Oui. je l'ai lu. Je donné un avis par rapport au sujet, qui était la communication d'une information d'identité d'une personnalité publique sur un site d'information publique. A ceci, j'ai répondu que c'était un non débat car les bonnes pratiques vis-à-vis du sujet, étaient déjà d'usage.
Le questionnement N'était PAS sur la transidentité et la dérive qui y a été faite été, pour moi, un piège.
Cependant voici mon opinion sur la sexualité : Tant que cela se passe entre ADULTE et CONSENTANT, tout le reste n'est que littérature.
Le sujet n'est pas la sexualité mais le genre.
Le
01/03/2024 à
17h
54
Prendre l'exemple d'un artiste connu plus par son pseudo que son nom de naissance est un peu simpliste par rapport aux problèmes de genre soulevés ici.
Ta contribution tardive n'est pas au niveau des échanges précédents. Les as-tu seulement lus avant de commenter ?
L'article dit texto : "l'ONCD cite le C et le C++ comme deux exemples de langages présentant des vulnérabilités".
Oui, l'article dit ça, mais c'est faux. Vérifie dans la source si tu veux.
Le
04/03/2024 à
10h
36
Ils écrivent en C ou C++ les Indiens ? Il me semblait qu'ils utilisaient beaucoup JAVA qui n'a pas de vulnérabilités liées de gestion mémoire.
Le
04/03/2024 à
10h
15
Ceci dit pourquoi ça serait au langage de porter la notion d'intégrité de la mémoire ?
Normalement, un dev sait comment un ordi fonctionne, sait comment un processus vit en mémoire, sait comment le code et les données sont agencées dans l'espace mémoire du process et sait comment le langage ordonne les données en mémoire.
A quoi bon bouffer des perfs en compil et en execution pour faire des contrôles inutiles dans la mesure où le dev a déjà fait le travail ?
Parce que beaucoup de dev ne font pas bien leur travail.
Et c'est tellement facile d'utiliser un pointeur après avoir libéré la mémoire dans un programme à états.
Le
04/03/2024 à
10h
12
Le rapport ne dit pas que le C présente des vulnérabilités, il dit par contre qu'il y a beaucoup plus de vulnérabilités dans les logiciels écrits avec un langage qui n'est pas sûr pour la gestion de la mémoire comme le C ou C++.
Le
04/03/2024 à
09h
44
La seule mention à Rust dans le rapport de l'ONCD est pour dire que RUST qui est un exemple de langage sûr pour la gestion mémoire n'a pas été "prouvé" pour systèmes spatiaux.
C'est vrai, du coup ils ont plutôt repris plutôt que gardé l'ancien nom, mais ce que j'ai dit après reste valable.
Il faut dire que Altera était leader dans le domaine des FPGA avant l'achat par Intel et que le nom était connu. Le nom intermédiaire ne ressemblait à rien.
Le
04/03/2024 à
10h
33
Souvent le nom change au passage, mais là même pas, c'est amusant de les voir qualifier ça de nouvelle entreprise et en même temps de vouloir garder le nom, sans doute pour l'image de marque.
Il y a bien eu changement de nom entre temps : Programmable Solutions Group, an Intel Company.
Il y a des gens qui tiennent le même discours avec des gens qui sont différents d'eux.
Là où il semble avoir raison, c'est que c'est la règle dans les trains de la SNCF : les gros chiens en laisse et muselés au pied du voyageur (et pas dans le couloir ; ne me demande pas comment faire, je n'en sais rien) les petits chiens dans un sac ou boîte de transport.
Le
02/03/2024 à
17h
19
A dire vrai, je l'avais mis dans la première version de mon message.
Mais je me suis souvenu aussi que contrairement à un animal domestique (même si c'est aussi possible dans leur cas), un enfant peut ne pas avoir été désiré. Une responsabilité imposée versus une responsabilité choisie en résumé.
Comme le disait Coluche : Y a des gens qui ont des enfants parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un chien.
Le
02/03/2024 à
10h
13
Pour me faire poursuivre par des chiens lorsque je fais du footing, m'être déjà fait attaquer par des chiens, oui il me semble que c'est légitime.
Je comprends les maîtres qui défendent leur toutou en disant qu'il est gentil, mais il suffit d'une fois de trop.
En attendant y a des jeunes enfants qui meurent chaque année à cause de morsure de chien.
En attendant y a des jeunes enfants qui meurent chaque année à cause de morsure de chien.
En 20 ans, les morsures de chien ont provoqué le décès de 33 personnes dans l’hexagone ; 22 avaient moins de 15 ans, 16 moins de 5 ans.
Ton pluriel est à peine n'est pas justifié.
Un peu plus loin :
Dans 78% des cas le chien en cause était connu (pour 36% des cas, il s’agissait du chien de la famille) ;
Dans 64% des morsures de chien pour les 0-4 ans et 78% pour les 5-9 ans, l’accident s’est produit hors de la présence d’un adulte ;
Il faudrait donc museler en permanence (y compris à la maison son chien) quand on a des enfants.
Le
02/03/2024 à
09h
43
Je n’ai pas le sentiment que les trending topics soient souvent repris dans Next 😊 Et d’ailleurs, au delà du contenu « chewing gum » évoqué dans cet article, certains RS sont des outils de veille tout à fait pertinents, pour nous comme pour des journalistes. Mais je comprends ton point dans l’absolu.
Que les RS soient un outil de veille, je le conçois. Je ne parlais pas tant des trendig topics que des sujets traités par Next.
Qu'ils soient la source citée dans un article ici (ou ailleurs), ça m'énerve au plus haut point. N'ayant pas de compte sur X (et c'est souvent X le RS cité), ça me rend la consultation de la source compliqué, surtout depuis que Musk a fait en sorte que ça soit plus compliqué à lire sans compte et encore plus depuis la fin de nitter. En particulier, on ne peut plus facilement lire les réactions au tweet initial.
J'aurais tendance à dire que si X est la seule source, c'est que le sujet n'en vaut pas la peine. Il y a probablement quelques exceptions.
Oui, je sais, je suis assez radical, mais je trouve que X et autres font beaucoup plus de mal que de bien, donc autant l'achever. Et si ça pouvait servir de leçon à Musk en passant, ça me plairait assez.
Le
01/03/2024 à
18h
55
C'est fou ce que je rate en n'étant pas sur les réseaux sociaux ! Mais pourquoi m'apporter ces informations insignifiantes ici ? Pourquoi tant de haine ? !
Sinon, le chien a l'air plutôt un bon pépère bien gentil et heureusement que l'ex députée se dise "à l'écoute" sur son profil Twitter, je n'ose imaginer ce qu'elle aurait fait si cela n'avait pas été le cas. Oui, j'ai cliqué pour comprendre cet édito.
