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Kerghan

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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105 commentaires

À la porte de la CJUE, un internaute requalifié vendeur professionnel après huit petites annonces

Le 22/05/2018 à 12h 37






ErGo_404 a écrit :

Tu as parfois des gens qui commencent “petit” (une twingo dans ton cas) et au fur et à mesure que ça rapporte ils s’agrandissent sans vraiment se rendre compte ni de poser la question du fait qu’ils sont en train de devenir professionnels. A mon sens c’est aussi le site qui propose ces annonces qui devrait le remarquer…


C’est une idée intéressante, mais je ne pense pas que ces sites le feront par eux-mêmes cela dit.
Je pense au contraire qu’il faudrait une décision législative officielle pour imposer ces sites à mettre en place un tel système de surveillance/d’alarme sur les utilisateurs.

La mise en place d’un tel dispositif risquerait certainement de faire fuir certains clients qui, justement, profitent de ces sites pour acquérir de fortes sommes sans avoir de réelles taxes ou déclarations à faire sur celles-ci. L’article met ici en exergue le cas particulier d’un bulgare, mais c’est uniquement suite à une plainte d’un de ces clients que toute l’affaire a été mise en lumière.

Ce bulgare n’est certainement pas le seul à agir ainsi.

Soit les utilisateurs de ces sites partiront sur d’autres sites qui n’auront pas obligation à se soumettre à la loi, soit ils utiliseront plusieurs comptes pour diminuer le risque d’être repéré.



Le 18/05/2018 à 16h 16






Ami-Kuns a écrit :

Aie, j’ai vendu 4 tomes de manga.😨😱


Je pense que c’est essentiellement les revenus générés et le type de produits vendus qui ont amené à cette décision. 

L’article mentionne ici une montre de marques Longines comme étant le produit ayant initialement déclenché le contentieux. Or, cette marque est justement assez onéreuse.



La musique Creative Commons diffusée dans les magasins est bien soumise à rémunération équitable

Le 14/05/2018 à 14h 42






Gilbert_Gosseyn a écrit :

Je valide. C’en est immonde <img data-src=" />.


Mais guère surprenant…&nbsp;<img data-src=" />



Dès 2019, certains chômeurs devront détailler leurs recherches dans un « journal de bord numérique »

Le 02/05/2018 à 12h 10






tpeg5stan a écrit :

Tu as 7 jours non payés au début, et je crois d’autres trucs embêtants.


Je vois mieux. Je n’ai jamais vraiment fait usage de Pôle Emploi (à part une inscription et deux entrevues avec un conseiller, dont un pour “formaliser l’inscription”), plutôt de la Mission Locale pour ma part, donc j’ignorais ce détail.



Le 02/05/2018 à 11h 02






Ricard a écrit :

Hé oui. Tout le monde sait bien que les chômeurs sont irresponsables et qu’il faut les prendre par la main.


Juste pour rappel…&nbsp;<img data-src=">

http://www.lepoint.fr/societe/quand-une-agence-pole-emploi-gere-l-emploi-du-temp…

(J’espère que le fait de poster ce lien n’est pas interdit tiens, d’ailleurs ?)

Repérer les demandeurs d’emploi qui seraient en difficulté dans leur recherche d’emploi&nbsp; :

Oui c’est un point de vue… le mien c’est qu’une personne qui ne trouve pas de boulot depuis plusieurs années est déjà en difficulté.&nbsp;<img data-src=" />

La cessation d’inscription n’est pas une sanction administrative [telle qu’une radiation, ndr], le demandeur d’emploi pouvant se réinscrire dès le jour suivant. :

Quel est l’intérêt dans ce cas-là ? Jouer sur le fait que la majorité des chômeurs confondront la nature des deux mesures, leur mettant ainsi une épée de Damoclès au-dessus de la tête ?



Travail dissimulé : vers  des condamnations systématiquement épinglées sur Internet

Le 02/05/2018 à 09h 27






Ricard a écrit :

Donc un politique pourri condamné, faut tout noircir, mais pour un gars au black, c’est tout balancer sur INternet, c’est ça ?


Seul le nom de l’entreprise sera publié ainsi que ses informations légales (SIRET, adresse, représentant légal…) pas le nom du travailleur concerné. Le principe de cette mise au pilori numérique est de pointer du doigt l’entreprise, pas le travailleur individuel.

Cela dit, ça ne me dérangerait pas non plus de voir affichés publiquement les noms des représentants politiques condamnés. Au contraire ça me semblerait même assez cohérent, il est normal que les citoyens puissent connaître le passé (et notamment judiciaire) des individus auxquels ils vont donner des responsabilités politiques.



gavroche69 a écrit :

Normal…&nbsp;
C’est juste du pragmatisme, les “data centers” n’ont pas des capacités illimitées…&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;


Pas mal celle-là.&nbsp;<img data-src=" />



Au Journal officiel, réécriture des règles encadrant le télétravail

Le 03/04/2018 à 12h 31






Patch a écrit :

A quel moment tu lis que c’est le salarié qui doit payer le PC?


Je me pose également la question, je n’ai rien vu qui aille en ce sens dans l’article, c’est même plutôt le contraire.

Le dernier paragraphe mentionne bien que les sénateurs ont refusé d’introduire cette proposition dans la loi. Si des frais doivent être engagés par l’employeur (et encore je doute que ça soit très demandé quand même), c’est plutôt pour l’achat de matériel (comme un siège ergonomique, pour reprendre l’exemple de l’article).
&nbsp;



Apple veut séduire le monde de l'éducation avec un nouvel iPad et un écosystème

Le 28/03/2018 à 16h 14






KP2 a écrit :

Mais quand des politiques ou des sociétés privées parlent de numerique à l’école, on voit briller dans leurs yeux des cours avec de la vidéo, des photos, de la 3D même ! et on commence même a voir de la réalité augmentée !&nbsp;
C’est cool mais QUI produit ce contenu ? A quel prix ? Les établissements/parents auront ils les moyens de s’offrir ce contenu ?&nbsp;

Aujourd’hui, en France, les éditeurs de manuels scolaires sont complétement à l’ouest sur le numérique… alors il reste qui pour faire les animations qui déchirent en 3D ? Les profs qui galèrent avec les outils et les programmes déjà en place et qui sont mal payés ?&nbsp;

A mon avis, la tablette à l’école, c’est peut-être pas si mal mais si c’est juste pour remplacer des livres papiers et un crayon, ça n’a quasi aucun interet. Et d’ici là que du contenu adapté soit disponible et accessible , il va se passer 10 ans…&nbsp;


C’est un point intéressant, si les contenus sont en effets produit par des sociétés privées, de quel genre de société s’agira-t-il ? D’éditeurs ayant embauché la main d’oeuvre compétente après avoir budgétisé des postes et investi dans du matériel adéquat ? Ou bien ces mêmes éditeurs auront-ils recours à des prestataires ? Et si recours aux prestataires il y a, ceux qui crééront ces illustrations, ces animations et ces contenus seront-ils réellement aptes à produire du contenu adapté à un usage éducatif, pédagogique ? Quels contrôles seront mis en place en derrière ? Qu’en est-il de la formation des professeurs sur ces outils ?

