Aujourd’hui, c’est la journée nationale contre le harcèlement et le cyberharcèlement
Il faut en parler !
Le 03 novembre 2016 à 15h00
5 min
Internet
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Le harcèlement et le cyberharcèlement pourrissent la vie de centaines de milliers de personnes, dont les jeunes. Aujourd'hui, c'est la seconde journée nationale de lutte contre ce fléau, l'occasion de rappeler les services qui peuvent aider.
Le cyberharcèlement (en anglais cyberbullying) « est une forme récente de harcèlement. On la retrouve en particulier via les SMS et les réseaux sociaux » explique l'association e-Enfance, agréée par le ministère de l'Éducation nationale. Selon différentes enquêtes, environ 10 % des écoliers et collégiens en sont victimes. Le premier pas pour lutter contre ce fléau est d'en parler et de briser la loi du silence.
Journée nationale « Non au harcèlement » et au cyberharcèlement
C'est dans cette optique qu'a été lancé l'année dernière la journée nationale « Non au harcèlement ». Aujourd'hui, il s'agit donc de la deuxième édition, spécifiquement centrée autour du cyberharcèlement. En effet, « le harcèlement peut aussi débuter mais surtout se prolonger sur un téléphone portable, une tablette, un ordinateur, par des centaines de SMS, des vidéos, des photos, des commentaires injurieux sur les réseaux sociaux, sur les forums ou sur les jeux en ligne » explique la ministre Najat Vallaud-Belkacem.
Ce genre d'attaque peuvent prendre de nombreuses formes, explique l'Éducation nationale (liste non exhaustive) :
- intimidations, insultes, moqueries ou menaces en ligne
- propagation de rumeurs
- piratage de comptes et usurpation d’identité
- création d’un sujet de discussion, d’un groupe ou d’une page sur un réseau social à l’encontre d’une personne
- publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en mauvaise posture
- sexting, qui est la contraction de « sex » et « texting »
Pour cette seconde journée d'action, le ministère s'est associé avec la communauté Rose Carpet, pour mettre en ligne une vidéo de sensibilisation.
Le message est clair : le cyberharcèlement ne s'arrête pas aux portes de la maison, il n'offre aucun répit et il n'a pas d'heure avec les réseaux sociaux. La vidéo met l'accent sur un message en particulier : « liker, c'est déjà harceler », une manière de rappeler que mettre un « j'aime » sur un commentaire déplacé peut enfoncer encore un peu plus une personne dans sa solitude.
Sensibiliser, prévenir, former et prendre en charge
Parler de ce sujet permet visiblement de faire bouger les choses puisque, selon le ministère de l'Éducation nationale, « pour la première fois en France, le harcèlement à l’école diminue ». Il reste néanmoins encore beaucoup de travail, tant le harcèlement et le cyberharcèlement « continuent de faire souffrir des centaines de milliers d’enfants et de jeunes ».
Cela prend parfois des tournures tragiques avec le suicide des victimes. C'est notamment l'histoire de Marion, 13 ans pour toujours, un livre (également adapté en téléfilm) où la mère de la jeune fille explique le harcèlement scolaire dont a été victime Marion, qui s'est pendue dans sa chambre.
Afin de continuer à faire avancer les choses, le ministère met en avant quatre axes de développement : sensibiliser avec la journée nationale et un site Internet, prévenir avec des outils et un guide, former les enseignants et son personnel, et enfin prendre en charge les enfants et les familles.
❗️📞 Les numéros d'urgence en cas de #harcèlement. #HarcelementScolaire #NonAuHarcèlement #Cyberharcelement #AmbassadeursLycéens pic.twitter.com/7mp9Kbvv5U
— CAVL Versailles (@CAVL_Versailles) 3 novembre 2016
Que faire si on est victime ou témoin de harcèlement ?
Pour cela, le numéro vert (donc gratuit) dédié « 30 20 » dispose désormais d'horaires élargis allant de 9 h à 20 h en semaine et de 9 à 18 h le samedi. Les victimes ainsi que les témoins peuvent appeler pour signaler un harcèlement ou simplement demander de l'aide.
