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707 commentaires

Le 17/06/2019 à 10h 03

Suite à votre déclaration de vol, vous recevrez votre nouveau pouce sous dix jours.

Le 14/06/2019 à 08h 57







fred42 a écrit :



Perso, j’aimerais bien pouvoir exprimer mon désaccord dès cette phase, mais la constitution ne me le permet pas, on ne peut compter que ceux qui sont pour.





Du coup ça serait un référendum (pour / contre).



Moi aussi je serais pour que ce soit comme ça. Là on va avoir du mal à atteindre les 10%, alors&nbsp; que si c’était un pour/contre le projet de privatisation serait enterré <img data-src=" />


Le 12/06/2019 à 16h 37







Vanilys a écrit :



On pourrait pas interdire les véhicules (voitures / scooters / motos) en ville, plutôt (sauf exceptions: ambulances, livraisons etc..) ?





Même avec des dérogations régulièrement accordées (déménagements, départs en vacance etc.), la disparition des SUVs utilisés pour déplacer un trentenaire en pleine forme sur 800m sera déjà un gros progrès <img data-src=" />


Le 12/06/2019 à 15h 54

Perso je suis très favorable aux trotinettes.



&nbsp;Mais à condition d’interdire les voitures <img data-src=" />

Le 11/06/2019 à 16h 07







Tandhruil a écrit :



C’est bien connu, les patrons sont tous des méchants exploiteurs et les employés d’innocentes victimes. Dans toutes les entreprises les rapports hiérarchiques sont basés uniquement sur la lutte des classes.



La lutte des classes (seul modèle existant pour l’instant) ne concerne pas les rapports hiérarchiques. Ton n+1, à part si c’est le proprio de l’entreprise, est aussi un prolétaire.



Pour te retourner la pareille tu connais beaucoup de boîtes qui prennent volontairement le risque de se faire baiser par leurs employés? Pourquoi ceux-ci ne prendraient-ils pas les mêmes précautions?


Le 11/06/2019 à 15h 35







Tandhruil a écrit :



Et les antipyrétiques c’est pour faire peur aux oiseaux ou c’est sensé faire baisser la fièvre ?



Si l’arrêt n’a pas été transmis à la sécurité sociale tu ne fais courir aucun risque à l’entreprise et rien ne t’empêche d’accepter l’arrêt avant négociation.





Pour la grippe je ne sais pas ce que c’est cette histoire d’antipyrétiques, la plupart des gens se retrouvent avec 3 ou 4 jours de fièvre… Le paracétamol ne fait que la rendre supportable.



Et je ne vois pas trop comment mettre en place le télétravail en toute sécurité… Si l’employeur déclare un abandon de poste il n’y a plus de recours, s’il y a sur-accident c’est aussi pour la pomme de l’employé… A part en signant un avenant au contrat? en moins de 48h?


Le 11/06/2019 à 09h 26

Est-ce que l’arrêt maladie sera télétransmis à Uber ou Deliveroo quand un livreur sera blessé ou malade? <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 07h 59

Du coup grâce à la 5G on pourra consulter la météo partout et avec des jolis cartes animées en 4k, mais elle sera fausse <img data-src=" />

Le 06/06/2019 à 15h 22

Mais à ce niveau là ce n’est plus à une autorité de régulation de faire quelque chose. Tant que les décideurs de la boîte ne risquent pas la prison, pas d’espoir d’amélioration…

Le 05/06/2019 à 14h 13







alex.d. a écrit :



Ils ont signé un contrat, qui ne prévoyait sans doute pas la rediffusion sur youtube. Mais au moment de mettre en ligne, ils avaient peut-être oublié le fragment en question (quelle durée fait-il ?), d’où le strike.





Quand je bossais en ciné/tv, il y avait une étape “clearer les droits”, en tant que technicien son je remontais tout ce qui faisait partie du truc final, et côté image ils faisaient pareil. Les histoires de droits étaient prises en compte dans toutes les discussions. (attention, si on fait ci gnagnagna…)

Le pire étant le “joyeux anniversaire” qui n’est libre que depuis très peu de temps.

