés s’ils ne payent pas. Vu la taille du marché Étasunien, le calcul est souvent rapide. Autre avantage, l’usage de payement en dollar qui donne, là aussi, un avantage. On se demande d’ailleurs pourquoi les différents présidents Étasuniens se battent pour que l’euro ne prenne pas plus d’importance dans le commerce international.
Le reste n’est qu’une reprise des éléments que j’ai déjà énumérés et qui font que la mise en œuvre est impossible. Les autres problèmes ne sont pas du même ordre, les mélanger ne peut que servir à noyer le poisson. Le débat est ici l’accès aux enfants à de la pornographie pour adulte (partant du fait qu’il n’existe pas de pornographie pour enfants).
La seule partie qui donne vraiment a débattre est la dernière de tes phrases. Est-ce que la prévention pourrait permettre de compenser l’absence d’accès ? Plutôt que “prévention”, je préfèrerais “éducation”. Et pas éducation des enfants mais de leurs parents.
Il sera compliquer de préparer les parents à la manière de réagir dans ces situations, d’apprendre à les prévenir. Le sexe est un sujet qui est déjà tabou entre une majorité d’adultes, alors arriver à faire que cela soit naturel entre eux et leurs enfants me semble presque aussi insurmontable que d’arriver à empêcher a des enfants d’accéder à du prono sans avoir à interdire le porno.
Le 30/01/2020 à 16h 58
Sauf que … la vente d’alcool est interdite aux mineurs, comme celle du tabac. Que ceux qui le vende à des mineurs risquent de très sévères sanctions. Et que si vous avez un gamin d’une dizaine d’année qui se présente dans un bar en licence 3 pour se faire servir un verre de vin ou de whisky, il n’a aucune chance d’être servi. Pas plus que s’il va acheter sa bouteille au supermarché du coin.
On parle ici d’enfant qui en cliquant sur le bouton “j’ai plus de 18 ans” peuvent accéder sans limitations à du contenu pornographique. Aucun réel contrôle.
Le 29/01/2020 à 17h 02
C’est parce que je pense que les éléments sont fondamentalement différent que l’on ne peut pas les comparer.
Et, étonnamment, je considère qu’il faut interdire efficacement l’accès à la pornographie pour les enfants parce que c’est nuisible à leur développement et à la construction de leur capacité à interpréter les relations humaines et sexuelles.
Autant je pense qu’il faut autoriser la vente encadrée de canabis pour tuer le trafic faute d’acheteurs. Cela ne veut pas dire que fumer ce poison est bon pour la santé, cela veut dire que les dégât causés par les trafiquants sont plus nuisibles.
Le 29/01/2020 à 10h 02
On débat, d’une manière intéressante, sur la possibilité de bloquer les flux d’accès à des sites pornographique. Je reconnais l’intérêt du débat sur un plan technique. Par contre, cela n’a aucun intérêt au vu du sujet de l’article.
En effet, l’idée n’est pas d’instituer un blocage technique mais un auto blocage sous peine de “toi, le patron, tu vas en tôle”. A partir du moment où le risque de tenir un tel site est plus important que le bénéfice que l’on peut espérer, il vaut mieux fermer le site. Et il n’est plus nécessaire de chercher à en interdit l’accès.
L’idée d’un identifiant permettant de savoir si la personne est majeur déporte le problème d’authentification et crée d’autres problèmes.
Il faut donc un tiers de confiance capable d’avoir la certitude de l’âge de celui qui va s’identifier. Ce tiers de confiance va aussi avoir un certain nombre d’information sur les connexions à de tels sites, la fréquences de connexion,… Hors ce type d’information fait partie, niveau RGPD des données dites sensibles.
Il faut financer ce tiers de confiance
Il faut définir la part de responsabilité en cas d’usage frauduleux des données d’accès (le site, le tiers, le propriétaire du code)
Je pense qu’il n’y a pas de solution simple, et pas de solution du tout. Il reste à savoir si cette volonté est bien dirigée vers une limitation de l’accès à la pornographie par les mineurs ou si c’est un prétexte pour interdire l’accès de la pornographie à tous.
Le 29/01/2020 à 09h 22
L’analogie est trop lointaine pour que je l’ai perçue !