- Accéder au site Non au harcèlement du ministère de l'Éducation nationale
- Télécharger le guide de prévention des cyberviolences en milieu scolaire
Plus axé sur les problèmes liés aux usages numériques (et donc à Internet), il y a également le numéro vert 0800 200 000 ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 18 h. Vous pouvez ainsi entrer en contact avec des professionnels qui seront à votre écoute, qui pourront vous informer et vous conseiller. Un site est également disponible, à partir duquel vous pouvez lancer une conversation via chat, Facebook Messenger, email ou tout simplement en étant rappelé.
Dans tous les cas, il faut en parler, sans attendre que la situation dégénère. Et la victime n'est pas la seule à pouvoir le faire, toute personne témoin d'un (cyber)harcèlement peut prendre contact avec des professionnels afin de signaler la situation. Lutter contre toutes les formes de harcèlement est un combat de chacun !
Aujourd’hui, c’est la journée nationale contre le harcèlement et le cyberharcèlement
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Journée nationale « Non au harcèlement » et au cyberharcèlement
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Sensibiliser, prévenir, former et prendre en charge
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Que faire si on est victime ou témoin de harcèlement ?
Commentaires (51)
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Abonnez-vousLe 03/11/2016 à 18h05
Le 03/11/2016 à 20h36
Le 03/11/2016 à 22h10
Je dis pas pour le harcèlement IRL mais,
“si il y a du cyberharcèlement en primaire, c’est autrement plus grave”
Un mineur sur un réseaux social (ou le web) na rien a y foutre sans ses parents/accompagnent.
Le cyberharcelement na rien de grave, il n’est que fictif.
Un exemple:
Disons que tu vient de m’insulter de négro.
Que vais-je faire ?:
A: me suicider.
B: appeler tout les sjw de la terre pour te harceler.
C: Répondre avec un commentaire insultant.
D: j’ignore et je continue de lire les autres com.
Il est évident qui si tu a quelqu’un a reçu un peut d’éducation de la part de ses parents, qu’il va tout simplement ignorer quelque chose qui n’a aucun sens.
Pourquoi cela n’a -t-il aucun sens ?
Divers raisons:
-Il y a peut de chance que tu me disent cela en face IRL.
-Qui te dis que je suis noir ?
-Est-tu un troll ?
En tant qu’ancien de 4chan si j’ai bien appris quelque chose c’est qu’un commentaire qui te cible directement sur le web n’a aucune valeur.
On ne peut pas savoir les réels motivations d’une personne qui dis de la merde sur le web.
Voila pourquoi sur le web il faut rester anonyme.
Ne pas l’être c’est demander d’avoir des conflits.
Mais bon vue que le cyberharcélement dont on parle c’est avant tout des gens qui foute leur infos sur le web.
Il n’y a pas dix milles solution pour ça, soit:
-tu arrête de faire des conneries (car oui il y a des gens qui crie au harcèlement alors que ce sont eux qui on chercher la merde)
-tu arrêtes les réseaux sociaux non-anonyme.
Internet n’a qu’une seule frontière/barrières lorsque l’on est anonyme.
Celle de la langue.
“mais un lycéen qui en harcèle d’autres je pense qu’il est suffisamment âgé pour avoir conscience de ses actes.”
“ est suffisamment âgé pour avoir conscience de ses actes.”
non, ils n’en sont pas conscient pour une bonne partie et si ils disent oui, c’est surtout pour avoir bonne conscience et non pas par ce que ils ont compris ce que cela implique.
Si il y a un livre qui devrais être fournie aux prof et aux lycéen c’est “Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)”
“je ne vois pas en quoi elle est gnangnan ou moralisatrice, loin de là.”
Le soucis dans tout cela ce n’est pas que l’on en parle, c’est comment on va résoudre le problème.
Les solutions donner par le gouvernement ne résoudra rien.
Voir pire les politiciens vont sen mêler (c’est déjà fais) et vont pondre des lois qui vont au final faire de la censure (c’est déjà fais).
