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Lesgalapagos

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453 commentaires

Le 16/01/2020 à 08h 57

Argent ! Rendez-nous l’argent !

Le 15/01/2020 à 15h 09

Faire un tour dans une bibliothèque et tomber sur un vieux livre oublié et plein de poussière. C’est plutôt un plaisir dans ce cas là.



Je me rappel alors que j’étais au lycée avoir fait un travail sur Iphigénie de Johann Wolfgang von Goethe. En cherchant l’ouvrage dans la bibliothèque du lycée je suis tombé sur une édition de début du 20ème siècle, quelque chose comme 1912. A cet époque tu devait découper le livret à la première lecture, ce livret n’avait jamais été ouvert. Un livre plein de poussière qui m’a laissé plein de plaisir.



Non, désolé, dans le cas d’une bibliothèque, ce n’est pas pire, c’est largement meilleur. Mais il faut aimer lire pour cela, chacun son truc.

Le 15/01/2020 à 15h 04

Donc, cela n’arrive que chez des gens stupides. Qui défini le niveau de stupidité ? Est-ce que la possession d’un écran de 6 pouces est synonyme de stupidité ? Je n’ai pas trouvé l’analogie dans le dictionnaire.



Traiter des personnes de stupides en se basant sur un critère unique que tu invente et qui ne permet pas de prise en compte d’éléments constituants de la personne est un sophisme génétique, le même type de sophismes que celui où l’on classe le racisme.



Donc, suivant tes critères, ceux qui possèdent des téléphones et pas de télé avec un écran de plus de 50 pouces sont tous stupides… Réfléchi, tu t’es planté quelque part dans ta définition.

Le 15/01/2020 à 14h 56

Doivent payer la redevances les personnes soumisses à la taxe d’habitation et dont le domicile est équipé d’un téléviseur ou de matériels connectés … et permettant la réception de signaux, d’images ou de sons, par voie électromagnétique.



Du coup, j’ai des doutes sur la box même avec un boitier TV.

Le 15/01/2020 à 14h 52

Qu’est-ce donc que “les élitistes” ?



A priori, je classe dans les “sophismes génétiques”.

Le 09/01/2020 à 09h 57

La télé, c’est pas ce truc qui occupe une place énorme et attire la poussière ?

Le 15/01/2020 à 14h 58

Parce que tu penses que répondre par un sophisme est plus intelligent ? Argumentes dans ce cas, fait fonctionner ta boite à raisonner et démontre l’erreur. L’attaque ad hominem n’est pas une réponse valable, sauf par rapport à une autre attaque ad hominem.



Réfléchir n’est pas une option, profites en.

Le 15/01/2020 à 14h 50

La Chine n’a qu’à bien se tenir, Macron devient un plus grand censeur.

Le 03/01/2020 à 11h 31

Parlons sémantique.



Sophisme de l’homme de paille : citer une partie de mes propos, sortis du contexte, pour justifier une réponse qui ne porte pas sur les propos eux même.



Appel d’un fait non démontrable : “la diversité de pensée sur PCI/NXI se réduit… ”



Appel à la victimisation ou sophisme du “tous contre moi”



Fin de la partie sémantique.



Tu dois être plus fort et plus clair dans ce que tu dis. Si tu parle d’endoctrinement, c’est qu’il y a un gourou qui impose une pensée unique. Qui impose cette pensée ? Quel est la pensée qui est ainsi imposée ? Est-ce à toi que cette pensée est imposées ? Personnellement je ne sais pas qui tente de m’imposer quelque chose, mais peut-être fais je partie de ceux qui veulent t’imposer quelque chose.



Qui sont les victimes ? Qu’est-ce qu’être une victime dans ce cas ? Sont-ils des libres penseurs ou simplement des personnes qui affirment l’être mais n’en sont pas ? Es-tu un libre penseur ? Qu’est-ce qu’un libre penseur (pour toi) (est ce dans le courant de pensées fondatrices du mouvement initié par Victor Hugo) ?



N’y aurait-il pas une confusion entre la “libre pensée” et quelque chose comme la zététique ?



Sois sur que je n’ai pas la moindre envie d’imposer quoi que cela soit à qui que cela soit. Mais d’établir des faits précis et qu’ils se peut que ces faits ne soient pas comme on aimerait qu’ils soient (y compris pour moi).


