Hubble fête ses 25 ans d’observation de l’Univers, la relève se prépare
Vers l'infini et au-delà, mais pour de vrai !
Le 24 avril 2015 à 15h10
10 min
Sciences et espace
Sciences
Hubble fête aujourd'hui même ses 25 ans dans l'espace. Après trois premières années compliquées et une frayeur liée au « bug de l'an 2000 », le télescope spatial a capturé des milliers d'images et a permis des avancées majeures dans certains domaines. Mais la relève est déjà en route avec le James Webb Space Telescope qui promet d'être 100 fois plus puissant.
Le 24 avril 1990, la NASA lançait une navette Discovery avec à son bord le télescope spatial Hubble. Il porte ce nom en l'hommage de l'astronome Edwin Hubble décédé en 1953. La mission était un succès et, dès le lendemain, les astronautes ont pu placer le télescope en orbite à près de 600 km de la Terre. Partenaire de ce projet, le CNES indique qu'il s'agit du « fruit d'un long travail de recherche de la NASA et de l'Agence Spatiale européenne ».
Hubble : un télescope de 11 tonnes qui tourne autour de la Terre à plus de 28 000 km/h...
Coût de l'opération au moment du lancement : 1,5 milliard de dollars... bien plus quelques années plus tard. Pour la petite histoire, Hubble ressemble à un gros tube avec des panneaux solaires en guise de bras. Il pèse la bagatelle de 11,11 tonnes et mesure 13,2 m de long sur 4,2 m de large. Sa vitesse de croisière est de 28 000 km/h et il fait le tour de la Terre en près de 97 minutes, ce qui limite ses possibilités pour photographier notre belle planète dans de bonnes conditions, qu'importe ce n'est pas son objectif.
Il dispose de deux miroirs : un primaire de 828 kg avec un diamètre de 2,4 m et un secondaire de 12,3 kg et 0,3 m. Sa consommation électrique moyenne est de 3 000 watts, soit « environ la même quantité d'énergie que les ampoules de 30 ménages » précise la NASA. Il peut observer la quasi-totalité de l'espace, hormis le Soleil et Mercure qui est trop proche du Soleil, dans un spectre allant de l'ultraviolet à l'infrarouge (longueurs d'onde de 110 à 2500 nm).
L'ESA organise un concours de vidéos hommage à Hubble. Voici les derniers participants en lice
... mais qui fait des photos floues à ses débuts
Le principal avantage de Hubble est qu'il s'agit d'un télescope spatial, il n'est donc pas gêné par la pollution lumineuse des villes sur la Terre, les nuages, la pollution, etc. Les seuls éléments qui peuvent venir le perturber sont les rayons cosmiques, les satellites et les débris qui tournent inlassablement autour de la Terre.
Le premier cliché arrivera moins d'un mois plus tard, le 20 mai 1990, avec l'amas d'étoiles NGC 3532. Mais des problèmes sont rapidement venus entacher l'enthousiasme de l'équipe en charge du projet, dont un bien plus important que les autres : Hubble voit flou à cause d'un défaut de 2 microns sur la périphérie du miroir primaire.
Heureusement, le problème est uniforme et il peut être réparé facilement depuis l'espace. C'était d'ailleurs l'objectif principal de la première mission de maintenance (elles sont au nombre de cinq actuellement, la dernière date de 2009 et un résumé vidéo est disponible) qui a eu lieu en décembre 1993 et qui fut couronnée de succès. Comme on peut le voir sur la capture ci-dessus, le changement est impressionnant
Quand une mission de maintenance est écourtée à cause... du « bug de l'an 2000 »
Une autre mission de maintenance a attiré notre attention : celle de décembre 1999 (la troisième). À son bord se trouvait l'astronaute français Jean-François Clervoy qui était en charge du bras robotisé qui a notamment servi à capturer le télescope. Il explique que cette mission a été décidée au dernier moment, car « le télescope perdait trop de gyroscope qui permet le pointage fin vers les objets célestes ». Les astronautes n'ont eu que six mois de préparation, contre un an normalement.
Mais la mission sera finalement plus courte que prévue pour une raison étonnante : la peur du « bug de l'an 2000 ». Jean-François Clervoy s'explique sur ce point : « notre vol ayant été retardé à cause du mauvais temps les derniers jours, on nous a dit : bon il y a une des quatre sorties dans l'espace qui est supprimée, parce qu'on veut vous voir revenir au moins deux trois jours avant le 31 décembre parce qu'on ne veut pas que la navette soit en vol le 31 décembre de peur qu'il y ait des bugs informatiques au centre de contrôle ».
Hubble : un CPU 80486 aux commandes et 120 Go de données transmises par semaine
À l'origine, Hubble était animé par un CPU DF-224, avant d'être épaulé par un dérivé d'un 80386 d'Intel en 1993 par la première mission de maintenance, puis d'être finalement remplacé en 1999 par un 80486 20 fois plus rapide et avec six fois plus de mémoire.
