Dans un collège chinois, la reconnaissance faciale pour identifier des élèves somnolants

Dans un collège chinois, la reconnaissance faciale pour identifier des élèves somnolants

Dans un collège chinois, la reconnaissance faciale pour identifier des élèves somnolants

Un collège de la ville d'Hangzou, capitale de la province de Zhejiang en Chine, a installé des caméras capables de repérer les élèves s'endormant, rapporte Reuters. Le pays utilise de plus en plus ce type d'intelligence artificielle pour surveiller des lieux publics, devenant un élément du quotidien dans certaines villes.

Les caméras identifient l'expression du visage, pour déterminer si l'élève lit, écoute ou s'endort. Elles reconnaissent certaines émotions, comme la joie, le dégoût, la peur, la colère ou la confusion. Selon le collège, ce système pourrait améliorer les relations avec les professeurs. Après un mois d'essai, les élèves accepteraient de mieux en mieux cette surveillance, assure l'établissement.

Le système est conçu par Hikvision Digital Technology, l'un des principaux fournisseurs du domaine, qui développe sa propre technologie de reconnaissance faciale.

Commentaires (43)




Après un mois d’essai, les élèves accepteraient de mieux en mieux cette surveillance, assure l’établissement.



ça s’appelle de la résignation, je crois <img data-src=" />


flippant <img data-src=" />


Mais non, si tu somnole une fois t’a un rappel, 2 fois une mauvaise note et à la troisième t’es exclu, c’est la hadopi qui leur à servi d’exemple en riposte graduée ^^


du coup, plus d’exclus = moins d’élèves = moins d’élèves qui contestent = meilleure acceptation par l’ensemble.

oui ça se tient <img data-src=" />








WereWindle a écrit :



du coup, plus d’exclus = moins d’élèves = moins d’élèves qui contestent = meilleure acceptation par l’ensemble.

oui ça se tient <img data-src=" />







Yep <img data-src=" /> on est en chine, contrôle, menace, élimination et on recommence !



Un bon coup de <img data-src=" />, rien de mieux !

Ça a fait ses preuves il a quelques années pour construire des monuments pointus avec du sable tout autour. La meilleure méthode, car c’est toujours debout des millénaires après <img data-src=" />


je me demande si se dessiner de faux yeux sur les paupieres suffirait a somnoler sans se faire prendre


Ils ne sont pas en train de devenir la 1ère puissance pour rien, il ne faudra pas venir pleurer dans quelques années quand nous serons réduits à un pays du tiers-monde de fainéants à cause de principes droitdelhommistes.








darkweizer a écrit :



Un bon coup de <img data-src=" />, rien de mieux !

Ça a fait ses preuves il a quelques années pour construire des monuments pointus avec du sable tout autour. La meilleure méthode, car c’est toujours debout des millénaires après <img data-src=" />





Sauf qu’aujourd’hui, les historiens pensent de plus en plus que les pyramides ont été construites par des ouvriers payés, et non des esclaves





Elles reconnaissent certaines émotions, comme la joie, le dégoût, la peur, la colère ou la confusion.





Fort sur des visages d’asiatiques <img data-src=" />








floop a écrit :



je me demande si se dessiner de faux yeux sur les paupieres suffirait a somnoler sans se faire prendre





Ou bien apprendre à avoir les mêmes expressions faciale lorsqu’on lit et qu’on dort.



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secouss a écrit :



Mais non, si tu somnole une fois t’a un rappel, 2 fois une mauvaise note et à la troisième t’es exclu, c’est la hadopi qui leur à servi d’exemple en riposte graduée ^^





Ceci dit, il faut tout de même distinguer la détection et l’action prise.

Finalement détecter un élève qui s’endort, c’est un peu le boulot du prof. Après, qu’est-ce qu’il doit faire : l’engueuler ? le punir ? Accorder une pause ? L’aider ? Se remettre en question sur sa manière d’enseigner ?

Comme souvent, le problème n’est pas spécialement la technologie, mais sa manière de l’utiliser.

