votre avatar

CanalGuada

est avec nous depuis le 12 janvier 2011 ❤️

113 commentaires

Le 13/11/2012 à 18h 33

Le bras de fer risque de devenir passionnant si importateurs, fabricants et distributeurs en sont rendu au point où ils considèrent illégitimes les textes votés par la commission.



Surtout si, après concertation, consigne est donnée par les associations de bloquer le paiement de la redevance copie privée - à l’image d’Apple en début d’année par exemple - le temps que le différend trouve une issue juridique.



Avec la médiatisation que cela produirait - permettant enfin d’informer le grand public sur la part de la redevance dans le prix final de leurs achats, tout en sensibilisant encore un peu plus sur l’absurdité de la taxation des professionnels - les politiques et ayant-droits français feraient mieux de réfléchir à deux fois avant d’inventer des préjudices donnant lieu à dédommagement.



Personne n’a jamais eu, ni n’aura - en particulier actuellement - pour préoccupation de garantir le niveau des revenus des seuls ayant-droits… à part les ayant-droits et les politiques qui croient dur comme fer pouvoir s’appuyer sur leur influence supposée.



Le réveil risque d’être douloureux.

Le 12/11/2012 à 17h 38







yvan78 a écrit :



En réalité, transparait en filigranes dans les interventions du CEO le fait que l’environnement européen serait trop grand ouvert à la concurrence déloyale de la chine (via sa monnaie maintenue sous évaluée, son dumping social…), sans toutefois nommer cette dernière.



D’ou une grosse claque à l’Europe…





C’est idéologiquement que l’environnement le fondement européen est trop grand ouvert <img data-src=" />



Les dirigeants européens ont pensé naïvement pouvoir tirer profit de l’ouverture (comprendre la faculté de faire circuler les capitaux pour investir là où le dumping social, environnemental et fiscal permettait de plus grosses marges à court terme) oubliant qu’ils avaient aussi besoin (voire que c’était leur devoir) de protéger et développer la consommation intérieure sur le long terme, le capital apatride ne voyant aucun intérêt particulier à s’en charger lui-même.



Le retour de bâton pour les citoyens qui auront cru à ces promesses est violent actuellement et cela ne risque pas de s’arranger sans changer le fusil d’épaule.


Le 12/11/2012 à 16h 20







hellmut a écrit :



ok et si jamais personne utilise la fibre, tu obliges les opérateurs à louer? tu augmentes les impôts pour compenser?





La boucle locale est entre les mains d’Orange et il me semble avoir lu qu’une expérience est déjà en cours pour supprimer d’autorité l’utilisation de la paire de cuivre dans une agglomération de taille moyenne en région parisienne.

Si l’on veut vraiment que le réseau fibre soit le seul utilisé, c’est tout à fait possible (tout comme le réseau hertzien analogique a été éteint pour la télévision…)



au prix de l’installation de la fibre dans tous les petits patelins (plusieurs centaines voires milliards d’euros), tu la fais à combien ta fibre étatique?

si elle est pas assez chère, tu rentres pas dans tes frais, tu endettes les français.

si elle est trop chère, personne en veut, tu endettes les français.



La fibre est clairement un investissement sur le très long terme, tout comme la paire de cuivre posée par l’entreprise publique l’a été. La seule question qui vaille est de savoir comment l’amortir. Le coût initial sur le court terme a peu d’importance vu la rentabilité à moyen/long terme, avec ne serait-ce que la location des infrastructures réseau. Sans même parler des opportunités de développement économique que cela rapporte, ne plus être “isolé” numériquement permettant aux entreprises de ne plus hésiter à s’implanter.



très facile de dire: il suffit que l’état pose.

oui mais non. jsuis contribuable. il suffit pas de faire ça et de venir pleurer 10 ans après qu’on est grave endettés, et que tout le monde va devoir raquer.



L’amortissement de la mise en place de la fibre doit être considéré sur l’ensemble de sa durée de vie. Ici, une période de 10 ans n’est vraiment pas raisonnable.



d’autre part concernant ton exemple, y’a des tonnes de petits bleds qui ne sont pas desservis par le rail (une écrasante majorité, d’ailleurs).



Même si tous les petits bleds ne sont pas desservis de la même façon que les zones denses dans un premier temps, cela ouvre tout de même pas mal de possibilités avec des solutions intermédiaires, la fibre n’ayant pas besoin d’être déployée jusqu’à chaque pas de porte pour en tirer bénéfice.

On peut de plus très bien imaginer que les collectivités locales ou les intercommunalités prennent le relais ensuite sur les derniers mètres pour mettre en place la technologie la plus adéquate.



Il ne faut pas oublier non plus que quelle que soit l’entité possédant les infrastructures réseau, à un moment où un autre les fournisseurs de contenu sur le territoire profiteront aussi de l’accroissement du débit.



Il n’est pas illogique que lorsque le contenu est directement accessible via une box (VOD par exemple) que ces derniers contribuent également à la mise en place de l’infrastructure nécessaire au service, tout n’étant pas laissé à la charge du quidam internaute dans son forfait de base ou de celui qui implante la fibre.



Le débit moyen en France est trop faible à l’heure actuelle, mais avec la fibre, d’autres habitudes de consommation se mettront en place, apportant aussi d’autres sources de financement.


Le 10/11/2012 à 16h 08

Comment rémunérer les créateurs/développeurs de logiciels en s’appuyant sur une licence libre sans que leur travail soit “pillé” ? Une réponse : en intégrant la notion de biens communs dans un échange entre pairs clairement définis.

Le 08/11/2012 à 18h 55







Poppu78 a écrit :



Une loi a été votée pour ça il y a quelques mois, elle a fait couler beaucoup d’encre car pas mal d’auteurs avaient l’impression de se faire léser.







Si j’ai bien compris, il n’est lésé que s’il ne récupère pas les droits sur son oeuvre avant que la procédure soit lancée, et encore juste le temps de se retourner.



C’est bien pensé en tous cas car les auteurs seront plus enclin à se préoccuper de la bonne gestion de leurs droits après les premières éditions. Et ce sont les éditeurs qui vont devoir se bouger pour conserver catalogue et auteurs, du moins il me semble.


Le 08/11/2012 à 18h 34



« le partage avec d’autres individus d’une œuvre qui est entrée en notre possession est un droit culturel essentiel, dont la portée est plus étendue dans le monde numérique »





Clair et limpide. Tant que les éditeurs de tous secteurs, et les politiques qui vont dans leurs sens, n’auront pas compris qu’ils peuvent légitimement au mieux réguler le partage entre individus, et non pas l’interdire en réprimant par la loi, la situation sera bloquée car le public ne fera jamais l’impasse sur ce droit.

Le 08/11/2012 à 16h 55

Ce n’est qu’un début…



Nos dirigeants politiques et les ayant-droits ne pourront pas éternellement demander aux intermédiaires techniques et autres agents de l’écosystème d’assurer le rôle d’“auxiliaire de police” pour défendre des intérêts essentiellement privés.



Et comme engager leur responsabilité - pour pallier à la non sanction des usages de l’internaute à son initiative, qui de toute façon se révèlerait trop coûteuse à mettre en place - n’est pas possible, la facture ne pourra que croitre au fur et à mesure que la législation se voudra envahissante.



