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fdorin

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2757 commentaires

Le 15/06/2021 à 12h 12


(reply:1879836:skankhunt42 )


Et les gens, ça se fait pas de piquer mes répliques :humour:



Nan sérieux, allez y. Il n’y a pas de copyright dessus :francais:

Le 15/06/2021 à 08h 53


(quote:1879815:skankhunt42 )
Contenu pirate ou pas à la fin de la journée c’est la même chose, certains médias sont taxés alors qu’ils ne sont pas adaptés en terme de taille ou de praticité. D’ailleurs il faudrait aussi prendre en compte la praticité de ladite copie.


Je suis d’accord. Mais dans les études d’usages, seul l’origine légale doit être prise en compte. En pratique, ça ne change rien, car si Copie France s’est fait annulé un barême pour ce motif par le passé, un magique hasard a fait que le nouveau barème corrigé était égale à l’ancien :best:




Bon après je n’aborderais même pas le fait que maintenant la plupart des gens sont passés au streaming et que cette mémoire n’est donc plus utilisée à des fin de stockage sur le long terme.


Tout à fait. D’où aussi ma remarque sur les disquettes 3” 12. Le barème actuel (cf. section Supports d’enregistrement numériques amovibles) indique une RCP de 0,015€ / disquette.



Ce support de stockage est complètement délaissé pour ne pas dire “abandonné”. Et il est très difficile d’acheter des disquettes neuves. Je ne parle même pas d’un lecteur de disquette neuf (en occasion, ça reste faisable). Pourtant… il y a un barème dessus !



Même dans le cas, tellement improbable que j’ai plus de chance de gagner au loto, qu’une personne avait un ordinateur avec un lecteur de disquette, je vois mal une personne sensée copier de la musique sur ce type de support (à part du MIDI peut être !), car à 3 ou 4 disquettes par morceau (pour du MP3), la moindre des choses que l’on puisse dire, c’est que c’est loin d’être pratique !!



Et pourtant… avec leurs études d’usage, ils y arrivent… Ils sont très fort…

Le 15/06/2021 à 08h 13

@McKenzie



Toujours pour finir, il va falloir m’expliquer aussi comment, en 2021, on en arrive à payer de la RCP sur des disquettes 3’ 12. Les études d’usages peut être ?

Le 15/06/2021 à 08h 08


(quote:1879798:skankhunt42 )
Tu connais très bien la réponse :



C’est impossible actuellement de certifier que tu n’en fera que cette utilisation. Tu pourrais très bien utiliser tes cartes mémoire sur ton smartphone et y lire du contenu pirate est stocké dessus.


Ah non ! Le contenu piraté n’est pas pris en compte. Seul le contenu acquis légalement l’est :cap:

Le 15/06/2021 à 08h 06


Mckenzie a dit:



Mais la encore, je ne vois pas ce qu’il y a de si hallucinant : en permanence vous payez des taxes


Juste une chose : pourquoi les professionnels (pourtant non redevable de la RCP) la paie ? Et pourquoi est-ce si compliqué de se faire rembourser ?



Aujourd’hui, rare sont ceux qui achètent des DVD vierges pour graver de la musique ou des films dessus. Pourtant, en France, si j’achète un pack de 100 DVD pour 166,62€ HT, c’est 0,90€ HT par DVD, soit… 90 € de RCP ! Près de 55% de RCP !!! Il y a 15 ans je dis pas, mais aujourd’hui, les usages ont bien changé (notamment avec le streaming et la VOD)



Les DVD restent pourtant un bon moyen de stockage offline. Pourquoi est-ce autant pénalisé ?




Mais la encore, je ne vois pas ce qu’il y a de si hallucinant : en permanence vous payez des taxes pour rémunérer des gens au RSA qui ne glandent rien, des cotisations retraites de retraités décédés depuis 15 ans, des impôts locaux qui vont financer des marchés publics bidonnés par les maires que vous avez élu on a nombre d’exemples et lorsque vous parlez de l’état comme d’un organisme qui serait totalement impartial et hyper bien géré.. je me marre ! Regardez toutes les magouilles des mairies, regardez comment « votre » état a géré la crise du COVID;regardez ce qu’on fait avec votre fric c’est à dire n’importe quoi : la france championne du monde ou d’Europe en % de prélèvements obligatoires et impôts pour une crise du covid hyper mal gérée, un hôpital a bout de souffle, l’école public ou le niveau s’effondre … bref je m’éparpille, mais si il fallait faire gérer le droit d’auteur par l’état! 😂😂😂


Ca fait un peu argument du désespoir : pourquoi vous nous enquiquinez avec la RCP alors que c’est bien pire ailleurs ? On parle dans cet article de la RCP, restons sur la RCP. Comment l’argent est ponctionné et utilisé ailleurs est hors sujet.

Le 15/06/2021 à 07h 44


fofo9012 a dit:


C’est un peu hors sujet, mais thunderbird gère parfaitement l’envoi de lien à la place des pièces jointes : c’est gratuit, très facile d’utilisation et sauve des tonnes de CO2 en stockage et échange de documents.


Je repose la question, même si elle a déjà été posée par CryoGen et Mihashi : et où sont stockées les pièces jointes ? Sur un serveur tiers. Encore un acteur supplémentaire…



Et quid de la conservation ? De la durée ? De la pérénité ? Beaucoup d’autres questions sont soulevées.




La PJ est stocké une fois et télécharger uniquement à la demande, alors que dans un mail les pj sont dupliquées pour chaque réceptionnaire, et surtout blinde les boites de destination rendant long la synchro des mails et quasi impossible l’utilisation de mails sur un mobile.


Et ça rend tributaire l’accès aux pièces jointes d’une connexion internet. Sans connexion… plus de pièces jointes. Ce n’est pas parce qu’aujourd’hui on est “hyperconnecté” que c’est le cas de tout le monde tout le temps.




Autre avantage du lien au lieu de la pièce jointe quand tu transfère c’est instantané sans jamais oublié la pièce-jointe. :)


Mouais, dans le domaine de la santé, on évite généralement de faire un simple transfert de mail ;)




Et si c’est le cas c’est une catastrophe écologique !


Le professionnel de santé n’est pas la pour faire de l’écologie, il est là pour soigner. Si tu veux parler d’écologie, alors la véritable plaie, c’est la manière dont NOUS utilisateur, gérons cela. Garder l’historique des mails pendant 20 ans n’a souvent guère de sens.



Si tu veux aborder le coup écologique de la transmission des données, avant de s’attaquer aux mails, il faudrait peut être voir du côté des plateformes de vidéo en ligne (youtube, netflix, …) qui ont un besoin sans commune mesure avec le reste. Même le spam (représentant pourtant plus de 50% du traffic des mails) est négligeable à côté !

Le 15/06/2021 à 06h 34

ouai et en parlant de discussion y en a encore masse qu’y n’utilise pas la messagerie sécurisée pour les données, toujours gmail et ça des années après sa mise en oeuvre . .. . il a bon dos le RGPD et les trucs de CNIL

M’en parle pas…



Après, dans un sens, je comprends les médecins (attention, les comprendre ne signifie pas les excuser) sur ce choix. GMail fonctionne très bien et a peu de limitation par rapport à certains opérateurs MSS.



GMail, c’est 15Go gratuit, une taille d’envoi d’e-mail très importante (25Mo je crois). Un fonctionnement quasiment sans problème (et très vite résolu quand il y en a).



Je gère un applicatif qui utilise la MSS pour communiquer avec des SIH (Systèmes d’Information Hospitalier). On est limité à 2Go (et encore, parce que la boite mail est une boite applicative). Je ne me suis jamais soucié de la taille des pièces jointes car elles sont toujours assez restreinte (quelques 100ko au plus).



Quand on échange des données de santé (ce qui, pour un médecin, arrive souvent), une de ces 2 limites peut très vite être atteinte !



De plus, depuis ce début de l’année, 2 pannes de messageries, … à chaque fois détecté et remonté par mes soins à l’opérateur ! La première à tout de même durée près 3 semaines, où un mail avait au final une chance sur 2 d’arriver à destination ! La seconde fois, les mails ne partaient plus (bien accepté par le serveur SMTP, mais il ne les envoyait pas ensuite aux destinataires). C’est dingue le temps que ça m’a pris (surtout la première panne).