On cherchait souvent des interprétations libres ou moins chères que les versions de Gould pour Bach par exemple.

Et les contrats étaient aux petits oignons, car une musique en générique est pas négocié au même prix, suivant la volonté de l’artiste on a le droit ou pas de monter dans une chanson….



Au final, les producteurs sont déjà rompus à ces exercices. Ce que je n’aime pas dans ce qui se prépare ce sont les faux positifs, les censures “dans le doute” (genre citation légale), les abus sûrement à venir de sociétés de gestion de droits. Les pro/gros peuvent affronter ce règlement sans peine.


Le 05/06/2019 à 12h 40







wanou2 a écrit :



&nbsp;

Non c’est la faute à une règlementation complètement conne.





On est d’accord sur le fonctionnement des algos et la loi sur le non-filtrage qui est en fait un filtrage.



Mais là on est dans le cas ou PBS refuse la diffusion sur Youtube et Arte la veut, ils n’ont qu’à lire leur contrat non?


Le 05/06/2019 à 12h 20







wanou2 a écrit :



&nbsp;



C’est un programme coproduit par Arte ET PBS





Donc Arte est pas capable de se mettre d’accord avec son coproducteur? Et c’est la faute à Youtube?


Le 05/06/2019 à 11h 14







alex.d. a écrit :



Utiliser ses propres sources, c’est bien, mais Arte n’existait pas en 1989, donc je ne vois pas comment ils pourraient avoir leurs propres sources sur Tiananmen.





Bah du coup ils signent un contrat avec le proprio de la source hein. On n’a pas attendu Youtube ou même Internet pour avoir ce genre de problématiques (rencontré dans des configs radio/musique/cinéma), l’usager d’une œuvre n’en dispose pas librement. Ils peuvent aussi retirer les extraits pour certains canaux de diffusion.



Une précision quand même, ça ne justifie pas à mes yeux les algos de filtrage qui vont être mis en place, et ça ouvre aussi un débat sur le fait que certains documents devraient être libres au nom de l’intérêt public. (comme certains brevets, médocs etc.) Après, je ne trouve pas dans l’article le détail des extraits concernés par la réclamation.

Et je ne trouve pas PBS particulièrement sympathique au premier abord non plus <img data-src=" />


Le 05/06/2019 à 09h 44

Présenté comme ça je vois pas trop le problème…?

Si Arte utilise du contenu copyrithé ça ne lui donne pas les droits pour le rediffuser ailleurs.



La meilleure résistance au copyright c’est d’utiliser ses propres sources ou du libre…

Le 04/06/2019 à 08h 11

Des trucs que je comprends pas:

Cet accord pourra être retiré «&nbsp;à tout moment&nbsp;», ce qui signifie qu’il sera possible de ré-opter pour sa carte Vitale traditionnelle.+

&nbsp; Le décret précise en outre que l’application pour smartphone ne s’utilisera qu’en «&nbsp;complément&nbsp;» de la carte Vitale.



C’est un complément ou un choix? Que signifie ré-opter pour sa carte Vitale traditionnelle si la carte traditionnelle fonctionne toujours en parallèle?



Et là???



&nbsp;D’autre part, l’application se présente comme une sorte d’avatar de la carte Vitale&nbsp;: elle permet de regrouper éventuellement sa carte et celles de ses enfants, Euh… Les enfants ont une carte vitale? Le mien est inscrit sur ma carte et celle de sa mère, l’application ne fait que reproduire ce comportement non? En quoi il y a regroupement?

Le 03/06/2019 à 09h 21







Kevsler a écrit :



Pour ma part c’est pour des considérations écologiques. <img data-src=" />



Popopo.

Les vrais écolos vont aux quatre coins de la planète pour admirer les zones préservées et revenir pleins de sagesse.





<img data-src=" />


Le 03/06/2019 à 09h 18

Ce serait tellement plus simple s’il était obligatoire de posséder un (et un seul) compte facebook à son nom. En le croisant avec les données médicales et les listes électorales on résoudrait tellement de problèmes!

