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Romaindu83

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818 commentaires

La justice ordonne à Amazon de se limiter aux produits alimentaires, d'hygiène et médicaux

Le 15/04/2020 à 11h 23

Du reste, Amazon représente l’incohérence même du confinement. Il vend des produits diverses et variés. Amazon n’est pas spécialisé dans un type de produit en particulier. Quand certaines enseignes spécialisées dans un domaine sont fermées, lui peut vendre des produits alternatifs du même type.

Je m’explique en donnant un exemple : le géant de l’ameublement, IKEA, a fermé ses magasins en France, et pas qu’en France mais je parle de mon pays. Certes, il a partiellement réouvert ses ventes en ligne sur Paris et ses alentours. La province n’est pas encore concernée. Amazon est un gros concurrent d’IKEA. La décision de justice ne concerne pas un problème de concurrence mais quand bien même : IKEA voit en ce moment ses bénéfices fondre par obligation gouvernementale et Amazon, lui, pourrait continuer à vendre de l’ameublement sans avoir à faire à une concurrence. Non parce que les autres, Conforama, Mobiliers de France, Alinea, Monsieur Meuble, bref tous les magasins d’ameublement sont dans la même situation qu’IKEA. Bien sûr, l’ameublement n’est pas le seul domaine concerné.
 
Et je parle d’Amazon comme je pourrais parler de Cdiscount et autres. Le Gouvernement a demandé à certaines professions de baisser leurs rideaux. Mais pas à leurs concurrents en ligne. Alors oui, ces enseignes pratiquent aussi la vente en ligne mais le gros de leur activité se passent à l’intérieur des murs de leurs magasins. Ce confinement provoque ainsi une concurrence déloyale.


Le 14/04/2020 à 18h 51






soupêtte a écrit :

c’est tout bonnement hallucinant de voir que la majorité des commentaires vont dans le sens d’amazon. Des gens sont contaminés à gogo là bas ou risquent de l’être car ils sont justes incapables de respecter les règles de distanciation. Il s’agit d’une décision de justice (pas d’une loi contrairement à ce qu’on lit beaucoup <img data-src=" />), donc des éléments ont été pris en compte… Donc les commentaires qui comparent aux autres boîtes, quand amazon ré-ouvrira à tous les achats, pensez à vous payer un cerveau. Et désolé pour tous les gros malins qui s’en foutaient de favoriser la contamination des salariés et des livreurs par ailleurs pour des trucs à la con


Certaines personnes qui font certaines commandes sur Internet se foutent de savoir dans quelles conditions sanitaires travaillent les salariés dans les dépôts et magasins ainsi que les employés de La Poste et Chronopost. Leurs commandes ont plus d’importance que l’humain.&nbsp; Que vaut la vie d’un employé qui crève du covid19 ? Ou qui contamine ses proches ? Ah mais ceux ne sont pas des questions à poser. L’économie doit continuer à tourner.



Le 14/04/2020 à 16h 51






Qruby a écrit :

Là où je suis, je n’ai pas accès à des boutiques d’informatique, Amazon est quand même essentiel pour livrer le matériel nécessaire à la poursuite de centaines d’activités.

Par ailleurs, c’est un peu idiot en ce moment de diminuer la demande, même pour des trucs non-essentiels. Cela va précipiter notre récession et aura sans doute un cout en santé sur le long terme.


Confinement et économie ne riment. Nous allons avoir un recul de 8% sur le PIB cette année. Après, il faut faire des choix. Le Gouvernement les fait et je ne les comprends pas tous. Que dans un confinement, le pays doit continuer à tourner, oui. Maintenant, la santé prime également et chaque profession qui continuent à bosser ou qui réouvrent peut potentiellement avoir un impact sur l’épidémie de covid19, comme une deuxième vague, par exemple. C’est pourquoi je pense que des professions devraient avoir leur rideau fermé.



Le 14/04/2020 à 16h 30






Citan666 a écrit :

Et je ne partage pas ton point de vue parce que tu sembles ignorer à quel point les contraintes psychologiques générées par un confinement imposé rendent d’autant plus essentielles les possibilités d’en sortir virtuellement. :)

Et que tout le monde n’était pas “équipé” par avance, en termes de maturité ou simplement en termes de ressources, pour y faire face. À fortiori avec un gouvernement qui annonce tout et son contraire au fil de la girouette pour finalement nous le coller dans les dents brutalement (puisque tu parles de l’activité des entreprises, je suis sûr qu’un bon nombre d’entre elles auraient pu éviter un chômage total si on leur avait dit dès début février que le confinement était fortement envisagé).

Au passage, tu oublies que les professions mêmes qui sont encore actives peuvent nécessiter du matériel informatique / de bricolage / de jardinage (à fortiori les agriculteurs, pourvoyeurs de première nécessité qu’est la bouffe).
Il est important de considérer tous les aspects, même quand il est parfois difficile de dépasser son propre cadre. <img data-src=" />


De fin décembre 2018 à mi-juin 2019, donc pendant six mois, j’ai été confiné chez moi suite à une double fracture malléole tibia péroné au pieds gauche sur mon lieu de travail. Je vis seul et seul. Mon entourage se limite à mes parents. Nombreux sont ceux dans ma situation qui aurait sombré dans la dépression. C’est-à-dire que si tu commences un confinement en le rejetant, la base est mauvaise et, psychologiquement, tu ne t’en sortiras pas. Je ne suis pas sorti de ces six mois de confinement totalement déglingué.

Pendant ces six mois, mes achats avaient diminués de moitié parce qu’il me manquait cette motivation que j’ai habituellement. Principalement, il s’agissait de produits de 1er nécessité. Six mois et seul. Donc, franchement, lorsque je lis qu’un confinement, c’est psychologiquement une épreuve dont une personne ne sort pas indemne, oui, après tout, nous sommes tous différents. Il ne faudrait pas exagérer.



Le 14/04/2020 à 16h 12






Citan666 a écrit :

“Pire, avec le confinement, le nombre de commandes a augmenté. Trop de
personnes n’arrivent pas à se passer de produits secondaires pendant une



petite période. Les consoles, les lampes de décoration, les      


DVD/Blu-ray, les appareils photos, les tablettes numériques, les livres,



les trottinettes, le matériel de jardin, le matériel de bricolage,      


ect… autant de produits qui peuvent attendre le déconfinement. ”

Sauf que non justement.
Pour être sympas, mettons de côté tous les cas où les outils de bricolage / électroménagers sont juste effectivement indispensables (typiquement pour réparer quelque chose qui menace la salubrité ou le confort de base en maison) car effectivement ça doit pas représenter une grosse portion de population.

Pour être super sympas, mettons de côté ceux pour qui le jardinage ne représente pas juste un loisir mais un moyen de nutrition d’appoint et qui pour autant n’ont pas l’outil qui leur faut là tout de suite maintenant. Un bon jardinier est prévoyant.
&nbsp;
Prenons maintenant tous les gens qui n’ont pas les moyens de travailler depuis chez eux. ils sont censés faire quoi ? Se décérébrer encore plus en regardant la télé ou des séries sur internet (à supposer que t’aies assez de débit pour toute la famille) ?
Comme quelqu’un l’a dit plus haut, permettre aux gens de mener des travaux d’amélioration / décoration, ou se lancer dans le jardinage, c’est un moyen de leur donner une véritable motivation à rester chez eux. En plus d’être positif intellectuellement / psychologiquement en leur permettant de mener des tâches focalisantes, de se retrouver des objectifs quotidiens au lieu de psychoter sur ce qui se passe en dehors du foyer.

La décision du gouvernement n’est pas intelligente. Elle est sous-optimale. Elle était simplement nécessaire sur le coup pour laisser justement un peu de temps au gouvernement pour rattraper le coche sur l’organisation de la société pendant la crise. C’était tolérable pour un confinement de deux semaines. Pas pour un confinement de deux mois. D’où probablement d’ailleurs la réouverture contrôlée des magasins de bricolage, et je suppose que le jardinage suivra tantôt.


Depuis le début, j’estime ce confinement bourré d’incohérences et de contradictions. Des professions non vitales n’ont pas fermé. D’autres réouvrent ou vont réouvrir. En attendant, il y a des salariés qui sont confinés chez eux en chômage partiel ou des indépendants/auto-entrepreneurs qui sont à l’arrêt. Eux subissent le confinement, et j’en fais partie, parce qu’ils ne comprennent pas, par exemple, que les magasins de bricolage réouvrent, même partiellement et, bientôt, les enseignes de jardinage.

C’est un bordel incompréhensible qui devient pesant. Tu as tes arguments, que je peux entendre. Ils ne sont pas dénués de sens mais je n’y adhère pas. Pendant une période de confinement, les produits vitaux sont à prioriser : alimentaire, hygiène, médical. Le reste est secondaire.



Le 14/04/2020 à 15h 54






Citan666 a écrit :

En revanche, oui ils risquent leur santé et celle des autres. Mais de là à ordonner Amazon de cesser de remplir le rôle palliatif (et salvateur) qu’il remplit justement depuis que les magasins de sport/bricolage et informatique (note: la FNAC ne compte pas ;)) sont fermés… C’est juste contre-productif.


Ah bon, salvateur ? Pourquoi ? A ma connaissance, des fringues de sport, du matériel de bricolage ou du matos informatique, ce n’est pas du domaine du vital. C’est pour cela que ces magasins ont fermé.



Le 14/04/2020 à 15h 35

Je n’apprécie pas l’Union syndicale Solidaire, un syndicat que je trouve très extrémiste. La CGT est souvent critiquée, mais face à Solidaire, cela la rend sympathique. Après, je l’ai toujours dit, nous avons besoin de syndicats en France. Ils font parti des corps intermédiaires, indispensable à la bonne marche du pays. Sinon, le Medef aurait les mains libres.