Notez qu'il n'est pas étonnant que la NASA utilise un processeur d'ancienne génération puisqu'il faut qu'il passe une impressionnante batterie de tests et qu'il soit extrêmement résistant, les conditions climatiques dans l'espace n'étant pas vraiment les mêmes que sur Terre. De plus, cette puissance de calcul est apparemment largement suffisante pour le télescope qui ne traite pas les images lui-même, il ne fait qu'envoyer les données brutes.
Mais tout cela appartient au passé et Hubble est désormais parfaitement opérationnel depuis plusieurs années. Si l'on s'attarde un peu sur le côté big data de Hubble, sachez que chaque semaine le télescope transmet environ 120 Go de données scientifiques à la Terre qui transitent par des relais satellites avant d'arriver finalement au centre spatial de Goddard aux États-Unis. Sachez qu'il est possible d'accéder librement à l'immense base de données de Hubble via ce site.
Hubble a-t-il permis de faire des avancées scientifiques majeures ?
25 ans plus tard, il est temps de faire un premier bilan sur les découvertes qui découlent plus ou moins directement de la mise en orbite de ce télescope spatial. Il y a quelques années, l'astronaute Jean-François Clervoy proposait un petit résumé encore valable aujourd'hui : « Hubble à contribué à trois avancées majeures en astronomie : affiner l'âge de l'Univers, contribuer à la démonstration de l'existence des trous noirs et surtout je pense, démontrer que le nombre de galaxies dans l'Univers est de plusieurs ordres de grandeur plus grands que tout ce que l'on peut imaginer avant. Au point que certains scientifiques disent qu'il y avait un avant/après la lunette de Galilée, comme il y a un avant/après l'existence du télescope spatial Hubble ».
S'il ne fallait retenir qu'une seule photo de Hubble, ce serait probablement celle du Hubble eXtreme Deep Field ou champ extrêmement profond de Hubble. Il s'agit d'une petite partie de l'Univers et dans laquelle on retrouve... près de 5 000 galaxies. Chacune de ces galaxies est composée de plusieurs centaines de millions d'étoiles, autour desquelles peuvent graviter plusieurs objets célestes. Pour plus de détails, n'hésitez pas à regarder cette vidéo d'e-penser sur le sujet.
Le choix a néanmoins été difficile car on aurait également pu retenir le mirage gravitationnel de la Wide Field Camera 3 de Hubble d'il y a deux ans et qui représentait... un Space Invaders. Pour en savoir plus sur les principales découvertes qui découlent des clichés de Hubble, vous pouvez vous rendre sur ce site officiel qui les a classés en trois catégories : la cosmologie, la science des planètes et celle des galaxies.
Un artiste en orbite
Des photos de toute beauté de l'Univers, Hubble en a amassé des tas au cours du quart de siècle qui vient s'écouler, en voici deux parmi les plus célèbres :
Les piliers de la création (longs de 5 années-lumière) et Saturne
Il y a tout d'abord les piliers de la création qui ont été capturés pour la première fois en 1995. Ils sont longs d'environ... 5 années-lumière (soit plus de 47 000 milliards de km) et à une distance d'environ 6 500 années-lumière (il faut donc voyager pendant 6 500 ans à bord d'un vaisseau qui avance à la vitesse de la lumière pour les rejoindre). Comme vous pouvez le voir, l'image a depuis été retravaillée afin d'avoir des couleurs plus justes et avec un champ un peu plus large. On peut également citer l'aurore boréale de la région polaire sud de Saturne avec une série d'images prises au début de l'année dernière.
De manière plus générale, pour retrouver de nombreux clichés, triés, retravaillés et commentés, il faut se rendre sur cette page du site officiel de Hubble. Et si vous avez envie de savoir comment sont retraitées les photos envoyées par Hubble afin d'arriver à ce résultat, il y a une vidéo explicative :
Le remplaçant de Hubble sera le James Webb Space Telescope. Décollage en octobre 2018
Quoi qu'il en soit, l'avenir est d'ores et déjà en marche et le remplaçant de Hubble devrait être lancé en octobre 2018 par Ariane 5 depuis la Guyane. Il prendra place au point de Lagrange L2 opposé au Soleil par rapport à la Terre et à environ 1,5 million de km de nous. Alors que le miroir primaire de Hubble mesure 2,4 m, celui du James Webb Space Telescope (JSWP) ne mesure pas moins de 6,5 m. Espérons que ses premières années ne seront pas aussi mouvementées que celles de Hubble.
