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fred42

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Bio

Je n'ai rien à cacher, mais ce n'est pas une raison pour m'exposer.

Le 42 n'est ni mon âge, ni mon année de naissance, ni mon département.

18398 commentaires

Le 25/01/2024 à 16h 41

Je voulais juste aller un peu dans sens de @Cyberastronaute c'est tout.

C'est bien ce que je disais, tu as autant d'arguments que lui. C'est parfait pour pouvoir débattre.

Le 25/01/2024 à 15h 00

Comment veux-tu financer l'économie ?
Je ne suis pas compétant pour dire ce qu'il y a à corriger / changer, mais on a quand même pu constater qu'il y avait "quelques" problèmes avec le système actuel.

Super ton argumentation ! Merci beaucoup d'avoir participé.

Le 25/01/2024 à 12h 39

Je ne connaissais pas le broker Robinhood. Apparemment, c'est un courtier en ligne «sans frais» qui veut «démocratiser l'accès à la finance» et aux cryptos. Le modèle économique n'est pas sans controverse.
À vue de nez, quand je lis qu'il existe des applis mobile pour acheter des cryptos et des actions, avec effets de levier, sans commission, il y a danger. On ajoute un peu d'IA, c'est la cerise sur le gâteau.

fr.wikipedia.org Wikipedia
https://www.tradingsat.com/actualites/informations-societes/le-courtier-sans-frais-robinhood-n-a-plus-la-cote-le-groupe-licencie-plus-de-750-personnes-1030131.html

Oui, ils ont l'air particulièrement inventifs.

Et encore une fois, si c'est gratuit, c'est toi le produit.

Ils étaient en partie rémunérés par des tiers qui payaient pour qu'ils fassent évoluer le flux des ordres de leurs clients qui au final payaient plus cher leurs actions.

Le 25/01/2024 à 11h 49

Comme fred42, je comprends pas le fond car beaucoup d'amalgames en très peu de mots...

Pour faire un jeu de mot, j'ai l'impression que le fond, il l'a touché.

Le 25/01/2024 à 11h 48

L'article pointe surtout la substitution des modèles d'hyper trading aujourd'hui générés par des traders/ingénieurs financiers à des modèles générés par l'IA. D'ailleurs, chaque créateur d'un modèle garde jalousement son code secret !
Il faut comprendre qu'aujourd'hui, les transactions en chambres de compensation sont pour la plupart automatisés. Les ordres manuels sont réservés aux petits porteurs. Le phénomène de meute s'explique par la taille des fonds gérés par un modèle.

Le risque des modèles deep learning, ce sera leur uniformisation, du coup plus de fluctuation de cours ou des dévissages extrêmes en mode exponentiel. Et ça, c'est pas bon pour le business :)

Tu peux me dire où on parle de cette substitution ? J'ai lu les 2 articles en lien, mais je n'ai rien vu de tel. Par contre, je n'ai pas lu tout son article de recherche mais parcouru rapidement. l'expression high frequency n'y apparaît que 3 fois et jamais pour dire ce que tu dis. La première fois, il dit certes que les high frequency traders commencent à utiliser le Deep Learning, mais ce ne sont pas les seuls. Les 2 autres fois, il explique que le traiding haute fréquence a déjà pu causer des crises avant l'IA.

Il me semble que c'est une utilisation généralisée (ou en tout cas important) et automatique de ces systèmes qui lui font peur.
Il dit aussi que les outils des régulateurs ne pourraient pas détecter à temps pour la contrer ce qu'il appelle une coordination algorithmique. Il répond à un des point que je soulevais plus haut sur ces outils.

Le 25/01/2024 à 11h 23

Tu pourrais développer ?
De quels criminels en col blancs parles-tu ?
Fais-tu une différence entre un investisseur et un boursicoteur ?
Comment veux-tu financer l'économie ?

Le 25/01/2024 à 11h 21

Non, ce n'est pas anecdotique.
Il y a un effet d’entraînement qui peut faire que le système s'emballe puisque tous les systèmes d'IA pousseraient à faire la même chose, ce qui n'est pas le cas pour les astrologues.

En plus, dans le cas d'une gestion déléguée (à une IA), ces décisions seraient prises automatiquement et le client humain n'a pas à intervenir.
Remarque : il existe des gestion déléguées à des robots-advisors. Aux USA, c'est effectivement complètement automatisé, en France, c'est plutôt un mélange de décision humaine et automatisée.

