#Le brief du 04 octobre 2021

Thomas Pesquet va devenir commandant de l’ISS : suivez ce lundi la cérémonie en direct

Thomas Pesquet va devenir commandant de l’ISS : suivez ce lundi la cérémonie en direct

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La date était déjà connue depuis plusieurs semaines. Pesquet sera le premier Français à assurer ce rôle et le quatrième portant les couleurs de l’Agence spatiale européenne.

Comme l’indique le CNES, la cérémonie de passation de commandement est à suivre ce lundi en direct à partir de 21h20 (heure de Paris) sur NASA TV. Thomas Pesquet succédera alors au Japonais Akihiko Hoshide.

« Le choix du commandant résulte d’une décision concertée entre les agences spatiales participantes. Il ne s’agit pas d’un choix politique – même si l’on essaie bien-sûr de trouver un équilibre entre toutes les nations de façon à ce que cela ne soit pas toujours un Russe ou un Américain. Mais le commandant est avant tout choisi pour ses qualités ! », explique Jean Blouvac, responsable du programme exploration et vols habités au CNES.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Thomas Pesquet va devenir commandant de l’ISS : suivez ce lundi la cérémonie en direct

Facebook : une ancienne employée accuse la société de « donner la priorité à la croissance plutôt qu’à la sûreté »

Facebook : une ancienne employée accuse la société de « donner la priorité à la croissance plutôt qu'à la sûreté »

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Le réseau social est au cœur de plusieurs tourmentes ces derniers temps, notamment sur le bien être des adolescents et une version d’Instagram pour les moins de 13 ans.

Frances Haugen, une ancienne employée, a notamment transmis des documents à des médias américains. Alors qu’elle sera prochainement auditionnée par la Commission au commerce du Sénat américain, elle a accordé un entretien de 60 minutes à CBS.

Elle y pointe les cas évoqués plus haut, mais aussi les fake news. Elle affirme, comme le rapporte les Échos, que les algorithmes auraient été reconfigurés comme avant « dès que l'élection [présidentielle aux États-Unis] a été terminée » afin de « donner la priorité à la croissance plutôt qu'à la sûreté ».

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Facebook : une ancienne employée accuse la société de « donner la priorité à la croissance plutôt qu’à la sûreté »

Azure Active Directory : une faille permet des attaques par force brute contre les identifiants

Azure Active Directory : une faille permet des attaques par force brute contre les identifiants

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La faille a été découverte en juin par les chercheurs Counter Threat Unit (CTU, mais pas celle de 24 h Chrono) de SecureWorks. Elle « permet à des acteurs malveillants de réaliser des attaques par force brute à un seul facteur contre AAD sans générer d’évènements de connexion », quand le service Seamless Single Sign-On est activé.

En clair, cela signifie que des pirates peuvent tenter autant de fois qu’ils le souhaitent de deviner un mot de passe. L’infrastructure n’enregistre pas les tentatives, les laissant faire et recommencer sans que quiconque soit alerté.

Le problème se situe, selon les chercheurs, dans l’utilisation faite du protocole Kerberos, souvent utilisé par Microsoft pour tout ce qui touche au SSO. Comme expliqué par Ars Technica, certains codes d’erreurs prévus sont mal enregistrés, ouvrant la voie à des scénarios d’attaques.

Selon les chercheurs, le mécanisme pourrait être utilisé dans n’importe quelle entreprise se servant de Microsoft 365 ou d’Azure Active Directory, y compris celles se servant de Pass-through Authentication (PTA).

Cependant, SecureWorks ne classe cette vulnérabilité qu’en dangerosité « moyenne ». La facilité d’exploitation découle en effet directement de la complexité du mot de passe : ce n’est pas parce qu’une brèche laisse faire la force brute qu’un mot sera facilement trouvé. Les attaques par force brute coûtent cher.

