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Travail itinérant : l’iPad Pro M1 face au MacBook M1, que choisir ?

Même puce, usages très différents

Travail itinérant : l’iPad Pro M1 face au MacBook M1, que choisir ?

Le 27 avril 2021 à 07h41

La présentation de l’iPad Pro a montré encore une fois la volonté d’Apple de pousser sa tablette comme une solution viable pour le travail mobile, allant jusqu'à y intégrer un SoC M1. On peut ainsi hésiter entre un tel appareil et un MacBook Air ou Pro. Passons en revue les avantages et inconvénients de chacun.

Avec la puce M1, Apple a signé le début d’un profond renouvellement technique. S’affranchissant d’Intel, les premiers Mac équipés ont marqué par des performances élevées au rapport performances/watt crevant le plafond, permettant à l’autonomie d’atteindre jusqu’à 20 heures sur un MacBook Pro.

La première vague de produit exploitant ce SoC se concentrait sur le Mac mini, le MacBook Air et le MacBook Pro 13 pouces, soit les petites machines et – toutes proportions gardées – l’entrée de gamme. Avec la présentation du nouvel iMac, le M1 franchit une nouvelle étape en s’intégrant dans un ordinateur de bureau.

Le nouvel iMac n’est cependant pas le seul appareil annoncé la semaine dernière avec cette puce : c'est aussi le cas de l’iPad Pro. Outre ce surplus de puissance, il a droit à une évolution de sa dalle – le passage à la technologie maison XDR et aux mini-LED pour la version 12,9 pouces – et l’arrivée de la 5G, même si pour cette dernière les ondes millimétriques restent encore une fois cantonnées aux États-Unis.

Ainsi, l'utilisateur qui se cherche une machine Apple mobile, d'un tarif aux alentours de 1 000 euros, se trouve face à un choix cornélien : une bête de course tactile pensée pour la mobilité (sous iPadOS) contre un ordinateur portable tout aussi puissant mais avec une autonomie à peu près doublée (sous macOS). Que choisir ?

L'usage de l’appareil déterminera évidemment la réponse, mais autant s’assurer que vous avez passé en revue tous les critères essentiels à prendre en compte, surtout quand le SoC des deux concurrents est identique.

L'iPad Pro M1 a de quoi séduire

Commençons par le nouveau venu. Le nouvel iPad Pro se veut la formule 1 des tablettes, avec sa puce M1 complète (4 + 4 cœurs CPU et 8 cœurs GPU) accompagnée par 8 Go de mémoire et 128 Go de stockage. 

La dalle du modèle de 12,9" a nécessité plus de travail puisqu’Apple y a inséré la même technologie que celle de son écran Pro Display XDR de 32". On retrouve un peu plus de 10 000 mini-LED permettant une luminosité de 600 nits (1 000 nits plein écran, avec des pointes à 1 600 nits). Le contraste de 1 000 000:1, TrueTone, la gamme P3 et ProMotion (fréquence adaptative jusqu’à 120 Hz) sont également de la partie. 

Pour Apple, cet iPad Pro M1 se veut le digne compagnon des personnes travaillant avec le Pro Display XDR. Mais soyons honnêtes, cela ne concerne qu’une poignée d'utilisateurs. Pour les autres, il s’agira « seulement » d’une très belle dalle aux couleurs éclatantes. La machine est bien entendu livrée sous iPadOS.

La 5G remplace en outre la 4G. La gestion des ondes millimétriques – 26 GHz chez nous – est réservée au pays d’origine d’Apple (28 GHz). Qui peut le plus pouvant le moins, on pourra se contenter d’un abonnement 4G pour utiliser la tablette en extérieur. Côté sans fil, la tablette est également équipée en Wi-Fi 6.

On a donc une tablette puissante, avec une dalle tactile de qualité et une connectivité moderne. De quoi accomplir n’importe quel travail où que l’on se trouve ? En théorie oui, mais il faut se projeter et réfléchir aux cas d’usage car au risque d’enfoncer des portes ouvertes, non l’iPad Pro ne conviendra pas à tous les cas de figure.

iPad Pro

Premier point évident, l’absence de clavier. L’iPad propose bien sûr son clavier virtuel, mais pour qui doit souvent taper du texte, l’exercice se révèlera pénible. Au prix de l’iPad Pro, il faudra donc ajouter celui de cet accessoire.

La tablette peut se contenter d’un simple clavier Bluetooth, mais beaucoup préfèreront une protection avec clavier intégré, comme le Magic Keyboard d’Apple. Celui-ci est tout de même vendu 399 euros, une note particulièrement salée qui viendra s’ajouter aux 1 219 euros minimum de l’iPad Pro 12,9" (899 euros pour le 11").

