Rachat de SFR par Numericable : les bons plans des dirigeants de Vivendi
Y'a pas de petits profits
Le 20 mars 2014 à 13h00
7 min
Économie
Économie
Selon Mediapart, le choix de la direction de Vivendi de négocier exclusivement avec Altice (Numericable) n'est pas anodin. Si cela devrait rapporter gros à Vivendi lui-même, les dirigeants et membres du conseil de surveillance auraient aussi des avantages non négligeables dans cette opération d'après notre confrère.
Un vote pas si unanime
Avec 11,75 milliards d'euros en cash et 32 % des parts du nouvel ensemble laissées à Vivendi, l'offre d'Altice, le principal actionnaire de Numericable, a donc été préférée à celle du groupe Bouygues. Ce dernier, s'il proposait légèrement moins de cash (11,3 milliards), laissait tout de même 43 % du nouvel ensemble à Vivendi. L'appât du gain rapide a donc avantagé la proposition d'Altice. Mais est-ce la seule raison ? Si l'on en croit la journaliste de Mediapart Martine Orange, grande connaisseuse du groupe Vivendi, « l'arrangement entre amis » est de mise.
Ici, point question de liens avec le gouvernement, mais tout simplement entre les dirigeants de Vivendi et d'Altice. Jean-René Fourtou, le président du Conseil de Surveillance de Vivendi, est particulièrement visé par notre consœur, tant il aurait tout fait contre vents et marées pour faire passer le dossier d'Altice. Pour mieux comprendre, revenons en arrière. Vendredi dernier, le Conseil de Surveillance a donc confirmé l'avis du comité exécutif de Vivendi (réuni la veille) de choisir Numericable. À l'époque, une source proche du dossier avait indiqué à l'AFP que ce vote avait été unanime parmi les membres du conseil. Une information démentie par Mediapart, qui précise que certains membres étaient en réalité plutôt favorables à Bouygues, même si tous n'ont pas voté en ce sens.
Afin de mieux cerner le sujet, regardons qui sont les membres importants du Conseil de Surveillance de Vivendi :
- Jean-René Fourtou : président de ce conseil depuis 2005, ex-PDG de Vivendi (entre 2002 et 2005), administrateur chez Sanofi Aventis. Âgé de 75 ans, l'homme n'est pas encore à la retraite, même si la prise de pouvoir de Bolloré est censé l'y pousser.
- Vincent Bolloré : président du groupe du même nom, il est entré au capital de Vivendi suite aux rachats des chaînes D8 et D17. Il a ensuite augmenté ses parts en rachetant de sa poche des actions de Vivendi. Résultat, il doit officiellement devenir président du groupe sitôt la scission avec SFR opérée.
- Pascal Cagni : ancien Vice-Président et Directeur général d’Apple Europe, Moyen-Orient, Inde et Afrique. Cagni est actuellement administrateur indépendant de plusieurs sociétés, dont Vivendi donc.
- Daniel Camus : administrateur chez Valeo et diverses sociétés étrangères.
- Alexandre de Juniac : PDG d'Air France KLM.
- Claude Bébéar : président d'honneur du groupe AXA, administrateur chez BNP Paribas et censeur chez Schneider Electric.
Si ces six personnalités ont été citées parmi les quatorze membres que compte le Conseil de Surveillance de Vivendi, c'est parce qu'elles sont toutes citées par Mediapart. D'un côté, nous avons donc Jean-René Fourtou, qui n'a jamais caché son souhait de voir SFR et Numericable se marier, et qui a même discuté personnellement avec Patrick Drahi (PDG d'Altice). « Jean-René Fourtou a bâti un conseil à sa main. Il l’a amené là où il voulait, en organisant un passage en force » a de plus expliqué un proche du dossier à notre confrère. L'homme a pour alliés de nombreux membres du Conseil, dont Daniel Camus et Alexandre de Juniac.
