Le meilleur moyen pour lutter contre le pass était d’avoir un maximum de personnes vaccinées. Si tout le monde l’est, le pass n’a plus aucun intérêt, il s’arrête de lui-même…
(Et c’est un antivaxx, pas seulement un antipass, vu qu’il réfute les bénéfices des vaccins anti-COVID19 prouvés et mis en avant par la communauté scientifique. Même s’il refuse de l’admettre.)
(…)
Patch a dit:
Ni toi, ni moi, ni 99,9% de la population (antivaxx inclus) n’a pas compétences nécessaires pour en juger.
Tu es juge et partie. Donc, ne serait-ce que pour continuer à exercer des droits dont le refus fait aussi partie des finalités de la vaccination, il est en fait illégitime de refuser la vaccination et non sa dérivée. En clair ton argument principal d’épuisement du pass par la vaccination ne vaut strictement rien si ce n’est autre qu’un piège à con opportuniste.
C’est en particulier cette attitude ultimement ségrégationniste qui en-tâche fortement ma confiance dans une quelconque efficacité du dispositif gouvernemental.
Quant au reste des mesures effectivement recommandées par des Médecins, je me réserve le droit d’opposer l’ensemble des maigres droits humains qu’il me reste afin de démontrer, en plus de ma dignité à crever seul, que l’appauvrissement résultant de la perte d’emploi ne saurait être un risque moins désirable que d’éventuels effets secondaires.
A jeu de minables voulant être homéopathiquement réélus, il faut jouer…
Le
04/03/2022 à
13h
09
carbier a dit:
On peut éventuellement remettre en cause ce raisonnement, mais dans ce cas la il faut se baser sur une argumentation scientifique et pas sur une comparaison foireuse de 2 dates entre elles.
Ce qui est foireux c’est l’interprétation non scientifique du conseil d’état. Je ne vois pas comment, pris au premier degré, on pourrait confondre cet article avec un édito.
Bien que, et c’est assez évident vu le sujet, cet article laisse plus à penser qu’une simple brève. Mais alors, qui décide que penser, et surtout, à quel moment ?
Là dessus je trouve qu’il manque un encart édito au site, cela éviterait le besoin signer les brèves dont l’anonymat pose (encore) question.
C’est une autre façon de dire que le risque de double emploi (comme la double taxation) pose déjà un problème : si des acteurs étrangers décident de ne pas appliquer la neutralité telle que définie en Europe alors d’une part la question de la taxation réelle des contrats se pose (quel service est susceptible d’être refusé ou non), et d’autre part cela implique qu’il y a un accord tacite sur le produit de la transaction : est-ce qu’on parle de jouer sur la couche 2 ou 3, et si oui, comment ?
Autrement dit, pour moi le modèle OSI ne dit finalement rien sur la couche 1 (le cable, l’onde etc) mais comme l’intervention de chaque acteur filtrant (ou non neutre) se situe au dessus, je ne vois pas comment, sans choix politique portant sur la technique, on pourrait dire que ces transactions entre opérateurs (comprendre réseaux avec ou sans clients souscrivant un accès) sont neutres vis-à-vis du client final (société ou individu) vu que chacun négocie à coup de contrat bien opaque alors que le réseau mondial résultant est pourtant réputé vérifiable par pas mal d’outils.
Le
05/03/2022 à
14h
32
En tant que client d’un fournisseur d’accès à particulier Internet, on paye le fournisseur à la fois pour qu’il paye les points d’échanges où il est connecté, et pour qu’il achemine les données entre ce point d’échange et nous. Il n’est jamais question de savoir qui a mis ces données sur le réseau si on les retire, ni qui va les retirer si c’est nous qui les envoyons.
Ceci plaide en fait pour l’introduction de droits de douane ou comptabilité équivalente permettant de distinguer la part propre de chaque opérateur… et tant que chaque couche du modèle OSI ne sera pas attribuable dans une loi reconnue par tout pays, le dualisme technique-politique va perdurer.
Le
04/03/2022 à
23h
53
Le problème de la “neutralité” du service postal (entendre FAI ou opérateur) c’est un acquis de toute époque : on doit pouvoir contester le message et non le messager qui n’a donc pas le droit de modifier le message en cours de route.
Le problème de la “neutralité du net” c’est que, précisément comme pour le cas de la poste, il est possible de fixer des limites de poids sans lire le message (les formats de lettre par exemple). Aussi, même en ne trompant pas le destinataire sur la qualité d’acteur “neutre”, un FAI peut très bien prétexter qu’il est plus long de distribuer une connexion plus gourmande en paquets en fonction des limites acceptables de chaque abonné… c’est ici qu’on dit qu’il faut de la “neutralité du net” et c’est manifestement pas gagné vu que personne ne s’intéresse sérieusement à la qualité de chaque format de connexion en renvoyant à chaque partie le soin de définir des “types de réseaux” dixit le méta-bullshit.
Le
04/03/2022 à
14h
07
Un peu comme si la poste s’émouvait de distribuer des colis sans en voir le contenu ou d’y récupérer la précieuse marchandise alors que le CA de la poste n’est déterminé que par l’intrant énergétique susceptible d’être exploité par eux-mêmes ou leurs 2 clients à contre-pied de la fameuse : un tien vaut mieux que deux tu l’auras. LOL.
Il manque l’étape trois : demander chacun la construction de centrales pilotables. Genius.
L’histoire aussi et c’est en cela que les futures victimes audio-visuelles de cet homme sont déjà prises pour des tapis bien avant qu’on évoque leur couleur.
Le
05/03/2022 à
14h
15
hansi a dit:
alors que ce type n’a jamais participé à la moindre élection, et n’a pas le 1000ème d’expérience d’un Asselineau, à qui on barre la route, parce que trop dangereux pour le système des ultra-riches ! Comme disait un certain Richard Matthew Stallman, le papa des logiciels libres : “avoir le choix de son dictateur, ce n’est pas la liberté”.
Donc les ultra-riches-financiers ont besoin d’autres ultra-riches-informaticiens…. Cette manie de tout rapporter à un problème de fric ou de porte-monnaie sans distinguer les deux me dépasse, je vais donc voter RMS au poste de dictateur vu que j’ai la liberté de le faire.
Relis l’article, tu verras que le droit de citation existe mais il est encadré. Zemmour est sorti du cadre sur au moins 2 points :
« sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l’auteur et la source ».
les extraits ne peuvent être utilisés que s’ils ont un caractère « critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information de l’oeuvre à laquelle elles sont incorporées ».
Et “sortir des images de leur contexte pour appuyer leurs propos tout en divertissant”, ça rentre suivant comment c’est fait soit dans critique, soit dans polémique.
Ce type n’aurait jamais eu les moyens sans l’aval de ses pairs journalistes pour se lancer à la conquête des 40% d’opinions d’extrême droite qu’il n’a d’intérêt professionnel qu’à entretenir après 2022 au motif que personne d’autre, que lui et du paf, ne voulait s’en “charger”.
Malgré la justice on peut dire que son système de communication est efficace. Et ce jusqu’à épuisement du stock d’attention.
Avec un U en moins (..-) il lui reste quand même un bon paquet de lettres dans son stock. C’est le même malheur en cyrillique et dans toutes les langues : plus de blabla appel souvent plus de natures mortes.
Oui, comme le duplicata carbone d’un ticket de caisse, grosso merdo. J’aime bien le high-tech : c’est toujours relatif à une époque qui ne change pas.