On trouve des modèles moins onéreux chez d’autres constructeurs, notamment Logitech. Attention, il faudra attendre la mise en vente d'accessoires compatibles, car on ne trouve pour l'instant aucun modèle conçu pour cette troisième génération de la tablette. Prenez donc garde lors de vos achats.

Si on veut exploiter toutes les possibilités, il faudra peut-être aussi acheter une souris, puisque l’iPad Pro les prend en charge, même si c'est de manière incomplète selon les modèles. Et tant qu’à faire, autant prévoir un Apple Pencil, vendu 135 euros. La note de la liberté est salée.

Ainsi équipé, l'appareil peut parer à presque toutes les solutions. Presque, car l’utilisation depuis une tablette ne garantit pas que vous pourrez toujours être efficace. Tout dépend en fait des tâches à accomplir. L’environnement logiciel est crucial et doit être analysé, car les applications mobiles sont le plus souvent moins complètes que leurs équivalents pour ordinateurs. Même les plus courantes comme Word, Excel, PhotoShop, AutoCAD et autres.

Les écarts sont plus ou moins importants, et ce sera à vous de définir si les fonctions absentes vont vous manquer. La question se pose également pour celles et ceux qui travaillant avec un CMR ou toute autre interface d’administration passant par le web. Certaines s’accommoderont très bien des navigateurs mobiles et le moteur WebKit, d’autres pas. Là encore, les tests sont importants.

Autre point à prendre en compte, le multitâche. iPadOS dispose de plusieurs capacités, dont celle d’afficher deux applications en même temps sur l’écran. Mais même en 12,9", la quantité d’informations pouvant être affichée ne sera peut-être pas suffisante. Si votre travail implique de gérer plusieurs fenêtres auxquelles vous devez pouvoir accéder rapidement, l’iPad ne sera sans doute pas la solution idéale. Idem si vous comptez régulièrement sur les notifications : il est bien plus simple de garder un œil sur le Dock et les pastilles rouges que de vérifier dans le centre de notifications si vous n’avez pas raté quelque chose pendant que vous étiez en train de vous servir un café.

L’écran tactile en outre représente à la fois un avantage ou un inconvénient selon ce que vous comptez faire. Si votre activité implique par exemple de dessiner ou de tracer des plans, le stylet sera un outil de choix. Si au contraire vous devez essentiellement écrire et manipuler des informations, le même écran vous fera lever la main pour interagir avec les éléments tactiles. Pour de nombreuses manipulations, une souris se révèlera plus rapide, même si iPadOS contient des raccourcis clavier pour accélérer une partie des opérations.

Enfin, travailler sur iPad sera irrémédiablement plus lent si vous devez manipuler des fichiers. Certes iPadOS intègre une application dédiée désormais, mais un vrai gestionnaire de fichiers sera toujours plus efficace pour tout ce qui touche aux sélections multiples, copies, déplacements et autres. On pense aussi à certains usages pour le moment limités à macOS comme le fait de pouvoir virtualiser un système comme Linux ou Windows. 

Le MacBook Pro et les vieux pots

Apple n’a pour l’instant renouvelé que le modèle 13,3" de son MacBook Pro, presque aligné avec l'iPad Pro de 12,9". La comparaison est intéressante car à taille de dalle équivalente, les usages feront toute la différence. D'autant que les machines utilisent le même SoC M1, et devraient donc avoir des performances similaires.

Ainsi, pour la première fois chez Apple, un ordinateur a la même puce qu’une tablette. Les deux sont accompagnés de 8 Go de mémoire, mais cette caractéristique ne permet de tirer aucune conclusion, tant leur exploitation est différente. En revanche, le MacBook Pro est fourni avec au moins 256 Go de stockage (SSD), soit le double de l’iPad Pro. Quant à l’écran, il est forcément moins impressionnant que celui de la tablette, mais dispose quand même d’une définition de 2560 x 1600 pixels, avec une luminance de 500 nits, une gamme de couleurs P3 et TrueTone.

MacBook Pro M1

Ce que le MacBook Pro perd en tactile, il le gagne en productivité dans de nombreux cas. On revient en effet sur un ordinateur complet, avec le système d’exploitation idoine. Entre la puce M1 et le SSD, la réactivité est excellente, à tel point qu’Apple a pesamment insisté sur cet argument dans sa présentation du nouvel iMac.

Contrairement à l’iPad Pro, le MacBook n’a pas à se limiter aux applications trouvées sur l’App Store : peut (presque) installer ce que l’on souhaite, en provenance de n’importe quel site (avec les dangers qui vont avec). On a également accès à un terminal complet (natif), ce qui aura son importance pour les développeurs par exemple.

