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Big Data sécuritaire à Marseille : ni autorisation ni déclaration à la CNIL

Canebière pression

Big Data sécuritaire à Marseille : ni autorisation ni déclaration à la CNIL

Le 27 mars 2018 à 12h10

Le projet de « Big Data pour la tranquillité publique » à Marseille repose sur un système sécuritaire agrégeant une masse de données pour tenter d’anticiper les faits troublant la paix phocéenne. La CNIL a cependant décidé de se rapprocher de la municipalité.

La semaine dernière, plusieurs organisations, dont la Quadrature du Net, organisaient une rencontre à Marseille pour dire tout le mal qu’elles pensent de ce chantier mis en œuvre par la ville avec Engie.

Décrite par le cahier des clauses techniques (CCTP) du marché public, on trouve sur la table une infrastructure « de dernière génération » aspirant un grande masse de données : verbalisation, enlèvements de véhicules, images de « vidéo-protection », métadonnées des opérateurs de télécommunication, bruits sur les réseaux sociaux, mais également signalements effectués par chaque citoyen destinés à « fournir en temps réel des informations (texto, vidéo, photo, vitesse de déplacement, niveau de stress, ...) via une application sur smartphone ou des objets connectés », etc. 

Dopée par ces flux, cette Marseille sécurisée rêve de pouvoir « identifier les auteurs d’actes de délinquance via une analyse des réseaux sociaux », comptabiliser le nombre de marchés à la sauvette, « détecter la préparation d’évènements sauvages ou d’actes de délinquances », etc. Du Big Data destiné par exemple à prévenir ces faits, notamment en allouant géographiquement les unités de police nécessaire.

« La CNIL n'est jamais très loin »

Le « macro-planning » du marché public indique qu’entre janvier et avril 2018, la phase sera consacrée à la collecte et au nettoyage des données, avant d’enchaîner dès juillet 2018 sur la « conception et [le] déploiement des outils de restitution ».

big data marseille

Interrogée par le Monde en décembre dernier, Caroline Pozmentier, adjointe au maire, déléguée à la sécurité publique et la prévention de la délinquance, a tenté de rassurer : « Les données seront anonymes, et je suis particulièrement attachée à la protection des données personnelles, Marseille n’a pas à rougir en la matière. Et la CNIL n’est jamais très loin ».

Elle ajoute que « nous travaillons avec la CNIL dans le respect strict du référentiel de recommandations que nous appliquons déjà pour notre système de vidéoprotection ».

Seul hic, la CNIL n’est peut-être jamais loin, mais pas aussi proche que ne le laissent penser ces propos.

Pas de formalité auprès de la CNIL

La commission nous assure ne pas avoir été contactée par la municipalité pour une quelconque déclaration ou demande d’autorisation sur ce projet. Ce n’est en fait qu’ « à la suite d’articles parus dans la presse [que] la commission a pris l’initiative de se rapprocher de la ville ».

Cette prise de contact a eu lieu seulement début février, soit deux mois après les propos sécurisés de l’adjointe au maire. S’agissant du travail collaboratif vanté dans les colonnes du Monde, « la ville de Marseille a envoyé des éléments que la CNIL instruit actuellement ».

Ces fameux « éléments » se concentrent surtout sur le cahier des clauses techniques particulières, qui, attaché au marché, en décrit les modalités. Pas de quoi obstruer l’entrée du Vieux-Port durablement.

Commentaires (27)

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Yss a écrit :



Sauf que, l’application va peut-être permettre d’arrêter quelques coupables, alors qu’une augmentation des moyens humains et donc une présence accrue sur le terrain va diminuer le nombre d’infraction.

C’est comme avec les caméra de “vidéo-protection”, ça ne protège rien, ça permet d’agir après coup. Il n’empêche que la victime, elle a quand même été agressée.



 

La vidéo-surveillance n’a jamais eu la prétention d’empêcher DIRECTEMENT un crime ou un délit.



Par contre quand tu es délinquant et que tu sais que dans tel endroit il n’y a pas de caméra, tu te dis que ton impunité est assuré. Là où les cameras sont réputées être omni-présente, le “malveillant” se dit qu’il a 910 chances d’être condamné si il se fait serrer  trois jours plus tard par la BAC.