Si j’avais utilisé GMail, j’avoue que j’aurais économisé beaucoup de temps et d’énergie :D



Alors bien sûr, cela ne reflète qu’un seul opérateur MSS (donc ne jetons pas la pierre à tous les opérateurs), mais je me place aussi du côté du médecin : il est là pour prendre en charge ses patients, pas pour faire de la hotline et vérifier que ses mails sont bien reçus et qu’il reçoit bien ceux qui doivent arriver.



Après, il y a le côté légal et obligation de sécurisation, où la, c’est MSS sans discussion…

Le 14/06/2021 à 10h 54


Citan666 a dit:


Et ça il n’y a aucune raison pour que ça pose problème à l’autorité : c’est juste respecter des conventions, par essence ils savent faire. Ils n’ont donc à peu près rien à faire de particulier de leur côté.


Oula ! Ne jamais sous-estimer le poids de la bureaucratie et des décisions politiques. Même des décisions en apparence simple… Sans oublier la résistance aux changements des utilisateurs.



Soit les mails sont automatisés, et dans ce cas, il faut faire intervenir les équipes techniques. Soit le mail est manuel, et les utilisateurs n’auront pas spécialement envie d’utiliser un template même tout fait !



Qui plus est, avant de passer sur ce genre de chose, un scan des mails qui proviennent d’un destinataire pourrait être mis en place. A condition que l’autorité n’envoie que des e-mails concernant des contenus à retirer…

Le 14/06/2021 à 09h 38


Citan666 a dit:


En d’autres termes, à partir du moment où ils peuvent considérer cete autorité Canadienne comme un tiers de confiance (et à mon sens ce devrait être le cas), ça ne leur coûterait sans doute pas plus de 5-8 jours / homme dans le pire du pire des cas pour mettre en place une simple page web bien sécurisée (au sens bien réservée à l’autorité) avec un champ de saisie où l’intervenant pose son bloc d’urls puis un retraitement pour découper en tableau puis le dépiler pour aller supprimer les entrées, et enfin propager l’information “lot traité” par retour de page ou mail ou whatever…


C’est qu’il faut que les 2 parties se mettent d’accord sur le moyen d’échange à utiliser. Si l’autorité Canadienne dit “moi je continue d’envoyer des mails”, Free peut faire ce qu’il veut, cela ne servira à rien.



Pour avoir mis en place des échanges entre acteurs dans le domaine de la santé, parfois ça prend quelques jours (discussions pour savoir si on le fait et la réalisation technique incluse), parfois… près de 2 ans ! Et pour la même chose ! Il n’y a pas que le paramètre technique à prendre en compte dans ce genre de chose… il y a l’aspect politique et juridique.

Le 09/06/2021 à 09h 47


Citan666 a dit:


Quitte à dépenser du temps et de l’argent pour ça, n ‘aurait-il pas mieux valu créer un mécanisme fiscal ou d’aide pour les libraires afin de les aider à assumer les coûts de livraison ?



Je propose une dîme sur les cahiers de texte, de brouillon, bloc note, etc… car bon, dessus, on peut écrire ce que l’on veut, et potentiellement faire une copie de ce qu’on lit… cela tue le livre.



:pastaper:

Le 09/06/2021 à 08h 42

Comment augmenter de manière significative la marge des géants comme Amazon ? Maintenant, vous savez !

Le 08/06/2021 à 06h 29

:vomi1:

Le 07/06/2021 à 15h 19

Pour ma part, j’ai acheté un MacBook Pro en 2017, plus pour le côté matériel que logiciel (vive bootcamp xD).



Si c’est une très bonne machine, je ne renouvellerai pas l’expérience. Un élément indispensable à prendre en compte, c’est la panne. Je n’ai pas eu de bol, mais 1 mois après l’avoir acheté, carte graphique HS. La carte graphique a été changé, non sans avoir laissé pendant 1 mois “la bête” chez un réparateur agréé.



Ah, et comme la carte graphique est soudée à la carte mère, il fallait changer la carte mère aussi. Et comme le disque dur est aussi soudé, il faut changer le disque dur. Bref, tout l’intérieur a été changé. Pour une machine neuve à 4000€, j’ai été très déçu qu’Apple ne procède pas à un remplacement pur et simple de la machine et me laisse un mois sans bécane.



A ajouter à cela que le réparateur le plus proche est à 1h de route minimum de chez moi. Donc, entre le temps de faire la route, de passer chez le réparateur, etc… Il faut compter 1/2j de perdu… pour le déposer, et 1/2j pour récupérer ! Car non, impossible de passer par un transporteur pour un MacBook Pro (pour les iPhones, apparemment oui, c’est possible).



Aujourd’hui, je souffre du clavier papillon. Avec plusieurs lettres fatiguées, notamment le T. Quand je suis sédentaire, j’utilise un clavier USB. Quand je suis nomade, je prends mon mal en patience :fou:



Donc clairement, pour ma part, je ne renouvellerait pas l’expérience, à moins d’avoir peut être un réparateur à 5min de chez moi :francais:



Et l’expérience M1 n’est pas pour moi, dans la mesure où je travaille énormément sous Windows…

Le 07/06/2021 à 15h 01


Soriatane a dit:


Maintenant oui, mais ce n’était pas comme ça initialement, et surtout, cela ne devait pas se passer comme ça. L’idée était bien qu’il n’y ait qu’une seule MSS par professionnel de santé, afin de ne pas se poser de question sur l’adresse à utiliser.



D’autant plus qu’il n’est malheureusement pas rare que l’annuaire RPPS ne soit pas à jour, surtout au niveau des adresses MSS… :accident:

Le 07/06/2021 à 12h 45


Soriatane a dit:


Il existent pourtant une messagerie sécurisée de santé (MSS) mais elle limité en capacité (500 Mo de mémoire).


Malheureusement, il n’existe pas une, mais des messageries de santé. N’importe qui peut devenir opérateur MSS et proposer sa messagerie. Cela fonctionne exactement comme les e-mails, à une différence près : impossible d’envoyer/recevoir un message à/d’une messagerie non MSS.



Bref, c’est un fork des e-mails, avec obligation de sécurisation des transferts (principalement chiffrement, mais aussi authentification).



Un opérateur peut limiter à 500 Mo tandis qu’un autre peut accepter 10Go s’il le souhaite.



Là où par contre, le système est d’une bêtise incroyable, c’est que théoriquement, chaque professionnel de santé n’a qu’une et une seule adresse MSS, qui répertoriée dans l’annuaire national des professionnels de santé (Annuaire RPPS). Sauf qu’en pratique, un professionnel peut avoir une adresse de l’ordre, une adresse institutionnelle (CH, Clinique, …), choisir son propre opérateur de santé (Apicrypt, …) et se retrouver avec plusieurs adresses…. complexifiant les échanges entre confrères.

Le 01/06/2021 à 14h 25


gagaches a dit:


en soi, sans décret, ils n’ont pas de base juridique pour réclamer leur dû. Donc à par une anticipation du décret écrit par le copain, …


L’absence de barèmes sur les biens reconditionnés ne les a pas empêché de lancer des procédures à l’encontre de sociétés de biens reconditionnés ! Alors un décret…. :neutral:

Le 01/06/2021 à 13h 34

Bon, je ne reviendrais pas sur la légitime et le bien fondé de ce la RCP sur le reconditionné, c’est un sujet qui a suffisamment été abordé ici.



Il y a juste une chose qui m’échape :




Les sommes seront prélevées lors du reconditionnement, non à l’occasion de la vente auprès d’une personne physique, seul redevable selon le droit européen.


Qui peut dire où prélever les sommes ? C’est aussi la commission qui décide ? Ou il faut passer par une loi ?



Cette question rejoins un peu ce passage également :




Lors de la réunion ce matin, la Commission Copie Privée a également adopté une définition du bien reconditionné, ce qui permettra aux sociétés de gestion collective d’ouvrir leurs vannes sans attendre le décret destiné à apporter une qualification juridique de cette expression.


