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Aurélie Filippetti : « On va trouver les moyens de financer le secteur musical »

Et les sites d'actu informatiques aussi ?

Aurélie Filippetti : « On va trouver les moyens de financer le secteur musical »

Le 13 septembre 2012 à 06h58

Accusée de trahison par le SNEP (majors) notamment, Aurélie Filippetti l’assure : « Ma position n'a pas changé depuis le mois de juillet, au moment où j'ai reçu les professionnels. »

ministère de la culture

 

La filière musicale est vent debout depuis l’annonce de la ministre d’enterrer le Centre national de la musique (CNM). La ministre avait expliqué dans une interview au monde que finalement, « nous n'avons pas réellement besoin d'un nouvel établissement public, qui nécessiterait, en plus des ressources existantes, 50 millions d'euros. Ce n'est pas possible actuellement ». Elle promettait cependant des crédits renforcés au bénéfice des producteurs indépendants.

 

Problème, lors d’une rencontre en juillet dernier, la nouvelle locataire de la Rue de Valois avait assuré que ce projet ne serait pas abandonné. C’est de moins ce qu’affirment les acteurs du secteur dans une pluie de communiqué publié hier où ils dénoncent cette volte-face.

 

La ministre a tenté d’éteindre l’incendie. Dans une dépêche AFP, elle assure finalement que « pour moi, la notion d'établissement public, la création d'un établissement public supplémentaire avec des coûts fixes supplémentaires, c'est ça qui est aujourd'hui contestable ». Pour caresser ensuite la filière dans le sens du sillon, elle ajoute qu' « on va trouver les moyens de financer le secteur musical, mais ça ne passe pas forcément par un énième établissement public ». Et la ministre de plaider pour « une vraie politique économique pour soutenir la filière musicale avec des financements qui soient sûrs. »

 

Des financements sûrs ? Filippetti rappelle que le financement du CNM s’appuyait sur un prélèvement sur les FAI aujourd’hui dédié au cinéma que Bruxelles pourrait remettre en cause. « Ce que je veux c'est que l'on puisse remettre les choses à plat, définir d'abord la manière dont on peut avoir des ressources pérennes et sûres, puis voir ensuite comment attribuer ces financements. C'est seulement en dernier lieu que se pose la question d'un établissement public. »

 

 

Commentaires (61)

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elle ajoute qu’ « on va trouver les moyens de financer le secteur musical, mais ça ne passe pas forcément par un énième établissement public ».







Oui en effet ça va passer sur une enième taxe que payera le consommateur.

Je vois pas pourquoi on devrait financer puis acheter un album. On a demandé à personne d’en sortir.



Et quand on sait à qui est destiné ce “financement”…





<img data-src=" />

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ActionFighter a écrit :



Ce serait effectivement une très bonne idée que les artistes passent plus souvent par des labels indés, ou s’auto-produisent. C’est ce qui se passe chez les musiciens amateurs.

Seulement pour devenir une star, il faut qu’on te vois partout, à la radio, aux émissions de télé, etc… et seule une major peut t’assurer telle promo…



Devenir indé, pour les artistes connus, c’est risquer de retourner à “l’anonymat”







Je pense que le probleme effectivement est que les majors trustent completement tous les canaux de communication qu’un artiste peut utiliser pour se faire connaitre.

Enfin, les canaux “traditionnels” (radio, tv, presse specialisee, grande distrib, grands festivals, etc) car un nouveau canal qu’ils ne controlent pas du tout est clairement en train d’emerger violemment et faire passer les autres au second plan : internet.

Et comme par hasard, c’est contre internet qu’ils sont partis en guerre.



Les majors sont une mafia de la musique. Ils sont peu, ils se connaissent tous et ils sont parfaitement unis comme un seul homme. Et Il est impossible de les attaquer pour entente car le droit d’auteur leur octroie un monopole absolu sur leur production et le marché de la musique est tellement specifique qu’ils peuvent tres bien sortir leur auréole en disant que tout ca c’est pas vrai et qu’ils ne pensent qu’a bonheur de leurs employés (les artistes) qui sont tout de meme obligés de leur vendre leur ame (leurs droits) pour exister.


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« On va trouver les moyens de financer le secteur musical »



Que le secteur musical se débrouille.

Est-ce une coïncidence que la culture française a commencé à décliner depuis la mise en place du ministère de la culture ?

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Tout ça me fait penser à un jeu de l’oie avec deux arrivées, on passe allègrement d’une piste à l’autre à l’aide d’un goto en tombant sur certaines casses (en fait, on croit vraiement qu’il y a une arrivée, mais c’est comme un vice sans fin) <img data-src=" /><img data-src=" />

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SFX-ZeuS a écrit :



Moi je trouve qu’on a moins de boulot ces derniers temps dans ma bote j’aimerais bien que l’état nous finance car si on a moins de boulot c’est pas de notre faute !!