Toujours selon les chercheurs, Microsoft aurait répondu qu’il s’agissait d’un comportement voulu. En d’autres termes, ce ne serait pas un bug, mais une fonction. La société n’a pas répondu aux demandes d’Ars Technica.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Azure Active Directory : une faille permet des attaques par force brute contre les identifiants

La saisine constitutionnelle des sénateurs sur l’article 13 du projet de loi Arcom

La saisine constitutionnelle des sénateurs sur l’article 13 du projet de loi Arcom

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Les sénateurs ont transmis au Conseil constitutionnel leur saisine du projet de loi Arcom. Ce projet de loi prévoit notamment la fusion Hadopi et CSA et de nouveaux outils de lutte contre le piratage. Ce n’est toutefois pas ce volet qui intéresse le groupe Les Républicains, mais l’article 13, comme l’ont noté également nos confrères de Contexte.

Il concerne le « montant maximal aux pénalités que pourra infliger la future autorité de régulation, l’Arcom, en cas de non-respect par les éditeurs de services de leurs obligations en matière de financement de la production d'œuvres cinématographiques et audiovisuelles ».

Le texte revoit en effet à la hausse les sanctions encourues, dont le montant maximal pourra atteindre deux fois celui de l’obligation devant être annuellement consacrée à la production, voire trois fois en cas de récidive.

« Disproportionné ! », expliquent en substance ces élus, à la porte du Conseil constitutionnel. Pour eux, « le montant de l’amende doit être rendu adéquat à la surface financière de l’entreprise, mais aussi et surtout (…) articulé au profit qu’elle a illégalement retiré de son acte ».

Or, « contrairement à la version votée par le Sénat, l’Arcom sera mise en situation de pouvoir prononcer une sanction très importante – puisqu’indexée sur le montant multiplié de toute l’obligation – alors que le manquement allégué pourra ne porter que sur une part, le cas échéant très mineure, de cette même obligation ».

Outre le sort de cette procédure, une question demeure : les Sages soulèveront-ils d’office des contrariétés non visées par cette saisine ? On pense en particulier aux injonctions dynamiques qui concernent les sites de streaming de compétitions sportives. Une disposition très ambitieuse permettant de frapper par anticipation des sites qui n’existent pas encore.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La saisine constitutionnelle des sénateurs sur l’article 13 du projet de loi Arcom

Office 2021 : la licence perpétuelle disponible demain à partir de 149,99 dollars

Office 2021 : la licence perpétuelle disponible demain à partir de 149,99 dollars

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Comme prévu, la nouvelle mouture de la suite bureautique sera commercialisée demain, en même temps que Windows 11.

On connaissait la date, mais pas les tarifs. Ils ont été officialisés par Microsoft : 149,99 dollars pour la mouture Famille et Étudiant, 249,99 dollars pour Famille et Petite Entreprise. Les prix français ne sont pas encore connus, mais il semble que le tarif d’entrée n’ait pas changé. En revanche, la version Famille et Petite Entreprise est actuellement vendue 299 euros. Il pourrait donc s’agir d’une baisse.

Rappelons qu’Office 2021 n’apporte rien aux abonnés Office/Microsoft 365. La licence perpétuelle récupère les nouveautés sorties jusqu’ici, mais les mises à jour ne contiendront aucune fonction, que des corrections.

Pour les utilisateurs d’une ancienne version, les changements sont néanmoins nombreux : interfaces remaniées, renforcement du travail collaboratif, arrivée de XLOOKUP et des Dynamic Arrays dans Excel, diaporama avec narration dans PowerPoint, support du format OpenDocument 1.3, recherche plus rapide, support des puces M1 pour la version Mac…

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Office 2021 : la licence perpétuelle disponible demain à partir de 149,99 dollars

Première préversion publique pour Visual Studio 2022 Mac

Première préversion publique pour Visual Studio 2022 Mac

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La nouvelle mouture de l’environnement de développement avait été annoncée en avril. Microsoft avait promis que cette version 2022 de l’IDE pour Mac serait plus rapide, plus stable et plus en phase avec le genre d’expérience native macOS que les utilisateurs étaient en droit d’attendre.

L’éditeur confirme que l’interface est en cours de réécriture afin d’être entièrement native, avec des gains en réactivité, intégration et support des technologies d’assistance propres à macOS, comme VoiceOver. Microsoft insiste : cette version 2022 est plus rapide et plus fiable. Certains bugs présents depuis longtemps sont corrigés et les cas de plantages sont réduits.