Légiférer dans tous les sens c’est bien, mais faut toujours prévoir le financement ou n’importe quel autre moyen nécessaire pour mettre en oeuvre avant. Sinon on brasse du vent.

Le 08/11/2012 à 16h 22







misterB a écrit :



la figure 4 est donc inutile <img data-src=" /><img data-src=" />





Oui en particulier mais non en général. Car cela peut permettre d’écarter le moindre doute avec un design plus… élaboré <img data-src=" />



La représentation sous tous les angles fait en plus probablement partie des formalités pour déposer le design.



Le 08/11/2012 à 16h 06







misterB a écrit :



Piot refere a un brevet de 2005, le D504889 pas le nouveau, plus précis qui montre bien les boutons, le concave du dos et en effet la forme général mais pas que,c’est un tout <img data-src=" />



http://assets.sbnation.com/assets/1701443/USD670286S1.pdf







Non il se réfère à l’article donné en lien sur The Verge, qui lui-même se réfère au brevet que tu mets en lien.



D’ailleurs, il est facile de vérifier soi-même, ce dernier précise en toutes lettres sans que la moindre confusion soit possible :



The shade lines in the Figures show contour and not ornamentation.

The broken lines in the Figures show portion of the portable display device which form no part of the claimed design.





Autrement dit, tout ce qui est en pointillé n’est pas déposé.

Seule une arête est dessinée au trait plein, celle en forme de rectangle à coins arrondis vu de dessus, quelle que soit la figure, l’est.



Le 08/11/2012 à 11h 10







ngcubeur a écrit :



Il faut dire que des formats tablettes avec les coins arrondis, il n’en existait pas précédemment <img data-src=" />





Dire qu’Apple vient justement d’ajouter à sa liste de produits Samsung censés violer sa propriété intellectuelle… toute la gamme de produits utilisant un stylet.

Tout en profitant pour attaquer Android 4.1 Jelly Bean en contrefaçon


Le 08/11/2012 à 15h 28







misterB a écrit :



obsolescence programmée <img data-src=" /><img data-src=" />



revenons au disque ce cire <img data-src=" /><img data-src=" />







L’argument consistant à dire que ce qui légitimait la copie privée fût que le support se dégradait et que la reproduction elle-même n’était pas fidèle à l’original, ce n’est pas moi qui l’ait utilisé…



<img data-src=" />


Le 08/11/2012 à 15h 05







Commentaire_supprime a écrit :



Bon, après, va falloir qu’ils comprennent que je ne vais pas racheter une troisième fois Stairway to Heaven, et que je ne serais pas le seul à faire de même…







Eh oui ! Et sans une “obsolescence programmée” du support, la mise en place du racket pour profiter d’un contenu acquis légalement au préalable est plus difficile voire impossible.



C’est une épine dans le pied de leur modèle économique.



D’où d’ailleurs l’acharnement pour taxer abusivement les nouveaux supports sous prétexte de copie privée - bien plus qu’à cause de l’éventuel “piratage” - car il y a beaucoup plus à perdre sur le long terme sans la dégradation des supports.


Le 08/11/2012 à 14h 34



Selon Pascal Nègre, le succès du streaming en France et en Suède est simple : ces deux pays disposent d’une «législation sérieuse contre la piraterie ! C’est un tout !»



Raisonnement stupide.



Spotify et Deezer ont surtout développé le marché du streaming grâce à leurs services en priorité sur leur territoire national respectif.



Un peu comme si l’on comparait les parts de marché à l’heure actuelle du streaming concernant la vidéo en expliquant que c’est grâce à la législation américaine que Netflix et Hulu ont pu se développer plus outre-atlantique qu’en Europe.



Sinon parler de “compensation” du chiffre d’affaires perdu avec la vente des CD par celui du numérique n’a aucun sens : les coûts de production et de distribution ne sont absolument pas comparables. Sans même parler du coût social ou fiscal…

Le 08/11/2012 à 14h 07







pti_pingu a écrit :



FAI, Google, même combat??? <img data-src=" />





Ça ne concerne pas que les FAI et les moteurs de recherche… le lobby des ayant-droits essaie de pousser à la mise en oeuvre de ce qui ressemble de plus en plus à une police sur le Net où chaque acteur viendrait docilement, mais aussi gracieusement et souvent contre ses intérêts, défendre ceux des fournisseurs de contenu, en en faisant alors les privilégiés de l’écosystème.



Ça ne marchera pas car personne n’acceptera jamais bien longtemps d’échanger sa propre liberté d’action, économique ou autre, pour un rôle dans le maintien d’un ordre public qui ne se préoccupe même pas de l’intérêt des différents acteurs. Rôle dévolu par ailleurs au système judiciaire habituellement.



Ou alors il faudrait corrompre beaucoup de monde en permanence pour aller dans ce sens… et finalement se retrouver dans la même situation que les pays de l’ancien bloc de l’Est qui ont vu se développer toute une économie parallèle alimentée par le marché noir, ou encore celle des États-Unis à l’époque de la prohibition.



Tant que la pression - rebaptisée subtilement “pédagogie” par la propagande étatique voulant modifier les usages et coutumes, sans succès - était uniquement sur les particuliers, cela pouvait encore passer. Mais là en rajoutant les FAI, le(s) moteur(s) de recherche, les industriels du secteur, les sites de vente en ligne,… bref la quasi-totalité des acteurs du secteur dont l’activité principale ne se résume pas à distribuer le contenu des ayant-droits institutionnels, la remise en question de la légitimité des démarches était plus que prévisible.



Tout comme le clash qui se prépare inévitablement, les dirigeants politiques ne pouvant pas faire indéfiniment abstraction de ce qui s’est déjà passé récemment avec l’ACTA, entre autres.



À croire que toutes les expériences du passé à chaque fois que l’on a tenté de lutter plus que de raison contre la nature humaine n’ont pas suffit, arsenal législatif en place ou pas.


Le 07/11/2012 à 17h 23







Mihashi a écrit :



Ok, pour le droit de copie privée. Mais alors je ne comprends pas comment les MTP interdisant la copie peuvent être considérées comme légales vu qu’elles sont en totale contradiction avec ce point de l’article :



Y a un autre article (article L331-5 ?) qui les autorisent (mais dans ce cas là la loi est bien schizophrène <img data-src=" />) ? Ou j’ai encore mal compris ?





Pas de schizophrénie <img data-src=" />

Les MTP peuvent se justifier quand il s’agit de distribuer du contenu par exemple en streaming. Dans ce cas, l’exploitation normale ne s’appuie pas sur le fait que l’oeuvre soit fixée au préalable sur un support, que l’utilisateur pourrait légitimement copier par mesure de sauvegarde ou afin de lire l’oeuvre sur un matériel de son choix.



Par contre, l’article L331-7 prévoit que la définition de ces mesures n’est pas laissée à la discrétion des seuls titulaires de droits. Et l’article L331-9 va même plus loin en interdisant les mesures susceptibles de priver le public du bénéfice de l’exception pour copie privée aux éditeurs et distributeurs de services de télévision.



