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JnnT

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369 commentaires

Le 30/10/2021 à 10h 01

C’est sûr que je décourage l’acheteur et nuis au commerce ! Mais guère au déficit de notre commerce extérieur.
Et tu ne dis rien sur le micro-code. Les failles découvertes sont une chose, les portes dérobées créées intentionnellement en sont une autre. Entre nous, si Microsoft obtient des contrats sensibles avec la France, ça doit avoir comme contrepartie l’accès aux portes dérobées. Microsoft et Intel, c’est cul et chemise.

Le 27/10/2021 à 15h 40

Bof… Qui a vraiment besoin d’un processeur plus performant ? À part quelques usages professionnels pointus, 2 à 3 % des machines, tout au plus. Je suppose qu’Intel a truffé de portes dérobées le micro-code. Ça doit être ça, l’innovation.

Le 27/10/2021 à 15h 33

La nouvelle interface, je l’ai vite modifiée avec StartAllBack. La barre des tâches sur deux lignes, vraiment mieux, et les icônes bien plus jolies. Non, ce qui me fait plaisir, c’est surtout de contourner l’interdit de Microsoft. C’est d’ailleurs fort simple, sans même modifier soi-même le registre. Curieusement, l’information circule, mais à bas bruit, pour les initiés. L’ogre de Redmond fait peur. Pas d’autre explication. Ubuntu/Lubuntu est une des meilleures choses qui me soit arrivée ces dernières années. Je suis très sérieux.

Le 22/10/2021 à 13h 42

Cette mise à jour qui ne me concerne pas - CPU AMD Phenom II ! - m’a été proposée et s’est installée sans problème sur mon PC incompatible. Qui tourne sans problème depuis une semaine après passage à Windows 11. Difficile de croire que Microsoft va subitement bloquer Windows Update pour les PC comme le mien.

Le 26/10/2021 à 10h 31

Pour un utilisateur pro qui ne veut rien risquer sur sa machine, il vaut certes mieux rester avec un Windows 10 qui tourne bien, même en ayant un PC compatible.



Sinon c’est jubilatoire de contourner les restrictions de Microsoft. Autant que d’acheter une licence Windows ou Office pour quelques euros.



Sous Ubuntu depuis 12.04 LTS, je reprends goût à mon PC sous Windows - mais ça va juste durer quelques jours.

Le 26/10/2021 à 10h 18

À l’utilisation et après une semaine, Windows 11 ne m’a posé aucun problème sur mon PC “non compatible”, même pas d’adaptation. Tout ce qui fonctionnait sous Windows 10 tourne pareil, même des applications qui étaient en mode de compatibilité Windows 7. Je craignais pour mon imprimante Brother mais non, elle imprime sans souci. Les différences W 10 et 11, ça doit porter sur un périmètre très restreint.

Le 14/10/2021 à 19h 08

Ce n’est pas tout à fait le sujet, mais, s’agissant du passage à Windows 11, c’est finalement assez simple et il y a mieux que Rufus : Windows11Upgrade‌.



Cf. ‌github.com GitHub



J’ai trouvé l’astuce sur https://www.ginjfo.com/actualites/logiciels/windows-11/page/2



Windows 11 s’est installé sans problème en suivant la procédure, sinon la lenteur habituelle. Installation par simple mise à niveau à partir d’une ISO préalablement téléchargée (Windows11Upgrade‌ offre trois possibilités). Par précaution lors de l’upgrade, antivirus mis en pause et câble Ethernet débranché.



À première vue, tout fonctionne, les icônes sont quasiment inchangées, le Bureau quasi à l’identique et j’ai reçu une mise à jour sitôt reconnecté. Il paraît que des imprimantes de marque Brother branchées en USB rencontrent des problèmes. Ça, j’ai pas essayé. La flemme après ces embarras.



Sinon, là, je suis de nouveau sous Ubuntu qui est vraiment un OS sans souci.

Le 13/10/2021 à 16h 52

Pour l’installation ou mise à niveau vers Windows 11, il n’y a pas que Rufus.
Cf. https://www.ginjfo.com/actualites/logiciels/windows-11/windows-11-upgrade-permet-dinstaller-los-sur-tous-les-pc-meme-ceux-non-eligibles-20211009

Le 07/10/2021 à 09h 00

Vous qui pestez contre W 11, avec raison, vous constatez ainsi que Microsoft existe. C’est le but ultime du nouvel OS. Davantage même que monétiser à travers la vente de nouvelles machines ayant W 11 pré-installé.
Le comportement pathologique des cas sociaux dont les nuisances compulsives correspondent à un besoin désespéré d’affirmation de soi.

Le 03/10/2021 à 19h 24

Donc un gros smartphone avec une petite batterie. Curieux.



Et puis “tungstène équitable du Rwanda”, ça me dérange aussi. Pas très équitable comme pays, et bien connu pour exporter du minerai extrait, par exemple, au Congo ex-belge (Kivu).

Le 03/09/2021 à 07h 44

Faut juste un décret pour interdire de bander - y compris aux femmes, sinon il y aurait discrimiation.



Les FAI seront chargés de faire appliquer.

Le 02/09/2021 à 08h 25

Utilisateur de Proton VPN, J’en suis fort satisfait. Il m’arrive d’utiliser deux VPN simultanément, l’un dans le navigateur et l’autre Proton VPN sans constater de baisse du débit de ma connexion. Ni latence ni ralentissement.
Sinon, la solution Mozilla VPN pose un grave problème pas abordé : cette entreprise étasunienne est soumise au Patriot Act et ne refusera rien, jamais, aux autorités des USA. Ni elle ni son prestataire. Dans ces conditions, payer pour avoir le droit d’être espionnés, faut juste être idiot. Comme tous les geeks sont culturellement et politiquement les “idiots utiles” de la NSA et alii, personne ne signale ce point.

Le 23/08/2021 à 16h 49

Quand je pense à l’Éducation nationale qui s’est mariée à Microsoft à la vie à la mort…



Là, soit ils bidouillent dans une relative illégalité, soit ils changent à peu près tous les PC de presque tous les établissements et services. Un pognon de dingue, comme dirait l’autre. Remplacement improbable de toutes ces machines. Alors l’ÉN restera scotchée sur une version désormais obsolète de Windows.
Bien la peine de filer tant d’argent de l’État à l’ogre de Redmond.
Même situation dans nombre d’administrations et entreprises.



On voit le problème comme utilisateurs individuels qui ont des solutions, mais ce n’est pas à ce niveau que le piège des logiciels propriétaires est scandaleux.

Le 01/08/2021 à 12h 39

Je précise : Free occupe juste la place qu’Orange lui a délibément laissée pour tuer toute autre concurrence. Orange rachetant Free, ce serait un retour - improbable - de la filiale à la maison mère.

Le 30/07/2021 à 07h 39

Bon, Niel emprunte sans doute à 0% pour sortir sa boîte de la bourse en rachetant ses propres actions à prix cassé. Il s’évite les contraintes d’une société cotée et la mauvaise image d’une dégringolade boursière. Éventuellement, il vendra une partie de sa société au travers d’une prise de participation, mais hors bourse. Ça lui permettra de rembourser l’emprunt. Faudra surveiller le repreneur. Un fonds ? Drôle si c’était Orange.

Le 27/07/2021 à 12h 51

Je fais chaque mois deux trajets TGV aller-retour avec un changement de gare à Paris par le métro. Dans celui-ci, le risque de contamination ne m’apparaît pas plus faible. Au contraire. Et les voyageurs qui s’agglutinent sur les quais des gares SNCF en attendant leur train de banlieue ? Pas spécialement inquiet pour le Covid, j’utilise deux FFP2 successivement lors de mes trajets. Plutôt que de fliquer la population, il serait plus efficace de généraliser ce type de masques dans les lieux à risque. Le vaccin, ce ne doit pas être là seule solution.

Le 27/07/2021 à 06h 26

Les trous dans la raquette sont énormes. Ne se contaminerait-on que dans les transports en commun “longue distance” et pas en bus urbain, métro, RER ou similaire ?



Le pouvoir fait preuve d’autoritarisme pour donner l’illusion qu’il maîtrise la situation et parce que l’occasion est trop bonne de renforcer le contrôle social avant, par exemple, de baisser les retraites. Une stratégie du choc reçue clé en main.



Pour moi, pas question d’exhiber un Ausweis sanitaire pour entrer dans un restaurant ou visiter un musée.

Le 23/07/2021 à 12h 10

Ah, ces vaccinolâtres ! Tous pour la science et dans le cercle de la raison… et ils basculent illico dans l’insulte furibonde. Olé ! Je continuerai à les provoquer quand j’aurai un moment. C’est que je suis en vacances, moi. Ils me fileraient du boulot à plein temps, ces sauvages.

