Twitter contraint Politwoops à oublier les tweets politiques supprimés
Droit à l’oubli > Devoir de mémoire
Le 25 août 2015 à 08h18
4 min
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Twitter vient de désactiver l’API (interface de programmation ou Application Programming Interface) de Politwoops et Diplotwoops. Ces deux outils avaient pour mission de se souvenir des tweets effacés par les élus d’une trentaine de pays. Un choix regrettable pour les auteurs des deux projets.
Un politicien qui se déleste d’un tweet, se ravise et efface sa trace jugée finalement nauséabonde, inopportune ou mal calibrée... L’histoire de Twitter pullule d’exemples. Heureusement, Politwoops est l’heureuse initiative qui surveille les profils des eurodéputés, mais également les gazouillis laissés par les parlementaires d’une trentaine de pays. Elle scrute donc ce qui est posté pour mettre en avant les messages effacés par leurs auteurs. Officialisé en 2012, cet aiguillon mémoriel, utilisé notamment par les journalistes, a été doublé en 2014 par Diplotwoops. Une version surveillant les piaillements des ambassadeurs et autres diplomates.
Seulement ces deux outils agacent visiblement Twitter. L’Open State Foundation, qui avait lancé les premières pierres de Politwoops en 2010, vient en effet d’indiquer que le réseau social avait finalement suspendu l’accès à l’API Twitter dans l’ensemble des pays concernés, soit la France, la Grèce, l’Irlande, la Corée du Sud, l’Allemagne, la Tunisie, la Turquie, le Vatican et bien d’autres encore.
La terreur des tweets irrévocables
En guise de justification, Twitter a fait état à l’OSF d’une « délibération interne réfléchie » prenant en compte « un certain nombre de facteurs ». Selon le courrier reçu par l’éditeur, le réseau social a expliqué le fond de sa pensée : « imaginez combien il peut être angoissant – et même terrifiant – si poster des tweets était immuable et irrévocable ? Aucun utilisateur ne mérite cette capacité plus qu’un autre. La suppression d’un tweet est en effet l’expression d’un choix de l’utilisateur. »
La fondation ne partage évidemment pas l’analyse. « Ce que les élus disent publiquement est d’intérêt public. Même lorsque les tweets sont supprimés, cela reste une part de l’histoire parlementaire. (…) On ne parle pas de fautes de frappe, mais d’un aperçu unique sur la façon dont les messages des élus peuvent changer sans préavis » soutient Arjan El Fassed, directeur de l’OSF. Selon l’organisation, le public a le droit, garanti par de nombreuses constitutions, d’accéder aux informations qui ont été temporairement disponibles à tous.
Même regret chez la Sunlight Foundation, laquelle portât Politwoops aux États-Unis : la décision de Twitter rappelle « qu’Internet n’est pas vraiment une place publique. Nos conversations partagées s’établissent de plus en plus dans des jardins clos privés et gérés », encadrés par de sèches règles privées.
Ce coup de ciseau n’est pas une première. En mai dernier déjà, les versions américaines de ces sites avaient justement été coupées par Twitter, celui-ci ayant désormais imposé mondialement ce droit à l’oubli.
Pas de censure, mais l'application des termes du contrat
Dans un communiqué, le service en ligne explique d’ailleurs que les API exploitant cette fonctionnalité d’archivage ne sont pas conformes aux conditions générales d’utilisation de Twitter, son principal souhait étant de respecter « la voix de nos utilisateurs dans notre produit et la plateforme. »
Dans les termes du contrat liant les développeurs, ceux-ci s’engagent en effet à respecter l’intégrité du réseau et spécialement à « répondre rapidement aux changements de contenu rapportés via l’API Twitter, dont l’effacement ou la modification du statut (public ou protégé) des tweets ».
En clair, la décision de Twitter est en pleine conformité avec les dispositions contractuelles acceptées par les développeurs. D’un point de vue factuel, toutefois, elle vient à rebours du besoin des internautes, pas seulement des journalistes, de se souvenir des paroles publiques des élus : l’élu est certes un citoyen comme un autre, mais sa fonction politique est engageante pour l’avenir de la société.