Fais-en une chanson <img data-src=" />



En plus si le PS ou l’UMP la reprennent pour un lipdub, c’est le buzz et le jackpot assurés <img data-src=" />


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quand une boite n’est plus rentable elle coule.



Arrêtons de filer de la thune à tout vas !

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tAran a écrit :



+1



Des artistes connus qui retournent dans l’anonymat, ça veut dire qu’ils ne sont pas assez bons.



Mais il y a des artistes qui s’en sortiront parcequ’ils ont du talent, et eux méritent un coup de pouce <img data-src=" />





<img data-src=" />



Les artistes qui font des concerts et qui ne se contentent pas de sortir des disques pour passer à la radio ou à la télé s’en sortiront toujours.



Les stars du show business, qui vivent de leurs rentes, sont contentes de ce système qui leur permet de rester en haut de l’affiche et de toucher un max sans trop se bouger.







KP2 a écrit :



Je pense que le probleme effectivement est que les majors trustent completement tous les canaux de communication qu’un artiste peut utiliser pour se faire connaitre.

Enfin, les canaux “traditionnels” (radio, tv, presse specialisee, grande distrib, grands festivals, etc) car un nouveau canal qu’ils ne controlent pas du tout est clairement en train d’emerger violemment et faire passer les autres au second plan : internet.

Et comme par hasard, c’est contre internet qu’ils sont partis en guerre.



Les majors sont une mafia de la musique. Ils sont peu, ils se connaissent tous et ils sont parfaitement unis comme un seul homme. Et Il est impossible de les attaquer pour entente car le droit d’auteur leur octroie un monopole absolu sur leur production et le marché de la musique est tellement specifique qu’ils peuvent tres bien sortir leur auréole en disant que tout ca c’est pas vrai et qu’ils ne pensent qu’a bonheur de leurs employés (les artistes) qui sont tout de meme obligés de leur vendre leur ame (leurs droits) pour exister.





+10000


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KP2 a écrit :



Je pense que le probleme effectivement est que les majors trustent completement tous les canaux de communication qu’un artiste peut utiliser pour se faire connaitre.

Enfin, les canaux “traditionnels” (radio, tv, presse specialisee, grande distrib, grands festivals, etc) car un nouveau canal qu’ils ne controlent pas du tout est clairement en train d’emerger violemment et faire passer les autres au second plan : internet.

Et comme par hasard, c’est contre internet qu’ils sont partis en guerre.



Les majors sont une mafia de la musique. Ils sont peu, ils se connaissent tous et ils sont parfaitement unis comme un seul homme. Et Il est impossible de les attaquer pour entente car le droit d’auteur leur octroie un monopole absolu sur leur production et le marché de la musique est tellement specifique qu’ils peuvent tres bien sortir leur auréole en disant que tout ca c’est pas vrai et qu’ils ne pensent qu’a bonheur de leurs employés (les artistes) qui sont tout de meme obligés de leur vendre leur ame (leurs droits) pour exister.







J’ai rien lu d’aussi beau depuis la déclaration des droits de l’homme (et PcInpact évidemment)


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Ce n’est pas à l’état de s’occuper de “l’industrie musicale”.

Qu’il se bougent le cul, qu’ils s’adaptent, qu’ils bossent.. Personne ne va venir s’occuper de mon secteur, je dois me démerder tout seul.



Quand Dotcom va arriver avec MegaBox, ça va leur faire très mal au cul. <img data-src=" />



<img data-src=" />

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je rigole bien fort en voyant les gens du SNEP (qui ne sont pas vraiment à plaindre) demander des brouzoufs à l’état alors qu’on vient de passer la barre des 3MM de chômeurs et qu’on aligne des plans sociaux.

l’état a peut-être autre chose à faire que de créer un énième établissement public (ie aux frais du contribuable, contrairement à la situation actuelle) à 50 millions d’euros, juste à coté d’une certaine haute autorité à 12 millions.

elle est bien gentille l’exception culturelle, mais ça commence à bien faire.

Moi je dis que sur les 50 Millions, ils en prennent 5000 ou 10000 et paient deux gars pour nous pondre un modèle de gestion viable des SPRD.

ils prennent 10000 autres et paient deux autres pour pondre un modèle viable pour la musique française au 21e siècle.



et pour moins de 1 000 000 ils se paient la retraite de Pascal Rogard.

je suis prêt à filer un coup de main s’ils ont besoin.<img data-src=" />

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KP2 a écrit :



Enfin, les canaux “traditionnels” (radio, tv, presse specialisee, grande distrib, grands festivals, etc) car un nouveau canal qu’ils ne controlent pas du tout est clairement en train d’emerger violemment et faire passer les autres au second plan : internet.