Le 23/07/2021 à 09h 56

Faire écumer les vaccinolâtres, c’est franchement drôle. Jusqu’ici, un seul a accepté le codicille “JUSQU’À LA MORT”.
On a un peu le même effet qu’en mixant un milk-shake et en le buvant bien glacé aussitôt après. Continuons donc !



Le nombre d’employés complètement vaccinés qui sont testés positifs au coronavirus a (…) augmenté fortement aux Pays-Bas. Au LUMC (Leiden University Medical Center) 85% de tous les employés confirmés positifs ont été entièrement vaccinés. Au Radboud UMC (Nimègue), 34 cas ont été récemment déclarés.



“L’idée qu’on avait au départ, qu’on ne transmet plus le virus après la vaccination, ne semble pas vraie pour le variant delta. Nous voyons même des personnes qui ont déjà eu une infection, ont été vaccinées deux fois et sont à nouveau testées positives”, souligne ainsi le virologue clinicien Matthijs Welkers (Amsterdam UMC), auprès du quotidien néerlandais.



Bien que la vaccination prémunit contre les formes les plus sévères de la maladie, le variant Delta engendrerait un nombre très élevé de particules virales, jusqu’à mille fois plus que dans la variante originale, selon le microbiologiste Heiman Wertheim (Radboud UMC).



La suite, ce sera bien sûr un variant avec modification de ses spicules contre lequel les vaccins actuels seront inefficaces. À quelque chose, malheur est bon : la dépopulation qui s’en suivra sera salutaire, tant par la diminution de la pollution que par la réduction induite des inégalités.



Ça, c’est une injection ! Attendons les effets secondaires… Je vaccine les vaccinolâtres.

Le 23/07/2021 à 07h 27

L’agence du médicament surveille les rares cas de thrombose avec AstraZeneca (53 cas dont 13 décès ) et des troubles cardiaques avec Pfizer et Moderna (un peu moins de 200 cas enregistrés). Pour ces deux derniers vaccins, 25 cas grave de polyarthrite rhumatoïde ont été enregistrés.



Mais on ne connaît pas forcément encore tous les effets secondaires. Certains peuvent survenir des mois, voire des années après, comme le révèle la littérature médicale dans le cas du vaccin contre la grippe H1N1.



Récemment, une alerte vient d’être émise concernant la contre-indication du vaccin Astra Zeneca pour les personnes atteintes d’une maladie du sang très rare, le syndrome de fuite capillaire. « De très rares cas de syndrome de fuite capillaire (SFC) ont été signalés dans les premiers jours suivant la vaccination par Vaxzevria (Astra Zeneca). Un antécédent de SFC était présent dans certains cas. Une issue fatale a été signalée », écrit l’ANSM dans son communiqué.



La dernière alerte sur des effets secondaires de vaccins vient des États-Unis. L’agence américaine du médicament signale avec le vaccin Johnson & Johnson un risque accru de syndrome de Guillain-Barré, une atteinte neurologique parfois grave, mais extrêmement rare.



Il faut souligner que ces effets secondaires sont quasiment tous temporaires et d’évolution favorable. Les vaccins apportent un bénéficie réel face à la dangerosité de ce virus. Le rapport risques-bénéfices est de l’avis de la communauté scientifique, très positif.



Donc, effets secondaires graves très rares, mais, si ça tombe sur vous… Vous pourrez vous consoler avec le sentiment d’être unique !
Un point à noter : le suivi des effets secondaires repose quasi exclusivement SUR L’AUDÉCLARATION. Les informations recueillies à leur sujet sont insuffisantes de ce fait. Et le resteront.



Sinon, je note que les vaccinolâtres se dégonflent. Aucun n’a proclamé ici : “Je suis pour la vaccination JUSQU’À LA MORT - inclusivement”. En fait, ils friment, mais ils ont la trouille et s’efforcent de se rassurer en attaquant les antivax.
Fermez-la, écoutez battre votre cœur. Pas d’anticyclisme ?

Le 22/07/2021 à 18h 40

Les fadas de la vaccination sur NI, y a un malware qui perturbe leur OS.



Petit rappel :



Depuis le début de la vaccination, les effets indésirables sont suivis et ont été analysés par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Au 24 juin, selon l’agence, il y aurait eu :



33.296 cas d’effets indésirables sur plus de 45.779.000 injections pour le Pfizer,
6.213 cas pour le Moderna sur plus de 5.566.000 injections, 22.070 cas pour l’AstraZeneca
243 cas sur plus de 609.000 injections avec le vaccin Janssen.
Soit un total d’au moins 61.824 cas d’effets secondaires signalés. 25 % sont classés « graves » par l’ANSM et 75% « non graves ».



Donc, les vaccinolâtres, ça suffit pas de dire “Je suis pour !” Vous devez déclarer par écrit, lu et approuvé, signature, “Je suis pour la vaccination JUSQU’À LA MORT” - la vôtre, bien sûr.



Sinon, pas de piqûre de Rivotril pour abréger votre phase terminale.

Le 17/07/2021 à 17h 41

JnnT - moi-même - a aussi cité peu après un long article de Badia Benjelloun qui réfute celui d’Endgdahl, avec un argumentaire qui m’a convaincu, pas que dans sa partie réfutation du reste.



Le problème majeur des vaccins, c’est sans doute la qualité et la durée de la protection.



Par ailleurs le “tout vaccin”, qui fait l’impasse sur les traitements et laisse crever les malades chez eux avec du Paracétamol, il relève des tribunaux. Le choix gouvernemental de laisser mourir imposé aux médecins de ville, lesquels ont scrupuleusement respecté la consigne. “Il n’existe pas de traitement”, n’est-ce pas ? Alors qu’il serait surprenant qu’il n’en existât pas.

Le 17/07/2021 à 12h 08

La science n’est pas capitaliste, mais son usage l’est



Il est exposé ici quelques éléments de réponse à l’article commis par William Engdahl sur les effets néfastes des vaccins conçus à partir de la technique des ARNm.



En préambule, il est réitéré quelques principes qui gouvernent l’esprit de cette réponse.



Chacun est libre d’émettre une opinion et de l’exprimer. Cependant, quand elle émane d’une personnalité qui bénéficie d’une audience, il est en va de sa responsabilité morale et intellectuelle qu’elle soit valablement fondée et ce d’autant qu’il s’agit de questions scientifiques qui requièrent non pas une expertise particulière mais une pratique exercée à déceler les biais d’analyse.



Je soutiens depuis longtemps que l’industrie pharmaceutique qui s’approprie les résultats de la recherche scientifique publique et en fait un instrument de profit immédiat payé par les contributions des travailleurs aux caisses d’assurance maladie doit être confiée à des organismes de gestion associant les représentants des cotisants et des chercheurs. Cette exigence est plus juste et plus radicale que la simple levée des brevets et la suppression des droits à la propriété intellectuelle et du secret de fabrication.



Engdahl mentionne un document publié le 8 mai 2021 sur le site de l’Agence européenne du médicament introuvable en balayant tous les rapports émis entre avril et juin 2021. On supposera que les chiffres annoncés sont vrais.



Certains passages peuvent sembler ardus pour ceux qui n’ont plus en mémoire l’enseignement de biologie dispensé dans les collèges, ils peuvent être écartés de la lecture sans que cela ne nuise à la compréhension du texte.



Enfin, s’il n’existe pas de science capitaliste, il est une manière capitaliste de l’utiliser dont la motivation est bien le profit à court terme parfois au détriment du bien-être de l’humanité.



Nombre de décès



10 470 décès ont été enregistrés entre le premier janvier et le 18 mai 2021 parmi des personnes ayant été vaccinées par l’un des vaccins à ARNm. Cela appelle au moins trois remarques.



En rapportant le nombre de décès aux nombre de personnes totalement vaccinées c’est-à-dire ayant reçu les deux injections, plus d’une centaine de millions, cela donne une incidence de la mortalité qui est de 0,001%. On ne peut pas comparer cette incidence à la mortalité par la maladie virale car on adopte l’hypothèse implicite que toutes les personnes vaccinées auraient pu contracter l’infection. Or dans tous les pays du monde, peu ou prou, cette hypothèse n’est pas recevable car ont été adoptées des mesures sociales pour limiter l’infestation naturelle des populations.



Par ailleurs, la mortalité par le virus s’apprécie en rapportant le nombre de décès par le virus (directement ou indirectement) sur le nombre de personnes infectées de façon apparente ou non. Or l’estimation de cette fraction de la population est difficileà modéliser. Elle pourrait s’obtenir par le dosage d’anticorps anti-SarsCov2 sur toute la population ou un échantillon significatif de celle-ci, lesquels s’ils sont présents signent la confrontation avec le virus. C’est ainsi que l’on estime l’immunisation de groupe. Par ailleurs, ces anticorps ont une présence labile dans la circulation, cette durée est une variable individuelle. On néglige cependant cette donnée dans une première approximation, pour esquisser à un instant T l’image de l’acquisition de l’immunité collective. Ce travail épidémiologique est rarement fait ; les Chinois avaient beaucoup publié au début de la pandémie à ce sujet, ce qui avait donné une idée de la circulation silencieuse importante du virus.