Le
04/03/2022 à
13h
38
SebGF a dit:
Bien que ça reste marginal, en creusant un peu on retrouve de plus en plus ce qui fit l’attrait pour moi du Web d’antan (vieux con set on) : les blogrolls, les webrings, les annuaires, le tri manuel ou uniquement basé sur la timeline (et non la “tendance”), l’absence d’algo magiques qui disent quoi penser, etc.
Si les géants du web laissaient tout ouvert dans leur cuisine on pourrait, factuellement parlant, avoir la même qualité d’expérience utilisateur. Algorithme ça fait tout de suite trop sérieux pour être honnête et on le sait bien.
Bref, j’y ai retrouvé ce qui me correspond le mieux. Et quand je vois les personnes dans mon entourage qui sont accroc aux médias sociaux et à l’instantanéité être stressées et énervées en permanence (logique, cet état rend plus propice à la consommation, autant l’entretenir), je ne me sens pas spécialement perdant au change.
Ce qui rend accro c’est qu’entre passer 10 minutes à comprendre comment t’organiser et 1 seconde pour cliquer tu gagnes au change. Reste à savoir ensuite ce que tu as perdu en temps de cerveau personnel qui lui est réellement précieux dans l’affaire…
C’est sur ce point que ce genre d’“outils” ne cochent même pas les fonctions basiques qu’ils défendent : l’expérience utilisateur des rezococios c’est bien la même chose qu’un tas d’ordure présenté comme un transat et il leur faut donc des paires de fesses à striker pour dire que “c’est pas moi c’est l’autre”.
Rien que pour le Bitcoin, la consommation d’énergie annuelle du réseau s’élèverait à près de 130 Twh selon la Cambridge Bitcoin Electricity coonsumption Index. Cela représente la consommation d’électricité des Pays-Bas.
5,2 10¹² Wh quand même… au prix actuel du kilo Wh ça fait surtout un bon paquet de “pertes” même à 96% de récupération utile. Si j’ajoute les pertes en conversion depuis la centrale c’est juste de la folie furieuse leur truc.
(quote:0:Jean Gebarowski) Comment caractériser l’œuvre numérique ? Le jeton en lui-même ne pose pas de problème, l’intégrité est gérée dans la blockchain utilisée. Mais comment faire le lien entre ce jeton et l’œuvre ? Il faudra souvent faire appel à un juge pour trancher les litiges.
Existe-t-il un lien de nature technique entre un DRM et une œuvre puisque finalement :
(quote:0:Jean Gebarowski) Comment identifier le propriétaire initial et le détenteur des droits ? Hermès a récemment intenté un procès à un « artiste » proposant des images de sacs à main inspirés d’une de leur gamme. Idem pour Nike. Les NFT n’apportent aucune réponse à ce problème.
J’ai peut-être mal saisi mais il me parait maintenant assez évident que les NFT sont du même ordre dissuasif que les MTP bien que s’adressant à des milieux sociaux différents. Si la contractualisations est évasive quant à la caractérisation de la solution technique retenue on ne va pas s’étonner non plus que même un artiste prenne à tort ce dispositif anti-copie (car réputé non fongible) pour argent comptant ! Il faudrait en effet, au moment de diffuser l’œuvre, y accoler copie de sa preuve de travail dans le contrat. Pas simple !
(quote:0:Jean Gebarowski) Le Web 3.0 nous promet donc un avenir décentralisé… aux mains de quelques-uns.
Meh, c’est le but du solutionnisme technologique voyons. On a l’habitude des mains invisibles et baladeuses.
Ensuite, une personne soulève des questions sur « d’éventuelles conséquences sur la faune et la flore ». Elles sont jugées « pertinentes » par l’Agence, mais ne « figuraient pas dans la demande adressée à l’ANSES », et ne sont donc pas abordées dans le présent rapport. Elles « pourraient être investiguées à l’avenir par l’ANSES, dans le cadre d’une approche globale consistant à évaluer les effets éventuels des champs électromagnétiques sur la biodiversité, ou certains organismes vivants peu rapportés dans les travaux d’évaluation des risques ».
All you need is love rat.
La méthodologie ne s’apprend pas dans une consultation publique : je suis surpris…
Punaise, mais c’est quoi cette mauvaise fois ? PAC != échangeur de PAC. Une PAC peut très bien s’occuper de fournir toutes les calories pour chauffer un logement.
La seule mauvaise foi c’est de ne pas tenir compte du 21 décembre à 4 heure du matin…
Traduction. Je ne sais pas te contrer donc je te fais une attaque ad hominem déguisé
A aucun moment je n’ai dis cela. Je te met au défis de me dire où. Depuis le début, je ne fais que répéter une chose et une seule : qu’un PAC et un puit canadien, c’est différent, et avec des usages différents.
Et de rappeler que le calcul réglementaire ne t’intéresse pas. On a bien compris : tu affirmes des choses sans base valide ni analyse dimensionnelle. Quel est le but d’en rester à des palabres de chauffagiste ou de téléconseiller en économie verte ou des Jancoviciennes lapalisantes ?
Le puit canadien sert à préchauffer l’air, ce qui permet de réduire l’apport calorifique que doit apporter le système de chauffage. Point. Mais il ne permettra pas d’avoir une température de 20° ni même de l’eau chaude. Chose que peut t’apporter une PAC.
Même une chaudière au Gaz ne suffit pas à chauffer… c’est la logique réglementaire qui le dit, pas moi.
Je n’ai même jamais parlé d’argent. Juste un comparatif de consommation à un moment donné, mais qui ne prend absolument pas en compte un coût non négligeable : celui de l’installation et de l’entretien. Mais pareil, tu fais une fixette dessus.
Oui, et notamment car avant d’installer une PAC ou n’importe quoi d’autre on commence par isoler et ventiler. Dura lex…
Non. Tu as un chauffage électrique. Mais ça, tu ne veux pas le comprendre. Tu ne vois qu’apport qualorifique, sans voire le rendement derrière.
Non plus : un COP est par convention une notion bien pratique qui permet fort justement de masquer le rendement du bâti en le limitant à une petite boite.
Encore parti dans un délire… Et oui, une PAC peut se suffire à elle même. Mais comme tu sembles ne considérer que l’échangeur du PAC…
Non plus. Je considère l’échangeur pour rappeler que ses dimensions sont déterminantes. Le COP du système de ventilation d’une maison passive est largement supérieur à celui du PAC. Mais ça, c’est pas écrit sur les étiquettes avant achat.
Le
03/03/2022 à
14h
21
fdorin a dit:
que le puit canadien seul ne peut assurer le chauffage d’une maison et qu’il ne vient qu’en appoint pour soulager le chauffage central.
Un échangeur de PAC ne peut seul assurer le chauffage. Merci de rappeler une fois de plus que tu n’as rien compris à la notion de flux ou d’échangeur, ni même aux autres apports (solaires, cuisson etc) .
Ben non. Il y a des raisons techniques. Ton logement peut ne pas être raccordé au gaz. Une PAC reviendra moins cher que le chauffage électrique. Et un puit canadien n’est pas toujours installable. Mais reste donc sur tes certitudes.
Les raisons techniques ne sont pertinentes qu’à condition de ne pas s’en mêler, ce que tu fais avec constance. Tu es en train d’expliquer que préchauffer de l’air n’a aucune incidence sur la qualité du chauffage mais que c’est quand même un problème de quantité d’euros dans le système… c’est problématique et incomplet.