Oui, oui, c’est certain, ce jeune média (vingt ans) qu’est le web squatté par de petites startups appelées Google, Facebook & co. il n’y a qu’à regarder les sites où surfent les djeun’s, on y voit plein d’artistes inconnus édités par de petits labels artisanaux appelés Universal ou EMI qui mettent en avant des artistes indépendants tels que Lady Gaga, Justin Beiber, etc.



Y a t-il d’autres sites ? Bien sûr. Ont-ils une forte fréquentation ? Non. La raison est simple : on trouve presque toujours un site de musique en cherchant le nom d’un artiste connu, donc les sites qui ont de l’audience sont ceux qui présentent les artistes dont le nom est connu parce que matraqués à longueur de journée. La boucle est bouclée.



Et si les majors veulent taxer les FAI ce n’est pas parce qu’ils sont en guerre contre Internet, à l’origine de la moitié de leurs revenus, mais parce que taxer les FAI n’empêchera pas les djeun’z d’aller sur ITunes pour acheter leurs singles. Si tu peux avoir le beurre, l’argent du beurre et la jarretelle de la crémière, pourquoi se priver ?



Les majors disparaîtront le jour où plus personne n’achètera de musique ou bien le jour où le marketing cessera de faire effet, ce qui nécessiterait au moins quelques millions d’années de sélection darwinienne. Mais dans les deux cas ce seront toujours les mêmes artistes qui seront matraqués partout.


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Gericoz a écrit :



Faudrait les mettre tous ensemble dans une maison et on voterait qui on éliminerait à coup de SMS? <img data-src=" />



C’est extrême ce que tu dis mais je suis aussi dans l’idée, tout le monde ne peut pas réussir dans la musique. Certain sont mauvais et s’obstinent, je me vois mal financer leur médiocrité.

C’est comme-ci j’inventais un truc foireux qui ne marche pas et que je demandais une subvention. Si ça marche pas je cherche pourquoi, j’agis en conséquence et si j’y arrives toujours pas je change de métier.

Je veux devenir peintre mais je sais pas dessiner, une petite taxe pour me permettre d’en vivre quand même?



Quand je veux financer un artiste qui me plais j’achète ses cd, je vais aux concerts, j’achète des produits dérivés. Après un artiste qui plais pas qu’il fasse sa musique en amateur point barre.



La plupart des artistes qui se plaignent gagnent largement mieux leur vie que moi donc c’est plutôt eux qui devraient me donner des sous car j’en ai plus besoin qu’eux. Ceux qui en auraient à la limite besoin on les voit jamais.





On peut aussi travailler en parrallèle. c’est possible. On peut imaginer une forme de subvention qui permet de lier les deux mais si ca consiste à être assisté et financer de la merde. non merci.


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C’est fou ce qu’on a comme argent à ne plus savoir qu’en faire pour pouvoir financer un secteur de divertissement en perte de vitesse <img data-src=" /> La crise doit être finie alors ?

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ActionFighter a écrit :



<img data-src=" />



Les artistes qui font des concerts et qui ne se contentent pas de sortir des disques pour passer à la radio ou à la télé s’en sortiront toujours.



Les stars du show business, qui vivent de leurs rentes, sont contentes de ce système qui leur permet de rester en haut de l’affiche et de toucher un max sans trop se bouger.





+10000





en fait ce sont les gros qui financent les petits. c’est ca l’astuce. de même que ce sont les anciens qui aident les nouveaux. Moi j’ai rien contre les gros après c’ets certain que quand t’es petit, tu vas pas chialer parce que perosnne achète ton nieme disque de merde.


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KP2 a écrit :



Je pense que le probleme effectivement est que les majors trustent completement tous les canaux de communication qu’un artiste peut utiliser pour se faire connaitre.

Enfin, les canaux “traditionnels” (radio, tv, presse specialisee, grande distrib, grands festivals, etc) car un nouveau canal qu’ils ne controlent pas du tout est clairement en train d’emerger violemment et faire passer les autres au second plan : internet.

Et comme par hasard, c’est contre internet qu’ils sont partis en guerre.



Les majors sont une mafia de la musique. Ils sont peu, ils se connaissent tous et ils sont parfaitement unis comme un seul homme. Et Il est impossible de les attaquer pour entente car le droit d’auteur leur octroie un monopole absolu sur leur production et le marché de la musique est tellement specifique qu’ils peuvent tres bien sortir leur auréole en disant que tout ca c’est pas vrai et qu’ils ne pensent qu’a bonheur de leurs employés (les artistes) qui sont tout de meme obligés de leur vendre leur ame (leurs droits) pour exister.



trouve moi un seul moyen de vraiment te faire connaitre sur internet?A part my space et youtube c’est impossible

or myspace et youtube sont au service des majors.(a cause des droits d’auteur)



C’est l’ère du web20 mais maintenant grace au tablette et au smarphone on controle directement l’information qui circule et l’utilisateur devient un vrai consommateur

résultat grace au cd puis au mp3, ipod, internet 1.0 et le p2p, la musique s’est totalement démocratisé.