C’est aussi ce qui m’inquiète, cela fait déjà plusieurs années qu’on évoque la possibilité de distribuer des tablettes sans pour autant qu’on soit réellement fixés sur l’usage qui en sera fait, sur les acteurs impliqués dans le projet, sur les prix et le contenu. Apple cherche ici à profiter d’un marché qu’ils estiment être potentiellement profitable (ce qui n’est pas forcément faux, car je crois qu’en France, certains établissements sont déjà équipés de tablettes, pas forcément de marque Apple cela dit…), donc peut-être se sont-ils un peu avancés en la matière… ou peut-être pas.



Le 28/03/2018 à 16h 06






jpaul a écrit :

Alors autant pour l’écrit sur papier je te suis … autant si en 2018 on pouvait résoudre le poids du sac à dos dû aux livres … ce serait vraiment bien.


Certes, tu soulèves un point auquel je n’avais en effet pas pensé. Pour autant, mon opinion n’est pas nécessairement contradictoire avec cela. Ce qui me “dérange”, c’est la généralisation des tablettes comme support de cours permanent (dans l’hypothèse où les tablettes deviendraient un support de cours permanent, évidemment).

&nbsp;En revanche je n’ai aucun grief contre l’utilisation de l’outil informatique dans les établissements scolaires pour, par exemple, privilégier la dématérialisation de certains supports de cours (le professeur qui diffuse une présentation PowerPoint avec les éléments du cours au lieu de demander aux élèves de transporter avec eux un épais manuel dont ils n’étudieront, in fine, qu’une dizaine de pages pendant une semaine par exemple, et déposer ensuite ce document PowerPoint sur un portail scolaire où les étudiants peuvent sans problème y accéder pour leurs devoirs, ce genre de choses).



Le 28/03/2018 à 16h 00






Coeur2canard a écrit :

LA tablette n’est pas qu’un support de cours, ça ouvre quand même bcp d’autres possibilités. Et les profs en font tjs (enfin quand ils les utilisent) un usage raisonné et n’abandonnent pas les bons vieux supports papier.&nbsp;


Ah je ne nie pas que la tablette peut offrir certaines possibilités. Mon opinion personnelle c’est, tout simplement, qu’il est très néfaste de les généraliser ainsi et qu’on pourrait s’en passer. A part dans d’éventuels cours d’éducation aux médias ou de cours d’informatique, je pense qu’elle n’est pas indispensable.



Le 28/03/2018 à 15h 20

Je suis peut-être “vieux jeu” mais je trouverai toujours ça inutile de faire des tablettes le nouveau support de cours des élèves… enfin, je suis peut-être mauvaise langue, il est vrai que l’article ne précise pas si ces tablettes seront destinées à devenir un support de cours permanent (vu que ce n’est pas réellement le sujet de l’article, j’en conviens), utilisé à chaque cours en remplacement des bons vieux cahiers. Je préfèrerai qu’on en reste aux stylos et aux feuilles plutôt que de vouloir imposer le numérique partout et, surtout, l’imposer à un âge de plus en plus bas et plus encore au sein du milieu scolaire, chez les élèves.

Enfin bon, vu que ce n’est pas réellement le coeur du sujet abordé ici dans l’article, je ne développerai pas davantage sur ce point.

Pour en revenir à l’article, le seul prix qui me semble réellement abordable reste celui de la tablette sans stylet avec la réduction spéciale mentionnée.

&nbsp;




secouss a écrit :

Wow, c’est la crise ? Apple qui fait des offres à bas prix pour conquérir les jeunes habituellement friand de ses produits ?



Par contre si tu veux pas utiliser le pencil quasiment tout ce qu'ils ont montré ne te servira à rien xD      





Peut être qu'un jour Apple publiera des specs pour son pencil à l'instar du surface Pen et ses 4096 niveaux de pressions par exemple (merci Wacom) ou encore plutôt qu'une batterie non remplaçable donc mortel mettre une simple pile ^^






Le stylet n'est pas réellement nécessaire. La présence ou non du stylet dépendra aussi du type d'établissement ou de filière à qui les tablettes seront destinées. Pour des étudiants en infographisme par exemple, le stylet sera probablement indispensable je suppose. Mais pour des lycéens ou des collégiens, je doute qu'il soit réellement très utile. Si les applications utilisées sont suffisamment ergonomiques, tout devrait pouvoir se faire avec les doigts (je m'avance peut-être un peu trop ceci dit, je n'ai pas la prétention de pouvoir prédire tous les usages attendus par les établissements scolaires de ce matériel et des applications en question).


Les start-ups d’État réussissent leur coup

Le 13/03/2018 à 09h 26

Le concept ne me paraît pas trop mal, surtout au vu des potentielles économies engendrées. La tendance étant à la dématiérialisation dans quasiment tous les secteurs, le fait de pouvoir développer, adapter et déployer (plus ou moins) rapidement une solution logicielle à un coût relativement bas est extrêmement intéressant.

