Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement
La bayonnaise est bontée un peu trop vite
Le 17 septembre 2013 à 13h29
4 min
Droit
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La cour d'appel de Pau a validé en juin dernier le licenciement d'une salariée ayant effectué un nombre important de connexions vers des sites non professionnels durant son temps de travail. Mais si l'ex-employeur assurait qu'il s'agissait d'une faute grave, les magistrats ont quant à eux retenu la qualification de licenciement à cause réelle et sérieuse. Explications.
Depuis 2001, Catherine X. travaillait en tant que chargée de recrutement pour une entreprise bayonnaise. Sauf qu’en novembre 2009, son CDI est rompu par son employeur. La salariée est licenciée pour faute grave. Qu’est-ce que lui reproche son patron ? Beaucoup de choses : différentes erreurs et négligences, mais aussi son utilisation de l’outil informatique mis à sa disposition dans le cadre de son travail.
La lettre de licenciement de Catherine X. fait effectivement référence à l’utilisation « parfaitement excessive et totalement inappropriée » de sa connexion Internet, au travers de laquelle la salariée est accusée d’avoir consulté de manière récurrente sa messagerie Hotmail personnelle, des sites de rencontres ou des réseaux sociaux tels que Facebook. Si l’employeur précise que la liste qu’il déroule n’est « en aucune manière limitative », il n’oublie pas de souligner que son employée s’est également connectée au site Charlott’Lingerie, à partir duquel l’intéressée travaillait en plus de son emploi en tant qu’hôtesse de vente.
Cause réelle et sérieuse de licenciement
L’affaire aurait pu en rester là, mais la salariée a décidé de contester son licenciement devant la justice. La cour d’appel de Pau a justement rendu un arrêt dans cette affaire le 13 juin dernier, que nous reproduisons ci-dessous.
À partir des « relevés d’écran de l’ordinateur utilisé par Madame Catherine X. dans le cadre de ses fonctions »- lesquels étaient produits par l’employeur - mais aussi des déclarations de l’intéressée, les magistrats ont retenu que les connexions au site Charlott’Lingerie étaient « quotidiennes, fréquentes et durant les heures de travail ». Pour les juges, pas de doute : « il ne peut être contesté que Madame Catherine X. se livrait sur ce site à des opérations commerciales rémunératrices ».
Ce n’est pas tout. Les juges ont également estimé que la salariée avait effectué des visites « très fréquentes, durant les heures de travail, sur des sites communautaires tels que "Facebook" ». La cour d’appel en rajoute une couche : « Les connexions quasi-quotidiennes, à plusieurs reprises dans la journée entre le 12 et le 27 octobre, durant les heures de travail, sur un site sur lequel Madame Catherine X. se livrait à une activité commerciale ainsi que sur des sites communautaires démontrent que cette dernière durant ces périodes ne pouvait se livrer à son travail au sein de l’Agence ».
Conclusion : aux yeux des magistrats, l’ensemble de ces manquements « suffisent à constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement ». Il ne s’agissait cependant pas d’une faute grave, en ce que le maintien de l’employée dans l’entreprise restait possible pendant la durée du préavis. L’employeur n’a donc pas obtenu gain de cause sur ce point, et a donc été au final condamné à indemniser son ancienne salariée (préavis, licenciement, rappel de salaire).
La faute et sa sanction appropriée
De fait, cette décision complète la jurisprudence de ces dernières années s’agissant des litiges portant sur la consultation de sites Internet par le salarié, sur son lieu de travail et à des fins non professionnelles. On se souvient par exemple que la cour d’appel de Toulouse, dans une décision rendue en juillet 2007 puis confirmée par la Cour de cassation en mars 2009, avait validé le licenciement pour faute grave d’un employé ayant surfé sur la Toile pendant 41 heures sur son lieu de travail.