Et le faite de faire cela ne fera qu’amplifier le problème.
edit:typo
Le 03/11/2016 à 22h33
Tu te rend compte que tu réponds a quelque chose que tu a toi même identifier comme inconnue ?
Wikipediaet aussi ce livre
“si tu étais pas facilement caché derriere un pseudo”
De plus tu menace quelqu’un (car oui)
“je viendrais bien te dire ma façon de penser ! amicalement hein voyons, on se donne rdv dans un parking vers minuit ?”
C’est des menaces.
Juste a cause cela tu peut légalement perdre ton anonymat et être poursuivie légalement (bon ils faut dire que de nos jour ils faut plus grand choses).
Cela ne sert a rien, tu viens de gaspiller ton temps a répondre a ce qui est sûrement un petit troll ou juste une personne qui a voulu faire de l’humour (noir je l’accord, mais de l’humour tout de même).
Toi même tu est anonyme de mon point de vue, tout comme je le suis pour toi et d’ailleurs je préfère que tu reste anonyme.
Laisse dire les gens, laisse les parler mêmes si cela de dégoutte ou mieux réponds avec des arguments.
Pourquoi ?
La seul chose sur internet qui nativement nous sépare/différencie c’est la langue, tout autre obstacles entre toi et ton interlocuteurs, c’est toi et ton interlocuteur qui les fabriquent/ajoute.
Tu ne ferra jamais changer d’avis une personnes via la force et si c’est le cas cela ne va pas tenir longtemps.
je t’invite a te renseigner pour pouvoir mieux communiquer sur le web:
“Les mots sont des fenêtres, ou bien ils sont des murs” de Marshall Rosenberg
edit:typo
Le 04/11/2016 à 08h18
Contre le harcèlement, un bon bourre pif … une seule prise suffit ! 
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Le 04/11/2016 à 09h46
Ca marche aussi pour les divergeances d’opinion. C’est une des premières choses qu’on apprend à l’école.
Le 04/11/2016 à 09h47
J’ai pas tout lu, mais l’essentiel est dégagé :
Faut mettre les gosses sur 4chan pour leur apprendre le web un peu
Le 04/11/2016 à 14h13
Le 04/11/2016 à 15h17
La towel day, mon avatar oblige.
Le 04/11/2016 à 16h53
c’est comme pour le fisc “dernier avertissement” après on est tranquille
Le 07/11/2016 à 03h08
Personnellement, je suis content de m’être débarrassé de mon portable !… ( Quant aux SMS, je n’y réponds jamais !…) Sur mon PC, quand on me cherche sur un blog, on me trouve !… ( Mais c’est ennuyeux, je m’en fais ([ parfois …] virer après, ce que je déplore pour le webmestre : je n’ai pas le vocabulaire du capitaine Haddock …) Bref, je ne suis pas une cible pour un harcèlement , y compris sur mes propres messageries : le fâcheux se retrouve dans le fichier “indésirables”, et voilà tout !… Comme à la Communale, je ne me laissais pas faire aux récréations , là où les “dominants” ( stupides) veulent imposer leur “Loi” !… C’est le même phénomène : la lutte contre les tyranneaux de basse-cour et leur raison du plus fort est éternelle et elle a accouché ( notamment ) de la Démocratie et des Droits de l’Homme !… Alors, on continue , avec les moyens du bord et la sensibilité de chacun !….
Le 08/11/2016 à 08h07
Le 08/11/2016 à 08h53
Le 03/11/2016 à 15h07
Ceci était un communiqué du gouvernement.
Marre de ces journées à thème, bien pensantes et moralisatrices.
Le 03/11/2016 à 15h08
Bah ça reste un vrai problème
Le 03/11/2016 à 15h10
Le 03/11/2016 à 15h11
En fait vous avez raison tous les 2, c’est un vrai problème et c’est bien d’en parler mais un moment faut arrêter avec les “journées nationales de”, tous les jours y’a un truc moralisateur gnangnan comme il le décrit, on en parle et hop oublié on passe au sujet suivant rapidement ….