Ceci dit, l’article évoque plusieurs projets menés à terme (La Bonne Boîte, l’API Particuliers, etc…), mais a-t-on aussi connaissance de tels projets ayant échoué (qu’importe la raison), s’il y en a eu jusqu’ici ?
&nbsp;
&nbsp;





propositionjoe a écrit :

«&nbsp;Seul un intrapreneur sincèrement engagé à régler un problème, à corriger une situation imparfaite, un irritant pour les usagers ou les agents publics pourra prendre le risque de se lancer dans une innovation radicale&nbsp;»



 &nbsp;       
«&nbsp;Il y a un challenge qui est passionnant&nbsp;! Je veux créer une communauté de «&nbsp;faiseurs&nbsp;», qui auront réussi à mettre en place des produits qui résolvent des problèmes pour les gens, tels de petits artisans de solutions qui s'améliorent au fil des relations avec les usagers. Aujourd'hui, on a autant besoin d'inspecteurs des finances que de «&nbsp;makers&nbsp;», des gens qui vont s'engager, qui vont avoir une attention à l'usager que plus personne n'a&nbsp;!&nbsp;»





 Sans oublier les plus classiques:       
La liberté, c'est l'esclavage;
Le paix, c'est la guerre,
L'ignorance, la force.
&nbsp;
Georges Orwell style's, où quand les mots dans les phrases n'ont plus aucun sens. À moins que ce ne soit encore plus simplement qu'une masse informe de bullshit dit avec conviction. Un exemple?





 «&nbsp;Je pense qu’il est possible, dès la rentrée prochaine, de ne plus  demander certaines pièces aux parents et d’apporter ensuite des  améliorations en vue d’aboutir à une rentrée scolaire complètement simplifiée dans un an et demi ou deux ans. Il n’est pas nécessaire de  réfléchir pendant six mois à des spécifications et de dépenser 5  millions d’euros pour déployer un dispositif trois ans plus tard, en  espérant simplement qu’il fonctionne.&nbsp;»       





 Bonne nouvelle, s'inscrire à l'école sera bientôt aussi simple que de commander un mcdo. Vive le progrès, et n'oubliez pas d'y venir comme vous êtes.




&nbsp;Je suppose que ta mise en exergue des termes employés et ton rapprochement avec l’oeuvre d’Orwell a pour but de comparer le langage employé à une obscure novlangue ?



Microsoft Developer Day : mode S et machine learning local pour Windows 10

Le 09/03/2018 à 12h 53

Cette introduction du Machine Learning en local semble assez intéressant.
A voir ce que ça donnera dans le temps.


Les cafouillages de Mounir Mahjoubi sur la transparence des algorithmes publics

Le 09/02/2018 à 13h 17

Je ne me lasse jamais des interventions de ce monsieur… pour le coup il y n’a pas vraiment matière à argumenter en plus. Soit il se trompe, soit il parle d’un loi ou d’une réglementation qui est en fait déjà en vigueur… je serai plus intéressé de connaître la raison de ces contradictions assez effrayantes.

Maîtrise-t-il mal son sujet ou bien n’a-t-il pas suffisamment travaillé sur ce dossier ? Ou autre ?

Si quelqu’un a la réponse, je suis intéressé.


Malpedia, une nouvelle encyclopédie des malwares pour aider les chercheurs en sécurité

Le 06/02/2018 à 17h 40

Pas mal du tout, l’idée est intéressante.
Le contenu des entrées de cette encylcopédie me semble plutôt sommaire jusqu’ici, mais c’est peut-être amené à évoluer avec le temps.


Pour l’ancien numéro un de la DGSI, la loi Renseignement est déjà menacée d’obsolescence

Le 02/02/2018 à 14h 48

Pour lutter contre ces menaces, « les services doivent pouvoir collecter des données, les conserver et les exploiter utilement tout en protégeant les libertés individuelles ».

N’est-ce pas contradictoire ? Pour moi, si des services de renseignement doivent collecter des données, il s’agit forcément de données personnelles (sinon peu d’intérêt, non ?), et on est déjà dans la violation des libertés individuelles vu qu’on s’introduit dans la vie privée d’une personne à son insu, non ?

quel est le prix que nous sommes prêts à payer pour une meilleure sécurité ?&nbsp;
&nbsp;
Si je répond “moins de libertés”, j’ai bon ?&nbsp;&nbsp;<img data-src=" />

ces sociétés sont bien plus puissantes que les services du renseignement même naturellement si les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes et surtout les données sont communiquées volontairement

Ca ne légitime pas la chose pour autant, et qui plus est, je pense que la vaste majorité des utilisateurs lambdas n’ont aucune idée réelle de la quantité et de la nature des données accumulées par les GAFA au jour le jour.


Des communications sans fil « sans émettre une seule onde de plus » chez Orange

Le 25/01/2018 à 15h 27

C’est intéressant dans une certaine mesure, mais je reste curieux sur les fameux défauts relevés par les techniciens d’Orange.


Julien Dray veut offrir 50 000 euros aux jeunes de 18 ans grâce à une « taxe sur les GAFA »

Le 15/01/2018 à 10h 48






KP2 a écrit :

J’arrive pas a comprendre à quoi sert de sortir une connerie pareille… J. Dray est largement assez malin pour savoir que c’est une proposition débile et totalement irréaliste alors pourquoi il fait ça ?
Le mec veut exister un peu plus dans les médias ?
C’est quoi le but ?


Le congrès du Parti Socialiste se tiendra dans deux mois, et tu peux déjà trouver des articles dans différents journaux où Julien Dray affirme considérer sérieusement l’option de présenter sa candidature en tant que Premier Secrétaire. Je me dis qu’il y a peut-être un lien.

En revanche, je suis d’accord avec lui sur le fait qu’on devrait serrer la bride aux GAFA en matière de fiscalité en France, ce n’est pas le premier article qu’on voit sur NXI en rapport avec la fiscalité du numérique, et l’impression qu’on en retire jusqu’ici c’est que les GAFA ne sont guère de bons élèves en France à ce niveau. (Encore que, je ne pense pas que ça soit purement français comme phénomène, ça doit être pareil dans d’autres pays…)



Crypto-monnaies : la Chine sème le trouble autour du minage

Le 10/01/2018 à 16h 29






Tradjincal a écrit :

J’ai l’impression que le problème est vraiment plus lié à la spéculation que à autre chose. Dans les sources, il y a des tentatives de comparaison de consommation par rapport à système monétaire classique et ça semble honnête .


La spéculation est une chose, mais on ne peut pas l’empêcher avec le Bitcoin.
Sauf erreur de ma part, la valeur du Bitcoin est définie par l’offre et la demande principalement, c’est sa nature intrinsèque d’être volatile par conséquent.



