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univ_paris

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32 commentaires

Le 20/10/2023 à 07h 46

Sur mon téléphone, j’ai la fonction “Applications jumelles”. Elle permet pour quelques applis dont Whatsapp d’installer deux fois l’appli sur le téléphone, chaque instance ayant sa carte SIM, son numéro, ses réglages, ses contacts, ses messages … Beaucoup plus pratique qu’une seule icône avec des sous-menus à l’intérieur.



Je rêve par ailleurs d’applications Téléphone et SMS qui permettent, sur un appareil à double SIM, d’avoir des applications séparées : d’un côté la page Pro avec ses contacts, appels et SMS, d’un autre côté la page perso avec d’autres icônes d’appli. Plus e confusion possible ! Quelqu’un est il arrivé à obtenir une configuration satisfaisante dans ce domaine ?

Le 09/10/2023 à 17h 21

Moi j’utilise OneDirve en entreprise.



Et je vois que, version après version, c’est toujours aussi difficile de savoir avec qui on a partagé des fichiers.
C’est pourtant la base en matière de respect de la confidentialité des données !

Le 30/06/2023 à 17h 00

Il me semblait que c’était la vente par Tryphon Tournesol à l’Etat de ses brevets sur son sous marin de poche qui avait financé l’achat du Chateau de Moulinsart.
Mille milliards de mille sabords, il faut que je vérifie dès que je suis rentré à la maison !

Le 16/06/2023 à 12h 12

A propos de Vivatech, qui a eu la curiosité de consulter leurs pages Data Privacy ?



On y voit qu’il n’est pas possible de participer à Vivatech sans autoriser à ce que vos données soient transmises aux “partenaires”, qu’elles seront transmises en dehors de l’UE, qu’elles seront conservées cinq ans, …
L’adresse [email protected] que j’ai interpellée sur ce sujet ne m’a jamais répondu.
Y’avait pas un truc qui s’appelle le RGPD et qui s’applique aussi à eux ?

Le 16/06/2023 à 10h 20

Je ne suis pas sur qu’il faille augmenter le montant des sanctions. Plutôt leur fréquence.
Le bilan 2022 de la CNIL signale qu’il n’y a eu que 345 contrôles et 21 sanctions. Autant dire que le probabilité pour une entreprise de se faire choper est extrêmement faible.



SI on fait le parallèle avec la sécurité routière, la limitation de vitesse sur autoroute n’a pas diminué quand on a augmenté les amendes, mais quand on a mis des radars automatiques, avec lesquels la possibilité d’échapper aux contrôles a drastiquement chuté.

Le 26/05/2023 à 08h 13


(quote:2134425:j34n-r0x0r)
Le 11 septembre personne n’est allé sur la lune. :D


Et de toutes façons elle est plate …
c’est vendredi, on a le droit ….

Le 25/05/2023 à 16h 42

Il y a déjà un pourcentage minimum de boursiers paramétré dans ParcourSup pour chaque formation.
Il ne serait pas plus simple d’augmenter la valeur de ce paramètre que de faire un algorithme maison ?

Le 20/04/2023 à 14h 05

Le principal problème avec l’ancien système (gestion des candidatures université par université) était qu’un étudiant accepté dans plusieurs universités pouvait s’inscrire aux différents établissements, il n’y avait pas de coordination entre établissements pour comparer les inscriptions et détecter les doublons.
Donc ca “grillait” des places pour ceux en liste d’attente, ou obligeait à des dispositifs pas optimaux (acceptation tardive, surbooking, …).
Une grosse différence avec ParcourSup est qu’il faut étudier dossier par dossier, il n’y a pas de tableaux des notes permettant de pré-classer automatiquement les candidats.

Le 31/03/2023 à 07h 50

Si on lit bien le communiqué de la CJUE (je n’ai pas eu le courage de lire l’arrêt complet), on s’aperçoit que ce qui est en question ce n’est pas les cours en visioconférence, mais les aménagements locaux au RGPD que peut faire un état (article 88).
La CJUE conclut que cet article 88 n’est pas un motif valable pour se passer du consentement des enseignants.
Elle conclut également que l’exécution d’une mission de service publique, ou l’obligation légale, sont des bases juridiques prévues par le RGPD et tout à fait adaptées pour demander à un enseignant de faire des cours en visioconférence indépendamment de son consentement.

