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[Critique geek] Maggie : Schwarzy touchant… dans un film de zombies

Voilà Maggiiiiiiiiiiiie

[Critique geek] Maggie : Schwarzy touchant... dans un film de zombies

Le 30 mai 2015 à 16h00

Parfois, il arrive que l'on se fasse surprendre par une bande-annonce, avec un film qui opte pour un angle et des choix auxquels nous ne nous attendions pas. Avec Maggie, on nous promet de traiter le sujet des zombies de manière presque intimiste. Nous avons voulu voir si le pari était réussi.

Si cela fait bien longtemps que les zombies font recette, on assiste depuis quelques années à un retour du phénomène sur le devant de la scène, notamment sous l'impulsion du succès de The walking dead. Au-delà de la bande-dessinée, c'est d'ailleurs la série diffusée par HBO (OCS en France) qui fait désormais référence pour le grand public. Et si tout a déjà été essayé ou presque en matière de revenants, nous ne sommes jamais à l'abri d'une tentative qui sort des sentiers battus. C'est l'impression que nous avais donné Maggie lorsque nous avions découvert sa bande-annonce pour la première fois.

Schwarzy ne protège pas que Sarah Connor

Il faut dire qu'elle avait de quoi interpeller. On y trouvait un Arnold Schwarzenegger en père aimant, cherchant à protéger une fille en pleine zombification, le tout avec un rythme et un parti pris dans le traitement du sujet qui n'ont rien à voir avec les productions plutôt bourrines qui mettent en scène notre ex-Gouverner de Californie. De quoi nous donner envie d'aller voir cette première réalisation signée Henry Hobson, ne serait-ce que par curiosité, alors que nous sentions que l'expérience allait être soit géniale, soit décevante.

Maggie, c'est donc l'histoire d'un monde en pleine descente d'apocalypse suite à la propagation d'un virus : le Necroambulist. Sa particularité ? Faire entrer votre corps dans une sorte de décomposition et aiguiser certains de vos sens de manière à ce que vous sentiez vos congénères comme s'ils étaient de grosses brochettes sur pattes... dans lesquelles vous rêvez de croquer. Mais ici, pas question d'une transformation rapide, l'incubation est de plus ou moins six semaines, selon la résistance des sujets. Un choix qui aura toute son importance.

Épidémie de zombie : et si l'on s'en tirait assez bien pour devoir le gérer au quotidien ?

Alors que les institutions sont complètement dépassées, chacun tente d'apprendre à vivre avec cette situation. C'est notamment le cas de Wade Vogel, un fermier bourru, mais tendre, presque taiseux, dont la fille a été contaminée. Un enfant d'autant plus cher à ses yeux qu'il est le seul vestige de sa précédente femme, décédée. Grâce à ses relations, notre bonhomme va donc pouvoir ramener sa fille chez lui avant que son cas ne mérite une mise en quarantaine.

Le film nous propose alors non pas d'imaginer la transformation d'une bonne partie de la population mondiale comme une survie permanente où la seule préoccupation serait de casser du zombie en évitant de se faire trahir par un autre être humain. Mais plutôt d'imaginer ce qu'il se passerait si l'humanité n'était non pas ravagée, mais arrivait à peine à sortir la tête de l'eau. La bataille prend alors plutôt la forme d'une longue résistance et d'un besoin de réadaptation complet, notamment pour ce qui est de notre façon de considérer ces proches, potentiellement dangereux, qui ont déjà un pied dans la tombe, mais que l'on peut voir vivre à nos côtés presque comme si de rien n'était.

Un angle qui rappelle un peu la mini-série In the flesh, mais qui est traitée avec une certaine poésie. Une façon de faire qui se retrouve tant dans l'image que dans le ton ou le rythme du film, où silences et belles images ont toute leur place. L'ensemble est plutôt aidé par le duo d'acteur principal parfaitement dans son rôle, et l'on se retrouve à se faire surprendre par un Schwarzenegger  plutôt bon dans un tel registre, souvent touchant.

Une bonne idée et de belles images ne font pas forcément un bon film

Pour autant, le film peine à convaincre. Des silences, certains retiendront une tendance à l'ennui. La poésie des images semble aussi être un prétexte pour éviter au scénariste d'avoir à creuser son sujet. Ainsi, alors que le concept de départ est plutôt prometteur, tout est traité en surface. Le contexte, la gestion des malades, l'entourage de la famille. Si plusieurs scènes nous font toucher du bout des doigts ces problématiques, c'est pour mieux passer rapidement à autre chose. De quoi laisser un petit arrière-goût, celui de l'acte manqué.