Le 10/01/2018 à 15h 50

La Chine, la Corée du Sud… de plus en plus de pays durcissent le ton vis à vis des crypto-monnaies, et de plus en plus de pays vont durcir le ton contre ce dernier, malgré l’engouement de certains pays (comme l’Estonie, mais pas que) à mettre en place des crypto-monnaies nationales.

Le Bitcoin ne tiendra pas longtemps de toute manière. Le coût écologique considérable, la volatilité de sa valeur, et la lenteur des transactions (aujourd’hui il faut plusieurs jours, dans les meilleurs cas, pour qu’une transaction en Bitcoin soit validée…) rebutent énormément de ses utilisateurs.

Par ailleurs, l’aspect “lucratif” du minage de Bitcoin provient du fait qu’en minant un bloc, le mineur reçoit une récompense en Bitcoins pour ses services, cependant la valeur de cette récompense est divisée par deux tous les trois à quatre ans environ, si je ne m’abuse. Même s’il faudra attendre le 22ème siècle (encore que je doute fortement que Bitcoin soit encore dans les parages à ce moment-là) pour que la barre prédéfinie des 21 millions de Bitcoin soit atteinte, le minage est destiné à devenir une activité de moins en moins lucrative avec le temps en raison de cette division de la valeur de la récompense perçue par les mineurs.

Je ne vois pas comment le système peut faire autrement que se casser la figure, ne serait-ce qu’à long terme… (si quelqu’un peut me le dire, je suis preneur !)


Au Sénat, une proposition de loi pour favoriser le télétravail lors des pics de pollution

Le 08/01/2018 à 12h 02






TheMyst a écrit :

Comment ça se passe le télé-travail en tant que prestataire ?



Sur le plan contractuel, tu veux dire ?
Là où je travaille, nous avons pas mal de prestataires qui effectuent du télétravail, et sur plusieurs grands comptes pour lesquels j’ai travaillé avant, il y avait aussi beaucoup de prestataires qui avaient recours au télétravail. Donc visiblement, pour le client final ou en tout cas les managers internes de ces prestataires, ça n’avait pas l’air de poser trop de problèmes. Après, je ne saurai te dire si contractuellement, ils étaient “légalement autorisés” à faire du télétravail en VPN. La seule différence que j’ai pu constater c’est lors de la dotation des méthodes de connexion à distance pour ces utilisateurs, il fallait parfois plusieurs validations différentes avant de leur filer un token RSA ou autre système d’authentification…

&nbsp;


Jarodd a écrit :

C’est dommage de toujours le conditionner à quelque chose. Donc s’il n’y a pas de pollution, on doit aller se sardiner dans les transports en commun, qui comme tout le monde le sait, ne sont saturés que lors des pics de pollution ? <img data-src=" />

Soit le télétravail est possible on l’autorise dans tous les cas, soit c’est trop compliqué pour x raison et on ne l’autorise pas. Mais débattre des « circonstances exceptionnelles » pour le rendre possible, ce n’est pas le bon sujet. Il y a d’autres facteurs de mal-être que la pollution, qui pourraient aussi être évités ou réduits par le télétravail (burnout, fatigue, mal de dos, organisation familiale, …).


Je suis plutôt d’accord, le télétravail devrait être normalisé, et non pas simplement limité à quelques circonstances exceptionnelles (encore que, à nouveau, j’ai bossé dans des entreprises où certaines personnes étaient plus souvent en télétravail que sur site, donc je pense que là encore ça dépend de l’entreprise et de sa “culture”), ceux qui prennent les RER A et B en région parisienne par exemple ne connaissent que trop bien la joie de se retrouver entassés jusqu’à saturation dans les wagons chaque matin et chaque soir en rentrant, et pour ceux qui font de longs trajets (j’entends par là plus d’une heure) et qui ont une vie de famille par derrière, ça n’aide ni au moral ni à la santé.



L’expérimentation des pubs sur les trottoirs suspendue à Bordeaux et Nantes

Le 26/12/2017 à 13h 08

Quelle aimabilité d’avoir quand même exigé que les publicités soient réalisées avec des pochoirs ou de peintures biodégradables, il ne manquerait plus qu’elles puissent rester en plus, tiens !

D’un autre côté… ça peut dire qu’on peut potentiellement les effacer facilement…&nbsp;<img data-src=" />


RGPD : un projet de loi « début 2018 » en France

Le 24/11/2017 à 11h 05






uzak a écrit :

Ça n’empêche pas d’interdire à Facebook & Cie de collecter leurs données personnelles


Oui, je n’ai pas dit le contraire, naturellement.



Le 23/11/2017 à 12h 02

”“L’article 8 du règlement fixe par exemple à 16 ans le seuil d’âge à partir duquel un mineur pourra validement donner son consentement à ce que ses données personnelles puissent être collectées par des géants tels que Facebook, YouTube ou&nbsp;Snapchat, mais il laisse dans le même temps la possibilité aux législateurs nationaux de descendre jusqu’à 13 ans (voir notre article).

&nbsp;Ils possèderont déjà un compte Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat ou que sais-je encore depuis déjà belle lurette à ce moment-là, mais bon.&nbsp;<img data-src=" />


Le régulateur allemand interdit les montres connectées pour enfants trop intrusives

Le 20/11/2017 à 13h 36






Ricard a écrit :

Ce serait pas plus simple d’interdire la vente de toutes ces saloperies, tout simplement ?<img data-src=" />


Je n’ai jamais été particulièrement fan de l’idée d’exposer les enfants, de plus en plus jeunes, à la technologie numérique (surtout smartphones et appareils connectés). Certes, je suis conscient de l’époque dans laquelle nous vivons et je suis un fervent partisant de l’idée que la technologie peut libérer l’homme de beaucoup de maux et de difficultés… à condition d’être bien utilisée.

J’ai toujours trouvé ça plutôt malsain de coller un gamin devant la télévision ou un smartphone dès le plus jeune âge, mais c’est là une opinion personnelle.

&nbsp;

ArchangeBlandin a écrit :

La confiance entre les enfants et les parents prend un sérieux coup quand on utilise un tel dispositif !

C’est vraiment moche ! J’aurais pas imaginé qu’on ferait un jour des produits comme ça pour les enfants.
D’une part, ça laisse les parents s’enfoncer dans une “surveillance rassurante” et d’autre part, les enfants n’ont plus de vie privée, tout ce qu’ils disent ou font pourra être écouté.