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6128 a écrit :



Ils ne sont pas en train de devenir la 1ère puissance pour rien, il ne faudra pas venir pleurer dans quelques années quand nous serons réduits à un pays du tiers-monde de fainéants à cause de principes droitdelhommistes.





non, en fait ils sont en train de devenir la première puissance par simple effet de masse. 1,3 milliards de personnes, ça en fait du monde ! Avec nos 60 millions tout mouillés on est juste ridicules à côté.



Chez nous c’est pas mieux. On va mettre encore plus de caméra dans les rues et dans les hôpitaux http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/05/18/a-t-on-le-droit-de-videosurveill…








anagrys a écrit :



non, en fait ils sont en train de devenir la première puissance par simple effet de masse. 1,3 milliards de personnes, ça en fait du monde ! Avec nos 60 millions tout mouillés on est juste ridicules à côté.





Nous sommes à 67 millions môssieur



Faut pas comparer l’incomparable ! La reconnaissance faciale est interdite tu as juste des opérateurs derrière les caméras. Elles servent pas à prévoir ou agir en temps réel




Elles reconnaissent certaines émotions, comme la joie, le dégoût, la peur, la colère ou la confusion, la contestation et la dissidence politique





<img data-src=" />








Gamble a écrit :



Sauf qu’aujourd’hui, les historiens pensent de plus en plus que les pyramides ont été construites par des ouvriers payés, et non des esclaves





😂😂, le sachant, je me demandais si quelqu’un aller me faire la remarque ! 😉









Charly32 a écrit :



Se remettre en question sur sa manière d’enseigner ?







C’est vrai que j’avais certains profs avec un débit de voix assommant. Y’a pas un cours dans l’année où je n’avais pas envie de piquer un roupillon, alors que pour d’autres profs ça n’est jamais arrivé. Je pense que la pour ce genre de cas, la machine ne servira à rien. <img data-src=" />



Un gars un peu trop zélé s’est inspiré de la machine du film Les sous-doués <img data-src=" />


perso je dormais un peu près tout les jours après manger (en fait c’est toujours le cas ^^) ;) j’ai pourtant fini avec un doctorat.

De toute façon un bon prof sait que ses élèves ne peuvent être 100% attentifs qu’un quart d’heure par heure (y a eu pas mal d’étude là dessus), donc à partir de là faut ajuster son enseignement (à votre avis pourquoi on répète +/- les mêmes choses à différents niveaux d’un cursus ^^).



Après tout on est pas des machines


En cas de joie détectée chez un élève, le prof sera sanctionné: t’es là pour en chier et apprendre la soumission à la hiérarchie <img data-src=" />








zefling a écrit :



C’est vrai que j’avais certains profs avec un débit de voix assommant. Y’a pas un cours dans l’année où je n’avais pas envie de piquer un roupillon, alors que pour d’autres profs ça n’est jamais arrivé. Je pense que la pour ce genre de cas, la machine ne servira à rien. <img data-src=" />





Ces fameux profs sui te lisent le polycopié avec un voix monotone :p



L’envie de sieste après le repas et normal.<img data-src=" />


A priori ce n’étaient pas des esclaves qui ont fait les pyramides, en tous cas pas celles dont on a retrouvé les documents de chantier. C’étaient des artisans salariés (selon les normes d’époque).



Edit : grillé par gamble


L’école a toujours servi de moule à forger les contraintes des générations à venir. Effectivement c’est flippant.


C’est parce qu’ils maltraitent les gens c’est évident, pas parce qu’ils ont une économie encore largement planifiée et qu’ils sont les seuls en autosuffisance de minerais et matériaux en ayant une vision stratégique que seul un état/une armée peut avoir…



Vivement qu’on remette les châtiments corporels à l’ordre du jour qu’on devienne aussi balaises que les chinois malgré nos usines délocalisées et notre absence de ressources naturelles <img data-src=" />



D’ailleurs l’ensemble des pays violents avec les jeunes s’en sortent mieux c’est bien connu. Les pays d’europe du nord depuis qu’ils ont banni les fessées et fermé la plupart de leurs prisons vivent très mal et dégringolent dans tous les classements scolaires et économiques internationaux d’ailleurs <img data-src=" />