Pour ce qui est de la décision de justice, je la trouve juste et logique dans une période de confinement, où seuls les produits de 1ere nécessité ont une importance. Et je souhaiterais que de tels jugements soient rendu pour La Fnac, Cdiscount et compagnie. Le commerce en ligne n’a pas baissé son rideau et ceux sont les salariés de ces commerces et de La Poste/Chronopost qui se braquent toutes les commandes secondaires, dans une période tendue. C’est incohérent. Pire, avec le confinement, le nombre de commandes a augmenté. Trop de personnes n’arrivent pas à se passer de produits secondaires pendant une petite période. Les consoles, les lampes de décoration, les DVD/Blu-ray, les appareils photos, les tablettes numériques, les livres, les trottinettes, le matériel de jardin, le matériel de bricolage, ect… autant de produits qui peuvent attendre le déconfinement.

Concernant Amazon, il fait beaucoup de communication et nous montre ce qu’il veut bien nous montrer quand il nous parle des bonnes conditions de travail de ses salariés. Sur le terrain, et souvent anonymement pour éviter les représailles, les salariés tiennent un discours beaucoup plus nuancé.


Entre promesses et mises à jour, Zoom fait le point sur sa sécurité

Le 14/04/2020 à 10h 15

Zoom, intéressante application que certaines entreprises américaines ont utilisé pour annoncer à leurs salariés qu’ils étaient licenciés, suite à l’épidémie de Covid19 au pays de l’Oncle Sam. Le licenciement collectif par visioconférence… Ah, le rêve américain. Une bonne publicité que Zoom se serait bien passé. Chez nous, peu d’articles ont en parlé mais aux Etats-Unis, ça a fait causé.

Pour le reste, effectivement, question sécurité, Zoom est un gruyère. Dernièrement, des comptes piratés se sont retrouvés sur le Dark Web. La Croix-Rouge interdit son utilisation ; la France et Taïwan déconseillent à ses fonctionnaires de l’utiliser ; Aux Etats-Unis, Google, Tesla, le Sénat et le département de l’éducation de New-York sont sur la même ligne. Aux Etats-Unis, les procureurs des Etats de New-York, de Floride et du Connecticut mènent une enquête sur les pratiques de l’entreprise en termes de protection de vie privée et de sécurité.

C’est intéressant de s’apercevoir que malgré tout, Zoom est toujours autant plébiscité alors qu’il existe des alternatives plus sécures, comme Microsoft Teams, notamment pour les professionnels, ou encore Slack ou Jitsi Meet. Parfois, il est nécessaire d’arrêter avec de faire des fixations avec une interface, une ergonomie et un style d’utilisation quand la sécurité fait défaut.


Le discours d’Emmanuel Macron bloqué sur YouTube... pour piratage de Canal+

Le 13/04/2020 à 22h 41

Ca démontre bien que les contenus sont examinés par des bots qui font bêtement de la surveillance. Qui d’autres qu’un bot peut faire, je cite “une erreur d’empreinte de dépôt automatique” ? C’est vrai sur Youtube comme sur les réseaux sociaux. Les algorithmes ne remplaceront jamais le cerveau d’un être humain, à moins d’être un partisan du transhumanisme.


Couacs à répétition dans la conquête spatiale

Le 08/04/2020 à 16h 56






js2082 a écrit :

Ça reste une histoire d’argent plus qu’une histoire d’orgueil.
Sous l’aspect “ma techno est meilleure que la tienne”, il y a aussi le fait que le pays qui a la main-mise sur les envois a aussi la main-mise sur les satellites et leur fonctionnement. Un contrôle qui rapporte du pognon et permet d’assoir son pouvoir.


Je ne suis pas anti-capitaliste. Je suis simplement pragmatique. En ce moment, la conquête spatiale, pays par pays, va d’échec en échec. Tous ces ratés coûtent chers. OneWeb est même en faillite. D’autres le seront aussi. Le CodVid-19 ne va pas arranger les affaires de la conquête spatiale. Je suis certain que le coronavirus va faire également des dégâts dans ce domaine. Dans ce cas, autant se mettre ensemble et avancer ensemble pour éviter ces échecs. Tout le monde y gagnera.

C’est par des utopies que nous avançons. Si le monde dans lequel je vis est pourris, mais que dire du celui qui m’a précédé… C’était pire. L’Histoire du monde, avec un grand H, le démontre bien. Dans la conquête spatiale et pourquoi pas dans d’autres domaines, l’utopie de pouvoir avancer unis n’est pas dénuée de sens, même si nous vivons aujourd’hui dans un monde mercantiliste, avec ses vices et ses travers. Si je regarde le monde de 2020, je suis obligé d’avouer que c’est irréalisable. Et pourtant, qui peut dire ce que sera demain ?



Le 08/04/2020 à 11h 41

L’espace, l’ultime frontière, vers laquelle voyage le rêve des humains. Notre mission ? Faire des fusées qui n’explosent pas… ce sera déjà un début.

A la lecture de cet article, je me dis que si les pays se mettaient ensemble pour créer des prototypes de fusées, en partageant leurs connaissances, il y aurait moins de problème. Unir ses forces, c’est toujours plus efficaces que de faire chacun dans son coin.

Ce qui se passe en ce moment avec la conquête spatiale et tous ses échecs devraient faire réfléchir les acteurs du secteur, qui devrait mettre leurs orgueils de côté et cesser avec le “qui est supérieur à qui ?”.


Ubuntu 20.04 LTS : la distribution vise la couronne de reine du grand public

Le 07/04/2020 à 21h 37






Ju_ a écrit :

Hello Romaindu83,

Dans la phrase de David_L, je lis surtout à la fin “pour de tels usages”, aujourd’hui beaucoup d’utilisateurs cherchant à pirater du contenu passent par un vpn pour “anonymiser” le surf alors qu’un VPN sert à sécuriser une connexion d’un point à un autre, pas à “anonymiser” un utilisateur du Web


J’espère ne pas mettre montrer agressif envers David. C’est le mot “kikoo” qui m’a embêté.



Le 07/04/2020 à 19h 00






David_L a écrit :

Pour changer quoi exactement ? NordVPN & co c’est surtout pour faire le “kikoo mon ip a changé” en utilisant la connexion d’un tiers chez qui transite tout notre trafic (en espérant pirater ou accéder à du contenu géobloqué le plus souvent). Passer par WG ou pas ne devrait pas franchement modifier grand chose pour de tels usages.&nbsp;


Connaissant la ligne éditoriale de NextINPact (je suis un abonné), je suis surpris par ce que je lis. Les VPN serviraient à faire les kakou ? Il me semble qu’un VPN ne sert pas qu’à faire le rigolo sur Internet. Vous défendez largement la liberté d’expression et être farouchement opposé à certaines lois. Concernant la France, je me rappelle de vos article sur la LOPSI de 2002 et vous avez tenu la même ligne jusqu’à aujourd’hui. Tout ça pour dire que je ne suis pas certain que dans certains pays, un simple proxy soit suffisant pour contourner la censure. Vous me direz qu’il y a Tor pour cela. Ce n’est pas la panacée non plus. J’ai du mal à comprendre votre rejet des VPN. Je ne nie pas qu’ils servent à pirater et à accéder à du contenu réservé à certaines régions mais ceux ne sont pas leurs seules utilisations.
Après, évidemment, vous pouvez me faire la liste de tous les problèmes de failles qu’ont pu rencontrer les VPN et de la confiance qui peut leur être accordé pour me démontrer qu’il ne faut pas utiliser de VPN. Ok, ok… mais même Tor a eu des failles d’anonymat…



Attestation numérique de déplacement : le formulaire officiellement disponible

Le 04/04/2020 à 14h 53

C’était dès le début du confinement que le Ministère de l’Intérieur aurait dû mettre à disposition une version numérique de l’attestation de déplacement. Nous sommes en 2020… Mieux vaut tard que jamais ! Et puis, tout le monde ne dispose pas d’un ordinateur et/ou d’une imprimante. C’est vrai que l’attestation de déplacement peut être recopiée à la main.

Par contre, il reste toujours le problème des personnes qui ne disposent pas d’Internet. Il y a plusieurs raisons qui peuvent l’expliquer. Elles n’ont aucun accès à l’attestation en ligne. Si elles y sont abonnées, certains quotidiens régionaux en proposent une chaque jour. Si elles y sont abonnés.

Après, concernant le pistage… mais si vous saviez tout ce que la gendarmerie ou la police municipale peut faire avec un numéro de téléphone, en demandant les infos à l’opérateur mobile…

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Office 365 devient Microsoft 365 : l'assaut des services, Teams pour le grand public

Le 31/03/2020 à 19h 09

Windows 10 est disponible publiquement depuis le 29 juillet 2015. Cet été, il fêtera ses cinq ans. J’ai du mal à croire que Microsoft va se contenter de mises à jour majeures. Android et iOS ont évolué vers de nouvelles versions. Comment sera proposé le prochain Windows ou que sais-je de Microsoft ? Je n’en sais rien. Cependant, le système par abonnement, comme pour Office 365, qui devient donc Microsoft 365, reste une bonne idée. Ou, éventuellement, comme ses concurrents, le modèle gratuit. Je ne suis pas dans les bureaux de Microsoft. Je ne sais pas ce qu’il sera décidé. Ce dont je suis sûr, c’est que nous ne resterons pas avec Windows 10.

Du reste, qu’Office évolue encore et toujours est une nécessité. Microsoft ne l’abandonnera pas de si tôt. Si la concurrence est rude avec Libre Office pour les particuliers, les entreprises sont une majorité à utiliser la suite bureautique de Microsoft. En tant que particulier, j’y suis abonné. Les évolutions sont intéressantes, notamment pour Word. Après, me seront-elles utiles ? Ce sera à voir, à l’usage.