Le 25/01/2024 à 10h 51

En fait, il soulève 2 problèmes très différents qui sont tous les 2 de son ressort.

Le premier correspond au titre de la brève, sauf que le mot "économiques" ne me semble pas approprié. Il s'agit avant tout de crises financières qui peuvent ensuite avoir un effet sur l'économie.
Ce risque s'appuie sur le fait qu'il y aura très peu de modèles d'IA sur lesquels s'appuieront tous ceux qui offriront des services de conseil en investissement et qu'à partir de là, ces modèles donneront tous des conseils (vente ou achat) au même moment ce qui fera qu'il y aura un phénomène de "troupeau" qui va entraîner un effet boule de neige.
Il a probablement raison sur ces systèmes à base d'IA, mais les bourses ont des systèmes prévus pour cela : les suspension de cotation. Il faudra peut-être les renforcer.
Il y a déjà eu des risques systémiques qui ont généré des crises importantes bien avant l'utilisation de l'IA.

Le second correspond au dernier paragraphe : les systèmes d'IA conseillant les clients pourraient les pousser à faire plus de transactions pour que les courtiers numériques touchent des frais à chaque transaction. Cela va bien évidement contre les intérêts des clients et il rappelle d'ailleurs que c'est déjà interdit et que cela doit s'appliquer aussi quand c'est une IA qui donne de mauvais conseil.

Le 25/01/2024 à 14h 56

Au delà du poids, l'aérodynamique joue sur la consommation. Les suv sont mauvais aussi sur ce point.

Et en plus, on ne voit pas la route quand on est derrière eux !

Le 25/01/2024 à 14h 55

Je ne comprends pas cet acharnement sur les SUV qui ne sont que des berlines surélevées. Si on prends des chiffres concret, la réalité est plus nuancée.
Mon ancien SUV pesait 1450 kg (voir ici, diesel boite auto en plus, qui sont les versions les plus lourdes)
Mon actuelle berline pèse 2125kg (Voir ici, qui pèse quasiment le même poids en électrique ou en thermique)

Je pense que cette impression vient du fait que les SUV sont désignés pour être impressionnants sur la route, pour donner l'impression d'être massifs.

Concernant les taxes, le poids des véhicules thermique est prit en compte dans le prix de la carte grise, ce qui peut rajouter jusqu'a plusieurs milliers d'euros. Si on se fit au calculateur de l'ANTS, un véhicule essence de 1950kg a une Taxe au poids (TMOM) : 4 520,00 € à l'immatriculation.

Tu compares 2 véhicules de puissance très différentes et de technologies différentes ( électrique pour la BMW), quasiment du simple au double pour la puissance. Je veux bien croire que ta nouvelle berline soit plus lourde. Ce n'est pas la même gamme.

Le 25/01/2024 à 14h 35

Les pentes me semblent bien différentes surtout pour la citadine pour qui elle est nettement plus faible.

C'est moins évident entre les 2 autres, mais on ne connaît pas leur poids, même si la capacité des batteries laisse supposer que le SUV est bien plus lourd que la compacte.

Le 25/01/2024 à 13h 15

« selon le règlement sur les émissions de CO₂ des voitures particulières, [les voitures électriques] sont considérés comme des véhicules à émission nulle »
Et pourtant, l'électricité, suivant les pays peut être largement carbonée. Centrales au gaz, à charbon, ...

C'est du n'importe quoi. On sait ce que les véhicules électriques consomment et donc, on sait calculer le CO2 indirectement émis lors la production d'électricité, au moins par pays.

Le 25/01/2024 à 14h 23

C'est de plus en plus difficile pour une entreprise, surtout si elle est petite et ça ne rend pas forcément la sécurisation des données personnelles plus facile. Ces fiches s'adressent aux entreprises comme c'est rappelé sur la page en lien.

Le 24/01/2024 à 18h 29

On n'est pas forcément hors sujet. Ramdisk parle bien de stockage de données administratives. Autrement dit, données personnelles qui tombent donc sous le coup du RGPD ;)

Non, tes propres données personnelles ne tombent pas sous le coup du RGPD, pas plus d'ailleurs que ton répertoire personnel où tu stockes les données personnelles de tes connaissances (adresse et numéro de téléphone) même s'il est informatisé. Pour ce dernier point, voir l'article 2, §2. c) :
Le présent règlement ne s'applique pas au traitement de données à caractère personnel effectué :
c) par une personne physique dans le cadre d'une activité strictement personnelle ou domestique;
Remarque : si ton répertoire personnel est géré par un tiers, c'est différent : le c) s'applique à toi, mais ce tiers ne doit pas exploiter ces données pour son propre compte, faute d'autorisation des personnes concernées.