#grosneuneu

#corrélation&lt;&gt;causalité








Charly32 a écrit :



Ces fameux profs sui te lisent le polycopié avec un voix monotone :p





ça se fait encore les polycopiés ? (vraie question)









Gamble a écrit :



Sauf qu’aujourd’hui, les historiens pensent de plus en plus que les pyramides ont été construites par des ouvriers payés, et non des esclaves







Et très bien entretenus avec des soins médicaux de qualité.



aujourd’hui cad ? depuis mon entrée à l’école élementaire j’apprends que c’était des ouvriers payés en monnaie ou en naturel ( nourriture “toît” ) etc que ce n’était pas des esclaves .



y a plus de 20 ans


L’envie oui, le faire non <img data-src=" />


Ca à même participé au déclenchement de la première guerre mondiale en France : on a bourré les jeunes sur la perte de l’Alsace-Lorraine et quand on a eu une excuse pour y aller, ce sentiment n’a pas aidé à freiner l’envie d’en découdre <img data-src=" />


A la fac, oui. Projeté par rétroprojecteur et tout.



C’est souvent les mêmes qui se plaignent de l’abandon des étudiants, de leur baisse de niveau et qui soutiennent ardemment la sélection et/ou l’augmentation (type US) des frais de scol.



J’ai eu un prof, un très bon chercheur (renommé internationale), mais le pire pédagogue qui soit. Il passait son temps à lire un poly qu’il nous demandait d’imprimer (400pages …) .

On a commencé l’année à 300 en amphi. A la fin on était plus que 5.



La moyenne était de 2.

Et c’était tous les ans la même histoire.



Mais apparemment le problème venait de ses étudiants.


Puissance et civilisation, deux concepts qui s’opposent de plus en plus…


C’est pour la France ça, et le plus connu uniquement mais ça a aussi servi la soupe à la gauche caviard et à la droite non fédéraliste face à la gauche réellement socialiste et à la droite peu étatiste, ça a enfermé des générations de femmes dans des rôles de boniches, ça a rentré à la masse la notion de hiérarchie naturelle via la manière dont est faite l’éducation physique, ça a ancré dans un peuple déjà lâche et connu pour ça le principe qu’on est récompensé quand on se met bien avec l’autocrate en place, le fait qu’on ne réussit qu’en écrasant le autres (les notes et la concurrence dès le CP <img data-src=" />)…



“Our education systems fail, To hide our guilt we build more jails, And we shall build still more” <img data-src=" />


ça mérite débat mais désolé j’aurai pas le temps.



Etant un pur produit de notre système actuel, je ne reconnais pas du tout dans cette description, au contraire on m’a appris à développer mon esprit critique , même (et surtout) vis à vis de mes enseignants, plus que mes connaissance. C’est aussi ce que j’essaye d’inculquer à mes étudiants à la fac.



Après faut effectivement attendre l’université pour dépasser cette idée de bourrage de crane de connaissance. Mais il est difficile de développer un esprit critique sans connaissance de base, sans savoir lire, écrire, compter (ou utiliser internet aujourd’hui). Et d’un point de vue purement physiologique, on peut ajouter que le cerveau d’un être humain ne finit son développement que vers 21/22ans, notamment le lobe frontal qui correspond à la gestion de prise de décision. Autrement dit avant cet âge là il est difficile d’utiliser la logique pour faire entendre raison à un ado ou à ce dernier de prendre des décisions basées sur la réflexion (je caricature mais c’est l’idée).



Bon reste la partie orientation qui touche le 0 absolu en france, où on fait comprendre systématiquement aux jeunes qu’un BEP c’est pour les perdants, qu’il faut faire un bac S, que la littérature ça sert à rien, etc. Ca fait aussi de drôle de dégât dans la société passée 1 ou 2 générations.