En gros, c’est la commission qui décide de ce qu’est un bien reconditionné ? Et si la qualification juridique ne colle pas exactement avec leur définition, que se passe-t-il ?



Bref, la commission ne sort-elle pas légèrement de ces prérogatives ?

Le 27/05/2021 à 08h 16


fofo9012 a dit:


Mais pas du tout ! :) Précédemment la loi locale s’appliquait et c’est un juge qui devait apprécier le caractère légal ou pas de tous les intervenants. Maintenant le RGPD s’applique si le service est rendu en europe peu importe d’où le dev / propriétaire du site est originaire.


Mais pas du tout ! :) (oui, je me permets de te paraphraser :p)



Le RGPD ne vient pas remplacer la loi locale. Il vient en plus de la loi locale. Et depuis le début (avant le RGPD), il y a la responsabilité devant la CNIL et la responsabilité devant la loi. La CNIL peut très bien dire “responsable” et la loi “non responsable”, ou inversement.



Par contre, la responsabilité vis-à-vis de la CNIL ne concerne que les données à caractère personnel.



La différence, par rapport à avant, c’est que le RGPD :




  • a été une uniformisation au niveau européen

  • précise une couverture géographie (en Europe) et extraterritorial (les Européens, comme tu le rappel).



Maintenant, si la boite / le dev n’a rien en Europe (pas de siège social, pas de sous-traitant, etc.), bon courage pour faire appliquer le RGPD :D



La responsabilité du sous-traitant, c’est aussi (et surtout ?) pour pouvoir faire appliquer le RGPD dans le cas où le responsable de traitement serait non-européen et le sous-traitant européen. La, le sous-traitant ne pourrait pas se dédouaner face à la CNIL, mais il peut ensuite se retourner contre son donner d’ordre (mais c’est à lui de gérer ça)

Le 27/05/2021 à 06h 57


fofo9012 a dit:


https://www.cnil.fr/fr/reglement-europeen-sur-la-protection-des-donnees-un-guide-pour-accompagner-les-sous-traitants page 12 Ou encore l’article 82


Merci, je vois mieux à quoi tu fais référence ;)




Si ton client te demande quelque chose d’interdit tu deviens responsable à part égale si tu le fais (précédemment il suffisait de se couvrir avec le devoir de conseil, mais tu ne risquais rien en tant que presta)


Non, je ne suis pas d’accord. Avant, tu étais tout aussi responsable. Le RGPD ne fait que rappeler un fait (en tout cas, en France). Si un presta fait sciemment quelque chose d’illégal, il est également responsable, RGPD ou non.



La différence aujourd’hui repose sur le caractère “état de l’art”, notamment en terme de sécurisation. Avant, un simple devoir de conseil suffisait. Aujourd’hui, la responsabilité du sous-traitant peut (et j’insiste sur le peut) être engagé dans ce cas. J’insiste dessus car le recours à de la sous-traitance ne dédouane pas le responsable de traitement de veiller au grain.



C’est une différence entre faire quelque chose d’illégal et manquer à une obligation. Le premier point à toujours été sanctionné. Le second non.



Il est aussi délicat de savoir ce qui est ou n’est pas illégal lors d’un traitement pour un sous-traitant (et pour le responsable de traitement aussi parfois :mad2: ). Par exemple :




  • l’intérêt légitime peut s’appliquer ?

  • le recueil du consentement de la personne est-il bien recueilli et dans les formes ?

  • la durée de conservation des données est-elle valide ?

  • la quantité de données est-elle bien minimal ?

  • etc…



autant de points qu’un sous-traitant aura du mal à apprécier dans un cadre contractuel.



Maintenant, il faut aussi lire le paragraphe 4 en complément du paragraphe 5 :




Lorsqu’un responsable du traitement ou un sous-traitant a, conformément au paragraphe 4, réparé totalement le dommage subi, il est en droit de réclamer auprès des autres responsables du traitement ou sous-traitants ayant participé au même traitement la part de la réparation correspondant à leur part de responsabilité dans le dommage, conformément aux conditions fixées au paragraphe 2.


Grosso-modo, l’article 82, pris dans sa globalité, signifie que pour une personne ayant subit un dommage, qu’il soit moral ou matériel, suite à un traitement, doit être indemnisé. Qu’importe que ce soit par le sous-traitant, le responsable de traitement, etc qui effectue cette “réparation”… Il doit l’être. Charge ensuite au sous-traitant ou au responsable de traitement, de s’entendre avec les autres parties pour la répartition des responsabilités.



Notons également que dans le cas qui nous concerne ici (les cookies), le RGPD n’indique pas tout. Il prévoit juste que le consentement doit être libre, spécifique, éclairée et univoque. Mais pas grand chose sur le comment le mettre en oeuvre.



Il a fallu attendre juillet 2019 pour avoir un premier guide post RGPD, complété en 2020. Il a donc fallu 4 ans à la CNIL (le RGPD, bien qu’en application depuis 2018, est en vigueur depuis 2016 !) pour avoir un texte plus ou moins précis sur ce qui est autorisé ou non.



Donc quand je vois le délai qu’il a fallu à la CNIL pour définir les règles (4 ans, c’est que cela ne doit pas être simple), mais que les organismes mis en demeure ont juste un mois pour se mettre en conformité, je me dis qu’il y a peut être une légère distorsion quelque part.

Le 26/05/2021 à 10h 48


fofo9012 a dit:


C’est déjà un peu le cas, le RGPD prévoit des sanctions y compris pour les développeurs : Donc si ton client ne souhaite pas respecter le RGPD tu as le choix entre fermer les yeux et risquer des sanctions à tout niveau (client, boite d’info et personnelle pour le développeur). Refuser de suivre et se faire probablement virer (a minima perdre ce client)…


Euh, je veux bien plus d’information, car le RGPD ne prévoit de sanction qu’à l’encontre du (ou des
selon les cas) responsable de traitements. Même le DPO ne risque rien !



Derrière, un responsable de traitement peut éventuellement se retourner derrière un presta pour défaut de conseil ou autre, mais rien à voir avec le RGPD !

Le 21/05/2021 à 18h 43


(quote:1874959:127.0.0.1)
Ce que le propriétaire précédent à payé c’est le droit de faire ses propres copies privées personnelles sur ce support.


Même pas. C’est une exception au droit d’auteur. La différence, subtile mais Ô combien importante, c’est que je n’ai aucun moyen de pression pour faire prévaloir ce droit. Autrement dit, s’il y a un moyen de protection (DRM), je ne peux rien faire pour pouvoir prétendre à utiliser mon droit à la copie privée… car ce n’est pas un droit !




Je rappelle que c’est une redevance pour la copie-privée (donc pour un usage individuel). Ce n’est pas une taxe sur la fabrication des supports (qu’il suffirait de payer une fois car on ne fabrique le support qu’une fois).


Je rappelle qu’une redevance (car la RCP est bien une redevance) se paie en contre-partie de quelque chose (ici, un droit à la copie). Malheureusement, ce droit à la copie n’existe pas, comme je le disais plus haut. La RCP vient en compensation d’une exception : l’exception de copie privé.



Pour ma part, je ne suis pas contre la RCP. Je suis contre le système actuel :




  • la CJUE a bien précisé que la RCP n’était pas soumise à TVA. Pourtant, en France, elle l’est.

  • tous les supports sont ponctionnés, que leur utilisation soit pour un usage personnel ou professionnel. Or, seul les particuliers sont assujettis à la RCP. Et si les professionnels peuvent se faire rembourser, il faut 1) qu’ils soient au courant 2) qu’ils aient des factures mentionnant la RCP 3) remplir un questionnaire sur l’usage qui va être fait. Ce parcours du combattant implique que Copie France (et donc les ayants droit) perçoit déjà un surplus non négligeable de RCP.