Le 24/01/2024 à 16h 54

Je réponds ici pour tous ceux qui t'ont répondu : Vous êtes hors sujet.

Et en relisant le titre, je comprends pourquoi.

Quand la CNIL parle de données; il s'agit de données personnelles au sens du RGPD (et auparavant de la loi du 6 janvier 1978).

Il ne s'agit pas des données que vous, particuliers, stockez dans le cloud.

Donc, le chiffrement de vos données dans le cloud est bien hors sujet.

Comme disait Sébastien : RTFN !

Le 24/01/2024 à 10h 53

Pour les "données en traitement", je trouve la fiche de la CNIL très légère. Elle rappelle que c'est un point délicat et que le fournisseur d'un service SaaS par exemple a accès à la donnée déchiffrée, mais elle n'en tire aucune recommandation sur ce qu'il faut faire dans ce cas. J'ai l'impression qu'il faut au minimum contractualiser avec le fournisseur pour s'assurer de la protection des données personnelles, comme dans tout autre cas de sous-traitance et donc en regardant tout ce qui peut se passer (en particulier l'impact des lois d'extraterritorialité).

Le chiffrement homomorphe est un ajout du rédacteur qui répond à certains cas, mais certainement pas à l'essentiel des services SaaS.
Édit du 25/01/24 : j'avais raté le passage sur le chiffrement homomorphe dans la fiche de la CNIL, mais elle dit que si la technique est prometteuse, ce n'est pas encore utilisable pour du SaaS.


L'autre point où je les trouve légers, c'est sur l'accord actuel qui régit la protection des données exportées aux USA. Il y a un risque non négligeable qu'il tombe comme les 2 précédents. Mais rien n’attire l'attention sur ce point.
C'est probablement difficile pour la CNIL de communiquer là-dessus étant donné que ces accords s'appliquent aujourd'hui dans l'UE et qu'une position trop réservée là-dessus risquerait d'âtre attaquée par les fournisseurs US.

Le 25/01/2024 à 13h 24

SpaceX est rentable: https://www.wsj.com/tech/behind-the-curtain-of-elon-musks-secretive-spacex-revenue-growth-and-rising-costs-2c828e2b

La question est plutôt de savoir si arianespace l'est encore...

Après, si avoir un accès détaillé aux informations financières et opérationnelles d'un concurrent est nécessaire pour arriver à rester dans la compétition pour un secteur de service donné, il vaut mieux la quitter tout de suite (un peu ce qu'Arianespace fait depuis quelques années)

La question est plus "est-ce que je peux y arriver?" que "comment il fait l'autre, pour y arriver?"

Mais c'est vrai que ce serait intéressant de voir si SpaceX a encore de la marge pour casser les prix si Arianespace arrivait à mettre une offre compétitive sur la table: c'est là que se situe le point d'inflexion pour savoir si l'activité économique d'Arianespace a encore du sens. Réutilisable ou pas réutilisable, c'est une question secondaire, surtout quand on a plus de produit.

Je ne peux pas lire l'article, mais le peu que je lis :
Rocket company and satellite operator narrowed loss to $559 million in 2022; costs increased but revenues rose faster
dit qu'il y a des pertes (revenu = chiffre d'affaire et pas bénéfice)

L'article parle d'un petit profit au premier trimestre de 2023, mais ça ne veut pas dire que ça va être tout le temps le cas.

Comme la société n'est pas en bourse, on a peu d'informations sur les comptes.

Le 25/01/2024 à 12h 31

Je n'adhère pas à cette vision "On ne connaît pas les chiffres de SpaceX, donc il est impossible pour un être humain de faire la moindre estimation"

D'abord, une partie des informations financières de SpaceX sont publiques, on peut se faire une idée des bénéfices.