Parler de ces sujets n'est-ce pas participer au buzz ?
Je rêve que les journalistes laissent X/Twitter diffuser ses trucs sur son réseau sans les reprendre dans leurs articles et accentuer le buzz.
Zéro lien vers X ou autre réseau social, zéro réseau social cité comme source : qui dit chiche ?
Les réseaux sociaux, c'est le degré zéro de l'information. Faites comprendre aux politiques et autres personnalités qu'ils n'auront aucune visibilité de votre part quand ils communiquent par ces voies néfastes à la démocratie.
Je m'adresse d'abord aux journalistes de Next, mais aussi à tous les autres qui nous lisent. Poussez cette idée vers vos confrères. Désintoxiquez-vous ! Vous allez d'abord souffrir de manque, mais c'est pour le bien de tous.
Apple aura toujours un sujet de moins à traiter avec la Commission européenne, qui se penchait sur la question.
La restriction des PWA à Safari devrait toujours être un sujet pour la Commission. Pourquoi Next pense que ce n'est pas un sujet ?
Le
04/03/2024 à
09h
19
Je te rassure, comme je l'ai déjà indiqué sous une autre brève où ce revirement avait été annoncé, je ne suis pas satisfait de ce qui me semble bien une violation du DMA.
Tu n'as pas compris mon message : leur business n'est pas de donner accès aux données ; leur business nécessite impérativement l'accès aux données. Sans ces données d'entraînement, OpenAI n'existe plus. On est indéniablement dans l'usage commercial des données.
Le NYT n'a indiqué dans ces "Terms of Service" le 3 Août 2023 que :
Non-commercial use does not include the use of Content without prior written consent from The New York Times Company in connection with: (1) the development of any software program, including, but not limited to, training a machine learning or artificial intelligence (AI) system; or (2) providing archived or cached data sets containing Content to another person or entity.
Avant cette date, ils n'avaient pas suffisamment bien définir l'usage non commercial à mon avis. En particulier, le (2) couvre le cas de la société Common Crawl qui servait d'intermédiaire à OpenAI et donc je parlais dans mon commentaire d'hier. C'est peut-être bien cette société qui est en faute ici, comme je le suggérais hier.
Je sais que tu parles de façon plus générale pour toutes les sources de contenu, mais je pense qu'il faut que ces sources se protègent comme le NYT si elles ne veulent pas que leur contenu serve à l'entraînement des AI.
Le
02/03/2024 à
17h
10
Les conditions d'utilisations interdisaient sans doute toute utilisation commerciale, comme c'est souvent le cas.
À mon avis, ce n'est pas tant l'utilisation commerciale qui est en jeu ici que l'utilisation de robots qui est interdite depuis le 3 janvier 2019 :
Without NYT’s prior written consent, you shall not:
use robots, spiders, scripts, service, software or any manual or automatic device, tool, or process designed to data mine or scrape the Content, data or information from the Services, or otherwise access or collect the Content, data or information from the Services using automated means;
Le contenu du NYT restitué par ChatGPT cité dans leur plainte date du 19 mai 2019, donc après la l'interdiction d'utilisation des robots. Finalement, OpenAI est assez mal sur ce point.
L'utilisation commerciale (interdite depuis au moins le 27 octobre 2017 et probablement depuis toujours) me semble concerner le contenu lui-même et pas une utilisation liée à l'entraînement d'une IA.
Les dates viennent de la way back machine d'archive.org
Remarque : en relisant la plainte du NYT, je vois que Open AI est passé par la société Common Crawl qui décrit ici sa "mission". Il est possible que ça soit eux qui sont en tort en mettant à disposition du contenu que leurs robots n'auraient pas dû colleter chez le NYT.
Le
01/03/2024 à
19h
44
Preuve que ChatGPT a été entraîné avec des articles du NYT, oui, sans aucun doute. Violation du Copyright : Non comme l'a dit SebGF si le fair use est retenu Violation des conditions d'utilisation du site du NYT : est-ce que ces condition d'utilisation interdisaient cela au moment de l’entraînement ? Je n'en suis pas sûr. À l'époque, personne ne pensait qu'il fallait se protéger contre ce genre d'utilisation.
Sur ce troisième point, celui qui accuse de violation des conditions d'utilisation, c'est OpenAI.
Le
01/03/2024 à
19h
36
Pas si ça tombe dans le cas d'usage du fair use derrière lequel OpenAI se retranche pour sa défense.
Le fair use comme donnée d'entraînement, pourquoi pas. C'est un peu le point de vue que je soutiens depuis que l'on parle de ces problèmes d'entraînement à partir de données sous copyright/soumise au droit d'auteur.
Il y a un aspect qui ne correspond pas au fair use : la régurgitation de texte qui a servi à l'entraînement.
Mais,
1) le cas du NYT a l'air de correspondre à un bug qui sera (ou est) corrigé. Comme ce n'est pas volontaire et que c'est assez restreint, ça peut ne pas être condamné.
2) les requêtes ont été travaillées pour arriver à ressortir le texte et peut-être le texte a peut-être été introduit dans les requêtes (prompts)
Tu dis que les CNILs les ont validé dans une certaine mesure, tu as des exemples ?
De ce que j'ai retenu, le conseil d'état a surtout rappelé à la CNIL qu'elle ne pouvait pas interdire quelque chose par principe, car cela sortait de ses attributions.
La CNIL a ensuite revu un peu sa copie, et donner des consignes / critères d'évaluation pour déterminer la "conformité" des cookie-walls. On peut retrouver tout cela sur sa page dédiée au cookie-walls, notamment avec la notion de "tarif raisonnable", tout en rappelant que le paywall n'est pas "interdit par principe".
Pour finir, l'affaire Meta ne concernera au final que... Meta. La CNIL rappelle en effet que la détermination d'un tarif raisonnable dépend d'une analyse au cas par cas ;)
OK, je n'ai donc rien raté à ce sujet.
Le
02/03/2024 à
11h
15
La grosse différence entre un PWA et une application native, c'est que le PWA ne permet pas un accès complet au téléphone. Tu ne peux pas accéder aux Contacts, aux SMS, aux appels, etc. Les PWA ne sont pas disponibles sur le store non plus (bien qu'en théorie, ils pourraient l'être).
Une PWA ne peut pas faire tout ce que fais une application native, une application native peut faire tout ce que fait une PWA, sans compter qu'Apple à un droit de vie ou de mort d'une application sur l'Apple Store. Pour un certain nombre d'applications, l'application native était la seule solution. Notons également que les PWA sont disponibles depuis 2018 seulement (et avec encore moins de droit à l'époque par rapport à aujourd'hui) par rapport aux applications natives qui ont débarqués en 2008 (10 ans d'écart).