Politwoops, en quête d'alternative, diffuse déjà l'intégralité des archives des tweets supprimés (fichier .csv). En toute évidence, Twitter ne pourra pas arrêter le courant marin avec son épuisette technico-juridique. La réaction des utilisateurs est suffisamment vive pour alpaguer les propos fleuris via une simple capture d’écran. Et Twitter n’a (heureusement) pas les moyens d’éradiquer cette fonctionnalité de tous les claviers du monde.
Twitter contraint Politwoops à oublier les tweets politiques supprimés
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La terreur des tweets irrévocables
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Pas de censure, mais l'application des termes du contrat
Commentaires (84)
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Abonnez-vousLe 25/08/2015 à 08h30
On en viendrait à se dire que certains sont venus taper à la porte de Twitter.
Le 25/08/2015 à 08h34
Pour le coup, c’est en effet un “détournement” des clauses de l’API de Twitter … pour le coup, au lieu de “refleter l’image actuelle de twitter”, ils font justement exactement le contraire : récupérer les suppressions …
Donc, pour le coup la suppression est, de mon point de vue, “pas choquante” … après, c’est en effet dommageable par rapport au service rendu de l’outil … maintenant ça ne les empêchera pas non plus de faire fonctionner le service en exploitant de manière plus discrète leur “nouvelle” API key … mais demander à Twitter de cautionner un détournement de leur API …
Le 25/08/2015 à 08h47
ça m’arrive de dire des conneries sur twitter… (conforme à la loi, non discriminant, non offensant juste une connerie) et ça me ferait chier qu’on s’amuse à les déterrer alors que je les ai supprimé. On tombe dans une course à la transparence qui tient au voyeurisme le plus poisseux…
Mais bon les tenants de la transparence absolue (à peu près les mêmes qui sont prêt à se foutre une puce d’identification dans le c) vont encore pousser des cris d’orfraies !
Le 25/08/2015 à 08h49
Assez d’accord, ces api ressemblaient assez à une mise sur écoute téléphonique par les journalistes. ces derniers n’aiment pas vraiment qu’on leur fasse la même chose. Et puis le droit à l’oubli est valable pour tous, y compris les politiques.
Le 25/08/2015 à 09h02
Normal. Next.
Ca nous arrive à tous de publier un truc sur un forum et de supprimer le message ensuite pour le reprendre ou le ré-écrire (corriger le ton, la forme, une idée exprimée, une réaction, etc).
Ainsi, une personne politique reste humaine et peut réagir à chaud puis se dire 3 minutes après : “houla, j’ai été con sur le coup, j’avais pas pensé à cela.” Et dans notre ère de la communication, ça ne pardonne pas. De toute façon, si ça doitt clasher, en général, l’info du twitt est directe reprise dans des news OMG WTF LOL.
Le 25/08/2015 à 09h05
C’est Twitter, pas le Journal Officiel. Que les politiques suppriment leurs bourdes s’ils le souhaitent.
Le 25/08/2015 à 09h07
Non ce cas, là tu peux argumenter, ou rajouter des postscriptums à travers de nouveaux message. Pour moi, internet est à l’image d’un courrier, “Les paroles s’envolent, les écrits restent.”. Si au lieu d’être dans l’instantané, on prenait le temps de poser des bases, on évite justement d’écrire des conneries lors d’un premier jet.
Le 25/08/2015 à 09h13
Le 25/08/2015 à 09h13
Dans ce cas, tu es contre le droit à l’oubli demandé à Google. Et/ou tu es contre le fait de pouvoir supprimer un message sur un forum quel qu’il soit (par exemple celui de NXI).
Le 25/08/2015 à 09h16
Le 25/08/2015 à 09h19
Qu’ils écrivent de la merde, ça dépend du niveau intellectuel du politicien en cause, certes :)
Qu’ils écrivent une bourde sur la base d’une information incomplète (tu peux penser avoir toutes les clés en main), et ensuite, tu t’aperçois qu’une info supplémentaire modifie la donne.
Sauf que dans notre ère de la communication, tout est amplifié, déformé, repris en boucle et en tête d’épingle. Donc tu supprimes ton twitt et tu le réécris. Ou tu le supprimes tout court car il n’a pas de valeur ajoutée au sujet en cours.