Ensuite, cela fait 8 ans que Spacex a fait atterrir pour la première fois un premier étage de Falcon 9, je doute qu'en 8 ans

- personne dans l'aérospatial européen n'ait bâti une connaissance suffisante du métier et de l'industrie pour faire une étude d'opportunité
- personne n'ait fait cette étude d'opportunité avec des projections chiffrées de ce que cela coûterait de développer, produire et réutiliser une fusée rencontrant les besoins actuels

Pour le reste, si comparer Falcon9 et Ariane 5 c'est un tout petit peu comme comparer une péniche et cargo, il faut bien considérer que toute l'offre basée sur du Soyouz est la preuve même qu'un pan entier de l'aérospatiale européen a un problème de souveraineté et de robustesse.

Reste qu'Ariane6 a62 a intérêt arriver vite et à coûter moins de 80 millions par lancement géostationnaire si Arianespace espère encore tenir sa niche commerciale.

OK, tu n'as donc aucune donnée sur la rentabilité et pour savoir s'il y a un seuil à cette rentabilité si celle existe.

Le 24/01/2024 à 20h 16

Ben j'espère que les bureaux d'étude ont des projections correctes... Maintenant on pourrait aussi se poser la question de la rentabilité d'Ariane... si on en est vraiment à 6 tirs par an (deux en 2023) , est ce que ça vaut la dépense? Question économies d'échelle pour rentabiliser le R&D, les infrastructures, ... ça doit être chaud...

SpaceX a lancé sur une année presque autant de fusées Falcon 9 qu'il n'y a eu de lancements d'Ariane 5 en 27 ans... et avec un taux de succès plus élevé. On ne peut même pas parler de compétition entre les deux tant le niveau de prestation diffère. Hormis quelques lancements très pointus, genre le télescope spatial James Webb, il reste quoi comme marché pour Ariane?

1) de quels bureaux d'études parles-tu et as-tu des liens vers leurs projections ?

J'en suis resté à : on ne connaît pas les chiffres de Space X, donc on ne sait pas si c'est rentable.

2) comparer un lanceur comme Ariane et les Falcons n'a pas beaucoup de sens. Falcon 9 lance beaucoup pour Starlink en orbite basse (124 lancements sur les 290 jusqu'à aujourd'hui) et seulement 52 en géostationnaire. Pour les orbites basses, Arianespace utilisait plutôt Soyouz pour des questions de prix et ces lancements ne se font plus depuis presque 2 ans et Ariane 5 était plutôt utilisée pour les orbites géostationnaires. Comme Ariane 6 est en retard et que l'on n'a plus d'Ariane 5, SpaceX a un concurrent de moins et a dû récupérer une partie des lancements.

Le 25/01/2024 à 13h 00

Jamais eu ça, tout au plus un popup qui dit qu'il faut redémarrer pour faire la mise à jour, avec le choix de le faire ou non. Et toujours restauration des onglets au redémarrage (enfin sauf les privés évidemment), au pire en utilisant le menu Historique / Restaurer la session précédente si ça ne se fait pas tout seul.

Le problème est quand même qu'à un moment, il arrête de fonctionner pour les nouvelles pages (je me suis encore fait avoir ce matin ; je ne pouvais plus revenir sur la page d'accueil de Next et commençais à pester sur le temps de réponse trèèèèèès long. Et j'ai ouvert un autre onglet en attendant, qui m'a affiché un message qui m'a indirectement rappelé que j'avais lancé la mise à jour.

Après, d'accord avec vous, on ne perd rien sauf peut-être une saisie en cours (comme un commentaire sur Next). Mais il existe des extensions permettant de récupérer la saisie, par exemple Form history control dont je suis content.

Le 25/01/2024 à 12h 54

Où est cette option ?

C'est le premier paramètre quand tu ouvres les paramètres par le menu hamburger :
Ouvrir les fenêtres et onglets précédents (case à cocher)

Difficile de le rater ! :D

Le 25/01/2024 à 11h 11

il semble que mettre l'IVG au même niveau que l'euthanasie soit un nouvel élément de langage.

Sinon ton commentaire est incohérent: tu parles de 2 parents, mais si un homme empeche une femme d'avorter quels seront les 2 parents d'un enfant non désiré ?

La seule chose qu'un homme peut faire c'est accompagner une femme pendant le processus de la grossesse mais le choix final restera toujours celui de la femme.

il semble que mettre l'IVG au même niveau que l'euthanasie soit un nouvel élément de langage.
Juste sur ce point. Je ne sais pas si c'est un élément de langage et de qui.
Par contre, pour certaines personnes religieuses, oui, c'est mis au même niveau : dans les 2 cas, pour eux, ça va à l'encontre de "tu ne tueras point".