Parmi les autres améliorations, citons la fenêtre Git plus en phase avec la version Windows, la compatibilité avec .NET 6 et C#10 ou encore la prise en charge prochaine de MAUI (Multi-platform App UI).

En revanche, pas de version Apple Silicon pour le moment. Jordan Matthiesen, l’un des principaux développeurs de Visual Studio for Mac, a indiqué sur Twitter que le travail était en cours, sans plus de précisions.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Première préversion publique pour Visual Studio 2022 Mac

Céline Bredèche est la nouvelle secrétaire générale de l’Arcep

Céline Bredèche est la nouvelle secrétaire générale de l’Arcep

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Sa prise de fonction est effective depuis le 1er octobre. Elle succède à Catherine Gallet-Rybak, dorénavant adjointe au directeur des affaires administratives, financières et patrimoniales d’INRIA.

« Diplômée de Sciences Po Paris et titulaire d’un master de droit public de l’université Paris-Sud, Céline Bredèche était cheffe de l’unité « Ressources humaines » de l’Arcep depuis avril 2016. Elle occupait également le poste d’adjointe à la secrétaire générale depuis octobre 2019 », explique le régulateur.

Son rôle est d’assurer « la mise en œuvre des moyens nécessaires à son bon fonctionnement pour l’accomplissement de ses missions (ressources humaines, moyens financiers et logistiques, gestion des connaissances, système d’informations) ».

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Céline Bredèche est la nouvelle secrétaire générale de l’Arcep

Altitude rachète « la majeure partie des actifs de Covage »

Altitude rachète « la majeure partie des actifs de Covage »

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Suite au rachat de Covage par SFR FTTH (Altice, Allianz et Omers), la Commission européenne avait donné son feu vert, sous certaines conditions (notamment la vente d'actifs). Altitude vient justement d’annoncer l’acquisition auprès de Covage « de 26 réseaux publics et privés dont 18 dédiés aux entreprises et 8 réseaux mixtes ».

« Le périmètre acquis fait d’Altitude l’opérateur indépendant de référence en matière d’infrastructures de fibre optique sur le territoire français et le premier opérateur de réseaux publics à l’échelle du pays […] plus de 5 millions de prises, desservant plus de 12% de l’ensemble des foyers français, qui seront produites et exploitées par Altitude à travers sa filiale Altitude Infra », affirme l’opérateur.

Il y a quelques jours, Adista et unyc ont annoncé « avoir signé un accord d’exclusivité en vue de leur rapprochement stratégique ». Ce projet « permettra la constitution d’un nouveau groupe entre le premier opérateur alternatif B2B cloud et communications en France, et l’acteur majeur de la vente indirecte de services télécoms ».

Le groupe devrait réaliser en 2021 un chiffre d’affaires de 220 millions d’euros, avec 900 collaborateurs.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Altitude rachète « la majeure partie des actifs de Covage »

Orange célèbre les 30 ans du Bi-Bop

Orange célèbre les 30 ans du Bi-Bop

Le 04 octobre 2021 à 08h50

C’est en effet le 1er octobre 1991 que l’ancêtre du téléphone portable a été commercialisé de manière « expérimentale » à Strasbourg. Il est ensuite arrivé à Paris en 1993.

Ce terminal mobile était certes capable de passer des appels, mais il fallait se trouver dans la zone de couverture d’une borne, qui n’opérait que sur un rayon de 100 à 200 m seulement.

Cette « cabine téléphonique transportable » était facturée 1 890 francs à son lancement (environ 300 euros avec une conversion bête et méchante), auxquels il fallait ajouter un abonnement mensuel (54,50 francs) et payer les minutes de communication (83 centimes de franc).