Il reste que l’Angleterre a bien tenter d’interdire l’accès à la pornographie aux mineurs et que cela c’est révélé impossible à réaliser matériellement. Pas sans une réduction drastique des libertés individuelles.
Je crains que la consommation de cannabis ne soit autrement compliqué et implique des considération économiques, sécuritaires et politiques autrement compliquées. Il faudra un jour décider si les nuisances liées à une consommation incontrôlée de produits stupéfiant est plus ou moins important que les nuisances liées à son trafic.
Le 28/01/2020 à 14h 22
Humm, on est sur du troll là.
En quoi parler de pornographie pour adulte visionnée par des enfants est-il si perturbant que vous soyez obligé de changer le sujet pour l’envoyer sur la vente et la consommation de la drogue ?
Le 28/01/2020 à 14h 20
Il y a de nombreuses études sur la perception du sexe par des enfants ayant un contact trop précoce avec la pornographie adultes. La pornographie s’adresse à une clientèle précise (plusieurs en faits) avec des fantasmes précis et elle à pour principale objectif de les satisfaire (ce qui fait que la personne revient et paye à nouveau).
Manifestement, le publique visé ne couvre pas les préadolescents ou adolescents qui cherchent à comprendre les mystères des relations sexuelles entre adultes.
Vous avez notamment un bouquin intéressant de Liz Walker, Not for Kids qui en parle.
Les prises de parole de Gérard Bonnet, pédopsychiatre.
Une étude de Bitdefender sur l’accès à la pornographie par les mineurs.
Une simple recherche sur votre moteur préféré, en anglais de préférence, va vous retourner un paquet d’études et de psychiatres qui s’expriment sur ce sujet.
La question n’est plus de ce demander s’il est nécessaire de traiter ce problème. La question est de ce demander si ce traitement vaut que l’on interdise totalement la pornographie pour éviter un naufrage sanitaire ou si une partie des enfants qui deviennent déviants sexuels adulte est tolérable pour notre confort à nous, adulte, à voir de la pornographie.
Le 28/01/2020 à 14h 06
Oui, d’accord. Et la marmotte ?
Le 28/01/2020 à 14h 01
On est un peu hors sujet là. Il est possible de contrôler le net, certains pays comme la Corée du Nord, la Chine, partiellement l’Iran et bientôt la Russie y arrivent. Il suffit de créer une sorte de réseau local géant avec très peu de point de liaison entre lui et le reste de l’internet, et de contrôler ces points.
Interdire un flux VPN est ainsi possible, et contrôler tous les accès sur certaines IP aussi. C’est plus lourd si l’on veut remonter à une URL en particulier. Mais cela reste faisable.
Ce n’est pas, ici, le cas de cet article. La censure pourrais être à un autre niveau, si c’est bien une tentative de censure. L’idée est de sanctionner le site qui aurait laissé une possibilité de connexion à un mineur. Pas de limitation sur le net, 5 ans de prison pour le patron du site porno, de quoi réfléchir à un problème de configuration… et ce demander, vu que l’exigence est irréalisable, s’il est toujours souhaitable de publier le site.
Avast accusé de suivre ses clients à la trace et de revendre ces informations
29/01/2020
Le 29/01/2020 à 17h 04
Quand un produit est gratuit, c’est que ce n’est pas le produit. Il faut alors chercher le produit. Dans ce cas, le produit, c’est toi !
Transparence des frais de mandat des députés : Regards Citoyens saisit la justice européenne
28/01/2020
Le 29/01/2020 à 09h 18
Il y a clairement une dichotomie entre la volonté affichée de diffusée l’information auprès des citoyens et les barrières administratives qui rendent impossible cet accès.
Ceci n’est qu’un exemple parmi d’autre, nombreux.
Le 29/01/2020 à 09h 16
On ne va pas se plaindre d’un journal informatique qui parle aussi du droit autour de l’informatique…
Le FBI aurait « cracké » un iPhone 11
23/01/2020
Le 27/01/2020 à 19h 21
Le sophisme est l’art de ne pas répondre. Le sophisme ad hominem consiste à se moquer de l’interlocuteur plutôt que de tenter une réponse.
Mais peut-être ne pensais-tu pas être désagréable, je veux bien le prendre en compte. Il n’empêche que, niveau réponse, ce n’est pas terrible.