Par ailleurs, suite au CodVid19, je suis désormais en chômage partiel puisque l’enseigne suédoise d’ameublement jaune et bleu a dû fermer ses 35 magasins. Mon directeur du magasin a donc ouvert un compte sur WhatsApp, comme le responsable de mon département. Je n’y suis pas allé. Pourquoi utiliser WhatsApp quand Microsoft propose une application bien plus sérrieuse, Teams ? Je n’ai pas de compte WhatsApp et je n’irais pas m’inscrire sur cette application, qui appartient à Facebook. Aucun réseau social ne connaît mon numéro de téléphone, ce n’est pas aujourd’hui que je vais changer d’avis. Teams existe. Si j’ai bien compris lorsque nous sommes passés à Office 365, c’est une application qui sera plutôt réservé aux cadres et agents de maîtrise. Mais mince : elle trouve tout son sens pendant le confinement. Bref, je dois passé par mon compte professionnel pour obtenir des informations.


Alyx : Valve confirme l'arrivée d'un Half-Life en réalité virtuelle ce jeudi

Le 19/11/2019 à 16h 32






skankhunt42 a écrit :

La réalité : Lâcher 300€ pour un casque VR ça reste très cher surtout sans eye tracking et fov de 180 degrés. Vu le nombre de jeu extrêmement limité ça coute virtuellement encore plus cher. Si le casque n’est pas filaire ça reste encore plus limité.



Et puis 600€ pour une machine VR compatible j'ai vraiment des doutes sur le fait de pouvoir cracher deux fois 90 fps à moins d'avoir des graphisme d'il y à 15 ans. Autant acheter un bon moniteur pour jouer.






Clairement, jouer en réalité virtuelle demande un investissement non négligeable pour un nombre très limité de jeux vidéos.     



Sans rentrer dans l’intérêt ou non de la réalité virtuelle dans le monde du jeu vidéo, c’est de savoir si la sauce prendra un jour. Pour le moment, ça n’a pas l’air d’être le cas, justement à cause de matos qui coûtent chers. Et puis, aussi, est-ce que les joueurs la souhaitent réellement ? Est-ce que les éditeurs ne sont pas à côté de la plaque ?
&nbsp;


piwi82 a écrit :

La VR n’est que le balbutiement de l’AR, elle finira comme la 3D sur les TV… <img data-src=" />



Si le jeu annoncé par Vualve n'est que full-VR, ça sera juste une vitrine technique sans grand intérêt.      
Vivement le cross Black Mesa / Aperture Science avec une pointe de Borealis, il y a de la matière pour faire une suite à Half-Life.






Je me pose aussi des questions sur la réalité augmentée. C'est bien beau l'évolution mais les personnes visées en veulent-elles ? La 3D sur les téléviseurs a été un fiasco, au point que beaucoup de constructeurs ont arrêté d'en produire. En voulions-nous de la 3D ? Certes, au cinéma, elle fonctionne et encore que, si elle disparaissait, personne ne la regretterait. L'évolution doit se faire en corrélation avec des attentes et là, que cela soit pour la 3D ou la réalité virtuelle, tout ce beau monde a fait fausse route. Alors la réalité augmentée...


Internet  fixe : notre guide détaillé des meilleures offres xDSL, fibre et 4G

Le 17/10/2019 à 14h 15

Dans les environs de ma résidence, la plupart des immeubles ont désormais au moins la fibre qui arrive à leurs pieds. La résidence aura bientôt deux ans et sur la carte de déploiement de la fibre optique de chez Orange, elle reste en “La fibre en dans votre ville”. L’assemblée générale des copropriétaires a signé l’accord pour le raccordement à la fibre lors de la première assemblée générale et toujours rien.

Bref, ceux qui souhaitent avoir un débit supérieur à l’ADSL doivent passer par le câble : RED Box, SFR ou La Poste Mobile. Déjà, d’un, tout le monde ne souhaite pas quitter le FAI chez lequel il se trouve. Je suis chez Orange et c’est mon cas mais je ne suis pas le seul. De deux, les débits en câble ne valent pas ceux de la fibre optique. Et de trois, cette solution est ubuesque, dans le sens où notre immeuble, neuf, est pré-fibrée et pourrait donc déjà recevoir la fibre optique.

Bref, cela fait deux ans que les propriétaires attendent que la FTTH arrive. J’avais appelé Orange en début d’année, qui m’avait informé que notre immeuble n’était pas oublié. Ah oui… la bonne blague ! Et je suis dans une grande ville, Toulon.

L’ambition du plan “Très Haut Débit”, qui a débuté fin février 2013, était de recouvrir l’intégralité du territoire français d’ici 2022. La date a été reculée à 2025. Et aujourd’hui, le Gouvernement refuse de s’engager sur cette date. Si déjà ça traîne dans certaines parties des grandes villes, que penser de ce déploiement en milieu rural ? Pourtant, l’Etat se veut rassurant. Les élus ont eux un autre avis :https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/fibre-optique-letat-prevoit-des-cen…


Le défaut d’assurance désormais verbalisable par le biais des radars automatiques

Le 01/10/2019 à 16h 44

Les conducteurs qui roulent sans assurance sont une plaie… Un accident avec un conducteur sans assurance et c’est le Fond de garantie des assurances obligatoires de dommages qui prend en charge les dommages. Sauf que dans la réalité, c’est plus compliqué. Le FGAO a ses limites et il ne se déclenche pas d’un claquement de doigt.

Par contre, le FGAO se retournera contre le conducteur sans assurance, qui aura droit, après passage devant la justice, à des saisis sur salaire, s’il travaille, bien sûr. En tout cas, le FGAO ne le lâchera pas. C’est la personne qui a commis le délit, car rouler sans assurance est un délit, qui devra rembourser la totalité des dégâts causés sur le ou les victimes. Je rappelle aussi qu’une dette est transmissible à ses enfants. Le FGAO ne fait, finalement, qu’avancer ces frais.

Selon la Sécurité Routière, plus de 700 000 conducteurs rouleraient sans assurance. Un nombre en constante augmentation. Selon le FGAO, 31 000 accidents auraient été causés par des conducteurs sans permis en 2018.

Se reposer sur les radars pour contrôler si le conducteur verbalisé dispose d’une assurance n’est pas une mauvaise idée. Les radars continuent à être un impôt déguisé qui rapportent beaucoup à l’Etat, preuve que les radars fonctionnent bien, quand ils ne sont pas dégradés. Selon les Echos, les radars devraient rapporter pour 2019 la modique somme de 1,23 milliards d’euros à l’Etat. Mais pour contrôler si les conducteurs ont leurs permis et/ou leurs assurances, augmenter les moyens humains serait aussi nécessaire.


Proposition de loi contre la haine en ligne : trolls, haters, têtes d’œuf « nous vous trouverons »

Le 04/07/2019 à 18h 50






Toorist a écrit :

Sauf que Nadia Daam est une grande fille.
Evaëlle a fini pendue dans sa chambre à 11ans…

Loin de moi l’idée de dire que leur solution est la bonne, mais il faut clairement faire quelques chose pour le harcèlement sur internet (et dans la vrai vie) et malheureusement quand la justice est saisie pour ce genre de chose c’est bien trop tard.


Que les professeurs se mettent en grève pour appeler à une prise de conscience&nbsp; du harcèlement scolaire plutôt que de protester contre une réforme du bac…

Se servir de ce drame pour dire que la loi contre la haine en ligne est une nécessité, c’est se faire dominer par ses émotions. C’est comme lorsque les Internautes, sur les réseaux sociaux, appellent, au mieux, à l’enfermement à vie des pédophiles, au pire, réclament le retour de la peine de mort. Qu’est-ce que cela apporte ? Quelles réponses concrètes sont amenées ? Où sont les arguments ? En fait, il n’y a rien de constructif dans leurs commentaires.

A chaque drame ou chaque problème qui est lié de prêt ou de loin au Net, un Ministre arrive avec son projet de loi ou un député avec sa proposition de loi. Les politiques réagissent dans l’émotion. Une partie de la France réagit dans l’émotion. Je pense notamment à tous ces Français qui ne sont pas nés avec Internet. De ces émotions sortent des lois liberticides. Sous couvert de nous protéger, ces lois peuvent potentiellement nous empêcher de nous exprimer, dans le cadre de la liberté d’expression.

Il existe déjà un arsenal législatif conséquent pour lutter contre le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, le harcèlement, ect… bref contre la haine, qu’elle soit en ligne ou verbale. Utilisons cet arsenal plutôt que de pondre ce type de loi. Créer des lois parce que d’autres lois ne sont pas appliquées, mais quelle aberration ! J’en ai ras le bol de tout ça ! Mais ras le bol ! Et je n’ai que 35 ans. Je subis toutes les conneries de mes hommes et femmes politiques qu’une certaine France plébiscite ! Je sature………………………..

&nbsp;



Le 04/07/2019 à 16h 02

Combattre la haine en ligne, c’est honorable comme volonté. Cependant, à trop vouloir lutter contre cette haine, en responsabilisant les plates-formes, nous allons tomber dans la censure.



Parler de l'islamophobie, de l'antisémitisme, de la pédo-pornographie, de la Shoa, des Nazis, de la maltraitance des enfants et de celle des animaux, ect... deviendront peut-être impossible. Les plates-formes ne s'embêteront pas dans un travail de modération. Elles supprimeront ces discutions sans chercher à aller plus loin, estimant qu'il s'agit de sujets haineux.      





Le pseudo, sur les réseaux sociaux, les forums, les blogs, ect... ne rend pas anonyme. A moins qu'elle passe par un VPN ou un proxy, les policiers et les gendarmes peuvent retrouver une personne grâce à son IP. Qu'ils fasse le nécessaire lorsqu'une plainte est déposée. La plupart du temps, ils ne donnent aucune suite à la plainte. C'est aberrant. Ne me dîtes pas qu'ils faut des milles et des cents pour remonter au propriétaire d'un adresse IP ! Il n'est pas question ici de retrouver une personne avec son ADN, ce qui demande là du temps et de l'argent.      