Si Maggie arrive parfois à faire naître un léger suspens, on est souvent assez peu étonné par les quelques évènements que l'on nous donne à se mettre sous la dent. Ainsi, un peu comme ces zombies en recherche de chair fraiche, au bout des 95 minutes que dure le film, on reste sur notre faim.

À l'heure où nous écrivons ces lignes, Maggie a droit à une note de 2,6 chez Allociné et de 5,8 chez IMDb. Le film n'est pas encore disponible en précommande.

Commentaires (48)

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Je l’ai vu j’ai détesté ce Maggie.

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J’ai déjà dis dans une autre  news… J’ai commencé à regarder Maggie et n’ai pas vu le tiers restant tant je me suis ennuyé et que chaque scènes est prévisible.

 

Définitivement, les films qui traitent les zombis, ce n’est plus mon truc depuis un bon moment.

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goodwhitegod a écrit :



J’ai déjà dis dans une autre  news… J’ai commencé à regarder Maggie et n’ai pas vu le tiers restant tant je me suis ennuyé et que chaque scènes est prévisible.

 

Définitivement, les films qui traitent les zombis, ce n’est plus mon truc depuis un bon moment.





Donc tu es sorti de la salle de cinéma en cours de séance?&nbsp;<img data-src=" />


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Beginner a écrit :



Donc tu es sorti de la salle de cinéma en cours de séance?&nbsp;<img data-src=" />





Ou alors il a du voir ça en screener pourrave… dans les deux cas c’est très con… :/


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goodwhitegod a écrit :



&nbsp; Définitivement, les films qui traitent les zombis, ce n’est plus mon truc depuis un bon moment.





Warm Bodies ?


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Le film est bien différent des autres films de zombie, ca surprend qd mm&nbsp;

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&nbsp;PS : &nbsp;Schwarzy n’a jamais été sénateur mais gouverneur de Californie

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Je me suis fait chier comme un rat mort.

&nbsp;



&nbsp;Attendre pendant 1h30 interminables (en sortant j’étais persuadé que le film avait duré 2h) la mort inéluctable d’une ado dans un monde post-apo déprimant et sans espoir, la prochaine fois pour passer une bonne soirée je regarderai un documentaire sur la shoah…

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il faut aller voir des films d’action dans ce cas <img data-src=" />

(merci pour le spoiler, même si on s’en doutais avec la bande annonce)

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Schwarzy vire tafiole, infoutu de canarder du zombi, tout fout’l’camp <img data-src=" />

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joma74fr a écrit :



(merci pour le spoiler, même si on s’en doutais avec la bande annonce)





J’ai pas dit que c’est ce que arrivait. J’ai dit que c’est ce qu’on attendait…


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Celui-ci est justement très sympa j’ai trouvé ;-)

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Pour information, la série Walking Dead est diffusée sur AMC aux EU, et non pas HBO.

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c’est Un film du genre “in the flesh” ?

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J’attendais avec beaucoup d’enthousiasme,mais chiant,trop chiant,de belle images,faut avouer que ce point de réalisation est bien vu,mais chiant comme la mort.

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J’ai bien aimé moi, je l’ai même trouvé très bien. Ça change des films de zombies vus et revus en ouvrant un nouvel angle, sans action et plus sentimental. Je me suis même pris à trouver que Schwarzy était bon acteur.

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Essaie “Exit humanity”, tu m’en dira des nouvelles.

Par contre je ne l’ai jamais trouvé en francais.



Quand a Maggie, personne ne note la flagrante ressemblance avec Last of us ?

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En vidéo c’est mieux. <img data-src=" />

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Ou comment utiliser le prétexte du teen-zombie pour faire du pathos en racontant la réaction d’un proche face à la maladie de son enfant. C’est sûr que la zombification, c’est plus vendeur que l’ébola ou le sida auprès des geeks.



Sinon, j’attends avec impatience:




  • Forrest Zombie: l’histoire américaine vue au travers de la vie d’un zombie.

  • Million Dollar Zombie: un zombie sur le retour devient le coach d’une boxeuse.