Pour l’interopérabilité, je ne suis pas d’accord. Les MTP qui empêchent de réaliser une copie posent des problèmes d’interopérabilité, car du moment que tu peux lire une œuvre il est possible de la copier.

Mais le “problème” de la copie privée se pose même s’il n’y a pas interopérabilité.



(En gros, l’interopérabilité dépends de la capacité à faire une copie, mais le problème de la copie privée ne dépends pas de l’interopérabilité)



Tenter de résoudre le paradoxe de la poule et de l’oeuf a un intérêt très limité… l’important est que l’oeuf puisse être ramassé chaque jour en ménageant la poule et sans porter préjudice à l’éleveur.



Qu’il soit préparé ensuite alternativement au plat, ou en omelette, ou à la coque, par le consommateur chez lui n’aura strictement aucun impact pour la poule ou l’éleveur.



En d’autres termes, les contenus audio-visuels se consomment couramment désormais via un lecteur de salon, un ordinateur personnel, un smartphone ou une tablette, mais a priori aucun client n’achètera plusieurs fois le même contenu.



Dans la mesure où techniquement il est “simple” de contourner les MTP ou de se procurer une copie partagée illégalement – pour profiter raisonnablement d’un contenu acheté – empêcher la copie revient finalement à léser le client honnête, tout en n’incitant pas celui qui l’est moins à le devenir un peu plus.



Même certains éditeurs de DVD/BR l’ont déjà compris et proposent avec leurs produits des copies non protégées, destinées à tous les usages alternatifs plutôt que prolonger un bras de fer perdu d’avance… avec leur propre clientèle, fut-elle potentielle.


Le 07/11/2012 à 05h 39







Mihashi a écrit :



Ce qui est écrit dans la loi, c’est que tu n’as pas le droit de copier un œuvre sans l’autorisation expresse des ayants-droits.

Donc la copie privée est interdite par la loi.





Ce n’est pas ce qui est écrit <img data-src=" />

Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite.



Mais <img data-src=" /> :



La représentation consiste dans la communication de l’oeuvre au public par un procédé quelconque (…)





La reproduction consiste dans la fixation matérielle de l’oeuvre par tous procédés qui permettent de la communiquer au public d’une manière indirecte.





Lorsque l’œuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire :

1° Les représentations privées et gratuites effectuées exclusivement dans un cercle de famille ;

2° Les copies ou reproductions réalisées à partir d’une source licite et strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l’exception des copies des oeuvres d’art destinées à être utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l’oeuvre originale a été créée et des copies d’un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l’article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d’une base de données électronique



Ou encore :



8° La reproduction d’une œuvre et sa représentation effectuées à des fins de conservation (…)





D’où l’exception qui te permet quand même de le faire



Le législateur n’est pas schizophrène… lui. <img data-src=" />



De façon générale, la loi ne s’interprète pas article par article, en tronquant les définitions ou en sélectionnant ce qui sert l’argumentation uniquement.



Ici, c’est clairement le fait d’interdire la copie privée qui n’est pas autorisé.

Pas plus que ce n’est l’esprit de la loi, aujourd’hui encore dans sa rédaction, historiquement le droit d’auteur n’a pas été conçu pour réglementer l’usage d’une oeuvre acquise de manière licite dans un cadre strictement privé, mais pour garantir le monopole de l’exploitation économique avant tout.



mais ce n’est pas un droit (sinon la redevance n’aurait pas lieu d’être).



Si. Tout comme l’auteur/ayant-droit est protégé en matière de droits patrimoniaux, le copiste disposant d’une source licite l’est aussi.



Ce que tu ne comprends pas, est que, faute de communication au public la copie étant réservé à un cadre privé, ce dernier n’a pas besoin de justifier son utilisation, notamment à l’aulne d’une conception douteuse du préjudice subi, pas plus que le législateur n’a besoin de préciser quels sont tous ses droits mais juste où ils s’arrêtent, vivre dans un pays libre ayant encore quelques avantages.



Ne pas vouloir considérer la copie privée comme un droit est de toute façon s’engager dans une bataille perdue d’avance (comme a pu l’être la prohibition au début du XXème siècle) : en plus de la loi telle qu’elle est énoncée (droit positif sans sanction/coercition de l’état), la coutume et les usages viennent renforcer le sentiment de légitimité (droit naturel) et personne ne verra jamais où est la finalité sociale d’une régression sur ce point… car il n’y en a simplement pas.



Ce n’est peut-être pas un “droit fondamental” mais outre-atlantique, où la lutte contre le piratage est pourtant féroce, c’est déjà une conséquence de l’usage loyal (fair use) depuis longtemps, et avec l’abandon de l’idée contre-productive d’imposer des MTP partout, ce n’est qu’une question de temps pour que ce droit soit largement ancré dans les législations.



L’interopérabilité est un autre problème



Non, ce n’est pas un autre “problème”, l’interopérabilité figure aussi dans le CPI et le législateur stipule clairement à dessein que les MTP ne doivent pas l’empêcher.



il n’est pas nécessaire de faire de copie pour lire une œuvre.



Ça se discute techniquement… surtout lorsque l’on constate que le seul moyen d’interdire la copie sur un PC est d’interdire aussi la lecture sur ce dernier, en empêchant l’interopérabilité avec l’utilisation contrainte de matériel et/ou logiciel propriétaires spécifiques <img data-src=" />


Le 06/11/2012 à 19h 31







Mihashi a écrit :



<img data-src=" />

C’est une exception au droit d’auteur, pas un droit…





Bien sûr que c’est un droit.



Tout ce qui n’est pas interdit est autorisé et le droit d’auteur ne s’exerce pas au-delà de cette limite.



Faut arrêter avec cette rhétorique purement juridique qui consiste à dire que parce que ce n’est pas décrit explicitement dans la loi comme tel (avec possibilité de se retourner vers le fournisseur en cas d’impossibilité de l’exercer) que la copie privée ne serait pas un droit.



Le respect de l’interopérabilité, le principe posé par la loi que la mise en œuvre des mesures techniques ne prive pas les bénéficiaires des exceptions de leur exercice effectif, ou encore simplement la protection de la vie privée des utilisateurs suffisent à le définir.



Et la seule véritable question à se poser pour savoir si c’est dans les faits un droit ou pas, est de constater qu’ayant-droits et fournisseurs de contenus n’ont pas vraiment de moyen légal pour s’opposer à ce que l’utilisateur la mette en oeuvre.



Le contournement des MTP empêchant la copie privée n’est sanctionné que si ces dernières sont efficaces et ne privent pas l’utilisateur de la possibilité de lire les contenus, entre autres.





Le 06/11/2012 à 20h 23







127.0.0.1 a écrit :



Le problème c’est qu’il y aura toujours de cons pour se faire arnaquer par des enfoirés.



Autant ne rien faire. <img data-src=" />





On peut effectivement considérer cela comme une sélection naturelle <img data-src=" />

Mais ne rien faire, n’est pas ce que j’ai préconisé non plus <img data-src=" />



Faut trouver un juste milieu entre l’infantilisation de l’utilisateur, qui impliquerait alors un contrôle de l’état, et le décalage qui peut être grand entre ceux maîtrisant l’outil et les autres.