Le 01/06/2019 à 21h 31







OB a écrit :



Je pense que si, une fois fini, tu pouvais avec une machine dupliquer ce meuble à l’identique pour un coût presque nul, ce meuble “appartiendrait à l’humanité” lui aussi .





Ah mais je ne dis pas que ce ne serait pas formidable hein, la musique, les films, les bouquins à volonté, les articles de NXI en libre accès, tous les softs gratos, tous les dessins et photos libres de droits.

Faut juste vite mettre en place le revenu universel <img data-src=" />


Le 29/05/2019 à 14h 07







BlueTemplar a écrit :



Il n’est pas du tout certain que le droit d’auteur puisse être assimilé à un droit de propriété. (Et ce n’est pas pour rien que ce soit les ayants droit qui aient inventé le terme “propriété intellectuelle”.)





Oui c’est la beauté du matérialisme.

Tu fabriques un meuble, tu peux le vendre.

Tu écris une chanson, elle appartient à l’humanité.


Le 29/05/2019 à 08h 53







Kevsler a écrit :



Y’a une nuance entre respecter la loi et faire respecter la loi. C’est, je pense, l’objet de la discorde, là.





Oui pas faux <img data-src=" />





Cela dit ce serait un terrain dangereux, encourageant une loi punissant la présence de contenu illégal sur un réseau. Ou l’obligation des FAI de faire passer leur réseau par une boîte noire administrative <img data-src=" />


Le 29/05/2019 à 07h 52

En même temps, entreprises comme particuliers ont sans cesse des dépenses destinées à respecter la loi…



Là on est sur un sujet un peu pénible avec les sociétés de droit d’auteur, mais les normes anti-incendie, le contrôle technique des bagnoles, la salubrité des logements loués etc. ce sont des atteintes à la liberté, de propriété, d’entreprendre etc. si on va par là.



(Et puis bonne chance à ceux qui vont défendre le droit de propriété en excluant celui des ayant droit)

Le 29/05/2019 à 14h 04







hurd a écrit :



la question que je pose c’est pas ça, c’est la justification légale actuelle. Le domaine public ça à un sens.



Je trouve que c’est inséparable.

Si y’a pas de sous, les œuvres restent dans un coffre en sous sol du ministère de la culture, elles sont du domaine public mais personne ne veut payer pour les entretenir ou les exposer.

A partir du moment où on demande à ce qu’une prestation soit effectuée, comme l’ouverture de salles pour le public etc., faut passer à la caisse.



Le budget de la culture est en baisse, la tendance politique est au repli sur l’économie à la défaveur des libertés et de l’éducation… On a beau exiger la culture pour tous, les musées peuvent pas cueillir d’argent magique.


Le 29/05/2019 à 13h 04







tpeg5stan a écrit :



Images qui sont des reproductions fidèles d’œuvres du domaine public, donc sans originalité créatrice, donc dans le domaine public ?



Moi aussi je sais récupérer des bouquins du domaine public, changer la couverture avec Calibre et le vendre en ebook sur amazon pour me faire des sous, ça reste une méthode de minable.





Conserver et restaurer des œuvres, les photographier, classer et archiver, mettre à disposition, c’est du boulot.



Mais surtout, tu es pour quel modèle éco pour les musées: taxes, pubs entre deux tableaux, entrée à 50€?

(un impôt sur les flux financiers ça pourrait être sympa, mais c’est pas l’administration du Louvre qui décide ce genre de choses)


Le 29/05/2019 à 11h 39







hurd a écrit :



c’est quoi qui justifie “non commercial purpose only” pour des oeuvre du domaine public ?

Le droit d’auteur sur les cadre ? L’éclairage ? sur la restauration ?





Il y a un équilibre à trouver. Une énorme part du budget des musées nationaux français provient de la vente des images des œuvres de ces musées. Et trois musées sont bénéficiaires pour tous les autres.



On peut retirer tout commerce de ces lieux de culture, libérer totalement l’accès et les photos. Mais il faudra augmenter les impôts, ou faire plus de partenariats avec airBnB, fermer les petits musées… Perso je suis pour la solution des impôts, mais c’est pas à la mode.