J’espère que les enfants en ayant se rebelleront avant leurs 12 ans (puisque c’est de 5 à 12 ans le public visé) pour jeter ces montres et mettre fin à la tyrannie de leurs parents.



La peur, c’est bon pour vendre.
Ici ils vendent aux parents “trop protecteurs” et/ou paranoïaques l’outil parfait pour combler leur désir de “protéger” leur enfant…&nbsp;



Le ministère de la Culture a lancé des « travaux » en vue d’une réforme de la redevance TV

Le 31/10/2017 à 17h 18






sum0 a écrit :

Voici mes propositions:&nbsp;
&nbsp;Ne garder que France 2, France 3 région pas la rédaction nationale.&nbsp;
Supprimer France 4, 5, ô que personne regarde.&nbsp;
Baisser le prix de la redevance parce que 138€ c’est trop cher pour ce qui est proposé.&nbsp;

Solution ultime privatiser France TV et Radio France pour ne plus avoir à payer cette taxe.


Première nouvelle, les audiences varient assez largement entre chacune de ces trois chaînes mais les chiffres montrent bien que plusieurs centaines de milliers de personnes regardent ces chaînes (de 100 000 à 900 000 en fonctions des chaînes, etc…). C’est sûr qu’on est loin des programmes qui réunissent des millions de téléspectateurs, mais c’est suffisant pour ne pas avoir à dire que “personne” ne regarde ces chaînes.

&nbsp;


dematbreizh a écrit :

Je suis d’accord pour l’inclure, mais tant qu’elle sera à part, je ne vois aucune raison pour payer l’audiovisuel qui ne me concerne pas.
A ma connaissance, ceux qui n’ont pas de voiture ne payent pas les péages.

ps: le jour où je devrai la payer à nouveau, je recommencerai à la regarder sur internet.
(Par principe je ne le fais actuellement pas.)


C’est ce que j’aimerai aussi, mais malheureusement le cas par cas est impossible. Passer en revue le cas de 66 millions de français pour savoir qui doit la payer ou pas, ça ne me paraît pas faisable… en revanche, vu que l’assiette sera élargie, il serait faisable d’opérer une diminution de la redevance, du coup.



[Interview] Nos questions à Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique

Le 31/10/2017 à 11h 31

Article intéressant, merci.


Microsoft : Azure et Office 365 continuent de tirer la croissance

Le 31/10/2017 à 09h 22






SebGF a écrit :

J’ai surtout envie de dire : ça dépend de ce dont tu as besoin et de tes contraintes (légales, par exemple en Russie tu n’as pas le droit d’héberger des données en dehors du pays, combien d’utilisateurs, etc)


En effet, en France (et c’est notamment le cas dans mon entreprise), il est interdit de mettre en ligne certaines informations sur les services ou applications rattachées au Cloud.



Le gouvernement prévoit un « épisode 2 » pour le plan numérique à l’école

Le 05/10/2017 à 08h 04

“Mounir Mahjoubi avait lui aussi pris le soin de prendre ses distances vis-à-vis des tablettes. « Je ne suis pas un obsédé de la tablette pour tous », avait-il ainsi lancé face aux députés. « Je ne crois pas qu’il faut que 100 % de l’éducation passe par une tablette et que toutes les collectivités locales achètent massivement des tablettes à travers tout le territoire pour que tout le monde fasse sa journée avec une tablette. Par contre, à plusieurs moments de la journée, la tablette apporte des éléments de dialogue assez intéressants. » ”
——————-
&nbsp;&nbsp;&nbsp;Pour le coup, je suis entièrement d’accord sur ce point.

En revanche je suis inquiet quand ils se mettent à parler de robotique et d’intelligence artificielle.

Dans un premier temps, ils ont déjà visiblement tout le mal du monde à déployer correctement des tablettes et à assurer la formation des profs, alors ça ne serait pas plus mal de laisser la robotique et l’intelligence artificielle de côté pour le moment. Même si aucune application concrète de ces deux domaines n’a été évoquée, ce n’est pas plus mal si on se concentre déjà sur les projets en cours avant de partir sur autre chose.

Dans un deuxième temps, je suis content (en partie) de voir qu’ils essayent de faire évoluer les outils pédagogiques, mais l’éducation nationale est aujourd’hui gangrénée par une pléthore d’autres problèmes qui nécessitent une attention tout aussi importante… et je n’en entends pas parler plus que ça pourtant, au contraire de cette “école numérique” pour laquelle on est prêts à dépenser un milliard…

&nbsp;Advienne que pourra, j’imagine ?


Emmanuel Macron veut un retour du vote par Internet dès 2020

Le 03/10/2017 à 12h 22






SebGF a écrit :

C’est pas infaillible non plus comme système.

=&gt;https://fr.wikipedia.org/wiki/Bourrage_d’urnes entre autres

C’est plus complexe à falsifier par la nature physique du bulletin de vote, mais ça reste possible.


Bien sûr que ce n’est pas infaillible, l’homme n’a pas attendu l’arrivée de l’électronique pour commencer à truquer les élections. Ma remarque était purement humoristique, en fait.&nbsp;<img data-src=" />



Le 03/10/2017 à 09h 03

La solution pour éviter le piratage est pourtant simple, il existe une méthode pour rendre ce système infaillible : Urne + papier. &nbsp;<img data-src=" />

Plus sérieusement, sur l’argument de l’abstention en tout cas, c’est beau mais les gens n’iront pas voter pour autant même s’ils peuvent le faire depuis chez eux. Certains ne votent pas pour ne pas se déplacer, peut-être bien, mais je pense que la majorité des abstentionnistes pensent que ça ne changera rien de toute manière, ou qu’ils ne s’estiment pas assez représentés par le paysage politique actuel, etc etc…

On peut trouver un paquet de raisons.


La réforme du télétravail entre en vigueur : ce qui va changer

Le 25/09/2017 à 10h 22






t0FF a écrit :

Pour le télétravail, rembourser l’abonnement internet je trouve ça assez inutile puisque les gens ne payent pas plus chère que pour leur utilisation perso. Je vois pas trop d’autres frais, mais si ils &nbsp;sont uniquement lié à une utilisation pro, pour mois ils devraient être remboursé.&nbsp;


&nbsp;


letter a écrit :

Qaund les frais se résument à ton forfait box et ton EDF, c’est assez hypocrite si on ne te force pas à passer sur une offre pro.
Sachant qu’une entreprise ne va pas gagner sur la place libérée vu que la personne sera quand même là de temps en temps (souvent 4j/5), cela ne fait que des frais pour l’entreprise. Quel intérêt?


