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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 30/03/2018 à 17h 48

“Ce que le spontané remonte à la surface, c’est toujours du banal”



“La pensée ne se sépare pas du langage”



“Et pourtant, si le pouvoir était pluriel, comme les démons ?”



“C’est parce que le langage n’arrive pas à ne pas être idéologique qu’il fait souffrir”



“La mort est le seul évènement, tout le reste est discours … c’est l’évènement qui sort du langage”



“On écrit parce que l’on aime cela et que cela fait plaisir, ce qui ne veut pas dire que dans cet acte de jouissance on ne rencontre pas les autres”





  • R. Barthes

Le 30/03/2018 à 13h 34



La France se réveillerait-elle enfin sur le véhicule autonome ?



Autoriser a toujours été un problème dans ce pays. Rendez-vous compte, une liberté supplémentaire ! les gens ne vont pas savoir quoi en faire, ou mal l’utiliser. Interdire, obliger, taxer, etc. est beaucoup plus rapide (et simple à comprendre pour les propagandistes officiels). Le principe totalitaire est difficile à renier pour la technostructure profonde.

Le 30/03/2018 à 13h 22







Yss a écrit :



Le rapport dit qu’une partie des secteurs pouvant être impactée par le domaine de “l’IA” ne doit pas être financé par l’Etat car les entreprises s’en charge déjà, mais que d’autres secteurs doivent bénéficier d’un financement public car ils peuvent apporter des solutions et avancées à la société sans que le but recherché soit de faire des bénéfices financiers.

Donc là, je ne vois pas trop pourquoi tu critiques.





Si le but n’est pas de faire “des bénéfices financiers”, quel est le but exactement ? Faire de la recherche pour augmenter les connaissances est toujours intéressant, et je serais la première à investir si j’en avais les moyens, mais je ne pense pas qu’on ait, en France, les poches qui débordent d’euros. Donc autant confier la recherche au privé qui dépensera son argent de manière certainement plus ciblée et soci(ét)alement utile in fine.



Si au moins l’État se préoccupait de son rôle, à savoir créer un environnement entrepreneurial favorable. Mais même ce minimum n’existe pas. Il faut voir les statistiques accablantes de création d’entreprises pourvoyeuses d’emplois par rapport au nombre de celles créées au Royaume Uni ou en l’Allemagne. Le politique qui proposera de supprimer l’INSEE et la DLF à Bercy pour libérer l’entreprise et effacer le chômage aura mon vote.


Le 29/03/2018 à 18h 35







BlueTemplar a écrit :



Au vu des progrès récents de la neurobiologie et de l’intelligence artificielle, c’est pourtant un peu ce qui semble se passer, non?

https://www.amazon.fr/Surfing-Uncertainty-Prediction-Action-Embodied-ebook/dp/B0…





Je n’ai pas lu ce livre, mais d’après le descriptif et les commentaires déposés le sujet du livre n’est pas vraiment l’intelligence per se. Le livre présente plutôt le cerveau comme une machine à prédire dans le cadre d’une théorie (Predictive Processing) que je ne connais pas. Je ne suis pas sûre que ce type d’approche holistique soit bien pertinente pour la recherche en IA qui continue obstinément à se focaliser sur des empilements de neurones qui dérivent des études en physiologie des années 60-70.



Je viens par contre de terminer celui-ci [1] qui traite spécifiquement de l’intelligence par un des meilleurs spécialistes du sujet. La lenteur des progrès accomplis est décevante. S’il est certain que l’intelligence est avant tout génétiquement déterminée, en couplage avec une petite composante épigénétique (environnement), il n’existe toujours aucune base matérielle physiologique (càd moléculaire, génétique, cellulaire et/ou métacellulaire) sur laquelle bâtir un ou des modèles d’intelligence et les améliorer. Tout juste quelques hypothèses de connectivité entre certaines aires cérébrales.



D’après ce chercheur, les progrès en IA viendront essentiellement des pays qui feront des percées dans le domaine de l’intelligence humaine. Malheureusement, à le lire, il n’est pas très optimiste pour les pays occidentaux. Une majorité du Congrès US est anti-évolution, et l’UE est idéologiquement arc-boutée sur de l’égalitarisme forcené du nivellement par le bas. Il pense qu’un seul pays possède en fait une politique cohérente de recherche avancée en intelligence humaine, la Chine. Leur but est de trouver les gènes de l’intelligence et ils y mettent les moyens. Il cite le cas d’un de leur mégalabo (128 séquenceurs ADN à 2 million la machine, 4000 chercheurs, etc.) où on peut lire sur un poster mural “Genes build the future.”



Alors quand tu parcours le navet de 235 pages pondu, tu te rends compte que ces gens-là (les politiciens français ou autres) ne vivent pas sur la même planète.



[1]https://www.amazon.fr/gp/product/110746143X/ref=oh_aui_detailpage_o01_s00?ie=UTF…


Le 29/03/2018 à 10h 37







secouss a écrit :



C’est vrai, les US sont leader en haute technologie et l’Allemagne en automobile grace à leur “environnement favorable” lol ^^





En nombre de brevets déposés dans différents domaines techn(olog)iques, les USA et l’Allemagne sont devant nous [1].







secouss a écrit :



Il est plus facile de créer une société en France qu’aux US ou en Allemagne. C’est un fait, pourtant on en créer pas tant que ça ;)





Créer une société n’est qu’un aspect relativement mineur de faire des affaires. Ce qui compte c’est la facilité de faire du business, et là les USA et l’Allemagne sont loin, loin, devant nous [2]. Globalement, en terme de liberté économique, c’est pire : USA 18, Allemagne 25, Botswana 35, France 71 … [3].







secouss a écrit :



On parle pas d’une petite entreprise, on parle de recherche poussée ici, qui sera ensuite reprise par des sociétés. La recherche c’est le boulot de l’état en partenariat avec les sociétés.





Le problème est que la “recherche poussée” n’a presque aucun rapport avec ce que demande l’économique (le milieu des affaires). Ce qui fait qu’en matière d’innovation techn(olog)ique, la recherche appliquée ne dépend que très partiellement de la recherche fondamentale 4. Mais ce mythe a la vie dure car il sert bien des intérêts [5]. Quand on ramène les investissements effectués en terme de valeur produite, le bon sens voudrait qu’on stoppe immédiatement toute recherche publique.



[1]http://www.wipo.int/edocs/pubdocs/en/wipo_pub_941_2016.pdf

ethttps://www.indexmundi.com/facts/indicators/IP.PAT.RESD/rankings

[2]http://www.doingbusiness.org/rankings?region=oecd-high-income

[3]https://www.heritage.org/index/ranking

[4]https://www.wsj.com/articles/the-myth-of-basic-science-1445613954

[5]https://slideslive.com/38893099/technology-assessment-as-political-myth


Le 28/03/2018 à 19h 20

Un rapport consternant de plus.



Entre les vœux pieux, les recommandations collectivistes d’usage (il faut bien justifier sa place), le saupoudrage du bon argent public que l’on n’a plus avec un soupçon de protectionnisme dedans parce que le mauvais argent US nous a déjà tout volé nos données, et surtout le rôle essentiel, que dis-je, primordial de notre valeureux l’État-stratège comme chef autoproclamé de l’orchestre, tout est réuni pour aboutir aux futurs fiasco industriel et bide commercial français habituels.