Bref, des lois existent déjà pour lutter contre la haine en ligne ! Depuis la Troisième République, le Parlement a voté et à modifier une quantité astronomique de lois, qui ne sont pas appliqués ! Ils seraient peut-être temps de les mettre en oeuvre...

Proposition de loi contre la haine en ligne : déluge d'amendements pour généraliser la censure

Le 02/07/2019 à 20h 21






carbier a écrit :

Petit rappel pour nos chers commentateurs horrifiés de vivre dans une dictature: la grande majorité des amendements vont être rejetés.



 Mais bon c'est un article d'appel ouvert au grand public pendant 1 jour pour bien mettre en avant la ligne éditoriale du site, quitte à omettre d'indiquer le sort réservé aux amendements <img data-src=">  





 Autre petit rappel: je vous suggère de lire les commentaires sur certains sites pour comprendre le problème. Ici on prend clairement un bulldozzer pour essayer de le résoudre, mais nier qu'il y a un problème sur les publications en ligne est tout aussi stupide.       
On se permet d'interpeller, d'injurier, de diffamer celui ou celle qui n'est pas ou qui ne pense pas comme soi. Le tout souvent en des termes qu'on n'utiliserait pas dans la vie courante.





 Pour faire simple: la liberté d'expression que vous défendez (ainsi que le rédacteur de cet article) n'est pas la liberté d'expression universelle, mais celle de ceux qui gueulent les plus forts ou qui par effet de meute viennent déverser leur tombereau de vomissure sur les autres.       





 Certes cette loi peut aller trop loin, mais faites des propositions pour voir...       





 Perso, le retour à des blogs où les commentaires sont activés / gérés par les rédacteurs eux mêmes est un bien meilleur moyen de défendre la liberté d'expression. Si en plus c'est couplé avec un développement de l'auto hébergement cela serait encore mieux.






 Je pense que tu ne débarques pas de la Lune : tu sais très bien que Next INPact est clairement engagé sur certains sujets. C'est le cas ici donc, forcément, comme sur Libération, certaines actualités sont orientées.      





Mon précédent commentaire démarrait par ceci : la liberté des uns  s'arrête là où commence celle des autres. La liberté d'expression n'est  pas sans limite. Tous les jours, sur les réseaux sociaux, des personnes    dérapent et sortent clairement du cadre de la liberté d'expression. Personne ne nie qu'il y a de la haine sur Internet. Les réseaux sociaux notamment servent de défouloir. Je suis d'accord avec toi : je lis des commentaires dont je suis persuadé que les auteurs, dont la vraie vie, ne disent pas.       





Combattre cette haine en ligne est une nécessité mais à trop en faire, nous risquons d'aller vers des suppressions pures et simples de commentaires, sans que derrière un réel travail de modération ait eu lieu. Ce type de suppression peut s'apparenter à de la censure.


Le 02/07/2019 à 15h 26

La liberté d’expression s’arrête là où commence celle des autres.&nbsp; Je suis sûr Twitter où je suis actif. J’apprécie lorsqu’une personne est franche, directe avec moi, quitte à être brutale. Un commentaire brutal, je pourrais également utilisé brut de décoffrage. J’en ai déjà fait l’expérience ici même !

Par contre, lorsque la haine fait son apparition dans un commentaire, ce n’est pas pareil. Mais qu’est-ce que la haine ? Pour le moment, tant que cette loi n’aura pas été votée et inscrite au Journal officiel, chacun à sa définition de la haine.

Par exemple, je considère que l’antisémitisme et l’antisionisme, derrière lequel se cache l’antisémitisme, sont de la haine. Ici, le sujet n’est pas de définir ce que c’est que la haine. Je vous donne cet exemple car il est souvent mis en avant quand il s’agit de parler de haine. D’autres considère que cela fait partie de la liberté d’expression. A noter de toute façon que l’antisémitisme est déjà puni par la loi du 13 juillet 1990, qui s’appelle la loi Gayssot.

Cette proposition de loi va définir clairement la haine en ligne et les moyens de lutter contre cela. Il n’est pas étonnant que des députés veuillent en faire une loi fourre-tout, avec ces amendements. Et à vouloir trop lutter contre la haine en ligne, l’Assemblée Nationale risque de généraliser la censure sur le Net. En effet, discuter de sujets sensibles, comme la pédo-pornographie, l’antisémitisme ou encore de terrorisme, pourrait devenir du coup interdit puisque, avec cette loi, cela serait considérer comme de la haine et une incitation à.

Bref, Tor est en train de se frotter les mains. L’Assemblée Nationale, avec cette loi, est en train d’inciter les Internautes à se cacher pour discuter librement de sujets certes sensibles, mais qui ne sont pas haineux. Qui ne font pas la promotion de la haine. Nos députés sont à côté de la plaque…


Netflix augmente ses prix en France : jusqu'à 2 euros de plus par mois

Le 20/06/2019 à 15h 36

Ce n’est pas parce que les vidéos dématérialisées sont plébiscitées par rapport aux DVD et blu-ray que les plates-formes de SVOD allaient continuer à proposer des tarifs d’abonnement à des prix très bas !

Selon le CNC, en 2018, la SVOD a fait un bon de + 82% sur l’année 2018. Le marché de la SVOD&nbsp; enregistre pour 2018 un chiffre d’affaire de 455 millions d’euros. Même en augmentant ses prix, Netflix ne risque donc pas grand chose. La mauvaise santé de la vidéo physique ne peut que la conforter. Ses clients ne reviendront pas vers les DVD et blu-ray. Quand à l’alternative du piratage, c’est un chiffon rouge que certains Internautes agitent. En effet, là aussi, vu les prix des abonnements, la légalité reste plus attractive que l’illégalité.

Les Internautes ont été crédules en pensant que la bataille entre les plates-formes de SVOD allait se jouer sur les prix d’abonnement. La bataille se fera sur la qualité des services et tous les petits plus qui gravitent autour des offres d’abonnement. Aux Internautes ensuite de faire leurs choix.

C’est aujourd’hui Netflix qui augmentent ses prix d’abonnements, demain ceux seront ses concurrents.

&nbsp;


Contrôles routiers : GPS et applications bientôt condamnés au silence

Le 03/06/2019 à 20h 39

A la lecture de cette actu, j’aurais toute les raisons de pester sauf que je suis dans un pays latin, où beaucoup trop de conducteurs pensent être dans le film “Fast & Furious”. Chez les mecs, la voiture est considéré comme un objet viril avec lequel ils font les kakous. Les femmes aussi sont concernées mais dans une moindre mesure. Je n’oublie évidemment pas les poids-lourds.

Sur Coyote et Waze, la communauté de mecs virils s’entraident donc à signaler des contrôles de police. Donc, à l’arrivée de cette zone de danger (lol), ils ralentissent et jouent les bons conducteurs et puis, quelques mètres plus loin, ils se prennent à nouveau pour Dom Toretto…

Petite apparté : je préfère Sygic. Elle me perturbe moins car ses avertissements sont moins nombreux et plus doux. Enfin, cette application GPS peut être utilisée hors-ligne. Je ferme la parenthèse.

Bref, si les Français étaient des Scandinaves, respectueux du Code de la route, je n’apprécierai pas cet amendement. Mais ce n’est pas le cas. En fait, je m’en contrebalance, même si je n’ai aucun doute sur l’imagination des développeurs de Waze et Coyote qui permettra de contourner cet amendement. Aidé évidemment par la communautés…


Première bande-annonce pour la série Star Trek: Picard, avec Patrick Stewart

Le 24/05/2019 à 17h 31

Est-ce que la franchise Star Trek ne partirait-elle pas en barigoule ?

J’ai l’impression que J.J. Abrahms a ouvert la voie à du n’importe quoi avec cette franchise, depuis son reboot Star Trek, qu’il n’a d’ailleurs jamais assumé comme étant un reboot.

Bref, cette franchise, respectable, est en train de passer à la moulinette ! Tout le monde en fait désormais ce qu’il en veut. La franchise Star Trek a été cadré pendant 10 films et cinq séries : “Star Trek : la série originale”, “Nouvelle Génération, “Deep Space Nine”, “Voyager” et, dans une moindre mesure, avec “Enterprise”. Depuis, ça ne veut plus rien dire.


Impression 3D : au ministère de la Culture, une charte pour tracer l’ensemble des reproductions

Le 20/05/2019 à 18h 47

Ah ça, j’en suis persuadé, l’impression 3D ouvre grand la voix à la contrefaçon. Mais comme toujours, les férus de technologie me diront c’est voir le mal partout.

Je sais, je sais… la France aime mettre des cadres légaux pour tous les domaines. Nous légiférons sur tout. Nous légiférons même trop. Cependant certains domaines méritent que le législateur s’y attarde plus que les autres.

L’impression 3D permet, en tout permettra, de reproduire à l’identique des oeuvres protégées par le droit d’auteur. Je pense notamment aux sculptures, à l’art plastique, ect…

Même si la propriété intellectuelle est honnie par un certain nombre de personnes, un artiste, quel qu’il soit, a le droit de voir son oeuvre protégée. Un artiste vit de la création de ses oeuvres ! C’est un métier comme un autre. Si tu veux reproduire son oeuvre, tu dois passer à la caisse… et encore faut-il qu’il autorise cette reproduction.

Je trouve ça normal. Pas d’autres. L’art doit être accessible à tout le monde, ce qui ne veut pas dire que l’art doit être gratuit. C’est un mode de pensée qui me dépasse, dans un monde mercantiliste comme le nôtre.


Android : un bilan de sécurité 2018 positif, mais imparfait

Le 04/04/2019 à 16h 42






tmtisfree a écrit :

Et ? Mon Samsung Note rooté (2011 ?) n’a jamais vu l’ombre d’un problème de sécurité ou d’anti-machintruc. Rester prudent(e) est la meilleure défense.