Le 25/08/2015 à 09h20
Quand j’envoie une lettre, je n’ai pas la possibilité de dire a mon correspondant ne la garde pas, renvoie la moi.
Twitter n’est pas whatsapp.
A plus forte raison, les bonimenteurs que sont nos politiques n’ont pas a ouvrir leurs bouche sans peser leurs mots, on ne leur apprend a parler correctement a l’ENA ?
Et ils ont assez de conseiller en com qui écrivent a leurs place a leur bon vouloir pour assumer leur bêtises.
Le 25/08/2015 à 09h26
Le 25/08/2015 à 09h27
Avec Twitter on est certes dans l’écrit mais dans la pratique ça ressemble beaucoup à l’oral : On réfléchis pas beaucoup avant de réagir, c’est le règne de l’instantané ^^
C’pas un blog quoi
Le 25/08/2015 à 09h29
Le 25/08/2015 à 09h32
D’abord les Guignols, maintenant Twitter… C’est un complot, j’vous dit !!!
De qui ? Heu… Ben… Ah ! On m’appelle… " />
Le 25/08/2015 à 09h36
1/ J’essaie de faire une analogie pour penser outside of the box (mes excuses si c’est bancal) :
“La différence, c’est qu’un salarié est un personnage privé employé directement par l’entreprise. Tout ce qu’il pense/dit/fait pendant son emploi, appartient à l’entreprise.”
Sauf que la loi interdit à l’entreprise de surveiller toutes nos actions en entreprise (surveillance des emails, du surf sur internet, etc). Ils peuvent le faire mais avec accord par une charte et ne peuvent pas réutiliser l’info pour l’afficher ailleurs sur un mur de l’entreprise par exemple.
2/ “appartient au peuple”… Mouais, il a des devoirs d’élu certes mais aussi des droits (que tu lui renies complètement là). Et je le répète, si ça doit être repris dans la presse, ça le sera. Donc l’info existera.
3/ Je n’utilise pas Twitter mais, à mon sens, il ne doit pas y avoir de distinction entre un utilisateur lambda et un autre en fonction de son métier. Soit on supprime le droit de supprimer à tout le monde, soit on le laisse.
Le 25/08/2015 à 09h37
Le 25/08/2015 à 09h48
Ce que dit une personnalité politique sur son compte officiel (public) est du niveau d’une parole officielle, comme celle qu’il donne au micro de n’importe quel journaliste. Tout ce qu’il y mets doit être réfléchis.
Le 25/08/2015 à 09h52
Ils est normal qu’il puissent supprimer un tweet mais il serai bien que nos cher politiques comprennent que c’est un espace public où leurs paroles ont des conséquences et qu’ils apprennent a peser leurs mots.
Le 25/08/2015 à 09h53
je sais qu’il faut pas feed, mais continu, t’es pas loin de gagner un point !
Personnage public = pas le même droit à l’oubli, quand il s’exprime dans son rôle de personnage public.
Par exemple, Un particulier peu demander d’être flouté sur un extrait vidéo afin de ne pas y être reconnaissable, un personnage public je pense pas .. ( je dis peu être de la merde, si quelqu’un peu corriger/affirmer )
Le 25/08/2015 à 09h55
Le 25/08/2015 à 12h11
Je suis d’accord avec tes 2 points " />
Ca pourrait être des twits avec des liens vers un texte plus complet.
Le 25/08/2015 à 12h14
Le 25/08/2015 à 12h15
5 ans c’est deja trop…" />" />
Le 25/08/2015 à 12h16
Le 25/08/2015 à 12h17
Le 25/08/2015 à 12h19
Le genre d’article qui me fait détester la presse :
Au final l’info parle d’un tweet qui tombe symboliquement au mauvais moment. Ca prend qu’une phrase, donc tu saupoudre de tweet, de wikipedia, de deux paragraphes pour dire que NXI a appelé le ministère et d’une procédure absurde.
Mais si ca te fait rire alors continuons.