  • Vol au-dessus d’un nid de zombies: un zombie se fait interner pour échapper à la prison.

  • Zombie dancing: la romance entre une zombie et son professeur de danse.

  • Brokeback Zombie: la relation interdite entre deux zombies hommes

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127.0.0.1 a écrit :



Ou comment utiliser le prétexte du teen-zombie pour faire du pathos en racontant la réaction d’un proche face à la maladie de son enfant. C’est sûr que la zombification, c’est plus vendeur que l’ébola ou le sida auprès des geeks.



Sinon, j’attends avec impatience:




  • Forrest Zombie: l’histoire américaine vue au travers de la vie d’un zombie.

  • Million Dollar Zombie: un zombie sur le retour devient le coach d’une boxeuse.

  • Vol au-dessus d’un nid de zombies: un zombie se fait interner pour échapper à la prison.

  • Zombie dancing: la romance entre une zombie et son professeur de danse.

  • Brokeback Zombie: la relation interdite entre deux zombies hommes







    Tu n’as pas trouvé ton bonheur dans Warm Bodies ?


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127.0.0.1 a écrit :



Ou comment utiliser le prétexte du teen-zombie pour faire du pathos en racontant la réaction d’un proche face à la maladie de son enfant. C’est sûr que la zombification, c’est plus vendeur que l’ébola ou le sida auprès des geeks.





Tu as tout compris, mais peut-être de travers. Moi je dis pourquoi pas. C’est juste un exercice de style, et effectivement toute autre maladie aurait attiré moins de monde.

J’ai même envie de dire qu’avec une autre maladie on aurait eu un film français?


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Le cancer du bras droit ? <img data-src=" />

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coucou_lo_coucou_paloma a écrit :



Le cancer du bras droit ? <img data-src=" />

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Effectivement, c’est juste un exercice de style… un peu comme du Shakespeare avec des ados-vampires, ou de l’Arlequin avec des ados-sorcières.



On ne m’enlèvera pas l’image d’une carotte marquée “geeks” qui se balade au bout d’une canne à pêche.

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127.0.0.1 a écrit :



Effectivement, c’est juste un exercice de style… un peu comme du Shakespeare avec des ados-vampires, ou de l’Arlequin avec des ados-sorcières.



On ne m’enlèvera pas l’image d’une carotte marquée “geeks” qui se balade au bout d’une canne à pêche.





Non juste surfer sur la vague des films et séries de morts vivant, qui marche très bien auprès du grand publique en ce moment, pas que des nerds.



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Tu confortes mon idée: ca marche bien.



Les zombies de 2015 sont comme les vampires de 2010.

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127.0.0.1 a écrit :



Tu confortes mon idée: ca marche bien.

Les zombies de 2015 sont comme les vampires de 2010.





On ne peut pas leur reprocher de vouloir que leur film soit vu par le plus grand nombre.

Y’a que Godard ou Mocky qui se permettent de faire de films qui ne seront pas vu <img data-src=" />



Schwarzy+Zombie ne rime pas vraiment avec film intimiste



Le pitch sur Allociné dit “son père[…]est déterminé[…]à la protéger […] même s’il lui faut affronter les forces de police”. Alors c’est sûr que, si au final on est plus dans le feeling que dans l’action, il y a tromperie sur la marchandise


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127.0.0.1 a écrit :



Tu confortes mon idée: ca marche bien.



Les morts vivants de 2015 sont comme les vampires de 2010.





C’est pas vraiment nouveau, Hollywood a toujours surexploité les sujets qui fonctionnent.



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127.0.0.1 a écrit :



Ou comment utiliser le prétexte du teen-zombie pour faire du pathos en racontant la réaction d’un proche face à la maladie de son enfant. C’est sûr que la zombification, c’est plus vendeur que l’ébola ou le sida auprès des geeks.





&nbsp;

La “zombification” ca apporte 2 composantes “dramatiques” supplementaires a la plupart des autres maladies il me semble.

&nbsp;

&nbsp;1/ Ton enfant malade va finir par essayer de te bouffer et

&nbsp;

&nbsp;2/ il ne “mourra” pas de sa maladie et pour le faire reposer en paix (et accessoirement eviter de crever, voir 1/) tu vas probablement devoir le buter toi meme … (apres dans Maggie, je sais pas si c’est traite, j’ai pas vu).