Les “malveillants” n’étant pas (tous…) des idiots, c’est donc bien la peur du gendarme qui diminue la statistique de délits ou de crimes opportunistes. Cette logique est évidement caduque pour ceux qui préméditent leur coup et sauront échapper à toute identifications à posteriori.



Ce Big Brother que nous redoutions tant dans les années 90 nous a, peux-être, prémunie d’une explosion des crimes et délits dans certaine partie de nos villes.



Nous avons troqué (en nous forçant la main certes…) le droit à l’anonymat de nos faits et gestes en ville contre une sécurité relative qu’il est difficile à mesurer puisque cette mesure reposerait sur des actes non commis…



Sans la vidéosurveillance, il est possible que notre environnement urbain eut été cloisonnée par de vrais murs d’enceinte entre des endroit hyper sécurisé et des endroits “public” respectant l’anonymat mais où l’impunité régnerait       … à l’image des quartier huppés de certaines grandse villes d’Afrique du Sud ou des Green Zone dans les zone de guerres.



Plus jeune j’ai vivement manifesté contre les velléités de Pasqua à surveiller le domaine publique avec les même outils que dans le domaine privé. Avec le recul, j’accepte ce triste “Contrat Social” ayant l’arrière gout amer du Totalitarisme.


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C’est parce que c’est loin de Paris… vous imaginez pas le temps que ca met une malle-poste pour faire le trajet.

(Petite dedicace à Ernest-Antoine Seilliere)

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le ctOS devient une réalité…

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The Machine.

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Les données seront anonymes mais ca permettra de retrouver les délinquants? Oo

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Ça se passerait à Bayonne, on pourrait croire qu’elle nous prend pour des jambons…

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Ici on nous prend pour des sardines?^^

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latlanh a écrit :



Les données seront anonymes mais ca permettra de retrouver les délinquants? Oo





Ils disent aussi bosser avec la CNIL, sans que cette dernière ne soit au courant, donc bon… (le terme “anonyme” est peut-être une légère exagération, propre au parler de cette région <img data-src=" /> )


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Marseille va créer la machine avec une ia en aspirant toutes les données du coin sans en référer à la CNIL. Big brother boit le pastis sur le vieux port.

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Par contre les plus grands bandits de la ville, eux, ne risquent rien dans leurs sièges de velours…

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Minority Report en action :-/

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en tout cas, c’est une sacrée bouillabaisse, cette histoire…

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Du Big Data destiné par exemple à prévenir ces faits, notamment en allouant géographiquement les unités de police nécessaire.



Un système similaire déjà en test dans une ville américaine. De mémoire, les forces de l’ordre disposent de “heatmap” prédictives, qui leur a fait diminuer le nombre de vol de voiture ou de conflits entre gangs, notamment.

C’est montré dans un épisode de xenius sur les algorithmes (en replay sur arte, captvty est votre ami).

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<img data-src=" /> le sous-titre <img data-src=" />

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momal a écrit :



C’est parce que c’est loin de Paris… vous imaginez pas le temps que ca met une malle-poste pour faire le trajet.

(Petite dedicace à Ernest-Antoine Seilliere)





<img data-src=" /> Ils attendent un Marseille-Paris à Paris pour passer à la CNIL ^^







yope7 a écrit :



le ctOS devient une réalité…









tiret a écrit :



Minority Report en action :-/





On en est peut être pas là hein x) pour l’instant c’est un gros merdier en big data qui à pour but de “tenter” d’anticiper des choses. En gros c’est aussi simple que de dire

&nbsp;“si l’eau arrive à 100°C elle commence à s’évaporer”

Alors qu’un CtOs ou un Minority Report te dirais :

“Nous sommes le XXX il est XXhXX le soleil chauffe les parois de la maison de XXkilojoules. L’altitude et la pression sont de XX et XX , hygrométrie, vent, … … .. … et encore un bonne liste de 50 arguments pour te dire que l’eau devrais s’évaporer à partir de XX°C et qu’elle mettra XX minutes, XX secondes à atteindre cette température si elle a un couvercle sinon ……”



Je caricature mais c’est pas encore là, loin de là. En gros si tous les lundis les mecs mettent entre 15 et 20PV dans tel rue entre 7H et 8H mais 2 entre 8 et 9 alors il recommandera d’y aller de 7 à 8. Et si il y as un agent qui se fait agresser régulièrement à 7h50 il recommandera de faire la rue avant 7h45.

