Altice : séparation en vue entre les activités européennes et américaines
Separately has no limits
Le 09 janvier 2018 à 16h50
7 min
Économie
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Altice a annoncé ce matin une réorganisation complète de sa structure capitalistique. Altice NV et Altice USA deviendront à terme deux structures indépendantes l'une de l'autre, mais toujours contrôlées d'une main de fer par Patrick Drahi.
Altice annonce une nouvelle « réorganisation » de son empire. L'objectif poursuivi par cette manœuvre est d'isoler davantage le silo regroupant les activités américaines (Suddenlink et Optimum) des aléas rencontrés par la branche européenne, notamment par SFR.
SFR voit rouge
Il faut dire que la marque au carré rouge a accumulé les couacs ces derniers temps. Entre des effectifs démoralisés, passés de 15 000 à un objectif de 9 000 personnes d'ici 2019, la « démission » de plusieurs cadres dont Michel Combes, parti se refaire une santé du côté de chez Sprint, rien ne va plus sur le plan de l'emploi.
Les clients sont eux aussi sur le départ, sur les 12 derniers mois, SFR a perdu 186 000 clients sur le marché fixe grand public, laissant la deuxième place à son rival Free. Sur le mobile, on note un léger rebond (+ 75 000 clients sur un an), qui fait suite à un plongeon qui a vu leur nombre passer de 22,9 millions fin 2014 à 20,1 millions fin 2016.
Pendant ce temps, le pari de la convergence avec les médias peine à porter ses fruits. L'intégration de chaînes sportives dans les offres de l'opérateur au carré rouge n'étant pas parvenu à faire revenir les abonnés partis chez la concurrence, ni à en dissuader d'autres de le faire. Celle de SFR Presse n'a pas suffi non plus à canaliser l'hémorragie de clients. Mais surtout, de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er juin prochain pour encadrer les « remises de couplage » dont l'intérêt pour les opérateurs est d'amincir le taux de TVA moyen sur leurs offres.
Sur les marchés, c'est l'endettement global d'Altice qui inquiète, même si, grâce aux résultats enregistrés aux États-Unis, l'effet de levier est moins important aujourd'hui qu'il y a deux ans. L'entreprise a pour rappel emprunté plus de 50 milliards d'euros, ce qui lui coûte, rien qu'en intérêts, plusieurs milliards d'euros par an.
Méthode Coué
Malgré ces faits peu reluisants, Patrick Drahi a réaffirmé en novembre dernier que les problèmes de SFR seront bientôt de l'histoire ancienne, à condition que l'entreprise s'en tienne à son plan « qui reste le même ». Selon lui, « en France, le problème principal c'était le management. Ce n'était pas du tout un problème de concurrence », une petite phrase prononcée peu après les débarquements de Michel Combes et Michel Paulin.
Depuis, le cours de l'action Altice NV a joué aux montagnes russes, passant de 16 euros début novembre 2017, à 6,63 euros un mois plus tard et 10,34 euros aujourd'hui, après avoir regagné 9 % lors de la séance du jour. Un montant très éloigné des 28 euros annoncés lors de son introduction en août 2015. Il devenait donc urgent de rassurer davantage les investisseurs.
Protéger les actifs américains, une priorité
Si l'on regarde dans le détail les résultats d'Altice au troisième trimestre 2017, on s'aperçoit que sa marge d'EBITDA augmente rapidement aux États-Unis, et atteint désormais 45 %. Un score plus qu'honorable, contre seulement 36,6 % en France, bien en dessous de la moyenne de 41 % observée à l'échelle de l'ensemble du groupe. Pire encore, en France, cette marge tend à se réduire progressivement, et ce ne sont pas les 370 millions d'euros investis chaque année à partir de 2018 pour la diffusion des matchs de Ligue des Champions et d'Europa League sur SFR Sport qui vont améliorer le bilan.
Altice a donc décidé d'isoler davantage sa branche américaine du reste du groupe, afin de la préserver autant que possible des remous provoqués par SFR au niveau de la branche européenne. Actuellement, une holding baptisée Altice NV détient 70,3 % d'Altice USA, qui chapeaute les activités américaines et possède 100 % d'Optimum et Suddenlink. Altice NV possède également Altice Luxembourg SA, qui regroupe 100 % de SFR et 100 % de Altice International formée par MEO (Portugal), Hot (Israël) et ses activités en République dominicaine. Enfin, Altice NV a enfin également le contrôle exclusif d'Altice Corporate Financing.
Apercçu de la structure actuelle d'Altice
La nouvelle organisation sera quelque peu différente. Les actionnaires d'Altice NV recevront tous des actions d'Altice USA (0,4163 action Altice USA pour chaque action Altice NV) qui vivra désormais sa vie comme une entreprise indépendante d'Altice NV. Cette dernière se concentrera uniquement sur les activités européennes, et sera fort logiquement rebaptisée Altice Europe.