&nbsp;

&nbsp;Ca rajoute un bonne grosse couche de fucked-up a une situation deja fucked-up (qui elle existe bien notre monde reel). Bon apres dans la vie reelle, par rapport a 2/, il ya aussi la question de l’euthanasie, mais bon ca se fait rarement a coup de barre a mine a travers le crane.

&nbsp;


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Je sais que je me connecte tard… Tu te doutes que je n’étais pas dans un cinéma.

Heureusement, ça m’aurait fait mal de m’être déplacé et payer pour ce film.

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Galahad a écrit :



La “zombification” ca apporte 2 composantes “dramatiques” supplementaires a la plupart des autres maladies il me semble.

 

 1/ Ton enfant malade va finir par essayer de te bouffer et

 

 2/ il ne “mourra” pas de sa maladie et pour le faire reposer en paix (et accessoirement eviter de crever, voir 1/) tu vas probablement devoir le buter toi meme … (apres dans Maggie, je sais pas si c’est traite, j’ai pas vu).

 

 Ca rajoute un bonne grosse couche de fucked-up a une situation deja fucked-up (qui elle existe bien notre monde reel). Bon apres dans la vie reelle, par rapport a 2/, il ya aussi la question de l’euthanasie, mais bon ca se fait rarement a coup de barre a mine a travers le crane.







Bof. Ca n’ajoute pas beaucoup de composante supplémentaire par rapport à une maladie contagieuse, une psychopathie sévère, une possession démoniaque, un alien dans l’estomac, … Dans tous les cas, la proximité avec ton enfant finira par te tuer.



Non vraiment, mettre à l’affiche schwarzy+zombie pour faire dans le pathos, ca m’a l’air d’un attrape couillon.

Un peu comme mettre à l’affiche Chuck Norris+Extra-terrestres pour faire une comédie romantique.


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127.0.0.1 a écrit :



Bof. Ca n’ajoute pas beaucoup de composante supplémentaire par rapport à une maladie contagieuse, une psychopathie sévère, une possession démoniaque, un alien dans l’estomac, … Dans tous les cas, la proximité avec ton enfant finira par te tuer.



Non vraiment, mettre à l’affiche schwarzy+zombie pour faire dans le pathos, ca m’a l’air d’un attrape couillon.

Un peu comme mettre à l’affiche Chuck Norris+Extra-terrestres pour faire une comédie romantique.





Le problème, c’est que si tu ne mets pas Schwarzy et des zombies, et que tu prends une maladie “standard”, tu fais même pas 100.000 entrées et ton film fini en deuxième partie de soirée sur Arte…


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Ok, mauvaise interprétation de ma part.

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Nathan1138 a écrit :



Je me suis fait chier comme un rat mort.

 



 Attendre pendant 1h30 interminables (en sortant j’étais persuadé que le film avait duré 2h) la mort inéluctable d’une ado dans un monde post-apo déprimant et sans espoir, la prochaine fois pour passer une bonne soirée je regarderai un documentaire sur la shoah…





Personne le l’a encore fait, donc je prends les devants pour te dire que ton commentaire est profondément idiot

Je ne vois pas comment on peut mettre ces deux “thèmes” sur le même plan



J’espère que ton commentaire a été écrit sous le coup de l’alcool en ce soir de sortie


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ludo0851 a écrit :



Personne le l’a encore fait, donc je prends les devants pour te dire que ton commentaire est profondément idiot

Je ne vois pas comment on peut mettre ces deux “thèmes” sur le même plan



J’espère que ton commentaire a été écrit sous le coup de l’alcool en ce soir de sortie





D’un autre côté, avec des gens formatés à l’ultra-violence quotidienne des JT, séries, films & autre JV (sans connotation, je suis adepte aussi :p), c’est difficile d’attendre de la majorité d’entre-eux une réflexion sur les mots “Film intimiste”.

&nbsp;

Ils voient “film” + “zombie” et hop direct ça doit saigner, être rapide, violent, il doit pleuvoir des balles/coups de machettes ; et non pas conduire une réflexion sur le rapport entre un père et une fille dans un climat post-apo.

&nbsp;



Donc perso’ je n’attend rien de spécialement intelligent de la part de personnes qui ont la capacité de réflexion d’une huitre, et tu devrais faire pareil en ne notant même pas son commentaire (comme l’ont fait les gens avant).