C’est pas aussi évolue qu’on veut le faire croire pour le moment.


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C’est normal c’est pas en France.

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Bio Teckna a écrit :



The Machine.





Là, on est en plein dedans effectivement.





tiret a écrit :



Minority Report en action :-/





Heu… c’est plus Person of Interest, c’est un ordi avec une IA qui va le faire, pas 3 pelés dans des bac de flotte.

Ou alors on nous aurait menti…


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Un sans faute, tout ce qui ne devrait jamais se faire en un one shot! Bravo Marseille !



Qui relèvera le défit de faire pire ? J’ai dans l’idée que certaines municipalités FN pourraient le faire mais il faudrait tenir une grande ville, car le budget demandé est important surtout face à des milices privées bénévoles ^^

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me rappelle un peu le pitch de la série APB <img data-src=" />

fr.wikipedia.org Wikipedia:_Alerte_d%27urgence

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Oula mon bon monsieur il ne faudrait pas sous-entendre qu’un tel système est efficace, cela ruinerait la crédibilité des conspiratistes Orwelliens.

Non, non, il faut retirer ça immédiatement comme Reporty, ça nuit à la liberté de voler et tuer, m’voyez.

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En fait ce n’est pas l’efficacité qui est en ligne de mire de la cnil, c’est la protection des données.

Du reste le système dans 1984 est assez efficace.

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“nous travaillons avec la CNIL”

“La commission nous assure ne pas avoir été contactée par la municipalité…”

C’est beau la politique. <img data-src=" />

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Wikus a écrit :



Un système similaire déjà en test dans une ville américaine. De mémoire, les forces de l’ordre disposent de “heatmap” prédictives, qui leur a fait diminuer le nombre de vol de voiture ou de conflits entre gangs, notamment.





J’ai bien rigolé.

Avec des données, un algorithme détermine les quartiers “chauds” (qu’on connait déjà, hein) et le fait que la police patrouille dans ces quartiers diminue les infractions ?

Waouh c’est révolutionnaire !







CUlater a écrit :



Non, non, il faut retirer ça immédiatement comme Reporty, ça nuit à la liberté de voler et tuer, m’voyez.





Cette application est dans le collimateur de la CNIL car elle semble sans base légale, porte atteinte à la vie privée et apparait disproportionnée.



Et comme déjà dit dans les commentaires sur cette application, si quelqu’un à le temps de faire tout son cinéma avec une application, il aura aussi le temps et ce sera probablement plus facile de directement contacter les services d’urgences concernés.



A un moment donné faudrait aussi réfléchir un peu. Quand on veut régler un problème on ne se contente pas de s’attaquer aux symptômes, mais on cherche à identifier les causes et à y apporter des solutions. C’est sûr c’est bien plus compliqué et long que de faire sans cesse dans l’escalade sécuritaire et plus àa ne permet pas de faire de coup d’éclat médiatique en montrant ses gros muscles.



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Yss a écrit :



Et comme déjà dit dans les commentaires sur cette application, si quelqu’un à le temps de faire tout son cinéma avec une application, il aura aussi le temps et ce sera probablement plus facile de directement contacter les services d’urgences concernés.&nbsp;





Ou alors si cette application a été créée, c’est peut-être que la voie classique consistant à contacter les services d’urgence était inefficace?

&nbsp;





Yss a écrit :



A un moment donné faudrait aussi réfléchir un peu. Quand on veut régler un problème on ne se contente pas de s’attaquer aux symptômes, mais on cherche à identifier les causes et à y apporter des solutions.&nbsp;





Why not both? On fait quoi en attendant d’éradiquer la pauvreté et la misère sociale? On continue d’utiliser un système qui ne marche pas?



Peut-être que la CNIL devrait sortir du faubourg saint-germain et aller faire un tour dans les quartiers nord de la cité phocéenne ou celui des Moulins à Nice. Ils se diront peut-être que ce n’est pas si “disproportionné” que ça.