Ce n’est donc pas car des milliers de personnes vivent dans des passoires thermiques qu’il faut installer des PAC, là aussi c’est gratuit sans doute… bref, si j’ajoute une résistance à ma bouche d’admission d’air j’ai une “pompe” à chaleur. Mais ça on ne veut pas le croire car on ne maîtrise pas les calculs et le delta T.
C’est bien le seul point où on est d’accord
Non. Tu as conclus qu’une PAC chauffait seule un appartement où les copropriétaires étaient des cons de ne pas installer le gaz chez toi alors que leurs logements, sans doute chauffés au gaz, t’empêchent de perdre des degrés dans ton volume habitable.
Le
03/03/2022 à
12h
01
Ce que je refuse c’est d’introduire des comparaisons inutiles, le but est de contrer un flux Q déperditif avec ou sans dépense financière renouvelable… ce n’est pas le sujet. De plus un bâtiment ne peut pas perdre plus de calories qu’il n’en a déjà (tout système tend à l’équilibre). Une PAC répond donc à un besoin de chauffage de la même manière qu’un échangeur passif (puits canadien, double flux etc) serait compensé par une résistance électrique.
Il n’y a aucune autre raison que la facturophilie pour justifier l’installation d’une PAC. Un chauffagiste avisé te dirait la même chose que moi : si déjà on ne connaît pas le besoin (c’est à dire ce qu’il faut apporter en plus de ce que la nature permet) on a pas de raison de conclure.
Le
03/03/2022 à
09h
33
L’air extrait par une VMC est comptabilité à l’année comme deperdition. C’est tout à fait normal et il existe des systèmes double flux (avec un échangeur) pour réduire la quantité de calories du système de chauffage. Si ce système est une PAC c’est un peu taper à côté dans le cas d’un batiment : les frigos n’ont pas de VMC et on comprend pourquoi !
Le
03/03/2022 à
09h
28
fdorin a dit:
L’un repose sur la convection, l’autre sur un cycle thermodynamique. L’un consomme très peu (une centaine de kWh/an) tandis que l’autre est beaucoup plus gourmand (facilement > 5000KWh/an mais reste bien en deçà d’un chauffage électrique)
Un cycle thermodynamique est un cycle, qu’importe les particularités impliqués par les solutions techniques c’est les notions clés qui permettent de calculer. Je pense donc que tu n’as pas saisi la notion de déphasage et de contexte bati qui sont nécessairement utiles sous peine de quoi ton discours comparatif est inutile et mène à avoir froid en hiver et chaud en été.
Je répète : un puits canadien brasse énormément plus de kwh (en clair des calories) qu’une PAC electrique. Ce qui permet in fine de “chauffer” c’est l’apport electrique conséquent dans tous les cas considérés (échangeur compris). En clair, un cycle thermodynamique réversible (par calcul) est une PAC. Qu’importe son type elle compte tout pareil… mais la facturophilie admet de nier l’évidence. C’est bien dommage.
Le
03/03/2022 à
08h
53
fdorin a dit:
Les deux sont sources de chaleurs. (…) [mais!]Les assimilées n’a donc pas de sens.
Le seul cas où la question ne se pose pas c’est les DPE car l’objet du diag est d’informer un consommateur. Dans les STD règlementaires la partialité n’est pas petmise.
Inodemus a dit:
Quel air extrait de quoi vers où ? Les pertes c’est par conduction à travers l’isolation, il n’y a pas d’air extrait. Et pour l’air extrait par la ventilation, ça se fait déjà de le faire passer dans un échangeur exactement comme tu viens de le dire, mais même ça c’est pas parfait.
Les déperditions (le terme exact) sont toutes comptabilisées. Donc tout flux Q sortant du volume d’air (de l’air ou non) est comptabilisé au même niveau en watts. La consommation en énergie primaire renouvelable est donc incomplète par convention dans les documents finaux, mais pas dans les simulations thermiques dynamiques auxquelles l’accès est limité au BET et qu’il est scientifiquement nécessaire de prendre en compte.
C’est pout cette raison que je compterais pas trop sur la réglementation pour lutter contre le rechauffement climatique… tout au plus les PAC permettent de se passer fu gaz quand on est fénéant.
Le
02/03/2022 à
19h
06
Alors j’ai du mal à saisir en quoi assimiler les deux n’aurait pas de sens. Un flux reste un flux, peu importe son sens c’est sa ous ses qualités qui sont déterminantes.
Les calculs règlementaires se contentent d’appliquer un besoin de température de 19 ou 20C au volume habitable. Dans l’ensemble des intrants une PAC vaut donc les mêmes T et C qu’un puits ou qu’un chauffe eau, une fenêtre captant des infrarouges ou n’importe quoi d’autre qui apporte des calories au local avant perte par conduction.
L’expression du système de chauffage principal n’a donc aucun intérêt pour peu qu’on sorte de la téléologie du consommateur en laine.
Le
02/03/2022 à
15h
06
fdorin a dit:
Plus sérieusement, PAC et puit canadien reposent sur des principes totalement différents. Il ne s’agit pas d’être dans deux mondes parallèles.
Et dire que c’est toi qui voulait me donner des leçons de physique de première… Convection
Je ne dis nulle part que les principes de conception soient identiques. Je dis qu’il est réglementairement valide (et aussi scientifique) de décrire avec la même physique impliquée une pac ou un puits canadien.
La convection n’a pas besoin d’un support mécanique. Elle se fait naturellement. Elle peut toutefois être assisté à l’aide de ventilateurs. C’est pour cela aussi que les canalisations dans le sol doivent être assez longue, pour que les échanges de chaleur par convection aient le temps de se faire et que le sol puisse réchauffer l’air en hiver (ou le rafraichir en été).
La convection a besoin d’un support mécanique (même statique) pour se faire en règle générale… c’est bien exprimé par la présence du delta T qui implique des parois.
Cela, contrairement aux PAC, qui transforme de l’énergie électrique en mouvement mécanique afin de produire les compressions/détentes nécessaires à son fonctionnement, selon un cycle bien défini (ton lien WTF justement).
Oui.
Maintenant, si pour toi, cycle thermodynamique (PAC) et convection (puit canadien) c’est la même chose… alors là, tu vis dans un monde parallèle…
Seuls les diagrammes sont différents. Et wikipédia n’a pas atteint l’âge de raison de la méthode TH-Bce. Hélas…
Le
02/03/2022 à
13h
11
(reply:1933885:j34n-r0x0r)
Un cocktail d’hydrocarbures reste un cocktail. On peut encore trinquer don’t be shy.
Le
02/03/2022 à
13h
07
fdorin a dit:
Non. Fusion, condensation, sublimation, etc… sont des changements d’état. Le fluide est un état en tant que tel. Il n’y a pas de transition.
Cette affirmation ne peut être vraie qu’à condition d’avoir un dispositif mesurable.
Certes, mais selon deux processus radicalement différents. Dire qu’un puit canadien est une PAC est un non sens.
Non. Le monde parallèle aux lois physiques différentes n’existe pas.
Non. La convection implique un déplacement de fluide (dans le cas d’un puit canadien, de l’air). La compression/décompression joue sur la pression voire un changement d’état. Encore une fois, c’est radicalement différent.
Fois Dix c’est l’ordre du glandeur entre une barak à frites active et une barak à poissons passive. Dans les deux cas de la friture, l’huile s’écoule dans la passoire !