Pour réaliser le gain de la vaccination en matière de mortalité, il conviendrait de comparer ce 0,001% à une mortalité calculée sur une file active de malades, chiffre pondéré par la file non des PCR positifs mais des sérologies positives.



Enfin, demeure la question fondamentale de l’imputabilité. Les médecins épidémiologistes savent combien est ardu le protocole qui établit les liens de causalité entre deux évènements, administration d’un médicament ou d’un vaccin et un effet secondaire ou un décès. Dans cette situation, il faut exclure toute autre cause de décès indépendante de la vaccination et avoir effectué des autopsies pertinentes.



Quelles sont les tranches d’âge majoritairement représentées dans ces 10 470 cas, sachant que dans les pays développés, l’option de vacciner d’abord les personnes âgées, les plus vulnérables à la maladie, a été adoptée. On peut s’attendre donc à une surmortalité naturelle dans cette sous-population élue en premier pour la vaccination par rapport à la population générale. Si 80% des sujets décédés avaient plus de 85 ans, cela n’a pas le même sens que si 80% avaient moins de 50 ans.



Quelles sont les pathologies préexistantes chez ces sujets ?
Il apparaît bien que l’autre question non résolue est la caractérisation rigoureuse de ce groupe de personnes décédées APRES la vaccination mais pas obligatoirement À CAUSE de la vaccination.



Un autre point est à souligner ici. La pandémie n’a plus la même allure depuis que les réanimateurs appliquent des traitements de façon plus finement adaptée aux patients hospitalisés en détresse respiratoire. On meurt beaucoup moins mais on reste hospitalisé plus longtemps, si bien que la mortalité s’en est trouvée transformée et réduite de façon appréciable. On ne connaît pas encore les séquelles possibles des formes graves ou mêmes modérées à moyen et long terme.



L’analyse des effets secondaires est encore plus complexe mais disons d’emblée qu’aucun médicament (même un placebo) n’est dénué d’effets secondaires. Comme pour tout risque, il faut en évaluer le bénéfice sur l’importance et la gravité du risque à l’échelle d’une population. C’est d’une grande banalité de dire que l’on n’interdit pas la pénicilline en raison de l’existence d’un nombre incompressible de chocs à celle-ci car elle rend d’immenses services dans de nombreuses situations infectieuses mais il faut le rappeler.



Il est certain que les effets secondaires sont sous-estimés en raison de la méthode de leur recueil. En effet, l’étude publiée en décembre par Pfizer indique que la consultation post vaccinale se fait à l’aide d’un journal électronique quotidien suivi à 90-93% après la première dose et 75-83% après la deuxième dose. Ainsi les effets secondaires sont recensés à partir d’auto-déclarations émanent des volontaires de l’investigation, il n’a pas été organisé d’entretien en face à face avec un soignant. D’après le protocole, les évènements indésirables ne sont consignés que jusqu’à quatorze semaines après la deuxième injection. On voit donc bien les limitations intrinsèques de l’étude.



La recherche des effets secondaires pour Moderna s’est faite activement par les investigateurs durant une semaine chaque jour après chaque injection, mais après ce délai, ils étaient auto-déclarés pendant les trois semaines suivantes.



Les limites des études



Les études publiées par Pfizer et Moderna qui ont affirmé l’efficacité de leurs vaccins à plus de 90% leur ont permis d’obtenir des financements essentiellement publics pour fournir- au monde occidental- rapidement et à doses massives leurs vaccins considérés par la FDA comme expérimentaux. Ce type de procédure d’urgence est appliqué depuis longtemps en France dans le cadre de ce qu’on appelle ATU, autorisation temporaire d’utilisation d’un dispositif ou médicament pour augmenter les chances de survie en l’absence d’autre possibilité alternative. Or dans ce cas, il ne s’agit pas de traiter des malades mais d’administrer une prévention à une population saine.



A moins de supposer que les géants pharmaceutiques aient triché sur leurs données brutes (ce qui n’est pas impossible), elles montrent que les vaccins réduisent le nombre de cas symptomatiques et qu’ils évitent les cas graves. Sur cent personnes infectées au cours de l’étude seulement cinq ont été vaccinées. C’est un résultat substantiel, sauf encore une fois si l’on conteste la véracité des données.



Mais ces études ne démontrent pas que les personnes vaccinées ne transmettent pas le virus pour la raison simple que ce n’était pas les objectifs du travail. Il aurait fallu pour ce faire suivre par PCR au moins hebdomadairement sur de longs mois (combien ?) après la deuxième injection et faire le traçage et le rétro traçage des contacts en cas de positivité.



En revanche, personne ne souligne que l’efficacité est mesurée à deux mois après la deuxième injection mais pas au-delà. Donc efficacité à 95% mais vérifiée à deux mois. La protection peut tout à fait être éphémère et s’estomper au bout de quelques mois voire d’une année.



Quant à la critique du choix d’individus sains pour mener l’essai, il est imposé par les commissions d’éthique et au-delà des de la réglementation, il n’est pas correct d’expérimenter sur des sujets ayant des vulnérabilités en raison de pathologies. Le recrutement de volontaires pour ce type d’essais obéit à des critères universellement admis.



Pour en finir avec la dénaturation de l’ADN humain
Que fait l’infection par le Sars CoV 2 sinon de parasiter le maximum de cellules d’un hôte donné pour leur faire produire via des ARNm tous ses éléments structuraux et non structuraux dont la protéine S n’est qu’une faible part ?



L’infection est bien l’introduction d’un ARN étranger de façon massive et réussie dans les cellules de l’hôte dont le métabolisme cellulaire est détourné pour reproduire la particule virale totale.



Est-il pertinent de reprocher à un vaccin de mimer l’infection sans donner la maladie pour éviter cette dernière ? Non car c’est le but recherché. La vaccination va faire produire sur un temps très limité une protéine S légèrement différente de celle du virus car elle a une structure rigide et ainsi déclencher une réaction immune.



La durée de vie de cet ARNm étranger dans l’organisme est brève comme l’est celle de TOUS les ARNm y compris endogènes. La cellule eucaryote ne laisse pas traîner le messager qui n’est qu’un intermédiaire entre l’ADN et la protéine finale, elle le détruit pour empêcher une inflation protéique.



La possibilité que l’ARN soit retranscrit en ADN pour être intégré dans l’ADN de l’hôte est très improbable car la cellule humaine n’a pas l’équipement enzymatique pour le faire. La transcriptase réverse, enzyme qui synthétise de l’ADN à partir d’une matrice d’ARN n’existe que chez les rétrovirus et les rétro-transposons. Ceci pose une vraie question pour les patients atteints du VIH. Récemment, une ADN polymérase Théta qui intervient dans la réparation d’ADN cassés par des radiations ionisantes ou d’anomalies de copie lors de la division cellulaire a suscité une flambée d’intérêt pour son hypothétique capacité de rétro-transcrire de l’ARN. Elle est là pour limiter les grandes délétions à partir d’amorces appariées de manière minimale. Par un artifice expérimental les auteurs ont réussi à lui faire transcrire de l’ARN en ADN ce qui n’est pas son activité habituelle.



Si l’ARN étranger avait quelque chance de se faire intégrer dans l’ADN humain, notre patrimoine serait enrichi à chaque infection par le virus de la grippe (à ARN lui aussi) et par tous les ARN des coronavirus bénins, bien plus efficacement qu’avec les quelques trente microgrammes du vaccin.



La rapidité de l’obtention de ce type de vaccin a été possible en raison de l’aboutissement de plusieurs décennies de recherche fondamentale laborieuse, faite dans le silence des laboratoire souvent avec des difficultés de financement, des moments de lassitude et de découragement des femmes et des hommes qui resteront inconnus du public.



Un afflux de moyens financiers inédit a également drainé des ressources humaines techniques considérables, à la mesure de l’enjeu à la fois de l’ampleur de la pandémie et des gains escomptés.



Ce type de traitement préventif a quelque chance de s’étendre à d’autres pathologies infectieuses en particulier parasitaires comme le paludisme qui continuent de faire des centaines de millions de nouveaux maladesdont près d’un demi-million de décès chaque année dans le tiers-monde, en particulier en Afrique.



Bien sûr l’idéal serait que les pays ayant ce fléau comme endémie ne soient pas pauvres (appauvris par l’impérialisme), ne soient pas soumis à des guerres prédatrices commises directement ou par proxy ou mercenaires interposés par l’Occident. Ils pourraient alors assécher les marécages dans lesquels se développe l’anophèle, hôte intermédiaire du plasmodium, généraliser l’usage des moustiquaires. Mais si dans l’intervalle un laboratoire (même capitaliste) le mettait au point, ce serait un progrès relatif.