Le multitâche sera également beaucoup plus efficace, avec le Dock pour revenir sur n’importe quelle application et la possibilité d’afficher plusieurs fenêtres à l’écran, même si les 13,3" seront vite une limite. macOS permet cependant d'augmenter la définition (1280x800 par défaut). On perd alors l’effet Retina, mais on gagne en surface de travail. Certains outils comme EasyRes vont plus loins, permettant de choisir n’importe quelle définition, y compris le 2 560 x 1 600 natif qui nécessitera de plisser copieusement les yeux pour y lire les minuscules caractères.

Le MacBook aura bien sûr pour lui l’avantage des logiciels complets. Pas question de versions tronquées à cause de la place prise par les contrôles tactiles. On peut installer le « vrai » Photoshop, la suite Office complète, des outils de développement, etc. Bien sûr, si vous devez dessiner, tracer et autres activités à base de stylet, le MacBook ne vous apportera rien, à moins d’avoir en plus un iPad, qui pourra alors être utilisé comme tablette graphique.

Le choix au-delà de la question du prix

À 1 449 euros, le premier MacBook Pro est plus onéreux que l’iPad Pro. Mais pour ce prix, le clavier est – évidemment – déjà présent, attaché à la machine. Contrairement à la tablette, il s'agit d'une machine prête à l’emploi avec frappe physique et pavé tactile si l’on ne possède pas de souris. Autre avantage, on peut se servir d'une souris allant plus loin que les classiques deux boutons, pour peu que le constructeur fournisse des pilotes adaptés.

On s’habitue vite au clic molette pour ouvrir un lien dans un nouvel onglet du navigateur, ou aux boutons latéraux pour Précédent et Suivant. Un critère qui relèvera pour certains du simple bonus, et pour d’autres d’une nécessité.

En matière de connectivité, le MacBook Pro a l’avantage… mais d’une très courte tête, puisqu’il ne propose que deux ports USB Type-C, compatibles Thunderbolt. C’est peu pour une machine estampillée « Pro », mais c’est toujours un de plus que l’iPad. Dans les deux cas, on peut se servir d’un connecteur pour relier l’appareil à un écran externe.

Côté connectivité sans fil, l’avantage est clairement à l’iPad Pro. Car si le MacBook Pro dispose des mêmes Bluetooth 5.0 et Wi-Fi 6, il n’a aucune option cellulaire, alors que la tablette dispose d’une puce 5G. On peut bien sûr partager la connexion d'un iPhone, mais ce sera toujours plus fastidieux d’attendre que l’appairage se fasse. Là encore, on s’étonne qu’une gamme « Pro » ne dispose d’aucune option de ce type.

On en vient enfin à un point capital quand il s’agit d’appareils conçus pour la mobilité : l’autonomie. Dans ce domaine, le MacBook Pro bat à plates coutures l’iPad Pro. Apple donne pour ce dernier jusqu’à 10 h pour la navigation web ou la lecture de vidéos. Le MacBook Pro peut grimper jusqu’à 17 h et 20 h. Des chiffres qui sont évidemment à prendre avec des pincettes, mais la différence est pratiquement du simple au double.

Notez que si nous avons choisi le MacBook Pro pour la comparaison, cette dernière peut se faire avec le MacBook Air. Un design plus ancien, pas de Touch Bar et une première configuration désactivant l’un des cœurs du GPU, mais un prix attractif de 1 129 euros, l’écran étant le même. L’autonomie est moindre (jusqu’à 16 heures), mais si l’idée est d’avoir avec vous un appareil capable de suivre vos tâches quotidiennes sans trop se soucier de la batterie et avec une réactivité générale identique à celle du MacBook Pro, ce modèle vaut que l’on s’y penche.

L'inévitable question du « plaisir » à l'achat

Les temps sont intéressants chez Apple, car pour une base équivalente, on se retrouve avec deux manières très différentes d’exploiter la puissance fournie. L'entreprise, qui se refuse à choisir entre iPadOS et macOS, va sans doute analyser la réaction de ses clients afin d'ajuster sa stratégie.

Quoi qu'il en soit, si vous avez opté pour une solution de la marque à la pomme, la question de l’appareil qui vous accompagnera dans vos déplacements est légitime. Les budgets « tout compris » étant proches, ce sont avant tout vos usages et habitudes qui détermineront celui qui répondra le mieux à vos attentes.

Le MacBook est un ordinateur avec toutes les facilités qui vont avec et l’autonomie très élevée permise par la puce M1. L’iPad Pro a pour lui les usages tactiles, la compatibilité avec le Pencil et la connectivité 4G/5G. Dans une moindre mesure, sa dalle représente un avantage si vous êtes équipé d’un Pro Display XDR.