Ce nouveau télescope spatial était initialement baptisé Next Generation Space Telescope (ou NGST) avant de devenir le JWSP en l'honneur d'un ancien administrateur de la NASA. L'agence américaine indique qu'il « étudiera chaque phase de l'histoire de notre Univers, depuis les premières lueurs lumineuses après le Big Bang, à la formation de systèmes solaires capables d'abriter de la vie sur des planètes comme la Terre, à l'évolution de notre propre système solaire ». Notez qu'il s'agit là encore d'un projet commun entre trois agences spatiales : la NASA, l'ESA (European Space Agencey) et la CSA (Canadian Space Agency).
Interrogé par l'AFP, l'astronaute et membre de l'équipe scientifique du JWSP Mark Clampin explique que « le Webb pourra aller jusqu'à au moins 300 millions d'années après le Big Bang [qui a donné naissance à notre univers il y a 13,8 milliards d'années, ndlr] quand les toutes premières étoiles et galaxies sont apparues ». Il ajoute que ce télescope pourra également servir à la recherche de signes de vie extra-terrestre : « Le Webb pourrait permettre de faire des progrès importants dans la quête pour la vie dans l'univers, car le télescope est suffisamment puissant pour pouvoir détecter des bio-signatures dans l'atmosphère de ces planètes ». Autant dire que les prochaines années promettent d'être intéressantes.
Sa construction n'est pas encore terminée et si vous souhaitez la suivre en direct, c'est possible via deux webcams qui se mettent à jour toute les minutes. Des timelapses sont également mis en ligne de temps en temps et vous pouvez les retrouver sur la chaine YouTube officielle du projet.
Hubble fête ses 25 ans d’observation de l’Univers, la relève se prépare
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Hubble : un télescope de 11 tonnes qui tourne autour de la Terre à plus de 28 000 km/h...
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... mais qui fait des photos floues à ses débuts
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Quand une mission de maintenance est écourtée à cause... du « bug de l'an 2000 »
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Hubble : un CPU 80486 aux commandes et 120 Go de données transmises par semaine
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Hubble a-t-il permis de faire des avancées scientifiques majeures ?
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Un artiste en orbite
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Le remplaçant de Hubble sera le James Webb Space Telescope. Décollage en octobre 2018
Commentaires (50)
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Abonnez-vousLe 24/04/2015 à 15h22
25 ans déjà ? " />
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Le 24/04/2015 à 15h29
Génial l’article. Il y a tout ce qu’il faut pour les passionés : des infos, des dates, de l’histoire et des vidéos.
Merci
Le 24/04/2015 à 15h30
Merci pour cet article très intéressant ! Tout ça ne nous rajeunit pas…
Le 24/04/2015 à 15h43
Le 24/04/2015 à 15h51
En positionnant le JWSP au point L2, ça rend quasi impossible toute mission de maintenance. Quand on sait que Hubble a eu 5 maintenances, je trouve ce choix curieux.
Le 24/04/2015 à 22h52
Le premier avantage des télescopes spatiaux, c’est le temps d’exposition continu.
Comme expliqué dans la vidéo d’e-penser, on peux laisser pointer des dizaines d’heures en continu… Chose qu’un télescope terrestre ne pourra que fonctionner entre 23h et 4h du matin par exemple.
Pour les longueurs d’ondes en dehors du spectre “presque visible”, les télescopes géants et donc terrestres sont adaptés via les méthodes d’interférométrie. Et l’absorption de l’atmosphère est largement compensé par la taille et l’écartement des antennes.
Pour le spectre “presque visible”, les images de l’espace seront toujours plus “claires”, moins floues et permettent d’aller plus loin (dans le temps, et donc l’espace " /> ).
Le 24/04/2015 à 22h56
Sa vitesse de croisière est de 28 000 km/h
Sans référentiel, cette phrase ne veut rien dire.
Et tous les médias font la même connerie.
Le 24/04/2015 à 23h51
Sachant que la Terre se déplace déjà à environ 110 000 km/h dans le repère héliocentrique, ça ne peut être que dans le repère géocentrique et ça correspond donc à sa vitesse orbitale.
Le 25/04/2015 à 07h20
Article très intéressant et les commentaires m’en ont appris également beaucoup.
Merci pour le tout.
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Le 25/04/2015 à 07h44
J’étais à la soirée consacrée au HST hier à Toulouse, très intéressant à voir (et écouter) :)
Le 25/04/2015 à 08h43
Il n’a pas tort.
Pour parler de prendre des photos de la terre, le repère terrestre me semble plus adpaté.
De toute façon, ici l’important c’est 100minutes/révolution (et encore référenciel ?), les km/h on s’en fout.
Le 25/04/2015 à 08h49
Très sympa cet article
Merci msieur
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Le 25/04/2015 à 09h14
J’espère que la NASA proposera un pack des plus belles photos, un Hubble Bundle -
Le 25/04/2015 à 09h19
Le site des photos ne te suffit pas ?