Les intérêts financiers personnels de Fourtou
De l'autre côté, nous avons Pascal Cagni, qui serait d'ailleurs le seul à avoir voté contre le projet de rachat par Altice lors du vote de vendredi dernier. Bolloré, pour sa part, s'est contenté de faire profil bas selon Mediapart. « Vincent Bolloré était aussi favorable à la candidature de Bouygues. Mais il n’a pas voulu s’opposer à Jean-René Fourtou. Il aurait été marginalisé » au sein de Vivendi explique un proche du dossier. Quant à Claude Bébéar, lui aussi plutôt pro-Bouygues, il n'était pas présent la semaine passée, la faute à une hospitalisation. Il aurait malgré tout participé au Conseil de Surveillance par téléphone, mais sans avoir pu s'imposer. « On le dit furieux » précise même le site d'information.
Ce dernier nous explique surtout que Jean-René Fourtou et certains de ses proches ont des intérêts financiers personnels importants dans cette histoire. Tout d'abord, l'homme détient personnellement près de 800 000 actions précise Mediapart (il en avait précisément 786 599 en 2011), soit un pactole d'environ 15,5 millions d'euros au cours actuel de l'action de Vivendi. Fin 2012, notre confrère BFM Business révélait de plus que Fourtou détenait 1,165 million de stock options, dont l'échéance de certaines arrive en... mai 2014, le reste étant en mai 2015. Qui plus est, sa famille et sa fondation disposent de 2,8 millions d'actions, soit bien plus que Fourtou lui-même.
Des postes d'administrateurs promis par Altice ?
À tout ceci, Mediapart rajoute que selon ses informations, afin de convaincre Vivendi, Altice aurait promis des postes d'administrateurs dans le nouvel ensemble Numericable/SFR à trois personnalités clés de Vivendi, à savoir Jean-René Fourtou, Jean-François Dubos (le président du directoire) et Alexandre de Juniac. Patrick Drahi et Vivendi ont démenti cette information. Le service presse d'Alexandre de Juniac, directement cité, s'est pour sa part expliqué : « Nous ne pouvons que vous inviter à prêter foi aux démentis très clairs exprimés tant par Vivendi que par Patrick Drahi sur les supputations autour de la composition hypothétique des futurs organes de gouvernance. Alexandre de Juniac dément fermement être au courant de tels sujets. »
Cette information sera de toute façon confirmée ou infirmée dans les mois à venir, dès lors que Vivendi aura validé ce rachat et que les différentes autorités auront donné leur avis. Néanmoins, et afin d'en rajouter une couche, Mediapart indique que Jean-René Fourtou ne se contentera pas d'un rôle d'administrateur dans le nouvel ensemble. Il pourrait aussi occuper un poste de présidence. Si celui du futur groupe est peu probable, Patrick Drahi en reprenant les rênes, un autre poste pourrait lui être réservé. « En attendant, M. Fourtou pourrait récupérer la présidence d’un quelconque comité stratégique ou autre. La perte de sa présidence chez Vivendi serait ainsi en partie compensée, d’autant que dans le même temps, selon nos informations, Vincent Bolloré a accepté de lui céder sa place au conseil de l’assureur italien Generali » indique notre confrère.
Les intérêts personnels de plusieurs membres de la direction de Vivendi pourraient être un argument de poids pour Bouygues ou encore le gouvernement. D'autant plus que contrairement à Bouygues, Altice n'a jamais publié publiquement ses offres. Une opacité gênante pour le groupe de BTP, qui pourrait estimer que Vivendi a dès le départ avantagé Altice dans ses négociations. On rajoutera enfin qu'Arnaud Montebourg a déclaré vendredi dernier lors du journal de 20 h sur France 2 que les concurrents de SFR pourraient déposer des recours afin de contrecarrer cette acquisition. Mais dès lors que Montebourg n'est guère inspiré sur ce sujet depuis le début, il est bien difficile de cerner le vrai du faux.
MàJ : La réaction de Vivendi au papier de Médiapart.
« Vivendi dément avec la plus grande fermeté les allégations calomnieuses de Mediapart sur la conduite du processus collégial concernant le devenir de SFR et les raisons de sa décision d’octroyer une période d’exclusivité de négociation au groupe Altice.