Le Bi-Bop a rapidement été enterré par le GSM. Son aventure s’est terminée en 1997.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Orange célèbre les 30 ans du Bi-Bop

Raja Koduri de passage à Paris

Raja Koduri de passage à Paris

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Intel tente de sensibiliser l'Europe a sa nouvelle stratégie IDM 2.0 depuis quelques mois, évoquant la construction prochaine d'une usine sur le continent pour limiter sa dépendance à l'approvisionnement « extérieur ». Le pays où le site sera installé n'a pas encore été dévoilé, l'entreprise cherchant des subventions et à ne froisser personne. On devrait en savoir plus d'ici la fin de l'année.

Le géant américain des processeurs a d'autres sujets à « pousser ». Après Pat Gelsinger fin juin, c'est au tour de Raja Koduri de faire sa « tournée » en Europe. Il dit venir visiter les acteurs du HPC, en commençant par la France, un secteur où nous sommes actifs.

L'Europe dispose d'ailleurs de nombreux programmes de recherche et de supercalculateurs. Elle travaille même à travers SiPearl à la création d'un processeur ARM devant répondre à ses besoins et servir de base à un écosystème d'accélérateurs.

De son côté, Koduri va sans doute évoquer Ponte Vecchio avec les gros acteurs locaux déjà clients d'Intel et faire le point sur les projets à venir après les annonces récentes.

Aucun détail n'a été donné quant aux entreprises qui seront visitées.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Raja Koduri de passage à Paris

Orange rachète 54 % de l’opérateur fixe Telekom Romania Communications

Orange rachète 54 % de l’opérateur fixe Telekom Romania Communications

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La consolidation continue en Europe. Si Iliad se concentre sur la Pologne, Orange fait ses emplettes en Roumanie. Déjà présent sur le mobile, la société s’intéresse désormais au fixe, avec la « convergence » en ligne de mire. 

« La signature de cet accord permettra à Orange Roumanie d’acquérir une participation majoritaire de 54 % dans l’un des principaux opérateurs fixes du pays. L’État roumain conservera les 46 % restants », peut-on lire dans le communiqué

« Grâce à cette acquisition, Orange, premier opérateur mobile du pays s’appuiera sur la force du réseau fixe de TKR afin de créer un opérateur entièrement convergent, fixe et mobile, sur les marchés des particuliers, des entreprises et des TIC ». L’opérateur affirme avoir déjà obtenu le feu vert des autorités compétentes.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Orange rachète 54 % de l’opérateur fixe Telekom Romania Communications

Plan de départs chez SFR : la direction retire « sa demande d’homologation », vers une « ultime négociation » ?

Plan de départs chez SFR : la direction retire « sa demande d’homologation », vers une « ultime négociation » ?

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Dans un tweet, le syndicat UNSA Télécoms explique que « la direction de SFR retire sa demande d’homologation du PDV [Plan de Départs Volontaire, ndlr] auprès de la DRIEETS et qu’une "ultime négociation" va pouvoir avoir lieu ».

Le syndicat en profite pour renouveler « son souhait de parvenir à un accord en faveur des salariés de SFR ».

Il y a quelques jours, la direction de l’opérateur s’était pris un camouflet judiciaire. Selon CFTC Média, la décision condamnait « la déloyauté de la direction » et mettait en avant « l’absence de justification économique du plan de départs volontaires qui menace près de 2 000 emplois ».

Le syndicat donne un extrait du jugement : « L’argument de la Direction tiré de difficultés économiques et de la détérioration de sa situation suite à la crise du Covid 19 pour justifier de la réouverture de la procédure de consultation sur les orientations stratégiques n’est donc pas justifié ».

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Plan de départs chez SFR : la direction retire « sa demande d’homologation », vers une « ultime négociation » ?

Database as a Service (DBaaS) : OVHcloud complète son offre

Database as a Service (DBaaS) : OVHcloud complète son offre

Le 04 octobre 2021 à 08h50

L'hébergeur annonce la disponibilité générale de ses Managed Databases for MongoDB et ouvre la bêta pour quatre autres types de bases de données : MySQL, PostgreSQL, Redis et Kafka.