Avoir une rom alternative permet de rendre son smartphone plus sécure lorsque le fabricant du téléphone ne propose plus de mise à jour. Il y a un suivi régulier de ces roms : de nouvelles versions apparaissent régulièrement. Sauf que rooter un smartphone n'est pas facile, contrairement à toutes les foutaises que je peux lire sur le Net. Il faut déjà disposer de la bonne rom et tous les smartphones ne bénéficient pas de roms alternatives. Pour peu qu'il en existe une, il faut ensuite ne pas se louper dans son installation. Les différents tutoriaux, aussi complets soient-ils, ne garantissent pas que la manœuvre sera faite correctement.     



Rooter un smartphone au risque de le rendre inutilisable en vaut-il la peine, notamment pour une question de sécurité ? Ce sera à chacun de voir. A titre personnel, mon avis ne laisse aucun doute à la lecture de ce commentaire.

———————–

Pour le reste, les fabricants de téléphone ne peuvent pas être déclaré irresponsable dans les problèmes de sécurité de leurs smartphones. Ils maintiennent leurs smartphones à jour sur le court terme, laissant des failles de sécurité, parfois très dangereuses, ouvertes. Or, un système d’exploitation, même disposant de surcouche, devrait être maintenu à jour.

Les utilisateurs eux-mêmes contaminent leurs smartphones, en allant surfer sur des sites louches. Les virus pour Android existent. Combien d’entre eux disposent d’un antivirus sur leurs téléphones ? Même certains utilisateurs aguerris rechignent pour en installer un.
Ensuite, il y a les applications. Elles vont se chercher sur le Play Store, à moins d’être certains de ce que l’on télécharge sur un store alternatif. Les APK vérolées sont nombreuses.

Mais… quel utilisateur lambda se soucie de la sécurité de son smartphone ? Interrogez les gens autour de vous (pas des experts, mais le commun des mortels) et vous vous apercevrez assez rapidement qu’une majorité d’entre eux s’en moquent éperdument. Ils ne sont parfois même pas au courant de ces problèmes de sécurité.



Loi Fake news : 6 questions-réponses sur le bras de fer entre le gouvernement et Twitter

Le 03/04/2019 à 15h 33






Patch a écrit :

En dehors du fait que cette loi n’est pas encore applicable, ils ne caguent pas dessus, ils se mettent juste hors de sa portée. Ce qui n’est absolument pas la même chose.


Certes, cette loi n’est pas inscrite au Journal Officiel et ne peut donc être appliqué. Mon commentaire globalise la situation. Il ne faut pas avoir fait Saint-Cyr pour s’apercevoir que les réseaux sociaux traînent du pied lorsqu’il s’agit de respecter les lois des pays où ils ont ouvert leurs accès. Facebook et Twitter notamment, dont les siège sociaux sont aux Etats-Unis, acceptent difficilement que des lois différentes des Etats-Unis leurs soient imposées.

Donc, oui, dit plus modérément, les réseaux sociaux ont tendance à s’asseoir sur les lois des pays. Ca me gave ! Je peux comprendre que des citoyens se battent contre une loi qu’ils trouvent inappropriée. En revanche, ce n’est pas aux réseaux sociaux de prendre cette décision.



Le 03/04/2019 à 14h 35

Et, finalement, qu’est-ce que je dois en conclure ? Que nous avons des lois et que certains réseaux sociaux caguent dessus, tout en se foutant de notre gueule. La totale…

Après, nous pourrons discuter de l’intérêt de telle ou telle loi. Ce n’est pas ce qui m’intéresse ici. Ici, je retiens le viol de nos lois par certains réseaux sociaux.

Ma réflexion n’ira pas plus loin. Nous avons des lois en France. Dans un monde mondialisé, des réseaux sociaux dont le siège se trouvent en dehors de l’Union Européenne et qui ouvre leur accès à la France doivent se plier à nos règles. Point barre.

Une utopie ? En fait, je m’en tamponne le coquillard. J’en ai ras la casquette de ces réseaux sociaux qui veulent faire comme bon leur semble.


Yubico Login for Windows : on a testé la connexion à Windows avec une Yubikey

Le 28/03/2019 à 18h 46

Tout aussi intéressante soit l’idée de pouvoir me connecter à mon PC en utilisant une clé de sécurité, le prix d’une Yubikey est un frein. 25 euros minimum pour une Yubikey classique, 55 minimum pour une Yubikey complète… La sécurité a un prix… aussi élevé ?


Rufus, UUP Dump : comment télécharger l'ISO de n'importe quelle branche de Windows

Le 19/03/2019 à 16h 03






ajangot a écrit :

En version PRO, j’utilise les UUP pour pouvoir chercher les bonnes versions de build. Le client m’impose une version particulière, non négociable, avec les MAJ interdite. Donc pouvoir télécharger une build
particulière, ça va m’évite d’avoir plein d’ISO stocké sur le NAS pour pas grand chose.




David_L a écrit :

Comme dit, si tu veux uniquement la dernière ISO stable et que tu es sous Windows, l’outil de MS est adapté à ton besoin. Ces solutions couvrent tous les autres cas, l’utilisateur lambda qui réinstalle sa machine tous les trois ans n’étant pas le seul profil utilisateur de Windows 10 : besoin d’une build en particulier (développeurs), d’une ancienne version de W10, récupérer l’ISO depuis Linux, etc.

PS : On peut utiliser Linux couramment, peut être même comme OS principal, sans être fermé à l’utilisation de Windows. Parfois ça peut aussi simplement permettre de dépanner un proche ;)




Ailothaen a écrit :

Par habitude, et aussi pour savoir ce que l’on fait exactement. Personnellement, malgré le fait que j’utilise principalement Windows 10, j’utilise toujours un ISO que je récupère pour créer mes DVD d’installation, avec Rufus ou un logiciel de ce genre. Ca permet de savoir exactement quelle version tu mets, ce qui change des fenêtres du logiciel d’installation officiel de Windows où on te dit juste “création…” et “terminé”…

J’utilisais une méthode qui consistait à se faire passer pour un mobile sur le site de MS, et ainsi avoir les ISO au lieu de leur programme de téléchargement automatique. Mais merci pour les sites listés ici, cela va sûrement m’être très utile <img data-src=" />


Je vous remercie tous. C’est désormais beaucoup plus clair.🙂



Le 18/03/2019 à 17h 05

J’ai lu l’article mais, pardonnez mon incompétence intellectuelle, je ne vois pas où se trouve l’intérêt.

Un utilisateur de Windows 10 qui souhaite formater son disque dur et repartir à zéro ne s’embêtera pas avec les outils qui sont proposés ici. Il utilisera l’outil de création de média que propose Microsoft.

Oui, peut-être y vois-je un intérêt pour les utilisateurs de Linux mais… ces utilisateurs, me semble-t-il, par principe, refuse d’utiliser Windows.

Ouais… je coince complètement. Sans rentrer dans des détails scientifiques, un âme charitable pourrait-elle m’expliquer l’intérêt de ces outils ?


Canal+ Séries annoncé : un service de streaming à partir de 6,99 euros par mois

Le 11/03/2019 à 21h 14

Je ne cracherais jamais sur tout ce qui est français et qui peut un tant soit peu concurrencer Netflix, l’Américain. De plus, et même si c’est un système qui peut-être remis en cause, Netflix participe très peu au financement du cinéma français et européen. En effet, Netflix ne reverse quasiment rien au CNC…

Ici, il n’est question que de séries TV. Alors, certes, c’est vrai que c’est ce que recherchent le plus les abonnés à la SVOD mais il faudra peut-être penser à élargir aux films et téléfilms, même si la chronologie des médias n’est pas favorable aux plates-formes de SVOD.

Les prix chez Canal+ Séries sont très abordables, ne dépassant pas les 11,99 € par mois. Chez Netflix, les prix des abonnements montent jusqu’à 13,99 € par mois mais ils ne resteront certainement pas à ces prix-là. En janvier, aux Etats-Unis, Netflix a rehaussé de 13% à 18% le prix de ses abonnements. Netflix doit financer ses nouvelles créations. Elles sont de plus en plus nombreuses et les budgets qui leurs sont alloués sont toujours plus important. Ce qui n’est pas le cas chez Canal+, puisque le système français du cinéma est totalement différent de celui des Etats-Unis.

Bref, si Canal+ Séries peut faire de l’ombre au tableau de Netflix, il faut y aller !


Forfaits mobiles : dans la foire des promotions, quelle offre choisir ?

Le 11/03/2019 à 20h 45

Effectivement, être infidèle à mon opérateur aurait pu me permettre de faire des économies depuis bien longtemps. Je connais des personnes qui ne restent jamais plus d’une année chez un opérateur téléphonique car cela leur permet de profiter allégrement des offres de ses concurrents. D’ailleurs, ce ne s’arrête pas à la téléphonie. Ca englobe d’autres domaines : les assurances, les banques et les FAI notamment.

D’accord, la fidélité est le meilleur moyen d’être une vache à lait. J’assume ! Je suis chez Orange depuis une dizaine d’année, que ce soit pour la téléphonie ou l’accès à Internet. La peur d’être déçu par un concurrent ? Oui et parce que Orange répond à mes attentes. Je n’irais pas voir ailleurs. Point barre. Idem pour mon assureur et ma banque.


Bilan des smartphones au MWC : des annonces à foison, mais peu de surprises

Le 11/03/2019 à 20h 33

Les smartphones d’entrée de gamme permettent aujourd’hui de surfer sur Internet et de regarder des vidéos, en plus de téléphoner et de recevoir des appels. En fait, en 2019, un smartphone d’entrée de gamme remplit désormais entièrement le cahier des charges pour la majorité des utilisateurs. Différencier les smartphones sur leurs puissances n’a désormais plus aucun intérêt.

Pliable ou pas,&nbsp; 5G ou 4G, OLED ou LCD, 4K ou HD, Android 7, 8 ou 9, ect… franchement, qui s’en soucie ? J’aimerais mettre en avant un chiffre révélateur de ce que je dis. Les chiffres, c’est factuel. Le cabinet IDC a annoncé qu’en 2018, le marché mondial des smartphones a connu une baisse record de 4,1 %.