On a créé une génération de mélomane.

Avec le web20 on a créé une demande de consommateurs mais les gens n’achetent pas, ils préfèrent graver et télécharger

Sauf qu’avec le développement de l’informatique grand public 2.0 c’est tout bénéfe on consomme on paie on télécharge pendant que les pirates sont sanctionnés par hadopi.

L’exception culturelle francaise est sauvée et les majors sont contents


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CryoGen a écrit :



La crise doit être finie alors ?





Un certain ancien président a dit que la crise est finie lors d’un débat contre l’actuel président.

J’ai lu récemment dans Télérama (courrier des lecteurs) qu’il faut pas appeler ça une crise parce que c’est trop long (du coup j’ai regardé la définition de crise dans un dico).



Donc si je résume la chose qu’il faut pas appeler crise et qui est pas finie empêche pas certains de demander de l’argent à ceux qui subissent la chose en premier, j’ai nommé le contribuable.



Pays de merde…


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olivier4 a écrit :



résultat grace au cd puis au mp3, ipod, internet 1.0 et le p2p, la musique s’est totalement démocratisé.





Pour moi un produit démocratisé est un produit abordable pour tous.

On en est encore loin.







olivier4 a écrit :



On a créé une génération de mélomane.





Je partage pas ton avis.







olivier4 a écrit :



Avec le web20 on a créé une demande de consommateurs mais les gens n’achetent pas, ils préfèrent graver et télécharger

Sauf qu’avec le développement de l’informatique grand public 2.0 c’est tout bénéfe on consomme on paie on télécharge pendant que les pirates sont sanctionnés par hadopi.

L’exception culturelle francaise est sauvée et les majors sont contents





<img data-src=" />


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PAr rapport a la licence globale, je crois que les majors ou les artistes ne seraient pas contre mais a mon avis, c’est la dématérialisation qui leur fait peur.

Parce que ca remet aussi en question les droits d’auteur.

Si par exemple, un artiste refuse d’etre téléchargé sur le net. qu’est ce qu’il se passe?

Si je peux graver un album gratuitement, que vaut un cd album? 2 euro?alors qu’est ce qui pourra aider un artiste amateura se faire connaitre s’il ne peut pas vendre d’album en concert? sur internet par paypal? qui acceptera alors de faire un don alor qu’on peut télécharger gratos en toute légalité.





bref ca pose plus de question que de réponse.

PArce que finalement la musqiue c’est aussi un produit et le cd est un produit comme un autre. cest a dire une marchandise qui transporte qu’on échange qu’on vend.

et tous les artistes n’ont pas un grand public de fans et ont besoin d’etre soutenu . Or une licence ne les aidera pas.

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ActionFighter a écrit :



S’adapter au marché du numérique en développant une offre légale digne de ce nom?

Nationaliser la SACEM pour contrôler leurs salaires faramineux?

Demander publiquement aux producteurs d’arrêter de se gaver sur le dos des artistes avant de venir piailler des taxes et subventions?

Que les artistes fassent plus de concert au lieu de se contenter de sortir des disques que personne n’achètent?



C’est pas les pistes qui manquent….







+1.



Et qu’ils commencent aussi à voir leurs dépenses avant de demander plus de recettes !



En comptabilité, il y a deux colonnes : charges et produits. L’une ne va pas sans l’autre.


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Commentaire_supprime a écrit :



+1.



Et qu’ils commencent aussi à voir leurs dépenses avant de demander plus de recettes !



En comptabilité, il y a deux colonnes : charges et produits. L’une ne va pas sans l’autre.





Ce qui gonfle les charges, ce sont les frais professionnels. Même si la cocaïne a baissé, le champagne, le caviar et les nuits en hôtel 5 étoiles ont augmentés avec la crise <img data-src=" />


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ActionFighter a écrit :



Ce qui gonfle les charges, ce sont les frais professionnels. Même si la cocaïne a baissé, le champagne, le caviar et les nuits en hôtel 5 étoiles ont augmentés avec la crise <img data-src=" />





Sans compter le kérosène pour les jets privées. <img data-src=" />


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Question: A qui est reversé cette argent ?

Je veux dire par la, je prend n’importe quel groupe à la radio, il ecrit ou font ecrire leur texte, trouve un studio qui veut les produires.

Le studio investis x argent pour enregistré et vendre le cd et recupere son bénéfice en reversant y€ à l’artiste.



A quel moment l’argent recolté par les taxes intervients?



Et comme j’ai déjà dit et que reprend aussi bien le soustitre de la news, si on finance le metier de la musique, n’importe quel metier pourrait demander sa subvention ?