  • le côté paritaire de la commission me fait bien sourire (pour rappel, 12 sièges pour les ayants droit, 6 pour les industriels, 6 pour les consommateurs)

  • il est paradoxale, alors que les usages ont énormément changés avec le streaming et la VOD, que les montants de la RCP n’aient fait que grimper en flèche ces dernières années

  • En France, en 2015, c’était 226 millions d’€. Soit 39% de la RCP prélevé en Europe. Près de 40% de RCP pour la France, alors que la France ne représente qu’environ 9% de la population européenne, je me dis qu’il y a un sérieux déséquilibre. Oui, je fais l’hypothèse que le montant de RCP prélevé est proportionnel à la population d’un pays, ce qui ne me parait pas trop déconnant.

  • Quand on connait les entourloupes de la commission Copie Privé et des différents gouvernement (barème annulé mais non remboursé, gestion des membres démissionnaires, prise en charge des études d’usage pour éviter de passer par un appel d’offre qui impliquerait des mois et des mois de délai supplémentaires, …). Sans oublier le léger conflit d’intérêt…

  • du manque de transparence, notamment dans la réalisation des études d’usages (personnes ne sait comment elles sont réalisées, ni les questions qui sont posées)



Oui, il y a un problème. Aujourd’hui, la RCP, c’est lors de la mise en circulation d’un produit. Il a été statué qu’il n’y avait qu’une seule mise en circulation. Du coup, ils veulent faire changer ça.



Quand tu sais que si tu achètes en France 100 DVD pour 166 € HT (prix du premier pack que j’ai trouvé sur LDLC), que tu as dessus 90€ de RCP (0,90€ / DVD), oui, il y a un problème. On ne parle pas de 1 ou 2%, mais de plus de 50% du prix final dans certains cas !




C’est d’ailleurs parce que ce n’est PAS lié à la fabrication du stockage qu’on peut discuter d’alternatives comme la licence globale. Sinon ca n’aurait pas de sens.


Mais on l’attend toujours cette licence globale ! Le jour où elle existera, il n’y aura quasiment plus de piratage ! Un abonnement unique pour accéder à tout. Pendant qu’on enquiquine Google pour le forcer à aller à la table des négociations avec les éditeurs de presse, pourquoi ne fait-on pas la même chose avec les ayants droits ? Finissons-en avec les exclusivités par plateforme, obligeant à avoir 2, 3 ou plus abonnement pour avoir accès à un catalogue relativement complet.

Le 21/05/2021 à 11h 29


(quote:1874698:digital-jedi)
AUCUNE facture de AUCUN vendeur ne mentionne la RCP, donc je ne peux pas demander de remboursement. Clé USB, téléphone, disque dur de sauvegarde… Rien n’est remboursable !


Si, mais c’est rare. Et il faut également être un professionnel. Pour ma part, le seul vendeur que je connaisse à l’heure actuelle est LDLC. Ils font bien apparaitre la RCP (par support, et le total), ainsi que 2 liens : un sur ce que c’est, un autre sur comment demander le remboursement.



Il y en a peut être d’autres maintenant, mais comme j’achète quasiment exclusivement mon matériel via LDLC, je ne sais pas.



Après, c’est une obligation pour le vendeur de fournir une facture avec le montant de la RCP, et si ce dernier n’apparait pas, tu peux toujours demander une facture AVEC le montant, en rappelant la loi (je ne l’ai plus en tête, mais c’est une obligation depuis 2014 si je ne me trompe pas).



Maintenant, pour la petite histoire, cela n’apparait souvent pas, car c’est un barème compliqué à mettre en oeuvre dans les logiciels. Pour déterminer la RCP, il faut :




  • connaitre la nature du produit (disque dur externe, clé usb, cd, dvd, …)

  • connaitre sa capacité

  • se fader les 6 ou 8 pages de barèmes, qui évolue plus ou moins régulièrement

  • être sur que son fournisseur à payer la RCP



Les logiciels de facturations n’ont généralement pas ces informations…

Le 20/05/2021 à 19h 39


SebGF a dit:


Le montant de la RCP ne rentre pas dans l’application de la TVA justement. C’est ce que la CJUE a statué.


La CJUE a effectivement statué en ce sens. Mais en France, il en est autrement.




COPIE FRANCE ne facture pas de TVA sur la rémunération qu’elle collecte. La seule TVA applicable, réglée in fine par le consommateur, est celle de 20 % calculée sur l’ensemble du prix du produit assujetti, rémunération pour copie privée incluse.


Le 20/05/2021 à 11h 50


(quote:1874548:dvr-x)
A quand un taxe sur la taxe ? Histoire de pouvoir faire toujours plus !


Cela existe déjà, et cela s’appelle… la TVA ! Du coup, 250 millions de RCP = 50 millions pour les caisses de l’Etat.

Le 18/05/2021 à 07h 26


Ici, la CNIL est claire : ces professionnels « sont chargés, contractuellement, d’informer individuellement leurs clients du traitement des données les concernant, ainsi que de permettre l’exercice des droits d’accès, de rectification et d’opposition qui leur sont reconnus (notice d’information et mise en place d’une affiche dans la pharmacie). La CNIL avait par ailleurs demandé que les supports soient complétés pour être conformes au RGPD ».


C’est étonnant, car la même CNIL avait reconnu la responsabilité de la société Vectaury qui propose un SDK et qui se déchargeait de la responsabilité de recueillir le consentement de l’utilisateur par voie contractuel, mais avait laissé tranquille les applications utilisant le SDK…

Le 08/05/2021 à 09h 54


Le code PIN de Windows Hello n’est pas stocké sur votre ordinateur, contrairement à un mot de passe, et il est lié à l’appareil physique.


Bon, j’ai signalé l’erreur hier matin, mais elle est toujours présente.



Le code PIN Windows Hello est stocké sur l’ordinateur, et uniquement sur l’ordinateur (contrairement à un mot de passe, où, s’il est associé à un compte Microsoft, va atterrir sur leurs serveurs 1). Et c’est parce qu’il est stocké uniquement sur l’appareil qu’il est propre à l’appareil !



Le mot de passe est stocké à la fois sur l’ordinateur et sur le compte Microsoft. Il suffit d’essayer de s’identifier sans connexion internet pour s’en rendre compte, où Windows nous invite à saisir le dernier mot de passe utilisé sur cet appareil.



1: pas en clair bien sur, une version hashée.

Le 07/05/2021 à 13h 02

Pour les changements de mot de passe obligatoire, c’est clairement une plaie. Le meilleur moyen de favoriser l’écriture sur un post-it !



J’ai un service qui m’impose ça, mais j’ai trouvé la parade. J’attends que le mot de passe expire. La procédure de renouvellement de mot de passe expiré n’a pas la contrainte de mot de passe différent :transpi:

Le 06/05/2021 à 14h 07


MarcRees a dit:


on peut avoir une partie du détail, les 25%. Mais seulement avec une CADA…


La routine habituelle quoi :D

Le 06/05/2021 à 09h 37

J’ai testé la procédure de remboursement. Sur les délais, c’est plutôt rapide. Une demande faite un soir vers 22h à eu une réponse positive le lendemain avant 10h. Remboursement par chèque envoyé au siège de la société. Le chèque a peut être mis 1 mois pour arriver, mais il est à noter que c’était pendant le confinement.



Pour la procédure elle-même, c’est un peu plus funky. D’un côté, les professionnels sont exonérés. De l’autre, il faut dire pourquoi, quand, comment, avec qui et une facture à l’appui avec le montant de la RCP.



Je suis clairement en dessous des montants moyens (32€ de remboursés pour ma part !). Mais c’est toujours ça de moins chez eux (et c’est mieux chez moi :p). Là je vais faire une autre demande, car j’ai cassé mon téléphone pro (qui était de toute façon en fin de vie) donc rachat d’un smartphone. 14€ de RCP.



Ce sont des petits montants, mais je m’en fiche !



Pour le coup, je tiens à féliciter LDLC, qui non seulement affiche le montant de la RCP (je sais, c’est obligatoire, mais beaucoup ne le font pas !) ET qui parle aussi de remboursement avec les liens qui vont bien.