Bien sûr, il y a la dimension « plaisir », qui peut – comme toujours – faire pencher la balance dans un sens ou dans l'autre. Vous savez peut-être par exemple qu’un iPad Pro ne sera pas toujours idéal, mais si la nouvelle tablette vous fait envie, vous passerez sans doute outre. C'est désormais à vour de choisir.

N'hésitez pas à nous détailler les raisons de votre préférence au sein des commentaires pour prolonger le débat.

Commentaires (39)

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Je rêve d’un dualboot ios/osX sur l’ipad pro !!



IoS en mobilité.
OsX à la maison avec dock TB3 + écran/clavier/souris/imprimante/SSD/etc

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Pour moi c’est l’évolution logique (et future) de l’iPad pro. Mais Apple semble résister à cette idée, probablement parce que quoi qu’ils en disent, les puces précédant la M1 n’en étaient pas capables. Maintenant la porte reste ouverte. Peut-être se gardent-ils ça sous le coude pour la puce M2 ?

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A part quelques rares métiers que j’aimerais qu’on me présente (un PDG qui ne lirait que des rapports PDFs pour y apposer sa signature ?), un iPad ne conviendra pas à grand monde.



Ca peut être un complément pour ceux qui ont besoin d’ultra mobilité, mais ça fait cher la machine pour ce seul cas d’usage, surtout si on y rajoute les accessoires, clavier et/ou pencil, qui à eux deux ramènent le prix de l’iPad pro à celui des macbooks.

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Toutes les personnes qui font des devis avec des schémas
Toutes les personnes qui font des présentations commerciales sur projecteur
Toutes les personnes qui ont un besoin de prise de note en plus de leur poste de travail en mobilité



etc…



Dans mon cas, je suis informaticien et ma tablette (pas Apple, non merci) m’accompagne au quotidien (conférences téléphoniques, prise de note, etc…), en mobilité avec mon client RDP et en tant que photographe amateur, c’est parfait pour les prévisualisations sans fil / récupération des photos depuis l’appareil. Chez le client, je la connecte à mon pc portable pour qu’elle serve de second écran, ce qui est trop cool chez les clients qui n’en ont pas.



Et pour regarder la TV au lit :D



Pour moi, la tablette performante est un parfait complément aux gens qui ont besoins de machines puissantes et donc peu mobiles.

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Je suis prof d’anglais dans une école privée bilingue.
J’ai un iPad Pro 2018 avec un magic keyboard, et c’est pour moi l’idéal.
Je peux brancher ma tablette sur le vidéo-projecteur et me servir du pencil pour annoter des fichiers PDF et prendre une correction, passer des enregistrements audio, détacher la tablette pour lire un eBook aux gamins (et continuer à me déplacer dans la salle, en jouant un peu l’histoire), scanner des documents avec les objectifs photo à l’arrière… puis le soir venu, je l’utilise en mode tablette dans le lit ou sur le canap.
C’est vraiment l’idéal.

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T’as aussi tous les métiers (la plupart en fait) où l’ordinateur n’est pas un outil de production et qui se contentent de ce que leur fournit une suite bureautique. Pour cet usage il y a peu de choses où un iPad avec Office ne fait pas très bien le job. Je pense à un agent immobilier, un artisan, un commercial, tous les gens qui ne bossent pas ou pas tout le temps dans un bureau.



Perso je pourrai pas bosser avec un iPad, mais j’envisage sérieusement de … remplacer mon iPhone par un iPad : je me dit qu’un engin aussi gros me protège de l’addiction que j’ai au téléphone que j’ai tout le temps dans ma poche et je dois bien admettre que le Pencil me fait vraiment de l’œil. Mais pour ça, j’ai clairement pas besoin d’un Pro avec M1.

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Tant que ce n’est pas un prétexte à déresponsabiliser les acteurs de leur gestion initiale ok. La bureautique ne s’en portera que mieux… Mais si c’est pour faire la même chose qu’avant mais en plus opaque c’est aussi bien d’avoir un bloc notes et un stylo ou le document en papier pour contractualiser dans de bonnes conditions. Ce qui ne marche pas pour pas mal de gens… et j’ai vu les abus de la signature électronique sur tablette pour me convaincre que ce n’est pas une si belle idée.

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Rien qu’avec le cover/clavier à 399€, ça ferai un macbook air si dual boot !!



Et à la maison, comme un mac mini.



Samsung l’avait proposer le dock avec son téléphone à l’époque (S10 ?) piur le transformer en station de travail mais c’était pas au pont (CPU lent, android, etc)

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ErGo_404 a dit:


Ca peut être un complément pour ceux qui ont besoin d’ultra mobilité, mais ça fait cher la machine pour ce seul cas d’usage,


Oui, pour moi, c’est surtout un complément. Ça ne remplace en aucun cas un portable (rien que pour l’OS déjà…). Après, si c’est un complétement, pas besoin de clavier. Le crayon peut être utile suivant les besoins par contre.