En revanche, je suis totalement d’accord avec cette description concernant l’enseignement tel qu’il était (je dirais jusqu’à 68 peut être ? pas bien sur en fait), l’enseignement a été utilisée à des fins de propagande et c’est évident. Mais aujourd’hui on essaye de rétablir le tir (et c’est pas facile), même s’il reste encore pas mal d’abruti dans le système :s



Entre 1900 et aujourd’hui, notre système éducatif a quand même évolué un peu ;)


C’est clairement pas comparable avec l’école Jules Ferry et c’est encore pire dans le privé confessionnel donc tout est relatif, mais pour avoir été scolarisé après 68 ça reste un moule à flans d’une puissance hors du commun.



Concernant le développement des enfants je parle plus de capacité collective et de pb d’image de soi à l’arrivée plus que d’enseignement de la pensée critique qui n’est pas si mauvais (mais donne principalement des gens qui critiquent beaucoup et agissent peu/jamais à cause du reste du conditionnement.).

On fait partie des seuls pays ou la philo a longtemps été obligatoire dans le cursus général donc effectivement ça n’est pas forcément là le souci (encore que c’est trop enseigné comme matière littéraire).


En fait concernant le bridage (conscient ou non) des enfants (en particulier des filles), bien souvent on voit que c’est du à l’environnement des jeunes et pas tant que ça à l’enseignement (aujourd’hui je veux dire), au contraire on multiplie les initiatives pour encourager la poursuite d”étude scientifique par exemple.



Mais combien de parents n’offrent que de poupées, cuisine en jouet à leurs filles et des tracteurs/soldats à leurs fils ?



C’est pour ça que je disais qu’en bourrant le crane aux parents/grands parents, on a encore aujourd’hui un effet sur notre société et que c’est pas simple de rectifier le titre (regarde à quel point l’écriture inclusive est raillée).



Pour finir c’est un sacré débat de société et pas juste de l’école et faudrait passer l’état de l’art en revue avant de pouvoir prendre la moindre décision (et oui les SHS ça sert en vrai ^^).








odoc a écrit :



Etant un pur produit de notre système actuel, je ne reconnais pas du tout dans cette description, au contraire on m’a appris à développer mon esprit critique , même (et surtout) vis à vis de mes enseignants, plus que mes connaissance. C’est aussi ce que j’essaye d’inculquer à mes étudiants à la fac.





<img data-src=" />

Idem pour l’esprit critique pour plusieurs de mes profs dans le secondaire.







odoc a écrit :



En fait concernant le bridage (conscient ou non) des enfants (en particulier des filles), bien souvent on voit que c’est du à l’environnement des jeunes et pas tant que ça à l’enseignement (aujourd’hui je veux dire), au contraire on multiplie les initiatives pour encourager la poursuite d”étude scientifique par exemple.

Mais combien de parents n’offrent que de poupées, cuisine en jouet à leurs filles et des tracteurs/soldats à leurs fils ?





C’est important de ne pas segmenter et d’encourager les filles dans le côté scientifique (en particulier).



J’ai une amie qui a offert des jouets des 2 “bords” à son fils, de la dînette à l’établi de bricolage en passant par d’autres variantes.

Pour mon fils, il m’a déjà demandé une poupée et je lui ai acheté sans me poser de question, et on fait de la cuisine ensemble. Mon petit frère en avait eu une, il voulait faire comme sa grande soeur :-) . Pour le coup mes parents n’y avaient pas eu de problème non plus, pourtant c’étaient pas des babas cools libertaires, donc le bourrage de crâne même avant les 70 c’était pas si fort. Bon, peut-être que le fait que mes grands-mères étaient agrégées de lettres classiques jouait un rôle sur la vision des capacités des femmes :-) .







odoc a écrit :



C’est pour ça que je disais qu’en bourrant le crane aux parents/grands parents, on a encore aujourd’hui un effet sur notre société et que c’est pas simple de rectifier le titre (regarde à quel point l’écriture inclusive est raillée).





Ne me dis pas que tu défends ce non-sens ?









OlivierJ a écrit :



Ne me dis pas que tu défends ce non-sens ?