Là où je veux en venir, c'est que mon interprétation ou la tienne du "jargon juridique" (sans aucun sens péjoratif ici) n'a pas de valeur. Seule compte celle des autorités (ici l'Europe).
On peut prendre l'exemple des paywall pour les cookies, où, pour beaucoup, cela enfreint le caractère libre du consentement (qui est, pour rappel, un des 4 critères pour que le consentement soit valide). Pourtant, cela a été validé, dans une certaine mesure, par les CNILs.
L'extrait que tu cites du DMA est très intéressant, mais sa compréhension dépend de l'interprétation de certains termes, interprétation d'un point de vue juridique, pas d'un point de vue technique, notamment sur la notion de "navigateur internet" (et pour savoir si on considère qu'une PWA utilise un navigateur ou un moteur de rendu) et sur la notion "d'exigence" en présence d'alternative.
Que les choses soient claires. Je ne cherche pas à dire que tu as tord et moi raison sur le fait que cela enfreigne potentiellement le DMA (on s'en fout, et ce sont les autorités qui trancheront à ce sujet). Je cherchais juste à montrer que la conformité au DMA dépend de l'interprétation juridique que l'on fait des termes, afin de répondre à ton interrogation de savoir comment cela pourrait être conforme au DMA ;)
Dit comme ça, on est d'accord. Mais on ne commenterait pas grand chose s'il fallait attendre les décisions définitives des juridictions !
Et pour les paywall de coockies, on verra ce qui va sortir de l'affaire Méta et ses abonnements payants. Tu dis que les CNILs les ont validé dans une certaine mesure, tu as des exemples ? La seule chose que j'ai en tête à ce sujet, mais c'est peut-être que j'en ai raté ou oublié, c'est la décision de notre Conseil d'État qui a dit à la CNIL qu'elle ne pouvait pas dire dans ses recommandations (soft law) que les coockies walls étaient interdits parce que ça dépendait entre autre des offres des concurrents. Par exemple, Marmiton pouvait mettre un cookie wall si les recettes restaient accessibles sur d'autres sites. Et la CNIL française a donc modifié son discours général sur ce sujet puisque la décision du Conseil d'État s'imposait à elle. Cela n'empêchera pas forcément de prendre des décisions contre les cookies wall dans des affaires précises.
Une PWA est une application. Elle ne nécessite pas un navigateur, mais des technologies associées classiquement à un navigateur (HTML, javascript, CSS).
Une application n'est pas nécessairement un PWA. Le développeur à le choix, et dans ce sens, Apple n'impose pas de moteur de rendu (ou de navigateur) pour le développement d'une application.
L'utilisateur a le choix aussi. Il peut utiliser ou pas l'application. Ou utiliser une alternative.
Dans le cas du navigateur, l'utilisateur se retrouvait, avant le DMA, à utiliser quoi qu'il arrive Webkit.
Pour résumer : - le développeur n'est pas contraint à utiliser Webkit - l'utilisateur n'est pas contraint par le choix du contrôleur d'accès (ici Apple), mais par le choix des développeurs.
Apple n'exige pas/plus des utilisateurs d'application d'utiliser Webkit. Apple n'exige pas/plus des éditeurs qu'ils utilisent Webkit pour développer une application. Les développeurs sont libres de faire du PWA ou du natif. Dans le cas d'une application PWA, alors Webkit sera utilisé.
On peut trouver ça limite (et je trouve que cela l'est), mais juridiquement parlant, je ne pense pas qu'on puisse qualifier cela d'exigence dans la mesure où des alternatives existes. Et si ce n'est pas une exigence, ce n'est pas contraire au DMA.
Après, ce n'est que mon interprétation. Attendons de voir l'analyse que fera la commission européenne à ce sujet. C'est son analyse qui fera foi, pas nos avis respectifs !
Dans ce cas, continuons avec le même type d'arguments. Avant le DMA, on pouvait dire ; les développeurs ont le choix de ne pas développer des application natives sur iOS et de ne pas utiliser le store d'Apple ; c'est le choix des développeurs de développer sur iOS qui les obligent à utiliser le store d'Apple.
Mais l'UE a décidé que ce genre d'arguments (que certains ici défend(ai)ent) n'étaient pas acceptable. Elle a donc décidé qu'il fallait obliger les contrôleurs d'accès à autoriser les stores alternatifs, les services de paiement alternatifs, l'accès au NFC pour les paiements et les navigateurs alternatifs.
Là, Apple, dans un cas particulier ne donne pas le choix du navigateur ni au développeur ni à l'utilisateur. C'est d'autant plus dommageable que les PWA sur Safari étaient ou sont toujours moins complètes que sur Chrome (par exemple).
Le
01/03/2024 à
19h
25
Une seconde, je sors ma boucle de cristal. Je vois... Je vois....
Je vois qu'ils sont plus exposés sur l'ouverture des apps en général que sur les moteurs de rendu web en particulier dans cette affaire.
Ils ont dû tenter le truc discret pour avoir une petite compensation mesquine à l'ouverture potentielle du Store à d'autres acteurs, qu'ils savent inévitable, et pas forcément selon leurs termes. C'était le moment d'avoir une approche ferme, quitte à ouvrir leur position au fil des négos. Vu que ça commençait à se voir cette histoire des PWAs, leurs avocats ont dû leur dire de ne pas risquer de voir cette limitation se retourner contre eux. C'est somme toute assez mineur pour eux, comparativement au reste du dossier.
My 50 euros (vous n'iriez pas voir un voyant à 50 cents, ne faites pas cette tête).
Tu prends ça comme une négo, ton côté entrepreneur peut-être.
Mais ce n'est pas une négo, c'est plus proche d'un procès. La Commission a ici un pouvoir de sanction et la crédibilité des DSA et DMA en dépend et je n'ai pas l'impression que Thierry Breton soit prêt à la négociation. Les contrôleurs d'accès (pour le DMA) et les plateformes (pour le DSA) n'ont pas intérêt à jouer au plus fin. Ils pourront faire traîner et contester auprès de la CJUE, mais ils risquent bien de perdre au final.
Le
01/03/2024 à
19h
16
Cela me semble être une zone grise.
Le DMA mentionné explicitement l'usage d'un moteur de rendu au sein d'un navigateur internet, car cela viendrait influer grandement impacter les possibilités et les performances des navigateurs.
Une PWA n'est pas un navigateur. C'est une application. Elle repose sur un moteur de rendu pour son fonctionnement, mais cela reste une application et l'éditeur n'est pas contraint à ce choix. Il peut utiliser des alternatives, notamment en développant une application native.