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philanthropos a écrit :



D’un autre côté, avec des gens formatés à l’ultra-violence quotidienne des JT, séries, films & autre JV (sans connotation, je suis adepte aussi :p), c’est difficile d’attendre de la majorité d’entre-eux une réflexion sur les mots “Film intimiste”.

 

Ils voient “film” + “zombie” et hop direct ça doit saigner, être rapide, violent, il doit pleuvoir des balles/coups de machettes ; et non pas conduire une réflexion sur le rapport entre un père et une fille dans un climat post-apo.

 



Donc perso’ je n’attend rien de spécialement intelligent de la part de personnes qui ont la capacité de réflexion d’une huitre, et tu devrais faire pareil en ne notant même pas son commentaire (comme l’ont fait les gens avant).



Je trouve que tu résumes très bien la situation… <img data-src=" />



Non mais allo quoi !! <img data-src=" />

Si faut réfléchir sur un film de zombies que y’a même pas de sang qui gicle et de têtes arrachées, non mais où est-ce que va-t-on ? <img data-src=" />


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philanthropos a écrit :



Ils voient “film” + “zombie + Schwarzy” et hop direct ça doit saigner, être rapide, violent, il doit pleuvoir des balles/coups de machettes ; et non pas conduire une réflexion sur le rapport entre un père et une fille dans un climat post-apo.







<img data-src=" />







gavroche69 a écrit :



Je trouve que tu résumes très bien la situation… <img data-src=" />



Non mais allo quoi !! <img data-src=" />

Si faut réfléchir sur un film de zombies que y’a même pas de sang qui gicle et de têtes arrachées, non mais où est-ce que va-t-on ? <img data-src=" />







Oui tout fout’l’camp comme dit plus haut. La vraie question étant celle qu’avait posée un très grand penseur du siècle dernier: “jusqu’où vont-ils s’arrêter ?” (ces iconoclastes qui nous pondent de tels films, évidemment <img data-src=" /> )


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Vous êtes partis très loin, les gars. Mais si me considérer comme un débile drogué à la violence cinématographique peut vous aider dans votre propre psychanalyse, be my guest.

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philanthropos a écrit :



&nbsp;c’est difficile d’attendre de la majorité d’entre-eux une réflexion sur les mots “Film intimiste”.





Un film peut être “intimiste” (je mets des guillemets parce que bon, l’intimisme, c’est comme le cinéma d’auteur, on y met ce qu’on veut) sans être chiant. Shining, American Beauty et Lost in Translation sont des films intimistes, mais pas pour autant chiants.

&nbsp;

Maggie, si. C’est mou, chiant et sans intérêt. C’est d’ailleurs ce que dit l’auteur de l’article.


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okeN a écrit :



J’ai bien aimé moi, je l’ai même trouvé très bien. Ça change des films de zombies vus et revus en ouvrant un nouvel angle, sans action et plus sentimental. Je me suis même pris à trouver que Schwarzy était bon acteur.





+10

&nbsp;

&nbsp;J’ai bien aimé ce film et son coté réaliste&nbsp; et humain.

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On ne se retrouve enfin pas avec des gens qui se transforment en zombies en 2 min (complètement con comme idée), pas avec des gens qui déblatèrent leurs problèmes existentiels complètement improbables pendant qu’ils se font bouffer par des zombies (ça c’est LA grosse connerie insupportable de The Walking Dead).

&nbsp;

&nbsp;On y aborde enfin le coté de la transformation, la question de savoir si les zombies sont encore des hommes ou non, et surtout comment une famille peut traiter ça, comment un état pourrait y faire face de façon RÉALISTE (envoyer l’armée pour tirer sur tout ce qui bouge, ce n’est que de la grosse connerie de scénariste incapable de réfléchir plus de 2 secondes).

&nbsp;

Ce qui est dommage, c’est qu’effectivement ça manque un peu de profondeur, ça aurait mérité plus de développement dans certains cas.

&nbsp;

&nbsp;Bon jeu d’acteur de Schwarzy mais Abigail Breslin a raté le sien

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Morts vivants pas Zombies, faire cette erreur et appeler ça la critique Geek <img data-src=" /><img data-src=" />


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Ça fait longtemps que la rigueur et la précision ne sont plus associées au “geek”.



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misterB a écrit :



Morts vivants pas Zombies, faire cette erreur et appeler ça la critique Geek <img data-src=" /><img data-src=" />





Sauf que si tu avais vu le film, tu saurais qu’on parle bien de zombies au sens strict et pas de morts-vivants.