Si mais de manière intelligente : via la synthèse de plusieurs études de sociologie, via les pratiques d’autres pays francophones, notamment au Canada, par une réflexion assez approfondie et une évolution de la manière de faire suivant les retours en situation. Dans le cas présent c’est une réflexion née au sein d’une association de chercheurs donc pas juste sur un effet de mode ;)



Sur le moyen terme c’est un travail d’écriture intéressant et assez riche (car pour finir on apprend un peu une autre langue) et intellectuellement c’est une réflexion que l’on doit avoir je pense.



Merci pour ton commentaire, mais j’en reviens à un problème fondamental : l’écriture reflète la parole, et l’écriture inclusive ne peut être lue à l’oral ; déjà que c’est pénible à lire… Et en plus j’ai vu plusieurs exemples où la transcription ne va pas de soi, sans parler de - pour commencer - la difficulté à maîtriser le français pour les élèves et même pour les adultes, déjà en écriture normale.








OlivierJ a écrit :



Merci pour ton commentaire, mais j’en reviens à un problème fondamental : l’écriture reflète la parole, et l’écriture inclusive ne peut être lue à l’oral







En fait pas vraiment, enfin pas pour le français : quand tu discutes avec des linguistes, ils t’expliquent que le français est l’une des seules langues ayant une telle différence entre l’écrit et l’oral à telle point qu’ils considèrent qu’en fait il existe 2 langues. D’un point de vue sociologique ça s’explique par la volonté des nobles de se différencier des pauvres : seuls les nobles étaient capable d’écrire correctement et parfaitement le français, alors qu’il est plus simple de se faire comprendre oralement. Encore aujourd’hui, à moins d’avoir fait de longue étude en littérature il est très difficile de maitriser parfaitement le français à l’écrit - quand on va plus long que l’écrit “standard”.





déjà que c’est pénible à lire… Et en plus j’ai vu plusieurs exemples où la transcription ne va pas de soi,





je suis d’accord, d’ailleurs à notre asso on a ajusté notre charte d’écriture afin d’améliorer ce point et comme je le disais c’est un exercice d’écriture particulier (en fait la première erreur c’est de penser qu’on peut écrire “normalement” puis traduire avec l’écriture inclusive : en réalité faut voir ça de la meme manière que lorsqu’on écrit dans une langue étrangère : dès le départ il faut construire son texte de la bonne façon) et qui va largement au delà d’ajouter des -e partout.





sans parler de - pour commencer - la difficulté à maîtriser le français pour les élèves et même pour les adultes, déjà en écriture normale.





Comme dit au dessus : c’est une autre langue donc c’est pas bien grave de ne pas maitriser complétement le français écrit et rien n’empêche d’apprendre les 2 en même temps (après tout aujourd’hui on apprends souvent 1 voir 2 langues étrangères dès le primaire). Et encore une fois peu de gens maitrise réellement l’écrit.

C’est aussi pour ça qu’on est très nul dans les autres langues : on les enseigne (ait ?) comme pour le français à savoir maitriser la grammaire, les conjugaisons, les structures de phrase. Sauf que dans beaucoup de langue ça n’a pas vraiment d’importance, les gens arrivent à se comprendre qu’en même (suffit d’écouter des chercheurs en congrès/réunion : on parle tous en anglais, bcp de sont pas anglais, la plupart d’entre nous parlent probablement n’importe comment, mais on arrive tous à ce comprendre)









odoc a écrit :



En fait pas vraiment, enfin pas pour le français : quand tu discutes avec des linguistes, ils t’expliquent que le français est l’une des seules langues ayant une telle différence entre l’écrit et l’oral à telle point qu’ils considèrent qu’en fait il existe 2 langues.





Mais je parle du fait de lire à haute voix de l’inclusif : ça n’a aucun sens ! Et c’est pas fluide du tout.

Quand tu lis de l’écrit normal, tout le monde comprend.







odoc a écrit :



D’un point de vue sociologique ça s’explique par la volonté des nobles de se différencier des pauvres





Ça fait un peu sa théorie gauchisante à 2 balles ça… :-)







odoc a écrit :



Encore aujourd’hui, à moins d’avoir fait de longue étude en littérature il est très difficile de maitriser parfaitement le français à l’écrit - quand on va plus long que l’écrit “standard”.