Le 16/03/2023 à 18h 15

Ce serait bien qu’on ait un IC3 en France.
On a bien cybermalveillance.gouv.fr, qui fait un super travail de prévention. Mais à part indiquer un prestataire près de chez soi, ils n’ont pas d’activité de type gel des fonds des malfaiteurs, aucun pouvoir de poursuite, et se contentent de transmettre les dossiers au procureur.
Et je souhaite bien du plaisir à celui qui saura identifier à quels services de police ou de gendarmerie s’adresser en cas d’escroquerie, sans compter PHAROS, THESEE, PERCEVAL, signal-spam, phishing-initiative, …, et sans oublier CNIL et ANSSI.
Un point d’entrée unique serait le bienvenu.

Le 14/03/2023 à 13h 53

Arrêté du 25 mai 2016 article 25 : Sauf si la thèse présente un caractère de confidentialité avéré, sa diffusion est assurée dans l’établissement de soutenance et au sein de l’ensemble de la communauté universitaire. La diffusion en ligne de la thèse au-delà de ce périmètre est subordonnée à l’autorisation de son auteur, sous réserve de l’absence de clause de confidentialité.

Le 21/02/2023 à 08h 22

Tiens, Next Impact se spécialise dans l’actualité sociale maintenant ? Le prochain article sera sur les grèves des femmes de ménage de l’hôtel Ibis ?
Quel est le rapport entre cette brève et la ligne éditoriale de Next Impact : les technos et leur impact sur la société ?

Le 09/02/2023 à 13h 03

Effectivement, il y a les ornithorynques …
Pan sur le bec, comme disent certains.
Conclusion : un humain est au moins aussi bon que ChatGPT pour faire des erreurs

Le 07/02/2023 à 11h 25

J’ai moi aussi testé les questions sur les oeufs de vache sur ChatGPT après avoir vu un post Linkedin à ce sujet.



Du coup, vu que ce sujet tourne sur internet, je me demande si ce n’est pas en entrainant régulièrement ChatGPT à donner son avis sur les oeufs de vache qu’on finit par le convaincre qu’ils existent vraiment. Sans cet entrainement, on aurait eu une réponse du type “les mammifères ne pondent pas d’oeufs”.



Y a t il sur ce forum des personnes qui pourraient infirmer ou confirmer cette idée ?

Le 04/01/2023 à 10h 34

La sanction est d’autant plus incompréhensible que, d’après les articles de Challenge et de AEF, l’enseignant a obtenu sa HDR en 2017 justement grâce à cette publication.
Il serait logique de la lui retirer.



Concernant la plainte, l’université a saisi à l’époque le Procureur de la République. A lui d’instruire sur le plan pénal/civil.

Le 07/12/2022 à 10h 56

La CNIL a justement publié la semaine dernière un projet de recommandations pour les examens en ligne : https://www.cnil.fr/fr/telesurveillance-des-examens-en-ligne-ouverture-dune-consultation-publique-sur-le-projet-de



L’appel à commentaires est ouvert jusqu’au 01/01/2023.

Le 06/12/2022 à 08h 32

La CNIL a profité de cette vente pour faire un rappel : la vente aurait pu être légale, à la double réserve :




  • que Camaieu ait demandé lors du recueil le consentement pour retransmettre les coordonnées à d’autres partenaires

  • que l’acheteur informe une première fois les clients figurant dans le fichier avant de les démarcher, à moins que la finalité ait été expressement prévue par Camaieu.



Rien donc d’illégal dans tout çà, mais on ne peut pas faire n’importe quoi.

Le 06/12/2022 à 08h 27


MisterDams a dit:


Dans certains cas, ça peut s’avérer lucratif de donner, par exemple pour rester sous le plafond de l’ISF. Mais évidemment pour la plupart des visiteurs de ce site, l’intérêt est faible.