L’étude des projets en concurrence, de même que la négociation des offres proposées par les deux candidats déclarés, Altice et Bouygues, ont été menées par Vivendi, à l’évidence, de manière parfaitement loyale.
Cette exigence de loyauté garantissait que le Conseil de surveillance se verrait présenter par le Directoire la meilleure réponse possible aux seuls objectifs stratégiques du groupe Vivendi.
Vivendi mettra en œuvre la décision collégiale prise et annoncée vendredi 14 mars. »
Rachat de SFR par Numericable : les bons plans des dirigeants de Vivendi
-
Un vote pas si unanime
-
Les intérêts financiers personnels de Fourtou
-
Des postes d'administrateurs promis par Altice ?
Commentaires (65)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 20/03/2014 à 13h39
Jean-René Fourtou… Martine Orange…
Le hasard, plus grand comique de tous les temps " />
Le 20/03/2014 à 13h39
D’un coté comme de l’autre il y avait du copinage… " />
Martin Bouygues malgré sa mésentente avec Xavier Niel, aurait fait copain copain pour que l’ARCEP accepte son offre sur SFR et orange aurait sans doute racheté Numéricable ?
Jean René Fourtou “évincé” de Vivendi, veut retrouver une présidence quelque part…
Bref rien de bien neuf je trouve " />
Le 20/03/2014 à 13h41
Le 20/03/2014 à 13h52
Le désastre, quand on voit l’état du réseau numericable…
" />
Le 20/03/2014 à 13h53
Oui bon rien d’anormal dans tout ça…
Bon après, Montebourg est déjà largué alors, il ferait bien de se taire !
Le 20/03/2014 à 13h54
Et pour completer, cet article de reflets :
Qu’est ce que le rachat de SFR par Numéricable ne va pas changer pour vous ?
Le 20/03/2014 à 13h56
J’ai du mal lire… et je vais relire du coup…
Que les membres du conseil de Vivendi aient des actions, je serais tenté de dire que c’est normal. Je ne vois pas en quoi ça influerait sur le choix… Ils les auront toujours à la sortie.
Qu’ils se voient proposer des postes d’administrateur chez Numéricable; c’est ça le problème? Un mec qui doit avoir un patrimoine qui dépasse les 500 millions se fout pas mal des jetons de présence.
Et rien ne dit que la chose n’aurait pas été la même chez Bouygues…
Je vais relire un peu moins vite ceci dit…
Le 20/03/2014 à 13h56
rien de nouveau donc, tous pourris.
Franchement, à 75 ans, ce Fourtou n’en a pas assez de ramasser des millions?
Prends ta retraite à Ramatuelle et arrête de foutre la merde, égoïste.
Le 20/03/2014 à 14h05
Le 20/03/2014 à 14h08
Le 20/03/2014 à 14h08
http://actualite.portail.free.fr/high-tech/19-03-2014/patrick-drahi-et-numericable-dans-le-collimateur-du-fisc-et-de-bercy/
Bercy lâche rarement les fraudeurs.
Le 20/03/2014 à 14h10
Le 20/03/2014 à 14h14
Le 20/03/2014 à 14h17
C’est vraiment une maladie française ça: pourquoi les CS des entreprises du CAC 40 sont remplis des mêmes patrons du CAC 40 ?
Le 20/03/2014 à 14h18
Magouilles, arnaques, arrangements et Cie.
On se croirait dans House of Cards …
Le 20/03/2014 à 14h18
Le 20/03/2014 à 15h51
Le 20/03/2014 à 16h05
Le 20/03/2014 à 16h24
Le 20/03/2014 à 16h33
Le 20/03/2014 à 16h39
Le 20/03/2014 à 16h39
Je n’ai rien compris à cet article.
Il est où le problème?
Que des gens d’une entreprise privée négocient et s’entendent entre eux pour réaliser la vente d’une entreprise et de ses actions??
Ouais, donc, on est dans un cas tout ce qu’il y a de plus classique de négociation…
Y en a qui débarquent et qui découvrent le monde de l’entreprise, j’ai l’impression.