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kitetkat a écrit :



Question: A qui est reversé cette argent ?

Je veux dire par la, je prend n’importe quel groupe à la radio, il ecrit ou font ecrire leur texte, trouve un studio qui veut les produires.

Le studio investis x argent pour enregistré et vendre le cd et recupere son bénéfice en reversant y€ à l’artiste.



A quel moment l’argent recolté par les taxes intervients?



Et comme j’ai déjà dit et que reprend aussi bien le soustitre de la news, si on finance le metier de la musique, n’importe quel metier pourrait demander sa subvention ?





ah non, ttt. <img data-src=" />

la Musique c’est de l’Art, mon cher kitekat.

tu vas quand même pas comparer un Artiste avec un vulgaire tape-clavier de chez PCI! <img data-src=" />



et puis il en va du rayonnement de la France dans le monde!

que diable, il nous faut sauvegarder l’exception culturelle française, dernier rempart contre l’impérialisme culturel américain!

alors filons des brouzoufs au SNEP, seuls garants de l’exception culturelle!



il faut taxer les terminaux, taxer le cloud, taxer les liens, taxer les FAI, taxer les moteurs de recherche, taxer les agrégateurs, créer un Centre National de la Musique, soutenir l’action de la Haute Autorité pour la Diffusion (<img data-src=" />) des Oeuvres et la Protection des droits sur Internet.

Il ne faut surtout pas toucher à la chronologie des médias, dispositif unique au monde qui a permis la sauvegarde du cinéma national.

il ne faut surtout pas toucher non plus au système des Sociétés de Perception et de Répartition des Droits, dont les dirigeants touchent un salaire de misère et dont le mode de fonctionnement est totalement vertueux. il est le socle sur lequel se base l’exceptionnelle culture musicale française!



Car l’exception culturelle française n’a pas de prix.<img data-src=" />


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hellmut a écrit :



et puis il en va du rayonnement de la France dans le monde!

que diable, il nous faut sauvegarder l’exception culturelle française, dernier rempart contre l’impérialisme culturel américain!

alors filons des brouzoufs au SNEP, seuls garants de l’exception culturelle!



il faut taxer les terminaux, taxer le cloud, taxer les liens, taxer les FAI, taxer les moteurs de recherche, taxer les agrégateurs, créer un Centre National de la Musique, soutenir l’action de la Haute Autorité pour la Diffusion (<img data-src=" />) des Oeuvres et la Protection des droits sur Internet.

Il ne faut surtout pas toucher à la chronologie des médias, dispositif unique au monde qui a permis la sauvegarde du cinéma national.

il ne faut surtout pas toucher non plus au système des Sociétés de Perception et de Répartition des Droits, dont les dirigeants touchent un salaire de misère et dont le mode de fonctionnement est totalement vertueux. il est le socle sur lequel se base l’exceptionnelle culture musicale française!



Car l’exception culturelle française n’a pas de prix.<img data-src=" />





C’est bien résumé.


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on va trouver les moyens de financer le secteur musical



QUOI ?!

Non mais merde quoi, je reve !!

Et les salariés de PSA AULNAY et plein d’autres boites, c’est pas eux qui devraient avoir toute l’attention hein ?!

A la place de ça, on finance jauni a liday qui reside à Gstaad !!!



Allez vous faire <img data-src=" /> <img data-src=" /><img data-src=" />

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hellmut a écrit :



ah non, ttt. <img data-src=" />

la Musique c’est de l’Art, mon cher kitekat.

tu vas quand même pas comparer un Artiste avec un vulgaire tape-clavier de chez PCI! <img data-src=" />



et puis il en va du rayonnement de la France dans le monde!

que diable, il nous faut sauvegarder l’exception culturelle française, dernier rempart contre l’impérialisme culturel américain!

alors filons des brouzoufs au SNEP, seuls garants de l’exception culturelle!



il faut taxer les terminaux, taxer le cloud, taxer les liens, taxer les FAI, taxer les moteurs de recherche, taxer les agrégateurs, créer un Centre National de la Musique, soutenir l’action de la Haute Autorité pour la Diffusion (<img data-src=" />) des Oeuvres et la Protection des droits sur Internet.

Il ne faut surtout pas toucher à la chronologie des médias, dispositif unique au monde qui a permis la sauvegarde du cinéma national.

il ne faut surtout pas toucher non plus au système des Sociétés de Perception et de Répartition des Droits, dont les dirigeants touchent un salaire de misère et dont le mode de fonctionnement est totalement vertueux. il est le socle sur lequel se base l’exceptionnelle culture musicale française!



Car l’exception culturelle française n’a pas de prix.<img data-src=" />







je dirais simplement que la quantité ne fait pas la qualité monsieur.