Bref d’accord sur le fond, mais la forme est clairement à c
Le 03/11/2016 à 15h14
Le 03/11/2016 à 15h15
J’arrive pas à me décider si j’approuve ou pas
Bon ça vient du gouvernement, disons que c’est nul, je peux pas me tromper
Le 03/11/2016 à 15h18
Heureusement ça ne dure qu’une journée, le reste de l’année on peut harceler tranquillement.
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Quand le Ministère de l’Éducation daignera définir un programme d’enseignement des bonnes pratiques sur internet (étendue de diffusion des données personnelles, risques liés aux réseaux sociaux, usurpation d’identité, …) on aura déjà avancé un peu.
Malheureusement tout le budget des 10 prochaines années est dédié à l’achat de tablettes (aussi appelées outils facilitant le harcèlement).
Le 03/11/2016 à 15h21
En faire une “journée de” ça dédouane des responsabilités, ça fait croire qu’on agit.
En douce, on supprime tout ce qui permet de lutter _activement_ contre le harcèlement (suppressions de poste d’éducateurs, de surveillants, d’infirmières d’école, fermeture des plannings familiaux, diminution des budgets,…).
Et à côté on fait dela comm’, pour que l’Etat puisse dire qu’il s’est “saisi du sujet”, que c’est une “préoccupation majeure”, que “tous les moyens sont mis en oeuvre pour lutter contre ce fléau moderne”. Puis le-la ministre ira se faire photographier auprès qu’un jeune qui s’est fait harceler (ainsi on résumera sa vie à “ça”, idéal pour s’en sortir), et hop le tour est joué, byebye à l’année prochaine (ou pas puisque ça sera un-e autre ministre).
C’est comme la journée annuelle (enfin, les 5mn) où il faut éteindre sa tv, la Tour Eiffel, son pace maker, pour dire qu’on pense à la planète. Et une fois que c’est passé, on a montré qu’on était des bons “éco-citoyens”,on peut recommencer à consommer comme des porcs, la conscience tranquille.
Le 03/11/2016 à 15h25
Le mieux serait quand même de former les profs de collège et de lycée (si il y a du cyberharcèlement en primaire, c’est autrement plus grave) à mettre en garde les élèves au cours d’ateliers, pendant des cours d’éducation civique… Même si les parents jouent également un rôle essentiel et c’est une autre question (une grande partie des parents ne sont pas “formés”).
Les générations suivantes seront je l’espère mieux préparées face à ça puisque les futurs parents auront grandi avec ces risques.
Mais il faut surtout prendre des vraies mesures, en primaire et à la grosse limite au collège je veux bien, mais un lycéen qui en harcèle d’autres je pense qu’il est suffisamment âgé pour avoir conscience de ses actes.
Reste que cette journée nationale est une bonne idée (à défaut d’être efficace à mon humble avis) et je ne vois pas en quoi elle est gnangnan ou moralisatrice, loin de là.
Le 03/11/2016 à 16h11
Le 03/11/2016 à 16h12
Le 03/11/2016 à 16h17
Pourtant cette année, ça a l’air d’être aujourd’hui, même si l’an dernier, c’était bien le 5 novembre.
Peut-être que c’est le premier jeudi de novembre ?
On verra l’an prochain si c’est le 2 novembre.
De toute façon, la seule journée que je reconnais est le 25 mai.
Le 03/11/2016 à 16h20
Déjà qu’ils se font harcelé, si ils subissent des sévices sexuelles en plus, ils vont pas tenir le coup les bambins 
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Le 03/11/2016 à 16h24
Humm comment te dire, c’est que aujourd’hui je me laisse plus trop faire et que si tu étais pas facilement caché derriere un pseudo je viendrais bien te dire ma facon de penser ! amicalement hein voyons, on se donne rdv dans un parking vers minuit ?
Le 03/11/2016 à 16h28
Le 03/11/2016 à 16h29
Le 03/11/2016 à 16h32
Ha ouais balèze quand même, pour justifier ta blague pourrie tu mets une hiérarchie dans le harcelement, pas mal, pas mal
Le 03/11/2016 à 16h34
Je ne mets pas de hiérarchie, j’explique juste pourquoi je me permets de plaisanter là-dessus.
