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Ubuntu n’aura plus de version 32 bits

Ubuntu n'aura plus de version 32 bits

Le 19 juin 2019 à 10h37

C’est décidé : il n’y aura plus de versions 32 bits pour les variantes officielles d’Ubuntu à compter de la prochaine version majeure, à savoir la 19.10 prévue pour octobre.

Canonical ne va donc plus compiler aucun élément vers l’architecture i386, y compris les bibliothèques. La conséquence la plus directe est que les utilisateurs de l’actuelle version 19.04 en 32 bits ne pourront pas migrer vers la 19.10 quand elle sera disponible.

Environ 1 % seulement des utilisateurs se serviraient de ces versions, et cela faisait plus d’un an que l’éditeur réfléchissait à cet abandon. La question s’est accentuée avec les réflexions en cours pour la future version LTS 20.04. Les développeurs ont finalement décidé d’être « plus proactifs ».

Toutes les distributions Linux basées sur Ubuntu (comme Mint) seront obligées de suivre le même chemin. Se pose encore la question des applications nécessitant des bibliothèques 32 bits pour fonctionner, même si elles ne sont plus guère nombreuses.

Le 19 juin 2019 à 10h37

Commentaires (38)

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Steam utilise le 32 bits non?

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Hm, vu qu’il faut installer des libs 32bit en multiarch, je me pose aussi la question.

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Comme un grand nombre d’applications. Elles sont parfaitement utilisables sur un système 64 donc ça ne change pas grand chose.

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Obidoub a écrit :



Hm, vu qu’il faut installer des libs 32bit en multiarch, je me pose aussi la question.









wanou2 a écrit :



Comme un grand nombre d’applications. Elles sont parfaitement utilisables sur un système 64 donc ça ne change pas grand chose.





Je me demande comment ça va marcher.

Après, j’utilise un peu Ubuntu pour tester les avancées de Proton/Wine/DXVK avec Steam, et je n’ai pas eu l’impression de devoir installer des libs 32 bits.



Ils ont peut-être changés le système?


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J’espère qu’ils vont fournir un moyen simple pour passer le la version 32 bit à la 64 bits. Je n’ai jamais franchi le pas parce que j’ai eu la flemme de tout réinstaller sur mon PC fixe qui avait hérité de l’installation du PC précédent en y branchant l’ancien disque.

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wanou2 a écrit :



Comme un grand nombre d’applications. Elles sont parfaitement utilisables sur un système 64 donc ça ne change pas grand chose.





Je n’en suis pas sûr. A une époque il fallait installer des libs ia32 mais c’était un paquet des dépôts 64bit. Aujourd’hui la méthode a changé, il faut activer les dépôts 32bit et y puiser des paquets.

SI Ubuntu abandonne le 32bit, les dépôts risquent de sauter aussi, et donc on ne pourra plus installer de libs 32bit.



Steam est concerné mais Wine aussi.


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Obidoub a écrit :



Je n’en suis pas sûr. A une époque il fallait installer des libs ia32 mais c’était un paquet des dépôts 64bit. Aujourd’hui la méthode a changé, il faut activer les dépôts 32bit et y puiser des paquets.

SI Ubuntu abandonne le 32bit, les dépôts risquent de sauter aussi, et donc on ne pourra plus installer de libs 32bit.



Steam est concerné mais Wine aussi.





Tandis que sur Arch (c’est pas pour faire de la pub, juste pour dire comment ça se passe), Wine est disponible en 64 bits, et les bibliothèques (attention aux faux-amis !) 32 bits sont disponibles dans un dépôt officiel spécial permettant de les installer sur des systèmes 64 bits (la fin de la prise en charge du 32 bits sur Arch en novembre 2017 n’a pas concerné ce dépôt, qui n’était d’ailleurs pas accessible aux installations 32 bits).



Ils voudraient pas faire un système de ce type, sur Ubuntu et dérivés ? Un dépôt dédié juste aux quelques applis et bibliothèques uniquement 32 bits, mais à installer sur des OS 64 bits car rendues compatibles avec ces derniers ?


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Non justement il vont aussi arrêter de fournir les libs 32 bits dans arrêter cette compatibilité.

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Comme leur but c’est de pousser snap à fond, ça ne sera pas ça la solution justement? Que ceux qui ont besoin de lib 32 bit les embarquent dans leur paquet snap?

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millman42 a écrit :



Non justement il vont aussi arrêter de fournir les libs 32 bits dans arrêter cette compatibilité.