La base de l’IFI, qui a remplacé l’ISF, est la valeur des biens immobiliers que l’on possède. Faire des dons ne change rien à cette base, et ne permettra jamais de passer sous un plafond quelconque.
Les dons permettent de réduire son impôt, une fois que l’IFI a été calculé


Le 24/10/2022 à 12h 59

“pour qu’ils donnent aux lecteurs l’accès à une quantité limitée de leur contenu payant”



Personnellement, je serai intéressé par un système d’abonnement multiple payant, permettant de consulter “quelques” articles réservés aux abonnés. Je ne vais pas prendre un abonnement sur tous les grands quotidiens généralistes (Le Monde, Le FIgaro, Libé, Les échos, Le Parisien, …) . Pourtant chacun d’entre eux peut avoir à un moment ou à un autre un article que j’ai envie de lire, même en payant. 10 € par mois pour accéder à 5 articles/jour de mon choix tius supports confondus, ce serait super !
Je ne sais pas si c’est à Google News ou à une association d’éditeurs de lancer çà, mais j’achète !

Le 28/09/2022 à 08h 19

“Parcoursup n’utilise pas d’apprentissage machine, mais un algorithme de type Gale-Shapley dédié à l’appariement, dont l’objectif est de trouver la solution optimale face à la multitude de couples de données étudiant-formation”



C’était APB qui utilisait un mécanisme d’appariement en fonction des priorités données par les candidats.
Dans ParcourSup, les candidats ne donnent plus de priorités dans leurs voeux. Dans les universités et les formations, un jury (“commission d’examen des voeux” établit un classement des dossiers. ParcourSup se contente ensuite d’apeller les candidats dans l’ordre des listes de classement (au bémol près du respect du taux de boursiers et de hors académie). Il n’y a donc aucune intelligence artificielle là dedans mais un algorithme d’appel tout simple.
Après, le débat peut se porter sur la façon dont les jurys des établissements classent les dossiers. Depuis l’Article L. 612-3 du code de l’éducation, cité dans les commentaires supra, le COnseil Constitutionnel a obligé les formations à publier leurs critères de classement : https://services.dgesip.fr/T454/S322/examen_des_voeux



J’invite également les curieux sur ce sujet à consulter les rapports du comité d’éthique : https://services.dgesip.fr/T454/S949/comite_ethique_et_scientifique_parcoursup

Le 26/09/2022 à 08h 35

A noter que c’est l’examen du projet par la DINUM, examen obligatoire pour tout projet émanant d’un ministère et supérieur à 5 M€, qui a levé le loup.
Cet examen est censé vérifier que le projet est correctement cadré, correctement budgeté et staffé, mais n’est pas censé regarder s’il respecte les données personnelles ou pas.



Autrement dit, il ne me parait pas admissible que le MINEFI ait pu monter un tel projet sans le soumettre à la CNIL. Dans l’autre sens, je ne comprends pas que la CNIL ne s’autosaisisse pas dès qu’elle entend parler d’une telle initiative.



PS : ne censurez pas Idiogène, c’est un peu de poésie surréaliste dans notre monde si cartésien …

Le 19/09/2022 à 16h 56

Merci pour ces nouvelles.



Une petite suggestion pour développer le bouche à oreille : faire profiter gratuitement (ou à prix négocié) les étudiants du domaine. Une fois recrutés en entreprise, ils seront devenus des lecteurs assidus prêts à s’abonner et à faire s’abonner leurs collègues !



L’idée vient d’une discussion avec un responsable d’un master Droit et Numérique qui me disait qu’il voulait abonner tous les étudiants de son master. Je ne sais plus si c’est NextInpact qui n’avait pas d’offre adaptée ou son comptable qui ne voulait pas, mais bref il avait fini par laisser tomber.
Viser les étudiants c’est d’ailleurs un peu la stratégie adoptée par Microsoft (for Education) et Apple (offres étudiants), prêts à investir pour avoir de futurs clients accros.

Le 13/09/2022 à 08h 03

C’est uniquement du à l’absence de répression.