Le 05/05/2021 à 10h 50


Cumbalero a dit:


Mais oui tu dis n’importe quoi, complètement! Les documents OpenDocument n’ont par exemple pas le même magic number qu’un fichier zip. Et toi tu parles d’aller parser des fichiers XML. Totalement à coté de la plaque. Tiens: va t’instruire un peu


Nan mais là on atteint des sommets. Tu tends vraiment le baton pour te faire battre. Extrait issu de ton lien :




50 4B 03 04 PK..
ZIP PKZIP archive file (Ref. 1 | Ref. 2)
Trailer: filename 50 4B 17 characters 00 00 00
Trailer: (filename PK 17 characters …)
Note: PK are the initals of Phil Katz, co-creator of the ZIP file format and author of PKZIP.
ZIP Apple Mac OS X Dashboard Widget, Aston Shell theme, Oolite eXpansion Pack,
Opera Widget, Pivot Style Template, Rockbox Theme package, Simple Machines
Forums theme, SubEthaEdit Mode, Trillian zipped skin, Virtual Skipper skin
APK Android package
JAR Java archive; compressed file package for classes and data
KMZ Google Earth saved working session file
KWD KWord document
ODT, ODP, OTT OpenDocument text document, presentation, and text document template, respectively.
OXPS Microsoft Open XML paper specification file
SXC, SXD, SXI, SXW OpenOffice spreadsheet (Calc), drawing (Draw), presentation (Impress),
and word processing (Writer) files, respectively.
SXC StarOffice spreadsheet
WMZ Windows Media compressed skin file
XPI Mozilla Browser Archive
XPS XML paper specification file
XPT eXact Packager Models


Donc, pour 1 magic number, il y a pléthore de formats correspondants. Et après tu oses encore affirmer que les magic number suffisent ? Tu vas encore me dire que je t’ai mal compris quand tu dis “Les documents OpenDocument n’ont par exemple pas le même magic number qu’un fichier zip.” ?



Et si tu ne me crois toujours pas, renomme un fichier .odt en .zip, ouvre le, et regarde ce qui se passe… tu verras que tu tombes sur une archive (ce qui confirme donc que les magic number sont les mêmes puisque le contenu du fichier n’a pas été modifié).




Uniquement dans le monde Microsoft. Et je parle de faits: utiliser le fait que Windows se base sur l’extension a été un des plus grands vecteurs de diffusion de trojans sous Windows. Tu devrais te documenter un peu avant d’être aussi péremptoire au sujet d’un domaine qui t’es inconnu.


Le plus grand vecteur de diffusion, cela n’a pas été les extensions des fichiers, mais les droits trop permissifs et les chargements automatique de contenu via des macro et autres joyeusetés de ce genre. Tu affirmes beaucoup de chose sans rien connaitre.



La part de marché de windows également par rapport à linux (ben oui, vaut mieux s’attaquer à celui qui détient 90% du marché).




Encore une phrase qui n’a aucun sens… C’est toi (enfin, ton éditeur favori) qui veut m’imposer un changement d’outil, au passage.


Que de suppositions ! Mon éditeur favori, alors que tu ne sais même pas ce que je fais, ni sur quoi je travaille. On (moi et mon “éditeur favori”) ne t’impose rien du tout. Tu n’es pas content, ne l’utilise pas. Point.



Honnêtement, je m’arrête là. J’ai vraiment d’autres choses à faire. Tu racontes d’énormes bêtises, tu te contredis dans tes propres commentaires, tu balances des liens censés contredire ton interlocuteur alors que si tu les avais lu, tu aurais vu que c’était toi qu’ils contredisaient. Et je ne parle même pas du ton condescendant que tu utilises.

Le 05/05/2021 à 08h 10


Cumbalero a dit:


Ah… attends, je m’auto-cite:


Allez, on retourne à l’école primaire : conjonction de coordination et complément circonstanciel de cause et de conséquence.




J’ai récemment du utiliser Windows 10. J’ai trouvé ça très laid, contre-intuitif à souhait et surtout ça manque totalement de fonctionnalités et de possibilités de configuration.


Tu trouves ça laid ET que ça manque de configuration. Pas que c’est laid CAR ça manque de configuration.




Qu’est-ce que je disais… tu dis n’importe quoi. Tu es techniquement à la ramasse et plusieurs commentaires parlent du magic number, tu n’est même pas allé voir ce que c’était.


Et le magic number, tu crois qu’il vient d’où ? Avant de savoir si je suis à la ramasse ou non, regarde un peu ce qui se passe. Le magic number te permettra de savoir si tu as une archive zip. Mais cela ne te permettra pas de savoir si c’est un zip, un docx ou un odt car un docx et un odt sont… des fichiers zip ! Et le magic number provient des premiers octets du fichier (mince, il faut donc le lire !). Donc je dis vraiment n’importe quoi ?




Avoir confiance dans le nom de fichier? Amusant. Le vecteur le plus facile pour diffuser des malwares.


Et bien, je vais t’étonner, mais il y a moins de risque avec un fichier avec extension qu’un fichier sans extension ! Si tu as un .exe qui se cache dans un .jpg, ta visionneuse va te dire que ton fichier image est corrompue ou invalide. Fait la même chose sans extension, tu exécutes directement le fichier alors que tu voulais juste voir l’image.




Je n’ai pas le bandeau dans LibreOffice, quel que soit l’OS, c’est un truc optionnel qui n’est pas activé par défaut.



Il y a de nombreuses personnes qui sont content de l’ergonomie apportée par le bandeau.



Tu as surtout dit n’importe quoi.



Qu’est-ce que je disais… tu dis n’importe quoi. Tu es techniquement à la ramasse et plusieurs commentaires parlent du magic number, tu n’est même pas allé voir ce que c’était. Avoir confiance dans le nom de fichier? Amusant. Le vecteur le plus facile pour diffuser des malwares.



Grotesque. Si j’ai besoin d’un tournevis, j’utilise un tournevis, même si le fabricant de l’outil me dit qu’il a des chalumeaux à son catalogue. Libre à toi de faire un autre choix !


Grotesque :bravo: ? Dit la personne qui remplace un tournevis par un marteau, alors que la résistance au changement c’est juste de refuser de changer de tournevis pour un autre tournevis…




Je ne dis pas ce que l’utilisateur doit utiliser, je constate la réalité des faits et l’évolution des marchés. Quand tu dis que l’humain est résistant au changement.


Je ne retournerai pas sur les cours de français et le ton très péremptoire utilisé quand tu dis que “cette personne utilise une tablette pas un PC”. Outil différent, usage différent. Mais il semblerait que si l’outil n’est pas adapté, c’est une résistance au changement pour toi…

Le 05/05/2021 à 07h 14


Cumbalero a dit:


Mon propos est de dire que les possibilités de configuration sont très limitées. Je trouve XFCE bien laid de base mais j’ai pu le configurer pour que mon environnement de bureau corresponde à mes besoins et à mes choix, ce qui est impossible sous Windows.


Ce n’est pas du tout ce que tu avais écris pourtant.




Un exemple parmi tant d’autres de ce qu’est l’ergonomie selon Microsoft: on impose aux utilisateurs de s’adapter à l’outil. Un bon outil est celui qui s’adapte à l’utilisateur.


Ce n’est pas parce que TOI tu n’es pas content que beaucoup ne le sont pas. Si c’était tellement nul, LibreOffice n’aurait pas copié le bandeau ! Il y a de nombreuses personnes qui sont content de l’ergonomie apportée par le bandeau.



Et qu’importe le choix, il y aura, de toute façon, des gens qui sont contre. On pourrait lancer le débat à l’identique avec de bon vieux troll linuxien (imposition de SystemD, de snap par Ubuntu et j’en passe !)




Ce problème n’existe que dans le monde Microsoft.


Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Ce problème n’existe pas que dans le monde Windows, comme je l’ai développé dans ce commentaire.



D’un coîté, il suffit de regarde le nom (Windows), de l’autre, il faut faire une inspection plus ou moins profonde du contenu du fichier (identifier que c’est un zip, et regarder le contenu pour savoir s’il c’est juste un zip, un docx, un odt, …). Clairement, l’extension, ça n’apporte strictement rien :mad2:
C’est pas parce que ton linux est capable de faire le 2e point que c’est une bonne chose.