Le
02/03/2022 à
12h
40
Inodemus a dit:
En plus en régime établi, on pompe aussi nos propres pertes thermiques, puisque c’est elles qui nous forcent à repomper.
Admettons que le shadok en métal ne pompe que nos pertes, pourquoi dès lors ne pas tout simplement utiliser un échangeur sur air extrait ?
Et si les habitations sont très concentrées pour qu’on puisse imaginer l’épuiser, c’est qu’on est en ville et il y a tellement de sources extérieures de chaleur autre que l’isolation des bâtiments, qu’en effet on doit pouvoir pomper les pertes thermiques des ces sources sans problème.
Ce n’est pas exactement sous l’angle “consommation” que je relativise les PAC. Je rappelle seulement que dans le cas d’un rendement élevé, on a le même schéma d’intrant qu’avec les autres ENR : il faut, à un moment ou un autre, avoir une flexibilité.
jpaul a dit:
Tu fais erreur, un puit canadien fait rentrer de l’air chauffé par la terre, à la température de la terre (donc ~15°C) une PAC extrait uniquement la chaleur de l’air (ou de la terre) en le refroidissant mais pas directement en récupérant l’air.
Non, le “pompage” historiquement, se fait par convection. Ou par un ventilateur à partir des années 60.
Donc en brassant un énorme volume d’air à 15°C, la PAC est capable de chauffer un volume plus petit d’eau à 50 ou 60°C. C’est pour ça que les modules extérieurs sont énormes et brassent énormément d’air.
Oui.
Le puit canadien en fait assez cher et galère à entretenir est une bonne solution comme point d’entrée d’une aération qui ne sera jamais ni trop chaude ni trop froide. Mais pour bien faire les choses ça implique de faire rentrer cet air « tiède » dans toutes les pièces de vie ce qui est en fait assez galère. En plus tu dois t’assurer qu’il reste étanche et que les condensats soient bien évacués sinon bonjour la champignonnière.
Cher ? Avec les kilomètres de gaines qu’on a aujourd’hui ? … Non.
Honnêtement les normes de construction actuelles sont déjà vraiment intelligentes et assez drastiques. On peut toujours faire mieux mais avec le minimum légal de la RT2020 on est déjà sur des habitations très bien pensées. Et perso j’étais content que ces normes existent comme ça les constructeurs peuvent pas jouer là dessus pour tirer les prix vers le bas ou au contraire mettre le confort thermique « en option » et personne n’est tenté de faire construire des habitations mal fichues pour économiser quelques milliers d’euros. Sachant qu’en plus le contrôle par un organisme indépendant doit être inclu dans le prix de construction et qu’en cas de doute, ça coûte pas trop cher de refaire contrôler ta maison (moins de 1000€ de mémoire) et alors le constructeur est tenu légalement de faire ce qu’il faut. Maintenant le DPE inclue même une fourchette de consommation du logement en kWh et si t’es pas dedans c’est opposable en justice (après faut le prouver, c’est une autre affaire).
Je le dit parce que quand même quand y’a des lois bien faites, faut aussi le souligner.
Non plus. La loi n’a rien à voir là dedans, c’est la méthodologie d’étude sur laquelle reposent ces normes, devenue réglementaire à partir des premiers chocs pétroliers, qui est bien faite.
La RE2020 ne s’intéresse donc pas spécifiquement à la cogénération sur air qui est un volet des calculs réglementaires. Les normes techniques ne prescrivent donc pas de système de chauffage et s’appliquent partiellement aux batis existant. C’est donc seulement une voiture balai de luxe et non un guide de conception comme peuvent l’être les groupements passifs ou certains ouvrages pro bioclimatisme.
La partie réglementaire ne rend donc pas soluble la question du changement climatique : elle la justifie.
fdorin a dit:
Hein ? L’état fluide ne résulte absolument pas du circuit. C’est un “état” qui désigne généralement les liquides et les gaz.
Changement d’état. Physique de lycée… Exemple avec l’eau.
L’air est un fluide. Point. Qu’importe qu’il soit “à l’air libre”, dans un puit canadien ou dans un PAC. Mais c’est sur qu’en ne lisant pas complètement ce que je dit…
Bof. Fermé ou non, par de l’énergie électrique active ou quelques matériaux passifs l’objectif revient encore une fois à agir sur un flux thermique. Que ton air puisse être brassé directement ou échangé indirectement c’est le besoin qui détermine l’emploi d’un fluide bis ou supplémentaire en particulier et donc, par extension, que le dispositif détermine les caractéristiques d’emploi de ce fluide.
Ce qui distingue une PAC d’un puit canadien, ce n’est pas l’usage d’un fluide, c’est le principe de fonctionnement, l’un en circuit ouvert, l’autre en circuit fermé ET avec compression/décompression.
La convection implique la compression et la décompression et permet un refroidissement.réchauffement naturel, ce n’est pas spécifique à un dispositif rapporté.
Dans ce cas, qu’importe ce qu’il y a derrière. Un brasero au milieu du salon répond aussi parfaitement à ta définition ;)
C’est effectivement où je voulais en venir : le “besoin de chauffage” n’est caractérisé qu’avec une PAC dans les termes courants du débat ou des constructions. Hors, factuellement parlant, il y a d’autres conceptions plus durables dont on ne parle jamais car non vendables en un quart d’heure dans un devis ou on air !
La question à se poser est la suivante : PAC ou pas PAC, est-ce que la source de chaleur est présente ? Si oui, c’est naturel de l’utiliser, car cela ne fait qu’augmenter le rendement global. Si non, effectivement il ne faut pas. Il ne faut pas inverser cause et conséquence. On installe une PAC parce qu’il y a une source de chaleur, et non l’inverse.
L’inverse c’est la réglementation qui le promeut. On est d’accord sur le reste.
Ce serait comme trier les déchets, mais uniquement ceux qui sont produit localement… Une fois que tu as un “déchet”, tu le traites, qu’importe sa provenance.
Même un déchet nucléaire ?
Le
02/03/2022 à
10h
27
v1nce a dit:
Gné ?
Une fois déduite la chaleur renouvelable disponible, que reste-t-il à pomper ?
Le
02/03/2022 à
10h
23
Contre-sens : l’état fluide d’un réfrigérant ou d’un caloporteur résulte du circuit, pas l’inverse. L’air est donc considéré comme un fluide dans le cas des puits canadiens et ce malgré l’ouverture du circuit si c’est de l’air extrait. Mais il existe aussi une version améliorée avec de l’eau en circuit fermé et un échangeur. Et, on a aussi tous une PAC chez soi : le frigo…
L’enjeu n’est pas technique car dans les deux cas l’objectif est le même : lutter contre le refroidissement du local (maison, serre,, appartement etc).
C’est pour cette raison que je soulignais le paradoxe des PAC modernes : on veut recycler la chaleur même si elle provient d’une énergie fossile. Le bilan global est donc loin des résultats angéliques annoncés, sans compter son prix largement plus élevé que les méthodes historiques pour faire du froid ou éviter des deltas de températures inconfortables.
Le
02/03/2022 à
08h
55
jpaul a dit:
C’est pas vraiment de la géothermie mais ouais. La géothermie c’est une PAC qui puise les calories du sol (donc constamment à 15°C quel que soit le climat).