Ce qui n’est pas dit
L’ARNm n’est pas un OGM



Il est tout à fait faux de parler de l’ARNm comme étant un OGM. D’abord il ne s’agit pas d’un organisme, mais d’un morceau d’information génétique construit pour être traduit en une protéine donnée.



Ce morceau d’ARN vaccinal ne peut pas se reproduire.



Il n’est pas ‘génétiquement modifié’, l’expression est fausse.



Il est entièrement synthétique, fabriqué de A à Z dans des cuves par l’être humain et mime en très grande partie la partie codante pour la protéine Spike. Il a fallu un grand rendort d’artifices pour qu’il ne soit pas instantanément détruit une fois dans l’organisme humain. La durée de vie d’un ARNm humain naturel varie de quelques minutes à au plus quelques heures. Un ARNm exogène est obligatoirement plus labile chez le sujet sain, non immunodéprimé. C’est à la fois ce qui a rendu si ardu la fabrication des vaccins basés sur ce type de molécule et en même temps est un gain de sécurité. On ne les retrouve plus au bout de quelques heures.



Mutations non silencieuses



Malgré les énormes capitaux engagés pour produire les vaccins des firmes Pfizer et Moderna, la production de masse n’a pas été assurée. Dans les premiers mois, il a été enregistré des anomalies dans la régularité de l’approvisionnement en raison de processus défectueux sur les chaînes de production. Il a fallu en effet créer de novo des plateformes industrielles pour un produit inédit, or passer de l’échelle de l’expérimentation à une production intensive exige du temps. Le nombre de personnes vaccinées par cette technique depuis janvier est dérisoire, à peine une centaine de millions. Les mesures sociales de ralentissement de la circulation du virus étant très mollement appliquées dans les pays ‘libéraux’, des variants qui résistent aux versions à ARNm ont fini par apparaître.



Pari perdu



L’hypothèse partagée par beaucoup de chercheurs que les régions codant pour les sites stratégiques de reconnaissance de la protéine S mutaient peu a été prise en défaut. En raison d’une circulation très intense du virus, les évènements réputés statistiquement rares ont quand même généré des variants, singulièrement répandus dans les pays libéraux. Deux mois à peine après le début du lancement de la vaccination en Occident grâce aux fonds surtout publics qui ont favorisé Pfizer et Moderna, il a été mis en évidence l’échec de la prévention qu’ils induisent face au variant B1.351, variant sud africain ou encore variant Béta.



Les essaisfaits a minima, ont été menés in vitro avec des pseudo-virus mimant le Sars Cov2 muté. Vingt sérum de quinze patients ont été prélevés deux à quatre semaines après la deuxième injection par Pfizer. Face aux variants britannique et brésilien, les titres neutralisants ne diffèrent pas par rapport à la souche jusque là majoritaire la D614G. Il faudrait des titres trois à quatre fois plus forts pour neutraliser le Béta.



Moderna a été encore plus économe dans sa démonstration, à partir de huit sérum de patients vaccinés, il a été montré que contre le variant Béta, ils étaient six moins efficaces que contre le D614G. A la date du 17 juin, le variant Alpha est encore majoritaire en France alors que le Delta (l’indien) est en train d’émerger avec des foyers de transmission documentés.



Focalisation sur la trompe de l’éléphant



On sait maintenant que les épitopes (*) négligés par la recherche appliquée, celle qu’affectionnent les investisseurs dans la santé humaine, sont au nombre de 1400 (10) en ce qui concerne les –cibles des cellules T, celles qui sont responsables de l’immunité non médiée par les anticorps. Les cellules T reconnaissent bien autre chose que la protéine S pour combattre le virus. Elles identifient des configurations sur les protéines de structure S bien sûr mais aussi de la membrane, de la nucléocapside et de protéines non structurales NSP3 NSP4 et NSP12. Egalement sur des zones ouvertes de lecture, ORF 3 et ORF 8.



Ce sont toutes ces cibles qui sont l’objet du combat immunitaire de l’hôte quand il est ‘naturellement’ exposé à l’infection. Les cellules T impliquées sont ‘tueuses’ ou aidantes pour la production d’anticorps. Finalement, s’être adressé à une protéine structurale unique s’est avéré être un mauvais pari car aussi importante fût-elle, elle est le siège de mutations qui améliorent sa fonctionnalité (pénétration cellulaire) et fait échapper le virus au réseau de surveillance immunitaire éduqué pour reconnaître la version sans les mutations plus récemment acquises.



Les autres choix
La Chine a procédé tout autrement.



Elle s’est adressé en premier lieu au vaccin tiré du virus cultivé et inactivé, technique solide, éprouvée, utilisée pour le vaccin de la grippe, la rage et l’hépatite A. Nul besoin de créer des plateformes industrielles d’une conception nouvelle.



Le but est d’assurer la vaccination d’un maximum de personnes en un temps record.



En attendant, la circulation virale a été strictement interdite par des mesures de confinements, de mise en quarantaine draconiennes dès le moindre cluster identifié. La ville de Guangdong (18 millions d’habitants) a été confinée, ses aéroports à demi-fermés, après la découverte d’un cluster de 50 personnes en mai.



Deux variétés de vaccins inactivés à partir de deux souches différentes ont été conçus et produits. Leur efficacitéa été évaluée sur plus de 40 000 volontaires dans différents centres, Pérou, Argentine, Brésil, Turquie et Jordanie.



L’efficacité jugée à deux semaines après le deuxième shot est de 72% pour le WIVO4 et de 78% pour le HNO2. La faiblesse de l’étude est qu’elle ne concerne que des sujets sains, le plus souvent masculins et de moins de soixante ans. Le critère d’efficacité retenu était qu’il fallait assurer une prévention chez plus de 50% des personnes vaccinées, ce que l’on obtient avec la grippe, il a bien été atteint.



Georges Gao, le directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies est très satisfait de ces chiffres mais n’exclue pasla nécessité d’administrer une troisième injection pour améliorer l’efficacité vaccinale. Bahreïn et les EAU proposent déjà une troisième dose aux personnes à risque.



Actuellement, plus de 22 millions de doses sont administrées par jour et malgré un démarrage lent de la prophylaxie, 15% de la population vaccinée seulement début mai 2021, plus d’un milliard de Chinois ont actuellement reçu au moins une dose. La validation par l’OMS des vaccins inactivés de Sinopharm et de Sinovac le 7 mai 2021 semble avoir accéléré le processus.



Le vaccin recombinant de la firme chinoise CanSino Biologics, conçu sur le même modèle que Spoutnik V et celui d’AstraZeneca, a reçu le 21 mai la certification de l’Institut national hongrois de pharmacie et de nutrition, ce qui constitue une porte d’entrée pour le marché européen et plus largement pour une distribution mondiale. Sinopharm avait reçu la même certification en avril. A ce rythme, il est prévu que toute la population chinoise ‘vaccinable ‘ le sera dès la fin de l’été.



Cuba petit pays de onze millions deux cent mille habitants sous blocus depuis 1962, a réussi la prouesse de concevoir 4 vaccins simultanément. Les médecins et les chercheurs de ce petit pays sont très avancés dans le domaine de la biologie moléculaire. Les vaccins Soberana 1 et 2 et Soberana+ sont la séquence de la protéine de pointe qui se lie au récepteur de la cellule hôte (Receptor Binding Domain, RBD).



Autrement dit, au lieu de fabriquer toute la protéine spike, ils se sont contentés de s’adresser à la partie pertinente de celle-ci, celle qui s’attache au récepteur de l’hôte.



La plateforme de production de ce type de protéine de synthèse existait déjà à un niveau industriel. Le projet est de vacciner 22% de la population fin juin et 70% fin août. Le vaccin Abdala, conçu de la même façon, a passé lui aussi avec succès les essais de phase 3, il sera bientôt produit au Venezuela au rythme de deux millions de doses par mois. Etant un petit morceau de la spike, il faut trois injections pour avoir un effet immunogène satisfaisant.



Et les traitements ?



A mesure qu’elle progresse-trop lentement- et qu’elle laisse des continents et des sous-continents démunis non protégés, la vaccination et l’immunité naturelle acquise laissent se développer des variants qui se révèlent incontrôlables par cette prophylaxie que l’on espérait durable pour au moins une année. Obnubilés par les faux problèmes d’une modification du précieux patrimoine chromosomique, on ne s’est pas enquis de poursuivre les recherches cliniques de médicaments antiviraux. Cela avait fini par être obtenu avec le VIH ! Une fois épuisées les possibilités de repositionnement de molécules anciennes, ce qui se fait avec chaque nouvelle menace infectieuse épidémique en commençant par l’HIV, le virus Ebola, le chikungunya etc, il aurait fallu fallait dynamiser cette voie.