&nbsp;
Vu sous cet angle, je suis d’accord, certes.



Le 25/09/2017 à 10h 06

Dans l’absolu, les mesures ne me semblent pas mauvaises, en revanche je suis assez opposé à l’idée du non-remboursement des frais du télétravail. C’est comme le Navigo pour ceux qui vivent en Île-de-France, on le paie principalement pour aller travailler, et il est donc normal que l’entreprise en rembourse au moins la moitié.


CCleaner : un malware plus complexe que prévu, des grandes entreprises visées

Le 22/09/2017 à 13h 53

Aussi détecté par SEP sur certains postes au boulot (normalement CCleaner n’est pas installé par défaut sur nos postes mais certains se font plaisir dès que tu leurs donnes des droits d’administrateur local qui sont “essentiels” dans leur travail).&nbsp;<img data-src=" />

Et c’était du 64 bits.


Fibre : un sénateur veut protéger les réseaux publics par la loi, un texte fin octobre

Le 20/09/2017 à 08h 14






Ricard a écrit :

Rejeté.<img data-src=" />


Hého, attendons au moins qu’il ait fini de préparer sa proposition pour la rejeter, le pauvre bougre.&nbsp;<img data-src=" />



Le 20/09/2017 à 08h 00

C’est une initiative plutôt bonne, espérons simplement qu’ils arrivent à passer l’opposition…


Hadopi : 10 millions d’avertissements, 151 condamnations

Le 20/09/2017 à 08h 12

Le principal souci, et qui a déjà été débattu maintes fois si je ne m’abuse, c’est que beaucoup de gens seraient prêts à se tourner vers l’offre légale si celle-ci était suffisamment compétitive. Il y a certes beaucoup de services différents qui disposent tous d’un catalogue plus ou moins bien fourni, mais beaucoup de vieux films ou de produits très spécifiques sont par exemple sont introuvables sur la plupart de ces services…

Bon, j’imagine bien qu’il y aura toujours ceux qui refuseront, par principe ou par avidité ou pour toute autre raison au monde, de basculer sur l’offre légale, mais là c’est autre chose.

Le quota avertissements / condamnations reste assez ridicule, mais c’est surtout la nature de ces condamnations qui est assez… drôle ou perturbante en fonction du point de vue chacun. Entre l’amende de 400€ (dont 200€ de sursis) et le stage de citoyenneté… c’est à se demander si les juges ne tirent pas les condamnations en mode loto. &nbsp;<img data-src=" />&nbsp;(Plus sérieusement, si quelqu’un sait s’il y a une réelle raison juridique derrière la “variété” des condamnations, ça m’intéresse beaucoup).


Lois Confiance : quelques mesures de transparence et beaucoup d’occasions manquées

Le 11/09/2017 à 11h 31

Effectivement il y a pas mal de progrès et de pas effectués dans la bonne direction… en revanche on voit qu’il y a encore pas mal de réticence sur beaucoup d’autres sujets également. A défaut de considérer ce projet comme une finalité, je préfère le considérer comme une étape sur un chemin plus long.

Wait and see.


Le gouvernement confie une mission sur l’intelligence artificielle au député Cédric Villani

Le 04/09/2017 à 11h 31

Plus le temps passe, plus j’ai vraiment l’impression qu’on ne sait pas ce qu’on veut en France. Quand quelque chose va mal, on crie à qui veut l’entendre que le gouvernement est laxiste et ne fait rien du tout, et quand le gouvernement essaye de faire quelque chose, on crie que c’est un écran de fumée qui dissimule des complots, des conspirations et des magouilles à tout va… c’est chaud quand même.

&nbsp;




tmtisfree a écrit :

J’attends les études qui démontrent l’utilité sociétale de tous les organismes cités en terme de valeur produite et répartie in fine (hint : la présomption que les « innovations » au sens large sont en très grande partie le fait de la recherche fondamentale/publique est fausse).




  • Benoît Godin, Institut National de la Recherche Scientifique à Montréal


    Donc on accorde +30 000 employés et plus de 3 milliards d’euros de budget au CNRS pour le lolz ?
    J’ai du mal à comprendre ta question… les éléments prouvant que le CNRS sert bien à quelque chose ne manquent pas pourtant.




    jb18v a écrit :

    pour le rasage c’est raccord avec Edouard Philippe&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;

    ça m’énerve ces mecs qui représentent le peuple mais pas foutus de présenter un minimum correctement leur tronche&nbsp;<img data-src=" />


    Le rapport entre sa barbe et ses compétences ? Je préfère un type mal rasé, mal coiffé et mal habillé mais qui fait son boulot correctement plutôt qu’un type bien propre sur lui, qui passe bien à la caméra mais dont le seul travail est celui d’un figurant…



Comment le gouvernement entend modifier les règles relatives au télétravail

Le 01/09/2017 à 16h 38






Sheepux a écrit :

Actuellement le projet de loi ne cherche pas à encadrer, mais à généraliser. Ce sera (cf la news) l’accord local qui encadrera.


J’ai mal choisi mes mots en effet, merci.

&nbsp;


OlivierJ a écrit :

A vrai dire, invoquer la crainte que le salarié puisse glander chez lui me paraît un argument faible ; car pour la plupart nous avons des choses à faire dans un certain délai, et si on glande vraiment, ça se verra fatalement.
En tous cas dans mon activité et celle de la plupart de mes collègues, on doit répondre à des questions par mail, on doit participer à des réunions téléphoniques, éventuellement faire des compte-rendus, rendre des documents divers, etc. Difficile de glander bien longtemps, hormis les pauses normales dont nous avons tous besoin au long d’une journée de travail.


Oui tout à fait, c’est également le cas pour la vaste majorité des télétravailleurs que j’ai pu voir qui, dans les boîtes où je suis passé, travaillaient généralement pour la finance, l’assurance, etc… ils n’avaient pas le temps de s’ennuyer en télétravail et le cas échéant, ça se serait vite vu. Cependant par “abus” je pensais plutôt à des abus côté employeur à vrai dire, plutôt qu’à des abus du type “salarié qui confond télétravail et journée de congé” même si évidemment, des abus sont possible des deux côtés, au final.