D’autant plus que nous sommes dans une période de transition : légiférer, en visant le long terme par principe, mais en surprotégeant l’internaute, d’emblée en considérant qu’il ne saura pas s’adapter, n’a aucun sens.


Le 06/11/2012 à 17h 58







carbier a écrit :



Que rajouter à cela ?

Le problème ce n’est pas les arnaqueurs mais ceux qui se font arnaquer <img data-src=" />







Le problème est que des arnaqueurs existeront toujours quels que soient les moyens engagés et qu’il est plus efficace, sans même parler des dégâts collatéraux évités, de former au bon usage des nouveaux outils.



En règle générale, c’est courir après une chimère que vouloir garantir la sécurité de tous en toutes circonstances. Ce n’est déjà pas possible IRL, alors sur Internet… <img data-src=" />


Le 06/11/2012 à 17h 39







tolo a écrit :



Bah, il décrit une situation qui existe réellement, mais sa solution ne servirait à rien.

La seule et bonne solution c’est l’éducation.

Car les escrocs n’ont pas attendus le net pour faire du pognon, le porte à porte leur en rapportait déjà pas mal. Il faudrait aussi nationaliser le porte à porte alors <img data-src=" />









corsebou a écrit :



Bref, peut etre qu’on devrait bannir les pigeons? Du genre faire un test obligatoire de compétences, comme le permis de conduire par example.

Tout cela encadré d’un examen officiel et de nouvelles taxes.



<img data-src=" />





Si les taxes permettent de financer le permis de conduire et une formation scolaire à l’usage d’internet, ce n’est pas si mal vu que cela correspond à un besoin partagé par à peu près tout le monde et que cela profite à court, moyen et long terme au contribuable.



Moins aux auto-écoles par exemple, il est vrai… <img data-src=" />


Le 06/11/2012 à 17h 29







romjpn a écrit :



Meme sur les distributions Linux maintenant Chromium est prefere a FF. <img data-src=" />





Pas toutes en tous cas. Sur Fedora, Chromium n’est même pas dans les dépôts officiels… c’est dire si Firefox est près d’être détrôné. <img data-src=" />


Le 06/11/2012 à 16h 57







tazvld a écrit :



Si je suis leur logique :

ça fait 2milliars 140 million de place de ciné par an. Ca fait donc par foyer : 79,3 ticket de ciné par foyer par ans (en prenant 27 million de foyer) ou 33.7 ticket par habitant de perdu. Ca donne 2.8 séances de ciné supplémentaires par mois. d’après ce site :http://www.obs.coe.int/about/oea/pr/berlinale2012.html les Français aurait potentiellement regardaient 216 millons de films au ciné en 2011, ça donne 3,4 séance de ciné par an par personne. Ca fait moins d’une séance par mois (même pas 14 de séance).

En gros, Il nous disent que sans moyen d’enregistrer les émission à la télé, nous irons 11 fois plus au ciné?



(et je ne parle pas sur le fait qu’il n’y a pas que des œuvres cinématographique ou des série à la télé)





La conclusion à tirer est que si les fournisseurs de contenu autorisent la diffusion à la télévision alors que cela amputerait de plus de 90% le chiffre d’affaires potentiel dans les salles, il faut qu’ils refusent à l’avenir de diffuser à la télévision, hors VOD ou chaînes payantes éventuellement.



Bref qu’ils assument eux-mêmes leur propre choix quant aux circuits de distribution choisis, le contribuable n’ayant pas à compenser systématiquement leur mauvais calcul.



C’est un peu trop facile d’imposer un modèle économique et de demander à d’autres de le rentabiliser à tout prix sous prétexte que l’offre correspondrait à une réelle demande.



Entre les séries TV policières, US le plus souvent et omniprésentes dans toutes les grilles de programme, les films ou téléfilms de piètre qualité que peu de personnes auraient été voir d’eux-mêmes au cinéma, ou les rediffusions multiples de vieux films chaque année, il faut une bonne dose d’hypocrisie pour justifier que la non rentabilité de la programmation incombe à la possibilité de réaliser une copie privée.



Surtout depuis que le téléspectateur est aussi devenu joueur et/ou internaute, se tournant vers d’autres médias.


Le 05/11/2012 à 16h 21







Severe a écrit :



Euh, non, GoogleNews est bien dans la classe “Panorama de presse”.









hellmut a écrit :



oui mais non:



donc non.<img data-src=" />







De toute façon, la notion de “panorama de presse” n’est pas définie juridiquement et ne figure nul part dans les textes régissant la PI.



Ce que la presse souhaite, c’est lui donner corps et contraindre Google à signer le même type de contrat que propose le CFC en institutionnalisant cette notion pour tout ce qui n’est pas “revue de presse”, la différence entre les deux résidant essentiellement dans le fait que l’élaboration est faite par un organe de presse ou pas.


Le 03/11/2012 à 19h 25







geekounet85 a écrit :



heu s’il y a eu verdict d’un juge, c’est qu’il y a eu procès, donc tribunal! <img data-src=" />





Merci de me le faire remarquer, je ne l’avais pas déjà compris… <img data-src=" />



Google est responsable des données sur ses serveurs, si tu estimes que leur contenu est diffamant, tu es en droit de leur faire savoir, et de réclamer son retrait. à eux ensuite de juger de recevoir ou non cette demande, et donc de prendre le risque de se faire attaquer en justice.



La quasi-totalité du contenu du Web est indexé par leurs serveurs et est susceptible d’être restituée lors d’une requête précise.



Rendre Google, ou n’importe quel moteur de recherche, responsable de l’ensemble du contenu publié sur le Web est une véritable aberration car cela revient non seulement à lui demander de vérifier la véracité et la licéité de tout contenu, mais en plus en tenant compte du territoire à partir duquel le moteur est utilisé et donc de sa législation… en se substituant à un juge.



Par contre, il est bien sûr possible de demander à exercer un droit de retrait pour un contenu personnellement considéré comme diffamant.



Mais que la diffamation soit reconnue par tous - et donc par Google aussi quand elle n’est franchement pas manifeste tant sur la forme que sur le fond supposé - nécessite une décision de justice, car dans une démocratie user de sa libre expression, surtout s’agissant de faits avérés, est un droit encore plus fondamental.



L’oublier conduit à ce que toute action de Google soit susceptible de léser arbitrairement l’éditeur du contenu ou le citoyen voyant l’information censurée, ou n’importe quel autre tiers concerné lui aussi.



Bref, cela n’a déjà pas beaucoup de sens de reprocher à Google de permettre de retrouver des informations rendues publiques et vérifiées dans les faits concernant une personne physique ou morale… alors demander de veiller à son e-réputation parce que ces informations seraient susceptibles de lui nuire, cela n’en a aucun s’il faut pour cela “par précaution” bafouer aussi d’autres droits.



A moins de vouloir rendre la qualité de toute information dépendante du véto de ceux qui ont, d’une façon ou d’une autre, les moyens de protéger leurs intérêts en la faisant disparaître.



Même quand ils torpillent eux-même cette réputation avec leurs propres déclarations publiques ou agissements… tout en réclamant pouvoir s’en déresponsabiliser totalement par la suite.