Le 24/05/2019 à 07h 44







Soriatane a écrit :



J’ai une question:

Un journaliste a-t-il été condamné pour cela en France?

Pour l’instant, c’est juste de l’intimidation (ce n’en ai guère pas plus acceptable).





Le but et le danger ne sont pas la condamnation.

L’objectif c’est l’autocensure et le découragement. Ça a le même impact tout en permettant d’avoir une liberté de la presse en vitrine.


Le 23/05/2019 à 14h 07

Je crois que tu n’as pas suivi la discussion,

Ce qui est infantilisant et transforme certains journalistes en rédacteurs, c’est de demander, (voire d’exiger) une relecture.

Sinon on est d’accord, un travailleur consciencieux peut revenir vers l’interviewé pour une confirmation ou une vérification.



Et parfois c’est infantilisant pour l’interviewé, quand c’est le service comm de sa boîte qui demande à relire. Ça donne généralement un résultat tout plat et inintéressant, puisque la relation humaine est transformée en éléments de langage. Mais bon ça permet de virer les blagues sur les kwassa kwassa <img data-src=" />

Le 23/05/2019 à 07h 46







fred42 a écrit :



Mais c’est incroyable ça, pourquoi faut-il que cela passe systématiquement par une relecture infantilisante?

Vérifier une information et recouper les sources c’est la base du métier de journaliste, mais il n’y a jamais eu besoin de relecture pour ça…

D’autant que le principal concerné dans un article n’est pas toujours le meilleur placé pour l’objectivité, donc il faudrait faire relire aussi aux partis opposés/entreprises concurrentes… Bref, publier l’article <img data-src=" />


Le 22/05/2019 à 16h 54







wagaf a écrit :



l’opposé de toi: celle qui ne confond pas sa petite vérité et l’expression de l’interviewé.





Ah on passe aux attaques persos, je décline.

&nbsp;

&nbsp;

&nbsp;


Le 22/05/2019 à 15h 08







wagaf a écrit :



Si on sort du cadre politique, non, il ne sait pas le faire, en tout cas pas quand l’interviewé est aussi annonceur dans son média. Ou alors son rédac chef va s’empresser de le lui rappeler. Et parfois il reçoit même un coup de fil de la boîte directement.



On a la presse qu’on mérite.


Le 22/05/2019 à 15h 05







wagaf a écrit :



Tu serais surpris du nombre de journalistes incompétents et du nombre d’articles qui déforment complètement les propos et les idées (parfois en fonction des biais idéologiques et des préjugés du journalistes, parfois par simple ignorance).



Ok. Donc il ne faut pas faire confiance à la presse.

Par contre ce que disent les politiques est d’or. La preuve: Si Castaner avait relu les articles le citant à propos de l’attaque de la Salpêtrière il aurait de suite fait corriger ces erreurs. <img data-src=" />


Le 22/05/2019 à 14h 37







wagaf a écrit :



Dans mon expérience c’est justement le journaliste qui le demande par sens professionnel, étant conscient qu’il n’est pas forcément spécialiste dans tous les domaines ni au courant de tous les dossiers.





Ton xp n’est pas celle des journalistes à qui les services comm des grosses boîtes demandent à relire les papiers dans lesquelles ils apparaissent <img data-src=" />

Et là c’est l’Élysée qui demande.

&nbsp;





wagaf a écrit :



Oui, ça s’appelle la relecture&nbsp;<img data-src=" />



Il y a une différence entre demander une précision et&nbsp; envoyer un papier pour validation. Ne serait-ce qu’au niveau du principe.


Le 22/05/2019 à 14h 14







wagaf a écrit :



Bien sur que non, une relecture n’est pas une réécriture et rien n’oblige le journaliste à prendre en compte les modifications suggérées.



Le journalisme, c’est informer honnêtement les lecteurs, pas les induire en erreur en transformant des propos..





Donc on est d’accord, il n’y a aucune raison de demander une relecture. Ça signifierait émettre un doute préalable sur la capacité du journaliste à retranscrire les propos.