Les intérêts personnels de plusieurs membres de la direction de Vivendi pourraient être un argument de poids pour Bouygues ou encore le gouvernement.
Le pire reste cette phrase, on n’y comprend rien.
Les intérêts personnels pourraient être des arguments de poids… mais pour quoi???
Il n’y a aucun acte condamnable, aucune poursuite, aucun délit. Il est où le problème, là?
Le 20/03/2014 à 16h40
Le 20/03/2014 à 16h51
Le 20/03/2014 à 17h22
Contre - contre offre de bouygues…
Le 20/03/2014 à 17h45
Le 20/03/2014 à 20h15
Le 20/03/2014 à 21h07
Le 20/03/2014 à 22h30
Le 21/03/2014 à 09h45
C’est le monde des Bisounours !
Le 21/03/2014 à 12h48
Le 21/03/2014 à 16h20
Le 20/03/2014 à 13h04
Tiens, agir pour son propre bien et celui des copains, au lieu du bien commun (ici les entreprises), ça me rappelle quelque chose…" />
Le 20/03/2014 à 13h08
Classique " />
Le 20/03/2014 à 13h08
ca va étonner personne ces magouilles.
y’avait pas autre chose à faire pour NC pour s’assurer de leur choix
Le 20/03/2014 à 13h09
Le 20/03/2014 à 13h10
Le 20/03/2014 à 13h13
Le 20/03/2014 à 13h13
Le 20/03/2014 à 13h15
En même temps dans un dossier à 10 zéros, on se doute que il y a un peu de liquidités qui circule pour graisser les rouages.
Je doute que M Bouygues n’ai pas essayer de faire de même de son coté via le gouvernement
Le 20/03/2014 à 13h17
Le 20/03/2014 à 13h19
parce que bouygues sûrement comptait virer tous ces gens une fois le rachat effectué .. évidemment " />
un poil partielles et partiales quand même ces communications… ça sent l’opération de contrecomm pour certains partisans de bt .. enfin “de sources proches du dossier”, pardon
d’ailleurs « Vincent Bolloré était aussi favorable à la candidature de Bouygues. Mais il n’a pas voulu s’opposer à Jean-René Fourtou. Il aurait été marginalisé »
tellement favorable qu’il explique (ici ) que l’offre de bouygues tue 5000 emplois de plus chez sfr que celle de numericable, en plus d’apporter 450 millions d’euros de moins …
bref … ça sent quand même le gros fud en lâchant des mots bidon comme conflits d’intérêt, pour faire tourner l’opinion publique du côté du point de vue gouvernemental ..
Le 20/03/2014 à 13h24
Heu… Je vois pas ce que révèle Mediapart ici… Les gens choisissent ce qui leur convient le mieux… Ca alors…
Il ne s’agit pas là, d’un appel d’offre…
Le 20/03/2014 à 13h31
« On le dit furieux » précise même le site d’information.
Y’a rien de pire que les “on dit”
J’adore médiapart, j’ai même un abo chez eux, mais y’a aucune preuve ou source dans leur article.
Juste des “on dit” ou des “quelqu’un nous a dit” qui ne concerne qu’un seul des deux camps.
Du coup on se retrouve avec un exposé partiel de la situation résumé par des personnes qu’on ne connait pas et sans aucune preuve ou document.
Le 20/03/2014 à 13h33
Qu’il y ait du copinage dans les entreprises du CAC40 (aux mains d’une ou deux dizaines d’administrateurs qui se connaissent tous), c’est vrai et ça ne facilite aucunement la transparence.
Mais, même en imaginant que Médiapart prouve une malversation, ça n’empêche pas que l’offre de fusion d’Altice était moins contraignante et plus rapide à exécuter que l’offre de Bouygues.
Pourvu qu’il y ait des recours des autres opérateurs, de l’autorité de la concurrence et de l’Arcep que la lumière soit faite un jour. Cependant, il y aura certainement moins de recours et moins de risque qu’avec l’offre de Bouygues. Et les marchés financiers n’aiment pas l’incertitude.