Tant que nos zélites ne comprendront pas que ce ne sont pas elles qui créent ou décident du monde de demain mais les forces du marché (càd les individus qui commercent), tout ira toujours de travers au pays du fromage, plus rapidement, mais assurément toujours dans le mur du ratage planifié d’en haut qui fait notre réputation sur la planète.



La primauté sur les données est caractéristique : l’apprentissage automatique n’est pas de l’intelligence, c’est le niveau zéro des capacités cognitives et il n’y a vraiment rien d’enthousiasmant là-dedans. Tant que les bases neurophysiologiques (voire moléculaires) de l’intelligence humaine ne seront pas découvertes, l’“intelligence” artificielle restera du marketing (d’État en France). Là est la question : où étudie-t-on l’intelligence en France ?

Le 29/03/2018 à 14h 59

Pourquoi pas un best of de mes meilleurs commentaires ? Il y a du choix … <img data-src=" />

Le 29/03/2018 à 11h 12



L’idée d’un label valorisant les solutions les plus exemplaires est également évoquée. Il serait géré par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Pour inciter les entreprises à sauter le pas, la carotte pourrait prendre la forme d’une récompense fiscale.



Si le sinistère de la Transitude bobologique et suicidaire s’en mêle, le pari est gagné : l’IA n’attendait qu’un label et des autocollants Made in IA pour décoller (et ne plus jamais revenir). Bande de clowns.

Le 29/03/2018 à 11h 04



nécessité de liens forts entre le monde académique et l’industrie. Lorqu’il est actionnaire d’une société



En France l’industrie se limite à l’État actionnaire de société, ça promet. <img data-src=" />

Le 28/03/2018 à 14h 46







Jarodd a écrit :



Il n’y a que moi qui ne comprend pas ce que cela signifie ?





Non, il n’y a pas que toi qui t’interroge. Ces grands mots utilisés par l’administration risquent une dévaluation/dévalorisation à court terme. Un peu comme l’Histoire-Géo. qui sont maintenant enseignées en dépit du bon sens et comme support à la doctrine escrologiste officielle. C’est navrant.


Le 28/03/2018 à 10h 28

Le ton de la news n’est pas très neutre. Je suggère de la réécrire :





À la mi-décembre, l’autorité des télécoms, la FCC, mettait fin à la neutralisation des contenus instituée en 2015. Pour son président, Ajit Pai, la neutralisation du Net est la pire ennemie de l’investissement dans les réseaux, comme le montre leur baisse subséquente.



En réponse, plusieurs États préparent des lois remettant en place ce principe de neutralisation au niveau local, devant l’abandon fédéral. Des initiatives qui ne plaisent pas à la FCC… et à USTelecom, l’une des principales voix de l’industrie.



Dans un communiqué, il estime que « l’enfer est pavé de bonnes intentions ». Pour le groupe, les Américains doivent tous avoir la même protection, il est donc hors de question d’accepter des législations locales sur la neutralisation. « Personne ne nous rendra les années gaspillées sur le débat autour de la neutralisation du Net, centré sur une rhétorique malhonnête et circulaire, en l’absence d’un dialogue honnête et constructif », écrit le lobby.



« Il ne fait aucun doute que nous défierons agressivement toute tentative d’État ou de municipalité de fracturer la structure régulatoire fédérale qui a permis ce progrès », comprendre la mort de la neutralisation. Pour mémoire, la FCC n’a cessé de confirmer l’analyse sensée et argumentée des opérateurs télécom depuis bien avant l’arrivée de Donald Trump à la Maison blanche, moquant la défense de la neutralisation par des millions de fake internautes, de nombreuses organisations lobbyistes et des centaines de jeunes pourceaux gauchistes ignares lobotomisés.







Ce n’est pourtant pas si difficile.

Le 27/03/2018 à 13h 16







yvan a écrit :



Si tu connais le principe des WAIS tu sais que l’intelligence n’est pas quelque chose d’homogène et qu’il y a des domaines (mémorisation, représentation dans l’espace, language, vitesse, pensée systémique etc.). Les IA ont vocation à nous dépasser dans un ou quelques domaines de l’intelligence.

De la même manière qu’un robot industriel est plus performant que nous dans quelques tâches physiques mais qu’on va le battre à la course à pied ou en varappe <img data-src=" /> on considère quand même qu’il s’agit d’un automatisme physiquement plus performant que nous.

C’est pareil pour les IA avec en plus cette spécificité que les IAs apprennent et peuvent combiner leurs domaines d’expertise.





Certes, mais c’est l’accumulation intégrée de ces domaines qui forme l’intelligence, comme c’est l’accumulation des sous-tests qui forme le QI. Sinon ce ne sont que des capacités cognitives. Et donc pour l’instant on est loin d’une IA.









yvan a écrit :



Le truc c’est que ça n’arrive pas justement.

Et si ça arrivait c’est que la capacité de domination de l’imaginaire des africains serait très supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, qu’il y aurait déjà pléthore d’images dégradantes et animalisantes des blancs véhiculées sans contradictions et avec des conséquences économiques et sociales sur les blancs qui feraient que justement ce ne serait pas “MDR” (je ne suis pas sur qu’un sud africain ou un tanzanien blanc d’aujourd’hui serait mort de rire d’ailleurs dès maintenant).

Ca n’a rien de postmoderne comme considérations, les premières sociétés anti esclavagisme ont pris corps en pleine modernité. Ce qui est post moderne c’est qu’on vit mélangés et donc la demande pour le respect est plus importante et fréquente que ce qu’un africain du 18e était capable d’imposer à l’européen moyen.

Et ça n’a rien d’un racisme anti blanc : Heureusement que se comporter comme un connard avec des minorités de couleur de peau n’est pas le propre des blancs, et heureusement on peut être blanc et ne pas se comporter comme un cul.





L’explication est que les Africains sont un peu trop occupés à subvenir à leurs besoins les plus élémentaires (ou à se battre) pour pouvoir passer leur temps à fabriquer des IA susceptibles de faire des erreurs techniques et décider a priori et sans autres formes de procès que ces erreurs ne seraient en fait que la translation de leurs préjugés racistes (ou de genre !), volontaires ou non, comme le laisse croire le CESE ici. Tout est bon pour mettre en avant les crapuleries pseudo-sociologiques des SJW.


Le 23/03/2018 à 17h 02







OlivierJ a écrit :



Si tu ne fais pas la différence avec confondre un noir avec un primate (même si ça ne me choque pas plus que ça vu l’explication)…

La mauvaise foi a ses limites quand même.





La différence est que la couleur blanche est seule exploitée à des fins idéologiques nauséabondes. Donc effectivement il n’y a pas de quoi être choqué d’un apprentissage pas assez extensif d’une machine. La “mauvaise foi” consiste à utiliser un problème technique somme toute banal pour en faire un cheval de Troie de la bien-pensance pure et abjecte.







OlivierJ a écrit :



Sauf qu’il n’existe aucune “théorie du genre”, contrairement à la théorie de la gravitation ou la théorie de la relativité. <img data-src=" />

Tout au plus, il y existe des études de genre.





L’expression est utilisée de manière plutôt péjorative pour dénoncer ces prétendues “études de genre”.