Le 25/08/2015 à 12h30
Le 25/08/2015 à 12h57
Le 25/08/2015 à 13h18
Le 25/08/2015 à 13h31
juste au dessus de la limite donc
Le 25/08/2015 à 14h00
Le 25/08/2015 à 14h02
Je ne dit pas le contraire je répondais juste par un exemple simple d’erreur de jeunesse que la justice ce doit d’oublier.
eliumnick parlais de meurtre à la base….
Le 25/08/2015 à 14h16
Ma remarque est plutôt là pour expliquer pourquoi les utilisateur écrivent sans se relire ;)
On sait très bien que le fonctionnement de Twitter pousse les gens à réagir vite, sinon tu te fais devancer par un autre utilisateur qui aura plus de chance d’avoir des retweet que toi puisqu’il a l’antériorité…
Le 25/08/2015 à 14h28
Effet Streiswoops en approche, merci Twitter " />
Le 25/08/2015 à 14h45
" /> t’en fais pas, c’était juste un troll. J’ai toujours l’espoir que ça finisse par être légal et je touche du bois pour pas avoir une trace judiciaire parce que je suis cannabinophile et pas alcoolique " />
Le 25/08/2015 à 14h50
Mais ouai cette article c’est le début de la révolution, c’est 1789, c’est 1968, c’est le peuple qui marche dans la rue, c’est la population qui comprend qu’on lui marche dessus.
Ou alors c’est juste de la merde pour faire liker et re-twitter des révolutionnaires en canapés qui pensent que donner une fausse adresse mail sur la dernière pétition de change.org suffira à changer le monde.
Le 26/08/2015 à 08h13
Le 26/08/2015 à 08h16
Le 26/08/2015 à 08h17
Le 26/08/2015 à 08h22
Le 26/08/2015 à 08h23
Le 26/08/2015 à 08h24
tu tends la perche " />
Et je n’en consomme plus, trop dégueulasse
Le 26/08/2015 à 08h25
Le 26/08/2015 à 08h38
Le 26/08/2015 à 08h44
Le 26/08/2015 à 08h46
Yep ca m’évite de me rendre compte que des gens considèrent twitter comme parole officiel et un RT comme du journalisme….
Mais bon y’a des gens qui lisent, qui aiment et qui doivent penser qu’ils ont vraiment appris quelque chose sinon ca marcherait pas ce genre d’article pour décérébrés. Y’a même des gens qui les défendent…
Le 26/08/2015 à 08h55
J’essaie de finir No-Tek/Explore Toi en label, mais certains introuvables " />
Je t’ai envoyé un MP " />
Le 26/08/2015 à 11h08
Dans la majorité des boîtes, utiliser son mail pro à des fins personnelles est contraire à la charte d’utilisation des moyens informatiques. C’est souvent toléré, mais si ça cause un problème, c’est pour ta pomme. Du coup, je dirais mauvais exemple " />
Le 26/08/2015 à 12h38
La messagerie est un service à usage professionnel. Toutefois, une utilisation raisonnable, dans le cadre de la vie courante et familiale, est tolérée à condition qu’elle n’affecte ni l’activité professionnelle ni le fonctionnement ou la sécurité du système d’information, ne conduise pas à des investissements supplémentaires et ne porte pas atteinte aux intérêts ou à l’image de la xxxxx.
Je peux " />
Le 26/08/2015 à 14h31
Belle mentalité de la part de twitter…
Le 25/08/2015 à 10h02
Le 25/08/2015 à 10h10
Être une personnalité publique n’interdit pas d’avoir une vie privé, mais il est au courant que tout ce qu’il fait sciemment en public en particulier sur un média de diffusion comme twitter (mais aussi derrière un micro d’un journaliste) sera potentiellement surveillé et analysé à un moment donné.
Ils doivent quand même se rappeler que non on ne parle par du bronze que l’on a coulé à l’instant dans les toilette du sénat sur son twitter officiel ou dire que dès que c’est possible, on fera tout pour supprimer Hadopi alors que une fois au pouvoir on fait tout pour lui donner plus de pouvoir.
Le 25/08/2015 à 10h16
Le 25/08/2015 à 10h18
Le 25/08/2015 à 10h20
Le 25/08/2015 à 10h27
et tu sais quoi? ça expire déjà, un casier … Mon dieu, internet n’a pas inventé le droit à l’oubli?