En bref, c'est un beau casse tête, juridiquement parlant.
Mon lien dans mon commentaire précédent était pourri (je l'ai corrigé) mais je recopie ici la partie d'article du DMA que je citais en barrant ce qui n'a pas trait aux navigateurs :
Le contrôleur d’accès n’exige pas des utilisateurs finaux qu’ils utilisent, ni des entreprises utilisatrices qu’elles utilisent, proposent ou interagissent avec un service d’identification, un navigateur internet ou un service de paiement, ou un service technique qui appuie la fourniture des services de paiement, tels que des systèmes de paiement destinés aux achats dans des applications, de ce contrôleur d’accès dans le cadre des services fournis par les entreprises utilisatrices en ayant recours aux services de plateforme essentiels de ce contrôleur d’accès.
Une PWA s'appuie sur un navigateur (et pas le seul moteur de rendu) si j'en crois l'article en anglais de Wikipédia.
Et ici, Apple impose à la fois aux utilisateurs et aux entreprises utilisatrices d'utiliser son navigateur WEB pour les PWA. Je ne vois pas comment cela peut être conforme au DMA.
Si une entreprise choisit de faire une PWA et pas une application native ni une application en techno web qui embarque son propre moteur de rendu, Apple ne doit pas lui imposer Safari/Webkit.
On y lit : À cette fin, les web apps ajoutées à l’écran d’accueil reposeront toujours sur WebKit et uniquement sur lui.
Voilà pourquoi ils ont changé d'avis sans que ça leur coûte. Ils font comme avant avec leur moteur de rendu web. Cela me semble non conforme au DMA. Le 7 de l'article 5 du DMA que j'avais cité ici interdisant d'imposer un navigateur internet.
Cela fait trèsd longtemps que Meta est capable de suivre des utilisateurs, y compris non Facebook/Instagram sur le net. En utilisant des cookies, des publicités et trackers qui vont avec, des vidéos FB embedded dans d'autres sites ...
Et ta réponse à sa question, c'est quoi : oui ou non ?
Remarque complémentaire : est-ce parce qu'ils l'on fait il y a très longtemps, qu'ils le font toujours pour les utilisateurs de l'UE où le RGPD et les amendes les ont poussé à changer les choses ?
Pour répondre aussi à Soriatane : un moyen simple de ne pas tracer certains utilisateurs, c'est avant tout de ne pas stocker les données personnelles qu'il ne veut pas que l'on traite. Comme c'est une information que Méta demande, elle est stockée dans le profil de l'utilisateur. Il suffit donc de tester s'il faut stocker ou non les données personnelles en question au moment où l'on voudrait stocker. Ensuite, pas de données personnelles stockées, pas de traitement de données personnelles, c'est assez simple, même si leur code est complexe.
Dans le panneau de choix pour les cookies sur la page d'accueil :
Comment nous utilisons ces cookies Nous utilisons des cookies d’autres entreprises sur nos Produits : • Pour vous montrer des publicités portant sur nos Produits et fonctionnalités sur les applications et sites web d’autres entreprises. • Pour vous fournir des fonctionnalités sur nos Produits, comme les visualiseurs de cartes, les services de paiement et les lecteurs vidéo. • À des fins d’analyses.
Donc seul le premier point est annoncé comme abandonné pour les comptes payants. Les autres (dont l'analyse) sont toujours réalisés.
Cela concerne les données obtenues par d'autres entreprises, pas celles obtenues par Méta. Ce profilage a donc été fait par d'autres normalement avec l'accord de l'utilisateur (si le RGPD a bien été respecté).
De plus cela peut être refusé en un clic sur ce même panneau de choix des cookies. On peut donc refuser que le profilage fait par d'autres soit utilisé sur les sites de Méta.
Le seul reproche que je ferais là, c'est qu'on ne peut pas accepter certains cookies et pas d'autres. C'est un vrai problème si tu veux accepter uniquement les cookies d'un service de paiement et pas ceux d'un service de cartographie ou de vidéos pour reprendre les exemples qui sont cités dans leur Politique d’utilisation des cookies.
Le
01/03/2024 à
11h
04
C'est clairement marqué que les informations personnelles ne seront pas utilisées pour les publicités. Il n'est absolument pas dit qu'elles ne le sont pas pour autre chose…
Comme le RGPD impose de dire les traitements faits sur les données, trouve moi l'endroit où il est dit qu'ils traitent les données personnelles pour faire du profilage d'un utilisateur payant pour d'autre chose. Le commentaire auquel je répondais parle de flicage, donc de profilage en terme plus neutre.
Je ne peux pas te citer de passage où ils disent qu'ils ne font pas de profilage pour autre chose, puisque le RGPD demande d'indiquer ce qu'ils font et pas ce qu'ils ne font pas.
Le
01/03/2024 à
10h
27
peut être le couple au complet, payer pour être tranquille mais être fliqué quand même comme tout le monde
Parce que quand on lit bien le truc de Meta, ils ne disent pas qu'ils arrêtent le flicage, mais demandent quand même de payer 20€/mois pour se passer de la pub
Est-tu sûr d'avoir bien lu ?
Ils communiquent certes sur l'absence de publicité pour vendre leur abonnement, mais quand on lit bien, on voit :
Par exemple, si nous vous montrons des publicités sur les produits Meta :
Vous nous autorisez à utiliser vos informations pour vous afficher des publicités, y compris des informations sur l’ensemble des comptes dans votre Espace Comptes.
(Politique de Confidentialité, Quelle est notre base légale)
Il y a donc bien absence de traitement des données personnelles pour les abonnés payants, le flicage dont tu parles.
Leur communication sur avec ou sans publicité est à la fois plus parlante pour les utilisateurs et plus valorisante pour eux, mais derrière, c'est bien le traitement des données personnelles pour le profilage qui est activé ou non.
Ça va coûter beaucoup plus cher à Pharos d'augmenter ses effectifs pour trier eux-même les signalements.
Pourquoi serait-ce forcément plus cher pour le même travail ? Et, si ça l’est, c’est soit que Pharos est un gouffre à pognon, soit que Point de contact est sous-payé. Ce qui m’amène à :
En plus, 200 000 € pour un an pour l'État, ce n'est pas cher du tout comme service.
Oui, il semble que l’État paye ses sous-traitants au lance-pierre s’ils s’appellent pas McKinsey.
Pourquoi serait-ce forcément plus cher pour le même travail ?
Parce qu'actuellement, l'État ne finance qu'au tiers le budget de Point de Contact. Parce que c'est une association loi de1901 et que la structure est probablement plus légère qu'une administration.
Oui, il semble que l’État paye ses sous-traitants au lance-pierre s’ils s’appellent pas McKinsey.