Les PAC peuvent fonctionner sans électricité : exemple le puits canadien.provençal. C’était le sens de ma boutade…
Cela dit ton document me fait penser qu’on pourrait carrément utiliser le refroidissement des centrales comme des sources de chaleur pour le chauffage domestique. Certaines villes ont déjà des réseaux de chaleur (souvent alimentés par des incinérateurs d’ordures ménagères) donc on sait faire.
C’est à l’étude mais cela reste “confidentiel”.
La chaleur dégagée par une centrale doit pouvoir alimenter un paquet de foyers en chauffage/eau chaude. Ça pose le soucis du transport puisque les centrales sont souvent éloignées des lieux d’habitation mais je me demande si ce genre de choses est à l’étude.
Ce serait drôle d’annoncer publiquement qu’on a 380TWH*2 de pollution thermique par an qu’on ne récupère pas depuis 40 ans. Logique de pathologiser les automobilistes dans ces conditions…. #cohérence
Le
02/03/2022 à
08h
10
(quote:1933651:j34n-r0x0r) Est-ce qu’il y a pas un abrutit a ce moment la qui va nous expliquer gentiment que les cigales en plus de chanter faux n’acceptent pas de danser? Qu’il faut faire un effort…?
Au rythme actuel de “mesures actées ou en projet pour limiter le réchauffement d’origine anthropique” le sens du verbe limiter implique que l’échéance n’existe pas.
Grosso modo : entre le début du problème de tarissement des gisements fossiles et le tarissement effectif on papote. Après ce ne sera plus qu’un problème de pollution. Et, bien après, les cigales feront éventuellement du ski.
Le
02/03/2022 à
08h
04
jpaul a dit:
Sinon faut partir sur de la géothermie. Plus cher mais adapté à tous les climats.
La géothermie sur le Rhone est devenue intéressante durant les 40 dernières années.
Le
02/03/2022 à
07h
59
Inodemus a dit:
Il devait pas faire trop froid dehors l’hiver alors, sous 5°C le rendement devient proche d’un chauffage électrique, et à 7-8 °C il est pas fou non plus.
Et c’est source de confusion sur le rendement du dispositif complet (réseau + maisons) présenté comme supérieur au gaz ou autre chauffage plus conventionnel mais cela reste seulement utile dans les cas où :
on veut dépolluer l’énergie de chauffage
on veut faire “si possible” des économies financières sur la facture modulo l’isolation
Présenter les PAC comme une réponse au réchauffement climatique c’est nul : si dehors les maisons voisines ne perdent rien le rendement est mauvais… les PAC sont donc une incitation au climato-scepticisme par recyclage des pertes thermiques des autres.
Je profite de ta réponse pour mettre en lien cette étude de l’IRIS sur la performance des sanctions internationales.
J’aime bien ce passage P14 qui rappelle une autre actualité dévastatrice :
Ainsi, dans le passé, s’il réussit à affaiblir l’économie britannique, le blocus continental imposé par Napoléon à la Grande-Bretagne affecta aussi toutes les économies européennes en bloquant des flux commerciaux. L’interruption du commerce entraîna une pénurie de matières premières, la ruine de l’industrie française et de certains ports.
Pas tout à fait. Mais c’est aussi un problème de panthères. J’avais plutôt en tête que l’urne aux roses était découverte par l’article. Ce qui m’étonne.
Le
25/02/2022 à
15h
10
Pourquoi comptabiliser le rose si le blanc ne l’est pas ?
Les budgets nationaux de la pub, sur tous les supports, sont connus. Et ça représente, en France, environ 500€ annuel par personne. Si on pouvait mettre en place d’autres systèmes de rémunération des services, cela aurait le double effet bénéfique de cesser l’invasion publicitaire et la domination des grandes marques.
Pour cesser l’invasion publicitaire les revendeurs devraient arrêter de se faire de la pub. Comment sérieusement croire qu’un revendeur s’empêcherait de vendre un terminal sur lequel il a, à égalité de ses concurrents directs, la possibilité de faire passer sa pub ?
En imaginant que Google endosse la responsabilité d’un fond de commerce, on peut s’attendre à ce que les choses changent… mais ce n’est pas leur idée : ce serait montrer plus clairement la vacuité dont ils s’auto-congratulent.
Et pourtant, nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes !
C’est une différence de méthodes qui passe par plus de modélisation ou plus d’analyse des controverses. Il y a une question assez similaire avec la sociologie micro ou macro. Dans les deux cas, la légitimité de la parole n’est pas en cause. Par convention on a le droit de revendiquer une scientificité sous réserve de fournir un travail consistant.
(coucou la théorie du ruissellement). Compare les thèses d’économistes “purs” (i.e., sans politique) et celle d’hommes politiques. Le 1er est en avance sur son temps, le 2nd c’est encore à la préhistoire.
-> Bon exemple de différence portant sur la consistance des thèses.
Ou tout simplement : il décrit (par le droit) l’échange d’information entre un “client” et un “serveur”.
Je ne doute pas, à la lecture de tes positions précédentes, que ce mélange d’ondes et de fibres optiques est une belle soupe de homards.
Les seuls éléments critiques de ma réponse portent sur la capacité du projet de loi à répondre correctement aux intentions qu’il porte. On notera (un peu de sel ne te fera pas de mal) que la mention du réseau électrique dont on connaît les égarements physiques est un bon indice du niveau technique et juridique. Pour l’instant on rigole…
4748 commentaires
Le gouvernement suspend le passe vaccinal le 14 mars, après s’être opposé à cette suspension au Conseil d’État
04/03/2022
Le 05/03/2022 à 20h 42
(…)
Tu es juge et partie.
Donc, ne serait-ce que pour continuer à exercer des droits dont le refus fait aussi partie des finalités de la vaccination, il est en fait illégitime de refuser la vaccination et non sa dérivée.
En clair ton argument principal d’épuisement du pass par la vaccination ne vaut strictement rien si ce n’est autre qu’un piège à con opportuniste.
C’est en particulier cette attitude ultimement ségrégationniste qui en-tâche fortement ma confiance dans une quelconque efficacité du dispositif gouvernemental.
Quant au reste des mesures effectivement recommandées par des Médecins, je me réserve le droit d’opposer l’ensemble des maigres droits humains qu’il me reste afin de démontrer, en plus de ma dignité à crever seul, que l’appauvrissement résultant de la perte d’emploi ne saurait être un risque moins désirable que d’éventuels effets secondaires.
A jeu de minables voulant être homéopathiquement réélus, il faut jouer…
Le 04/03/2022 à 13h 09
Ce qui est foireux c’est l’interprétation non scientifique du conseil d’état. Je ne vois pas comment, pris au premier degré, on pourrait confondre cet article avec un édito.
Bien que, et c’est assez évident vu le sujet, cet article laisse plus à penser qu’une simple brève. Mais alors, qui décide que penser, et surtout, à quel moment ?
Là dessus je trouve qu’il manque un encart édito au site, cela éviterait le besoin signer les brèves dont l’anonymat pose (encore) question.
Zuckerberg : le metaverse nécessitera des types de réseaux entièrement nouveaux
04/03/2022
Le 05/03/2022 à 20h 05
C’est une autre façon de dire que le risque de double emploi (comme la double taxation) pose déjà un problème : si des acteurs étrangers décident de ne pas appliquer la neutralité telle que définie en Europe alors d’une part la question de la taxation réelle des contrats se pose (quel service est susceptible d’être refusé ou non), et d’autre part cela implique qu’il y a un accord tacite sur le produit de la transaction : est-ce qu’on parle de jouer sur la couche 2 ou 3, et si oui, comment ?