Le 02/11/2012 à 19h 27

Donc n’importe qui estimant de son point de vue que le contenu d’un site est potentiellement diffamant – si le lecteur a la comprenette un peu difficile – peut demander à ce que le contenu soit déréférencé par un moteur de recherche sans même passer par un tribunal ?



Ceci même si la page avec le contenu “diffamant”, sur un site de presse, est encore en ligne (supprimée depuis mais c’était le cas quand l’affaire a démarrée) ?



Du grand n’importe quoi…

Le 01/11/2012 à 18h 36

Dire que ces pratiques “commerciales” pourraient disparaître si les consommateurs étaient en mesure de déposer des recours collectifs sans nécessairement passer par l’intermédiaire d’associations…



Associations (de consommateurs en l’occurrence) dont la faiblesse des moyens financiers empêchent de s’attaquer aux mastodontes que sont les grands groupes, souvent multinationaux… si tant est qu’elles représentent réellement les intérêts des consommateurs lésés avant tout. Ce qui est loin d’être le cas.



En France, il est quasiment impossible de faire plier une entreprise comme SFR sans l’intervention directe du politique… en admettant que le législateur lui-même soit motivé pour le faire, alors qu’il aura plutôt chercher à protéger les entreprises avec la dépénalisation du droit des affaires jusqu’à présent.



Pas étonnant que la confiance dans notre justice soit aussi basse alors que le sentiment d’impunité est la norme dans le monde des affaires.

Le 31/10/2012 à 19h 09



La directrice de la stratégie de l’enseigne, Mme Giavarini l’a expliqué dans les colonnes du Figaro : « Le métier de la Fnac n’est pas de développer de la technologie ».



C’est bien en lisant ce genre de propos que l’on sait que l’on est en France tant cadres/dirigeants/politiques ont des oeillères sur le long terme.



Vu que le coeur de métier de la FNAC est, il me semble, de vendre des produits culturels, produits qui seront de plus en plus dématérialisés, ce qu’explique gentiment la directrice de la stratégie(sic) sans la moindre gène est que l’enseigne va simplement disparaître… faute de vouloir lutter contre la concurrence alors que le marché se trouve sur le terrain de cette dernière.



Quand on pense en plus qu’Hadopi était censée favoriser l’émergence de sites labellisés avec une offre légale viable – ce qui ne sera pas le cas si iTunes est en situation de quasi-monopole – voir la FNAC qui était relativement bien implémentée abandonner en dit long sur ce secteur.

Le 31/10/2012 à 04h 39



Google va aussi indexer l’ensemble des contenus des éditeurs de presse, cette indexation n’ayant rien à voir avec le référencement puisqu’il ne s’agit pas de récupérer un titre et deux lignes, mais de faire l’analyse sémantique de l’ensemble de ces articles… En clair, grâce aux contenus de la presse en ligne, Google améliore jour après jour son revenu.



Extrait de Libé – Oui, Google capte la valeur créée



Finalement ce que la presse traditionnelle reproche à Google en parlant de “pillage de contenu” est d’être un moteur de recherche… faisant de l’analyse sémantique des contenus qui sont publiés pour proposer à l’internaute des résultats pertinents – et par la même occasion, de la publicité ciblée susceptible d’intéresser des annonceurs. <img data-src=" />



Ce type d’argument démontrant l’incompréhension totale sur la notion même de moteur de recherche ou de l’origine réelle de la valeur ajoutée que génère Google a vraiment de quoi laisser pantois.

Le 30/10/2012 à 21h 41







carbier a écrit :



Or c’est la diversité des médias qui rend l’information INtéressante et je suis désolé mais un blog édité par un bénévole aussi compétent soit-il ne pourra jamais digérer et éditer au quotidien… ces bloggeurs sont en fait complémentaires de la presse quotidienne grace certainement à des compétences plus pointues… mais ils ne sont en aucun cas un substitutif…





Pas l’impression d’enfoncer des portes ouvertes ?



Évidemment qu’un seul bénévole ne peut pas éditer au quotidien l’équivalent en articles fournis par la presse généraliste. Mais plusieurs d’entre eux le peuvent parfaitement. Et en sélectionnant plusieurs blogs par thème (pour ceux intéressant généralement l’internaute), il est assez facile d’avoir un contenu éditorial suffisamment riche et suivant l’actualité à peu près au quotidien.



Si en plus de cela, l’internaute jette un oeil sur les seules dépêches AFP/Reuters pour voir ce qui n’aura pas été forcément traité via les blogs, il aura rapidement fait le tour des sujets abordés le jour même ou la veille par la presse.



C’est même une aberration de lire essentiellement la presse quotidienne si l’objectif est d’avoir une information INtéressante et diverse. Ou alors, il faut disposer de beaucoup de temps pour faire le tour de plusieurs titres en espérant alors dénicher un contenu particulièrement original qui le justifiera.



En admettant que l’originalité de ce contenu n’aura pas conduit à un article de blog le mettant en avant… <img data-src=" />





Le 30/10/2012 à 18h 19







servalx a écrit :



Mais arrêtes, ils ne parlent même pas d’une même voix au SPIL.

Rue89 et Slate qui sont 2 pilliers de ce syndicat ont admis avoir touché des subventions dans le cadre du plan de 20 millions d’€ défini par le gouverment pour aider la presse en ligne justement.

Vous me faites rire là.





Là c’est plutôt toi qui me fait bien rire en décidant que les pure players auraitent dû refuser de profiter eux aussi de l’avantage concurrentiel qu’a procuré le subventionnement de la transition papier-en ligne chez les autres.



Quant à prétendre qu’ils ne parleraient pas de la même voix, un manifeste commun a été signé très récemment… par ces mêmes “piliers” dont tu voudrais, à dessein, brouiller la communication.



Et en l’occurence le SPIL changera d’avis si la taxe est mise en place.

Tu crois qu’ils ont les moyens de s’en passer ? Ils sont moribonds, perdent de l’argent et n’ont pas de modèle économique.

Tu crois qu’à jouer les chevaliers blancs ils sont tous indépendants ?

Médiapart par exemple, Xavier Niels et Maurice Levy de Publicis y ont mis de l’argent.

A d’autres stp.



En l’occurence, tu ne sais strictement rien de leur avis actuel donc prédire ce qu’il sera dans le futur…

Pas plus d’ailleurs que tu ne sais si leur modèle économique est viable sans la concurrence déloyale à laquelle la plupart des pure players sont soumis, ne serait-ce que par les inégalités de droits auxquels ils sont soumis (taux de TVA, refus de la dématérialisation des annonces judiciaires et légales pourtant prônée par l’UE,…)



Quant à attaquer les pures players sur la prétendue non-indépendance alors qu’en face les liens avec les grands groupes sont nettement plus établis, que dire à part <img data-src=" /> ??


Le 30/10/2012 à 17h 53







Liam a écrit :



Parce que les éditorialistes comme Joffrin, Giesbert, Barbier et Adler, ils font quoi à part pondre des opinions toutes faites le cul vissé sur leur chaise ?



Le journalisme d’investigation ça représente quelle part de la presse internet au juste ?