Il ne s'agit pas de sous-traitance pour Point de Contact mais de subvention. Peut-on discuter sérieusement d'un sujet sans sortir McKinsey qui n'a rien à voir avec le sujet ?
Le
29/02/2024 à
19h
28
Je pensais un peu la même chose, mais je ne suis pas sûr que l'État serait aussi efficace par rapport au coût. En plus, quand ils servent d'intermédiaires avec les plateformes, ce n'est pas le rôle de l'État.
Par exemple, ils ont fait 9470 signalements à Pharos et 5281 aux hébergeurs et plateformes en 2022. Que leur travail soit financé comme il l'est n'est pas idiot, surtout qu'ils font un travail de filtre et d'aiguillage.
En plus, 200 000 € pour un an pour l'État, ce n'est pas cher du tout comme service.
Ça va coûter beaucoup plus cher à Pharos d'augmenter ses effectifs pour trier eux-même les signalements.
Donc si ces crédits Fibre pouvaient être ré alloués à la distribution d'eau à Mayotte, tant mieux, tout le monde sera content.
On pourrait peut-être faire des travaux qui apportent les 2 en même temps : l'eau et la fibre.
Le
29/02/2024 à
18h
39
L'état ne se gène pas pour supprimer des crédits votés, il peut tout à fait choisir (décision politique) d'aller prendre des sous là où ils sont où d'annuler des réductions d'impôts, niches, subventions, promesses, etc... La réductions des dépenses n'est absolument pas la seule façon d'équilibrer ton budget (si c'était le but, les 10milliards à trouver seraient plus faciles à trouver ailleurs).
Par contre, écraser en supprimant des fonds qui servent à désenclaver, faire la promotion de l'accès égale à la technique (genre la fibre dans les territoires où les groupes télécoms veulent pas aller)... tout ça sert plutôt à dire au peuple "t'façon c'est vous et votre survie qui sert de variable d'ajustement, tout imprévu sera répercutée sur le bas peuple".
Ca rappelle Germinal (le film, je me rappelle plus trop du bouquin) où les accidents au fond de la mine étaient facturés aux ouvriers qui avaient ni le temps ni les moyens d'étayer leurs tunnels. Double peine. t'as perdu ton gamin et en plus t'as 2 semaines de salaire qui se barrent.
Le budget a déjà été voté avec les conséquences sur les impôts de cette année. Le gouvernement n'a pas le droit d'augmenter les impôts pour l'année en cours une fois ceux-ci votés. Par contre, il a le droit de supprimer des dépenses dans une certaine mesure, voir l'article qui en parle ici (cité dans cet article) et le commentaire de FranckW qui disait qu'en fait, ils étaient dans les clous.
Légalement, le gouvernement n'avait comme autre choix que d'augmenter le déficit et ce n'était pas une bonne idée. On pourrait aussi faire comme aux USA : quand on n'a plus d'argent par rapport à ce qui est prévu comme dépenses ou quand le nouveau budget n'est pas voté, on renvoie les fonctionnaires chez eux sans les payer, mais je ne suis pas sûr que tu serais d'accord.
Comme je l'ai dit dans un autre commentaire, le budget était trop optimiste/irréaliste et on a donc prévu trop de dépenses, le vrai problème est là au départ.
Ta comparaison avec Germinal est hors sol !
Le
29/02/2024 à
12h
32
Ça semble quand même légitime de gueuler quand le budget de départ n'était pas sincère. Promettre de l'argent, en sachant que tu ne l'auras pas, puis annuler les crédits, c'est quand même dégueulasse. Il aurait mieux fallu assumer dès le départ que cet argent n'existait pas et ne pas faire de promesses électoralistes.
J'ai hésiter entre irréaliste et très optimiste. Il me semble que les prévisions (d'autres organismes que le gouvernement) se sont dégradées depuis le vote du budget ce qui a poussé à l'annulation entre autre parce que plusieurs agences de notation doivent se prononcer sur la France cette année.
Je ne pense pas que c'était électoraliste, juste trop optimiste. Ne pas oublier non plus qu'il y a eu un changement de premier ministre qui a pu influer sur la décision.
Mais oui, il aurait mieux valu faire un budget plus réaliste.
Le
29/02/2024 à
12h
04
ya des milions à récupérer un peut partout dans les grandes entreprises depuis des années mais personne ne fait rien... ce sont toujours les petits contribuable ou les petites collectivité qui trinques.
ça me fout en rogne violent ça :/
Et en attendant, on fait quoi pour le budget de cette année ? C'est de cela qu'il s'agit ici.
Le
29/02/2024 à
11h
44
On va avoir ce genre de réactions dans chaque activité touchée par les coupes budgétaires.
Le problème initial est que le budget a été voté avec une hypothèse irréaliste d'augmentation du PIB et que celle-ci a été revue à la baisse. Certains disent que ça devrait être encore moins que cette révision.
Vu comme on est endetté et les taux d'emprunts actuels, il n'est pas raisonnable de remplacer les rentrées prévues par un endettement supplémentaire : le paiement des intérêts de la dette va dépasser le budget de l'éducation nationale !
À partir de là, il y a 2 solutions : augmenter les impôts (mais cela ne serait pas pour cette année) ou diminuer les dépenses. Comme il y a beaucoup de dépenses incompressibles, ce sont ce genre de dépenses qui trinquent.
Sinon, remarque à la marge, il m'est insupportable de lire Drahi disant On est arrivé à leur fait payer un petit peu d’impôt en France, mais c’est des cacahuètes alors que lui même a organisé son groupe afin qu'un grand nombre de sociétés aient leur siège au Luxembourg afin d'éluder lui aussi une trop forte imposition et alors que lui-même est domicilié en Suisse sans doute en raison de l'air pur des montagnes.
Ce n'est pas ça un indicateur de compromission. C'est une trace (adresse IP, signature de malware, etc.) qui laisse fortement supposer qu'un système est compromis.
En fait, la question du premier commentateur était pertinente comme indicateur peut aussi avoir le sens auquel tu pensais. J'ai donc mis le lien vers la page Wikipédia qui est plutôt courte mais qui donne une première définition. Le mot "marqueurs" utilisé en début d'article est plus explicite mais on a repris le même terme qu'en anglais.
Le
29/02/2024 à
13h
24
un indicateur qui laisse penser qu'un système informatique ou un réseau a pu être compromis ? Sinon, il y a une page Wikipedia qui en dit un peu plus.
tout périphérique USB branché lorsque votre écran est verrouillé
Le clavier est généralement branché avant.
Mais il est toujours branché pendant que l'écran est verrouillé. Personnellement, je ne débranche pas mon clavier quand je quitte mon ordi et je ne pars pas avec.