En tant qu'athée, je ne suis pas de cet avis, mais je comprends que certains aient ce point de vue. Par contre, cela ne devrait pas entraîner qu'ils imposent aux autres de suivre les mêmes règles qu'eux et demande l'interdiction de l'IVG, puisqu'il s'agit de ce sujet ici. J'ai cette position pour tous les points de vue religieux : ils ne doivent pas s'imposer dans la loi et ils ne doivent pas pousser à violer la loi.
Quant à l'euthanasie ou l'aide au suicide, c'est un sujet encore plus complexe, même quand on n'est pas religieux.

Sur les 2 sujets, la liberté de conscience des soignants est importante, c'est la conséquence de l'état laïc et de la liberté de culte. C'est pour cela, n'en déplaise à certains ici, que cette liberté de conscience est reconnue par la loi pour l'IVG avec un certain équilibre.

Le 24/01/2024 à 18h 06

Je ne réponds pas à ses insultes, à part à demander de modérer.
Les fois où j'ai répondu avec des mots autres que "modération SVP", c'est quand (ca lui arrive parfois) il a lâché des arguments.
Moi aussi je suis un idéaliste, parfois je me prends à espérer que même la lie peut avoir du bon. Mais je déchante vite en général :D

Edit : par contre je te fais une prédiction : bientôt il va vous dire comme il dit à Fred42, que vous êtes des soutiens objectifs des fachos, et donc des fachos vous mêmes, parce que vous les laissez parler. Tu verras, ca fait plaisir :D
On parie ?

Moi, je parie le contraire, entre autre parce qu'il sait qu'il pourrait avoir des soucis pour accéder aux commentaires s'il le faisait vis-à-vis de la direction (ou d'un membre de l'équipe). Ça pourrait être :cartonrouge: sans passer par le jaune.

Sinon, j'aime bien te lire, donc essaie de rester dans les clous et de ne pas tomber dans son piège, reste cool.

Le 24/01/2024 à 16h 32

Bien sûr que si, ils sont concernés, en particulier si la question se pose dans un couple et y compris pour que l'homme soutienne la femme suite à une telle décision jamais facile à prendre. Pourquoi l'avortement ne devrait intéresser que les femmes ?

La population des lecteurs de Next est très majoritairement masculine, c'est normal que ces lecteurs se prononcent sur le sujet.

Et ça l'est d'autant plus que le sujet de l'inscription de ce droittte liberté ou dans la constitution est abordé dans l'article. (C'est finalement le mot liberté qui a été choisi).

Le 24/01/2024 à 11h 06

Exact.
Mais son discours n'est pas si particulier que ca, il s'entend très bien.

On va dire qu'il n'est pas très bien construit alors et qu'il mélange entre autre le niveau national et mondial. Au niveau mondial, même avec une baisse de la natalité (qui est prévue), il y a peu de risque effondrement. La baisse de natalité est souvent liée à l'augmentation du niveau de vie entraînant entre autre un meilleur niveau d'éducation des femmes et une baisse de la mortalité enfantine. Et qui dit meilleur niveau de vie dit meilleure productivité, donc besoin de moins de monde pour produire plus. Mais, comme on est hors sujet, je fais court et j'emprunte des raccourcis.

Je pense que sa crainte est plutôt au niveau national.

Le 24/01/2024 à 10h 12

Et on a droit à un autre commentateur non abonné qui n'a donc pas lu l'article et qui confond IVG et infertilité.
Je te conseille de te rapprocher d'un médecin pour comprendre la différence.

Son discours est, on va dire particulier. Mais évite de mettre en avant son statut de non abonné.
Certes, l'infertilité n'est pas citée dans l'article, mais le Président en a parlé dans sa conférence de presse quand il a parlé de "réarmement démographique" et ce réarmement a été cité dans l'article dans la partie lisible par les non abonnés.

Et c'est essentiellement à cela qu'il réagit ici en bon opposant dur du Président.

Le 23/01/2024 à 00h 55

Pourquoi t'essaye de contrer un argument que j'ai pas tenu ?
Troopper a dit une connerie "Comme quoi, cette loi qui est active n'est absolument pas impactante pour les femmes". Comme une négation se contre avec un seul contre exemple, j'ai donné le lien, qui donne des contre exemples, prouvant, factuellement, qu'il avait tort.

Je n'ai jamais dit que c'était la seule raison.