Je ne suis pas d’accord, dans mon entourage tout le monde écrit assez bien, et on n’est pas des littéraires, plutôt des scientifiques, avec de la culture générale.







odoc a écrit :



en réalité faut voir ça de la meme manière que lorsqu’on écrit dans une langue étrangère : dès le départ il faut construire son texte de la bonne façon) et qui va largement au delà d’ajouter des -e partout.





Inventer une nouvelle langue étrangère, ça sera sans moi…







odoc a écrit :



Et encore une fois peu de gens maitrisent réellement l’écrit.





C’est clair <img data-src=" />







odoc a écrit :



les gens arrivent à se comprendre qu’en quand même ([…], mais on arrive tous à ce se comprendre)





<img data-src=" />

Avoue que t’as fait exprès, là ;-)



Sinon sérieusement, moi j’ai du mal avec mes collègues qui maltraitent le français ou l’anglais, et pour ce dernier sans faire d’effort pour l’accent. Je trouve que c’est aussi une forme de politesse de s’exprimer précisément et clairement, et d’essayer d’avoir un bon accent pour l’anglais, pour les étrangers non anglophones en particulier.









OlivierJ a écrit :



Mais je parle du fait de lire à haute voix de l’inclusif : ça n’a aucun sens ! Et c’est pas fluide du tout.

Quand tu lis de l’écrit normal, tout le monde comprend.







L’écriture inclusive se ne limite pas à des -e qui sont effectivement impossible à dire à l’oral.

Et c’est pas si illisible que ça quand c’est fait correctement ;)





Ça fait un peu sa théorie gauchisante à 2 balles ça… :-)



On parle de chercheur là, c’était pas leur avis mais le résultat d’étude. C’est un peu plus solide que de la politique ;)

De la même manière que des littéraires et historiens t’expliquerons que le français a été modifié (les règles d’accord et un certain nombre de mot féminin) afin de mettre en avant la supériorité masculine dans les écrits (les règles ayant été modifiées par une assemblée composée uniquement d’homme).

La règle du masculin l’emporte date de ce moment là et y rien qu’y le justifie (avant la règle c’était l’accord au plus proche, c’est la règle utilisée dans l’écriture inclusive quand celle-ci est bien faite)





Je ne suis pas d’accord, dans mon entourage tout le monde écrit assez bien, et on n’est pas des littéraires, plutôt des scientifiques, avec de la culture générale.





Attention, je parle pas de bien écrire ou de se faire comprendre, mais bien de maitriser totalement le français écrit. Y a un certain nombre de tournure qu’on ne devrait pas utiliser par exemple, sans compter les conjugaisons les plus bizarres qui puissent exister et la concordance des temps. Et c’est juste des exemples mais crois moi peu de personne maitrisent réellement tout ça.





Inventer une nouvelle langue étrangère, ça sera sans moi…





Bah après tout dépend du contexte aussi : dans mon cas c’était plus sur un côté militant (on a fait de même pour changer le vocabulaire utiliser pour les doctorants par ex, y a fallu 15 ans pour voir des changements mais ça à marché) qu’une utilisation quotidienne (après je rédige plutot en anglais dans mon travail)





C’est clair <img data-src=" />





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Avoue que t’as fait exprès, là ;-)





<img data-src=" /> faut dire aussi que je bosse entre 2 paragraphes, que je rédige un article en anglais en parallèle et que bon faut être honnête je fais pas mal de coquille <img data-src=" /> (heureusement que j’ai fait relire ma thèse avant publication ^^)



Sinon sérieusement, moi j’ai du mal avec mes collègues qui maltraitent le français ou l’anglais, et pour ce dernier sans faire d’effort pour l’accent. Je trouve que c’est aussi une forme de politesse de s’exprimer précisément et clairement, et d’essayer d’avoir un bon accent pour l’anglais, pour les étrangers non anglophones en particulier.[/quote]



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