Le
29/02/2024 à
11h
51
c'est précisé "tout nouveau périphérique branché" pas tous les USB
Il n'y a pas le mot nouveau dans la brève, mais il est peut-être sous-entendu. Dans ce cas, je comprends mieux.
Le
29/02/2024 à
10h
24
Comment on fait pour déverrouiller la session si le périphérique USB qu'est le clavier est ignoré ?
If you have given contractual consent, we may use your data to train DocuSign's in-house, proprietary AI models. Your data will be anonymized and de-identified before model training.
Il faut ton accord. Cela n'entraîne que leur modèle. Les données sont anonymisées avant l'entraînement.
et
No enhancement of Microsoft or Azure products
Les produits de Microsoft et d'OpenAI (cité juste après) ne sont pas entraînés par ces documents.
C'est différent du commentaire de SebGF qui lui parle de plateformes qui font payer pour l'entraînement des AI sur le contenu disponible chez eux.
18393 commentaires
Sur Wikipédia, tensions autour de l’ancien nom des personnes trans
23/02/2024
Le 04/03/2024 à 11h 36
Le 01/03/2024 à 17h 54
Prendre l'exemple d'un artiste connu plus par son pseudo que son nom de naissance est un peu simpliste par rapport aux problèmes de genre soulevés ici.Ta contribution tardive n'est pas au niveau des échanges précédents. Les as-tu seulement lus avant de commenter ?
La Maison-Blanche exhorte les développeurs à abandonner C et C++ pour Rust
04/03/2024
Le 04/03/2024 à 10h 58
Le 04/03/2024 à 10h 36
Ils écrivent en C ou C++ les Indiens ? Il me semblait qu'ils utilisaient beaucoup JAVA qui n'a pas de vulnérabilités liées de gestion mémoire.Le 04/03/2024 à 10h 15
Et c'est tellement facile d'utiliser un pointeur après avoir libéré la mémoire dans un programme à états.
Le 04/03/2024 à 10h 12
Le rapport ne dit pas que le C présente des vulnérabilités, il dit par contre qu'il y a beaucoup plus de vulnérabilités dans les logiciels écrits avec un langage qui n'est pas sûr pour la gestion de la mémoire comme le C ou C++.Le 04/03/2024 à 09h 44
La seule mention à Rust dans le rapport de l'ONCD est pour dire que RUST qui est un exemple de langage sûr pour la gestion mémoire n'a pas été "prouvé" pour systèmes spatiaux.Intel présente sa « nouvelle » société Altera, spécialisée dans les puces FPGA
04/03/2024
Le 04/03/2024 à 10h 53
Le 04/03/2024 à 10h 33
[Édito] Le buzz à tout prix sur les réseaux sociaux
01/03/2024
Le 04/03/2024 à 10h 24
les gros chiens en laisse et muselés au pied du voyageur (et pas dans le couloir ; ne me demande pas comment faire, je n'en sais rien)
les petits chiens dans un sac ou boîte de transport.
Le 02/03/2024 à 17h 19
Y a des gens qui ont des enfants parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un chien.
Le 02/03/2024 à 10h 13
est à peinen'est pas justifié.Un peu plus loin : Il faudrait donc museler en permanence (y compris à la maison son chien) quand on a des enfants.
Le 02/03/2024 à 09h 43
Qu'ils soient la source citée dans un article ici (ou ailleurs), ça m'énerve au plus haut point. N'ayant pas de compte sur X (et c'est souvent X le RS cité), ça me rend la consultation de la source compliqué, surtout depuis que Musk a fait en sorte que ça soit plus compliqué à lire sans compte et encore plus depuis la fin de nitter. En particulier, on ne peut plus facilement lire les réactions au tweet initial.
J'aurais tendance à dire que si X est la seule source, c'est que le sujet n'en vaut pas la peine. Il y a probablement quelques exceptions.
Oui, je sais, je suis assez radical, mais je trouve que X et autres font beaucoup plus de mal que de bien, donc autant l'achever. Et si ça pouvait servir de leçon à Musk en passant, ça me plairait assez.
Le 01/03/2024 à 18h 55
C'est fou ce que je rate en n'étant pas sur les réseaux sociaux ! Mais pourquoi m'apporter ces informations insignifiantes ici ? Pourquoi tant de haine ? !Sinon, le chien a l'air plutôt un bon pépère bien gentil et heureusement que l'ex députée se dise "à l'écoute" sur son profil Twitter, je n'ose imaginer ce qu'elle aurait fait si cela n'avait pas été le cas. Oui, j'ai cliqué pour comprendre cet édito.
Parler de ces sujets n'est-ce pas participer au buzz ?
Je rêve que les journalistes laissent X/Twitter diffuser ses trucs sur son réseau sans les reprendre dans leurs articles et accentuer le buzz.
Zéro lien vers X ou autre réseau social, zéro réseau social cité comme source : qui dit chiche ?
Les réseaux sociaux, c'est le degré zéro de l'information. Faites comprendre aux politiques et autres personnalités qu'ils n'auront aucune visibilité de votre part quand ils communiquent par ces voies néfastes à la démocratie.
Je m'adresse d'abord aux journalistes de Next, mais aussi à tous les autres qui nous lisent. Poussez cette idée vers vos confrères. Désintoxiquez-vous ! Vous allez d'abord souffrir de manque, mais c'est pour le bien de tous.
Elon Musk dépose plainte contre OpenAI pour rupture de contrat
04/03/2024
Le 04/03/2024 à 10h 18
Édit :
D'ailleurs, il le disent au tout début de la page que tu as mise en lien :
Le 04/03/2024 à 09h 48
Je précisais juste qu'au début, c'était une organisation à but non lucratif comme on dirait en français.
Le 04/03/2024 à 09h 23
On ne sait pas SunneX anciennement Twitter.Le 04/03/2024 à 09h 22
(on écrit censé ici)
iOS 17.4 laissera finalement créer des web apps
04/03/2024
Le 04/03/2024 à 09h 52
La restriction des PWA à Safari devrait toujours être un sujet pour la Commission. Pourquoi Next pense que ce n'est pas un sujet ?Le 04/03/2024 à 09h 19
Je te rassure, comme je l'ai déjà indiqué sous une autre brève où ce revirement avait été annoncé, je ne suis pas satisfait de ce qui me semble bien une violation du DMA.OpenAI contre-attaque et accuse le New York Times d’avoir « hacké » ses produits
29/02/2024
Le 03/03/2024 à 16h 40
En particulier, le (2) couvre le cas de la société Common Crawl qui servait d'intermédiaire à OpenAI et donc je parlais dans mon commentaire d'hier. C'est peut-être bien cette société qui est en faute ici, comme je le suggérais hier.