Pour rappel, deux autres doivent encore rejoindre le service lancé en juin dernier : cassandra et elasticsearch.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Database as a Service (DBaaS) : OVHcloud complète son offre

Groupama quitte Orange Bank, qui dit vouloir accélérer

Groupama quitte Orange Bank, qui dit vouloir accélérer

Le 04 octobre 2021 à 08h50

En mars dernier, on apprenait que le service bancaire, toujours déficitaire 4 ans après sa création, pouvait être à vendre. Le groupe avait rapidement démenti et cherché à rassurer, évoquant un projet toujours stratégique, avec une rentabilité attendue pour 2024.

Aujourd'hui, Groupama confirme son départ du projet. Orange rachète ses parts (21,7 %) dans le cadre d'une « augmentation de capital de 230 millions d’euros [qui] permettra d’accélérer les chantiers de croissance prévue dans le plan stratégique de la banque ».

Elle est présentée comme dans le « Top 5 » du secteur en France avec 800 000 clients cumulés en comptant l'Espagne pour l'activité bancaire. Autant pour l'activité d'assurance.

La croissance serait au rendez-vous, clame l'équipe, qui se veut positive vis-à-vis de la situation : « Ce succès se poursuit encore avec plus de 40 000 nouveaux clients par mois et une production de crédit qui dépassera 1 milliard d’euros à la fin de cette année. De plus, alors que les néo-banques restent largement sur un modèle d’offre gratuite, plus de 90% des nouveaux clients d’Orange Bank en France souscrivent une offre payante ».

Pour rappel, comme ailleurs, 130 euros sont offerts pour toute nouvelle souscription, dont 50 euros à l'achat d'un mobile Orange. L'entreprise ne communique pas de données sur le taux d'usage de ses services par les clients. Encore récemment, 10 % de remise étaient accordés dans les boutiques et sur le site d'Orange via la carte Premium (5 % de cashback habituellement).

Le groupe y voit « la réussite de la stratégie de convergence entre les services télécoms et financiers menée depuis le départ ». Elle évoque une hausse du produit net bancaire (PNB) de 57 % au premier semestre par rapport à celui de 2020 et une réduction des coûts de gestion par client de 35 % depuis 2018 devant permettre de réduire les pertes.

Sur Twitter, Stéphane Richard et le patron d'Orange Bank, Paul de Leusse, promettent de répondre à des questions « cash » ce 4 octobre, mais elles sont peu nombreuses. Une nouvelle campagne de communication axée sur la simplicité est aussi lancée.

« Groupama restera un partenaire commercial majeur en prolongeant jusqu’à 2028 l’exclusivité accordée à Orange Bank sur la banque au quotidien et le crédit consommation » précise le communiqué.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Groupama quitte Orange Bank, qui dit vouloir accélérer

Fingerprinting : Mozilla pointe les limites du Privacy Budget proposé par Google

Fingerprinting : Mozilla pointe les limites du Privacy Budget proposé par Google

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Le Privacy Budget est une idée lancée par Google pour lutter contre le fingerprinting. Au centre du mécanisme idéalisé, une valeur générale à ne pas dépasser dans les informations réclamées par un site (processeur, plateforme, navigateur, mémoire, etc.).

Avec cette idée, un site serait donc limité dans la quantité de précisions qu’un site peut relever, limitant de fait le fingerprinting à cause de valeurs trop générales. Selon Mozilla toutefois, même si l’intention est bonne, la pratique risque d’être complexe.

La fondation relève surtout quatre points problématiques :

  • Une estimation difficile du nombre d’informations révélées par un seul signal, d’autant que certains signaux sont plus représentatifs que d’autres. Par exemple, utiliser Firefox Nighlty renvoie immédiatement à un très petit groupe d’utilisateurs.
  • Même si une valeur plafond est choisie, il serait difficile de savoir quand un lot de requêtes la dépasse. Selon Mozilla, les requêtes ne sont pas indépendantes et il n’y a pas de méthode fiable pour les additionner.
  • L’application du mécanisme entrainerait probablement de nombreux problèmes pour les sites, car une fois le budget atteint, une partie des appels aux API seraient bloqués, entrainant des erreurs dans le fonctionnement.
  • Le mécanisme pourrait potentiellement servir lui-même de signal pour le fingerprinting, en épuisant le budget via une série spécifique de requêtes et en testant son comportement.