Concrètement, les actionnaires d'Altice, Patrick Drahi en tête, remplaceront Altice NV/Europe au capital d'Altice USA. Patrick Drahi devient ainsi le seul dénominateur commun entre les deux sociétés, en restant leur actionnaire de référence. Ainsi, si les activités européennes vont mal, c'est le cours d'Altice Europe qui souffrira, laissant tranquille celui d'Altice USA, alors que jusqu'ici, les destins boursiers des deux branches étaient intimement liés.
Des médias en ordre dispersé
Côté européen, la répartition des actifs existants suivra une nouvelle logique. On retrouvera trois silos distincts, Altice France, Altice International et Altice Pay TV.
Le premier renfermera les activités liées exclusivement à la France, à savoir SFR Telecom, SFR Media (ce qui inclut NextRadioTV et les organes de presse d'Altice), les activités en outre-mer, Altice Technical Services France, et les centres d'appel d'Intelcia.
Altice International chapeautera de son côté MEO au Portugal, HOT en Israël, Altice Dominican Republic, la régie publicitaire Teads (acquise en mars 2017 pour 285 millions d'euros) et Altice Technical Services Europe.
Altice Pay TV, nouvellement fondée, aura enfin pour rôle de gérer les contenus « premium » du groupe, notamment les droits sportifs (Ligue des Champions, Premiere League, Liga NOS...) ainsi que certaines chaînes comme NBC Universal et Discovery.
Vous reprendrez bien un peu de dette ?
Avant d'opérer cette scission, programmée pour le deuxième trimestre 2018, le temps d'obtenir les feux verts nécessaires, Patrick Drahi entend bien faire remonter un peu de cash de ses filiales les plus florissantes vers Altice NV. Ainsi, Altice USA versera un dividende exceptionnel de 1,5 milliard de dollars, financé en piochant dans une ligne de crédit existante chez Optimum, qui souscrira également à un nouvel emprunt.
Altice NV récoltera 900 millions d'euros dans cette opération, dont 625 millions seront utilisés pour rembourser une partie des dettes d'Altice Corporate Financing, le reste sera versé à la trésorerie.
SFR veut rassurer ses troupes
Dans un message adressé à leurs employés (que nous avons pu consulter), Armando Pereira et Alain Weill, respectivement directeur général opérationnel et PDG de SFR, ont tenu à minimiser l'importance de tous ces changements. « En séparant Altice USA de l'organisation Altice NV, nous clarifions et simplifions l’organisation, ce qui nous permettra de mieux nous concentrer sur chacun de nos marchés et ainsi capitaliser sur la dynamique amorcée, pays par pays. [...] Elle ne change rien ni à notre stratégie ni à notre activité quotidienne en France », soulignent-ils.
Les dirigeants en profitent également pour rappeler en quoi consiste leur « chemin de la croissance » :
- Améliorer la performance sur le marché français avec une attention particulière aux services et la qualité de l’expérience client.
- Continuer d'investir massivement dans les infrastructures.
- Opérer le redressement opérationnel et financier de SFR sous la direction de la nouvelle équipe dirigeante.
- Monétiser les investissements dans les contenus et en déployant le modèle de Pay TV.
- Augmenter les revenus publicitaires.
Si les quatre premiers éléments ont déjà été martelés par le passé par SFR, le dernier lui fait sans doute écho à l'acquisition de Teads, et des synergies qui pourront en ruisseler, mais aussi certainement aux revenus publicitaires de SFR Media.
Altice : séparation en vue entre les activités européennes et américaines
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SFR voit rouge
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Protéger les actifs américains, une priorité
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SFR veut rassurer ses troupes
Commentaires (28)
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Abonnez-vousLe 09/01/2018 à 21h14
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Le 09/01/2018 à 21h47
Altice est manifestement en train d’organiser sa faillite en isolant sa dette sur le groupe sacrifié.
Se scinder en deux de la sorte tend à montrer que la situation est suffisamment mauvaise pour plomber l’activité Américaine (impossible de clôturer de gros contrat).
Cela dit je n’ai aucun doute quand à savoir qui renflouera les caisses des banques préteuses une fois la faillite prononcée : nous.
Le plus drôle dans l’histoire est que monsieur Drahi n’y engagera pas un seul centime de sa fortune personnelle. Au contraire, en tant qu’actionnaire majoritaire, il use des emprunts souscris par son entreprise pour se verser des dividendes.
Le 09/01/2018 à 21h48
Pourrais-tu nous donner plus de précision quant à la viabilité du plan de Drahi et sur quels critères tu te bases pour dire qu’il est cohérent.