Je sais que tu parles de façon plus générale pour toutes les sources de contenu, mais je pense qu'il faut que ces sources se protègent comme le NYT si elles ne veulent pas que leur contenu serve à l'entraînement des AI.
Le 02/03/2024 à 17h 10
Le contenu du NYT restitué par ChatGPT cité dans leur plainte date du 19 mai 2019, donc après la l'interdiction d'utilisation des robots.
Finalement, OpenAI est assez mal sur ce point.
L'utilisation commerciale (interdite depuis au moins le 27 octobre 2017 et probablement depuis toujours) me semble concerner le contenu lui-même et pas une utilisation liée à l'entraînement d'une IA.
Les dates viennent de la way back machine d'archive.org
Remarque : en relisant la plainte du NYT, je vois que Open AI est passé par la société Common Crawl qui décrit ici sa "mission". Il est possible que ça soit eux qui sont en tort en mettant à disposition du contenu que leurs robots n'auraient pas dû colleter chez le NYT.
Le 01/03/2024 à 19h 44
Preuve que ChatGPT a été entraîné avec des articles du NYT, oui, sans aucun doute.Violation du Copyright : Non comme l'a dit SebGF si le fair use est retenu
Violation des conditions d'utilisation du site du NYT : est-ce que ces condition d'utilisation interdisaient cela au moment de l’entraînement ? Je n'en suis pas sûr. À l'époque, personne ne pensait qu'il fallait se protéger contre ce genre d'utilisation.
Sur ce troisième point, celui qui accuse de violation des conditions d'utilisation, c'est OpenAI.
Le 01/03/2024 à 19h 36
Il y a un aspect qui ne correspond pas au fair use : la régurgitation de texte qui a servi à l'entraînement.
Mais,
1) le cas du NYT a l'air de correspondre à un bug qui sera (ou est) corrigé. Comme ce n'est pas volontaire et que c'est assez restreint, ça peut ne pas être condamné.
2) les requêtes ont été travaillées pour arriver à ressortir le texte et peut-être le texte a peut-être été introduit dans les requêtes (prompts)
L’Europe se penche sur l’arrêt des web apps dans iOS 17.4
28/02/2024
Le 02/03/2024 à 12h 46
Le 02/03/2024 à 11h 15
Et pour les paywall de coockies, on verra ce qui va sortir de l'affaire Méta et ses abonnements payants.
Tu dis que les CNILs les ont validé dans une certaine mesure, tu as des exemples ?
La seule chose que j'ai en tête à ce sujet, mais c'est peut-être que j'en ai raté ou oublié, c'est la décision de notre Conseil d'État qui a dit à la CNIL qu'elle ne pouvait pas dire dans ses recommandations (soft law) que les coockies walls étaient interdits parce que ça dépendait entre autre des offres des concurrents. Par exemple, Marmiton pouvait mettre un cookie wall si les recettes restaient accessibles sur d'autres sites.
Et la CNIL française a donc modifié son discours général sur ce sujet puisque la décision du Conseil d'État s'imposait à elle. Cela n'empêchera pas forcément de prendre des décisions contre les cookies wall dans des affaires précises.
Le 02/03/2024 à 09h 58
Grillé par Ferd !Le 02/03/2024 à 09h 57
Avant le DMA, on pouvait dire ; les développeurs ont le choix de ne pas développer des application natives sur iOS et de ne pas utiliser le store d'Apple ; c'est le choix des développeurs de développer sur iOS qui les obligent à utiliser le store d'Apple.
Mais l'UE a décidé que ce genre d'arguments (que certains ici défend(ai)ent) n'étaient pas acceptable.
Elle a donc décidé qu'il fallait obliger les contrôleurs d'accès à autoriser les stores alternatifs, les services de paiement alternatifs, l'accès au NFC pour les paiements et les navigateurs alternatifs.
Là, Apple, dans un cas particulier ne donne pas le choix du navigateur ni au développeur ni à l'utilisateur.
C'est d'autant plus dommageable que les PWA sur Safari étaient ou sont toujours moins complètes que sur Chrome (par exemple).
Le 01/03/2024 à 19h 25
Mais ce n'est pas une négo, c'est plus proche d'un procès. La Commission a ici un pouvoir de sanction et la crédibilité des DSA et DMA en dépend et je n'ai pas l'impression que Thierry Breton soit prêt à la négociation.
Les contrôleurs d'accès (pour le DMA) et les plateformes (pour le DSA) n'ont pas intérêt à jouer au plus fin.
Ils pourront faire traîner et contester auprès de la CJUE, mais ils risquent bien de perdre au final.
Le 01/03/2024 à 19h 16
Une PWA s'appuie sur un navigateur (et pas le seul moteur de rendu) si j'en crois l'article en anglais de Wikipédia.
Et ici, Apple impose à la fois aux utilisateurs et aux entreprises utilisatrices d'utiliser son navigateur WEB pour les PWA.
Je ne vois pas comment cela peut être conforme au DMA.
Si une entreprise choisit de faire une PWA et pas une application native ni une application en techno web qui embarque son propre moteur de rendu, Apple ne doit pas lui imposer Safari/Webkit.
Le 01/03/2024 à 17h 41
À cette fin, les web apps ajoutées à l’écran d’accueil reposeront toujours sur WebKit et uniquement sur lui.
Voilà pourquoi ils ont changé d'avis sans que ça leur coûte. Ils font comme avant avec leur moteur de rendu web.
Cela me semble non conforme au DMA. Le 7 de l'article 5 du DMA que j'avais cité ici interdisant d'imposer un navigateur internet.
Édit : correction du lien
La Commission européenne se penche sur l’alternative paiement ou publicité comportementale de Meta
01/03/2024
Le 02/03/2024 à 09h 35
Remarque complémentaire : est-ce parce qu'ils l'on fait il y a très longtemps, qu'ils le font toujours pour les utilisateurs de l'UE où le RGPD et les amendes les ont poussé à changer les choses ?
Pour répondre aussi à Soriatane : un moyen simple de ne pas tracer certains utilisateurs, c'est avant tout de ne pas stocker les données personnelles qu'il ne veut pas que l'on traite. Comme c'est une information que Méta demande, elle est stockée dans le profil de l'utilisateur. Il suffit donc de tester s'il faut stocker ou non les données personnelles en question au moment où l'on voudrait stocker.
Ensuite, pas de données personnelles stockées, pas de traitement de données personnelles, c'est assez simple, même si leur code est complexe.