Je suis désolé, mais Maître Eolas a beau être un simple blogueur, dès qu’il s’agit d’un sujet juridique, ses propos sont infiniment plus précis, travaillés, exacts, sérieux et utiles que n’importe quel journaliste. Et des blogueurs qui font un travail plus propre que les journalistes sur leur sujet d’expertise, il y en a à la pelle.







Un énorme +1 !



Qui plus est, le journaliste ne crée jamais l’information : il se contente au mieux de la révéler et de relater des faits, voire, quand il veut réellement informer, de donner un éclairage avec – éventuellement – différents points de vue.



Avec les moyens actuels, la plus-value à laquelle la presse peut prétendre ne réside clairement pas dans la diffusion, tant le citoyen-internaute est lui même en mesure d’accéder directement à l’information sans elle, par l’intermédiaire des témoins/acteurs des faits relatés, qui n’hésitent plus à communiquer d’eux-mêmes.



Et mettre en forme un communiqué de presse – ce à quoi se résume bien souvent les articles disponibles gratuitement en ligne, faute d’un journalisme d’investigation digne de ce nom – n’apporte aucune valeur ajoutée… bien au contraire car l’information est bien trop souvent filtrée et déformée.


Le 30/10/2012 à 16h 32







servalx a écrit :



Parceque tu crois que Rue89 n’en bénéficiera pas via le Nouvel Obs sa maison mère ?

Ou mieux ! Que la presse en ligne acceptera d’être le dindon de la farce ?

Ils vont bien évidement réclamer une quote part du gâteau.

Soyez pas naif à ce point tout de même.







As-tu pris connaissance de leur prise de position via le SPIIL ou imagines-tu pouvoir t’exprimer à leur place ?



Les intérêts de la presse en ligne sont souvent opposés à ceux de la presse papier traditionnelle. Le SPIIL, par exemple, demande à ce que le subventionnement direct de la presse soit abrogé.



Et en l’occurrence, le SPIIL est opposé à l’idée même de taxe Google car cela renforce l’hégémonie de Google et la dépendance des médias vis à vis de ce dernier.



Le 30/10/2012 à 15h 20







carbier a écrit :



Ce qui n’a rien à voir avec la choucroute <img data-src=" />

Je ne parle pas de référencement dans google mais d’utilisation des données collectées par le moteur Google pour créer un service Google News…







Au contraire cela a tout à voir.



Il est tout à fait possible de refuser d’apparaître sur Google News, tout en continuant à être indexé dans Google Search, et cela se paramètre aussi dans le robots.txt du site.


Le 30/10/2012 à 18h 58

C’est assez consternant de voir le poids des lobbys et comment l’État finit par se mettre à leur service plutôt qu’à celui des citoyens en quête eux de transparence.



Le lobby des laboratoires pharmaceutiques n’a pas l’exclusivité… Dans le même genre, la pression pour empêcher que des liens induisant éventuellement des conflits d’intérêts soient trop transparents dans le domaine du nucléaire est pas mal non plus.

Le 26/10/2012 à 18h 05







Arcy a écrit :



Et la version d’évaluation ?





Oui.



Mais en espérant que sa mise à disposition sera pérenne, que l’iso fourni inclura toujours les mises à jour,…



L’utilisation requiert l’activation et pour le moment une date butoir (15/08/2013) est précisée quant à cette dernière sur la page de téléchargement.


Le 26/10/2012 à 17h 17

Ce sont les professionnels testant le matériel informatique qui sont contents avec ce nouveau système…



J’en ai déjà vu quelques uns se plaindre sur leurs sites de devoir disposer de plusieurs licences/clés pour réaliser leurs comparatifs, alors qu’avec Windows 7 le problème ne se posait pas du tout, l’activation n’étant obligatoire qu’après 30 jours.



Reste à quantifier l’éventuel impact des limitations au niveau des performances, en cas d’installation sans activation.

Le 23/10/2012 à 16h 42

L’impact éventuel des compilateurs n’est pas le seul critère à considérer, la version de l’OS compte vraisemblablement lui aussi [url=http://www.presence-pc.com/tests/fx-8150-bulldozer-amd-23406/23/en terme de performances et de consommation[/url].



Malheureusement la plupart des tests – si ce n’est tous, je n’ai pas vérifié – ont été conduit sous Windows 7.



Mais tous ceux qui ne mettront pas à jour uniquement le CPU – conservant leur carte mère – sont aussi conduit à choisir entre l’acquisition d’une licence Windows 7 ou bien Windows 8, a priori non seulement mieux adaptée à un matériel sorti aujourd’hui, mais aussi offrant plus de fonctionnalités, ce qui paraît en faire un meilleur choix.



Pour peu, bien sûr, qu’il ne disposent pas d’une version boîte de l’OS, ce qui me paraît plus que fréquent… vu le coût de cette dernière.

Le 22/10/2012 à 18h 12







yvan a écrit :



Ce sont des choses étudiées en psychosociologie, pas mon interprétation <img data-src=" />





Et depuis quand la psychosociologie est-elle devenue une science exacte ? Ou encore que l’esprit critique a totalement disparu, au point que personne n’est plus capable de prendre un peu de recul et d’exercer son libre arbitre ?





yvan a écrit :



Les espèces de fantasmes sur des choses dont je n’ai pas parlé que tu exposes à la suite me laissent par contre une relativement claire interprétation de ce qu’est ta pensée sur le sexisme et sur ce qui te dérange dans ce que j’ai écrit <img data-src=" />





Je doute que tu sois en mesure d’interpréter de façon pertinente ce que je pourrais écrire voire penser. Mon commentaire parlait explicitement de regard porté par une minorité, minorité d’autant plus réduite en considérant l’aspect militant… et cette mise en contexte t’a visiblement déjà échappée <img data-src=" />



Libre à toi de considérer rendre service à la société en prétendant lutter contre le racisme, le sexisme ou l’homophobie… tout en admettant l’existence d’un état inférieur, sorti de l’esprit malade de ceux exprimant tout type de rejet de l’Autre. <img data-src=" />


Le 19/10/2012 à 15h 36







WereWindle a écrit :



bah depuis assez longtemps (surtout les Skyblog mais ça se voyait déjà sur IRC) le problème au fait que tout le monde puisse donner son avis, c’est que, justement, tout le monde peut donner son avis <img data-src=" />







Le problème est surtout que tout le monde pense que son avis est important, et qu’à force de s’en persuader pour son propre compte, la société toute entière finit par accorder de l’importance à absolument tout ce qui peut se dire <img data-src=" />


Le 19/10/2012 à 15h 33







yvan a écrit :



Dans à peu près tous les autres cas de figure c’est un cache sexe pour rabaisser des catégories de populations, leur rappeler leur état inférieur, ce qu’elles sont censé bien prendre car… c’est de l’humour bien sur.



L’humour est, au moins en occident, depuis très longtemps un outil d’activisme et de militantisme politique et social.





Évidemment, si tu argumentes en faisant d’office un procès d’intention – alors qu’il ne s’agit que de ta perception/interprétation, qui peut être biaisée, du message qu’émet l’interlocuteur – et en suggérant que le simple regard que pourrait porter une petite minorité sur une catégorie de population serait de nature à lui faire changer d’état – en définissant ce qu’elle est à partir de ce regard – il y a peu de chances d’arrêter de tourner en rond.