La cabinet IDC explique cette baisse des ventes par :
1- l’allongement des cycles de remplacement : c’est ce que j’explique plus haut. L’utilisateur lambda attend-il réellement une innovation quand son smartphone, même d’entée de gamme, répond entièrement à ses attentes ? C’est pour ça qu’il prend désormais son temps pour renouveler son smartphone.
2- Les taux de pénétration dans de nombreux grands marchés : qui ne dispose plus d’un smartphone dans la plupart des habitants des pays développés ou même des pays en développement ?
3- L’incertitude politique et économique. Je prend l’exemple de notre pays. Nous traversons une trois crises : politique, économique et sociale. Ca ne donne pas envie de consommer. Les données régulières de l’Insee démontre que la consommation est en berne. Notre pays n’est pas le seul à être en crise.
4- La frustration croissante des consommateurs face à la hausse continue des prix. Une hausse des prix dans un contexte économique et social compliqué, ça fait baisser les ventes. Inutile d’être économiste pour le comprendre.

Les constructeurs au MWC ne seraient-ils pas devenu hors-sol, assis dans leurs tours d’ivoire en train de contempler les consommateurs, qui n’attendent finalement rien de ce qu’ils proposent de neuf ? Un peu comme les constructeurs de télévision qui se mettent à croire que nous sommes tous dans l’attente de l’ultra HD ? A un moment donné, il faut qu’ils reposent leurs pieds sur Terre. Le consommateur d’aujourd’hui n’est plus le consommateur d’hier. Un consommateur qui dispose d’un smartphone qui répond à ses attentes ne le changera pas tant qu’il s’en satisfera et ce n’est pas le OLED, la 4K, le pliable ou la 5G qui changera la donne.

Bref… dans quel monde vivent les constructeurs ? Leurs innovations, c’est bien beau sur le papier mais est-ce nous en voulons réellement ? Nous en profiterons… mais nous prendrons tout notre temps pour changer nos appareils et nos équipements !<img data-src=" />


Orange arrête son service Stockage Livebox, le HDD de 1 To inutilisable dès le 7 juillet

Le 07/03/2019 à 18h 53

C’est une actualité intéressante, qui peut être généralisée à bien d’autres domaines. Aujourd’hui, nous avons de plus en plus les pieds et les mains liées à divers services. Ici, il est questions de données et de dépendance envers le service de stockage de Orange, mais je pourrais mettre aussi en avant la dépendance des joueurs envers Valve, avec la plate-forme Steam. Demain, Steam ferme et les joueurs n’auront que leurs yeux pour pleurer. C’est une éventualité qui est balayée tout le temps d’un revers de main, parce que Valve se porte très bien mais le risque zéro, lui, n’existe pas.

Dans le cas présent, celui de Orange, la question de savoir pourquoi les clients préfèrent être dépendant d’un service de stockage plutôt que de s’acheter un ou plusieurs disques durs qui leurs appartiendront peut se poser. La réponse à cette question est toute trouvé, comme pour tous les services à dépendance envers un tiers dans le domaine du Net. Les utilisateurs sont encore très immatures, pensant que les services liés de prêt ou de loin à Internet ne comporte aucun risque en ce qui concerne la dépendance envers un tiers.. Comment une grosse société pourrait décider d’arrêter un ou plusieurs de ses services ? C’est inimaginable pour ces utilisateurs.

Franchement, le sentiment que me fait percevoir cette actualité est désagréable parce qu’il faut que de telles situations arrivent pour qu’il y ait une prise de conscience, qui peut parfois être toute relative. Même les nouvelles générations, qui devraient être plus au fait de ces risques, tendent à les ignorer, ne voyant que les intérêts de ces services.

Ben… ce n’est pas grave ! Dans le cas de Orange, des utilisateurs plus nombreux qu’on ne le pense vont apprendre sur le tard que le FAI arrête son service de stockage. Ils perdront leurs données et puis… rien du tout. Tant pis pour eux…


Radio numérique DAB+ : 24 stations retenues par le CSA

Le 06/03/2019 à 20h 48

Comme je pouvais m’y attendre, aucunes petites radios et radios associatives n’a été retenu par le CSA. Mais je suis persuadé qu’aucune d’entre elles n’a poser de dossier de candidature. Il faut dire que ces radios indépendantes n’ont pas les moyens financiers pour adapter leurs structures à la radio numérique terrestre. Ben oui… pouvoir diffuser via la RNT n’a que des avantages pour les utilisateurs, si tant est qu’ils disposent d’appareils capables de recevoir la RNT. En revanche, du côté des radios indépendantes, la RNT devient un handicap.

Heureusement (ou pas, ça dépend du point de vue de chacun), l’arrêt de la bande FM n’est pas programmé car la France a décidé que la RNT complèterait la radio analogique hertzienne. La radio numérique terrestre a pour vocation notamment de diffuser des radios dans des endroits où elles ne sont pas présentes. Les radios indépendantes qui ne peuvent pas passer à la RNT continueront donc d’exister. Du côté des utilisateurs, pas de précipitation non plus : ils peuvent budgéter le changement de leurs autoradios, de leurs réveils-radio, de leurs chaîne hi-fi, ect… sur le long terme.

La France ne souhaite pas que la RNT prenne le même chemin que la TNT. La RNT restera un plus. Aux utilisateurs de faire ensuite le choix de continuer à écouter leurs radios favorites via l’analogique ou via le numérique.


Windows 10 : comment nettoyer sa partition système

Le 01/03/2019 à 20h 28

Evidemment qu’avant de formater un disque dur lorsque le système d’exploitation dysfonctionne ou lorsque la partition système est pleine, il y a d’autres solutions qui peuvent être appliqué. Oui, le formatage devrait être l’ultime solution lorsque toutes les autres n’ont rien donné.

Pour autant, je ne me suis jamais embêté avec les solutions intermédiaires. Je sauvegarde mes données, je formate, je réinstalle Windows puis je réinstalle les pilotes et les logiciels. J’ai arrêté depuis longtemps d’utiliser les solutions intermédiaires car j’ai toujours eu l’impression de perdre plus de temps qu’autre chose.

Ceci étant dit, je possède un modeste disque dur de 250 Go qui comptabilise 34 233 heures. Un vieux disque dur mais qui me convient toujours très bien. Je dispose de Windows 10 et je pourrais y installer un jeu vidéo qui pèse lourd en Go ainsi que d’autres logiciels. Bien sûr, je dispose de trois disques durs externes : deux de 1 To et un de 3 To. C’est parce que je considère que mon disque dur interne ne doit être un disque dur qui ne sert qu’à stocker le système d’exploitation et à installer et utiliser des jeux vidéos et autres logiciels.
Tout ceci pour dire qu’un disque dur interne, ça se gère. Il ne doit pas être un support de stockage dans lequel l’utilisateur y mettra tout et n’importe quoi. Par exemple, quel besoin les joueurs ont-ils d’installer des dizaines de jeux vidéos ? Idem pour les photos et les vidéos qui peuvent peser lourd. Ce n’est pas sur un disque dur interne qu’elles doivent se trouver. Et puis, question sécurité, c’est limite.

Je ne suis pas étonné de savoir que des utilisateurs qui ont bien plus d’espace que moi arrivent à saturation. En utilisant avec parcimonie l’espace d’un disque SSD ou d’un disque dur interne, il n’y a pas de raison qu’un manque d’espace apparaisse.

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Microsoft dévoile son casque HoloLens 2 à 3 500 dollars, le capteur Azure Kinect à 399 dollars

Le 26/02/2019 à 19h 40






zogG a écrit :

Hololens rajoute du virtuel sur le réel, c’est de la réalité augmentée.

Et pour l’AR grand public, tant qu’on devra porter un truc sur la tête ça sera mort. Il y a encore de la route <img data-src=" />


Vu les prix annoncés, de toute façon, rien ne peut être qualifié de grand public. <img data-src=" />



Bouygues Telecom et Orange annoncent de bons résultats 2018 sur le fixe et le mobile

Le 22/02/2019 à 23h 31






Radithor a écrit :

FT/Orange est quand même passé d’un monopole à une quarantaine de pourcents de parts de marché. France télécom a été en surendettement après l’achat de Orange (pour ses licences 3G en Europe) et l’éclatement de la bulle internet (la vente de ses actifs à travers le monde et l’abandon de diverses activités). Et surtout, si Orange en est là, c’est grâce à son actionnaire majoritaire et à son implantation dans les collectivités locales (Next inpact - 10/07/2015)&nbsp;



Oui, l’Etat est actionnaire majoritaire de notre opérateur historique. Cela a permis à Orange de s’en sortir avec un minimum de dégâts lorsqu’il naviguait dans des mers agitées. Une concurrence déguisée ? Peut-être que Orange a effectivement un atout que n’ont pas les autres FAI. En même temps, je ne vois pas l’Etat lâcher du jour au lendemain une société historique. Tu retrouves l’Etat chez Renault, chez Peugeot sous la forme de la Banque Populaire d’Investissement, chez EDF, chez Engie, chez Air France-KLM, ect… Nous pouvons discuter de l’intérêt que la France a à être actionnaire dans ces sociétés historiques. Sur le fond, il y a effectivement débat mais sur la forme, c’est tout à fait normal.

Que les collectivités locales aient un impact positif sur le résultat net de Orange, c’est une certitude, mais les abonnés y sont aussi pour beaucoup. Hormis le mobile, Orange gagne des abonnés, ce qui veut dire que les gens ne s’arrêtent pas aux prix des abonnements, car les abonnements d’Orange sont plus chers que ceux de la concurrence. Peut-être est-ce une question de confiance ? Une confiance aveugle, peut-être, mais une confiance tout de même. Orange, comme EDF, Engie et La Poste, conserve l’image de service public. Et, en France, autant on adore le service public, autant on le déteste. Mais chez nous, inconsciemment, confiance et service public vont de pair. Nous n’avons pas la culture des pays anglo-saxons. Eux ont toujours connus le libéralisme et la concurrence dans tous les domaines. Pas la France !