S’agissant de Facebook en particulier, la cour d’appel de Lyon a estimé en novembre 2011 que « l’utilisation à des fins ludiques de l'ordinateur professionnel pendant le temps de travail à quatre reprises au mois d'avril 2009 et à deux reprises au mois de mai 2009 » était fautive dès lors qu’elle constituait une violation des prescriptions du contrat de travail. Cependant, le licenciement est une sanction disproportionnée vis-à-vis de cette faute commise (voir notre article).
Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement
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Cause réelle et sérieuse de licenciement
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La faute et sa sanction appropriée
Commentaires (81)
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Abonnez-vousLe 17/09/2013 à 14h19
Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement
Ces dans ces moments que je me dis…
Le 17/09/2013 à 14h22
Le 17/09/2013 à 14h23
Le 17/09/2013 à 14h26
C’est pour cela que je pratique le BYOD tethering 3G depuis quelques semaines " />
Le 17/09/2013 à 14h26
Le 17/09/2013 à 14h26
Le 17/09/2013 à 14h26
Le 17/09/2013 à 14h28
Le 17/09/2013 à 14h31
Le 17/09/2013 à 14h36
Le 17/09/2013 à 14h38
Le 17/09/2013 à 14h41
Le 17/09/2013 à 14h42
Le 17/09/2013 à 14h46
Mon mini du mini quand je bosse, c’est PC INpact. Et si mon boss est pas d’accord bah c’est pareil nanméo.
Le 17/09/2013 à 14h48
Le 17/09/2013 à 14h48
Autant moi je bosse quand j’ai des trucs à faire mais autant en ce moment j’ai quoi, 6 heures pleines sur 8 heures. Bon je peux me perfectionner en programmation mais quand on est flemmard comme moi, on va sur PCINpact ^^.
Heureusement PME, pas d’administrateur réseau tout ça et normalement ils ne se plaignent pas de mon boulot.
Je précise que je suis au Japon et que j’ai un voisin qui s’endort régulièrement sur sa table sans que le patron n’ait rien à redire " /> .
Le 18/09/2013 à 05h14
Chez nous, le surf personnel est STRICTEMENT INTERDIT dans le règlement intérieur, et d’ailleurs, régulièrement, le service info fait passer la liste des sites visités, histoire de faire flipper ceux qui se sont connectés … " />
Bon, tout le monde surf sur smartphone, mais (plus ou moins) discrètement.
Le 18/09/2013 à 06h00
Le 18/09/2013 à 06h57
Le 18/09/2013 à 07h26
Le 18/09/2013 à 07h40
Si tout les licenciements étaient amiable, les prud’hommes ne seraient pas autant engorger… Avec des délais de passage très long.
Un employeur tentera si il en les moyens (juridique), et si le licenciement est coûteux (beaucoup d’année de boite) a faire passer pour faute grave.
Sa coute pas chère et pour peux que la personne est peur de s’engager dans une procédure longue, parfois coûteuse sans être sur d’avoir gain de cause en plus au vue des arguments souvent justifié. Mais la question est justifié en faute grave ou réelle et sérieuse ?
Au tribunaux de le dire. En tout cas je vais ralentir mais visite par mon poste et passer par mon mobile
Le 18/09/2013 à 08h07
Le 19/09/2013 à 15h39
Le 19/09/2013 à 16h12
Le 19/09/2013 à 16h23
Le 17/09/2013 à 13h36
Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement
Mais que ne ferait pas un INpactien pour avoir des nouvelles fraîches " />" />" />
Le 17/09/2013 à 13h36
Bon ben je ne vais pas lire la news et me remettre mettre à bosser un peu " />
Le 17/09/2013 à 13h37
Commenter pci ça peut avoir les mêmes conséquences ?
Le 17/09/2013 à 13h39
Comme mes collègues au dessus, dois-je commencer à m’inquiéter ? " />
Le 17/09/2013 à 13h40
pourtant la consultation du FB d’un candidat pour un RH ou un chargé de recrutement, il me semblait avoir lu que ça devenait la norme.