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js2082 a écrit :



Sauf que si tu avais vu le film, tu saurais qu’on parle bien de zombies au sens strict et pas de morts-vivants.

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&nbsp;<img data-src=" />







Infecté par un virus c’est mort vivant, zombie ce sont des personnes contrôlés par une sorcière voodou ou autre forme de contrôle.


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Ce sous-titre …

&nbsp;

J’ai eu un violent retour en enfance. Et tout le générique m’est revenu d’un coup en tête ! <img data-src=" />

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Infecté par un virus, c’est infecté par un virus… Sinon quand tu as la grippe, tu es un mort vivant ?&nbsp;&nbsp;



&nbsp;Mort vivant cela veut dire que la personne décède et que son cadavre se meut.

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Au mon dieu !!! Il a dit Shoah…&nbsp;



&nbsp;Cela s’appel de l’humour noir.&nbsp;

&nbsp;Pète un coup, ça ira mieux…&nbsp;

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Nerdebeu a écrit :



Schwarzy vire tafiole, infoutu de canarder du zombi, tout fout’l’camp <img data-src=" />





+1 !


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Elle voit souvent rouge

Avec elle ça bouge

Maggie soleil ou bien Maggie larmes

On est sous le charme

Quand son cœur s’enflamme

Elle joue toute la gamme

Oh Maggie elle fait sa météo

Chez elle il y fait toujours beau



En robe de soir, en pyjama elle est la même

Elle change de crème, elle change d’extrême

Mais elle change pas

Maggie le jour, Maggie la nuit

C’est un poème

Un peu beaucoup, à la folie

C’est elle quand même (qu’on aime?)



Maggie, Maggie, Maggie, voilà Maggie

Elle crie (mais c’est toujours tendresse)

Elle rit (mais (et?) c’est jamais tristesse)

Elle vit (toujours à toute vitesse)

C’est ça Maggie !!



Elle change de mari, elle change pas d’amis

Mais ce qu’elle aime Maggie, c’est qu’on l’aime

Ou bonjour la scène

Elle aime les orages, mais pas les nuages

Superficielle et puis naturelle

Son climat c’est l’arc-en-ciel



Côté cœur ou côté jardin, elle fait la loi

Petits malheurs ou petits chagrins, elle connaît pas

Mais quand c’est son cœur qui balance, y’a pas de mesure

Avec elle y’a toujours une chance, c’est sa nature



Maggie, oh Maggie, oh Maggie, voilà Maggie

Elle triche (crie??) (mais c’est toujours tendresse)

Elle rit (et c’est jamais tristesse)

Elle vit (toujours à toute vitesse)

C’est ça Maggie !!



Y’a vingt(30?) ans qu’elle a eu vingt ans, mais faut pas croire

De temps en temps elle prend le temps de jouer les stars

Quand elle nous fait son cinéma, on ne voit que ça

C’est toujours en Technicolor, mais on l’adore



Maggie, Maggie, Maggie, voilà Maggie

Elle crie (mais c’est toujours tendresse)

Elle rit (mais c’est jamais tristesse)

Elle vit (toujours à toute vitesse)

C’est ça Maggie !!



Maggie Maggie Maggie voilà Maggie

Elle crie (mais c’est toujours tendresse)

Elle rit (mais c’est jamais tristesse)

Elle vit (toujours à toute vitesse)

C’est ça Maggie !!

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Merci de t’inquiéter pour ma santé, ça va très bien.

Par contre, quand je vois ton orthographe je préfère voir un film sur la shoah que d’avoir à te lire



Il aurait dit directement qu’il préférait regarder Shining (cf #21) s’eût été “plus mieux”.

Puis Shoah ou documentaire sur Marc Dutroux ou vidéo de Daesh, ça aurait été pareil et puis j’avais laissé une piste pour le 2° degré (c’est le fait de mettre sur un meme plan horreur réelle et virtuelle qui était dérangeant)



Mais il s’est expliqué depuis

[Critique geek] Maggie : Schwarzy touchant… dans un film de zombies

  • Schwarzy ne protège pas que Sarah Connor

  • Épidémie de zombie : et si l'on s'en tirait assez bien pour devoir le gérer au quotidien ?

  • Une bonne idée et de belles images ne font pas forcément un bon film

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