En revanche un journaliste qui a un doute sur une tournure, un raccourci ou un détail technique vérifiera auprès de l’interviewé, ça c’est normal ça fait partie du boulot.


Le 22/05/2019 à 13h 23







wagaf a écrit :



J’ai déjà été interviewé dans un contexte professionnel et on m’a toujours spontanément invité à relire la version éditée, juste une question d’honnêteté intellectuelle et de respect envers la personne interviewée dont on a librement retravaillé les propos.



Le but d’une interview n’est pas de piéger mais de donner la parole à quelqu’un pour permettre au public de comprendre son point de vue..





Que tu trouves ça chouette du côté interviewé, c’est normal, c’est fait pour.

Que les journalistes quittent le métier pour laisser leur place à des jeunes communicants sans conscience ni éthique en est la conséquence.



Ce que tu dis exclut d’emblée toute question gênante ou sur un sujet difficile. C’est pas du journalisme, c’est du communiqué de presse.


Le 22/05/2019 à 12h 30







OlivierJ a écrit :



Faire relire une interview, ça se fait et pas que pour des membres du gouvernement ou la présidence.





Et je le redis, ça se fait EN FRANCE. On a une drôle de relation à la presse ici.

Et c’est pas parce que ça se fait que c’est tolérable.

Et effectivement des services comm de boîtes privées se permettent aussi de demander la relecture et parfois d’ajouter des trucs (le plus absurde que j’ai vu étant “xxx, leader du secteur”) et ils se permettent même de dire “sinon on autorise pas la publication”. (au nom de quoi on ne sait pas)



Bref, les gens dont on parle dans les journaux ne supportent pas que ces journaux ne soient pas leur blog personnel. Ils n’ont qu’à les ignorer et se contenter de poster sur twitter.


Le 22/05/2019 à 10h 20







OlivierJ a écrit :



Pourquoi généraliser à “les politiques” et “les journalistes” ?

Il y a tellement de différence entre eux… Entre ceux qui parmi les premiers racontent peu de bêtises, et ceux qui parmi les deuxièmes font honorablement leur travail, sans fanfaronner.

Ce n’est pas parce que certains trains arrivent en retard qu’on peut dire que tous les trains arrivent en retard.



Si on considère qu’il est normal que l’Élysée relise les articles avant publication, c’est bien qu’on juge les gens au pouvoir plus compétents que les journalistes pour communiquer la vérité non?


Le 22/05/2019 à 07h 57







wagaf a écrit :



Il est donc d’usage qu’ils relisent l’interview éditée avant la publication..





C’ est d’usage en France, où la presse perd de la crédibilité chaque année. Autant envoyer des communiqués prérédigés directement aux journaux accrédités.

De plus le cas Castaner montre bien que les responsables politiques ne savent pas plus ce qu’ils disent que les journalistes.


Le 21/05/2019 à 15h 24







wagaf a écrit :



&nbsp;il suffit de voir comme ils parlent des media





Genre l’Élysée qui veut relire les articles avant publication? <img data-src=" />


Le 21/05/2019 à 15h 19

Il parait que cette loi est une LU.

Le 22/05/2019 à 08h 27







Nerg34 a écrit :



La transparence “forcée et imposée” ne marchera pas… Il faut déjà commencer par se servir de notre bulletin de vote.





Voter sans transparence, c’est un peu idiot non?


Le 21/05/2019 à 14h 41







Meptalon a écrit :



Comme j’ai aussi ma carte bancaire en NFC sur mon portable je peux utiliser ça aussi. Au pire, j’ai plusieurs cartes bancaires.



Oui en fait ça revient à peu près au même en terme de dépannage c’est vrai.

Mais on pourra plus faire des pliages.


Le 21/05/2019 à 14h 39







Squallinou a écrit :



Ca marchera avec mon Huawei d’ici septembre ? <img data-src=" />





Votre souhait a bien été enregistré sur la plate-forme ParcourSup <img data-src=" />


Le 21/05/2019 à 13h 40







Meptalon a écrit :



Ici à Londre, tu t’achète une carte (Oystrer pour ceux aui veulent savoir si vous voyagez), et tu peux la recharger comme tu veux. Sinon, n’importe quelle carte bleue avec paiement sans contact marche aussi. C’est tellement plus pratique que les tiquets et autres navigos…





C’est clair que ça simplifie la vie dans plein de cas.