Il y a un moyen de dire qu’elle était sur candy crush et pas en train de checker un gars de manière légitime ?
Charlott’lingerie, c’est plus difficile à défendre par contre " />
edit :
La bayonnaise est bontée un peu trop vite
" />" />" />" />" />
Le 17/09/2013 à 13h40
Le 17/09/2013 à 13h43
La madame a quand même méchamment cumulé… Encore l’utilisation “ludique” comme ils disent punie d’un licenciement serait un poil exagéré (à moins que ça finisse par nuire à la boîte…). Mais exercer une activité professionnelle différente sur son lieu de travail, ça devient un peu plus abusif là. (l’employeur ne la paie pas pour bosser pour une autre boîte…)
Le 17/09/2013 à 13h46
Difficile de tirer une conclusion claire sur le simple fait de surfer sur des sites à priori sans rapport avec son activité professionnelle.
En effet, le fait qu’elle ait passé une partie de son temps de travail à exercer une autre activité, fût-ce ou non à travers internet, suffisait largement à justifier la cause réelle et sérieuse de licenciement (puisque de toute évidence, il n’y avait pas eu d’accord préalable avec ce patron pour cumuler). Je trouve même qu’elle s’en tire bien…
Je ne suis donc pas sûr que l’on puisse tirer de cet arrêt la règle telle que “le surf à des fins non-professionnelles est constitutif de cause réelle et sérieuse”.
D’autant plus que c’est àma extrêmement dépendant des faits.
On constate bien que la jurisprudence n’est pas encore fixée, au vu du rappel de l’arrêt de Toulouse. Arrêt dans lequel certes le licenciement pour faute avait certes été retenu, mais probablement en tenant compte du fait que 1) le salarié, chef de dépôt, avait effacé entièrement son historique, 2) à priori l’utilisation de l’internet ne faisait pas partie des tâches courantes nécessaires au bon accomplissement de sa fonction.
Le verdict eut-il été identique pour une secrétaire ? Un juriste ? Un chargé de veille ? Un communiquant ? J’en doute fort…
Partant, je ne suis pas sûr que l’on puisse établir une règle générale et objective (=non liée à chaque situation personnelle), pour déterminer si tel ou tel usage est constitutif de cause réelle et sérieuse voire de faute.
Le 17/09/2013 à 16h36
Plus exactement jugement assez juste au final :
-pas de faute grave justifiant un départ immédiat et l’absence de prime etc. cay normal
-connexion à des sites de rencontres depuis le taf " />" /> à un site de e-commerce sur son temps de travail et qui lui rapporte des sous " />" /> -> licenciement pour cause réelle et sérieuse ça me semble normal aussi " />
Le 17/09/2013 à 16h49
Si vous faites bien votre boulot et qu’un manager crétin vous reproche d’utiliser le net :
http://www.tdg.ch/high-tech/facebook-ameliore-productivite-salaries/story/129641…
Une infographie publiée par KEAS, un programme américain pour la promotion de la santé et du bien-être au travail, vient tordre le cou aux idées reçues.
« KEAS cite une expérience menée par l’Academy of Management. Un panel d’employés a été divisé en 3. Le premier groupe n’a pas pris de pause. Le deuxième s’est arrêté 10 minutes, mais sans se connecter à internet. Le troisième groupe a eu droit à 10 minutes de pause Facebook.
Au moment de reprendre le travail, les salariés ayant eu accès au réseau social ont été 16% plus productifs que le groupe privé d’internet durant sa pause. Cet écart de productivité monte même à 40%, comparé aux employés qui n’ont pas arrêté de travailler.
«Des pauses courtes et discrètes, comme un surf rapide sur internet, permettent à l’esprit de se reposer, avec pour conséquence une plus forte concentration sur son travail et une meilleure productivité», note Brent Coker, lecteur au Département de Management et Marketing de l’Université de Melbourne, en Australie.