Tu décris l’inverse de ce qu’est l’ergonomie.


La résistance au changement n’est pas un problème d’ergonomie. C’est un problème humain.




Cette personne utilise une tablette, pas un PC…


Qui es-tu donc pour dire quel outil doit utiliser la personne ? Ne disais-tu pas dans le même message que c’est à l’outil de s’adapter à la personne, et non à la personne de s’adapter à l’outil ? Si elle est plus à l’aise avec un PC et un clavier qu’un écran tactile, tu n’as pas à lui imposer ce choix. Bref, j’ai compris une chose en tout cas, tu es un bon troll sans logique capable d’affirmer une chose et son contraire dans le même commentaire :troll: .

Le 04/05/2021 à 14h 07

Sur mon pc linux un fichier sans extension si j’ai le programme pour l’ouvrir il s’ouvrira avec le bon programme. Je ne sais pas par quel miracle mais il le fera.

C’est possible, bien sur, mais complexe. Il faut lire le contenu du fichier. En général, en lisant les premiers octets, on peut connaitre le type de fichier. Dans le cas présent, on saura qu’il s’agit d’une archive zip.



Ensuite, pour déterminer le type correct, il faut regarder ce que contient l’archive. Pour les docx et odt, il y a un fichier XML de métadonnées. Je suppose que c’est celui-ci qui est recherché. Et pour être sur, il faudrait vérifier que le format du fichier correspond au format attendu pour un ODT/DOCX avant de l’ouvrir avec l’application qui va bien, au risque d’ouvrir une archive zip avec le mauvais programme :stress:



Quoiqu’il en soit, avec une extension dans le nom du fichier, ça se gère très simplement. Sans, il faut identifier qu’il s’agit d’un zip, puis aller regarder le contenu du zip ! Autant dire que c’est loin d’être trivial.

Le 04/05/2021 à 13h 18


Cumbalero a dit:


J’ai récemment du utiliser Windows 10. J’ai trouvé ça très laid, contre-intuitif à souhait et surtout ça manque totalement de fonctionnalités et de possibilités de configuration. J’utilise XFCE au quotidien et depuis fort longtemps.


Faut arrêter. Ce n’est pas que c’est moche, c’est juste que c’est différent. Et ça marche dans un sens (linux => windows) comme de l’autre (windows => linux). Spoiler alert : on trouve même windowsiens/linuxiens pour dire que MacOS c’est moche.




Euh… avec Microsoft qui bouleverse tout à chaque sortie d’Office, je me dis que tu trolles. Sérieux le “bandeau” ?


Sérieux ? Tu restes sur le bandeau ? Ce truc qui est sorti en 2007 ? On est en 2021 ! Et il y en a eu pourtant des nouvelles versions d’Office depuis.




Grotesque, c’est Windows qui se base sur l’extension, qui est inutile dans 100% des cas.


Non. C’est utile. Je te mets au défis d’utiliser le bon programme pour ouvrir automatiquement (histoire de rester dans les suites bureautiques), un docx, un odt, ou un zip avec le bon logiciel sans l’extension. Tu vas t’amuser !

Le 04/05/2021 à 14h 33


Notons que l’amendement est silencieux sur le montant de la rémunération due. En toute logique, si une plateforme propose 100 quand les éditeurs veulent 1 000, il n’y aura pas juridiquement refus, mais simplement échec de la négociation.



David Assouline ajoute à cette obligation de transparence celle visant à non seulement « entamer », mais aussi et surtout « conclure des négociations globales avec les éditeurs de presse et les agences de presse réunis ensemble en vue de fixer le montant de la rémunération ».


Est-ce que la conclusion des négociations nécessite l’aboutissement d’un accord ? Car si ce n’est pas le cas, si “une plateforme propose 100 quand les éditeurs veulent 1 000”, la plateforme sera sanctionnable !



Et je ne suis pas juriste, mais je doute que la justice puisse, en tout état de cause, obliger X à contractualiser avec Y…

Le 30/04/2021 à 09h 00

Précisons au passage que LDLC ça veut dire Laurent De La Clergerie :D

Dans ce cas, il faut aller jusqu’au bout : créateur de l’entreprise en 1996 :D

Le 30/04/2021 à 08h 32


olih a dit:


La news est intéressante, mais ça aurait été sympa de mettre une petite définition de BtoC et BtoB, parce que de base c’est assez obscure.


Acronymes classiques et très répandus. Pour faire simple :




  • BtoC : vente à un particulier

  • BtoB : vente à un professionnel.

Le 26/04/2021 à 15h 04


alegui a dit:


Concernant le téléchargement, il faut voir que demander systématiquement un téléchargement et une analyse de l’œuvre est complètement déraisonnable quand le fichier s’appelle quelque chose comme Le.Figaro.Magazine.N356.avril.2021.Roxxxxor586.pdf .


Donc, c’est déraisonnable de le demander à un notifiant mais pas déraisonnable de le demander à un hébergeur ? Si le nom reflète généralement le contenu, ce n’est pas un absolu, et dénoncer un contenu comme étant illégal sans en avoir pris connaissance avant est une pure folie. Ton “Le.Figaro.Magazine.N356.avril.2021.Roxxxxor586.pdf” peut très bien être une parodie (ce qui est autorisé), juste la une ou un extrait, etc…. Sans avoir pris connaissance du contenu, impossible de le dénoncer !



La loi est ce qu’elle est. Tu ne peux pas être accusé sans preuve. Mais d’après ton argumentaire, si.

Le 26/04/2021 à 07h 22


alegui a dit:


La notification LCEN correspond à la notification légale (option 1) qui n’est pas l’option contractuelle de 1fichier.


Non, la notification LCEN pose un cadre, en précisant ce que doit contenir la notification. L’option 1, c’est soit le contenu est manifestement illicite, soit c’est une décision d’un juge.



Option 2 : les autres cas (donc, principalement, pour les ayants droits vu le type d’hébergeur), procédure suivant les obligations de la LCEN. Rien n’indique que l’hébergeur n’a pas le droit de prévoir des pénalités en cas de mauvais comportement. Que cela ne te plaise pas est une chose, cela ne remet pas en cause l’aspect légal (seul un juge pourrait le faire !).




La notification contractuelle que propose 1fichier possède ses règles, différentes de la notification légale même si elles convergent sur certains points. Ce jugement concerne la notification légale LCEN. 1fichier ne supprime pas assez rapidement les contenus (ça peut se compter en semaines je crois) et se fait condamner pour cela.


Le problème du “promptement”, c’est que c’est un flou juridique. Promptement ne veut rien dire. 1h c’est rapide, 24h c’est rapide, 1 semaine peut être considéré comme rapide en regard de la durée de procédure judiciaire (qui se compte souvent en années). 1h n’est pas assez prompt pour les ayants droits.




Le fait que 1fichier propose une solution contractuelle alternative ne l’empêche pas d’avoir le devoir que la voie légale fonctionne correctement.


Jusqu’à preuve du contraire, elle ne dysfonctionne pas. Tu le rappelles toi-même, DStorage a été condamné car le délai est trop long (qui, je le rappelle, est juste affublé d’un “promptement” sans aucune indication quantitative). Sauf que pour l’instant, on ne sait rien des délais ! Il faut attendre le détail de la condamnation pour cela.



Et les ayants-droits préfèrent généralement la solution LCEN qui ne demande pas le point 1 de l’article 6, et dont le point 3 est soumis à l’appréciation d’un juge.




Ah, et puis il y a Le Notifiant s’engage à apporter la preuve que le contenu a été téléchargé dans les 3 mois précédents la notification. Comment veux-tu apporter cette preuve ?


Ben, si le fichier a été notifié sans être téléchargé par le notifiant…. comment veux-tu qu’il apporte la preuve que le fichier est illicite ? Il doit donc y avoir au moins 1 téléchargement : celui du notifiant. Ce que tu dénonces permets juste de s’assurer que le notifiant ne balance pas tout et n’importe quoi et procède à des vérifications.




Et si le lien vient de sortir sur Internet, tu dois attendre un téléchargement pour pouvoir faire une notification ?