OlivierJ a écrit :



Vu le niveau des arguments …





Si leur niveau était si faible, pourquoi ne pas y répondre plutôt que de pérorer sur ma personne ? Ce qui ne laisse donc qu’une seule possibilité : soit leur niveau n’est pas si faible, soit le niveau des vôtres est trop faible …


Le 23/03/2018 à 16h 00







yvan a écrit :



…Une IA n’a pas vocation à passe un WAIS, éventuellement un élément unitaire de ce test mais rien de plus.





Pourquoi parler d’“intelligence” alors ? Si on ne peut pas la mesurer comme chez l’Homme, ce n’est pas de l’“intelligence”, c’est du marketing.







yvan a écrit :



Le fait qu’une IA reconnaisse des noirs comme des gorilles relève effectivement d’une pensée discriminante, ceci que les résultats scientifiques des études sur le genre ou les races correspondent à tes préjugés ou pas.





Ce qui est comique avec le “racisme” anti-blancs par les blancs eux-mêmes est que si la même chose arrivait en Afrique, par ex. où un blanc était reconnu comme un fantôme par un algo., tout le monde serait MDR, et à bon droit, et personne ne viendrait réclamer de la non discrimination dans les labos de recherche et dans les IA. On corrigerait l’erreur en améliorant le système et basta. Mais non, il faut que toute la société occidentale soit sous domination du postmodernisme, et que la Science soit son instrument même si les théorie du genre sont aussi stupides, erronées et dans le déni que celles sur l’intelligence et l’influence environnementale.







yvan a écrit :



Et sinon pas besoin d’attaques ad hominem sur tmtisfree, dans la régurgitation d’éditos libertariens pour neuneus qui est le quotidien de ses interventions il y a régulièrement des données très intéressantes. C’est quelqu’un de brillamment intelligent, avec des instincts veules et egotiques certes <img data-src=" /> mais dont je suis content de lire la prose.





Les attaques ne me dérangent aucunement, elles permettent au contraire de j(a)uger le “contradicteur” à l’aune de sa non-argumentation, ce qui m’évite de répondre et perdre mon temps puisque mes propres arguments restent alors entiers.


Le 22/03/2018 à 20h 35







Groupetto a écrit :



J’ai toujours rien compris à l’ordinateur quantique - ça a l’air compliqué, surtout sans ressortir les bouquins de maths de quand j’étais jeune et (presque) intelligent.





Méthode adaptée aux “vieux” !


Le 22/03/2018 à 19h 20



Le développement de l’IA se déroule dans un environnement homogène, composé principalement de jeunes hommes blancs, …



Tout ce paragraphe fleure bon le politiquement correct à la sauce égalitaire genresque suintante de coloritude neutre typique du gloubi-boulga idéologique inepte de l’époque actuelle. Étonnant de la part de la recherche privée mais le cancer PC semble progresser là aussi – la recherche publique est en phase terminale de ce point de vue (le rapport du CESE est un bon marqueur).



Je pense au contraire que seules les IA discriminantes, différentiées et spécialisées seront effectives et utiles, et pourront donc être définies comme intelligentes. Pour l’instant on en est loin, et il n’y a pas grand chose d’“intelligent” dans les systèmes proposés. Par conséquent, il n’y aura pas une IA, mais des IA à qui on “demandera” de résoudre des tâches spécifiques, comme c’est le cas pour l’intelligence humaine.



Réveillez-moi le jour où une IA pourra passer un WAIS.

Le 25/03/2018 à 08h 12







carbier a écrit :



Effectivement si tu es un adepte des Fake news, c’est une excellente option.

Combien de fois de fausses rumeurs ont été relayées sur FB ou Tweeter ?





Je ne connaissais pas cette couche du mille-feuille administratif français, donc merci.



La délicieuse ironie est que quand on visite la page de la zone de défense/sécurité Sud, on s’aperçoit que le seul dispositif opérationnel mentionné est … un compte Twitter @cezocsud ! Ça laisse rêveur sur l’utilité/les capacités du machin.


Le 23/03/2018 à 16h 08







hellmut a écrit :



c’est tout le but de l’application “citoyenne” qui va être développée.

c’est aussi le même système à Nice.

c’est le même système dans la plupart des régimes autoritaires d’hier et d’aujourd’hui: inciter les citoyens à se surveiller les uns les autres.





La CNIL a dit non à l’“application citoyenne” de Nice.


Le 22/03/2018 à 17h 15

Il me semble qu’aux USA il existe déjà un tel système de prédiction dans certaines villes ou quartiers de villes.



Les 2 principaux problèmes à mon sens de ces systèmes sont 1/ la trop grande foi des modeleurs dans la précision de leurs données en entrée (un grand classique) et 2/ la quasi impossibilité de suivre en temps réel l’évolution des agents (les individus) et/ou de leurs actions du fait de leur éclatement dans le temps et l’espace et de leur imprévisibilité (dynamique, chaos). Il n’est (théoriquement) pas possible d’en déduire des trajectoires qui pourraient donner lieu à des décisions pertinentes à prendre, même statistiquement.



Ce dernier point pourrait être mitigé par la participation du public lui-même à sa propre surveillance (style Panopticon), et nul doute qu’on pourrait augmenter l’acceptabilité d’une telle horreur sous des couverts de “personal smart protection”.

Le 21/03/2018 à 08h 48







fatbob a écrit :



Le seul truc que je peux dire, c’est que je trouve que vous êtes très mainstream





Parce que les rapports du GIEC ne sont pas mainstream et orthodoxes peut-être ?









fatbob a écrit :



et vous vous appuyez sur des “vérités” douteuses (genre “De ce fait, et par nécessité, ce qui est économique est fatalement écologique si on veut faire le moindre profit.” : Cela dépend du sens donné à “économique” et ce n’est certainement pas le cas d’un sens du genre “favorable à l’économie de marché”)





Ce ne sont pas des “vérités” : ce sont des explications cohérentes et logiques basées sur des faits, l’Histoire et d’autres critères objectifs (tout du moins plus objectifs et mesurables que de la “gaïeté”). Maintenant il est possible (mais peu probable) qu’il existe des explications alternatives qui collent avec toutes ces données factuelles, mais cela reste à démontrer.









fatbob a écrit :



ou le coup d’air Paris qui s’améliore…





Pollution en IDF

Pollution Rhone-Alpes

Pollution urbaine France

Pollution Europe

Pollution Monde : comme pas par hasard, la “pollution” se concentre dans les pays socialistes/étatiques/non démocratiques.



Je mentionne la baisse de la soit disant “pollution” seulement parce que la croyance que “pollution” implique mortalité/morbidité en hausse est forte (mais jamais prouvée, cf contexte historique). Bien heureusement, quand les tests statistiques sont proprement effectués, on montre qu’il n’existe aucune association/corrélation/causalité entre les deux.

“Twenty years ago, I chaired the committee of independent science advisors reviewing EPA’s determination that fine particulate matter causes mortality at concentrations commonly experienced in outdoor air in the US. Most of the advisors doubted the EPA’s finding for a number of reasons including the lack of a plausible biological mechanism, but the agency set stringent standards anyway. Scare Pollution confirms the committee’s original doubts in unique and compelling ways, and indicates that EPA’s human exposure scientists do not believe the Agency’s determination either. It’s a must read for those interested in how science is used at the EPA.”