J’ai du mal aussi a comprendre la stratégie d’Apple qui essaye de positionner l’iPad Pro comme une machine principale alors qu’ils ne font pas vraiment ce qu’il faut pour (genre déployer macos dessus carrément… ). Je trouvais que le positionnement originel de l’iPad comme machine de loisir pour les particuliers très pertinente mais pour l’iPad Pro, je ne comprends pas où ils veulent aller…

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L’iPad Pro c’est un cheval de Troie, ça permet à Apple d’avoir une continuité dans sa gamme et donc de forcer la main indirectement pour que les devs qui sont très nombreux sur iOS participent aussi à l’écosystème macOS sans avoir l’impression d’être forcé. Je pense que la chronologie Adobe/Photoshop démontre bien le truc…



Microsoft a plus ou moins voulu faire la même chose, sauf qu’au lieu de leurrer les devs ils ont tout mis sur la table en une fois, là où Apple a placer ses pions petit à petit depuis plus de 10 ans… les résultats sont là :D



L’iPad Pro M1 c’est le dernier pion entre iOS et macOS, le marketing est certes étrange mais ça permet une transition sans à-coups (pour les devs).

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ça sera la machine en déplacement.
Avec les nouveaux métier où les gens sont déjà sur le terrain avec juste un smartphone, ou meme dans l’industrie..
L’autre jours j’ai un presta qui est venus faires des mesures vibratoires. Il s’est branché sur mes capteur avec un boitier wifi et il faisait les acquisitions/traitement depuis une tablette android..



Ça remplace pas un pc au bureau, mais en mode déplacement/mesure sur le terrain c’est juste parfait

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Oui, après pour ce besoin tu prends plutôt une tablette Android/W10 “rugged” pas un iPad Pro :D

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Les dents de lait c’est dangereux aussi…

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Ordinateur fixe avec grand écran + iPad pro.
Donc iPad plus en complément qu’en remplacement. Regarder YouTube/Netflix sera toujours plus agréable sur le fixe.



Si au contraire je voulais remplacer le fixe, je partirai sur le MacBook Air (pas besoin du pro)

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Un commercial qui vient prendre les commandes en grandes surfaces ou en pharmacie, pour.aire signer un bon de commande ou proposer un devis, pour un agent immobilier en plein visite, un créatif en démo, etc. C’est une machine d’appoint en déplacement, de paire avec un ordinateur plus costaud à côté (mais plus lourd donc plus chiant à transporter) qui peut avoir pas mal de sens dans pas mal de situation. Mais ça ne sera pas une machine principale pour ces gens.

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« On s’habitue vite au clic molette pour ouvrir un lien dans un nouvel onglet du navigateur, ou aux boutons latéraux pour Précédent et Suivant. Un critère qui relèvera pour certains du simple bonus, et pour d’autres d’une nécessité. »



L’affirmation est très vraie, cependant on s’habitue très vite aussi au CMD+Click (au trackpad ou à la Magic Mouse) pour ouvrir un nouvel onglet.
J’ai moi-même une souris à deux boutons + molette avec mon Macbook M1 (parce que je joue à des FPS de temps en temps; à part pour cet usage je préfère le trackpad), mais même si je connais beaucoup de gens qui ont des Mac, je ne crois pas en connaître un seul qui utilise une souris avec une molette au quotidien.

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Un autre truc qui me manque, c’est un terminal.



Une interface graphique c’est bien, un terminal c’est plus pratique/puissant.



Visual code sur iOs, je vote pour.

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Tu as des applications de type terminal sur iOS/iPadOS (mais ce n’est pas un terminal natif, tu peux tout de même y faire du SSH & co). Il y a aussi des IDE, mais rien d’aussi abouti qu’un VSC

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Trent a dit:


« On s’habitue vite au clic molette pour ouvrir un lien dans un nouvel onglet du navigateur, ou aux boutons latéraux pour Précédent et Suivant. Un critère qui relèvera pour certains du simple bonus, et pour d’autres d’une nécessité. »



L’affirmation est très vraie, cependant on s’habitue très vite aussi au CMD+Click (au trackpad ou à la Magic Mouse) pour ouvrir un nouvel onglet. J’ai moi-même une souris à deux boutons + molette avec mon Macbook M1 (parce que je joue à des FPS de temps en temps; à part pour cet usage je préfère le trackpad), mais même si je connais beaucoup de gens qui ont des Mac, je ne crois pas en connaître un seul qui utilise une souris avec une molette au quotidien.
Merci de le souligner, je note aussi que l’auteur ne parle pas du fait que le clavier Apple (au prix d’une PS5) intègre un Magic Trackpad qui change complètement l’expérience utilisateur d’iPadOS, ainsi qu’un port supplémentaire USB-C dédié à la charge ce qui permet de libérer le connecteur Thunderbolt/ USB 4 de l’iPad Pro.