Les cibles virales ne manquent pas



Une fois attachée à la membrane de la cellule hôte par le fameux RBD de la Spike, la particule a besoin du travail d’une enzyme de l’hôte, la TMPRSS2, une sérine protéase pour pénétrer dans la cellule. Un inhibiteur de cette sérine protéase est le Camostat, Celle molécule mise au point au Japon est utilisée depuis vingt ans contre la fibrose du pancréas et le reflux gastrique post opératoire. Les essais semblent très prometteurs.



La RNA polymérase RNA dépendante est une enzyme strictement virale et d’en concevoir des inhibiteurs permettra de ne pas interférer avec le métabolisme de l’homme. Deux inhibiteurs sont à l’étude en phase 3.



Les inhibiteurs d’enzymes sont des molécules relativement simples et aisées à synthétiser.



Pas assez technologie du futur pour une société rééduquée à être technophile et adepte de gadgets jetables ?



Mais aussi et surtout pas assez de profits à dégager ?



Le monde occidental (celui qui donne encore le ton mais pour combien de temps encore ?) en matière de production de savoir est coupable d’avoir fait des choix de lutte contre la pandémie du Sars CoV 2 en privilégiant des techniques élitistes qu’il s’est réservé à lui-même.



Il est responsable et devra rendre des comptes pour un égoïsme qui lui revient en boomerang sous la forme de variants insensibles à sa prétendue haute technologie dont il n’est pas par ailleurs l’inventeur.



Avec amertume et dégoût pour cette conduite, on ne peut que constater que toute l’humanité paiera pour cette inconséquence. Il ne gagnera pas cette nouvelle forme de guerre asymétrique menée contre un virus et les pays les plus pauvres de la planète.



Note



(*) Où déterminant antigénique est le motif d’un antigène qui est reconnu par un récepteur situé à la surface d’un lymphocyte ou par la partie variable d’un anticorps. En général, il s’agit une région d’une protéine. Par exemple, les épitopes de la protéine Sont été bien étudiés, les techniques de cristallographie permettent de voir où s’attachent les anticorps.



Les immunologistes-biochimistes ont des modèles pour prédire quelle zone peut être concernée par la reconnaissance immunitaire. Ici par exemple, on dénombre une vingtaine de sites qui concernent en général autour de quinze acides aminés.

Le 16/07/2021 à 17h 44

Le bilan élevé des pertes causées par les vaccins à ARN messager appelle une réponse urgente. Par F. William Engdahl



A mesure que les données gouvernementales officielles sortent, en Europe et aux USA, sur le nombre alarmant de morts, de paralysies permanentes, et autres effets secondaires graves dûs aux vaccins expérimentaux à ARN messager, il devient clair qu’on nous demande d’être les cobayes humains d’une expérience qui pourrait altérer la structure génétique humaine, et pire encore. Tandis que les Medias Main Stream ignorent ces données alarmantes au nombre desquelles la mort d’un nombre important de jeunes personnes en bonne santé, la politique vaccinale du corona, de Washington à Bruxelles, en passant par l’OMS et le cartel pharmaceutique, est mise en place avec la compassion maffieuse d’une offre impossible à décliner.



Le rapport alarmant de l’EMA



Ce 8 mai, le European Medicines Agency (Agence Européenne du Médicament, EMA), une agence de l’Union Européenne en charge de l’évaluation et de la supervision des médicaments à partir de la base de données d’EudraViligence, qui recense toutes les suspicions d’effets indésirables, dont ceux des vaccins, a publié un rapport qui a à peine retenu l’attention des principaux médias. Au 8 mai 2021, elle avait enregistré 10.570 morts et 405.259 dommages suite à l’injection d’un des quatre vaccins expérimentaux : vaccins Covid-19 ARNm de Moderna (CX-024414) ; Vaccin Covid-19 de Pfizer-BioNtech ; Vaccin Covid-19 d’Astrazeneca (CHADOX1 NCOV-19) ; et le vaccin Covid-19 Johnson & Johnson de Janssen (AD26.COV2.S).



Une analyse détaillée de chacun des vaccins donne les précisions suivantes : le Pfizer-BioNtech à ARN messager génétiquement modifié a donné le plus grand nombre de cas mortels – 5.368 décès et 170.528 dommages, soit presque la moitié de la totalité des quatre vaccins. Le vaccin à ARN messager de Moderna est second avec 2.865 décès et 22.985 dommages. Ce qui revient à dire que les deux vaccins expérimentaux à ARN messager génétiquement modifié, Pfizer-BioNtech et Moderna, sont à eux seuls responsables de 8.233 morts sur la totalité des 10.570 morts enregistrées. C’est 78% de tous les décès rapportés pour les quatre vaccins actuellement en utilisation en Europe et aux États-Unis.



Parmi les effets secondaires graves et les dommages enregistrées par l’EMA pour les deux vaccins à ARN messager sur lesquels nous portons notre attention dans cet article, le vaccin « expérimental » de Pfizer compte parmi les dommages les plus souvent rapportées ; des troubles du sang et du système lymphatique incluant la mort, des troubles cardiaques incluant la mort, des troubles squeletto-musculaires et des tissus conjonctifs, des troubles thoraciques et mediastinaux, et des troubles vasculaires.
Pour le vaccin Moderna à ARN messager, les dommages les plus sérieux et les causes de décès se rapportent à des troubles du système sanguin ou lymphatique, des troubles cardiaques, des troubles squeletto-musculaires et des tissus conjonctifs, et des troubles du système nerveux central.



Notez que ce ne sont là que les effets les plus graves des dommages produites par ces deux vaccins à ARN messager modifié. L’EMA admet également que seul un petit pourcentage des morts post-vaccinales et des effets secondaires graves est, pour diverses raisons, enregistré, peut-être seulement 1 à 10% des cas. Depuis janvier 2021, officiellement plus de 10.000 personnes sont décédées après avoir reçu leur injection.



Le bilan des décès post-vaccinaux est déjà effrayant en soi, il le sera plus encore s’il s’avère que les chiffres sont minorés.



Même le centre états-unien Center for Disease Control (le CDC, une agence US notoirement politisée et corrompue par ses liens avec les fabricants de vaccins), dans ses statistiques officielles du Vaccine Adverse Event Reporting (VAERS, base de donnée centralisant les rapports d’effets secondaires post-vaccinaux) montre un total de 193.000 effets secondaires incluant 4.057 morts, 2.475 handicaps permanents, 25.603 passages aux urgences, et 11.572 hospitalisations suite aux injections vaccinales Covid-19 délivrées entre le 14 décembre 2020 et le 14 mai 2021. Cela inclut les deux vaccins à ARN messager modifié, Pfizer et Moderna, et le bien moins prévalent vaccin J&J de Janssen. Sur les morts rapportées, 38% se sont produites moins de 48 heures après que les personnes aient été vaccinées. Le bilan officiel des morts US en cinq mois est plus élevé que toutes les morts post-vaccinales enregistrées ces 20 dernières années, tous vaccins confondus. Cependant, ces faits dérangeants sont enterrés par le gouvernement américain et les principaux médias du monde entier.



Quelques 96% des issues fatales ont été le résultat des vaccins Pfizer et Moderna, les deux qui utilisent la technologie génétique ARN messager, financée et promue par la Fondation Bill Gates et par le NIAD de Tony Fauci. D’ailleurs, le docteur Tony Fauci, le tsar des vaccins de l’administration Biden, et son centre de recherches vaccinales NIAD, ont collaboré à la conception du vaccin Moderna à ARNm modifié, et ont financé Moderna et Pfizer à hauteur 6 milliards de dollars chacun. Cela constitue un conflit d’intérêt flagrant, puisque Fauci et son NIAD ont été autorisés à tirer des profits financiers de leurs brevets selon une curieuse loi américaine. Le NIAD a en effet développé les protéines Spike du coronavirus pour la production des vaccins SRAS-CoV-2 à ARNm en utilisant des financements publics. Puis il a ensuite rétrocédé la licence d’exploitation à Moderna et Pfizer.
« Jamais vu dans la nature… »



Chose tragique, ces expériences sans équivalent au regard des réactions engendrées par ces deux vaccins à ARNm fabriqués à vitesse supersonique, selon la terminologie du gouvernement américain lui-même, commencent à rendre visible le test grandeur nature auxquels sont soumis les cobayes humains. En effet, peu le savent mais les deux vaccins à ARNm utilisent du matériel génétique modifié jamais utilisé sur l’homme auparavant. Sous couvert d’urgence, les autorités sanitaires des USA et l’UE ont renoncé aux tests sur les animaux, et comme elles n’ont pas approuvé leur sécurité, elles ont seulement accordé une autorisation temporaire de mise sur le marché. De plus, les fabricants de vaccins sont exemptés à 100% de toute responsabilité pénale.



Le grand public a été rassuré sur la sûreté des vaccins avec les publications de Pfizer et Moderna indiquant 94 et 95% de taux de réussite. Le NIAD de Fauci s’est rapidement fendu du qualificatif « extraordinaire » dès novembre 2020, et la vitesse de croisière supersonique a été atteinte, tout comme celle des actions de Pfizer et Moderna sur les marchés boursiers.