Le 25/08/2015 à 10h41
Tu n’es pas une personnalité publique et quand tu postes, c’est en tant que personne privée. Quand un député poste un message ou tweet avec son compte de député, c’est très différent. Il est sensé réfléchir un peu plus avant, puisqu’il parle au nom de ses électeurs.
Le 25/08/2015 à 10h49
Il suffit d’avoir 2 comptes: son compte de député, pour tout ce qui est public, et un compte privé, pour tout ce qui est… privé. C’est quand même la base…. Ne pas séparer les 2 et venir se plaindre ensuite c’est pas très malin (et je reste poli)
Le 25/08/2015 à 10h54
Le 25/08/2015 à 11h03
Le 25/08/2015 à 11h50
Heu what ??? Tu vas un peux loin la non ?
Il peut y avoir pas mal de choses sur un casier autre qu’un meurtre. Tu te vois payer encore les pot cassé de t’être fait choper avec 5gramme de ganja 10 ans auparavant alors que tu souhaite juste pouvoir accéder a un datacenter dans le cadres de ton travail ?
Le 25/08/2015 à 11h52
Le 25/08/2015 à 11h54
Le 25/08/2015 à 11h56
Non ils vont faire comme tout le monde et prendre un agence de com’. L’intérêt de leurs messages seront nuls, la possibilité de leur parler “réellement” sera nulle, par contre ils feront plus d’erreur. C’est vraiment ça que vous voulez parce que perso j’y trouve aucun intérêt.
La certains disent ce qu’ils pensent, communiquent parfois avec le quidam moyen et font des erreurs ou délivrent ce qu’ils pensent vraiment. Et quand l’erreur est trop grosse, le politique trop stupide, y’a des touches impr écran sur les claviers.
Mais en faire systématiquement c’est souhaité que twitter devienne un organe de com’.
Le 25/08/2015 à 12h01
le chanvre c’est interdit en France, sauf pour la production textile (donc pas tous les plants), point barre, non mais O !!
Le 25/08/2015 à 12h10
C’est malheureux quand même, on raterait plein de truc pour se marrer, genre un ministère de la culture qui fête l’anniversaire de la parution de 1984 le lendemain du vote du projet de loi sur le renseignement.
Bientôt ils vont se plaindre que les séances publiques parlementaires ou du sénat sont retranscrites et archivées. Il sont même en train de faire l’archive en VOD pour les jours où Derrick ne passe pas à la télé.
Le 25/08/2015 à 14h56
Le 25/08/2015 à 14h58
Bien sûr que si, et c’est d’ailleurs valable pour la plupart des professions. Quand M. le député (ou M. le comptable de la Cogip) envoie un mail ou un tweet à sa femme pour lui dire d’acheter le pain en rentrant, il utilise son compte privé, pas son compte à la Cogip ou à l’Assemblée nationale, et n’engage pas sa parole de député/comptable.
Moi c’est pareil, quand je poste ici, je le fais en mon nom, pas en tant que de ma boîte.
T’as d’ailleurs peut-être entendu parler d’un scandale impliquant Hillary Clinton qui avait utilisé son mail perso pour des correspondances officielles?
Le 25/08/2015 à 15h06
Mais pourquoi toujours moi " />
Le 25/08/2015 à 15h08
Le 25/08/2015 à 15h14
Le 25/08/2015 à 16h05
Le 25/08/2015 à 16h06
Le 25/08/2015 à 16h08
Le 25/08/2015 à 16h25
Le 25/08/2015 à 16h49
Le 25/08/2015 à 16h50
Le 25/08/2015 à 17h04
" /> dit il le ponk qui boit de la 86 et prends d’autres trucs " />
Tiens d’ailleurs, en parlant tekno, j’ai eu quelques “perles” hard/speed/break-core cette semaine " />
Le 25/08/2015 à 17h10
Le 25/08/2015 à 18h02
Le 25/08/2015 à 18h38
Non si on veut causer en privé, on le fait pas via Tweeter mais par mail ou dans le parking du Watergate " />
Le 26/08/2015 à 08h01