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“en provenance de n’importe quel site (avec les dangers qui vont avec)”
Ce qu’on devrait pouvoir faire avec n’importe quel périphérique multimédia…

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“Un design plus ancien, pas de Touch Bar et une première configuration désactivant l’un des cœurs du GPU, mais un prix attractif de 1 129 euros, l’écran étant le même.”



Ceci m’amène à quelques remarques :




  • côté design, celui du mb pro n’a pas plus évolué que celui du MacBook Air ?

  • se passer de la touch bar, manifestement, c’est loin d’être un inconvénient, si j’en crois ceux qui l’ont déjà pratiqué

  • l’écran est bridé sur le MacBook Air, en terme de luminosité maximale (400 vs 500 nits), c’est pour le coup un avantage sensible pour le MacBook Pro en extérieur.



Au delà ce pinaillage, j’avoue trouver l’iPad pro beaucoup trop cher pour ce qu’il apporte, en tout cas tant qu’il n’aura pas la possibilité de tourner sur une interface hybride iPadOS / macOS (et dans ce cas de figure, ok, on serait devant un produit très intéressant).

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Je met tout le monde d’accord : Le mac book devrait avoir un écran tactile.

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(reply:1870180:skankhunt42 )


Mieux, l’IPad devrait tourner sur macOS avec possibilité de switcher sur desk iOS !

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(reply:1870180:skankhunt42 )


Asus a sorti ce portable dans le genre.

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David_L a dit:


Tu as des applications de type terminal sur iOS/iPadOS (mais ce n’est pas un terminal natif, tu peux tout de même y faire du SSH & co). Il y a aussi des IDE, mais rien d’aussi abouti qu’un VSC


Y’a un type qui a montré qu’il était tout à fait possible de porter VisualStudioCode dans Webkit sur iPad, lui le montre en mode « On lance VSC sur un “Serveur” macOS/Windows, et on connecte un client iPad dessus », ceci dit le serveur pourrait aussi être une app iOS et techniquement sa démo ne fait que démontrer ça.



Mais pas sûr que Microsoft soit prêt à investir des semaines de dév sur l’adaptation de son IDE sur iPad, pas évident que le retour sur investissement soit si grand que ça.

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(quote:1870180:skankhunt42 )
Je met tout le monde d’accord : Le mac book devrait avoir un écran tactile.


Certainement pas. Je suis contre les traces de doigts sur un écran de portable, et encore plus contre les écrans glossy.

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Pat_Hator a dit:


Je suis contre les traces de doigts sur un écran de portable


Ça résume bien toute cette situation…



D’un côté t’a les moutons bien formaté par la société de consommation et qui possèdent un énorme poil dans la main et de l’autre t’a apple qui tente de lui vendre du fouin de toute les couleurs mais qui au final aura toujours le même gout.



Du coup il faudra attendre que apple sorte un écran tactile avec un traitement spécial anti trace de doit parce que ce trimballer avec une lingette c’est trop compliqué. Ou alors apple devrait vendre des lingettes jetable une fortune.




Clapitti a dit:


mais ça permet une transition sans à-coups (pour les devs).


Vu les perfs de leur émulateur soft / hard ils peuvent largement ce permettre de tout foutre la dedans pour une transition en douceur. Mais bon comment justifier un clavier à 300 balles, cette blague quand même !

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lefab67 a dit:


Mieux, l’IPad devrait tourner sur macOS avec possibilité de switcher sur desk iOS !


L’iphone pourrait faire tourner mac os aussi, mais Apple ne veux probablement pas cannibaliser ses autres produits.



Ils ne le feront que si la concurrence s’apprete a le faire également.

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(quote:1870435:skankhunt42 )
Ça résume bien toute cette situation…


Pas sûr d’avoir compris, ou de m’être fait comprendre.



Je serais intéressé par un iPad Pro qui switch sur un Mac OS full une fois docké, sur un support comme la surface book en son temps, et se transforme en vrai ultrabook.



Uniquement dans ce cas de figure, OK pour l’écran glossy et ses traces de doigts, parce que le jeu en vaut la chandelle.
Mais un MacBook avec une option tactile, j’ai beaucoup de mal à y trouver un intérêt, le form factor ne s’y prête vraiment pas.