Le lien de l’étude et une infographie.
http://keas.com/blog/case-for-facebook/
" />
Le 17/09/2013 à 17h09
Le 17/09/2013 à 17h09
Le 17/09/2013 à 17h37
Le 17/09/2013 à 17h46
Le 17/09/2013 à 17h52
Le 17/09/2013 à 18h02
la moitié des lecteurs de PCI va se faire virer…
Le 17/09/2013 à 18h11
Le 17/09/2013 à 19h29
Le 17/09/2013 à 21h46
Autant en lisant au départ, il semblait que ce qui avait été principalement retenu par la cour était les visites excessives du site pour lequel l’employée travaillait à sa compte à côté, autant en arrivant à la fin de l’article il s’avère que la cour prend également en compte les visites sur Facebook et les autres sites communautaires (principalement réseaux sociaux d’après le début de la news).
Pour un employé « normal » ce ne serait pas dur de justifier que ces connexions ne sont pas liées à son travail, mais pour une « chargée de recrutement », en 2013, je vois difficilement comment on peut qualifier ces connexions de non liées au travail à moins d’avoir plus de détails sur les pages spécifiques visitées : en effet, une part non négligeable du travail de recrutement de nos jours se fait justement par les réseaux sociaux ! (à mon grand désespoir, parce que j’exècre ces réseaux au plus au point).
P.S. et il y a bien sûr l’auto-reload et les connexions ajax en tâche de fond mentionnés par kade qui peuvent générer de nombreuses connexions sans que pour autant la personne ne soit pas en train de faire son travail qui n’a rien à voir : il suffit que l’onglet soit ouvert (navigateur ouvert bien sûr). Personnellement je ne monitore pas les sites non professionnels que je consulte pendant mes pauses pour leurs usages de l’auto-reload (quoi que ceux là je tends à les éviter, et j’espère que PCI va revenir sur leur décision de foutre de l’auto-reload) ou des appels ajax en tâche de fond, mais s’il y en a qui sont dans ce cas, comme j’ai des centaines d’onglets ouvert (une minorité étant non professionnels, mais en général quand même ouvert), je pourrais me faire reprocher un usage excessif non professionnel quand bien même il est minime et pendant les pauses (purement hypothétique parce que c’est pas le genre de la maison dans la boîte et mon travail est très apprécié, mais dans une autre boîte ça pourrait arriver).
Les affaires récentes sur ce thème me laissent quand même très dubitatif :/
Le 17/09/2013 à 21h50
Je regrette l’absence de réponses juridiques de PCI.
A moins qu’un dossier ne soit en cours.
Ce que j’espère vivement.
On peut attendre ça de ce site.
Merci." />
Le 17/09/2013 à 22h04
Le 17/09/2013 à 22h05
et à Xavier, pardon.
Le 17/09/2013 à 23h30
Rahhhh ça fait vraiment ch* ce refresh automatique pour écrire un commentaire…
L’employeur n’a donc pas obtenu gain de cause sur ce point, et a donc été au final condamné à indemniser son ancienne salariée (préavis, licenciement, rappel de salaire).
J’ai l’impression que maintenant lorsque les employeurs veulent virer quelqu’un, ils le virent toujours « pour faute grave », pour voir si ça passe.
Il n’y a pas de compensation (amende, indemnité supplémentaire, dommages et intérêts, …) pour éviter les qualifications abusives ?
Le 18/09/2013 à 00h41
Le 17/09/2013 à 14h49
Le 17/09/2013 à 14h50
Le 17/09/2013 à 14h51
Le 17/09/2013 à 14h51
Çà me gonflerait bien d’être patron aujourd’hui, entre Internet à l’ordi, le portable qui sonne et la pause clope…
Rahhhh ! Ya plus qu’à se pendre.