Les concurrents de La Poste, de Engie, de Orange et d’EDF existent mais il faut croire qu’ils n’ont pas encore fait leurs preuves… ou qu’ils n’y arrivent pas. Je ne dis pas que personne les utilisent. Des Français deviennent leurs clients mais ils sont une minorité. Faut-il le déplorer ? Après tout, les Français et les collectivité territoriales sont libres de faire ce qu’elles veulent !

&nbsp;



Le 22/02/2019 à 20h 17

D’après les données fournies, je constate tout de même que pour un FAI réputé comme proposant les abonnements les plus chers, Orange reste un FAI qui se porte très bien. Alors oui, dans le mobile, il perd des clients mais cela n’a aucun impact sur sa croissance.

Je me rappelle d’un temps&nbsp; où les Internautes étaient assez nombreux à dire que, vu le prix des abonnements d’ Orange, celui qui fut France Télécom jusqu’au 1er juillet 2013 allait droit à sa perte, la concurrence proposant des prix bien plus attractifs. En 2019, Orange n’a pas toujours plongé. Concernant l’accès à Internet, force est de constater que les Internautes ne se bornent pas à regarder les prix et uniquement les prix des abonnements.

D’ailleurs, cela me fait dire qu’en France, les fournisseurs historiques, même si ils ont changé de nom, ont encore largement la côte. Qu’ils se nomment EDF, Engie ou Orange, ils sont encore plébiscités. Paradoxalement, les prix de leurs abonnements comparés à ceux de la concurrence font toujours bondir, notamment les associations de défense des consommateurs. Pour la distribution du courrier (lettres et colis), là aussi, La Poste rafle quasiment tout le marché alors qu’elle a augmenté ses tarifs, et pourtant il y a de la concurrence. Il y a d’autres exemples mais, ce qui est certain, c’est que les Français en général, même dans les nouvelles générations, restent attachés à certaines sociétés historiques.

Nous sommes dans l’Union Européenne, une économie de marché. La France a du ouvrir les portes à la concurrence. Bientôt, ce sera la SNCF qui devra avoir à faire à la concurrence. Ma région, la PACA, devrait être la première à proposer cette concurrence via le transport régional. Reste à voir si les Français resteront attachés à la SNCF. En tout cas, cette ouverture à la concurrence n’a fait aucun mal aux sociétés historiques dont je parle. Mais la France respecte les demandes de l’Union Européenne : il y a de la concurrence.


Migration vers IPv6 : l'Arcep synthétise les problèmes principaux et pistes d'actions

Le 22/02/2019 à 20h 34






Commentaire_supprime a écrit :

Ça serait pas plus simple de fixer une date à laquelle tout le monde devra être en IPv6 ?



Quand même... 20 ans pour changer de protocole d'adressage réseau, et sans y être encore arrivé ! Ça relève de l'ère géologique en informatique une durée pareille...






C'est ce que je dis, ça met du temps, comme la fibre optique. Mais nous y arriverons. A un détail prêt : aucune date ne peut êtres respectées. Il faudra plus de temps pour généraliser l'IPv6 comme il faudra plus de temps pour généraliser à la fibre optique.     



Après, oui, je suis d’accord : en 20 ans, les FAI français (car je ne sais pas ce qu’il en est pour les autres pays) auraient déjà pu faire cette migration. Mais bon… à part les impôts, qu’est-ce qui va vite en France ? Ah oui, Emmanuelle Wargon flashée à 150 km/h. Plaisanterie mis à part, en France, certaines migrations de protocoles ou d’évolutions technologique prennent du temps. C’est comme ça…
&nbsp;


Vachalay a écrit :

Franchement, je ne fais pas dans mon froc pour l’accès au net. Je suis plutôt inquiet pour mon boulot où nous gérons des infrastructures allant de 4 à 100 utilisateurs (avec tout ce que cela implique). J’ai plutôt une casquette admin sys et l’ipv6 me procure des noeuds au cerveau. Mais bon c’est au pied du mur que l’on voit mieux le mur …




La raison que tu évoques est entendable. Sauf que faire des changements lorsqu'on a atteint le pied du mur revient à faire des changements dans la douleur.


Le 22/02/2019 à 17h 25

La généralisation de l’IPv6 arrivera. Les FAI seront obligés d’y passer. La pénurie d’adresses IPv4 ne leurs laissera pas d’autres alternatives.

Cette histoire ressemble au déploiement de la fibre optique. C’est long, c’est coûteux, c’est complexe… Donc, ben… ça arrivera quand ça arrivera. Ne faîtes pas dans vos frocs : vous aurez toujours accès à Internet.
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Au Sénat, la Hadopi plaide pour une grande réforme de la lutte anti-piratage

Le 11/02/2019 à 18h 00






L4igleNo1r a écrit :

Pourtant c’est pas compliqué, il faut une offre légale valable. Je vais pas prendre 15 abonnements SVOD pour réussir à avoir un catalogue complet au niveau film et série. Au moins pour la musique les mecs ont compris le truc, pas d’exclusivité, catalogue quasiment identique chez tout le monde et pas de chronologie. Bizarrement j’ai pas télécharger de musique depuis plusieurs années car j’ai tout légalement, ce qui n’est pas les cas pour les films et séries.


Dans le domaine de la vidéo, notre histoire est bien franco-française. Nous sommes le seul pays où il existe une chronologie des médias aussi rigide. Les différents Ministères de la Culture ont toujours tout fait pour inciter les achats de vidéos physiques ou la VOD. La chronologie des médias leur est favorable. Un film sort en vidéo physique et en VOD 4 mois après son exploitation en salle. Il faut attendre 17 mois pour les plates-formes de SVOD vertueuses, 30 mois pour les plates-formes de SVOD non vertueuses mais qui reversent une partie de leurs bénéfices à des organisations du cinéma et 36 mois pour les plates-formes non vertueuses qui ne reverse rien. Là dedans se trouve évidemment la plupart des plates-formes américaines, dont Netflix. Trois ans d’attentes pour voir un film, c’est long pour un abonné. Il l’aura peut-être téléchargé illégalement d’ici là.
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Quand aux catalogues des plates-formes de SVOD, tout dépend des accords qu’elles ont signé avec les studios de cinéma et les producteurs. Et, ici, contrairement à la musique, c’est plus compliqué. Par exemple, Warner avait vendu “Mowgli : la légende de la jungle” à Netflix. Il n’y a donc que sur Netflix qu’il peut être visionné… ou en le téléchargeant illégalement. Le monde du cinéma est en mutation : il se peut que cela se reproduise sur d’autres films à l’avenir, d’autant plus que certaines plates-formes de SVOD deviennent surpuissantes. Netflix a explosé son résultat net. En 2017, il était de 559 millions de dollars. Netflix compte 137 millions d’abonnés et en gagnerait un millions de plus toutes les années. Pour les studios de cinéma américains, elle pourrait devenir incontournable dans les années à venir et changer la donne sur la distribution des films. Autrement dit, Netflix pourrait devenir une sorte d’exploitant de salle de cinéma, privant les cinémas en durs de la sortie de ces films.
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En France, la dématérialisation de la vidéo est très mal perçu par certains professionnels car cela fait diminuer leurs bénéfices. Le CNC, en premier. A chaque achat d’un DVD, d’un blu-ray, d’un blu-ray 4K ou d’une VOD, une partie du prix lui est reversé pour soutenir le cinéma français, comme avec le prix d’un ticket de cinéma. Avec la SVOD, notamment lorsque les plates-formes sont à l’étranger, ce n’est pas pareil. Elles n’ont aucune obligation d’aider le cinéma français. Sauf que, chaque année, en France, les ventes de vidéos physiques s’écroulent lorsque la SVOD augmente. Les professionnels du secteur marchent donc à contre-sens de l’évolution. Dans ce cas, il serait peut-être urgent de créer une plate-forme de SVOD franco-française digne de ce nom, qui puisse concurrencer les géants américains notament et de revoir la chronologie des médias.



Le 11/02/2019 à 16h 20

On arrête le Web. On fait disparaître le Web. Là, nous aurons efficacement lutté contre le piratage.


Non mais les membres de l’Hadopi… Combien d’année de retard ont-il ?

Bon, ok, le piratage, ou plutôt le téléchargement d’oeuvres protégées par le droit d’auteur, c’est interdit. Nous avons une loi qui s’appelle le Code de la propriété intellectuelle. Les Internautes français peuvent en penser ce qu’ils veulent mais elle existe.

Qu’une personne souhaite vivre du fruit de son travail, tout le monde peut le comprendre. Acheter un film, un jeu vidéo, de la musique, une peinture, une sculpture, ect…, c’est reconnaître le travail des personnes qui se sont investies pour réaliser ces créations. Oui, ça fait très moralisateur, sauf que c’est la réalité.

Sauf que les membres de l’Hadopi sont dépassés comme ceux de l’ALPA, la SNEP ou encore la Sacem. Ils n’ont qu’un mot à la bouche “répression”. Encore faudrait-il que tout ce beau monde se mettent à jour et comprennent que les Internautes français ont des attentes bien précises. Elle se concrétisent dans la SVOD, mais la chronologie des médias est défavorable pour ces plates-formes, dans les plates-formes d’écoute de musique en streaming et dans les plat-formes de ventes numériques de jeux vidéos.

Après, malgré notre loi sur la propriété intellectuelle, ils auront toujours un temps de retard sur la lutte contre le téléchargement illégal. Pour moi, je considère leur bataille aussi perdue d’avance que la lutte contre le terrorisme et la pédophilie sur Internet.