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Tu sais, la seule différence entre un ipad et un macbook c’est l’os…



Le meilleur choix serait d’avoir un écran détachable qui ce transforme en tablette. Et pas besoin de brider le truc avec un système de doc ou non, les deux ont une autonomie suffisante.



Après dans l’absolu pas besoin de ipad OS sur un ipad, mac os est largement suffisant il suffirait qu’il dispose d’un mode desktop et d’un mode tablette.

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macOS n’arrivera pas sur iPad Pro.



J’en rêve aussi de ce dual boot, en mode bureau (macOS) et en mode canapé/déplacement (iPadOS).



Ce que l’on aura en revanche, ce sont des applications plus “pro” (Logic, FCP, etc.) à même de justifier l’investissement dans un iPad Pro M1. Car tout ce que je lis dans les commentaires justifie l’usage d’une tablette, mais pas d’un iPad Pro M1.



Pour moi la question est : n’aura-t-on que droit à des applications “pro” type Logic ou aura-t-on également droit à des fonctionnalités “pro” inspirées de macOS ? Je pense à des choses comme l’utilitaire disque (c’est bien de pouvoir connecter un SSD TB3, c’est mieux de pouvoir le formater/partitionner), un vrai Finder, un Terminal (même sandboxed, mais complet) pouvoir gérer une librairie Musique/iTunes sans avoir à connecter son iPad à un ordinateur, etc.



Si oui, je veux bien tenter le coup de switcher 100% sur iPadOS.



Mais je doute fort que cela arrive.




  • macOS sur iPad Pro : 0% de chance

  • Fonctionnalités “pro” (cf. mes exemples) sur iPad Pro : 20% de chance ?

  • Arrivée d’applications “pro” (Logic, FCP) sur iPad Pro : 95% de chance



Bref, l’iPad est et restera une machine “app-driven”. En clair, c’est l’intérêt pour une ou plusieurs apps qui te fait acheter la machine alors que l’ordi, c’est l’inverse. C’est l’intérêt pour la machine qui te la fait acheter et les apps, tu sais que tu peux presque tout faire.

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(quote:1870435:skankhunt42 )
Ça résume bien toute cette situation…



D’un côté t’a les moutons bien formaté par la société de consommation et qui possèdent un énorme poil dans la main et de l’autre t’a apple qui tente de lui vendre du fouin de toute les couleurs mais qui au final aura toujours le même gout.



Du coup il faudra attendre que apple sorte un écran tactile avec un traitement spécial anti trace de doit parce que ce trimballer avec une lingette c’est trop compliqué. Ou alors apple devrait vendre des lingettes jetable une fortune.



Vu les perfs de leur émulateur soft / hard ils peuvent largement ce permettre de tout foutre la dedans pour une transition en douceur. Mais bon comment justifier un clavier à 300 balles, cette blague quand même !


Par rapport au “pro stand” à 1100 €, c’est carrément donné :transpi:

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yoms a dit:




  • macOS sur iPad Pro : 0% de chance


Pourquoi une telle certitude ?

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Des dirigeants d’Apple ont maintes fois été interrogées sur sujet par le passé, en fait depuis que l’iPad existe. Ils ont toujours réfuté la possibilité de merger macOS et iPadOS, de porter intégralement iOS sur Mac ou inversement de faire tourner macOS sur iPad.



Tout ceci, c’est un peu comme espérer voir un écran tactile sur un Mac. Maintes fois écarté l’option également.



Je ne suis pas dans leurs petits papiers, mais selon moi j’imagine qu’ils ont un intérêt à séparer les 2 systèmes, que ce soit financier (nous vendre et un iPad et un Mac) que technique.



Du point de vue technique, c’est la facilité que de dire qu’il n’y a rien à faire pour faire tourner macOS sur iPad. Mais dans les faits, y’a du boulot quand même : macOS ne sait pas ce qu’est une interface tactile, ne sait pas ce qu’est un accéléromètre, un gyroscope, etc.



Aussi, l’une des autres raisons techniques à traiter est la suivante : quid du partage des données entre macOS et iPadOS. Personne n’en parle, mais j’imagine que personne ici n’accepterait un macOS sur iPad qui ne puisse par exemple pas accéder aux photos prises en mode de fonctionnement iPadOS. C’est 1 exemple, mais ce n’est pas le seul. Donc il faut une passerelle entre les 2 systèmes et elle est à créer. Il faut aussi garder à l’esprit que iPadOS et iOS sont des OS sand-boxed qui n’autorisent pas la communication directe entre applications ; ce que permet macOS ; bref, faut faire cohabiter 2 philosophies de logiciel différentes lorsque cette passerelle sera créée.