  • Dr. George T. Wolff, former Chairman of the EPA Clean Air Scientific Advisory Committee









    fatbob a écrit :



    Vu qu’on envoie nos déchets en Afrique, c’est normal qu’ici, la situation ne se dégrade pas aussi vite.





    Les déchets, on les réimporte en ayant fournit du travail aux Africains : c’est beau l’économie de marché ! Grâce à elle, on s’améliore même beaucoup plus vite ici, c’est dire comme c’est mauvais pour l’agenda idéologique des Cassandres.


Le 20/03/2018 à 18h 43







fatbob a écrit :



Bah, tu me présentes des graphiques qui partent de la fin du XXè siècle… On ne parle pas de le même chose.





Je n’ai pas besoin de remonter 1-3 siècles en arrière où on se doute bien que les conditions en Afrique étaient moins bonne qu’en Europe : 50 ans de comparaison intra-africaine suffisent pour voir les améliorations significatives.







fatbob a écrit :



Nos outils ne permettent de mesurer que la taille du portefeuille. Par exemple, le PIB ne mesure pas l’impact écologique ni social de l’évolution. Il met sur le même rang le marchand d’armes et le prof d’école avec une large préférence pour le premier puisque le second est vu comme une charge improductive.





Qu’est-ce que l’escrologie a voir avec la condition humaine ? Rien. Le livre de J. Simon (dont j’ai mis en lien la vidéo qui tu n’as manifestement pas suivie), “The Ultimate Resource II”, montre très bien l’évolution favorable de tous ces critères et bien d’autres à partir de statistiques exhaustives. Lecture obligatoire pour tous les déclinistes et malthusiens.

 





fatbob a écrit :



De fait, une entreprise qui se contrefout d’écologie et de bonne conditions de travail a un avantage concurrentiel sur celles qui ne le fait pas. C’est ainsi qu’on préfère délocaliser et faire circuler les yaourts dans tous les pays pour économiser l’argent (l’impact écologique des transport n’étant pas calculé et basé sur une énergie limitée mais actuellement encore disponible, transporter reste plus intéressant que de payer des gens sur place)





Le but d’une entreprise est de faire du profit : l’obtenir nécessite de minimiser les ressources primaires (substrats physiques, capital, main d’œuvre, etc.) – c’est à dire les charges – et de les utiliser au mieux, càd de ne pas les gaspiller pour maximiser leur emploi/compétence/etc – c’est à dire faire de la marge. De ce fait, et par nécessité, ce qui est économique est fatalement écologique si on veut faire le moindre profit. Il faudrait lire autre chose que les économistes atterrants.







fatbob a écrit :



C’est quoi ce graphique ? Qui est concerné ? De quel \( parle-t-on (un \) en 71, ce n’est pas la même chose qu’un $ en 2015) ? C’est joli mais ce n’est surement pas avec ça que je vais être convaincu.





On tient compte de la variation de valeur du dollar évidemment, mais rien ne peut convaincre un croyant. 







fatbob a écrit :



Mouais… Tu joues sur les mots en affirmant tes dogmes. On dirait un pasteur.





Pas d’argument donc.







fatbob a écrit :



J’imagine que ce genre de graphiquefr.wikipedia.org Wikipedia

ne te semble pas pertinent,





Cela va dans mon sens : ce ne sont pas des “problèmes techniques” (qu’on a résolu depuis 50 ans) ou des “oppositions” (il y en aura toujours) qui ont arrêté le progrès fort heureusement. L’énergie est bien inépuisable (uranium, thorium), comme l’ignorance de certains.







fatbob a écrit :



Ni les rapport du GIEC,





Les créationnistes sont plus crédibles que les rapports politisés du GIEC. A part le rapport IPCC SREX qui a moins été noyauté par les activistes/politiciens mais que personne ne lit car pas assez catastrophiste…







fatbob a écrit :



Ni ce genre de trucs :https://www.encyclo-ecolo.com/Epuisement_des_ressources

Bon, il y a carrément Ecolo dans l’url, c’est dire comme ce n’est pas crédible par rapport au Financial Times.





J’ai lu une partie du site qui est très vaste (en plaisanterie) :

1/ cryolithe, fin annoncée en 1980 : substance composée et produite artificiellement donc pas de limite ;

2/ terbium, fin annoncée en 2012 : toujours extrait et vendu, prix en baisse ;

3/ hafnium, fin annoncée en 2018 : toujours commercialisé, prix fluctuant ;

4/ argent, fin annoncée en 2021 : haha !



Essaye de comprendre ce qu’est une ressource, ce que recouvre les différents concepts de “réserve” et de figurer que l’économie est un processus dynamique, et donc qu’en prendre une photo à un instant pour déduire la fin de tel ou tel substrat (qui ne disparaît soit dit en passant, cf Lavoisier) par régression linéaire est juste absurde.







fatbob a écrit :



J’imagine que l’effondrement de la bio diversité ne t’inquiètes pas, moins d’insectes sur les pare-brises, c’est plus confortable quand on voyage.





Les fadaises anti-intellectuelles et contra-factuelles me laissent froides. Où sont les corps de tous ces morts biodivers ?







fatbob a écrit :



Ta réponse suggérant un remplacement d’une ressource par une autre guidé seulement par sa rentabilité montre à quel point ton insulte finale peut t’être retournée sans problème. Il faut changer les mots mais tu es incroyablement dogmatique. On navigue en pleine science fiction économique étayée par tout un tas de tableaux excel orientés dans le bon sens mais totalement déconnectée des réalités dès lors que ces dernières ne sont pas clairement identifiées par un cours de bourse.





Un exemple de remplacement (j’ai un commentaire en rapport sous la news). Et sinon, avancer un argument ou une contre-argumentation, c’est possible ? Les statistiques sont issues de la réalité, contrairement à tes préjugés qui ne proviennent que de ce qui te sert apparemment de cerveau.







fatbob a écrit :



Vu qu’il est légalement interdit de vivre en dehors de l’économie (en France)





Ah ? Je suis curieuse : où sont ces textes de lois qui l’interdisent ?







fatbob a écrit :



, ta remarque est facile. De même que les personnes électrosensibles ont de plus en plus de mal à trouver des lieux où vivre… Tout est soumis à propriété et donc il devient extrêmement difficile de s’en extraire. Il existe néanmoins encore quelques régions reculées .





Ils n’ont qu’à faire comme les autres : ils s’achètent leur propriété et ils seront tranquilles.







fatbob a écrit :



où l’on survit encore sans le CAC 40 ou le Dow Jones. Ta remarque rejoint ce que je disais juste avant. Dogme. Le Business, c’est le Bien.





Je vis très bien sans le CAC40. Et, oui, je l’avoue fièrement, mon “dogme” est dicté par la réalité des choses et des actions positives et progressives de l’Homme. A la différence de certains, il ne dérive pas des utopies collectivistes morbides dont on a pu estimer à des centaines de millions le nombre de morts, constater les ruines environnementales et autres méfaits et effets délétères lors de leur mise en expérience sur le terrain. Rien de tel pour être dégoutté(e) (sauf pour les croyant(e)s évidemment).


Le 20/03/2018 à 13h 24







fatbob a écrit :



Bah… je pense que l’Afrique s’en tirait globalement mieux avant la traite des noirs (dont l’exploitation, en passant, est un des piliers fondateurs de notre beau système qui ne marche bien que par l’exploitation honteuse de certaines catégories.)