Peter Doshi, rédacteur adjoint du British Medical Journal, a pointé une faille majeure dans le rapport sur les plus de 90% d’efficacité des vaccins Moderna et Pfizer. Il remarqua que ces pourcentages étaient relatifs par la sélection, pour les tests cliniques, d’un échantillon jeune et en bonne santé ne correspondant en rien à la vraie vie. Dans le monde réel, nous exigeons de connaître l’efficacité d’un vaccin sur la population générale. Doshi pointe également le fait que Pfizer a exclu de son analyse intermédiaire 3.400 cas suspectés de Covid-19. De plus, « dans les deux essais cliniques de Moderna et de Pfizer étaient inclus des individus réputés positifs au SRAS-CoV-1 (le SRAS asiatique de 2003), en dépit du fait que ces infections devaient être exclues des tests » rapporte Doshi. Les deux sociétés ont refusé de rendre publiques leurs données brutes. Les scientifiques en place de Pfizer ont fait leurs tests. En bref, 95% c’est ce qu’ont déclaré Pfizer et Moderna. Ils nous ont dit « ayez confiance ». Cependant, une estimation plus réaliste de leur efficacité réelle dans le public général, selon les données fournies par les fabricants à la FDA, montre dans les études intermédiaires que le vaccin Moderna présente une réduction des risques de 1,1%, tandis que l’exposition au risque est réduite de 0,7% chez Pfizer. C’est notoirement insuffisant.



Peter Hotez, doyen de l’école nationale de médecine tropicale au Collège de Médecine de Baylor, à Houston, a déclaré : « idéalement, vous attendez d’un vaccin anti-viral deux choses… la première, qu’il réduise la probabilité que vous contractiez une forme grave de la maladie avec passage à l’hôpital, la seconde, qu’il prévienne l’infection et donc, qu’il interrompe la transmission de la maladie ».
Comme Doshi le note, « aucun des tests n’a été élaboré pour détecter une réduction des cas les plus sévères comme les admissions à l’hôpital, le recours aux soins intensifs, ou la mort. De la même manière, il n’a pas été prévu de tests pour vérifier si les vaccins en cours d’étude peuvent ou non interrompre la transmission virale ». Le directeur médical de Moderna a même admis que « nos tests ne démontrent pas de réduction de la transmission ».
Effets secondaires possibles des vaccins à ARNm



Dans une nouvelle étude majeure qui vient juste d’être publiée dans le International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research, le docteur Stephanie Seneff, scientifique chevronnée du Laboratoire de Science informatique et d’Intelligence Artificielle du MIT, et le docteur Greg Nigh, naturopathe oncologue, analysent en détail les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm de Pfizer et Moderna pourraient causer autant d’effets secondaires chez les personnes vaccinées. Tout d’abord, ils soulignent le fait que les deux vaccins à gènes modifiés de Pfizer et Moderna sont hautement instables : « les deux sont libérés par injection intramusculaire, et les deux ont besoin d’une conservation à très basse température pour empêcher la décomposition de l’ARN. Car contrairement au brin d’ADN à double hélice, qui est très stable, les produits à base d’ARN à simple hélice sont susceptibles d’être endommagés ou rendus inefficace à des températures moyennes et doivent être conservés à des températures extrêmement froides pour garantir tout leur potentiel. » Pfizer recommande -70°C.



Les auteurs soulignent que pour empêcher la décomposition de l’ARNm, les deux fabricants de vaccins ont placé du méthyl-pseudouridine pour stabiliser l’ARN contre les effets de la dégradation, afin qu’il survivre suffisamment longtemps pour produire les quantités adéquates de protéines antigènes. Le problème qu’ils soulignent est que « cette forme d’ARNm administrée par vaccin n’a jamais existé dans la nature, et donc présente un risque aux conséquences inconnues…. manipuler le code de la vie pourrait ainsi conduire à des effets négatifs non anticipés, sur le long terme, voire même permanents. »
Adjuvant PEG et choc anaphylactique



Afin d’éviter le recours aux adjuvants aluminiques pour booster la réponse immunitaire, les deux vaccins à ARNm utilisent du polyéthylène glycol, ou PEG, comme adjuvant. Ceci n’est pas sans conséquence : les auteurs soulignent que les deux vaccins à ARNm actuellement déployés contre la Covid-19 utilisent des nanoparticules à base de lipides facilitant la diffusion de l’ARNm. Pour pouvoir être transportée, l’ARNm est placée à l’intérieur d’une enveloppe composée de cholestérol et de lipides synthétiques, en plus du PEG pour protéger la molécule de la dégradation.



Le PEG est connu pour produire des chocs anaphylactiques ou de sévères réactions allergiques. Dans de précédentes études sur des vaccins non-ARNm, on comptabilisait deux chocs anaphylactiques par million d’injections. Avec les vaccins à ARNm, les études révèlent que « les chocs anaphylactiques se produisent à raison de 247 cas pour un million de vaccinations. C’est 21 fois plus que ce qui a été rapporté par le CDC. La seconde injection est susceptible de causer un nombre plus important de réactions anaphylactiques. » Une des études souligne que « le PEG est un allergène caché à haut risque, non suspecté habituellement et qui peut conduire à de fréquentes réactions allergiques consécutives à une réexposition par négligence. »



On est loin de tous les risques non déclarés des vaccins expérimentaux à ARNm du Coronavirus.
« Antibody-Dependent Enhancement »



La facilitation de l’infection par anticorps, Antibody-Dependent Enhancement ou ADE, est un phénomène immunologique connu. Seneff et Nigh soulignent que « l’ADE est un cas spécifique de ce qui peut se produire quand un bas niveau d’anticorps non neutralisés est présent dans le corps au moment d’une infection virale. Ces anticorps pourraient être présents… en raison même de la vaccination contre le virus… ». Les auteurs suggèrent que dans le cas des vaccins Pfizer et Moderna à ARNm, « la non-neutralisation des anticorps forme des complexes immunitaires avec antigènes viraux qui provoquent une sécrétion excessive et pro-inflammatoire de cytokines, et, dans certains cas, des orages cytokiniques qui causeront des dommages généralisés aux tissus. »



Pour être clair, en temps normal les cytokines sont partie intégrante de la réponse immunitaire du corps en cas d’infection. Mais leur soudaine libération en grande quantité, l’orage cytokinique, peut causer une défaillance générale des organes et conduire à la mort. Notre système immunitaire naturel subit une libération excessive et hors contrôle de ces molécules pro-inflammatoires appelées cytokines.



Les auteurs ajoutent que « les anticorps préexistants induits par injection vaccinale contribuent aux dommages pulmonaires par SRAS-CoV observés chez les macaques… » Une autre étude mentionnée rapporte que l’exposition à d’autres coronavirus, tels ceux de la grippe saisonnière, prédispose les plus âgés à un risque d’ADE en cas de rencontre avec le SRAS-Cov-2. C’est une des explications possibles à l’incidence élevée de décès constatés chez les personnes âgées vaccinées avec les vaccins ARNm.



Les fabricants de vaccins ont une façon intelligente de démentir la toxicité de leur produit à ARNm. Comme le rapporte l’étude de Seneff et Nigh, « il est impossible de distinguer l’ADE induite d’une véritable infection virale ». Fait révélateur selon eux, même lorsque les maladies et la mort se produisent peu de temps après la vaccination, en dépit d’une investigation poussée, il ne peut pas être démontré que la réaction post-vaccinale en était la cause proximale.



Les auteurs soulèvent de nombreux points tout aussi inquiétants incluant l’émergence de maladies auto-immunes telles que les maladies cœliaques, maladies du système digestif qui endommage l’intestin grêle et interfère avec l’absorption des nutriments alimentaires. Également le syndrome de Guillain-Barré (SGB) qui conduit à un affaiblissement musculaire progressif et à la paralysie. De plus, après vaccination un Purpura Thrombocytopénique Immunitaire (PTI) peut se produire par « migration des cellules immunitaires transportant les nanoparticules d’ARNm du système lymphatique vers la rate, induisant des taux très bas de plaquettes sanguines – ces cellules qui permettent la coagulation. Le PTI apparaît initialement comme pétéchie ou purpura de la peau et/ou saignement des surfaces muqueuses. Cela conduit à un risque élevé d’hémorragie et d’AVC. »



Ces exemples sont significatifs des dangers encourus par la race humaine exposée au vaccin expérimental à ARNm génétiquement modifié, dangers qui excédent de loin le risque potentiel du truc appelé SRAS-Cov-2. Loin de la substance miracle préconisée par l’OMS, Fauci et tous les autres, les vaccins à ARNm de Pfizer, Moderna et consorts induisent potentiellement des conséquences imprévisibles et tragiques. Il ne faut pas s’étonner si certains critiques avancent l’idée d’un programme d’extermination dissimulée.