Mais je te donne un exemple: J’ai deux tickets sur moi et je prends le métro avec mon fils: pas de problème.

Tu as deux tickets sur ta carte et tu prends le métro avec ton fils -&gt; ???



Ce n’est pas un exemple recherché, on fait souvent ça dans la famille.


Le 20/05/2019 à 14h 00

A ceux qui ont testé dans les villes où ça fonctionne comment ça se passe en cas de bug/contestation?



Parfois mon Navigo bip mais la porte ne s’ouvre pas, et je dois attendre 8mn (je crois) pour tenter de repasser ou passer au guichet pour reseter le machin.

Avec des tickets décomptés il se passe quoi? A chaque fois ça risque de compter un ticket?



Et si on est deux et qu. un des deux possède deux tickets? Avant -&gt; on partage les tickets, maintenant -&gt; chacun pour soi? Un peu dommage <img data-src=" />

Le 20/05/2019 à 09h 50







Charly32 a écrit :



Je comprend pas pourquoi la possibilité de dématérialisation des tickets dans le pass navigo n’a pas été prévue dès le départ.



+1



Par contre la démat passant par le smartphone je trouve que c’est une connerie. Il est déjà pénible de se voir imposer ça avec la sncf pour certains trucs, mais là c’est encore mieux, un bel encouragement à équiper les enfants dès le plus jeune âge…


Le 16/05/2019 à 11h 38







guino a écrit :



Compromis liberté / sécurité , nous devons nous permettre d’en discuter&nbsp; pour éventuellement le réévaluer en fonction du contexte.&nbsp;

&nbsp;



Problème, les seuls à même d’évaluer le contexte sont les organismes de renseignement, justement ceux intéressés par les données <img data-src=" />



Et puis c’est marrant, la reévaluation se fait toujours dans le même sens. On détruit pas souvent des fichiers parce que la menace est en baisse…


Le 15/05/2019 à 13h 33

On approche doucement du fichage et traçage de toute la population, arguant que 100% des criminels sont issus de celle-ci…

Le 14/05/2019 à 10h 02

Disons que c’est le dilemme du marchand d’arme…

Le 14/05/2019 à 09h 36







hellmut a écrit :



Comme chaque gouvernement a sa définition propre du crime et du terrorisme, c’est assez pratique en effet.





J’allais citer le même passage. J’aimerais qu’on m’explique aussi comment on lutte contre le crime sans cibler une personne ou une organisation… Soit la techno est inutile, soit elle est faite pour cibler des personnes et des organisations <img data-src=" />


Le 24/04/2019 à 11h 41







tiret a écrit :



Pour le coup je trouve que c’est une très bonne idée, et ne vois pas d’éventuel problème côté flicage.





Les problèmes côté flicage ils arrivent quand on réunit plein de fichiers “peu sensibles” et qu’on les met à disposition de toujours plus de gens.



Pour l’instant on va vers une augmentation de ce genre d’aggrégats/changements de destination des fichiers, ce n’est pas engageant.



Moi je m’en fous j’ai pas de bagnole <img data-src=" />


Le 19/04/2019 à 12h 05







OB a écrit :



C’est un choix de société, la manière de vivre ensemble en ville, et à mon avis il faut un débat sur la question à laquelle les habitants participent, plutôt que de vouloir à tout prix imposer sa vision.

On ne veux plus de voitures en ville, pourtant il y en a encore beaucoup ! Ca prouve bien qu’à un moment, les gens disent qu’ils veulent un truc et font l’inverse.





Heu.

&nbsp;“On”, “les gens” ce ne sont pas une seule voix.



Je connais des gens qui sont contre la voiture en ville et n’en ont pas, et d’autres qui sont pour et en ont. Aucune contradiction là dedans.