#Le brief du 28 mai 2025

xAI va payer 300 millions de dollars par an pour intégrer Grok à Telegram

Le 28 mai 2025 à 17h26

Le 28 mai 2025 à 17h26

xAI va payer 300 millions de dollars par an pour intégrer Grok à Telegram

WhatsApp désormais disponible… sur iPad !

Le 28 mai 2025 à 10h03

« Vous l’aviez demandé et nous l’avons fait. Nous avons le plaisir de vous annoncer que WhatsApp est désormais disponible sur l’iPad », claironne l’éditeur dans son annonce, publiée hier soir.

La version disponible sur l’App Store permet désormais une installation native sur l’iPad. Cette mouture pour tablette d’Apple est une véritable arlésienne. L’éditeur en avait parlé il y a longtemps, et on savait simplement qu’une version préliminaire était en test privé depuis plusieurs années.

Cette version se comporte comme les autres applications et la version web. Celle présente sur le téléphone est considérée comme la base principale, avec laquelle se synchronisent les autres. Cette version pour iPad demande ainsi de scanner un code QR avec le téléphone pour lancer cette synchronisation.

Si vous n’avez jamais utilisé WhatsApp en revanche, la version iPad ne peut pas servir à s’enregistrer. Une limitation identique aux versions desktop de l’application. De même, l’application pour tablette se déconnectera automatiquement au bout de 14 jours si WhatsApp n’a pas été utilisé sur le téléphone.

Dans son communiqué, WhatsApp précise que toutes les capacités propres à l’iPad sont prises en charge, dont Stage Manager, Split View et Slide Over, pour faciliter le multitâche. L’application est également compatible avec les différentes versions du Magic Keyboard et de l’Apple Pencil.

Maintenant que Meta a enfin bouclé la boucle sur WhatsApp, Instagram sera-t-il le prochain ?

Le 28 mai 2025 à 10h03

WhatsApp désormais disponible… sur iPad !

Starship de SpaceX rate ses trois objectifs lors du dernier lancement

Le 28 mai 2025 à 09h38

Comme les deux précédents essais, le neuvième lancement test de Starship avec le propulseur Super Heavy a échoué cette nuit, finissant sur l'explosion du deuxième étage de la fusée. Comme l'explique Spacenews, celui-ci s'est désintégré au-dessus de l’océan Indien en rentrant dans l'atmosphère terrestre de manière incontrôlée. Le véhicule a chuté après avoir subi une fuite d'ergols.

Le décollage avait pourtant été un succès et les 33 moteurs ont permis à l'engin d'atteindre une trajectoire suborbitale. C'était, comme le rappelle Le Monde, la première fois que le premier étage était réutilisé par SpaceX.

S'il a réussi à propulser correctement le deuxième étage, l'entreprise n'a pas récupéré le booster une nouvelle fois. Pour cette deuxième utilisation, l'entreprise avait prévu de le faire amerrir et pas de lui faire rejoindre la tour de lancement de Boca Chica. Mais lors de son retour, SpaceX a perdu le contact avec Super Heavy après que ses moteurs se sont éteints complètement.

Le deuxième étage a atteint une altitude maximale de 189 kilomètres après 20 minutes de vol. Mais, comme l'a expliqué un des animateurs du live de SpaceX, il aurait subi une fuite d'ergols, son carburant. Les ingénieurs de l'entreprise ont perdu le contrôle de la fusée et n'ont pas pu le positionner pour que son bouclier thermique le protège. Starship a explosé quarante-sept minutes après son décollage à 59 km d'altitude au-dessus de l'océan Indien.

La fusée n'a finalement pas pu réaliser les trois objectifs que s'était fixé SpaceX, à savoir le déploiement des simulateurs de satellites Starlink, le rallumage des six moteurs raptor et le contrôle de la rentrée atmosphérique du deuxième étage.

Le 28 mai 2025 à 09h38

Starship de SpaceX rate ses trois objectifs lors du dernier lancement

Adidas confirme une fuite de données clients

Le 28 mai 2025 à 09h01

Début mai, Adidas prévenait par e-mail une partie de la clientèle en Turquie et en Corée du Sud. Les personnes étaient informées que leurs nom, adresse e-mail, numéro de téléphone, adresse postale et date de naissance avaient fuité suite à une attaque.

Nouvelle alerte le 23 mai : le groupe allemand a publié un message sur son site officiel, pour informer qu’une « entité externe non autorisée a obtenu certaines données de consommateurs par l'intermédiaire d'un fournisseur de services à la clientèle tiers ».

« Nous avons immédiatement pris des mesures pour contenir l'incident et avons lancé une enquête approfondie, en collaboration avec des experts de premier plan en matière de sécurité de l'information », ajoute Adidas.

L’entreprise tente de rassurer, en précisant que ni les données bancaires ni les mots de passe n’ont été volées. « Il s'agit principalement d'informations de contact relatives à des consommateurs qui ont contacté notre service d'assistance à la clientèle par le passé ». On serait dans le même cas de figure que lors des fuites signalées plus tôt dans le mois. Mais ces informations n’en sont pas moins problématiques, car elles alimentent des bases utilisées ensuite par des acteurs malveillants pour des campagnes de phishing, voire des usurpations d’identité.