 

La fin de la fourniture des lib 32 bits n’est pas décidée et quand bien même ce serait le cas Steam pourra fournir les lib indispensables via son propre dépôt (s’il ne passe pas leur appli en 64 d’ici là).


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fred42 a écrit :



J’espère qu’ils vont fournir un moyen simple pour passer le la version 32 bit à la 64 bits. Je n’ai jamais franchi le pas parce que j’ai eu la flemme de tout réinstaller sur mon PC fixe qui avait hérité de l’installation du PC précédent en y branchant l’ancien disque.





Peu probable. Passer un système d’une version 32 bit à 64 bit équivaut à une réinstallation. Le moindre binaire doit-être remplacé par une version 64 bits.


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Etpour lubuntu ? Vu qu’elle est utilisée par d’anciennes machines ?

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wanou2 a écrit :



 

La fin de la fourniture des lib 32 bits n’est pas décidée





Ce n’est pas ce que j’ai compris : “

While this means we will not provide 32-bit builds of new upstream versions

of libraries, there are a number of ways that 32-bit applications can

continue to be made available to users of later Ubuntu releases, as detailed

in [4].”



Mais en effet il a des solutions.


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Raito Yagami a écrit :



Etpour lubuntu ? Vu qu’elle est utilisée par d’anciennes machines ?





 Après, des PC 32 bits, ça commence à dater … les Athlon 64 c’est 2003 …


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C’est pas très gentil de me vieillir comme ça.

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dylem29 a écrit :



C’est pas très gentil de me vieillir comme ça. 





 2003 en informatique c’est de l’ordinosaure !



… je suis sur que tu es plus jeune que moi !!&nbsp; je suis né la même année que la disquette 8 pouces … <img data-src=" />


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J’suis de&nbsp; 94. <img data-src=" />

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Je n’utilise quasiment pas Linux mais si les logiciels 32 bits ne sont plus exécutables sur les versions 64 bits (alors qu’ils le sont actuellement), ça va poser d’énormes problèmes. Je le sais parce qu’ayant installé sur un dd externe la bêta de la dernière version de macOS, Catalina, qui ne prend plus en charge le 32 bits, je me suis rendu compte qu’un nombre impressionnant d’applications et de process ne marchent plus du tout, à commencer par Wine qui permet d’émuler Windows. Qu’Apple méprise ses clients et fasse les évolutions au forceps, on a l’habitude, mais je croyais Linux plus respectueux de ses fidèles utilisateurs.

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On parle de la compatibilité sur le materiel 32 bits ici. Je ne pense pas que Multilib saute avec, donc les logiciels 32 bits ne devraient pas être concernés. Meme si ça reste relativement flou…



Aussi, c’est d’Ubuntu dont il s’agit, pas de Linux en général.

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je sais qu’il faut réinstaller, mais ils pourraient fournir un outil de migration qui liste tout ce qu’il faut réinstaller et qui lance ensuite l’installation 64 bits en réinstallant tous les softs en version 64 bits.



Ça me gonfle de lister moi-même tout ce qu’il faut réinstaller. Après s’il faut que je gère tout seul, tant pis, j’en profiterai pour chiffrer mon disque dur, ce sera un mal pour un bien.

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D’une certaine façon, il faut bien se jeter à l’eau.



La Q&A listée dans la discussion répond à pas mal d’interrogations néanmoins :https://discourse.ubuntu.com/t/i386-architecture-will-be-dropped-starting-with-e…

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Lubuntu avait précédé Ubuntu sur ce plan :

https://www.developpez.com/actu/238822/Lubuntu-annonce-l-abandon-de-la-prise-en-…



En tout cas c’est génant. A peine Linux commence à voir sa compatibilité avec les jeux Windows s’améliorer qu’arrive un écueil purement volontaire/non technique qui recomplique tout.



J’aime bien le « We’re in discussions with Valve about the best way to provide support from 19.10 onwards. » et SURTOUT le « It may be possible to run 32 bit only games inside a lxd container running a 32 bit version of 18.04 LTS. You can pass through the graphics card to the container and run your games from that 32bit environment. ».



D’abord, à vos souhaits. Ensuite, euh… c’est quoi LXD ? J’ai un mal de chien à saisir “Docker” alors un truc similaire… Et le passthrough, ça ne suppose pas d’avoir une seconde carte graphique, pour l’hôte ?