Les appeleurs et leurs donneurs d’ordre se sentent dans une impunité totale, et c’est vrai que rien ne leur arrive.
Il suffirait que la répression des fraudes en chope une dizaine et que les tribunaux les condamnent à une lourde amende ou à de la prison ferme. Je suis sur que çà ferait réfléchir tous les autres et que ça se calmerait aussitôt. Et face à un faible volume, il serait possible d’éradiquer les derniers.

Le 08/09/2022 à 07h 33

Zut !!! Qui va maintenant nous apporter ces éclaircissements limpides sur tous ces galimatias juridico-politiques ?



Bon vent :smack:

Le 26/08/2022 à 10h 36

Les lecteurs curieux auront noté que la société qui commercialise cette solution est à Lancaster, PA.
Pour ceux qui connaissent, c’est le pays des Amish.
Pas forcément le coin où on s’attend à trouver ce type de techno …

Le 26/07/2022 à 07h 52

Il y a de gros efforts de coordination entre les 29 CNIL européennes pour que l’application de la règlementation soit partout la même : https://ec.europa.eu/newsroom/article29/items/612052/en



Il est dommage que cette jurisprudence ait été prise au niveau du village gaulois et non au niveau de l’EDPB.

Le 20/07/2022 à 13h 23


ungars a dit:


La Police est débordée, pour ça comme pour le reste. Quant à la Justice, autant la faire soi-même.
Le bloc numéro 097107 a été attribué à BICS le 08/12/2016 par décision de l’Autorité n° 16-1644 Adresse postale : BICS RUE J. LEBEAU 4 1000 BRUXELLES - BELGIQUE


Perso, je n’ai jamais compris comment la police arrivait à ne pas identifier le propriétaire du numéro (et du compte en banque qui reçoit l’argent). Ca semble pas vraiment compliqué, en tous cas plus facile que d’identifiant le brouteur ivoirien qui passe par un VPN. En plus depuis quelques années, les forces de l’ordre ont toute latitude pour opérer sous identité virtuelle et se faire passer pour un internaute peu aguerri.
A mon humble avis, quelques copies d’écran et quelques enregistrement faits par un officier assermenté, une bonne condamnation, et il suffit de le faire savoir pour le premier pour que les arnaqueurs suivants s’arrêtent d’eux même.
Mais que fait la police :cartonrouge: ?

Le 24/06/2022 à 10h 47

Je rajouterai également dans cette liste la députée de la Drôme, Mireille Clapot (LREM), réélue. Ingénieur de formation, elle est (était ?) présidente de la Commission Supérieure du Numérique et des Postes.

Le 03/06/2022 à 13h 27

Pour les puristes, c’est bien un article sur le digital et pas sur le numérique :francais:

Le 11/05/2022 à 13h 22

Je suis consterné par le manque d’intérêt des commentaires, totalement hors sujet. Il ne s’agit pas de savoir entre les russes ou les US qui est le plus ou le moins méchant (quoique j’ai ma petite idée …).



Les cyberattaques ont en général soit un objectif crapuleux, soit un objectif géopolitique, que la cible soit considérée ou non comme militaire. Dans le cas des attaques à visée géopolitique, la France (en particulier par le biais des déclarations ANSSI) faisait preuve d’une extrême prudence dans les attributions, ce qui pouvait laisser croire que les actions offensives cyber étaient en quelques sorte “permises” puisqu’elles ne généraient aucune réponse sur le plan diplomatique.



Cette déclaration montre un changement de stratégie (de l’Europe, mais on peut légitimement penser que la France ne s’y est pas opposée). Désormais, les attaques pourront être attribuées (en présence de faisceaux d’indices concordants sinon de preuves) et faire l’objet de réponses sur le plan diplomatique / géopolitique.
Un changement majeur.

Le 06/05/2022 à 07h 37

Nouveau venu chez les “Impactiens”, je ne regrette pas mon abonnement

Le 05/04/2022 à 17h 32

Free a adopté la même politique (inclusion d’un bouquet de service Presse lui apportant une optimisation fiscale de TVA).
Un redressement en perspective ?