Pour Mozilla, la solution n’est pas dans le Privacy Budget de Google. La fondation recommande une limitation stricte des informations exposées par les nouvelles API et de réduire graduellement celles fournies par les API actuelles.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Fingerprinting : Mozilla pointe les limites du Privacy Budget proposé par Google

Fibre et infrastructures « d’accueil » : vers une saisine de l’Arcep pour corriger les « anomalies de marché » ?

Fibre et infrastructures « d'accueil » : vers une saisine de l’Arcep pour corriger les « anomalies de marché » ?

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Dans une question écrite repérée par Alexandre Archambault, Jacques Grosperrin (LR) interpelle le gouvernement sur « la saturation des infrastructures de génie civil d'Orange dans de nombreuses villes, principalement en zones urbaines très denses ».

Il ajoute que, face à cette situation, « l'usage d'autres infrastructures d'accueil (tels que les réseaux de chaleur, les égouts visitables,...) semble ainsi inévitable pour tous les opérateurs télécoms ».

« Or, malgré les obligations clairement formalisées dans les articles L. 34-8-2-1 et L. 34-8-2-2 du code des procédures civiles d'exécution, plusieurs gestionnaires d'infrastructures d'accueil […] ne semblent pas disposer d'offres de gros à des conditions raisonnables permettant l'accès à leurs infrastructures d'accueil (fourreaux, adduction de parcelles, pylônes, etc.) ». Ce sont notamment les cas de la RATP, d’Aéroports de Paris et des sociétés d'Autoroutes (Vinci, Sanef, APRR).

« Cette situation conduit inévitablement à créer des monopoles locaux, à ralentir le déploiement de nouveaux réseaux pour stimuler le marché de détail ciblant les entreprises et institutions publiques, et ainsi à freiner la progression de la concurrence », ajoute le sénateur.

Il souhaite donc savoir si la saisine de l’ARCEP et de l'autorité de la concurrence « est envisagée à courte échéance pour corriger ces anomalies de marché ». Cette question n’a pas de réponse pour le moment.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Fibre et infrastructures « d’accueil » : vers une saisine de l’Arcep pour corriger les « anomalies de marché » ?

Open data des décisions de justice : une consultation pour jauger les réutilisations

Open data des décisions de justice : une consultation pour jauger les réutilisations

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La Cour de cassation comme le Conseil d’État ont mis en ligne leur base suite à la publication du décret sur la mise à disposition du public des décisions de justice.

« Cette mise à disposition répond au cadre de diffusion posé la loi, plus protecteur de la vie privée et de la sécurité des personnes mentionnées dans les décisions que le régime antérieur, grâce à un nouveau mécanisme d’occultation des données personnelles des personnes mentionnées dans les décisions », résume la Chancellerie.

Le ministère a d’ailleurs mis en ligne un portail dédié, qui rappelle que ce mouvement avait été initié par la loi sur la République numérique de… 2016.

Il a lancé pour l’occasion une consultation ouverte jusqu’à fin novembre. L’enjeu ? « Appréhender au mieux les usages et la réutilisation des données issues des décisions ». Les textes interdisent cependant le profilage, la comparaison ou l’évaluation des magistrats, et imposent évidemment le respect du règlement général sur la protection des données outre l’anonymisation.

Prochaine étape de cette ouverture, dont le calendrier s’étend jusqu’en 2025 ? « Les décisions rendues par les cours administratives d’appel ainsi que celles rendues par les cours d’appel de l’ordre judiciaire en matière civile, sociale et commerciale seront mises en ligne, respectivement en mars et avril 2022 ».

Un chantier d’ampleur : « chaque année plus de 3 millions de décisions sont rendues par les juridictions françaises ». À terme, toutes seront diffusées, sauf exception comme les décisions qui ne sont pas rendues publiquement.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Open data des décisions de justice : une consultation pour jauger les réutilisations

Linux Mint 20.3 se nommera Una et sera disponible à Noël

Linux Mint 20.3 se nommera Una et sera disponible à Noël

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La prochaine version de la distribution sera disponible à la fin de l’année. Una – c’est son nom – restera basée sur Ubuntu 20.04 (Mint ne s’appuie que sur les versions LTS) et le noyau Linux 5.4. En revanche, la nouvelle LMDE (Linux Mint Debian Edition) sera basée sur Debian 11.