Le 01/09/2017 à 15h 58






OlivierJ a écrit :

C’est sûr que c’est un sacré gain, imaginons qu’on retire 10 % des gens des transports en communs et de la circulation, c’est très visible ; parfois, 10 % de circulation en moins, ça passe d’embouteillé à un peu fluide. Il me semble que dans pas mal de boîte, le télétravail (partiel) est rentré dans les moeurs, y compris dans des grosses maisons, et même dans certains cas dans des administrations.


Exact, les deux dernières boîtes pour lesquelles j’ai bossé (des grands groupes) avaient massivement recours au télétravail avec VPN & RSA, et on voit beaucoup d’alternance entre télétravail et travail sur site, parfois même dans une seule semaine.

&nbsp;


Sheepux a écrit :

Je sens bien le truc pour les presta externes “désolé ce n’est que pour les internes”.
Avant hier dans un entretient pour un grand groupe c’était même plutôt “ah non ils sont totalement contre le télétravail”.
&nbsp;

Ca dépend des boîtes, là encore pour les deux dernières boîtes où j’ai travaillé, les externes pouvaient avoir un accès VPN à condition que la demande soit effectuée (ou validée explicitement) par le manager (interne) du prestataire.

De manière générale, je considère le télétravail comme une bonne chose, et l’idée de l’encadrer ne me paraît pas mauvaise du tout même si, évidemment, des abus seront toujours possible, mais c’est le cas avec n’importe quelle loi ou règlement.



Ne se sentant « pas terroriste », Christophe Castaner ne craint pas la future loi sécuritaire

Le 31/08/2017 à 16h 33

&nbsp;“Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité […]”

&nbsp;
N’avoir rien à cacher… tôt ou tard cet “argument” allait être sorti quelque part, c’était inévitable… on a toujours quelque chose à cacher, ce n’est pas nécessaire d’être terroriste pour ça.

Si on veut réellement lutter contre le terrorisme, il faut aller lutter à la source, et non pas se contenter à surveiller toute une population en espérant dénicher le prochain qui se fera endoctriné. L’EI n’est que la partie visible de l’iceberg.

PS: Laissez Macron tranquille deux minutes les gars. &nbsp;<img data-src=" />


Arnaud Coustillière, nouveau DSI du ministère des Armées au 1er septembre

Le 31/08/2017 à 10h 03






OlivierJ a écrit :

C’est dans le contexte “ce n’est pas là que résident nos principales failles de sécurités ou vulnérabilités”, ce qui est probablement exact.
Je suis informaticien et je comprends son point de vue ; cela étant dit, je serais fortement pour du libre à la place du propriétaire, je le précise à tout hasard.


Quelles inepties…
Dans ce genre de poste, on ne “s’accroche” pas plus qu’ailleurs car on n’a pas trop son mot à dire sur le renouvellement, et tu ne sais même pas si le contrat sera renouvelé chaque année ; ensuite, présupposer qu’il fait ça par corromption, ça traduit surtout l’étroitesse de ton esprit.


Parce que tu connais l’utilisation précise des ordinateurs de l’armée, sous quel OS tourne chacun, et ce qu’il voit comme données (anodines ou très secrètes) ?
-&gt; “ce n’est pas là que résident nos principales failles de sécurités ou vulnérabilités”
Et encore une fois, j’aimerais que l’armée n’utilise pas de MS.


C’est juste un procès d’intention là.



Vous craignez, franchement <img data-src=" />


Un DSI n’est pas un expert réseau, sécurité, ou devops ou autre ; il s’appuie sur des spécialistes dans ses équipes. <img data-src=" />



Ancien officier général à la cyberdéfense, membre du comité de pilotage sur l’étude de la proposition de Microsoft Irlande, et maintenant DSI des Armées. Voir quelqu’un avec pareil pedigree réduire les inquiétudes relatives à la sécurité et à la confidentialité du SI de nos armées à un simple “débat d’informaticiens”… ça prête à rire mais c’est surtout très inquiétant, si bien que, effectivement, ça pousse à se demander s’il n’y a pas un conflit d’intérêt quelque part.

Un DSI n’a peut-être pas besoin d’être un expert (encore que…) sur toutes les branches de l’informatique, mais il doit quand même savoir de quoi il parle et comprendre ce qu’on lui raconte. J’ai bossé avec des DSI qui s’y connaissaient et qui restaient très à jour sur l’aspect technique, et la communication avec ces derniers s’en voyait grandement simplifiée et facilitée. Si le dit DSI ne voit pas au-delà des chiffres et des budgets, c’est compliqué.



Le 30/08/2017 à 16h 24






Furanku a écrit :

Je sens surtout que le gars va s’accrocher à ce post, renouveler à chaque fois ce contrat Open Bar, et prendre un gros chèque ou autres avantage en contre-partie :)

Être DSI et ne pas voir le problème éthique et sécuritaire que pose un tel accord… c’est soit de l’incrédulité/incompétence complète, soit un gros conflit d’intérêt.
J’espère sincèrement que la plainte de Nexedi ouvrira un peu plus le débat et mènera à quelque chose de positif.


Entièrement d’accord.



Le plan pour le numérique à l'école va-t-il finir au placard ?

Le 30/08/2017 à 12h 31






Coeur2canard a écrit :

Selon de quoi on parle tablettes et ordis n’apportent pas les mêmes choses. Je connais des profs utilisateurs qui sont très contents avec leurs tablettes.
Et surotut qu’est-ce qu’un ordi performant&nbsp;apporte dans des établissements scolaires? Tu veux leur faire faire quoi aux élèves? du Photoshop?
Une tablette avec clavier et souris, et tu t’y retrouves niveau bureautique pour tout ce qui est suite office par exemple (on parle d’usages au primaire/collège donc pas de faire des macros de batard ou de la mise en page de ceinture noire 3ème dan).
A noter aussi que depuis pas mal d’années des tonnes d’applis sortent sur iOS/Android et pas sur Windows. Du coup, ce qui se fait de mieux comme derniers softs au niveau pédagogique, ben c’est pas sur ordi que tu les trouves.&nbsp;
Les manuels numériques (tout un sujet mais j’entends déjà ceux qui me diront que les manuels papiers c’est mieux), pas évident sans la mobilité que permet une tablette.