Sur le manque de postes, la médecines fonctionne sur concours, avec nombre de places limitées. Donc même si les étudiants qui ne veulent pas faire d'IVG sont exclus des spé les nécessitant, le nombre de places définit pour le concours sera de toute manière le même.
Oui, avec les médecins actuels, ça pourrait être problématique, mais soit ces médecins sont nombreux, et donc les femmes avaient vraiment un problème d'accès à leurs droits, et c'était, comme c'est, un gros problème ; soit le nombre de médecins exclus est peu élevé, et ça change fondamentalement pas la donne de l'accès aux soins.

Dans le même genre, y'a les médecins qui refusent de ligaturer les trompes des femmes qui n'ont pas d'enfants. "Bah non, une femme c'est fait pour avoir des enfants, vous changerez d'avis plus tard vous verrez."
Augmentant mathématiquement le nombre d'IVG (bah ouais).
Alors que quand c'est un homme qui veut une vasectomie, tout le monde s'en fout.

Tout ça pour arriver à ce que je disais quelques posts plus haut, oui, c'est aux femmes à qui ont met toujours des batons dans les roues pour exercer leurs pleins droits. Et le délais "de réflexion" avec une IVG en est un autre (parfait) exemple.

Tu as raison sur tout, pas la peine de discuter plus.

Le 24/01/2024 à 23h 28

J'ai signalé l'erreur par l'outil approprié. Inutile de le faire dans les commentaires dans un cas comme celui-ci.

Le 24/01/2024 à 18h 59

Je pense que j'ai été trompé par le contexte "veut dire les deux" qui sous entendait que le terme voulait dire "démission" et "licenciement" (origine de la confusion : l'image parlant de démission pour un article parlant de licenciement).

On avait donc compris pareil tous les 2, mais ce n'était pas ce qu'l avait voulu dire.

Le 24/01/2024 à 18h 19

J'ai pas la prétention d'être bilingue, mais je n'ai jamais entendu ou vu ce terme dans le contexte d'un licenciement. Toujours d'un départ volontaire dans le cadre d'un emploi (donc démission). L'autre signification étant "se résigner à", au sens "se soumettre à".

- resignation (Merriam Webster)
- resignation (Cambridge dictionary)
- resignation (Collins dictionary)

Généralement j'évite Wiktionary, c'est loin d'être ma source préférée dans ce genre de cas.

Voir juste au-dessus ou plus bas. J'avais mal compris JoePike lundi dernier.

Le 24/01/2024 à 18h 17

Oups, je n'avais pas compris que dans "les 2 sens", tu voulais dire démission et résignation l'autre jour. Et ça, oui je savais, j'avais compris (à tort) que tu voulais dire que ça voulait aussi dire licenciement, ce qui n'est pas le cas. Tes liens d'aujourd'hui le confirment.

Le 24/01/2024 à 17h 55

Ca veut effectivement dire les deux, même si l'emploi de resignation pour dire "résignation" en francais est plus rare.
A mon avis c'est justement le double sens qui est employé sur la photo, même si on parle de se faire virer et pas de demissionner (et donc en fait la photo est un peu hors contexte)

Ce qui m'avait été dit, c'est que ça voulait dire soit démission soit licenciement. Il ne s'agissait pas du mot français résignation.

J'avais mal compris.

Le 24/01/2024 à 16h 37

Le meme Donald Trump "You're fired !" ?

On voir pourtant bien la résignation de l'employé viré sur son visage.
D'ailleurs il me semble que tu avais signalé que "resignation" signifie "démission", donc hors sujet.

On m'a répondu (sans source) que ça voulait dire les 2, ce que je veux bien croire quand je vois cette photo.

Le 24/01/2024 à 10h 14

On voir pourtant bien la résignation de l'employé viré sur son visage. :fumer:

Le 24/01/2024 à 16h 08

Pour ta question, la réponse est plutôt non. Cela n'a pas été jugé utile. Déjà, sur les commentaires, l'utilité n'est pas évidente à mon avis.

Le 24/01/2024 à 16h 05

Non, un hacker n'est pas du côté des gentils. Dans la catégorie des hackers tu as le white hat qui est effectivement "le gentil" et le black hat qui est criminel. Et il y a d'autres déclinaisons puisque tout n'est pas blanc ou noir ;)

Et un black hat est différent d'un hacktiviste (hacker activiste), d'un script-kiddies (l'ado dans sa chambre qui lance des outils sans savoir ce qu'il fait) ou encore d'un cracker plutôt orienté casse des protections des logiciels (KeyGen, etc.).