Pour mesurer l’“amélioration drastique…” il faut des critères. Or les critères utilisés sont biaisés par le simple fait que l’occident ne s’intéresse en gros qu’aux aspects économiques (ne mesure-t-on pas notre propre santé de société avec le PIB qui met sur un même plan le marchand d’arme et le professeur d’école - au détriment de ce dernier). Un peu de santé, un peu d’espérance de vie et c’est marre. Vie sociale ? Gaité ? Comment cela se mesure-t-il en euro ?

 

Tu dis “quelque soit le critère choisi”… La courbe présentée ne le précise pas. C’est juste une courbe qui descend où il y a écrit misère. Vu la complexité du problème, le minimum est de savoir comment cet indicateur est calculé.

Alors évidemment, il y a des réussites indéniables largement liées au progrès technique mais pour ma part, je ne crois pas vraiment que ce soit le système économique qui en est responsable mais simplement l’évolution naturelle des connaissances. De plus, s’il y a eu une apparition d’une classe moyenne qui me semble être le critère le plus tangible d’“amélioration”, celle ci a surtout eu une heure de gloire après la seconde GM où il a fallu reconstruire, ce qui a nécessité beaucoup de monde et un partage des connaissances. Aujourd’hui, cette classe moyenne est attaquée très vigoureusement, ce qui laisse envisager un retour vers les équilibres du XIXè et donc une baisse de la qualité de vie pour la majorité.



Quant aux “ressources illimitées”, je ne vois pas desquelles tu parles. Même l’exploitation du soleil passe par aujourd’hui par l’utilisation de ressources limitées. Ton incantation ressemble plus à un discours d’évangéliste qu’à autre chose.





L’Afrique “s’en tirait” par rapport à quoi ? Le mythe du “bon sauvage” n’est que cela, un mythe. C’est quand même incroyable d’être aussi mal informé.



Le critère de pauvreté absolue (tel que mesuré et clairement indiqué dans le lien donné et les suivants) est pourtant assez parlant, mais quand on refuse de voir … La “gaieté” et autres sentiments ne sont évidemment pas mesurables puisque relatifs et subjectifs, donc inutiles de les citer. Contrairement à d’autres ailleurs qui ne l’ont pas encore, certains (généralement éco-boboïdes urbanisants) doivent avoir la panse trop pleine à chaque repas pour pouvoir s’offrir le luxe de s’interroger rhétoriquement sur la “gaieté” du monde … <img data-src=" />



La courbe représente l’évolution historique du % de pauvres : si tu cliques sur la flèche de droite en bas à droite, on constate leur disparition très rapide au fur et à mesure de la globalisation de l’économie (moins de 8% actuellement). Si on s’intéresse à l’économie, c’est parce qu’elle fournit le minimum vital à ceux qui n’ont pas grand chose.



Mais on peut aussi prendre en compte le critère “santé” ou “éducation”et là aussi les choses sont en amélioration constante.

Le “progrès technique” dépend bien évidemment du seul progrès économique pour le financer puisque lui non plus ne tombe pas du ciel. Je t’invites donc à commencer à vivre suivant tes préceptes : supprime l’économie de ta vie et ne retient plus que tes éventuels “progrès techniques” pour tenter de survivre. Reviens me reparler de tout tes dogmes marxistes dans 1 an pour constater les résultats de ton expérience (si tu n’as pas fini SDF et/ou mort de froid avant bien sûr).



Il est vrai que la classe moyenne a tendance à diminuer de nos jour, mais c’est pour une bonne raison : ceux qui la quitte font maintenant partie de la classe supérieure ! <img data-src=" />



Les ressources représentent tout ce qui est utile à l’Homme, et elles ne sont donc limitées que par son imagination puisqu’elles dérivent de la production économique elle-même due à l’action des agents humains. Par ex. le pétrole n’est pas une ressource puisque même si on arrive à en récupérer (très peu) juste en se baissant, on ne peut rien en faire avant de l’avoir traité, filtré, chimiquement cassé, séparé, concentré, etc. Pour une discussion de ce qu’est opérationnellement une “ressource”, voir là.



Si tu veux parler des substrats physiques, certes leur finitude est sure dans le sens où celle de la Terre l’est aussi, mais elle est quantitativement inconnue puisque non mesurable, seulement estimable, et les estimations changent tout le temps au fur et à mesure des découvertes. De plus les réserves économiques sont telles que la peur du manque est vraiment incompréhensible de la part de gens soit disant éduqués. On ne connaît aucun exemple de substrat physique qui ait jamais manqué. Et si jamais, dans le cas improbable où un substrat physique viendrait à être économiquement trop cher (càd non rentable) pour pouvoir être converti en ressource économique util(isabl)e, il est ou sera remplacé par autre chose de mieux et moins cher bien avant que cela arrive.



Ton baratin est consternant de niaiserie et d’ignorance malthusiennes.


Le 19/03/2018 à 18h 03

Les bienfaits se mesurent en terme d’amélioration drastique et soutenue de la condition et de la misère humaine, quelque soit le critère choisi.



Et ce n’est pas la peur de manquer de ressources économiquement illimitées qui va nous en priver, c’est le manque d’imagination pour les utiliser.

Le 18/03/2018 à 08h 37







Commentaire_supprime a écrit :



Il a du avoir une rencontre avec un scientifique du GIEC





C’est tout à fait cela. <img data-src=" />


Le 18/03/2018 à 08h 32







OlivierJ a écrit :



Tirer comme conclusion du fait que tout finit par casser, que l’ “OP” est une réalité, comment dire… <img data-src=" />

Ce n’est pas ça, l’OP. On sait bien que les objets ont une durée de vie. Même un bâtiment a une durée de vie.





La durée de vie (et donc l’obsolescence) est nécessairement “programmée” dans les sens économique et physique du terme parce que ces domaines obéissent à des lois (déterministes et probabilistes).



Le concept est en lui-même un truisme, un peu comme les autres lapalissades escrolos : le principe de précaution, le changement climatique, etc. Le motif est assez générique et répétitif pour y voir plus qu’une coïncidence, et même un plouc devrait le comprendre.



Cela me fait penser à la réflexion de P. Murray à propos du pacifisme :

Comment peut-on, sans se lasser, tapager pour tant de causes qui n’ont pas de vrais ennemis ? Que l’on préfère la vie à la mort, le plein-emploi au chômage, la civilisation à la barbarie, la paix à la guerre et la découverte d’un remède contre le sida à son extension à l’infini, sont des choses qui vont de soi. Des vérités qui crèvent les yeux. Des certitudes incontestables. Une fois qu’on l’a dit, qu’est-ce qu’on peut ajouter ?



Rien. Mais précisément : on peut recommencer. Et transformer les évidences en incantation. Les certitudes en exorcismes. La version de la guerre en transe pacifiste. Le désarmement en formule magique. La lutte contre les méchants et pour les gentils en bouffée délirante à perpétuité. La répétition de l’évidence en illumination, l’illumination en démagogie, et cette démagogie, bien sûr, en système de pouvoir.




  • Philippe Muray, 1995. L’Esprit Libre, 12.



    Bref, l’argument caché qu’il faut attaquer, c’est le caractère immoral qu’on attribue faussement à l’OP. Et là, c’est très facile : l’économie capitaliste a directement contribué à plus de bienfaits pour l’humanité que toute autre : elle est donc morale. Il s’en suit logiquement que ses agents sont moraux et leurs actions sont morales. Les conséquences de leurs actes sont aussi morales, etc.