Donc ça ne te gène pas d’avoir une notification sur un contenu dont PERSONNE (puisque pas encore téléchargé) ne sais ce qu’il contient ?




Ah, et même si les sanctions sont relativement peu appliquées, dans tous les cas une entité qui envoie une notification illégitime peut être sanctionnée en justice.


Relativement peu appliqué ? Jamais tu veux dire !




(sinon, dans un des liens que tu fournis en exemple, c’est une usurpation d’identité pas un ayant-droit qui a envoyé la requête)


Je sais, et c’est volontaire. C’est pour bien insister sur le déséquilibre actuel dans la loi. En tant qu’hébergeur, tu ne retires pas un contenu que tu aurais du retirer, tu es lourdement sanctionné. Tu retires un contenu que tu n’étais pas censé retiré ==> rien. Du coup, si tu veux procéder à des vérifications, cela prend du temps et ne rentre pas dans le “promptement” défini par la LCEN. Donc les usurpations sont faciles, et jamais sanctionnés.



Maintenant que la solution contractuelle mise en place par DStorage ne te plaise pas, c’est une chose, mais cela n’enlève rien à son caractère légal. Tout ce qui n’est pas explicitement interdit par la loi est autorisé. Les obligations de la LCEN sont respectées pour les notifications. DStorage dit juste que si le notifiant fait de la merde (dénonce un lien qu’il n’a lui même pas vérifié, ou que la demande est incomplète) alors sanction pécunière. Tu noteras qu’à aucun moment, une sanction n’est prononcée que sur la forme, pas sur le fond. Si le lien n’est pas retiré pour une raison X ou Y, il n’y a pas de sanction.

Le 25/04/2021 à 08h 59

La première condition est très embêtante si tu récupères le lien d’une archive protégée par mot de passe, or récupérer puis stocker/vérifier le mot de passe est bien plus embêtant que de juste récupérer le lien.
La troisième condition est embêtante car entre ta dernière vérification du lien et l’envoi de la notification, un lien peut être mis hors-ligne.
Dans les deux cas il y a réellement piratage, ce n’est pas un signalement illégitime.
Même si ces deux conditions ne sont pas forcément très fréquentes, quand tu est un ayant-droit ou que tu travailles pour leur compte, tu te retrouves vite avec un très grand nombre de liens donc juste 1% de liens dans un de ces deux cas ça fait une somme conséquente. Tout ça pour avoir un délai de suppression plus court, ce qui selon le contenu partagé peut être important ou pas. Donc ça m’étonnerait que ça se bouscule au portillon (d’ailleurs 3 partenaires annoncés c’est peu)


(reply:1869708:Idiogène)


Je pense qu’il est intéressant de se remettre dans le contexte pour bien comprendre.



Sur l’aspect contractuel tout d’abord, qui semble en gêner certains. La LCEN décrie de manière précise les informations que doivent contenir les notifications pour être jugées recevables :




Ainsi, la notification doit impérativement comporter : la date de celle-ci, l’identification du notifiant, à savoir : nom, prénom, profession, domicile, nationalité, date et lieu de naissance, forme de la personne morale, dénomination de la personne morale, siège social et organe qui la représente, la description des faits litigieux et surtout les raisons pour lesquelles le contenu en litige devrait être retiré en rappelant, et enfin, les dispositions légales et réglementaires caractérisant pouvant être attachés aux faits litigieux en question.


De part sa définition, on est donc déjà à un niveau contractuel. Cela justifie également au point n°1 de l’article 6 du contrat de DStorage (en l’absence d’une communication précise sur le fichier litigieux, la demande sera considérée comme irrecevable).



Pour le point n°3, où il s’agit de vérifier la présence ou non sur le serveur du fichier, pour ma part, je l’interprète surtout comme un moyen d’éviter :




  • une soumission des fichiers via du scraping sur les forums et autres moyens de discussions, sans vérifier si le lien est toujours valide ou non

  • d’éviter que les notifiants (je pense notamment aux ayants droits ici) envoi en masse des liens sans les vérifier (c’est leur job, pas celui de l’hébergeur).



On pourrait ce dire que non, les requêtes illégitimes n’arrivent jamais. Que nenni ! Il y en a pléthore malheureusement ! Dans un domaine proche (moteur de recherche, où nous avons beaucoup plus de retour), les exemples sont légions :





Je parle beaucoup d’ayant droit car c’est surtout leur contenu qui est p”roblématique”. Les contenus manifestement illicite (pédopornographie, terrorisme, etc…) soulèvent beaucoup moins de question.



Et quand on sait que les ayant-droits ne rêvent que d’une chose, comme l’a si bien rappelé Marc Rees dans les propres colonnes de NextINpact, c’est d’une responsabilité immédiate des hébergeurs avec des sanctions disproportionnées (tellement disproportionnées qu’il aurait mieux value publié un contenu terroriste !).



Et ce n’est pas pour rien non plus que le retrait de contenu manifestement illégitime a également été censuré par le conseil constitutionnel.



Aujourd’hui, le système tant à une surcensure. DStorage a fait un choix. Il respecte la LCEN en mettant en place une procédure de retrait. Par contre, les notifiants sont prévenus : en cas de contractualisation, si la demande de retrait est incomplète (manques d’information) ou abusive (demander la suppression d’un lien qui n’existe pas ou qui est privé) alors c’est une “amende” de 5€.



A noter que cette “amende” ne tient pas compte de la suite donné au signalement (retrait ou non retrait), seulement de la forme de ce dernier ! Une manière aussi de rappeler aux notifiants qu’ils ont des responsabilités de vérification et qu’il ne suffit pas de signaler un contenu.

Le 24/04/2021 à 17h 07


(reply:1869688:Idiogène)


Justement, ce n’est pas à la plateforme de déterminer ce qui est légal ou non. Du coup, elle propose deux choses :




  • soit la voie légale, et attendre une décision de justice (pour tout ce qui n’est pas manifestement illicite)

  • soit une voie contractuelle, et dans ce cas, avec retrait immédiat, mais avec pénalité en cas d’abus.



Les ayants droits aimeraient pouvoir se passer de la justice et faire reporter la responsabilité directement sur les plateformes. Seulement voilà, des ayants droits un peu zélé, qui revendiquent des droits sur des médias qui ne les concernent pas, cela existe. Ou une entreprise qui souhaiterait faire du tort à une entreprise concurrente, ou que sais-je encore.




Si je ne suis pas client de 1fichier.com je ne vois pas bien en quoi je devrais entretenir des relations commerciales pour que mes signalements aboutissent et par dessus le marché prouver ma bonne foi ou mon intérêt à agir.


Donc en gros, tu es en train de dire qu’il faut pouvoir signaler, mais que le “signaleur” n’a rien à prouver, ni sa bonne foi, ni son identité, ni son intérêt à agir (par ex. la détention des droits pour un contenu audiovisuel). Grosso modo, dès que quelqu’un lève le doigt, hop on censure ?



Et après, tu oses dire que cette clause est “manifestement illicite” ? :incline: Car je le rappelle, la méthode contractuelle, n’est qu’une des méthodes proposées, pas la seule et unique !

Le 24/04/2021 à 07h 47

Attention de bien lire jusqu’au bout !




A ce titre, le Notifiant s’engage à indemniser, à la hauteur de cinq (5) euros par contenu, l’Hébergeur pour tout
contenu notifié :




  • pour lequel le moyen d’accès au contenu final ne serait pas communiqué alors qu’il est nécessaire pour
    accéder au contenu (chiffré, protégé par un mot de passe ou une restriction d’accès);

  • qui s’avèrerait être un contenu privatif ;

  • n’existant plus sur les serveurs de l’Hébergeur ;


Les 5 € / lien, c’est dans le cas où le lien est injustement signalé ! Ce qui, ma foi, ne me parait pas complètement déconnant.