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Le 25/04/2015 à 09h24
Le jeu de mot était trop tentant " />
Le 25/04/2015 à 09h27
Ouais mais même, quand on donne une vitesse dans l’espace on indique par rapport quoi est calculée cette vitesse.
Le 25/04/2015 à 09h27
Le 25/04/2015 à 09h53
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Le 25/04/2015 à 10h39
Merci pour cette information ^ ^
Le 25/04/2015 à 12h49
Le choix du point L2 est avant tout pour l’obligation de conserver toute l’optique en permanence à l’ombre, derrière le pare soleil du télescope, afin que l’ensemble reste à une température constante de 40 K.
Le 25/04/2015 à 15h45
Le 25/04/2015 à 15h53
Pour ceux ayant un permis, ils peuvent de faire une idée de la vitesse.
Le 25/04/2015 à 18h11
A propos de permis, il n’est pas précisé dans le code de la route que la limitation de vitesse doit être calculée en prenant le sol comme référentiel :)
Le 25/04/2015 à 18h21
T’as encore un poil de cul sur la langue.
Le 25/04/2015 à 21h56
Ok merci de tes éclaircissement.
Le 25/04/2015 à 21h57
Ok
Merci
Le 26/04/2015 à 00h01
Je vais surement dire une connerie, mais au point de Lagrange L2, le photo-voltaïque marche moins bien, non?
Sinon merci pour l’article ;)
Le 26/04/2015 à 02h35
Le 26/04/2015 à 16h24
Le 27/04/2015 à 02h52
Aucun rapport.
D’ailleurs je ne critique pas l’article en entier mais un point de détail.
Et que ça émoustille tes hormones de fanboy basique qui se prend pour le sauveur du rédacteur façon super héros en slip et collants moulants flashy, disons que ça m’en secoue l’une sans toucher l’autre.
Le 27/04/2015 à 07h22
Le 27/04/2015 à 07h57
6000W.. fichtre, je pensais pas autant quand même..
Le 27/04/2015 à 11h33
Le sommet du cône d’ombre est presque exactement au niveau du point L2. Mais ce n’est pas un problème, car les satellites ne restent jamais sur les points de Lagrange, mais orbitent autour de ceux-ci. C’est le cas de SOHO par exemple, côté Soleil, qui orbite autour de L1.
L2 est d’ailleurs déjà orbité par plusieurs satellites d’observation de l’univers.
Le 27/04/2015 à 15h25
Le 24/04/2015 à 15h55
Bien sympa cet article
Le 24/04/2015 à 16h06
La fin du programmes des navettes spatiales fait que même en orbite proche, l’humanité ne dispose plus des capacités pour faire ce genre d’opération.
L’avantage du point de lagrange c’est qu’il est beaucoup moins pollué que l’espace proche (Hubble est à 600 km de la terre , L2 est à 1.5 Million de km) .
De plus ca fait quelques temps qu’on envoit des sattelites d’observation à L2 ( Planck / gaia en autres) et on est confiant sur l’expérience acquise
Le 24/04/2015 à 16h17
L’histoire du champ extrêmement profond de Hubble.
Le 24/04/2015 à 16h18
Oui, d’ailleurs la vidéo est déjà dans l’actu " />
Le 24/04/2015 à 16h23
Je viens de réaliser qu’il y a un lien vers la vidéo. " />
Le 24/04/2015 à 16h36
Au pire on enverra une sonde robotisé (comme les mini sous-marin actuel) pour la maintenance, doit être moins compliqué que le rover sur Mars.
Le 24/04/2015 à 16h43
Le 24/04/2015 à 16h59
Les racistes en ferait une jaunisse tellement le blanc est en minorité dans l’espace." />
Le 24/04/2015 à 17h00
Merci pour cette article on voit que Sebastien est “the passionnee” astronomie de NXI
puis souvenir 80386 et maintenance de Hubble ca nous rajeuni pas
edit . oups quelque jours de APOD en retard " />
Le 24/04/2015 à 17h02
Le 24/04/2015 à 17h05
la video imax de la maintanance de Hubble au futuroscope
pas mal pour ceux qui aime sinon sieste
Le 24/04/2015 à 17h46
Merci pour l’info ! C’est quand même d’une avancée majeure en matière d’astronomie optique dont on parle.
Quand à son successeur, ça promet. À suivre !
Le 24/04/2015 à 19h05
Étonnant que l’on souhaite mettre de nous un télescope en orbite, je croyais que des observatoires comme celui du Las Campanas ou celui de Cerro Paranal on arrivait avec l’Interférométrie optique d’augmenter la taille des télescope. Quand à la pollution lumineuse est quasiment absente et les interférences sont corrigées avec un traitement logiciel.
Le 24/04/2015 à 19h46
un bien bel article, super.
Le 24/04/2015 à 20h22
Le 24/04/2015 à 20h45