Autrement dit, pour moi le modèle OSI ne dit finalement rien sur la couche 1 (le cable, l’onde etc) mais comme l’intervention de chaque acteur filtrant (ou non neutre) se situe au dessus, je ne vois pas comment, sans choix politique portant sur la technique, on pourrait dire que ces transactions entre opérateurs (comprendre réseaux avec ou sans clients souscrivant un accès) sont neutres vis-à-vis du client final (société ou individu) vu que chacun négocie à coup de contrat bien opaque alors que le réseau mondial résultant est pourtant réputé vérifiable par pas mal d’outils.
Le 05/03/2022 à 14h 32
Ceci plaide en fait pour l’introduction de droits de douane ou comptabilité équivalente permettant de distinguer la part propre de chaque opérateur… et tant que chaque couche du modèle OSI ne sera pas attribuable dans une loi reconnue par tout pays, le dualisme technique-politique va perdurer.
Le 04/03/2022 à 23h 53
Le problème de la “neutralité” du service postal (entendre FAI ou opérateur) c’est un acquis de toute époque : on doit pouvoir contester le message et non le messager qui n’a donc pas le droit de modifier le message en cours de route.
Le problème de la “neutralité du net” c’est que, précisément comme pour le cas de la poste, il est possible de fixer des limites de poids sans lire le message (les formats de lettre par exemple).
Aussi, même en ne trompant pas le destinataire sur la qualité d’acteur “neutre”, un FAI peut très bien prétexter qu’il est plus long de distribuer une connexion plus gourmande en paquets en fonction des limites acceptables de chaque abonné… c’est ici qu’on dit qu’il faut de la “neutralité du net” et c’est manifestement pas gagné vu que personne ne s’intéresse sérieusement à la qualité de chaque format de connexion en renvoyant à chaque partie le soin de définir des “types de réseaux” dixit le méta-bullshit.
Le 04/03/2022 à 14h 07
Un peu comme si la poste s’émouvait de distribuer des colis sans en voir le contenu ou d’y récupérer la précieuse marchandise alors que le CA de la poste n’est déterminé que par l’intrant énergétique susceptible d’être exploité par eux-mêmes ou leurs 2 clients à contre-pied de la fameuse : un tien vaut mieux que deux tu l’auras. LOL.
Il manque l’étape trois : demander chacun la construction de centrales pilotables. Genius.
Éric Zemmour condamné pour contrefaçon : télécharger le jugement du tribunal judiciaire
04/03/2022
Le 05/03/2022 à 14h 17
L’histoire aussi et c’est en cela que les futures victimes audio-visuelles de cet homme sont déjà prises pour des tapis bien avant qu’on évoque leur couleur.
Le 05/03/2022 à 14h 15
Donc les ultra-riches-financiers ont besoin d’autres ultra-riches-informaticiens….
Cette manie de tout rapporter à un problème de fric ou de porte-monnaie sans distinguer les deux me dépasse, je vais donc voter RMS au poste de dictateur vu que j’ai la liberté de le faire.
Le 04/03/2022 à 23h 28
Le 04/03/2022 à 18h 10
Ce type n’aurait jamais eu les moyens sans l’aval de ses pairs journalistes pour se lancer à la conquête des 40% d’opinions d’extrême droite qu’il n’a d’intérêt professionnel qu’à entretenir après 2022 au motif que personne d’autre, que lui et du paf, ne voulait s’en “charger”.
Malgré la justice on peut dire que son système de communication est efficace. Et ce jusqu’à épuisement du stock d’attention.
#Flock dessine la folie de notre monde
05/03/2022
Le 05/03/2022 à 13h 56
Avec un U en moins (..-) il lui reste quand même un bon paquet de lettres dans son stock.
C’est le même malheur en cyrillique et dans toutes les langues : plus de blabla appel souvent plus de natures mortes.
Le 05/03/2022 à 13h 17
Il n’y a pas d’étiquette sur les boutons au KGB ?
La folie NFT
03/03/2022
Le 05/03/2022 à 13h 45
Oui, comme le duplicata carbone d’un ticket de caisse, grosso merdo.
J’aime bien le high-tech : c’est toujours relatif à une époque qui ne change pas.
Le 04/03/2022 à 13h 38
Si les géants du web laissaient tout ouvert dans leur cuisine on pourrait, factuellement parlant, avoir la même qualité d’expérience utilisateur. Algorithme ça fait tout de suite trop sérieux pour être honnête et on le sait bien.
Ce qui rend accro c’est qu’entre passer 10 minutes à comprendre comment t’organiser et 1 seconde pour cliquer tu gagnes au change. Reste à savoir ensuite ce que tu as perdu en temps de cerveau personnel qui lui est réellement précieux dans l’affaire…
C’est sur ce point que ce genre d’“outils” ne cochent même pas les fonctions basiques qu’ils défendent : l’expérience utilisateur des rezococios c’est bien la même chose qu’un tas d’ordure présenté comme un transat et il leur faut donc des paires de fesses à striker pour dire que “c’est pas moi c’est l’autre”.
Le 03/03/2022 à 22h 28
5,2 10¹² Wh quand même… au prix actuel du kilo Wh ça fait surtout un bon paquet de “pertes” même à 96% de récupération utile. Si j’ajoute les pertes en conversion depuis la centrale c’est juste de la folie furieuse leur truc.
https://ccaf.io/cbeci/index
Le 03/03/2022 à 19h 01
Merci pour ce registre.
Existe-t-il un lien de nature technique entre un DRM et une œuvre puisque finalement :
J’ai peut-être mal saisi mais il me parait maintenant assez évident que les NFT sont du même ordre dissuasif que les MTP bien que s’adressant à des milieux sociaux différents.
Si la contractualisations est évasive quant à la caractérisation de la solution technique retenue on ne va pas s’étonner non plus que même un artiste prenne à tort ce dispositif anti-copie (car réputé non fongible) pour argent comptant !
Il faudrait en effet, au moment de diffuser l’œuvre, y accoler copie de sa preuve de travail dans le contrat. Pas simple !
Meh, c’est le but du solutionnisme technologique voyons. On a l’habitude des mains invisibles et baladeuses.
Après consultation, l’ANSES actualise son rapport sur les risques sanitaire liés à la 5G
04/03/2022
Le 04/03/2022 à 17h 50
All you need is
loverat.La méthodologie ne s’apprend pas dans une consultation publique : je suis surpris…
Droits voisins des éditeurs : la presse d’information générale signe avec Google
04/03/2022
Le 04/03/2022 à 14h 15
Ou médiatisation généralisée par peur de l’outre bombe.
NetzDG : la loi allemande contre la haine en ligne viole le droit européen
03/03/2022
Le 04/03/2022 à 13h 54
C’est le propre du gotha que d’oublier son ghetto. Enfin, pas toujours manifestement.
La Russie arrête de livrer des moteurs de fusée aux États-Unis
04/03/2022
Le 04/03/2022 à 12h 52
Je pense qu’il avait en tête Ma sorcière bien-aimée dont le titre original est Bewitched.
C’est le rick-roll(ed) du troisième âge…
Second rapport du Giec sur le climat : « la situation s’est significativement aggravée »
01/03/2022
Le 03/03/2022 à 15h 51
La seule mauvaise foi c’est de ne pas tenir compte du 21 décembre à 4 heure du matin…
Et de rappeler que le calcul réglementaire ne t’intéresse pas. On a bien compris : tu affirmes des choses sans base valide ni analyse dimensionnelle. Quel est le but d’en rester à des palabres de chauffagiste ou de téléconseiller en économie verte ou des Jancoviciennes lapalisantes ?