Par F. William Engdahl



Article original en anglais : “We are Human Guinea Pigs”: Alarming Casualty Rates for mRNA Vaccines Warrant Urgent Action, publié le 27 mai 2021.

Le 16/07/2021 à 13h 56

Donc, depuis le début de l’épidémie, Raoult empoisonne ses patients avec la complicité de tout l’IHU. Difficile à croire, tout simplement.

Le 15/07/2021 à 09h 18

Un site intéressant, “Décoder l’éco”. Une réflexion à partir des statistiques officielles par un statisticien. Ça décoiffe.



Sinon, ce qu’on peut reprocher aux vaccins actuels est de prendre comme cible la spicule, pas le virus. Une mutation de celle-ci et les deux piqûres n’auront servi à rien. Or cette mutation adviendra. Pour Big Pharma, pas de problème, des doses supplémentaires, chaque année, un prodigieux pactole. Un vaccin traditionnel, ciblant la charge virale, serait préférable. Celui de Sanofi ne sera prêt qu’en décembre.



Marrants, ces contributeurs qui ne connaissent comme alternatives que l’Ivermectine et le protocole Raoult. Et qui croient que l’Hydroxychloroquine présente un risque de santé.

Le 15/07/2021 à 08h 30

Disons-le : l’étape suivante sera la vaccination par la BAC au LBD.



À chaque tir, ils gueuleront : “Vacciné !” Ces flics n’étant pas eux-mêmes vaccinés. Bien sûr, les meilleurs seront décorés…



Je plaisante, mais à peine. La pandémie est l’occasion de développer une stratégie du choc qui vise à soumettre la population.

Le 15/07/2021 à 08h 15

Je confirme : les malades non soignés qui arrivent à l’hôpital décèdent dans les 24 h suivant leur admission, ou dans les trois jours. Majoritairement.



Le pire, ce fut le Rivotril en EHPAD. La picure est destinée à mettre fin à l’existence, un protocole compassionel et une euthanasie planifiée. Les statistiques sur la consommation de Rivotril existent et sont accablantes.

Le 15/07/2021 à 07h 23

Ah, oui ! Un truc révoltant, c’est l’endoctrinement des généralistes.
Manifestement, on les a réunis et chapitrés pour qu’ils relaient le discours officiel. Celui-ci ne tient que par la contrainte ou plutôt la terreur.



Les médecins ne doivent ni soigner (!) ni prescrire d’antibiotiques. Un Doliprane et tu restes chez toi. Si ça devient vraiment grave, hospitalisation et réanimation en dernier recours. Les patients décèdent dans les trois jours suivant leur entrée à l’hôpital.



Le refus de soin est planifié pour laisser la voie libre aux vaccins. J’attends avec curiosité la révélation de rétrocommissions bien grasses.

Le 15/07/2021 à 07h 05

Bien de parler de l’Institut Pasteur de Lille. Il faut aussi se demander pourquoi il n’a pu trouver de financement que grâce à François Pinault pour poursuivre ses recherches.
L’Ivermectine ou le protocole Raoult ? Ce ne sont pas les seules alternatives. Je ne suis pas fan du gourou marseillais mais je doute fort qu’un médecin et ses équipes persévèrent dans un type traitement dont l’inefficacité serait patente.
Pour les alternatives, cherchez et vous trouverez. Par exemple ce spray nasal antiviral mis au point en Israël. Un autre en France aussi. Pas de publicité ni de mise sur le marché.
Pour que les labos suscitent la confiance, il faudrait qu’ils acceptent leur responsabilité. Or les contrats qu’ils signent les déchargent de celles-ci. Les états s’engagent à payer même leurs éventuels frais d’avocats. Le souvenir du vaccin pour la grippe H1N1 et des narcolepsies a laissé des traces.
Prenons du recul : avec le temps, les organismes humains sauront combattre le Covid-19, comme ils ont appris à le faire pour la grippe, celle qui a provoqué des hécatombes en Amérique du Sud après “l’échange colombien”, au XVIe siècle. Avant cette immunité acquise, les plus fragiles mourront. D’un variant ou des suivants. Comme l’humanité est déjà trop nombreuses, je ne vois pas le problème.

Le 14/07/2021 à 20h 14

” Les chiffres de décès officiel indien devrait être pris avec des pincettes.”



Tout à fait d’accord pour les pincettes. Mais, bon, pour tous les morts attribués au Covid en France, itou.



Et itou aussi pour les chiffres en général sur cette épidémie et les vaccins.

Le 14/07/2021 à 20h 01

” Encore un concurrent pour le prix Josef Mengele de médecine sociale 2021…”



Fais-toi vacciner contre le point Godwin !



Marrants, ces zélotes de la science qui défendent leur point de vue avec des procédés qu’on n’accepte plus au Café du Commerce.



Commerce ? Mais oui : commerce et publicité et vente forcée.

Le 14/07/2021 à 19h 46

” Source ?
Quels sont les traitements valides selon toi ? “



Ah, non ! C’est accessible et tu dois les connaître, au moins plusieurs.



Comment l’Inde est-elle parvenue à avoir, proportionnellement, moins de morts que la France, malgré la promiscuité et un système de santé corrompu ?



Quant aux avis concordants des spécialistes, ceux-ci ont des conflits d’intérêts tout aussi concordants.

Le 14/07/2021 à 18h 25

On parle bien d’une maladie qui n’est dangereuse et mortelle que pour des sujets (très) âgés avec comorbidité, et quelques autres plus jeunes mais fort peu nombreux ? Le covid, c’est pas la peste bubonique. Ceux qui décèdent ont fini leur vie. Ils perdent quelques mois.
Et cette obsession du vaccin à 20 euros les deux doses. La solution la plus juteuse pour Big Pharma. “Aucun traitement n’existe”, la mauvaise blague ! C’est sûr que TOUT est fait pour éteindre le réemploi de molécules déjà présentes dans la pharmacopée.
Comme on inféode l’état à Microsoft, on vaccine Pfizer.

Le 12/07/2021 à 21h 01

Le plus souvent en anglais, on trouve des solutions sophistiquées pour installer Windows 11 sur des machines normalement exclues. Ça me concerne et un topo sur ces solutions serait bienvenu.
Faites-nous aimer Windows 11.. en nous aidant à bypasser son installation. C’est la voie la plus sûre.

Le 20/10/2020 à 09h 14

Intéressant et nouveau, au moins pour moi, la capacité des futurs satellites à détecter - donc situer avec précision - et évaluer les radars adverses en cas de conflit.
Encore faudra-t-il disposer de moyens de les neutraliser et que nos fameux satellites ne soient ni aveuglés ni détruits… La France ne dispose plus, que je sache, de missiles anti-radars qui se dirigent vers le point d’émission en se guidant sur la source.

Le 19/10/2020 à 09h 46

Je n’ai aucune sympathie pour Drahi, mais, ayant quitté Orange pour Numericable voici bien des années - en raison de dysfonctionnements persistants sans geste commercial compensatoire - je n’ai eu qu’à me louer depuis du combo fibre + coaxial de Numericable. Au point que la proposition maintenant de la fibre Orange me laisse froid. Ce que j’ai suffit à mes besoins. La vraie fibre ne serait sans doute pas plus chère mais pourquoi larguer un système qui marche sans anicroche ? Drahi est un requin mais il faut lui reconnaître qu’il a été visionnaire et la moralité chez Orange, j’ai plus que des doutes.

Le 07/10/2020 à 10h 14

Les snaps, en soi, c’est une bonne idée. La place en RAM et sur le disque est de moins en moins limitée. Autant donner à chaque application tous ses éléments pour fonctionner.



Sauf que, en ayant migré sur 20.04, j’ai constaté que Chromium était toujours présent mais ne s’ouvrait pas ! Passons sur les détails : j’ai désinstallé Chromium avec snap et l’ai réinstallé sans snap en suivant ce lien :
http://ubuntuhandbook.org/index.php/2020/06/install-chromium-via-deb-ubuntu-20-04/



Comme tous les liens pointent maintenant vers la version avec snap, ça m’a pris du temps de trouver le bon lien. En clair 20.04 n’est pas bien finalisé en octobre ! C’est du Windows, ça ! Honte !
Pour le reste, ça baigne, même si je n’ai pas tout testé.

Le 05/09/2020 à 14h 48


(reply:1823087:skankhunt42 )


«Tant que linux ne sera pas plus user friendly pour ce genre de chose, l’adoption sera faible.»
Fort peu d’utilisateurs de Linux ont tes exigences. Un OS qui tourne sans soucis, cela leur suffit. Et Windows, des soucis de mise à jour, rien que le temps que ça prend, c’est presque aussi fréquent que les mises à jour. Lesquelles concernent TOUS les utilisateurs.