Aujourd’hui dans les établissements, les profs ont un vrai pb : les mecs veulent tout ce qui marchait bien sur ordis avant (y compris du flash), mais il veulent aussi la dernière applis iOS ou Android au top…&nbsp;
MAis ce dont j’ai la (vague) impression c’est que ce qui se fait de plus intéressant aujourd’hui, c’est côté applis, et c’est pas sur Windows dont toute la richesse passée commence à appartenir au passé justement
.&nbsp;
Pour finir n’oublie pas la question du coût : un ordi performant (mais je ne sais pas très bien ce que tu mets derrière cet adjectif) ça coute cher, les tablettes qui sont achetées pour les écoles ne le sont pas toujours


Tu soulèves ici des points très intéressants.

Non, je doute qu’ils fassent du Photoshop ou de la mise en forme digne d’un grand maître sur Excel, mais je doute que les professeurs utilisent à chaque cours des applications… je pense que l’enseignement restera partagé (dans quelle répartition en revanche, ça reste à voir) entre les méthodes “traditionnelles” et les méthodes “numériques”. Par conséquent, de mon point de vue du moins, l’usage de ces tablettes sera davantage orienté vers la consultation de supports de cours spécifiques ou l’utilisation ponctuelle de certaines applications qu’autre chose.
&nbsp;
Pour les manuels numériques, je préfère (mais préférence purement personnelle ici cependant) les versions papiers… ça n’engage que moi mais j’ai toujours détesté la lecture d’un livre ou d’un manuel sur tablette, téléphone ou PC.

Pour les ordinateurs plus récents dont je parlais, loin de considérer les cas que j’ai pu rencontrer personnellement comme des généralités (même si d’après ce que j’ai pu voir et entendre, ce n’est pas trop éloigné de la vérité), je parle simplement de remplacer les vieux postes Dell ou Intel vieux de plus de dix ans et qui tournent sur du Pentium auxquels j’ai eu droit de l’école primaire au lycée, par des modèles plus récents avec du matériel plus adapté.



Le 30/08/2017 à 10h 22

Je n’ai jamais été très emballé par leur “grand projet du numérique” pour l’école… ça serait plus rentable et plus simple d’investir dans l’achat d’ordinateurs plus récents et plus performants, avec une ou des salles (en fonction des budgets alloués) dédiées à cet usage. Ce n’est peut-être que moi, mais je ne vois guère le réel intérêt de donner des tablettes à tire-larigot, surtout avec toute la logistique requise derrière (bornes WiFi & cie…).

En revanche :

&nbsp;«&nbsp;En 2016, une très grande majorité des élèves de cinquième pourront ainsi être équipés en France&nbsp;»,&nbsp;avait promis François Hollande. «&nbsp;En 2017, les élèves de quatrième qui auront été dotés l’année précédente pourront conserver leur matériel et une nouvelle génération de cinquièmes sera à son tour dotée et ainsi de suite. C’est ainsi que nous pourrons atteindre l’objectif, en 2018, (…) de 100 % d’élèves en collège qui disposeront d’un outil numérique&nbsp;».

&nbsp;Ils se sont quand même sacrément avancés à l’époque, même avec beaucoup d’optimisme, de tels objectifs me paraissaient déjà invraisemblables à la base.

&nbsp;





sephirostoy a écrit :

Oui oui, il y a des écoles primaires (principalement en ville et pas nécessairement que dans les quartiers les plus aisés) dont toutes les classes sont équipées en tableaux numériques.


J’en ai jamais vu pour ma part, ils devaient en faire une présentation à l’époque quand nous étions au collège mais… le dit tableau n’a jamais fonctionné au final. &nbsp;<img data-src=" />



Le gouvernement va créer un « Code du travail numérique »

Le 28/08/2017 à 12h 34






127.0.0.1 a écrit :

Intéressant.&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;

Une petite voix me dit que, dans un avenir proche, ce sont les AI qui auront la charge de comprendre les textes de loi… et que, par conséquent, il y aura sans doute l’émergence d’une version beaucoup plus orientée “logique formelle” de tous ces textes.&nbsp;

L’exemple cité par eolas dans son blog peut facilement être transformé en règle/algo.&nbsp;

(amusant de constater que le terme “code” s’emploie aussi bien pour le droit que pour l’informatique)


Ça me fait penser à ces articles qui datent maintenant d’un petit moment mais qui collent à tes propos :

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/05/27/une-intelligence-artificielle-fa… et&nbsphttp://www.huffingtonpost.fr/2016/05/13/premier-robot-avocat-embauche_n_9954520…. (j’espère que j’ai le droit de poster ces liens ?)

&nbsp;


ledon94 a écrit :

peut être qu’une façon de le rendre plus compréhensible et lisible par tous:c’est de le supprimer carrément. c’est ce qui va arriver d’ailleurs..


Pourrais-tu développer ?



Le 28/08/2017 à 11h 52

Le projet est intéressant, mais tout dépendra de la manière dont il sera réalisé, ça promet.&nbsp;:oui2:


Un internaute condamné pour un « like » sur une photo de Daesh

Le 25/08/2017 à 11h 20






CounterFragger a écrit :

Bah non, la “logique” actuelle en France, c’est de condamner à tire-larigot “pour l’exemple” sous le coup de l’émotion. Société décadente.


J’entendais par là que surveiller l’individu aurait été plus logique sur le long terme, je veux dire.
De là à condamner sous l’émotion ou pour l’exemple… ça dépend du juge chez qui ça atterrit je suppose.



Le 25/08/2017 à 11h 13






CounterFragger a écrit :

En résumé, il n’y a absolument aucune preuve qu’en mettant un like, cet homme ait des idées terroristes. A part pour un juge trop zélé ou des partisans de la dictature de la pensée unique. Ce jugement ne tiendrait pas une seule minute en cassation.


Certes, au pire des cas cela aurait au moins ouvert la voie à une surveillance de l’individu qui aurait permis, avec le temps, de trouver ou non d’autres éléments indiquant une forme de “sympathie” vis à vis d’organisations terroristes, qui auraient alors amené une condamnation en bonne et due forme.

Plus logique selon moi comme manoeuvre.