Comme a dit un sage un jour :




un grand pouvoir implique de grandes responsabilités


Le 22/04/2021 à 15h 30

Non, je parlais juste de la dispo des outils de dev “linux” sous Windows via WSL. L’histoire des navigateurs, c’est autre chose encore

Le 22/04/2021 à 12h 58


hansi a dit:


@treizarque Je n’ai jamais dit que GNU/Linux était parfait mais qu’à la base, il reste largement plus sécurisé qu’un windows


Ce n’est plus vrai de nos jours. Et depuis plusieurs années même. Il est certains que certains choix, privilégiant notamment la praticité (par ex. exécution auto à l’insertion d’un support amovaible) ont été de véritables plaies d’un point de vue sécurité, il n’en ait plus rien aujourd’hui.




et que nombre d’autres produits microsoft, comme ms office, qui sans antivirus, ouvre par défaut la macro d’une pièce jointe contenant un ransomware, là où LibreOffice bloquerait automatiquement le fichier et vous demanderait une confirmation manuelle…


Il faudrait se mettre à la page. Cela fait bien longtemps maintenant que les macro ne sont plus ouverte par défaut. On a un joli message, proposant d’activer les macros si on le souhaite, et uniquement si on est sur de l’origine du fichier !




C’est juste du bon sens commun, que microsoft n’a jamais eu.


Non, juste des choix différents. Et Microsoft a eu le bon sens de proposer les alternatives directement au sein de son système d’exploitation.




C’est juste que microsoft “pique” une fois encore un certains nombre d’outils propres au monde du Libre qu’il n’a pas été capable de développer lui-même. Et quelque part, c’est aussi la reconnaissance implicite que ces outils libres sont meilleurs que les siens… Ça devrait quand même faire réfléchir quelques uns…


Je ne réagis pas sur tous les points car il y aurait encore beaucoup à dire, notamment sur les approximations. Mais celui-là, j’avoue que c’est une petite perle. Microsoft ne pique rien du tout. Il ne faut pas oublier que ce qu’il fait, est, et que cela vous plaise ou non, autorisé par les licences des logiciels. Il ne faut pas oublier que Microsoft est devenu un des plus gros contributeurs du noyau linux (peut être pour ça que linux est très bien classé sur Azure aussi !) et de solutions open-source en général.



Des outils développés comme Visual Studio Code ou l’ouverture de la plateforme .Net via .Net Core montre tout l’intérêt de Microsoft pour le libre, et l’époque de Balmer qui disait que “linux était un cancer” est bien loin maintenant.



Powershell est bien supérieure à l’approche des shells unix pour la réalisation de scripts, car le premier manipule des objets là où le second manipule des chaines de caractères (et avec tout les problèmes de parsing en résultant). Toutefois, c’est un paradigme différent, qui nécessite un apprentissage. Mais ce n’est pas pour rien que Powershell monte en puissance rapidement, y compris sur Linux.



Non, ce qui vous choque, c’est que ce n’est pas vos outils habituels. Microsoft a tout à fait la puissance de développer ses propres outils (et il l’a fait). Mais là, il s’agit de proposer des outils déjà existants. Et l’intégration de ces outils prévus pour un OS dont le paradigme de fonctionnement est radicalement différent présente, à mon sens, plus de difficultés que le développement de ces-dits outils.



Ce n’est en rien une “reconnaissance implicite que les outils libres sont meilleurs”, ce qui reste à prouver et sur des critères qu’il reste à définir !



Oh je ne dis pas que tout est rose, mais à vous lire, j’ai plus l’impression de voir un libriste en manque d’argument qui repose sur une vision ancienne de Microsoft. Et que tout initiative de Microsoft est, quoi qu’il arrive, a jeté.

Le 05/04/2021 à 09h 12

Il y a aussi d’autres hypothèses. Il existe vraisemblablement des galaxies et amas de galaxies composés d’antimatière et non de matière.



Aujourd’hui, on ne sait pas détecter, en observant une étoile par exemple, si elle est faite de matière ou d’antimatière. On sait détecter les collisions matière/antimatière via les particules émises, mais pour une étoile par exemple, pas la nature de la matière la constituant, pour la simple et bonne raison que les photons sont émis aussi bien par la matière que l’antimatière, et nous n’avons pas encore suffisamment de recul pour savoir s’il y a une différence au niveau de l’émission des photons, entre, par exemple, un atome d’hydrogène et un atome d’antihydrogène. L’expérience menée au CERN permettra peut être d’apporter une réponse à cette question.



Autours de nous, comme nous sommes constitués de matières, nous sommes entourés de matière (sinon, nous le verrions via les annihilations !). Mais rien ne permet d’indiquer que des amas de galaxies lointains soient constitués de matière ou d’antimatière. Et rien n’indique non plus ce qui est contenu dans l’univers non observable (car il ne faut pas oublier, une large partie de l’univers est hors de notre porté !), sans oublier non plus que l’univers lointain observé l’est à la fois dans l’espace ET dans le temps.



Bref, peut être auront nous des réponses à certaines questions. Reste à savoir si ces réponses ne soulèveraient pas de nouvelles questions encore plus passionnantes :)

Le 24/03/2021 à 10h 34

ça peut marcher les procédures de remboursement si tu es un particulier qui utilise le stockage pour autre chose que la “copie privée” ou c’est que les pros qui ont le droit de se faire rembourser ?

Ce n’est que pour les pro. Il faut être enregistré, numéro SIREN, toussa quoi. Dans les justificatifs à fournir, il y a d’ailleurs une pièce d’identité de l’entreprise à fournir (extrait K-bis ou avis de situation sirene)

Le 24/03/2021 à 10h 17


chou74 a dit:


Si c’est pour du pro, tu doit pouvoir te faire rembourser, Marc a déjà fait des article sur le sujet pour dire que c’est compliqué


Le hasard a voulu que je fasse ma première demande de remboursement hier soir (vers à 22h). J’ai eu une réponse positive ce matin à ma demande (à 9h44). On peut au moins dire que pour le traitement, ils sont rapide.



Par contre, il est clair que le mécanisme de remboursement est fastidieux. Il est long, il faut des justificatifs (une facture avec le montant de la RCP). Il faut préciser le type de support, le nombre, la capacité, etc… Il faut remplir un questionnaire sur l’usage qui va être fait des supports. Pour ma part, je me suis contenté de ça :




Réalisation de sauvegardes
Redondance de services dans le cadre d’un PRA


A noter que le formulaire est un peu mal fichu aussi. Par exemple, il y a des questions du style, “les supports transmis à un tiers contiennent-il des contenus ?”. Suivi par “Si oui, sont-ils protégés par des DRMs ?”. Sauf que la seconde question est obligatoire, même si on répond non à la précédente !!



Si pour une personne comme moi, qui connait bien le sujet et qui est à l’aise avec ce genre de chose, je conçois que cela soit bien long et difficile pour d’autres.



Pour ma part, pour 270€ de bien, je récupère 32€ de RCP. J’ai du mettre pas loin de 20min pour remplir le questionnaire. Il est clair que si c’est pour récupérer 2€, ça ne vaut pas le coup de lancer la procédure !



J’en profite également pour remercier LDLC qui fourni les mentions qui vont bien (oui, je sais, elles sont en théorie obligatoires, mais beaucoup ne les affiches pas pour autant !!)

Le 23/03/2021 à 15h 11


th3squal a dit:


J’ajouterai même que les bases de données contenant des données personnelles doivent de plus être déclarées à la CNIL.



D’où l’obligation de la prévenir… pour leur dire “eh…au fait…elle n’existe plus…”


Euh non. Ca, c’était avant le 25 mai 2018. Et cela concernait plus largement tout “fichier” au sens large (qu’il soit numérique, papier, etc.)



Depuis le RGPD, il n’y a plus de déclaration à faire (sauf très rare cas, notamment dans le domaine de la santé)

Le 22/03/2021 à 09h 35

Confirmation du démarrage progression de SBG3. Mon dédié est up ! Pas d’incidence détecté dessus. Test réseau + CPU + ram + disk OK

Le 16/03/2021 à 10h 11

Attention aux conséquences ! S’il s’agit bien d’un ordinateur, Ada Lovelace ne serait plus le premier programmeur au monde ! Car quelqu’un aurait du écrire le programme pour ce premier ordinateur, il y a plus de 2000 ans ! :D