Car oui, au final, si M Drahi vire tout le monde (sauf lui) cela reste cohérent (selon lui) mais ce sera encore à la société d’absorber la socialisation de ses pertes.
Le 09/01/2018 à 22h17
C’est cohérent dans le sens où Altice s’apprête à se séparer de plusieurs filiales pour rembourser sa dette, c’est cohérent aussi de séparer les activités US des activités européennes dans le sens où la rentabilité US sera plus visible des investisseurs.
Et toi, peux-tu expliquer en quoi consiste la socialisation des pertes ? Si SFR faisait faillite (ce qui reste peu probable puisqu’elle serait plus sûrement rachetée par un concurrent avant qu’une procédure collective/dépôt de bilan soit enclenchée), les actifs seraient vendus tels quels et seuls les actionnaires auraient perdu leur investissement (les actions qu’ils ont acheté visiblement trop cher dans pareil cas).
Je me demande bien pourquoi l’État viendrait payer les pertes de SFR. Des précisions seraient bienvenues.
Le 09/01/2018 à 22h21
Ça arrive fréquemment de scinder les sociétés :HP services et HP hardware, eBay avec PayPal… Ça permet surtout de gagner plus d’argent. Il me semble qu’il a quand même perdu 10 milliards en une semaine. Surtout que la division américaine est la plus rentable,100€ en moyenne l’abonnement câble contre 20€ en France.
Le 09/01/2018 à 22h44
En général, l’Etat invoque des questions stratégiques (ex STX).
Tu peux consulter cette page qui te fournira des chiffres sur les plans sociaux censés “préserver l’emploi”.
WikipediaJe ne nie pas que dans certains cas, ces fermetures sont la conséquence des évolutions du marché.
mais il ya dedans quelques belles perles, où le fleuron de l’industrie française, qualifié autrefois de bijou de famille, a été pour le moins bradé pour finir comem des coquilles vides sous formes d’actions.
Tous ces plans ont été, pour tout ou partie, indirectement ou directement, supportés par l’Etat.
C’est cela la socialisation des pertes.
Le 09/01/2018 à 22h46
Je n’aime pas spécialement P Drahi, mais dire qu’il n’a rien à perdre quand on sait que sa holding personnelle détient 60% d’Altice (plusieurs milliards d’euros) et que sa valeur a chuté en quelques mois, P Drahi doit plutôt se faire quelques frayeurs. Mais c’est sûr qu’il ne risque pas vraiment de se trouver au RSA avec cette histoire.
Concernant les banques propriétaires de la dette d’Altice, sauf à ce que Altice soit suffisamment grosse pour faire chuter plusieurs banques d’affaires (ce qui n’est pas le cas), je ne vois pas pourquoi l’État viendrait renflouer ces banques.
Le 09/01/2018 à 23h55
Le 10/01/2018 à 00h11
Les banques aiment ce genre de personnage dépensier et exponentiel, tant qu’il ne fait pas banqueroute.
On appelle ça comme on veut (cavalerie, ponzi, loup de wall street, …), mais quand l’ambition à chaque étape est d’élargir la dette au plus possible, soit on aime payer le plus d’intérêt possible et autorisé, soit on fonce droit dans le mur.
Le cours de l’action rappelle à l’ordre le mossieur là.
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Le 10/01/2018 à 10h39
Je pense que tu fais une confusion entre les bénéfices/report à nouveau et la trésorerie. Le bénéfice exceptionnel en question est probablement pris sur les reports à nouveau (en général on ne verse pas tous les bénéfices en dividendes, on en met aussi de côté en report à nouveau pour ce genre de circonstance).
Par contre, la trésorerie pour verser le dividende en question n’étant pas disponible, l’entreprise emprunte pour le financer. Mais ce n’est pas l’emprunt qui crée le dividende. De mémoire, en matière comptable un emprunt ne fait pas monter le bénéfice de l’exercice.
Le 10/01/2018 à 12h03
On est d’accord l’emprunt augmente la dette de la société pour augmenté la trésorerie afin de pouvoir réaliser un INVESTISSEMENT.
normalement, Lors de l’assemblée annuelle des actionnaires/sociétaires il est décidé de ce qui sera fait du résultat de l’entreprise (perte ou bénéfice) cette perte ou ce bénéfice sera affecté dans le compte report à nouveau si il est décidé de ne pas versé de dividende. En parallèle de ça, si on considère qu’il s’agit d’un bénéfice, cette somme devra être visible dans un des compte financiers (banque) ou à défaut en créance.
Voilà. Voilà
Le 10/01/2018 à 12h47
Cohérence industrielle, réseaux.
Le 10/01/2018 à 13h24
Le 10/01/2018 à 14h32
Le 10/01/2018 à 18h25
Miser sur une technologie désuète (le câble) en tentant de le faire passer pour de la fibre.