En devant adulte, nous réussissons tous – normalement – à savoir qui nous sommes sans avoir systématiquement besoin de faire référence au regard de l’Autre et surtout à accepter qu’il n’est pas possible d’être aimé ou apprécié de tout le monde.


Le 19/10/2012 à 14h 56







Locke a écrit :



Si tu fais ce genre de “blagues” sur un forum un minimum sérieux côté modération, tu pense qu’elles vont rester le temps que les modos demandent l’avis d’un juge ? non, twitter à la responsabilité de faire de la modération à minima.







Conditions générales de Twitter



DANS LA LIMITE LA PLUS ETENDUE AUTORISEE PAR LA LOI APPLICABLE, LES ENTITÉS TWITTER EXCLUENT TOUTE RESPONSABILITE (…) (ii) DE TOUT COMPORTEMENT OU CONTENUS DE TIERS SUR LES SERVICES, Y COMPRIS, SANS LIMITATION, TOUTE CONDUITE DIFFAMATOIRE, OFFENSANTE OU ILLEGALE D’AUTRES UTILISATEURS OU DE TIERS





Ces Conditions et toute action judiciaire engagée en relation avec ces Conditions sont régies par les lois de l’État de Californie des Etats-Unis d’Amérique sans considération et sans faire application des dispositions légales de votre Etat ou de votre pays de résidence relatives aux conflits de lois. Toutes les réclamations, poursuites judiciaires ou litiges en relation avec les Services seront portés exclusivement devant les tribunaux fédéraux ou d’Etat situés dans le county de San Francisco en Californie, États-Unis. Vous acceptez la compétence matérielle et territoriale de ces tribunaux et renoncez à toute objection à ce titre.





La “responsabilité de faire la modération a minima” fait-elle partie de la législation de l’État de Californie des Etats-Unis d’Amérique, pour que tu puisses affirmer ce que tu affirmes ?


Le 19/10/2012 à 14h 38







knos a écrit :



J’approuve pas les tweets. C’est juste le fait de faire supprimé sans justice qui me choque. Et de réclamer les identités des auteurs. C’est a la justice que doit appartenir ce pouvoir pas a des associassions communautariste.







Tout à fait. Seul un juge peut contraindre à retirer les tweets et demander que l’identité des auteurs soit communiquée.



L’arbitraire de l’intermédiaire technique ou l’opinion partisane de l’association n’ont pas force de loi et personne n’a à s’y soumettre… même si a été introduit la notion du “manifestement illicite” dans cette dernière, pour que les intermédiaires techniques soit fortement incités à exercer une modération a posteriori.



Ce que ce type d’association a du mal à comprendre est que dans tout état de droit, la loi contraint à assumer la responsabilité de ses actes, mais n’empêche pas les citoyens d’agir en fonction de leur libre arbitre… a priori.



Surtout au regard de l’arbitraire d’une opinion partisane – qu’est-ce qui est vraiment de l’humour, de l’incitation à la haine raciale, de la provocation, une réaction à l’hypocrisie d’une société à plusieurs vitesses… ou pas? – comme elle semble le souhaiter.


Le 19/10/2012 à 22h 04







®om a écrit :



Si la densité audiovisuelle des lobbies de “l’industrie du divertissement” pouvait tendre vers 0, tout le monde se porterait mieux. Ils pourraient rejoindre leurs collègues lobbyistes par exemple.





Que l’influence des lobbies de l’industrie du divertissement se réduise, soit.



Mais croire que leur refuser l’entrée au Palais Bourbon présente un avantage, c’est se mettre le doigt dans l’oeil… Tout se passera dans les salons feutrés autour, mais en dehors de toute transparence car rien ne pourra encadrer leurs activités.



À mon avis, il faut au contraire que leurs interventions soient connues, rendues publiques et, dans la mesure du possible, accessibles à tous, pour que chacun soit en mesure de comprendre ce qui aura motivé réellement les députés, et éventuellement agir avant qu’une loi soit finalisée et votée.


Le 18/10/2012 à 17h 23







servalx a écrit :



Si la France avance main dans la main avec l’Allemagne, c’est l’Europe qui risque de suivre.

Google s’écrasera.

Quand une multinationale se permet de menacer des Etats alors c’est qu’il y a urgence à la faire rentrer dans le rang.





Bien sûr, Google pourrait s’écraser… et se retrouver contraint, par exemple, de moins rémunérer l’ensemble des sites via sa régie publicitaire pour compenser la perte.



À moins que tu penses qu’il ne pourrait y avoir de conséquences pour l’ensemble du Net par effet de bord…<img data-src=" />



Ou comme Google générerait toujours le trafic par contre, il se retrouverait ainsi à fournir un chiffre d’affaires aux régies publicitaires concurrentes gracieusement… et totalement à ses propres frais <img data-src=" />



Sinon obliger une entreprise privée comme Google à avoir une activité qu’elle ne souhaite plus avoir, si en plus pour la mener un surcoût aberrant lui est appliqué… ne revient-il pas clairement à la menacer directement ?



Que ce soit l’État ou pas, cela ressemble beaucoup à du racket… ou à l’activité d’un proxénète.





En effet c’est bluffant de bêtises ton commentaire.



<img data-src=" />


Le 18/10/2012 à 15h 47







refuznik a écrit :



+1 avec google.

Google offre une plateforme à la presse qui de plus rapporte des clients et de la pub maintenant ils veulent le taxer. Aller chercher l’erreur, le pire dans tout ça c’est que dans l’ordre des choses ce serait plutôt à la presse de filer des sous à Google.







Tout à fait.



Le problème de la presse vient de la faiblesse de la rémunération issue de la publicité sur ses pages, pas de celle de l’intermédiaire qui lui apporte des clients, sans même facturer ce service en particulier.


Le 18/10/2012 à 15h 39







okeN a écrit :



Pour moi, un moteur de recherche se doit d’être neutre. Au même titre qu’un DNS par exemple.







Neutre, donc rémunérer aussi les éditeurs de contenus, autres que la presse, quand le moteur de recherche les référence ?



Neutre, donc empêcher la mise à disposition de liens, qui font tout l’intérêt du Net, en introduisant une contrainte économique ?



Dans n’importe quelle activité, un intermédiaire est toujours rémunéré pour le service qu’il rend, ce n’est pas lui qui rémunère le fournisseur, surtout s’il ne facture pas le client final.



Si Google ou tout autre moteur de recherche doit rémunérer le fournisseur pour l’avoir mis en relation avec le client final, parce que non ce n’est pas Google qui consomme le dit-contenu, il y a quelque chose qui ne tourne clairement pas rond.


Le 18/10/2012 à 14h 36

Je ne sais pas si l’information est tout récente, ou n’a pas déjà été reprise, mais il y a du mouvement du côté de Google, ce dernier menaçant purement et simplement de «ne plus référencer les sites français» dans une lettre au gouvernement, dont aurai eu connaissance l’AFP.