Les modifications prévues sont surtout visuelles ou en rapport avec l’ergonomie. Les barres de titre et leurs boutons seront un peu plus larges, et les fenêtres auront des coins arrondis. La couleur d’accentuation disparaît de certaines zones, remplacée par du gris. Un paquet sera proposé avec les anciens thèmes.

Plusieurs applications afficheront en outre un thème sombre par défaut : Hypnotix, Celluloid, GNOME Terminal, Pix et XViewer.

C’est peu, mais le développement de la version commence à peine. L’équipe aura probablement d’autres détails à partir, mais Mint 20.3 restera une révision assez mineure. Le vrai changement viendra avec la sortie d’Ubuntu 22.04 au printemps.

Le site officiel de la distribution fait peau neuve de son côté. Pas question cette fois de gris : le vert y est omniprésent.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Linux Mint 20.3 se nommera Una et sera disponible à Noël

Maintenance en cours sur Bloctel, nouveaux tarifs pour les professionnels

Maintenance en cours sur Bloctel, nouveaux tarifs pour les professionnels

Le 04 octobre 2021 à 08h50

« À compter du 1er octobre 2021, le service Bloctel change d’exploitant ». Voilà ce qu’annonce avec un degré minimal de détail le site officiel de la liste d’opposition.

On sait que ces travaux vont impliquer « une opération de maintenance du site de quelques jours actuellement en cours » durant lesquels tout sera « mis en œuvre pour assurer la continuité du service », mais le site ne dit rien des conséquences en cas d’interruption technique.

Ce week-end, au Journal officiel, ont aussi été publiés les tarifs et montants des abonnements facturés par l'organisme chargé de la gestion de la liste d'opposition au démarchage téléphonique. Ces tarifs s’appliquent pour les prestataires ayant l’obligation d’utiliser la liste Bloctel.

Cette grille s’applique plus précisément « aux professionnels non-revendeurs, qui utilisent le service fourni pour leur propre compte, et aux professionnels revendeurs qui utilisent le service en agissant pour le compte d'autres professionnels et non pour leur propre compte ».

Les tarifs vont de 2 210 euros à 16 000 euros, selon le statut, avec des majorations prévues selon les quantités de numéros concernés.

Cette liste d'opposition au démarchage téléphonique repose sur un traitement automatisé de données à caractère personnel « dont la mise en œuvre et la gestion sont confiées à un organisme de droit public ou de droit privé désigné (...) pour une durée maximale de cinq ans » précise le Code de la consommation.

Pour financer cet organisme, une redevance est versée par les professionnels à cet organisme, dont le montant est fixé par arrêté.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Maintenance en cours sur Bloctel, nouveaux tarifs pour les professionnels

BepiColombo : les premières superbes photos de Mercure

BepiColombo : les premières superbes photos de Mercure

Le 04 octobre 2021 à 08h50

La sonde a décollé en octobre 2018 et son trajet est loin d’être terminé. Elle a déjà survolé la Terre et Vénus, en utilisant l’assistance gravitationnelle à chaque fois.

Avec Mercure, c’était de nouveau le cas il y a quelques jours. Ce n’est pas le bout du voyage, loin de là : pas moins de six survols de la première planète sont au programme, avec de l’assistance gravitationnelle à chaque fois. L’insertion en orbite est prévue pour fin 2025, avec un début de la mission scientifique en 2026.

Quoi qu’il en soit, ces premières images de Mercure sont impressionnantes, car prises à environ 1 000 km de la surface. La qualité n’est pas encore démentielle (1 024 x 1 024 pixels seulement) car il s’agit des caméras de surveillance.

Lors de son approche à 200 km, les conditions n’étaient pas idéales pour prendre des photos.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

BepiColombo : les premières superbes photos de Mercure

Donald Trump demande à un juge de récupérer son compte Twitter

Donald Trump demande à un juge de récupérer son compte Twitter

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Reuters affirme que l’ancien président a « déposé une demande d'injonction préliminaire contre Twitter[…] arguant que le réseau social avait été "contraint" par des membres du Congrès américain à suspendre son compte ».