CES 2019 : pas de révolution dans les objets connectés, mais un foisonnement nécessaire

Le 08/02/2019 à 23h 59






jpaul a écrit :

Moi j’en ai vu des frigos connectés. Pour l’instant c’est pour une clientèle aisée mais c’est déjà là.

Et un jour ça deviendra comme la télé ou les smartphones aujourd’hui: ce sera moins cher de faire des SmartFrigo que des Frigo parce que tu pourras te faire de la thune avec la data. Et crois moi, savoir ce qu’il y a dans le frigo des gens ça vaut un pognon fou.

En attendant la planète continue d’avoir de la fièvre…


Justement. Lorsque les premières télévisions HD ont été présentées lors des CES, elles coutaient une blinde. Pour autant, même si en France cela a pris du temps, elles se sont démocratisées à travers le monde. A l’échelle d’une vie, la télévision HD et demain la télévision connectée, c’est du domaine du réalisable. Pour les smartphones, le scénario a été le même.

Mais pour les frigos connectés… comment dire… et plus généralement l’appartement intelligent, ce n’est pas encore ça. Nous en sommes encore très, très loin. Est-ce que tu comprends ce que je veux dire ?

Pour ta dernière phrase, malheureusement, je me vois dans l’obligation d’acquiescer.



Le 08/02/2019 à 19h 03

Je vais encore me faire lynché mais bon… Pour moi, les CES sont du domaine de la science-fiction. Si j’en crois les démonstrations des CES, un monde de technologie à la Star Trek devrait être déjà une réalité…

Les démonstrations des CES sont intéressantes. La présence de la French Tech n’est pas non plus pour me déplaire. Sauf que même un gamin de 20 ans ne verra sans doute jamais la plupart des innovations de ce CES 2018. Quand elles se seront démocratisés, il mangera les pissenlits par la racine.

Par exemple, depuis combien de temps les CES nous vendent l’appartement intelligent ? Cela ne date pas d’hier. Qui dispose aujourd’hui d’un appartement intelligent ? Je ne suis pas au courant que IKEA, Conforama, But et compagnie sont désormais passées à la vente de cuisines intelligentes… Je vais prendre juste un élément de la cuisine : le réfrigérateur. Les CES des précédentes années nous ont montrés des réfrigérateurs intelligents et connectés, avec une foule d’option. Où sont-ils ?????????? En conclusion, les CES présente du rêve.


Ce que prévoit la proposition de loi anti-casseurs, adoptée par les députés

Le 07/02/2019 à 19h 46

Oublions Le Président de la République, le Gouvernement et le Parlement pendant deux secondes pour ne s’attarder que sur cette loi.

La loi anti-casseur permet à l’Etat, via les préfectures, d’interdire à une personne de manifester. C’est une interdiction administrative. L’Etat passe outre le système judiciaire : c’est lui qui prend les décisions d’interdire de manifester. Or, en France, il y a une séparation des pouvoirs. Ici, c’est l’Etat qui fait la justice. Vous retrouvez le même cas de figure dans les interdictions de stades. Les préfectures peuvent interdire à des personnes de pénétrer dans des stades, car elles peuvent potentiellement faire des actes d’hooliganismes.

Le problème de la loi anti-casseur, c’est qu’elle peut amener à des dérives. En effet, n’importe qui peut être viser par une telle interdiction, via des motifs qui peuvent être contestables. C’est pourquoi une personne qu’un préfet interdit de manifester peut contester cette décision. Le juge administratif examinera alors le dossier. Cependant, les juges administratifs se disent incapables de pouvoir examiner un dossier 48 heures avant le début d’une manifestation (les manifestations légales, autorisées, doivent être déclarées 48h à l’avance à la préfecture). Il y a des donc des possibilités pour que des personnes qui n’ont rien à se reprocher puisse être interdites de jouir d’un droit fondamental.

Après, je peux aller plus profondément dans cette loi pour m’intéresser au fichage des gens, mais ce n’est franchement pas ce qui m’intéresse le plus. Qui ici n’est pas inscrit sur Facebook ? Combien étale leur vie privée ? Les premiers pourfendeurs du fichage sont les premiers qui disent ce qu’ils ont chier dans leurs WC. Le fichage, aujourd’hui, les gens le veulent bien, donc, non, je n’en ai rien à faire. Si la société dans laquelle je vis était plus mature concernant le sujet du fichage, je m’y attarderai, mais là, non et non.

Maintenant, j’en reviens à Emmanuel Macron, à son Gouvernement et aux députés qui ont voté cette loi en première lecture. Lorsqu’un mouvement populaire comme les Gilets Jaunes naît, lorsque une grande partie de la France reconnaît Emmanuel Macron comme Président de la République légitime mais pas comme leur représentant, lorsque l’Assemblée Nationale est qualifiée de simple chambre d’enregistrement, lorsque les députés ne jouent plus leurs rôle de représentant de la Nation, il y a un clairement un souci. Je ne sais pas si avec Emmanuel Macron nous avons atteint les limites de la Veme République, régime présidentiel. En revanche, ce que je sais, c’est qu’une partie des Français sont saturés par le fonctionnement de nos institutions. Cela débouche sur de la colère et cette loi anti-casseurs ne fera peur à personne. L’Etat est à côté la plaque en pondant une telle loi.


Des députés LREM veulent forcer Twitter à recueillir une pièce d’identité à la création d'un compte

Le 02/02/2019 à 18h 46

Pour résumer, sans faire une dissertation : les réseaux sociaux permettent de publier, en plus de ta vie, si tu souhaites la mettre au grand jour, des avis sur des personnes physiques et des personnes morales.

Moi, je considère que :
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Une personne qui s’inscrit sous pseudo sur un réseau social qui demande tes prénoms et noms de famille lors de l’inscription prémédite ses commentaires. Elle sait déjà que ce qu’elle sera amenée à écrire peut lui amener divers ennuis, notamment judiciaires et pas que. Cette personne a peur mais veux pouvoir utiliser à l’extrême la liberté d’expression que lui confère le réseau social. Bref, elle n’assume pas ce qu’elle pourrait écrire.

Une personne qui donne sa véritable identité lors de l’inscription sur un réseau social, si celui-ci le lui demande, est une personne qui est prête à endosser la responsabilité de ce qu’elle écrit. Si un de ses écrits l’amène être poursuivi ou avoir d’autres ennuis, pour quelque raison que ce soit, elle l’assumera.

Cela est mon point de vue sur l’anonymat sur les réseaux sociaux et je n’ai jamais changé d’avis d’une seule once. Dit plus vulgairement, les personnes sous pseudos sur les réseaux sociaux se pissent dessus, pas ceux qui sont sous leurs véritables identités. Sur les réseaux sociaux, les personnes sous pseudo sont des lâches, qui projettent sur les autres la responsabilités de leurs propos qu’ils refusent d’assumer.


Le 01/02/2019 à 19h 17






Ricard a écrit :

Moi ce que je remarque avec LREM, c’est leur volonté farouche de zapper le judiciaire.



    On ne retrouve ça que dans les pays totalitaires.






    Et jusqu'à preuve du contraire, nous sommes régit par un système  républicain et non pas un système dictatorial, quand bien même il y aurait  bien à redire sur le fonctionnement de notre Veme République, régime  présidentiel.         





   Après, certaines personnes, en manque d'arguments, et pour affirmer que nous ne sommes pas en démocratie, ont créé un néologisme qui a le vent en poupe sur les réseaux sociaux : "démocrature". La France serait une dictature, masquée par des institutions républicaines. Bon...<img data-src=">  





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ProFesseur Onizuka a écrit :




  • 1000, il y aura plein d’arnaqueurs, violeurs… qui vont pouvoir se faire de belles listes de personnes vulnérables, et avoir directement les infos personnelles pour les retrouver dans la vraie vie <img data-src=" />


    C’est une excuse facile. Sous Twitter et Facebook, je suis identifié sous ma véritable identité. Ici, vous en avez une partie. Qui n’a pas deviner que je m’appelle Romain et que je vis dans le Var ? E puis, même sous pseudonyme, à moins que tu te connectes via un VPN, les enquêteurs peuvent te démasquer grâce à ton adresse IP. C’est juste un rappel…
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    Je suis clair. Ou tu assumes ce que tu écris ou tu ne l’assumes pas. Sur Twitter, Facebook et d’autres réseaux sociaux, il est demandé de fournir ton prénom et nom de famille lors de ton inscription. Fournis tes informations et assumes tes propos !

    Sauf que, sur les réseaux sociaux, beaucoup s’inscrivent sous pseudo, puis écrivent des énormités, n’assumant absolument pas leurs publications. Pour eux, c’est plus facile de dire : “Bilal Hassini est un pédé qui mérite qu’on lui coupe les couilles” plutôt que d’écrire “Bilal Hassini a suivi une orientation sexuelle qui ne me convient pas”. C’est un exemple parmi d’autres. La première phrase est homophobe, la seconde ne l’est pas. Tu peux ne pas apprécié l’homosexualité, tout en respectant un homosexuel. Ce n’est pas antinomique et c’est compréhensible.

    Je considère que la liberté d’expression s’arrête là où commence celle des autres. La langue française est assez riche pour dire ce que tu penses, sans faire de dérapage. En utilisant judicieusement la syntaxe et la sémantique adéquate, tu peut t’exprimer librement, sans crainte.

    Mais bon… ça ne gêne personne que les réseaux sociaux deviennent un défouloir de haine et de complotisme, avec des conséquences sur la vraie vie du quotidien. Cela peut aller très loin, jusqu’au suicide de certaines personnes qui ne supportent plus les publications à leur encontre. Très facile de dire que c’était des personnes psychologiquement faible. Il faut avoir une bonne armure pour supporter certains propos. Je plains les personnes concernées. Quand au complotisme, là aussi, ça ne semble gêner personne que des conneries monumentales sur les illuminatis, entre autre, circulent sur les réseaux sociaux.

    Bon ben… continuons ! Nous sommes sur le bon chemin…<img data-src=" />