    Point barre. Continuer vos petites batailles de singes savants.


Le 17/03/2018 à 19h 25

La raison est essentiellement économique : le charbon (le fossile en général) n’est pas cher et c’est tout ce que les pauvres entre autres peuvent se permettent. Pourquoi ceux qui en ont devraient-ils s’en passer ? Leur utilisation est aussi morale, voire plus vu leur coût, que les autres sources d’énergie.



Si les escrolos n’avaient pas rendu le nucléaire exhorbitant à courrir derrière un risque zéro inatteignable, on serait presque entièrement équipés en centrales nucléaires en Occident. Ces mêmes escrolos qui couinent maintenant contre le charbon et le pétrole. Quelle bande de (insérer ici vos insultes préférées).

Le 17/03/2018 à 19h 09







gavroche69 a écrit :



Que l’humain se soit inventé des dieux par peur de l’inconnu et par refus d’admettre que la mort soit une fin totale et une plongée dans le néant me semble assez évident voire assez logique tant il est difficile d’admettre que notre courte vie soit du style “tout ça pour ça”…



Regretter une caractéristique de notre espèce n’induit pas forcément qu’on a une solution pour la corriger.

Adopter le mode “carpe diem” est peut-être une solution.



Bref, c’est bien la preuve que dans les gènes y’a pas que du plaisir… *



* Oui je sais elle est facile mais je la trouve assez adaptée à cette problématique… <img data-src=" />





Il y a aussi qu’une hiérarchie cosmique peut être un bon échappatoire ou substitut aux hiérarchies terrestres. De là à corriger (l’eugénisme n’est pas loin) …



J’ai fais mien ce mot de Nietzsche (je crois) : “Tout Homme qui ne dispose pas des 23 de sa journée est un esclave”.


Le 17/03/2018 à 17h 02







gavroche69 a écrit :



Je n’ai jamais dit le contraire de ça mais ce n’est pas ce qui m’empêche pas de le déplorer car je trouve que c’est une des plus grosses tares de notre espèce. <img data-src=" />





Loin de moi l’idée que la Nature est parfaite, mais si le système de hiérarchie a été conservé pendant plus d’un tiers de milliard d’années dans des espèces aussi différentes, c’est qu’il doit y avoir au moins une bonne raison à cela. C’est peut-être par là qu’il faudrait songer à creuser avant d’émettre un jugement aussi définitif …







gavroche69 a écrit :



A tel point que si on ne trouve aucun leader humain à notre goût on va jusqu’à en inventer en leur donnant une origine divine… <img data-src=" />





Et ? Ce n’est pas nécessairement un problème. On remarque d’ailleurs qu’historiquement en différentes places, temps et peuples, les mêmes symboles, mythes et histoires (dont la religion fait partie) tendent à apparaître. Un bouquin que je suis d’ailleurs en train de lire (Maps of meaning - The architecture of belief, Jordan B. Peterson) avance que c’est pour combler la peur face à l’inconnu (l’espace, le temps, les gens, etc.) que ces histoires ont été et sont toujours forgées. Elles proviendraient donc d’une nécessité quasi-biologique. Un peu comme la structure hiérarchique. Il est difficile de contourner ses gènes.


Le 17/03/2018 à 12h 43







BlueTemplar a écrit :



il me semble qu’il n’existe PAS d’optimum technique





Tout à fait, et c’est vrai pour tout : il n’existe qu’un optimum économique dont la traduction dans la réalité est une durée de vie qui dépend (majoritairement) du prix (mais cela peut aussi être une norme, un standard, une limite, etc.). La recherche de cet optimum est un processus qui s’inscrit dans la durée.



En ce sens, tout ce qui produit est économiquement et nécessairement destiné à être obsolète (un jour). La chaîne de conception-fabrication n’est pas une science exacte, mais une technique “au mieux” (ou au “moins pire”) selon les coûts/prix ciblés.



L’OP est donc une réalité, mieux, une nécessité économique. Ce qui n’existe pas, le mythe, c’est la partie “trompeuse”, voire “immorale” dont on l’affuble.


Le 17/03/2018 à 11h 12







gavroche69 a écrit :



Pour résumer je dirais que le problème majeur est ce besoin impératif pour une grande majorité des humains d’avoir un leader à suivre aveuglément que ce soit pour le meilleur mais aussi et souvent pour le pire.

Ne pas oublier que n’importe quel dictateur ne pourrait rien faire sans l’aide et la totale soumission de plein de gens.



Et ça ce n’est pas une question de politique, d’ethnies ou de religions, c’est profondément ancré dans les gènes de notre espèce.



Le charisme qui est souvent considéré comme une qualité est en fait un grave défaut très dangereux et on devrait toujours se méfier des gens trop “charismatiques”, surtout quand ils visent le pouvoir. <img data-src=" />





“Suivre aveuglément une idée” est aussi toxique que “suivre aveuglément un leader”.



L’humain est génétiquement une espèce hiérarchique. Les centres cérébraux qui traquent la place de chacun dans cette structure pyramidale fonctionnent de la même façon chez le homard, par exemple. Preuve que ce système est profondément enraciné et conservé, les molécules qui fonctionnent chez l’homme sur ces centres nerveux (anti-dépresseurs) fonctionnent aussi chez le homard, alors que notre ancêtre commun a divergé il y a près de 350 millions d’années (il n’y avait même pas d’arbres à l’époque).



Concernant les idées, il n’y a qu’une seule manière de savoir ce qu’elles valent : avoir l’expérience de la liberté pour avoir la liberté de les expérimenter. La Science peut aider, mais ce n’est qu’un outil. Il faut une morale. Et là, il n’y a déjà plus grand chose.



Tout le reste n’est que babillage et baratin.


Le 17/03/2018 à 11h 00







js2082 a écrit :



Si on va dans ce sens là, on peut remonter jusqu’à Karl Marx qui dans son livre le Kapital expliquait déjà les limites du système capitaliste





Marx tentait d’expliquer. Ses calculs sont faux et ses vagues théories sans valeur.



Le marxisme est un peu comme le climatisme : l’hypothèse de l’EGE (enhanced greenhouse effect) est le pendant de l’idée du sur-travail : sans fondements, sans mérites (mais appétantes pour les croyants/gogos).


Le 17/03/2018 à 10h 48







OlivierJ a écrit :



Ah, tmtisstone retente de nous parler de son climatosceptisme, mais on va le laisser tout seul je pense.





J’ai changé d’avis sur le réchauffement climatique : il a des causes 100% dues à l’Homme. Les mesures inventées, les observations truandées ou non existantes, la théorie bancale et non physique, les calculs foireux, les données partielles, partiales et sélectives, les ajustements toujours dans le même sens, les modèles non vérifiés, non validés et paramétrés à mort, la climastrologie décidée par consensus, la continuelle propagande alarmiste, le rejet de la méthode scientifique, la confusion volontairement entretenue entre météo et climat, les solutions bidons ou pires que ne rien faire proposées sans études des coûts/bénéfices, acceptées sans analyse prospective et financées sans raison ni rentabilité économique, la constance dans la fausseté des prédictions apocalyptiques, etc., tous ces faits empiriques m’ont amené à réviser mon jugement sur ce problème politico-idéologico-religieux : il est entièrement dû à l’Homme. 97% sont d’accord. Il n’y a logiquement pas d’autre alternative que de me ranger à la majorité …



Comme disait Feynman, « La Science est la croyance en l’ignorance des experts ». A contrario, la pseudo-science est la supposition d’infaillibilité de ces mêmes experts.