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C’est un peu chiant pour la MAO vu que la plupart de solutions pour faire tourner des VST 32 bits Windows sur linux s’appuient sur des “bricolages” avec Wine fonctionnant uniquement en 32bits

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TheKillerOfComputer a écrit :



D’abord, à vos souhaits. Ensuite, euh… c’est quoi LXD ? J’ai un mal de chien à saisir “Docker” alors un truc similaire… Et le passthrough, ça ne suppose pas d’avoir une seconde carte graphique, pour l’hôte ?







LXD c’est l’implémentation de LXC par Canonical, une des technos de container disponibles avec Linux. (Docker s’appuyait dessus au début)

C’est de la virtualisation niveau OS où au lieu d’émuler un hardware complet, l’hôte place les containers dans un bac à sable isolé, interfacés avec le kernel de celui-ci.



En gros, la solution que Canonical propose dans l’immédiat ressemble un peu au “Mode XP” de Windows 7 qui bootait une machine virtuelle Windows XP avec affichage déporté sur Windows 7 pour pouvoir faire tourner des logiciels incompatibles avec ce dernier.


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fred42 a écrit :



je sais qu’il faut réinstaller, mais ils pourraient fournir un outil de migration qui liste tout ce qu’il faut réinstaller et qui lance ensuite l’installation 64 bits en réinstallant tous les softs en version 64 bits.



Ça me gonfle de lister moi-même tout ce qu’il faut réinstaller. Après s’il faut que je gère tout seul, tant pis, j’en profiterai pour chiffrer mon disque dur, ce sera un mal pour un bien.





Pour lister les paquetages, voirhttps://wiki.debian.org/fr/ListInstalledPackages


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J’ai manqué de précision dans l’exposition de mes lacunes <img data-src=" />



C’est le concept de container qui me coince. Je ne comprend pas ce que ça contient concrétement car aucun tutorial de création l’explicite vraiment, et donc je vois mal comment ça se traduit selon différents schémas de fonctionnement. Comme ici de pouvoir faire tourner un programme 32 bits sur un système 64 bits only qui en plus pourrait différer lourdement (faire tourner Ubuntu LTS sur un Ubuntu 19.1 ou supérieur).



Oui je virtualise que pour des besoins très personnels, donc je n’ai pas quitté le stade de l’hyperviseur type 2 <img data-src=" /> Au moins c’est simple d’accès, à défaut d’être économe en ressources. Et puis je n’ai pas encore quitté Windows, ça n’aide pas.

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Virtualization

On compare ça à un lotissement de maison dans une ville. Elles partagent les mêmes ressources (eau, électricité) ce qui signifie qu’une grosse consommatrice va impacter les autres mais restent totalement indépendante. Si l’une prend feu, ça ne touche pas les autres.



Container.

On compare ça à un immeuble. Chaque container est un appartement. Tu as aussi des ressources partagées mais tu as aussi la même entrée en bas et un système de triage réseau (couloir et numéro de porte) ou d’accès direct depuis l’extérieur (tes fenêtres).

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J’ai indiqué que je ne comprend pas ce qu’un container contient, le reste ça va. Une machine virtuelle et son disque rattaché, c’est un système de fichiers traditionnel et un OS complet en son sein. Un container ? Je n’arrive pas à saisir.



Le problème est que les explications disponibles sont trop abstraites et souvent contradictoires : un site prétend que l’OS est intégré dans le container, un autre non… L’autre indique que seul le kernel Linux est partagé pour l’utilisation (et du coup je comprendrai le coup du 18.04 LTS sur un 19.1), un autre non. Un autre parle de créer un container, l’autre de créer une image (sur docker) avec les mêmes explications que le container (euh… quoi ? c’est un container ou une image alors ?)…



Si on pouvait ouvrir un container comme on peut ouvrir un disque vhd/vdmk, j’aurai pû régler le souci. Là je nage en pleine confusion par le fait que les utilisateurs actuels semblent ne pas comprendre eux-même le concept de ce qu’ils utilisent, mais se permettent quand même d’inciter à s’en servir.



Du coup je n’utilise pas ce que je ne comprend pas, vu que je ne vois pas dans quel cadre ça peut être exploité ni ce que ça entendra en maintenance (quid en cas d’abandon de maintenance des images ayant servi à faire le container -si tant est que les deux concepts sont séparés- etc).

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xkcd avait une définition cyniquement réaliste des containers <img data-src=" />



Pour faire un parallèle avec la virtualisation “lourde” : une image, c’est comme les disques de VM prêt à l’emploi qu’on peut trouver sur le net.