D’autre part, entre les avantages à court terme et à long terme, l’industrie choisit plutôt les avantages les plus réalistes et les plus probables : ce qui est plus souvent le cas des solutions à court terme.
Le 20/03/2014 à 13h37
Le 20/03/2014 à 14h18
[Quote]Jean-René Fourtou : président de ce conseil depuis 2005, ex-PDG de Vivendi (entre 2002 et 2005), administrateur chez Sanofi Aventis. Âgé de 75 ans, l’homme n’est pas encore à la retraite, même si la prise de pouvoir de Bolloré est censé l’y pousser.
Vincent Bolloré : président du groupe du même nom, il est entré au capital de Vivendi suite aux rachats des chaînes D8 et D17. Il a ensuite augmenté ses parts en rachetant de sa poche des actions de Vivendi. Résultat, il doit officiellement devenir président du groupe sitôt la scission avec SFR opérée.
Pascal Cagni : ancien Vice-Président et Directeur général d’Apple Europe, Moyen-Orient, Inde et Afrique. Cagni est actuellement administrateur indépendant de plusieurs sociétés, dont Vivendi donc.
Daniel Camus : administrateur chez Valeo et diverses sociétés étrangères.
Alexandre de Juniac : PDG d’Air France KLM.
Claude Bébéar : président d’honneur du groupe AXA, administrateur chez BNP Paribas et censeur chez Schneider Electric.[/quote]
Ca pue le pognon a s’en torcher le cul avec…
Le 20/03/2014 à 14h22
Le 20/03/2014 à 14h24
Le 20/03/2014 à 14h28
Le 20/03/2014 à 14h31
Le 20/03/2014 à 14h35
les concurrents de SFR pourraient déposer des recours afin de contrecarrer cette acquisition
A part l’autorité de la concurrence il y a réellement moyen de contrecarrer cette acquisition ? Enfin je veux dire c’est pas à Vivendi uniquement de choisir à qui il vend qu’elle qu’en soit les raisons, bonnes ou mauvaises ?
Le 20/03/2014 à 14h36
Un jour c’est a eux qu’on payera nos impôts. En attendant,on continu de se mettre à genoux et de leur demander de payer ceux qu’il exile à l’étranger. Bordel que la France est conne!
Le 20/03/2014 à 14h44
Ca me fait peur de se baser sur un article de … Médiapart. Le site qui fait des faux, et copine allègrement avec le pouvoir en place.
Le 20/03/2014 à 14h49
Le 20/03/2014 à 14h59
Franchement, il n’y a rien dans cet article; c’est complètement bidon.
On y apprend que les dirigeants de Vivendi ont des actions Vivendi; la belle affaire " />
Heureusement qu’ils en ont, et je ne vois pas en quoi ça influence leur choix " />
Que les membres des conseils d’admin des grosses entreprises soit aussi dans d’autres conseils, on le savait déjà… Et alors?
Du moment qu’ils ne sont pas membre des sociétés à l’origine ne l’offre, il n’y a aucun problème; s’ils le sont, ils s’abstiennent, c’est la loi qui veut ça.
Le seul truc qui fait fantasmer à priori, c’est que certains sont très riches… C’est grave ou interdit d’être riche? Les 10% des plus riches payent 50% de l’impôt sur le revenu et de la CSG confondue en France; heureusement qu’on les a… " />
Le 20/03/2014 à 15h01
Le 20/03/2014 à 15h01
Le 20/03/2014 à 15h02
Le 20/03/2014 à 15h03
Le 20/03/2014 à 15h15
Le 20/03/2014 à 15h16
L’article explique que des gens qui vendent une entreprise… Gagnent de l’argent… " />
Le 21/03/2014 à 18h28
Vincent Bolloré : président du groupe du même nom, il est entré au capital de Vivendi suite aux rachats des chaînes D8 et D17. Il a ensuite augmenté ses parts en rachetant de sa poche des actions de Vivendi. Résultat, il doit officiellement devenir président du groupe sitôt la scission avec SFR opérée.
Joli coup " />
Le 21/03/2014 à 23h20
Le 24/03/2014 à 11h04