Le 16/03/2018 à 21h 32

Au passage, répondre qu’un autre sceptique ou moi avons/n’avons pas (insérer ici un non-argument) parce qu’on adhère pas au point de vue des croyants dans le mythe du réchaufroidissement climatocatastrophique d’origine 100% humaine porté par les astronumérologues et leurs majorettes, ce n’est pas un argument, c’est un élément de langage (un sophisme en fait). Identique à ceux employés par les complotistes face aux critiques qu’on leur oppose …

Le 16/03/2018 à 17h 21

Arte, soit en retard d’une guerre (charbon propre) soit en avance dans la fiction climastrologique (fonte glaciaire) soit incapable de voir autre chose que les aspects mineurs ou inexistants (obsolescence programmée) des bienfaits de l’économie globale. C’est tellement récurrent que ça en devient lassant. Le jour n’est pas encore venu où Arte jettera un œil autre que négativement critique dans le rétroviseur de l’humanité.

Le 19/03/2018 à 12h 16







Jarodd a écrit :



Ils ont empêché le rachat par Orange, c’est finalement Vivendi qui l’a eu. Tu penses vraiment qu’Orange aurait pu sauver DM ?











Estevan a écrit :



À part aimer t’écouter toi-même, et sans doute te lire toi-même, en agrégeant des bouts de phrases piochées ici et là dans les commentaires du Figaro, as tu une véritable analyse de la situation ?







Rappel : en 2009, l’État français entre au capital de Dailymotion à hauteur de 51%, via le Fonds stratégique d’investissement.





L’État entré au capital : un cadeau empoisonné



Un cadeau empoisonné. Car une fois entré au capital, l’État n’a cessé de court-circuiter la direction. Quand Yahoo a déclaré vouloir racheter le petit français pour contrer Google, le Zébulon du made in France, Arnaud Montebourg, a dit non. Le ministre du Redressement productif a préféré contraindre Orange, qui avait 49% des parts, à monter à 100%. Mais on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Concentré sur la téléphonie et sur la France, l’opérateur n’avait pas de stratégie à proposer. “Stéphane Richard nous a fichu une paix royale, préférant attendre le moment propice pour nous revendre”, résume un ancien manager.



Dailymotion pouvait-il s’adosser à un autre groupe français plus motivé ? La question s’est à nouveau posée en 2015, quand Orange a trouvé avec PCCW, géant hongkongais des télécoms, et la chaîne de télévision allemande ProSieben deux candidats au rachat. Mais cette fois-ci, c’est l’Élysée qui a bloqué, exigeant qu’une solution hexagonale soit trouvée. Mais laquelle ?




Le 19/03/2018 à 10h 04

Un nouveau beau résultat du “capitalisme” d’État à la française (lire socialisme).



Un grand merci donc au bouffon en charge à l’époque du sinistère bolchevique du Dressement Reproductif, A. Montebourg, et à son capitaine de pédalo directeur de l’asile F. Hollande pour avoir aussi professionnellement sabotés et ruinés DailyMotion !

Le 16/03/2018 à 17h 06

J’ai lu du “Nazi” et de la “chambre à gaz”. C’est bien.



Pour tes prochains commentaires , j’attends du “Bolchevique” et du “goulag” histoire de rétablir l’équilibre.

Le 16/03/2018 à 16h 51







OB a écrit :



Vu les investissements, le “marché” a vite fait de s’organiser en quartel, comme aux USA, au détriment du choix des gens - au point, aux US, de créer des sociétés tellement imposantes qu’elles peuvent attaquer en justice les communes qui décident de tirer elles-même un réseau municipal pour palier à la mauvaise qualité de l’opérateur en monopole local.

 

Comme France Télécom dans les années 2000, AT&T est accusé à plusieurs endroits de faire obstruction sur l’utilisation des poteaux, de découper (via les sous-traitants) les câbles de concurrents.

 

Sans régulation, le “marché” c’est la loi du plus gros.



Ca veux pas dire que la sur-régulation dont la France jacobine est amoureuse est une bonne chose non plus.





Si les communes ont fait le mauvais choix de laisser leur infrastructure à un seul FAI, il est normal que ce FAI les attaque. Quand on crée un monopole, il ne faut pas s’étonner qu’il monopolise.



Accusé ne veut pas dire coupable, surtout quand ce sont les sous-traitants qui soit-disant “découpent”.



Sans régulation, le “marché” n’est pas parfait (qui l’est ?), mais optimal.



Ok pour la dernière phrase.


Le 15/03/2018 à 16h 14



aucun patron d’opérateur français n’est venu me parler de sa vision de la 5G



C’est parce que le marché se fiche de ton opinion. L’adoption se fera selon les termes des clients et des opérateurs, pas selon les desiderata de l’État et/ou de ses sbires. Et plus vous imposerez de dates, de régulations, d’obligation et d’interdiction, plus ce sera long. Comme si l’épisode du haut débit décidé d’en haut n’avait pas suffit. <img data-src=" />

Le 14/03/2018 à 21h 30



Plus de 30 millions d’euros par an de manque à gagner



Mais non, l’État c’est nous. Au lieu de nous donner collectivement 30 myions, nous allons nous les laisser individuellement. La valeur de ce qu’on pourra chacun en retirer sera infailliblement supérieure à ce que collectivement nous aurions pu en faire. Multiplie ces mankaganiés, et ce pays ne sera peut-être pas foutu …

Le 12/03/2018 à 17h 58



Les intérêts fondamentaux de la Nation ?



Cette tentative récurrente de personnification (anthropomorphisation) d’un concept abstrait m’a toujours paru étrange voire suspect. Autant je peux accepter le concept en lui-même basé sur une trajectoire historique, autant essayer de le justifier sur des fondements qui relèvent de l’appréciation individuelle m’échappe.



Comme diraient nos amis marxistes, le concept de Nation pourrait s’apparenter à une construction culturelle arbitraire, auquel cas ses “intérêts fondamentaux” ne sont que du vent politique pour verrouiller le système par la force. Qui a dit monopole ?

Le 11/03/2018 à 09h 17







gavroche69 a écrit :



Ben oui, c’est bien ce que j’ai dit, ceux qui font un vrai boulot d’investigation…

Dénoncer les magouilles de mecs qui veulent donner des leçons de moral à tout le monde et se présentent en modèles vertueux, je trouve ça très bien, il en faudrait plus des comme ça. <img data-src=" />





Si c’était vrai, on ne pourrait qu’applaudir. Mais on découvre quasiment systématiquement a posteriori que l’investigation était superficielle, partielle, toujours à charge, évoquée sans perspective ni contexte, et surtout présentée de manière biaisée et sélective aussi bien sur le fond que dans la forme pour soutenir une cause/idéologie préexistante (les anglophones parlent d’agenda). Quand elle n’est pas juste fausse.