Pareil pour prof avec les mobiles et smartphones !
Le 17/09/2013 à 14h52
Le 17/09/2013 à 14h54
Le 17/09/2013 à 14h58
Le 17/09/2013 à 15h18
Le 17/09/2013 à 15h19
Je sais pas pour les autres lecteurs des commentaires, mais je n’arrive pas à savoir si Danytime trolle volontairement ou s’il est sérieux.
Si c’est du troll, j’exprime ici tout mon respect pour la maîtrise ^^.
Sinon… ben… où sont mes tomates pourries déjà?
Le 17/09/2013 à 15h26
Le 17/09/2013 à 15h34
Vu que le http n’est pas un mode connecté, je ne vois pas comment on peut quantifier le temps passé sur un site…
Le 17/09/2013 à 15h38
Le 17/09/2013 à 15h54
Le 17/09/2013 à 16h02
Le 17/09/2013 à 16h07
Le 17/09/2013 à 16h29
Heu le titre est trompeur : c’est surtout qu’elle se connectait à sa 2ème activité rémunérée sur son temps de travail de la 1ère entreprise.
Ce ne sont pas les connexions à facebook ou hotmail qui sont en cause, mais bien les connexions au site charlott lingerie.
Les connexions perso c’est juste la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Elle n’aurait jamais du attaquer au vu de son attitude très peu pro " />
Le 17/09/2013 à 13h51
Sans compter qu’elle a merdé dans son taff (fiches de contrat de travail en retard etc…)
Si tu surfes sur FB mais que tu fais (quand même) ton taff, y’a quand même peu de chance de se faire virer… à part si on a un boss (ou le service info/gestapo) fliquant à mort… " />
Le 17/09/2013 à 13h51
Même le mode incognito ne sert à rien…
PCInpact fait quelque chose !!!
Le 17/09/2013 à 13h54
Le 17/09/2013 à 13h54
Ah ouais !! Quand même c’est gonflé de bosser pour “charlott lingerie” tout de même sur ses heures de travail. Je comprend le licenciement.
Bon maintenant, je vais faire semblant de bosser " />
(Vu la charge de travail que j’ai, j’ai pas grand chose a faire …)
Le 17/09/2013 à 14h00
Combien de lecteurs de PCI se sont mis à flipper à la lecture du titre de cette news ? " />
Le 17/09/2013 à 14h02
Le 17/09/2013 à 14h07
Le 17/09/2013 à 14h08
Le 17/09/2013 à 14h09
elle a pas un smartphone? c’est pourtant si simple de surfer au boulot sans se faire prendre ^^
Le 17/09/2013 à 14h10
Je pense pouvoir dire sérieusement que sans mon internet ludique au boulot, mon rendement serait divisé par deux.
Le 17/09/2013 à 14h10
Le 17/09/2013 à 14h12
Le 17/09/2013 à 14h13
Parfois je trouve les gens vraiment idiot. S’ils sont tellement dépendant/en manque d’internet, ils n’ont qu’à s’acheter un smartphone/phablet… et surfer dessus au lieu de prendre des risques avec leur boulot. Ils n’auraient plus qu’à être discret quand ils le consultent.
Heureusement pour moi, étant à mon compte et seul, aucun risque de me faire licencier pour avoir consulter pcinpact trop souvent :p
Le 17/09/2013 à 14h16
Encore le reflet du malaise français au travail : le présentéisme et l’assiduité absolue attendue par chaque salarié !
Comme si l’on pouvait être toujours à 100% pendant 8 heures ! Les pays du Nord sont beaucoup plus intelligent sur la gestion du temps de travail …
Et quand bien même, qu’est ce qu’une consultation raisonnable ou abusive d’internet sur son lieu de travail finalement ?
Le 17/09/2013 à 14h18
Surfer sur PCI peut être considéré comme de la veille technologique quand on bosse dans l’info. " />
Le 17/09/2013 à 14h18