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CUlater a écrit :



Ou alors si cette application a été créée, c’est peut-être que la voie classique consistant à contacter les services d’urgence était inefficace?





Si la voie classique, qui consiste à appeler un numéro d’urgence ne fonctionne pas (et encore ce n’est pas prouvé), je ne voit pas en quoi une application va être plus efficace.

Et puis suffit de regarder qui est à “derrière” de cette idée, pour comprendre que cette application n’est que le fruit d’une escalade sécuritaire (et pas forcément efficace) de notre cher monsieur Estrosi.







CUlater a écrit :



Why not both? On fait quoi en attendant d’éradiquer la pauvreté et la misère sociale? On continue d’utiliser un système qui ne marche pas?



Peut-être que la CNIL devrait sortir du faubourg saint-germain et aller faire un tour dans les quartiers nord de la cité phocéenne ou celui des Moulins à Nice. Ils se diront peut-être que ce n’est pas si “disproportionné” que ça.





Et peut-être que l’Etat devrait mettre les moyens humains pour que les services de police et de gendarmerie puissent être réellement présents et pas simplement fantasmer sur la résolution des problèmes par des technologies qui posent de très sérieuses questions quand au respect de la vie privée.


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Yss a écrit :



Si la voie classique, qui consiste à appeler un numéro d’urgence ne fonctionne pas (et encore ce n’est pas prouvé), je ne voit pas en quoi une application va être plus efficace.&nbsp;





L’application permet de filmer en flag les crimes/délits, au lieu d’attendre le déplacement (quand ils veulent bien) des autorités qui arrivent souvent après la bataille “Bon bah dommage, rappelez la prochaine fois, on mettra toujours 1h à venir, mais peut-être que le coupable nous attendra gentiment, qui sait?”



&nbsp;



Yss a écrit :



Et puis suffit de regarder qui est à “derrière” de cette idée, pour comprendre que cette application n’est que le fruit d’une escalade sécuritaire (et pas forcément efficace) de notre cher monsieur Estrosi.





Que ce soit Oui-Oui ou Hitler derrière cette initiative, je m’en fiche complètement.



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Yss a écrit :



Et peut-être que l’Etat devrait mettre les moyens humains pour que les services de police et de gendarmerie puissent être réellement présents et pas simplement fantasmer sur la résolution des problèmes par des technologies qui posent de très sérieuses questions quand au respect de la vie privée.





Coût de l’application VS Coût des moyens humains.

Application wins. Perfect Victory.

Bienvenue en France.


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CUlater a écrit :



L’application permet de filmer en flag les crimes/délits, au lieu d’attendre le déplacement (quand ils veulent bien) des autorités qui arrivent souvent après la bataille “Bon bah dommage, rappelez la prochaine fois, on mettra toujours 1h à venir, mais peut-être que le coupable nous attendra gentiment, qui sait?”





Ce que tu dis montre en fait soit une mauvaise orientation des moyens humains, soit un manque de moyens humains (voir les deux) et sur ce genre de sujet, ce n’est pas en tentant de remplacer une présence humaine par de la technologie que les choses vont s’améliorer (encore plus quand l’utilisation de la technologie semble aller contre le droit).







CUlater a écrit :



Que ce soit Oui-Oui ou Hitler derrière cette initiative, je m’en fiche complètement.





Tu peux t’en moquer, mais il faut quand même remettre en perspective avec les idées récurrentes de la personne et peut-être en déduire certaines choses.







CUlater a écrit :



Coût de l’application VS Coût des moyens humains.

Application wins. Perfect Victory.

Bienvenue en France.





Sauf que, l’application va peut-être permettre d’arrêter quelques coupables, alors qu’une augmentation des moyens humains et donc une présence accrue sur le terrain va diminuer le nombre d’infraction.

C’est comme avec les caméra de “vidéo-protection”, ça ne protège rien, ça permet d’agir après coup. Il n’empêche que la victime, elle a quand même été agressée.



Après c’est sûr si l’objectif c’est juste la rentabilité financière …


Big Data sécuritaire à Marseille : ni autorisation ni déclaration à la CNIL

  • « La CNIL n'est jamais très loin »

  • Pas de formalité auprès de la CNIL

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