Ce qui est on ne peut plus logique d’ailleurs…



Si certains éditeurs de presse ne veulent pas que leurs contenus soient diffusés car publiés (mis à disposition du public au sens large et d’accès gratuit) libres à aux de procéder comme l’AFP, par exemple.



Publier sur le Net et vouloir systématiquement être rémunéré a priori en contre-partie parce qu’un lien aura été mis à disposition, sans que quiconque accepte de prendre en charge cette rémunération explicitement (Google, autre moteur de recherche, et l’internaute en définitive en bout de chaîne) est déjà en soit une aberration.



Ou alors il faudrait valoriser tout les contenus sur le Net, pas uniquement ceux de la presse, cette dernière n’ayant en rien le monopole de la diffusion d’information, quelle qu’en soit la nature.



Surtout vu comment la prétendue information fournie par la presse est elle-même vérifiée, filtrée ou encore vidée de la moindre analyse pertinente et utile bien souvent…

Le 18/10/2012 à 13h 57

Étrange glissement sémantique…





«Le projet qui a été porté par des éditeurs de presse en France, je souhaite que l’on puisse avancer là-dessus.»







Ce faisant, Aurélie Filippetti rejoint la ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, qui a confirmé avant-hier que le Gouvernement étudiait la fameuse proposition de loi des éditeurs de presse.





Depuis quand le SPQN représente l’ensemble des éditeurs de presse, et en particulier ceux qui ne sont présents que sur le Net et ce sont déjà exprimés contre ce projet de loi ?



La «pertinence» et la «modernité» auxquelles prétend la ministre, seraient surtout de ne pas aller à l’encontre des éditeurs de presse dont le modèle économique dépend uniquement du Net dès à présent… pas de ceux qui prennent le wagon en route, peinent à s’adapter et de plus font partie de ceux probablement déjà subventionnés.



Ces derniers perdent vraisemblablement des lecteurs abonnés parce qu’ils remplissent mal leur mission d’information, l’offre étant nettement plus large et déjà concurrentielle sur le Net, et sont peut-être en difficulté.



Mais il n’y a fondamentalement aucune raison de les soutenir au détriment de ceux qui gagnent eux dès parts de marché, exclusivement sur le Net, en attirant eux lecteurs et abonnés, avec une presse a priori de meilleure qualité.

Le 17/10/2012 à 02h 41







olivier4 a écrit :



les adeptes n’ont pas besoin de télécharger il suffit d’écouter en streaming.





Ou de regarder la télévision, écouter la radio en ligne ou pas. Et alors ?

Ce sont les acquisitions de titres musicaux et leur provenance qui sont étudiées ici pour déterminer l’impact du “piratage”, pas les modes de consommation.



sils telechargent c’est pour graver ou consommer et non pour acheter.



Tu contredis l’étude, soit. Des arguments, c’est mieux.



cetteetude est idiote car elle mélange des catégories qui n’ont rie na voir: les passionnés de musique et ceux qui s’en foutent.



Pour savoir qui est “passionné” ou pas, faut déjà commencer par comparer la taille de la collection de musique. Il n’y a pas d’autre solution. À part ton doigt levé ? <img data-src=" />



or celles qui s’en fout ne tlééchargent pas n’achetent pas et n’écoutent.



Oui et donc ? Parmi l’ensemble des “pirates” qui téléchargent via P2P, il y a en aussi certainement beaucoup qui n’achètent pas beaucoup de titres.



Ça tombe bien, c’était précisément de voir l’impact de ces “terroristes du piratage” sur le nombre de titres achetés, finalement quand même plus important en moyenne que chez les autres, qui était intéressant.



Et si tu te plains que ceux qui n’écoutent pas de musique sont aussi pris en compte, le résumé de l’étude sur son site précise que la comparaison P2P vs non-P2P est faite parmi ceux qui s’intéresse à la musique puisque disposant d’une collection significative.







olivier4 a écrit :



ne pas confondre correlation et causalité





Certes dans l’absolu, mais dans ce cas très précis, il faut au moins démontrer :




  • soit que c’est parce que l’on achète plus, que l’on utilise plus le P2P (pas bon pour l’argument des majors sur le chiffre d’affaires qui stagnerait)

  • soit qu’il y a un autre facteur qui provoque à la fois l’achat et l’utilisation du P2P (encore pas bon pour l’argumentation des majors, et il va falloir le trouver)

  • soit qu’il s’agit d’une coïncidence (toujours pas bon pour l’argumentation des majors, qui incrimine le P2P et le partage en général)

  • soit qu’à la fois acheter entraine l’utilisation du P2P et qu’utiliser le P2P provoque l’achat. Ce qui paraît à l’hypothèse la plus plausible, discréditant encore une fois le discours des majors.



    J’aime bien ce jeu. <img data-src=" />


Le 17/10/2012 à 00h 33







ludo0851 a écrit :



C’est bien d’avoir fait des maths dans sa vie, ça sert à l’occasion. <img data-src=" />





Pas qu’à l’occasion… cela sert souvent, à partir du moment où convaincre avec une argumentation rationnelle est la seule option face à l’interlocuteur <img data-src=" />



Toujours est-il que la population ayant proportionnellement le + de titres achetés est celle de non-P2Pistes



Oui, c’est vrai… mais cela n’a aucun intérêt, sauf d’un point de vue idéologique pour appuyer la propagande de l’industrie du divertissement.



Vu le coût ridicule de reproduction pour un produit numérique dématérialisé, ce qui compte économiquement est le chiffre d’affaires réalisé avec chaque client, pour que le total colle avec l’ensemble des projections faites par les majors… pas un nombre de titres réellement achetés ou pas, titres dont le prix variera facilement du simple au double en comparant les offres.



La création sans limite de richesse à partir de presque rien – comme un certain personnage biblique aurait multiplié les petits pains – n’est de toute façon ni naturelle (1), ni particulièrement utile à la société (2), et encore moins légitime en toutes circonstances, le concept est déjà très limite dans le cadre de la création monétaire.



Mais d’un certain point de vue, c’est peut-être pour ça que Jobs était considéré comme un dieu par certains <img data-src=" />



(1) Pas naturelle, car l’absence de support physique ne justifie pas une hausse artificielle de la valorisation du contenu que les majors tentent de nous faire avaler avec un prix sensiblement identique, bien au contraire… et d’autant plus que l’on est désormais contraint soit d’acheter un support de stockage, lui-même taxé soit d’utiliser le cloud du vendeur; que le livret n’est plus que très rarement fourni; que l’on ne dispose pas d’un produit de même qualité (encodage avec pertes bien trop souvent, ou contenu non lisible sur tout matériel car non transférable ou à cause de DRM) ou des mêmes droits (achat d’une “licence d’utilisation” de la reproduction, mais sans possibilité de cession, de prêt, voire de revente sur le marché de l’occasion comme auparavant).



(2) Pas particulièrement utile à la société, car de l’activité économique (fabrication du support, impression du livret, transport) et donc des emplois sont détruits, des recettes (TVA, impôts) sont soustraites à la collectivité, et l’ensemble ne profite essentiellement qu’aux plateformes comme iTunes ou Amazon. Ou aux luxembourgeois qui n’en ont pas besoin <img data-src=" />