Selon l’avocat de Trump, Twitter « exerce un incommensurable pouvoir et contrôle sur le discours politique dans ce pays, historiquement sans précédent et profondément dangereux pour ouvrir un débat démocratique ».

Pour rappel, le compte Twitter de Trump (et d’autres réseaux sociaux) avait été suspendu suite à l’assaut par des sympathisants du Congrès américain début janvier. Le réseau social s’est pour le moment refusé à tout commentaire.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Donald Trump demande à un juge de récupérer son compte Twitter

Proposition d’acte sur la gouvernance des données : les États membres trouvent un accord

Proposition d’acte sur la gouvernance des données : les États membres trouvent un accord

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Au Conseil, les États membres ont trouvé un accord au profit d’un mandat de négociation sur la proposition d'acte sur la gouvernance des données.

« Cela permettra à la présidence du Conseil d'entamer les négociations avec le Parlement européen » puisque les deux doivent se mettre d'accord sur le texte final.

Selon l’institution, « l'acte viserait à mettre en place des mécanismes solides pour faciliter la réutilisation de certaines catégories de données protégées du secteur public, renforcer la confiance dans les services d'intermédiation de données et promouvoir l'altruisme en matière de données dans l'ensemble de l'UE ».

Autre enjeu, « l'acte sur la gouvernance des données créera un mécanisme permettant de réutiliser en toute sécurité certaines catégories de données du secteur public soumises à des droits d'autrui ». Des cas particuliers viseront « les données protégées par des droits de propriété intellectuelle, des secrets d'affaires et des données à caractère personnel ».

Ce projet a été dévoilé par la Commission le 25 novembre 2020.

Il vise à « la mise à disposition de données du secteur public en vue d’une réutilisation, lorsque de telles données sont soumises à des droits d’autrui », « le partage de données entre entreprises, contre rémunération sous quelque forme que ce soit ».

Autres objectifs, « permettre l’utilisation de données à caractère personnel avec l’aide d’un intermédiaire de partage de données à caractère personnel, conçu pour aider les personnes physiques à exercer leurs droits au titre du règlement général sur la protection des données (RGPD) » et enfin, « permettre l’utilisation de données pour des motifs altruistes ».

Quelques exemples d’utilisation de données industrielles et commerciales, envisagés par la Commission : les données concernant « la navigation au moyen de dispositifs d’évitement du trafic en temps réel » ou celles relatives à « la notification en temps réel des retards de trains ».

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Proposition d’acte sur la gouvernance des données : les États membres trouvent un accord

Une consultation citoyenne en ligne pour comprendre l’abstention aux élections

Une consultation citoyenne en ligne pour comprendre l'abstention aux élections

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Organisée par la mission d’information visant à identifier les ressorts de l’abstention et les mesures permettant de renforcer la participation électorale, elle doit permettre de « comprendre les motivations des abstentionnistes, et de faire émerger des réponses pour améliorer la participation électorale ».

Elle comporte 25 questions dont quatre ouvertes, le temps de réponse est estimé à 10 minutes. Il n'est pas nécessaire de déclarer son identité pour participer, des questions étant néanmoins posées dans la dernière partie « mieux connaître les répondants » (âge, sexe, zone géographique, catégorie-socioprofessionnelle, etc.).

« À l'issue de la consultation citoyenne, au moment de la publication du rapport, l’intégralité des réponses anonymisées seront publiées sur la plateforme open data de l’Assemblée nationale dans un format ouvert et librement réutilisable » et donc exploitable par ceux qui voudraient s'en servir pour analyser les résultats pour d'éventuelles études et analyses.

Reste désormais à toucher les habitués de l'abstention, ce qui ne sera pas forcément chose aisée. Mais on peut néanmoins saluer la mise en place d'une telle initiative.

Le 04 octobre 2021 à 08h50

Une consultation citoyenne en ligne pour comprendre l’abstention aux élections

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