Ce serait bien que tu fasses un peu plus d’effort si tu veux troller " />
Le 10/01/2018 à 21h26
La seul cohérence de la finance est qu’elle mène à chaque fois à une crise voir à un chaos.
Le 11/01/2018 à 08h19
Le 11/01/2018 à 08h49
On peut “remercier” l’acteur-syndicaliste-président R.Reagan et la chimiste-avocate-1erministre M.Tatcher pour avoir laissé le pouvoir monétaire aux banques (théorie néo-libérale) qui serait plutôt un pouvoir régalien (ÀMHA).
Le 11/01/2018 à 21h56
Tu peux ajouter M Giscard D’Estaing, ex-Ministre des Finances qui a signé la mort de l’indépendance monétaire de la France en l’obligeant de se financer sur les marchés financiers.
Dette en 2017= 2150 milliard € dont intérêt payés sur les marchés = 1400 milliard d’euros.
Ce n’est pas le facteur ou l’infirmière qui coûte vraiment cher à la France..
Le 09/01/2018 à 17h16
D’après l’excellente enquête de lesjours.fr drahi s’est engagé à garder 10k employés et non 9. Mais le plan de départ était avantageux et l’ambiance tellement pourrie que les effectifs seraient actuellement de 9400.
Sinon j’espère que la scission se fera pas, c’est juste une manière de pas tout perdre lorsqu’altice europe va couler. Sait-on qu’elles sont les feux verts en attente ?
A noter qu’étrangement malgré la fraude fiscale, l’usage exagéré de rachat par LBO, la dette immense, l’action qui chute, le plan de départ, les délocalisations des centres d’appels, … on entend étrangement pas le gouvernement. Mais bon 8k emplois (SFR étant passé de 17500 emploi en france à 9600) ca doit pas être beaucoup pour eux.
Le 09/01/2018 à 17h41
SFR porte la poisse quand même, entre vivendi, maintenant altice, qui sera le suivant ?
Parce que ça sent quand même la chute pour Altice Europe. J’en connais un qui va faire des trajet Tel Aviv New-York sans escale en France…
Le 09/01/2018 à 17h42
”[…] . Ainsi, Altice USA versera un dividende exceptionnel de 1,5 milliard de dollars, financé en piochant dans une ligne de crédit existante chez Optimum, qui souscrira également à un nouvel emprunt. […]”
Pour moi cette pratique devrait être interdite la rémunération lié à la prise de risque (Et oui c’est à ça que normalement le dividende sert) ne devrait être que par le résultat de l’entreprise ou bien par le solde positif du report à nouveau (le bénéfice précédent non utilisé ) et non par une dette supplémentaire supporter par l’entreprise.
Le 09/01/2018 à 17h44
SFR ne porte pas la poisse. Quand elle était correctement manager elle se portait très bien et ses clients en étaient satisfaits.
Mais une vache laitière qu’on traite plus que de raison à la fin ne donne plus de lait.
Le 09/01/2018 à 17h45
J’adore les annonces de restructuration :
Et dans tous les cas, le seul but semble être d’optimiser le cours de bourse.
C’est triste pour SFR et ses employés, mais tout ça commence quand même à ressembler à une énorme débandade…le syndrôme J2M (les grecs appelaient ça l’hybris)?
Le 09/01/2018 à 17h51
edit : SFR étant passé de 17500 emploi en france à 9400
Le 09/01/2018 à 18h03
SFR n’a pas eu besoin de Drahi pour se casser la gueule. Avant le rachat, le réseau était en carton, ils n’investissaient pas dans la 4G. Drahi ou pas, la chute était derrière la porte.
Je lui souhaite quand même de réussir son pari, car je pense son plan cohérent.
Le 09/01/2018 à 19h48
Je vais passer en litige avec eux car mes clients ont eu une force de vente et doivent payer un abo business (entre 100 et 200€/mois) sans que rien n’est été installé et inutile en plus. après 6 mois de paiement en attendant une réponse j’ai eu un texto/mail du service résiliation : si vous voulez vous pouvez payer 6000€ et on clos le dossier…
NB : le service résiliation est injoignable, c’est un “mur” de personne trèèèès sympas qui nous préviens qu’ils ont transmis l’appel. On ne peut pas les avoir directement et ils enverront un Email quand ils pourront.
Je suis toujours rester calme et poli, comment faire pour dénoncer ce genre d’arnaque. Là il n’y a vraiment pas d’autre mot et ça me fait bizarre car je lis ce genre de commentaire, je ne l’écris pas d’habitude :(
C’est ça l’offre business quand on a eu une force de vente ? un litige ? ça donne envi…
Bon j’ai vendu SFR à tous mes proches et clients pendant 10 ans mais maintenant avec le câble appelé fibre et ça, fuyons le navire ^^!
Le 09/01/2018 à 20h52
DGCCRF