Je peux aussi plaisanter sur les petits gros, les geeks etc.
Mais si je t’ai blessé, ben désolé.
Le 03/11/2016 à 16h40
Bon je m’occupe de la VOD si t’as besoins d’aide
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Le 03/11/2016 à 16h43
Le 03/11/2016 à 17h01
Non mais désolé moi aussi je me suis emporté un peu (beaucoup)
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Le 03/11/2016 à 17h41
La journée des nihilistes misanthropes c’est quand ?
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Parce-que j’ai tendance a me faire chier quand les gens sont gentils et s’entraident…
On pense jamais à nous…
Le 03/11/2016 à 17h48
On a le droit à un soutien psy quand c’est l’URSSAF, le RSI, les impôts, la MDA, et la galaxie de harceleurs qui tourne autour ?
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Parce qu’ils rentrent facile dans au moins deux des points cités dans l’article.
Le 03/11/2016 à 15h27
Et la policière niçoise qui a refusé de truander… ah non, quand c’est valls ce n’est pas du harcèlement…
Le 03/11/2016 à 15h27
Le 03/11/2016 à 15h29
Le 03/11/2016 à 15h33
Arf, en lisant le titre, j’ai cru que Nanard renonçait à TES et autres instruments destinés à lutter contre le peuple
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Le 03/11/2016 à 15h35
Pourtant Sophie le saint à dit ce matin que c’était la journée de la gentillesse.
Le 03/11/2016 à 15h36
C’est pas aussi la journée de la gentillesse ?
Wikipedia
Le 03/11/2016 à 15h38
Le 03/11/2016 à 15h39
Le 03/11/2016 à 15h43
Pfiiiouuuu, l’affaire Raptor Dissident a un impact national, dis donc !
Le 03/11/2016 à 15h48
Obligé.
Le 03/11/2016 à 15h57
Le 03/11/2016 à 16h02
Excuse moi mais je sais ce que ca fait, au collège je me suis fait harcelé, craché dessus et tabassé, ma 4eme et ma 3eme ont semblé durer une éternité …. et je me dis que j’ai eu de la chance, car à l’époque c’était encore très rare d’avoir Internet. J’ai pas eu à subir les “réseaux sociaux”
Et désolé mais encore une fois je suis d’accord sur le FOND ( faut bien lire ), mais la FORME, “une journée nationale de” me fait plus penser à une promo marketing qu’à une véritable action sur le long terme …
De mon expérience j’ai retenu qu’aussi bien les sanctions que le dialogue sont insuffisants :
* les sanctions sont souvent trop faibles contre les harceleurs ( je parle pas de mettre de la prison, ou même une amende, mais m rien que les obliger à s’excuser et à faire des TIG ca m’aurait fait du bien … )
* Le dialogue : juste convoquer les harceleurs, tenter de comprendre pourquoi untel a fait de l’autre son souffre douleur, lui faire comprendre …
Mais bon je n’attends plus rien d’une société qui a décidé d’ériger en modèle la loi du plus fort ( koh-lanta est un exemple), de la compétition ( meilleur pâtissier, boulanger, … ) et de la crétinerie ( TPMP, les ch’tis, les marseillais, … ) … Je dis pas que ce sont les CAUSES du harcèlement, ca existe depuis longtemps, mais ca le renforce …
Le 03/11/2016 à 16h02
Le 03/11/2016 à 16h07
Le 03/11/2016 à 16h08
Je pense que plus que du marketing le but de ces journée c’est principalement de pouvoir toucher un plus large publique de manière ponctuel sur certains sujet important (NextInpact par exemple n’a pas vocation a parler de ces sujets régulièrement). Ca coûte pas grand chose et ça peut toujours aider. Par exemple savoir que tu peux téléphoner a quelqu’un sachant qu’en général quand tu es plus jeune tu n’oseras peut être pas en parler a des proches ou aux profs. Je ne connais pas comment est la prise en charge ensuite mais ça reste une bonne initiative et c’est toujours important d’en parler.