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en fait l’exception ce n’est pas la lutte contre les standards americains en réalité, car j’ai remarqué que au final l’exception culturel francaise ca consiste a s’americaniser un peu plus en laissant une petite place a la spécificité francaise

exemple le cinema d’action &gt; us

le cinema comique &gt; francais

et dans la musique on copie les ricains en moins bien:

il ne reste plus que la chanson francaise vieillotte mais on a détruit tout le foklore a coté.

en fait on est surtout en “guerre” contre nos voisins qui sont anglais hollandais et j’en passe.(a part les belges)

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France pays d’assistés <img data-src=" />



RSA

PAC

CNM



même combat d’arrière garde <img data-src=" />

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Aurélie Filippetti : « On va trouver les moyens de financer le secteur musical »



Et il paraîtrait qu’elle a continué en disant : « nous venons de récupérer 150 € grâce à Hadopi. Et comme on a 13 autres dossiers en cours, on va peut-être récupérer 8 ou 9 fois 150 € de plus »



Moi, je trouve que c’est plus que suffisant comme financement par an entre 1350 et 1500 € pour des rapaces.

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Ils ont choisi en connaissance de cause de se lancer dans un domaine aussi inutile que la musique, le cinéma, la littérature ou autre art, je vois pas pourquoi ça seraient aux gens qui ont trimer pour étudier et bosser dans des domaines qui peuvent faire avancer la société (industrie, médecine, physique…) de devoir les financer.

Et puis franchement vu la tronche de la musique, littérature et du cinéma français, je crois que les laisser crever ne peut être qu’une bonne idée.

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olivier4 a écrit :



en fait l’exception ce n’est pas la lutte contre les standards americains en réalité, car j’ai remarqué que au final l’exception culturel francaise ca consiste a s’americaniser un peu plus en laissant une petite place a la spécificité francaise

exemple le cinema d’action &gt; us

le cinema comique &gt; francais

et dans la musique on copie les ricains en moins bien:

il ne reste plus que la chanson francaise vieillotte mais on a détruit tout le foklore a coté.

en fait on est surtout en “guerre” contre nos voisins qui sont anglais hollandais et j’en passe.(a part les belges)





ouais enfin la production de contenu culturel (cinéma et musique) dans les autres pays européens, ça représente pas grand chose par rapport à la France.

à part le rock anglais, y’a pas grand chose qui “rayonne”… ^^


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hum… euh ouais

alors l’Espagne ca rayonne jusqu’à l’amérique du sud, l’allemagne domine toute l’Europe de l’est.

pour la techno, et et le metal, les pays nordiques s’en sortent bien

pour le cinéma, et bien je pense pas qu’on rayonne beaucoup plus que nos voisins alor qu’on dépense de sfortunes la dedans

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Et les sites d’actu informatiques aussi ?





Que ceux qui font l’apologie d’Hadopi <img data-src=" />

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Ils n’ont qu’a se démerder la filière musical, l’état n’est pas la pour les financer.

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« Ma position n’a pas changé depuis le mois de juillet, au moment où j’ai reçu les professionnels. »





Petite coquine! <img data-src=" />

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exover a écrit :



Ils n’ont qu’a se démerder la filière musical, l’état n’est pas la pour les financer.





La création en France ne vit que de subvention et de taxe. Avec internet, non seulement ça remet en cause se mode de financement mais aussi l’obligation qu’on nous impose d’écouter un %age de cette création sur les médias.



C’est la panique, si ça continue ils vont devoir faire des choses qui plaisent au grand public, ces incultes qui ne devraient pas pouvoir faire de la production collaborative !


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déja ca commence mal:

“on va trouver les moyens de financer”



Et puis j’aime beaucoup la méthode. Bon la on abandonne tout et apres on va voir ce qu’on va faire. C’est la méthode hollande?On fout tout en l’air et on discute après en regardant ce qui se passe

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Arona a écrit :



Petite coquine! <img data-src=" />









Elle doit avoir mal aux genoux. <img data-src=" />


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Jean_Peuplus a écrit :



Elle doit avoir mal aux genoux. <img data-src=" />







Elle ne doit pas encore prononcer ton nom souvent. <img data-src=" />


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EkASs a écrit :



La création en France ne vit que de subvention et de taxe. Avec internet, non seulement ça remet en cause se mode de financement mais aussi l’obligation qu’on nous impose d’écouter un %age de cette création sur les médias.