Quand on n’est pas capable soit-même de traiter et présenter une problématique supposée de manière factuelle et objective, cela relève de la tromperie intellectuelle qui est certainement encore moins acceptable que les critiques potentielles du sujet qu’on voulait étudier. D’autant plus quand on n’est ni comptable ni responsable des erreurs/fautes intentionnellement commises.



Cela explique notamment que le journaliste (sauf exception) n’est plus considéré comme passage obligé pour acquérir de l’information fiable, et par conséquent que son activité de production (de fake news) comme ayant une quelconque valeur pour la société.



D’où désaffection du public, subventions comme cataplasme sur jambe de bois, législations protectionnistes qui achèveront encore plus vite la déliquescence de ce système de tromperie généralisée et la suprématie du Net, etc.



Vois cela comme une correction du marché.


Le 10/03/2018 à 08h 53

On parle plutôt “du protéome” au singulier dans le cas d’une espèce puisqu’il représente un ensemble.



On écrit aussi des “gènes” (le système d’alerte ne fonctionne plus pour le moment).

Le 09/03/2018 à 13h 36







MoonRa a écrit :



Et wep la concurrence libre et non faussé est un mythe.





On le sait depuis un bail. Mais il vaut toujours mieux qu’une concurrence non libre et faussée.


Le 09/03/2018 à 13h 33



Une position contraire à celle de la majorité des annonceurs, éditeurs et fournisseurs, selon l’institution.



Un grand classique : les plus mauvais se plaignent auprès du maître d’école que les meilleurs sont devant eux. Le maître d’école devrait-il filer à ces cancres un coup de trique pour les inciter à progresser ?



Que nenni, on est en France : le maître d’école va au contraire faire passer une loi pour casser les pattes des meilleurs. C’est un peu comme si l’arbitre interdisait aux sportifs d’arriver selon leur mérite et leurs efforts pour que tout le monde passe la ligne d’arrivée en même temps.



Où est l’intérêt pour le client (spectateur) ?

Le 08/03/2018 à 18h 51







OlivierJ a écrit :



<img data-src=" />

En français on ne parle pas “d’agenda” comme en anglais, ça n’a pas le même sens.





La langue est destinée à évoluer et c’est justement la raison pour laquelle je laisse “agenda” : parce que tes mots de substitution n’ont pas du tout la même portée et connotation (politico-idéologique). Ils sont fades, alors que le terme anglais a bien plus de goût ! Je le mettrai en italique la prochaine fois.


Le 08/03/2018 à 16h 06



Néanmoins, à titre de précaution et faute de recul suffisant,



Je ne comprends pas pourquoi nos responsables politiques n’ont pas directement interdit ces engins communicants sataniques au nom de la plus élémentaire précaution de santé du public, souvent très jeune d’ailleurs. Si des effets à longs termes sont soupçonnés, pourquoi attendre le scandale sanitaire ? Pourquoi nos associations escrolos ne sont-elles pas plus écoutées ?



Voilà qui est quand même hypocrite. Dans un autre contexte où l’on a la chance de disposer de 40 ans de recul d’innocuité avérée, on les écoute et on hésite pas à interdire au nom de ce même principe. <img data-src=" />



Un principe qui fonctionne quand il est inutile, ce n’est pas un principe mais un alibi au service d’une cause agenda.

Le 08/03/2018 à 18h 45







skankhunt42 a écrit :



A un moment l’économie deviens inutile si il n’est pas possible de vivre…





L’extrémisme et le déni n’ont jamais mené bien loin.





“On what principle is it that when we see nothing but improvement behind us, we are to expect nothing but deterioration before us?”




  • Thomas Babington Macaulay, 1830. Historien et politicien anglais.


Le 08/03/2018 à 15h 48







skankhunt42 a écrit :



Je te rappelle que la consommation énergétique du bitcoin est équivalente à un pays comme la Norvège et c’est arrivé en moins de 5 ans, à t’on avis quel est l’impact potentiel sur le climat ? Et ça c’est que le bitecon, si tu prend un compte toutes les cryptos tu arrive surement à deux ou trois fois la norvège…





Fake news basée sur des méthodologies déficientes, des extrapolations/estimations hasardeuses et des comparaisons non sensiques foireuses, mais répétée sans vérification par tous les pisse-copies de la presse subventionnée pour aguicher les attrape-nigauds adeptes de l’éco-astrologie climatique.



Et même si c’était le cas, on ne peut que s’en réjouir : comme dans tout en économie, on ne peut pas espérer, pour prendre un exemple plus concret, développer les forêts en ne consommant pas de bois. C’est donc une excellente chose que la consommation d’énergie augmente puisque cela va nécessairement en augmenter la production et donc mécaniquement en faire diminuer son coût/prix (pour les derniers de la classe qui n’auraient pas saisis).



(L’ironique cerise sur le gâteau est que même les forêts vont en profiter – par verdissement.)


Le 08/03/2018 à 15h 09







loser a écrit :



Un Américain n’a pas moins de valeur pour moi, en tant qu’être humain, qu’un Français. En revanche je préfère que ce soit mon pays, la France,  et mes concitoyens, qui profitent des rentrées fiscales générées par les ventes sur son territoire.





“Ton pays” n’est qu’une délimitation arbitraire et artificielle pour restreindre tes libertés : tu confonds la carte et le territoire. “Ton pays” ne consomment pas, ce sont les individus qui consomment. Tu ne semble pas comprendre que ce sont tes “concitoyens” qui vont nécessairement les payer ces impôts (puisque basés sur le CA réalisé localement), pas les GAFA qui ne feront que les répercuter à leurs clients en augmentant (même marginalement) leur prix.







loser a écrit :



Les GAFA ne paient pas les impôts qu’ils devraient, sur les bénéfices réalisés en France. Qui paye à leur place? Les contribuables français. Qui pâtit de cette concurrence déloyale? Le commerce de proximité et les entreprises françaises qui paient correctement leurs impôts.

Il me semble juste que ce soient les clients de ces entreprises qui payent, plutôt que les autres Français non clients.





S’ils ne paient pas d’impôts, alors logiquement personne ne paie à leur place puisque l’impôt est nominatif. C’est donc tout l’inverse : si les GAFA ne payent pas d’impôts, alors leurs clients n’en paieront pas non plus (puisque ce ne sont pas des charges). Les impôts ne sont pas décidés par les entreprises mais par les politiques. Ce n’est pas à la concurrence déloyale inexistante qu’il faut s’attaquer, c’est à la fiscalité confiscatoire qui ruine le commerce et appauvrit l’ensemble de la société. Cette inversion des valeurs est quand même sidérante.







loser a écrit :



Et les impôts que le contribuable paiera en moins seront également réinvestis dans l’économie locale.





Les impôts sont, par définition, une perte sèche pour l’économie puisque ils représentent de l’argent qui ne sera pas dépensé par leur propriétaire légitime. La richesse potentiellement créée par cet impôt est nécessairement strictement inférieur (souvent elle est nulle voire négative) à la richesse qui aurait été créée sans cet impôt.



Toute l’économie depuis les temps les plus anciens est basée sur le principe naturel que l’individu est le mieux à même de savoir quoi faire du fruit de son travail parce qu’il est le seul à connaître ou tout du moins estimer la valeur de ce qu’il échange, et ce n’est pas tes croyances bizarres et superficielles sur le vol légal qu’est en définitive la fiscalité qui vont le modifier. Tu paieras seulement plus d’impôts.