Et dans le langage commun, j'ai l'impression que l'on associe plutôt le terme pirate à la définition d'un warez, consistant à "diffuser des œuvres culturelles protégées par le droit d'auteur" (films et musique principalement).

Et voilà ! je suis obligé de sortir la RFC1392 et le jargon file !

J'aurais bien utilisé le terme cracker plutôt que pirate, mais il n'est pas utilisé en français.

Le 24/01/2024 à 09h 48

Il faut encourager les hackers à publier les sources puisque ça doit aider à les contrer. Il ne faut pas leur interdire de le faire !

Tu voulais dire encourager les pirates je suppose. Les hackers#Liste_de_hackers_célèbres) sont plutôt du côté des gentils.

Le 24/01/2024 à 09h 44

Au final c'est le choix de GitHub (c'est aussi ça la liberté d'expression), et ça ne serait pas nécessairement surprenant qu'ils l'interdisent (voir les règles strictes de Apple par ex.), mais il semble que n'est pas le cas.

La page pertinente dans les règles de GitHub:
https://docs.github.com/fr/site-policy/acceptable-use-policies/github-active-malware-or-exploits

Notez que GitHub autorise le contenu à double usage et prend en charge la publication de contenu utilisé pour la recherche de vulnérabilités, de logiciels malveillants ou d'exploits, car la publication et la distribution de ce contenu ont une valeur éducative et offrent un avantage net à la communauté de la sécurité. Nous supposons une intention positive et l'utilisation de ces projets pour promouvoir et conduire des améliorations à travers l'écosystème.

Dans de rares cas d'abus très répandu de contenu à double usage, nous pouvons restreindre l'accès à cette instance spécifique du contenu pour perturber une attaque illégale ou une campagne de logiciels malveillants en cours qui exploite la plate-forme GitHub en tant qu'exploit ou CDN malveillant. Dans la plupart de ces cas, la restriction prend la forme d'une authentification du contenu, mais peut, en dernier recours, impliquer la désactivation de l'accès ou la suppression complète lorsque cela n'est pas possible (par exemple, lorsqu'il est publié en tant qu'essentiel). Nous contacterons également les propriétaires du projet au sujet des restrictions mises en place lorsque cela est possible.

Merci d'avoir trouvé ce texte. Il confirme que c'est la politique de GitHub que de publier par défaut et de restreindre dans de très rares cas.
La valeur éducative de ce dépôt est mise en avant dans le readme.

Le 23/01/2024 à 19h 36

J'ai compris cette remarque dans le sens de s'interroger sur la légitimité de son existence.

J'en ai aussi l'intuition, mais ce n'est pas ce qui est écrit.

De plus, je n'ai rien vu qui interdit la publication des sources d'un tel logiciel sur GitHub.
Et une société des USA étant habituée à la liberté d'expression, je ne vois pas ce qui ferait que GitHUb l'interdise.

Le 23/01/2024 à 18h 26

Nous avons interrogé Microsoft sur l’existence de ce dépôt et mettrons cette actualité à jour quand nous aurons la réponse.
Je ne comprends pas cette phrase. Le dépôt existe puisqu'on peut le voir en suivant le lien de l'article. Pourquoi (s')interroger sur son existence ?

Le 24/01/2024 à 15h 56

Surtout, je doute que beaucoup de personnes ont vraiment connu lorsque les disquettes étaient réellement "molles" (les 5"1/4 pour ma part). Pour la majorité, lorsque l'on parle de disquette, ce sont les 3"1/2 qui était finalement assez dure et sont devenus l'icône de sauvegarde.

Les 3"1/2 sont molles à l'intérieur, même si elles ont une coquille dure.
J'ai connu aussi les 5"1/4 et même les 8" (mais pas trop utilisé ces dernières)

Édit : grillé de peu ! :)

Le 24/01/2024 à 10h 58

Oui, quand il s'agit de disque dur, ce qui n'est pas le cas ici : il n'y a pas de disque.
On pourrait laisser tomber l'adjectif "dur", vu qu'il n'y a plus beaucoup de disques mous (floppy disk=disquette), mais les termes historiques ont la vie dure.

Le 24/01/2024 à 15h 51

Ils étaient quand même forts, ces nazis...

Rho !
A priori, son inventeur ne l'était pas.