C’est la panique, si ça continue ils vont devoir faire des choses qui plaisent au grand public, ces incultes qui ne devraient pas pouvoir faire de la production collaborative !





pourquoi ne pas crééer le minitel 2.0 avec store


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La locataire et les allocataires de la Rue de Valois, S01E34

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olivier4 a écrit :



pourquoi ne pas crééer le minitel 2.0 avec store







Fermé le jeudi <img data-src=" />


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moi j’ai trouvé un moyen de financer très simple :



Bouger leurs culs et faire des concerts méthode testée et approuvée par des tas de groupes

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ou comment se plier face aux industriels, ils n’ont en rien besoin d’argent public ! c’est impressionnant ce secteur vampire qui nous propose les même m en boucle à la radio et veut encore plus de pognon du contribuable ! <img data-src=" />





edit:







darkbeast a écrit :



moi j’ai trouvé un moyen de financer très simple :



Bouger leurs culs et faire des concerts méthode testée et approuvée par des tas de groupes







l’idée n’est pas mauvaise mais ça demanderais beaucoup plus de travail ! ils sont pas fous non plus…


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Alors on va taxer qui ? Les fidèles acheteurs ou les multiples intermédiaires inutiles qui se font des couilles en or sur le dos des artistes ?

Perso mon dernier achat de CD a été fait directement sur le site de l’artiste par paypal (en plus sur un système de donation, même pas de minimum. J’ai mis 30euros). Tout l’argent lui revient directement ce qui est pas plus mal et je ferai pareil dès que ça se représentera.

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Moi je trouve qu’on a moins de boulot ces derniers temps dans ma bote j’aimerais bien que l’état nous finance car si on a moins de boulot c’est pas de notre faute !!

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on va trouver les moyens de financer le secteur musical



S’adapter au marché du numérique en développant une offre légale digne de ce nom?

Nationaliser la SACEM pour contrôler leurs salaires faramineux?

Demander publiquement aux producteurs d’arrêter de se gaver sur le dos des artistes avant de venir piailler des taxes et subventions?

Que les artistes fassent plus de concert au lieu de se contenter de sortir des disques que personne n’achètent?



C’est pas les pistes qui manquent….

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et si le secteur musical se démerdait un peu tout seul ? <img data-src=" />



J’veux pas dire mais ce secteur beneficie d’une exception gigantesque au marché liberal qu’aucun autre marché ne possede : le droit d’auteur.

Et ca leur suffit pas ?

Je te leur foutrait un coup de pied au cul aux majors si j’etais ministre, ca serait qqch de grand.

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ActionFighter a écrit :



Que les artistes fassent plus de concert au lieu de se contenter de sortir des disques que personne n’achètent?







Je pense que la plupart le font deja largement assez.



Pour les artistes, j’aurais plutot tendance a leur conseiller de se sortir les doigts du cul et commencer a s’autoproduire et/ou monter des structures d’aide a l’autoproduction independantes des majors pour ceux qui sont un peu trop dans l’espace.

Qqn qui veut monter sa boite et vivre de son activité dans le “monde normal” se doit d’avoir des notions de comptabilité, creation d’entreprise, gestion, trouver des financements, etc. Le type galere un peu au depart, un peu chaque mois et chaque annee pour les declarations diverses mais il s’y fait, il apprend et il se debrouille. Alors pourquoi les artistes seraient pas capables de faire ca aussi et seraient obligés de se maquer avec des majors toutes puissantes ?

Ca me parait aberrant…


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Une petite ponction sur le salaire de Pascal Negre et le bénéf d’Universal, je pense que ça aiderait pas mal.



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ActionFighter a écrit :



S’adapter au marché du numérique en développant une offre légale digne de ce nom?

Nationaliser la SACEM pour contrôler leurs salaires faramineux?

Demander publiquement aux producteurs d’arrêter de se gaver sur le dos des artistes avant de venir piailler des taxes et subventions?

Que les artistes fassent plus de concert au lieu de se contenter de sortir des disques que personne n’achètent?



C’est pas les pistes qui manquent….







<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /> +10000000000…….


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KP2 a écrit :



Je pense que la plupart le font deja largement assez.



Pour les artistes, j’aurais plutot tendance a leur conseiller de se sortir les doigts du cul et commencer a s’autoproduire et/ou monter des structures d’aide a l’autoproduction independantes des majors pour ceux qui sont un peu trop dans l’espace.

Qqn qui veut monter sa boite et vivre de son activité dans le “monde normal” se doit d’avoir des notions de comptabilité, creation d’entreprise, gestion, trouver des financements, etc. Le type galere un peu au depart, un peu chaque mois et chaque annee pour les declarations diverses mais il s’y fait, il apprend et il se debrouille. Alors pourquoi les artistes seraient pas capables de faire ca aussi et seraient obligés de se maquer avec des majors toutes puissantes ?

Ca me parait aberrant…





Ce serait effectivement une très bonne idée que les artistes passent plus souvent par des labels indés, ou s’auto-produisent. C’est ce qui se passe chez les musiciens amateurs.

Seulement pour devenir une star, il faut qu’on te vois partout, à la radio, aux émissions de télé, etc… et seule une major peut t’assurer telle promo…



Devenir indé, pour les artistes connus, c’est risquer de retourner à “l’anonymat”


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et si on virait la moitié des artistes tout simplement?

a la base le budget de la culture servait a financer les écoles, les musées, les expositions

, pas les spectacles et encore moins la presse et l’industrie musicale

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typiquement socialiste comme reaction. On va financer avec de l’argent public.