« Nous restons pleinement engagés à protéger la vie privée et la sécurité de nos consommateurs, et nous regrettons sincèrement tout désagrément ou toute inquiétude causés par cet incident », précise bien sûr Adidas.

Plusieurs médias, dont Bleeping Computer et Cybernews, ont posé la question à Adidas : cette fuite est-elle liée aux deux précédentes signalées il y a quelques semaines ? Hier encore, l’entreprise n’avait pas répondu. Pas plus qu’aux autres demandes : on ne sait pas qui est le fournisseur tiers piraté, ni le nombre de personnes concernées, ni quand l’attaque a eu lieu. On ignore également si les propres systèmes d’Adidas ont pu être affectés.

Ce n’est pas la première fois qu’Adidas est victime d’une fuite de données. En 2018, un incident avait exposé plusieurs millions de personnes. Les données bancaires n’étaient pas concernées, mais les mots de passe (heureusement chiffrés) faisaient partie du lot.

Le 28 mai 2025 à 09h01

Adidas confirme une fuite de données clients

James Webb capture « l’image la plus profonde jamais obtenue de l’Univers »

Le 28 mai 2025 à 08h31

Dans un communiqué commun de l’université de la Sorbonne et du CNRS, des chercheurs présentent « les toutes premières galaxies et les premières étoiles qui se forment durant le premier milliard d’années de l’histoire de l’univers ».

Pour arriver à observer des galaxies plus lointaines, et « 10 fois moins lumineuses que celles détectées jusqu’à présent », les scientifiques ont utilisé l’effet de lentille gravitationnelle (qui agit comme une loupe) sur l’amas de galaxies Abell S1063. Cela ouvre la voie à des observations de galaxies minuscules, « apparues seulement 250 millions d’années après le Big Bang, à une époque appelée les "âges sombres" ».

« Ces objets pourraient être les ancêtres directs de galaxies plus développées, observées quelques centaines de millions d’années plus tard par le télescope James Webb », explique le CNRS. La galaxie GLIMPSE-16043, dont il est question aujourd’hui, pourrait en être une.

Elle présente en effet toutes les caractéristiques attendues : « une très faible luminosité, une faible teneur en oxygène et des signes d’étoiles extrêmement jeunes et chaudes ». Rien n’est fait pour autant et, comme pour tous les candidats, « sans spectroscopie précise, l’origine de cette galaxie reste incertaine ».

« Elle pourrait aussi correspondre à un nuage de gaz primordial illuminé par un trou noir, ou à un objet plus proche imitant ces caractéristiques ». Pour en avoir le cœur net, une campagne d’observations est prévue en juillet par la même équipe.

Les chercheurs vont essayer de confirmer si GLIMPSE-16043 contient des étoiles de population III : « Théorisées depuis plusieurs décennies, ces étoiles auraient été formées uniquement à partir d’hydrogène et d’hélium primordiaux issus du Big Bang, sans aucun élément plus lourd. Ces étoiles n’ayant jamais été observées jusqu’ici, elles représenteraient la toute première génération stellaire de l’Univers, à l’origine de la production des éléments nécessaires à la formation des planètes et de la vie ».

Le 28 mai 2025 à 08h31

James Webb capture « l’image la plus profonde jamais obtenue de l’Univers »

PC Soft, l’éditeur de WinDev, passe sous pavillon canadien

Le 28 mai 2025 à 07h51

Basé à Montpellier, l’éditeur des suites de développement WinDev et WebDev passe sous pavillon canadien. La société PC Soft, qui réalise d’après ses derniers résultats financiers 12,4 millions d’euros pour un résultat net de 2,7 millions d’euros, vient en effet d’annoncer l’entrée à son capital du fonds canadien Constellation Software Inc. (CSI).

« L'objectif de CSI est de renforcer et de développer durablement PC SOFT, sans jamais la revendre. CSI poursuit ainsi le modèle de commercialisation moderne initié début 2024, fondé sur l’abonnement, comme près de 80 % des éditeurs dans le monde », affirme la société.

La transaction, annoncée le 26 mai mais réalisée fin 2024, se fait par l’intermédiaire de Volaris Group. C’est une filiale de CSI, elle aussi de droit canadien, chargée de procéder à des opérations de croissance externe sur des marchés verticaux, dans une logique d’accumulation visant à créer des synergies industrielles. Le rachat de PC Soft fait suite à un premier rachat réalisé en France : celui de l’éditeur francilien 4D.

PC Soft a longtemps promu l’environnement WinDev au moyen de publicités mêlant femmes court vêtues et slogans aguicheurs, qui lui ont valu plusieurs polémiques, doublées de deux rappels à l’ordre du Jury de déontologie publicitaire en 2017 et 2022. L’éditeur revendique toujours sur son site un marketing « audacieux et innovant ».

Le montant de cette acquisition, qui porte sur l’intégralité du capital de PC Soft, n’a pas été communiqué.

Le 28 mai 2025 à 07h51

PC Soft, l’éditeur de WinDev, passe sous pavillon canadien

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