Tu la mets dans ton hyperviseur, tu la boot, et kaboom. La VM bootée devient un container.



Pour ma part j’ai principalement vu du Docker donc j’éviterai de parler de LXD/LXC.

Donc, que contient une image : Ce que tu veux <img data-src=" />

Qu’est-ce qu’une image : c’est en réalité un filesystem virtuel dans lequel des couches (layers) sont empilées. Elles sont constituées d’une image de base, généralement un OS (Debian, Alpine, Ubuntu, CentOS…), sur laquelle tu empiles des éléments, puis une autre, puis une autre.

Exemple :




  • Couche Os Debian (image de base)

  • Couche Apache

  • Couche Config

    Chacune de ces couches devient immuable une fois construite et remplira son rôle précis. Docker joue aux légos avec au final.



    L’image de base contiendra donc tout ce qui permet de faire tourner une Debian, à l’exception du fait qu’elle s’interfacera avec le Kernel de l’hôte à défaut d’exploiter le sien (comme ce serait le cas en virtu hyperviseur).



    Exemple simple, je viens de me connecter au container Collabora (LibreOffice online pour l’édition de docs) de mon instance Nextcloud.

    Filesystem :

    drwxr-xr-x 47 root root 4096 Jun 18 21:03 ./

    drwxr-xr-x 47 root root 4096 Jun 18 21:03 ../

    -rwxr-xr-x 1 root root 0 Jun 18 21:02 .dockerenv*

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 May 10 10:22 bin/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 Apr 12 2016 boot/

    drwxr-xr-x 5 root root 360 Jun 18 21:02 dev/

    drwxr-xr-x 72 root root 4096 Jun 18 21:02 etc/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 Apr 12 2016 home/

    -rw-r–r– 1 root root 735 Mar 25 17:13 install-libreoffice.sh

    drwxr-xr-x 12 root root 4096 Sep 13 2015 lib/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 May 10 10:18 lib64/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 Oct 5 2018 media/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 Oct 5 2018 mnt/

    drwxr-xr-x 6 root root 4096 Jun 18 21:02 opt/

    dr-xr-xr-x 237 root root 0 Jun 18 21:02 proc/

    drwx—— 2 root root 4096 Jun 18 21:02 root/

    drwxr-xr-x 11 root root 4096 May 10 10:22 run/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 May 10 10:18 sbin/

    drwxr-xr-x 2 root root 4096 Oct 5 2018 srv/

    -rw-r–r– 1 root root 2585 Mar 25 17:13 start-libreoffice.sh

    dr-xr-xr-x 13 root root 0 Apr 22 09:55 sys/

    drwxrwxrwt 55 root root 4096 Jun 18 21:03 tmp/

    drwxr-xr-x 17 root root 4096 Oct 5 2018 usr/

    drwxr-xr-x 16 root root 4096 Oct 5 2018 var/



    Je peux naviguer dedans, écrire des conneries, lancer des commandes, effacer des trucs, tout ce que je veux.

    La seule différence, c’est que si j’arrête et redémarre le container, il repartira de zéro. Il n’y a, par défaut, aucune persistance à moins de jouer avec des volumes ou des ressources partagées avec l’hôte.

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SebGF a écrit :



xkcd avait une définition cyniquement réaliste des containers <img data-src=" />







J’aime beaucoup ! <img data-src=" />





Pour ma part j’ai principalement vu du Docker donc j’éviterai de parler de LXD/LXC.

Donc, que contient une image : Ce que tu veux <img data-src=" />

Qu’est-ce qu’une image : c’est en réalité un filesystem virtuel dans lequel des couches (layers) sont empilées. Elles sont constituées d’une image de base, généralement un OS (Debian, Alpine, Ubuntu, CentOS…), sur laquelle tu empiles des éléments, puis une autre, puis une autre.

Exemple :




  • Couche Os Debian (image de base)

  • Couche Apache

  • Couche Config

    Chacune de ces couches devient immuable une fois construite et remplira son rôle précis. Docker joue aux légos avec au final.



    L’image de base contiendra donc tout ce qui permet de faire tourner une Debian, à l’exception du fait qu’elle s’interfacera avec le Kernel de l’hôte à défaut d’exploiter le sien (comme ce serait le cas en virtu hyperviseur).





    Explication très claire. <img data-src=" />


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Merci le support de le formation officielle.