Il est le premier à avoir inventé un langage de haut niveau pour programmer.

Par contre ses travaux n'ont pas eu de visibilité ce qui fait que ni les américains ni les russes n'ont essayé de le récupérer chez eux contrairement aux ingénieurs des missiles allemands (V2) qui ont largement contribué à l'industrie spatiale des USA, de l'URSS et même de la France.

Le 23/01/2024 à 17h 23

Intéressant, je ne connaissais pas. Sur la version en anglais de l'article de Wikipedia consacré à l'histoire des ordinateurs, on lit que « Colossus was the world's first electronic digital programmable computer », alors que le Zuse 3 serait « the world's first working electromechanical programmable, fully automatic digital computer ».

Oui, comme le dit vince120 juste au-dessus, c'est ça la différence : électromécanique contre électronique. Mais les 2 peuvent être qualifiés d'ordinateurs.

Le 23/01/2024 à 11h 37

« Le premier ordinateur numérique de l’histoire »
Ce n'est pas ce que l'on peut voir ici ou .
C'est plutôt le Zuse 3 allemand (1941) qui en plus est Turing-complet ce qui n'est pas le cas du Colossus.

Le 24/01/2024 à 10h 27

Ou alors c'est juste pour éviter de se rendre compte que dopé à l'IA, mais n'utilise pas de réseaux de neurones ! L "IA par l'obfuscation"

Pour ma part, je trouve totalement déraisonnable de la part d'un gouvernement (que ce soit le notre ou non), financer par l'argent de ses contribuables, de ne pas faire preuve de transparence sur les outils demandées et développées sur mesure dans le cadre d'un appel à projet.

Je pense que c'est plus compliqué. Ces développements s'appuient probablement sur de la propriété intellectuelle des sociétés en question (ou de tiers si l'on en croit SebGF :D) qui ne font qu'adapter des outils existants à l'appel d'offre.
À partir de là, il est difficile de publier quelque chose en respectant la PI utilisée. On devrait quand même pouvoir au minimum avoir des infos sur la partie développée sur demande.

Le 23/01/2024 à 20h 15

J'ai l'impression que ce machin que je découvre sort largement de son domaine de compétence décrit dans l'article L125 du Code des postes et communications électroniques :
Elle veille à l'évolution équilibrée des secteurs des postes et des communications électroniques et étudie les questions relatives à la neutralité de l'internet
et
Elle adresse des recommandations au Gouvernement pour l'exercice d'une concurrence loyale dans les activités postales et de communications électroniques.
Ces recommandations sortent manifestement de ce sujet de concurrence loyale dans ces activités. Et quand elle se permet de dire que le Ministère de la Culture devrait être intégré dans les administrations concernées pas la coordination nationale pour l’IA pour des raisons liées à la propriété intellectuelle, elle est complètement en dehors de son domaine de compétence. J'ai juste envie de lui dire : de quoi vous mêlez-vous ?

Quand on voit qu'elle aborde au niveau national des sujets abordés au niveau de l'UE comme indiqué plusieurs fois dans l'article, on se dit que c'est de l'argent et du temps de gâché surtout qu'il y a probablement d'autres entités nationales dont c'est plus le domaine.

Le 23/01/2024 à 10h 47

C'est bien 5 ans. Avant c'était 10 ans (quand le changement a eu lieu, je ne m'en rappelle plus).

Je ne sais pas trop de quel cas vous parlez, le commentaire initial était dans un contexte de société.
Et côté impôts des particuliers, les délais sont différents suivant les cas.

Mais, il ne me semble pas que 5 ans soit un délai existant.
Cette page récapitule pas mal de cas.

Mais bon, on est hors sujet, donc arrêtons là.

Le 23/01/2024 à 10h 31

Au moment où tu écris, il y a au maximum 2 commentateurs qui peuvent être considérés compréhensifs. Comme tu as mis le pluriel, tu vises donc les 2 : Jarodd et Trooppper.

Et aucun des 2 de ce que j'ai pu lire d'eux ici ne peuvent être soupçonnés de racisme si c'est bien ce que tu sous-entends.

Le 23/01/2024 à 09h 45

Oui, c'est lié.

Cette brève du 18/01 en parlait :
Google explique aussi qu'elle va devoir ajouter une bannière de consentement supplémentaire pour gérer les liens entre différents produits et services Google pour les utilisateurs européens, « au cours des prochaines semaines ».