L’UFC-Que Choisir porte plainte auprès de la CNIL contre Meta
01/03/2024
Le 01/03/2024 à 16h 24
De plus cela peut être refusé en un clic sur ce même panneau de choix des cookies. On peut donc refuser que le profilage fait par d'autres soit utilisé sur les sites de Méta.
Le seul reproche que je ferais là, c'est qu'on ne peut pas accepter certains cookies et pas d'autres. C'est un vrai problème si tu veux accepter uniquement les cookies d'un service de paiement et pas ceux d'un service de cartographie ou de vidéos pour reprendre les exemples qui sont cités dans leur Politique d’utilisation des cookies.
Le 01/03/2024 à 11h 04
Je ne peux pas te citer de passage où ils disent qu'ils ne font pas de profilage pour autre chose, puisque le RGPD demande d'indiquer ce qu'ils font et pas ce qu'ils ne font pas.
Le 01/03/2024 à 10h 27
Ils communiquent certes sur l'absence de publicité pour vendre leur abonnement, mais quand on lit bien, on voit : (Politique de Confidentialité, Quelle est notre base légale)
Il y a donc bien absence de traitement des données personnelles pour les abonnés payants, le flicage dont tu parles.
Leur communication sur avec ou sans publicité est à la fois plus parlante pour les utilisateurs et plus valorisante pour eux, mais derrière, c'est bien le traitement des données personnelles pour le profilage qui est activé ou non.
[MàJ] Dépôt de bilan de Point de Contact : désaccords entre le spécialiste des signalements et le CIPDR
07/03/2024
Le 01/03/2024 à 09h 46
Parce que c'est une association loi de1901 et que la structure est probablement plus légère qu'une administration.
Il ne s'agit pas de sous-traitance pour Point de Contact mais de subvention.
Peut-on discuter sérieusement d'un sujet sans sortir McKinsey qui n'a rien à voir avec le sujet ?
Le 29/02/2024 à 19h 28
Je pensais un peu la même chose, mais je ne suis pas sûr que l'État serait aussi efficace par rapport au coût. En plus, quand ils servent d'intermédiaires avec les plateformes, ce n'est pas le rôle de l'État.Par exemple, ils ont fait 9470 signalements à Pharos et 5281 aux hébergeurs et plateformes en 2022. Que leur travail soit financé comme il l'est n'est pas idiot, surtout qu'ils font un travail de filtre et d'aiguillage.
En plus, 200 000 € pour un an pour l'État, ce n'est pas cher du tout comme service.
Ça va coûter beaucoup plus cher à Pharos d'augmenter ses effectifs pour trier eux-même les signalements.
Prime Video : la publicité dans les films et séries à partir du 9 avril
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 18h 46
Juste pour savoir, tu étais abonné à Prime pour quoi ?- les livraisons
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- la réponse D
Plan France THD : stupeur et tremblements suite aux coupes budgétaires
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 18h 41
On pourrait peut-être faire des travaux qui apportent les 2 en même temps : l'eau et la fibre.Le 29/02/2024 à 18h 39
Légalement, le gouvernement n'avait comme autre choix que d'augmenter le déficit et ce n'était pas une bonne idée. On pourrait aussi faire comme aux USA : quand on n'a plus d'argent par rapport à ce qui est prévu comme dépenses ou quand le nouveau budget n'est pas voté, on renvoie les fonctionnaires chez eux sans les payer, mais je ne suis pas sûr que tu serais d'accord.
Comme je l'ai dit dans un autre commentaire, le budget était trop optimiste/irréaliste et on a donc prévu trop de dépenses, le vrai problème est là au départ.
Ta comparaison avec Germinal est hors sol !
Le 29/02/2024 à 12h 32
Je ne pense pas que c'était électoraliste, juste trop optimiste.
Ne pas oublier non plus qu'il y a eu un changement de premier ministre qui a pu influer sur la décision.
Mais oui, il aurait mieux valu faire un budget plus réaliste.
Le 29/02/2024 à 12h 04
Le 29/02/2024 à 11h 44
On va avoir ce genre de réactions dans chaque activité touchée par les coupes budgétaires.Le problème initial est que le budget a été voté avec une hypothèse irréaliste d'augmentation du PIB et que celle-ci a été revue à la baisse. Certains disent que ça devrait être encore moins que cette révision.
Vu comme on est endetté et les taux d'emprunts actuels, il n'est pas raisonnable de remplacer les rentrées prévues par un endettement supplémentaire : le paiement des intérêts de la dette va dépasser le budget de l'éducation nationale !
À partir de là, il y a 2 solutions : augmenter les impôts (mais cela ne serait pas pour cette année) ou diminuer les dépenses.
Comme il y a beaucoup de dépenses incompressibles, ce sont ce genre de dépenses qui trinquent.
Sinon, remarque à la marge, il m'est insupportable de lire Drahi disant On est arrivé à leur fait payer un petit peu d’impôt en France, mais c’est des cacahuètes alors que lui même a organisé son groupe afin qu'un grand nombre de sociétés aient leur siège au Luxembourg afin d'éluder lui aussi une trop forte imposition et alors que lui-même est domicilié en Suisse sans doute en raison de l'air pur des montagnes.
Dans l’ombre, l’ANSSI diffuse ses indicateurs de compromission
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 14h 03
Ce n'est pas ça un indicateur de compromission. C'est une trace (adresse IP, signature de malware, etc.) qui laisse fortement supposer qu'un système est compromis.En fait, la question du premier commentateur était pertinente comme indicateur peut aussi avoir le sens auquel tu pensais.
J'ai donc mis le lien vers la page Wikipédia qui est plutôt courte mais qui donne une première définition.
Le mot "marqueurs" utilisé en début d'article est plus explicite mais on a repris le même terme qu'en anglais.
Le 29/02/2024 à 13h 24
un indicateur qui laisse penser qu'un système informatique ou un réseau a pu être compromis ?Sinon, il y a une page Wikipedia qui en dit un peu plus.
Tails est disponible en version 6.0
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 13h 54
Le 29/02/2024 à 11h 51
Le 29/02/2024 à 10h 24
Comment on fait pour déverrouiller la session si le périphérique USB qu'est le clavier est ignoré ?[Màj] Vente des contenus d’Automattic à MidJourney et OpenAI : JetPack non concerné
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 11h 22
Il faut ton accord.
Cela n'entraîne que leur modèle.
Les données sont anonymisées avant l'entraînement.
et Les produits de Microsoft et d'OpenAI (cité juste après) ne sont pas entraînés par ces documents.
C'est différent du commentaire de SebGF qui lui parle de plateformes qui font payer pour l'entraînement des AI sur le contenu disponible chez eux.
Plus de 650 licenciements chez Electronic Arts
29/02/2024
Le 29/02/2024 à 10h 25