Après, je n’ai pas beaucoup pratiqué à titre pro faute de projets basés dessus, donc si quelqu’un de plus expérimenté veut compléter ou corriger, qu’il se fasse plaisir. <img data-src=" />

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Merci à la vague de netbooks de 2008 - 2012 avec des Atoms en x86 only … Lubuntu était l’une des seules distributions potables et à jour sur ces ordinateurs.

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Raito Yagami a écrit :



Merci à la vague de netbooks de 2008 - 2012 avec des Atoms en x86 only … Lubuntu était l’une des seules distributions potables et à jour sur ces ordinateurs.





Ah ouais !!!&nbsp; même si c’est pas vraiment des proc’s … <img data-src=" />



Apparemment, seuls les Atom Silverthorne Z5xx (2008) pour l’utra-mobile et Diamondville (04/2008) pour netbook ne supportent pas le x-86 64… mais pour pouvoir installer un Linux en 64 bits sur des Atoms 64 bits (à partir de 2010 pour ultra-mobile et 09/2008 pour desktop) que le chipset ET le bios soient compatible aussi…&nbsp;



Pour Windows 64, c’était encore plus chaud apparemment


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Merci pour ces explications <img data-src=" /> Où comment exposer un concept en un post quand plusieurs sites n’y parviennent pas.



Je vais donc pouvoir coller du stuff ensemble en comprenant un peu mieux ce qui se passe <img data-src=" /> Excellent ce xkcd<img data-src=" />

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Et ben en fait, Ubuntu n’arrête pas le support 32 bits.



C’est le support des libs i386 qui s’arrête et ne recevra plus de mise à jour, figées avec la 18.04. Donc la compatibilité existera toujours.

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Burn2 a écrit :



Comme leur but c’est de pousser snap à fond, ça ne sera pas ça la solution justement? Que ceux qui ont besoin de lib 32 bit les embarquent dans leur paquet snap?





Je suis loin d’être un expert en admin sys (à fortiori à échelle d’entreprise), mais précisément pour les grands ensembles informatiques ça me semble une putain de fausse bonne idée.&nbsp;

Même si désormais apparemment les Snaps incluent une fonction de mise à jour automatique, sans rien faire de spécial tu vas souffrir de problèmes d’échelle justement :&nbsp;




  • contrôles de sécurité par utilisateur / poste

  • espace disque perdu (oui, ça a l’air con, ça a l’air dérisoire… Sur des postes classiques, effectivement c’est rarement un problème. En revanche pour les infras de type “bureau déporté” ça grimpe vite).

  • bande passante perdue.

  • complexité pour définir l’état de ton infra à un instant T.&nbsp;

  • complexité des flux dans un environnement ultra sécurisé.

    &nbsp;

    Bien sûr ça se gère :&nbsp;

  • limiter les apps par une whitelist (voire interdire l’installation par défaut et demander autorisation préalable)

  • et/ou exploiter un serveur intermédiaire qui sert de passerelle à l’extérieur.&nbsp;

    Mais une fois que tu as fait cet effort là, il n y’a plus énorme à rajouter pour mettre en place des systèmes de tests des nouvelles versions de librairies.&nbsp;

    Et à moins d’avoir énormément d’environnements de travail différents (pas courant dans une entreprise, au pire chaque département a sa gestion), la flexibilité apportée par le système de Snap est overkill.



    -&gt; Snap peut être utile à la marge en entreprise par exemple pour un dev qui veut tester “en isolation” des composants (montée de version risquée par exemple), sachant qu’un chroot te permet déjà ça (un dev a souvent l’accès root)…

    &nbsp;Ou pour laisser une certaine marge de manoeuvre aux utilisateurs tout en gardant possibilité de contrôle (autorisation/whitelist) et facilité de nettoyage (je suppose en tout cas que c’est plus simple de virer proprement un Snapchat que faire une désinstallation en mode “purge”).

    Ou dans un cadre d’infrastructure lourdement hétérogène…



    Cela vaut-il le coup de laisser tomber les avantages d’une solution centralisée ? Seuls les retours d’expérience directs pourront nous le dire…&nbsp;



    Le vrai avantage que j’y vois c’est pour les éditeurs de logiciels qui veulent toucher un large public de particuliers.&nbsp;

    Ou pour les particuliers qui veulent maîtriser UN type d’installation quelque soit le système sous-jacent.&nbsp;

    Ca ne peut pas être pire que le système actuel sous Windows de toute façon de ce point de vue. XD&nbsp;&nbsp;


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Bon bah je dois reconnaître que j’avais tort vu les dernières annonces&nbsp;<img data-src=" />

Ubuntu n’aura plus de version 32 bits

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