Même une chaudière au Gaz ne suffit pas à chauffer… c’est la logique réglementaire qui le dit, pas moi.
Oui, et notamment car avant d’installer une PAC ou n’importe quoi d’autre on commence par isoler et ventiler. Dura lex…
Non plus : un COP est par convention une notion bien pratique qui permet fort justement de masquer le rendement du bâti en le limitant à une petite boite.
Non plus. Je considère l’échangeur pour rappeler que ses dimensions sont déterminantes. Le COP du système de ventilation d’une maison passive est largement supérieur à celui du PAC. Mais ça, c’est pas écrit sur les étiquettes avant achat.
Le 03/03/2022 à 14h 21
Un échangeur de PAC ne peut seul assurer le chauffage. Merci de rappeler une fois de plus que tu n’as rien compris à la notion de flux ou d’échangeur, ni même aux autres apports (solaires, cuisson etc) .
Les raisons techniques ne sont pertinentes qu’à condition de ne pas s’en mêler, ce que tu fais avec constance.
Tu es en train d’expliquer que préchauffer de l’air n’a aucune incidence sur la qualité du chauffage mais que c’est quand même un problème de quantité d’euros dans le système… c’est problématique et incomplet.
Ce n’est donc pas car des milliers de personnes vivent dans des passoires thermiques qu’il faut installer des PAC, là aussi c’est gratuit sans doute… bref, si j’ajoute une résistance à ma bouche d’admission d’air j’ai une “pompe” à chaleur. Mais ça on ne veut pas le croire car on ne maîtrise pas les calculs et le delta T.
Non. Tu as conclus qu’une PAC chauffait seule un appartement où les copropriétaires étaient des cons de ne pas installer le gaz chez toi alors que leurs logements, sans doute chauffés au gaz, t’empêchent de perdre des degrés dans ton volume habitable.
Le 03/03/2022 à 12h 01
Ce que je refuse c’est d’introduire des comparaisons inutiles, le but est de contrer un flux Q déperditif avec ou sans dépense financière renouvelable… ce n’est pas le sujet.
De plus un bâtiment ne peut pas perdre plus de calories qu’il n’en a déjà (tout système tend à l’équilibre).
Une PAC répond donc à un besoin de chauffage de la même manière qu’un échangeur passif (puits canadien, double flux etc) serait compensé par une résistance électrique.
Il n’y a aucune autre raison que la facturophilie pour justifier l’installation d’une PAC. Un chauffagiste avisé te dirait la même chose que moi : si déjà on ne connaît pas le besoin (c’est à dire ce qu’il faut apporter en plus de ce que la nature permet) on a pas de raison de conclure.
Le 03/03/2022 à 09h 33
L’air extrait par une VMC est comptabilité à l’année comme deperdition. C’est tout à fait normal et il existe des systèmes double flux (avec un échangeur) pour réduire la quantité de calories du système de chauffage. Si ce système est une PAC c’est un peu taper à côté dans le cas d’un batiment : les frigos n’ont pas de VMC et on comprend pourquoi !
Le 03/03/2022 à 09h 28
Un cycle thermodynamique est un cycle, qu’importe les particularités impliqués par les solutions techniques c’est les notions clés qui permettent de calculer.
Je pense donc que tu n’as pas saisi la notion de déphasage et de contexte bati qui sont nécessairement utiles sous peine de quoi ton discours comparatif est inutile et mène à avoir froid en hiver et chaud en été.
Je répète : un puits canadien brasse énormément plus de kwh (en clair des calories) qu’une PAC electrique. Ce qui permet in fine de “chauffer” c’est l’apport electrique conséquent dans tous les cas considérés (échangeur compris).
En clair, un cycle thermodynamique réversible (par calcul) est une PAC. Qu’importe son type elle compte tout pareil… mais la facturophilie admet de nier l’évidence. C’est bien dommage.
Le 03/03/2022 à 08h 53
Le seul cas où la question ne se pose pas c’est les DPE car l’objet du diag est d’informer un consommateur.
Dans les STD règlementaires la partialité n’est pas petmise.
Les déperditions (le terme exact) sont toutes comptabilisées.
Donc tout flux Q sortant du volume d’air (de l’air ou non) est comptabilisé au même niveau en watts.
La consommation en énergie primaire renouvelable est donc incomplète par convention dans les documents finaux, mais pas dans les simulations thermiques dynamiques auxquelles l’accès est limité au BET et qu’il est scientifiquement nécessaire de prendre en compte.
C’est pout cette raison que je compterais pas trop sur la réglementation pour lutter contre le rechauffement climatique… tout au plus les PAC permettent de se passer fu gaz quand on est fénéant.
Le 02/03/2022 à 19h 06
Alors j’ai du mal à saisir en quoi assimiler les deux n’aurait pas de sens.
Un flux reste un flux, peu importe son sens c’est sa ous ses qualités qui sont déterminantes.
Les calculs règlementaires se contentent d’appliquer un besoin de température de 19 ou 20C au volume habitable.
Dans l’ensemble des intrants une PAC vaut donc les mêmes T et C qu’un puits ou qu’un chauffe eau, une fenêtre captant des infrarouges ou n’importe quoi d’autre qui apporte des calories au local avant perte par conduction.
L’expression du système de chauffage principal n’a donc aucun intérêt pour peu qu’on sorte de la téléologie du consommateur en laine.
Le 02/03/2022 à 15h 06
Je ne dis nulle part que les principes de conception soient identiques. Je dis qu’il est réglementairement valide (et aussi scientifique) de décrire avec la même physique impliquée une pac ou un puits canadien.
La convection a besoin d’un support mécanique (même statique) pour se faire en règle générale… c’est bien exprimé par la présence du delta T qui implique des parois.
Oui.
Seuls les diagrammes sont différents. Et wikipédia n’a pas atteint l’âge de raison de la méthode TH-Bce. Hélas…
Le 02/03/2022 à 13h 11
Un cocktail d’hydrocarbures reste un cocktail. On peut encore trinquer don’t be shy.
Le 02/03/2022 à 13h 07
Cette affirmation ne peut être vraie qu’à condition d’avoir un dispositif mesurable.
Non. Le monde parallèle aux lois physiques différentes n’existe pas.
WTF
Le 02/03/2022 à 12h 48
Le 02/03/2022 à 12h 40
Admettons que le shadok en métal ne pompe que nos pertes, pourquoi dès lors ne pas tout simplement utiliser un échangeur sur air extrait ?
Ce n’est pas exactement sous l’angle “consommation” que je relativise les PAC. Je rappelle seulement que dans le cas d’un rendement élevé, on a le même schéma d’intrant qu’avec les autres ENR : il faut, à un moment ou un autre, avoir une flexibilité.
Non, le “pompage” historiquement, se fait par convection. Ou par un ventilateur à partir des années 60.
Oui.
Cher ? Avec les kilomètres de gaines qu’on a aujourd’hui ? … Non.
Non plus. La loi n’a rien à voir là dedans, c’est la méthodologie d’étude sur laquelle reposent ces normes, devenue réglementaire à partir des premiers chocs pétroliers, qui est bien faite.