Enfin, Apple n’aime pas avoir tort, alors faudra attendre longtemps avant qu’ils disent : “OK, on le fait”.

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Pat_Hator a dit:


Pourquoi une telle certitude ?


Je pense que le jours ou les ventes d’un des deux vont commencer à s’écrouler alors apple y pensera fortement ou poussera juste une simple mise à jours. Comme je l’ai dis plus haut il y à aucune différence en terme de “code” entre ipad OS et mac os. Ce ne sont que des limitations et un affichage différent.



Après tout, linux, mac os ou windows c’est aussi des environnement “app driven”… C’est juste que ces apps sont plus complexes ( programmes ) en partie parce que le développement est juste plus simple et beaucoup plus flexible.



Autant ça avait un sens il y à 10 ans mais maintenant, plus aucun. Donc à moins de faire acheter au gens les deux, ils ce tirent juste une balle dans le pied.

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(quote:1870604:skankhunt42 )
Je pense que le jours ou les ventes d’un des deux vont commencer à s’écrouler alors apple y pensera fortement


En fait, ma logique est de penser qu’Apple pourrait ici proposer un produit équivalent à la surface book de MS, mais en “réussi”, vu qu’ils ont à disposition deux interfaces parfaitement abouties (tactile et non tactile), et avec un écosystème conséquent déjà en place pour les deux “mondes”.



C’est une force assez unique, et sur ce terrain, Android et MS n’ont pas une telle possibilité. Là dessus, AMHA, Apple aurait une carte assez incroyable à jouer, mais peut être que je me goure, et qu’il n’y a pas un marché suffisant.

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(quote:1870604:skankhunt42 )
Tu sais, la seule différence entre un ipad et un macbook c’est l’os…



Le meilleur choix serait d’avoir un écran détachable qui ce transforme en tablette. Et pas besoin de brider le truc avec un système de doc ou non, les deux ont une autonomie suffisante.



Après dans l’absolu pas besoin de ipad OS sur un ipad, mac os est largement suffisant il suffirait qu’il dispose d’un mode desktop et d’un mode tablette.


Entièrement d’accord.



Ce concept de tablette transformable, Asus l’a essayé plusieurs fois avec ses “Transformers Mini/pro”, mais ca n’a jamais vraiment décollé. Pourtant certaines font tourner windows 10, mais j’imagine que leur HW un peu famélique (à base d’Atom) ne doit pas être suffisant pour assurer de bonnes perfs. Là, avec un CPU comme le M1, c’est le moment de proposer un tel combo (tablette/desktop) efficace.



Mais dommage (pour nous pauvres utilisateurs), ca casserait la segmentation du marché…

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Bon en gros la surface de Microsoft a encore un bel avantage non ? C’est un ordinateur. Sur la question de l’usage, sur l’iPad les possibilités sont limitées à ce qui est disponible sur l’app store. À part dans les applications créatives (confort tactile et du stylet) ou ceux qui veulent un « no brainer », rien ne justifie son achat pour moi 🤷

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yoms a dit:


Des dirigeants d’Apple ont maintes fois été interrogées sur sujet par le passé, en fait depuis que l’iPad existe. Ils ont toujours réfuté la possibilité de merger macOS et iPadOS, de porter intégralement iOS sur Mac ou inversement de faire tourner macOS sur iPad.



Enfin, Apple n’aime pas avoir tort, alors faudra attendre longtemps avant qu’ils disent : “OK, on le fait”.


Oui. Mais on peut aussi se rappeler des nombreuses incohérences d’Apple qui n’a jamais hésiter à se contredire ouvertement.
On peut citer l’exemple de la bascule sur l’architecture Intel, alors que depuis des années, dans les keynote, ça balançait des benchs (complètement pétés) qui donnaient l’avantage aux G3/4/5.
Et de rebalancer à ce moment là des benchs inversés qui démontraient à quel point les x86 étaient 4 fois plus rapides que les G4/5.



Ou le fait de tourner en ridicule les smartphones concurrents de 4”, parce que la taille idéale était “évidemment” les 3,5 pouces de l’iPhone. Jusqu’au jour ou ils ont présenté la révolution du premier iphone avec un écran dépassant les 3,5”. :roll:



Il faut être un fanboy absolu pour ne pas avoir eu l’impression d’être parfois pris pour le dernier des crétins, au vu des retournement de veste wtf.



Ceci ne contrevient pas à ton raisonnement, et tu as peut être raison (pour le partage entre les applications, par contre, ça ne me semble pas délirant de partager un espace de stockage local, dans l’exemple de photos ou de documents).



Mais de mon point de vue, les “certitudes” d’Apple sont celles du business, il n’y a aucune autre forme de cohérence dans leurs choix techniques.

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