Le 31/08/2020 à 14h 28

Le problème de Firefox, c’est la gratuité. Je suis disposé à payer un abonnement, et sans doute pas le seul.
D’accord pour dire que la dernière version pour Android est une catastrophe en terme d’ergonomie.
Sinon, Firefox n’est pas mon navigateur par défaut, je ne l’utilise que pour des connexions sensibles. Je devenu fan de Yandex - basé sur Chromium - dont personne ne parle jamais. Et pourquoi donc ? Ne pas dépendre d’une technologie asservie au Patriot Act me paraît essentiel. Évidemment, je n’ai rien à cacher au FSB…

Le 24/07/2020 à 14h 46

Ce projet de loi dépossède les parents de leur rôle naturel. Je parlerais même d’abus de pouvoir de la part du législateur. L’éducation et la surveillance de leurs enfants concerne les parents AVANT de concerner l’état !



 Une solution serait d’imposer aux FAI un filtre anti-porno standard que seuls les parents pourraient désactiver au moyen d’un code individuel. Après, si des parents laissaient ce code à disposition de leurs enfants, c’est strictement leur affaire. Et si des gamins trouvaient un biais pour accéder quand même aux vidéos interdites, pas grave à mon avis : l’important est qu’ils ne tombent pas sur du porno accidentellement.

 

Ce type de filtre existe déjà ( cf. Adguard par exemple) et ne nécessiterait aucune innovation ni de procédure intrusive.

Le 15/07/2020 à 19h 28

Comme écrit précédemment “si la Commission avait bien ficelé le bazar, le Tribunal aurait probablement tranché dans son sens”.La question est : Pourquoi donc le paquet étai-il si mal ficelé, d’autant que les compétences juridiques ne font pas défaut à la Commission ? La Commission voulait-elle perdre ?  Sinon, effectivement, c’est l’ensemble des règles fiscales en Europe qui fait problème, et pas que. La France est prise au piège, s’est désindustrialisée, ne se trouve plus de revenus suffisants et ne peut financer son modèle social qu’en empruntant sur les marchés. Tant que c’est possible. 

Le 24/06/2020 à 10h 39

Désolé que mon commentaire soit aussi en trop petits caractères. Le copier/coller pour insérer un texte de commentaire, ça ne marche pas bien sur le site de NextImpact. Et corriger n’est pas facile une fois que c’est validé.

Le 23/06/2020 à 21h 56

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La version Dektop pour Linux estproposée par Logiciels Ubuntu. Une vraie promotion ! J’aidonc installé cette version. Alors, oui, c’est facile à appréhenderquand on vient de l’univers Microsoft. Sinon, OnlyOffice offre unepremière déconvenue : lataille des polices de l’interface, du ruban surtout, est trop petiteau point de rendre l’utilisation difficile. Sur (très) grand écran,cela reste acceptable, mais sur l’écran d’un ordinateur portable,même grand, on peut parler de handicap pour l’utilisateur deOnlyOffice. L’ayant installé sur plusieurs machines, je parled’expérience. J’ai contacté le support pour demander si cettetaille de la police d’interface était paramétrable, voici laréponse : ” Bonjour,Nousn’offrons pas de support pour les logiciels gratuits, vous pouvezlaisser vos commentaires sur notreforum cloud.onlyoffice.org.Cordialement,EugenieONLYOFFICESupport Team “ Biensûr, rien sur le forum. Ce problème ne se rencontre peut-être paspour les versions en ligne. Si une solution existe, elle est biencachée. Par ailleurs, ayant réalisé un tableau,j’ai voulu choisir “Aucune bordure”. L’option est bienprésente, sauf que ça ne marche pas : les bordures demeurent. J’aidû ouvrir Word pour les supprimer !  La versionDesktop de OnlyOffice, disons que c’est un SUBUTEXpour les drogués accros aux produits Microsoft. Moins aboutie queWPS Office. Un utilisateur d’Ubuntu devant travailleroccasionnellement sur un document Word peut être dépanné. Pasplus. On est loin de l’ergonomie etdes possibilités deLibreOffice.Comme il a été dit ici, pourquoi proposerune suite qui n’offre que les formats de Microsoft ? Onconfirme la suprématie et les standards de l’ogrealors qu’il faut les remplacer chaque fois que possible. 

Le 16/06/2020 à 13h 14

 “Mauvaise manière de présenter”, non, plutôt manifestation de mauvaise humeur. 



 Votre titre, “Les poupées russes de la désinformation à travers  des médias « alternatifs » français”, me dérange quelque peu. Il est accrocheur à souhait, sauf que la désinformation semble venir de la Russie et d’elle seule. Vous avez tant de “poupées russes” qui ne sont pas russes en action dans la presse ! La russophobie - qui est contraire aux intérêts de la France - est bel et bien impérative dans les médias français. Les ressorts de cette russophobie seraient aussi intéressants à investiguer que l’ingérence russe et cela mettrait à jour d’autres ingérences sans nul doute beaucoup plus fortes.

Le 15/06/2020 à 13h 21

Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un “article subventionné”. Disons que c’était une manifestation d’agacement. L’accusation d’ingérence russe, vu tout ce qu’envoie l’autre camp façon pilonnage h24 de bombardier lourd, cela me semble drôle. Bien sûr que cette ingérence existe. Parce que la Russie veut exister. La France, plus guère.

Le 15/06/2020 à 12h 46

Bof… C’est un article subventionné ?

 

En ce qui concerne DisinfoLab et M. Nicolas Vanderbiest, vous devriez également chercher à vous informer. Auprès du gardien d’immeuble ou de la femme de ménage, par exemple. 



 D’accord la Russie mène une guerre de l’information, mais largement à visage découvert sur RT ou Sputnik. L’audience d’Agoravox ou de Lesmoutonsquelquechose, c’est négligeable. Le problème avec RT, c’est son efficacité pour diffuser une information censurée ailleurs. Pro Russie, sans doute et ouvertement, mais très pros en France comme journalistes.

 

 Plus généralement, TOUTE l’information qui paraît dans la presse, papier ou autre, est en fait de la communication orientée, rien de nouveau à le constater, et l’influence du bloc atlantiste occidentaliste pro UE pro OTAN domine largement. Elle est exclusive dans les grands médias et les plus petits qui recopient. À un moment donné, je n’ai plus pu maintenir mon abonnement - pourtant fort ancien - au Monde et à Mediapart. Même le Canard Enchaîné devient un journal pro Macron en dézinguant aussi méthodiquement ses adversaires par le ridicule et je le lis avec suspicion.  



 Donc l’internaute qui veut s’informer butine ailleurs avec précaution pour faire son miel. Vous avez mieux à proposer ?

Le 03/06/2020 à 11h 38

Pour la 2004, il va me falloir attendre. J’ai essayé par Windows Update, en sollicitant la mise à jour, puis par les deux autres moyens de mise à jour, sauf la réinstallation complète à partir d’une clé USB : pas envie de réinstaller tout ce qui tourne sur mon ordinateur !

 

Trois échecs après des heures à mouliner, trois échecs au moment de redémarrer. Windows 10 revient alors à son état antérieur après plusieurs redémarrages. Bien noter : les causes indiquées des échecs - les “erreurs” - changeaient d’une tentative à l’autre.

 

Mon ordinateur était reconnu prêt pourtant. Tout ce cirque, ce temps perdu pour des “améliorations” que pratiquement personne n’utilise ni ne réclame.

 

Maintenant, Windows Update ne me propose plus la mise à jour vers 2004. Le message affiché est que mon ordinateur n’est pas “prêt”, que la mise à jour me sera proposée ultérieurement. À comparer avec les mises à jour sans problème sous Ubuntu. Chez Microsoft, ils ont mal bâti leur système d’exploitation, évoluant de correction en correction, et c’est devenu si compliqué à gérer qu’ils s’y perdent. Ils doivent attendre les rapports de plantage pour rectifier le tir. La firme ne survit que par la dépendance créée chez les utilisateurs et le monopole qu’elle s’est constitué.

Le 21/02/2020 à 11h 12

J’utilise un Wiko, j’en ai acheté à ma fille deux successivement. En tant qu’utilisateur direct et indirect, j’en suis satisfait. Bonnes performances pour un prix raisonnable, service client joignable au téléphone.

 

 Attention à la démolition organisée de cette marque associée à la promotion de certaines marques phares. Organisée elle aussi. Sans doute faut-il regarder attentivement les critiques de la presse spécialisée et choisir le modèle en connaissance de cause. Quand cette presse finit par admettre , toujours avec réticences et comme à regret, que tel smartphone de la marque est un bon appareil, on peut considérer que c’est vrai. Wiko, pourquoi non ?

Le 18/02/2020 à 13h 44

Exact. Mais j’ai peiné à le retrouver.

 La requête semblait aboutir, puis un message remplaçait le site Porno Politique avant qu’il s’ouvre complètement, indiquant que la requête n’avait pas de réponse. J’ai cherché à partir de https://video.wixstatic.com/video/073* et là, ça a abouti directement aux images compromettantes.