La RE2020 ne s’intéresse donc pas spécifiquement à la cogénération sur air qui est un volet des calculs réglementaires.
Les normes techniques ne prescrivent donc pas de système de chauffage et s’appliquent partiellement aux batis existant.
C’est donc seulement une voiture balai de luxe et non un guide de conception comme peuvent l’être les groupements passifs ou certains ouvrages pro bioclimatisme.
La partie réglementaire ne rend donc pas soluble la question du changement climatique : elle la justifie.
Changement d’état. Physique de lycée…
Exemple avec l’eau.
Bof. Fermé ou non, par de l’énergie électrique active ou quelques matériaux passifs l’objectif revient encore une fois à agir sur un flux thermique. Que ton air puisse être brassé directement ou échangé indirectement c’est le besoin qui détermine l’emploi d’un fluide bis ou supplémentaire en particulier et donc, par extension, que le dispositif détermine les caractéristiques d’emploi de ce fluide.
La convection implique la compression et la décompression et permet un refroidissement.réchauffement naturel, ce n’est pas spécifique à un dispositif rapporté.
C’est effectivement où je voulais en venir : le “besoin de chauffage” n’est caractérisé qu’avec une PAC dans les termes courants du débat ou des constructions. Hors, factuellement parlant, il y a d’autres conceptions plus durables dont on ne parle jamais car non vendables en un quart d’heure dans un devis ou on air !
L’inverse c’est la réglementation qui le promeut. On est d’accord sur le reste.
Même un déchet nucléaire ?
Le 02/03/2022 à 10h 27
Une fois déduite la chaleur renouvelable disponible, que reste-t-il à pomper ?
Le 02/03/2022 à 10h 23
Contre-sens : l’état fluide d’un réfrigérant ou d’un caloporteur résulte du circuit, pas l’inverse.
L’air est donc considéré comme un fluide dans le cas des puits canadiens et ce malgré l’ouverture du circuit si c’est de l’air extrait.
Mais il existe aussi une version améliorée avec de l’eau en circuit fermé et un échangeur. Et, on a aussi tous une PAC chez soi : le frigo…
L’enjeu n’est pas technique car dans les deux cas l’objectif est le même : lutter contre le refroidissement du local (maison, serre,, appartement etc).
C’est pour cette raison que je soulignais le paradoxe des PAC modernes : on veut recycler la chaleur même si elle provient d’une énergie fossile. Le bilan global est donc loin des résultats angéliques annoncés, sans compter son prix largement plus élevé que les méthodes historiques pour faire du froid ou éviter des deltas de températures inconfortables.
Le 02/03/2022 à 08h 55
Les PAC peuvent fonctionner sans électricité : exemple le puits canadien.provençal. C’était le sens de ma boutade…
C’est à l’étude mais cela reste “confidentiel”.
Ce serait drôle d’annoncer publiquement qu’on a 380TWH*2 de pollution thermique par an qu’on ne récupère pas depuis 40 ans. Logique de pathologiser les automobilistes dans ces conditions…. #cohérence
Le 02/03/2022 à 08h 10
Au rythme actuel de “mesures actées ou en projet pour limiter le réchauffement d’origine anthropique” le sens du verbe limiter implique que l’échéance n’existe pas.
Grosso modo : entre le début du problème de tarissement des gisements fossiles et le tarissement effectif on papote. Après ce ne sera plus qu’un problème de pollution. Et, bien après, les cigales feront éventuellement du ski.
Le 02/03/2022 à 08h 04
La géothermie sur le Rhone est devenue intéressante durant les 40 dernières années.
Le 02/03/2022 à 07h 59
Et c’est source de confusion sur le rendement du dispositif complet (réseau + maisons) présenté comme supérieur au gaz ou autre chauffage plus conventionnel mais cela reste seulement utile dans les cas où :
Présenter les PAC comme une réponse au réchauffement climatique c’est nul : si dehors les maisons voisines ne perdent rien le rendement est mauvais… les PAC sont donc une incitation au climato-scepticisme par recyclage des pertes thermiques des autres.
Des parlementaires états-uniens s’inquiètent des robots-chiens à la frontière
02/03/2022
Le 03/03/2022 à 12h 07
Mais non !
Les robots loups rêvent de moutons électriques !
Que font donc nos chasseurs androïdes !
Le 02/03/2022 à 12h 50
Le meilleur ennemi de l’homme.
Pourquoi (et comment) on peut écouter des soldats russes être trollés en Ukraine
02/03/2022
Le 02/03/2022 à 15h 12
Question subsidiaire : qu’en pense l’Ademe ?
[MàJ] Russie–Ukraine : quand SWIFT et d’autres institutions financières s’en mêlent
02/03/2022
Le 02/03/2022 à 08h 22
J’aime bien ce passage P14 qui rappelle une autre actualité dévastatrice :
#Flock : c’est la (cyber)guerre mon général !
26/02/2022
Le 26/02/2022 à 14h 14
Élection présidentielle : vous avez jusqu’au 2 mars pour vous inscrire en ligne
25/02/2022
Le 26/02/2022 à 11h 07
Pas tout à fait. Mais c’est aussi un problème de panthères.
J’avais plutôt en tête que l’urne aux roses était découverte par l’article. Ce qui m’étonne.
Le 25/02/2022 à 15h 10
Pourquoi comptabiliser le rose si le blanc ne l’est pas ?
Privacy Sandbox sur Android : la vie privée selon Google
23/02/2022
Le 25/02/2022 à 11h 37
Pour cesser l’invasion publicitaire les revendeurs devraient arrêter de se faire de la pub. Comment sérieusement croire qu’un revendeur s’empêcherait de vendre un terminal sur lequel il a, à égalité de ses concurrents directs, la possibilité de faire passer sa pub ?
En imaginant que Google endosse la responsabilité d’un fond de commerce, on peut s’attendre à ce que les choses changent… mais ce n’est pas leur idée : ce serait montrer plus clairement la vacuité dont ils s’auto-congratulent.
Propulsion nucléaire : une convention de recherche entre le CEA, Framatome et Naval Group
25/02/2022
Le 25/02/2022 à 11h 10
Avec tous ces membres ils risquent la fission de la tome, faut se méfier !
Le 25/02/2022 à 11h 03
Le soft atome c’est sans perte et frama.
Au CNRS, « comment sauver le pluralisme des médias ? »
25/02/2022
Le 25/02/2022 à 11h 00
Et pourtant, nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes !
C’est une différence de méthodes qui passe par plus de modélisation ou plus d’analyse des controverses.
Il y a une question assez similaire avec la sociologie micro ou macro.
Dans les deux cas, la légitimité de la parole n’est pas en cause. Par convention on a le droit de revendiquer une scientificité sous réserve de fournir un travail consistant.
-> Bon exemple de différence portant sur la consistance des thèses.
Data Act : la Commission européenne dévoile son projet de règlement sur les données
24/02/2022
Le 24/02/2022 à 18h 38
Ou tout simplement : il décrit (par le droit) l’échange d’information entre un “client” et un “serveur”.
Je ne doute pas, à la lecture de tes positions précédentes, que ce mélange d’ondes et de fibres optiques est une belle soupe de homards.
Les seuls éléments critiques de ma réponse portent sur la capacité du projet de loi à répondre correctement aux intentions qu’il porte.
On notera (un peu de sel ne te fera pas de mal) que la mention du réseau électrique dont on connaît les égarements physiques est un bon indice du niveau technique et juridique.
Pour l’instant on rigole…