Pourtant le constat est simple, les bons auteurs vendent toujours et les mauvais ne vendent jamais.

Ils vont donc entretenir des gens qui ne devraient pas persister dans ce metier. Exactement comme les intermitents du spectacle.

Madame Filipetti devrait plutot s”occuper des principes de remuneration des auteurs, des producteurs et des edtieurs qui n’ont pas pris le virage du 21eme siecle. A les entendre, ils avaient toutes les réponses et ils nous ressortent des vieilles recettes eculées d’assistance aux ratés et qui ont deja echoué.

La production xculturelle est un metier difficile et il est normal qu’il y ait du dechet, simplement parceque tout le monde n’a pas le talent qu’il faut ou que l’epoque n’est simplement pas prete. Mais cela ne doit pas impliquer l’entretien en ver et contre tout de tous ceux qui veulent se lancer


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On va trouver les moyens de financer le secteur musical





On : le gouvernement

les moyens : A votre avis, c’est quiqui qui va payer au bout du compte ?

financer le secteur musical : faut bien aider les copains, hein


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Pour caresser ensuite la filière dans le sens du sillon



Excellente celle là <img data-src=" />

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olivier4 a écrit :



et si on virait la moitié des artistes tout simplement?

a la base le budget de la culture servait a financer les écoles, les musées, les expositions

, pas les spectacles et encore moins la presse et l’industrie musicale







Faudrait les mettre tous ensemble dans une maison et on voterait qui on éliminerait à coup de SMS? <img data-src=" />



C’est extrême ce que tu dis mais je suis aussi dans l’idée, tout le monde ne peut pas réussir dans la musique. Certain sont mauvais et s’obstinent, je me vois mal financer leur médiocrité.

C’est comme-ci j’inventais un truc foireux qui ne marche pas et que je demandais une subvention. Si ça marche pas je cherche pourquoi, j’agis en conséquence et si j’y arrives toujours pas je change de métier.

Je veux devenir peintre mais je sais pas dessiner, une petite taxe pour me permettre d’en vivre quand même?



Quand je veux financer un artiste qui me plais j’achète ses cd, je vais aux concerts, j’achète des produits dérivés. Après un artiste qui plais pas qu’il fasse sa musique en amateur point barre.



La plupart des artistes qui se plaignent gagnent largement mieux leur vie que moi donc c’est plutôt eux qui devraient me donner des sous car j’en ai plus besoin qu’eux. Ceux qui en auraient à la limite besoin on les voit jamais.


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D’un côté le gouvernement veut nous apitoyer qu’il cherche de l’argent pour boucler le budget.

Et elle, va réussir à en trouver facilement ?



Hollande aurait du la mettre au ministère des finances !

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Aurélie a dit :



on va trouver les moyens de financer le secteur musical, mais ça ne passe pas forcément par un énième établissement public



Peut-être pourraient-ils se débrouiller seuls ?



Plus sérieusement, vu que les contenus sont animés par nos joujoux, véhiculés par les FAI et les opérateurs, et que nous en redemandons, je comprends que la question du financement, si on ne passe pas par un système tout payant sans partage, soit préoccupante. Le marché pourrait être bien plus souple et permettre des “bouquets” d’abonnements vers divers types de contenus, ces derniers devant être absolument disponibles dans leurs versions les plus récentes, et non uniquement la musique des 80’s, ou le gendarme de St-Tropez en location à 5.99€ (oui j’exagère).

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ActionFighter a écrit :



Ce serait effectivement une très bonne idée que les artistes passent plus souvent par des labels indés, ou s’auto-produisent. C’est ce qui se passe chez les musiciens amateurs.

Seulement pour devenir une star, il faut qu’on te vois partout, à la radio, aux émissions de télé, etc… et seule une major peut t’assurer telle promo…



Devenir indé, pour les artistes connus, c’est risquer de retourner à “l’anonymat”





+1



Des artistes connus qui retournent dans l’anonymat, ça veut dire qu’ils ne sont pas assez bons.



Mais il y a des artistes qui s’en sortiront parcequ’ils ont du talent, et eux méritent un coup de pouce <img data-src=" />


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fred42 a écrit :



Et il paraîtrait qu’elle a continué en disant : « nous venons de récupérer 150 € grâce à Hadopi. Et comme on a 13 autres dossiers en cours, on va peut-être récupérer 8 ou 9 fois 150 € de plus »



Moi, je trouve que c’est plus que suffisant comme financement par an entre 1350 et 1500 € pour des rapaces.





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Aurélie Filippetti : « On va trouver les moyens de financer le secteur musical »

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