Le 03/01/2020 à 07h 38

En fait on n’appel pas cela des moqueries et plaisanteries, on appel cela un sophisme ad hominem. Et ce sophisme ad hominem répondait à ton post précédant qui était, lui aussi, ponctué par un sophisme ad hominem, ce n’est pas moi qui ait parlé d’avoir la nécessité de répéter 70 fois le même mantra parce qu’il n’y a que toi qui était capable de comprendre. J’assume mon sophisme dans ma réponse précédente.



L’explication sur le lien entre la taxe audio-visuel et l’indemnisation pour diffusion d’une bande sonore me semble toujours capilo-tractée. On peut toujours comparer des taxes entres elles, en cherchant un peu, on devrait même pouvoir comparer avec une taxe sur le retrait des ordures. Il reste que c’est tout aussi lointain. Mais ce n’est que mon avis.

Le 31/12/2019 à 14h 49

Je ne suis pas certain que cela contribue à nous (race humaine) sauver.



Bon réveillon.

Le 31/12/2019 à 11h 20

Dans son deuxième attendu la cours de cassation précise la portée de l’article L214-1 du code de la propriété intellectuel. Celui-ci précise que “Dans tous les autres cas, il incombe aux producteurs desdits programmes de se conformer au droit exclusif des titulaires de droits voisins…” ce qui implique le payement d’une redevance à la Sacem, même pour des musiques libres de droits.



Ceci n’est pas limité à l’usage dans un magasin mais à toutes diffusions (L214-1-2). Cela couvre donc aussi la production d’œuvres, y compris sur YouTube.



La comparaison avec la redevance télévisuel n’a, ici, aucun rapport juridique, pas le même code, pas le même article, quel est donc l’intérêt de tenter la comparaison ?



Si tu as répété le même mantra 70 fois, j’espère que tu es conscient que ton mantra présentait des failles.

Le 31/12/2019 à 11h 05

YouTube n’est pas une société de collecte de droits d’auteurs. Elle réponds aux demandes des dites sociétés, en fonction des différentes législations. Et cela ne doit pas être simple tous les jours. Sans compter que certaines législations ce veulent extra-nationales mais ne sont pas toutes d’accord entre elles.



C’est là où on se dit qu’une législation mondiale sur certains points pourrait faciliter le commerce pour les société internationales. C’est aussi là où l’on se demande si les nations ont, dans un monde future qui va devoir se battre avant tout pour sauver notre planète pour tous, ont encore une réalité.

Le 30/12/2019 à 16h 50

Le danger de cette décision est un de ces corolaires. En effet il semblerait que la Cours de Cassation ait validé qu’il est nécessaire de payer une musique libre si elle est utilisée dans le cadre d’un usage professionnel et qui va permettre de gagner de l’argent. Cela signifie donc, indirectement, que l’utilisation de musique libre de droits sur des vidéos YouTube monétisée par le biais de publicités YouTube ou par le biais de contrats de partenariat est donc, elle aussi, soumises à des droits Sacem.



La mafia Sacem à donc trouvé par cet arrêté de la cour une nouvelle source de revenus.

Le 03/01/2020 à 07h 29

Quant tu imagines que la technologie peut palier aux problèmes humains.

Le 30/12/2019 à 15h 02

Sophisme de l’homme de paille, modifier la réponse citée pour répondre a sa réponse modifiée… Plus simple.



C’est aussi probablement pourquoi tu préfères systématiquement refaire un nouveau message plutôt que de répondre au message juste au dessus.



Ma réponse précédente :

quote:6162863:Lesgalapagos]Heu, du coup ce serait autorisé dans la vie mais interdit de le filmer ? Sur quels fondements juridiques ? Et dans quel mesures ne serait-on pas, là, sur une censure idéologique plus que sur un réel besoin ?[/quote]



La partie modifiée dans ta citation portait donc sur les fondements juridiques d’interdire certaines reproductions d’actes sexuels alors qu’ils resteraient autorisés dans la pratique, et la question est et reste en quoi cette interdiction serait autre chose qu’une censure idéologique plus qu’un réel besoin.



Voilà replacé dans le contexte.



Et, non, il ne s’agit pas de faire des lois généralisées qui ne porte que sur la reproduction vidéo d’un acte somme toute plutôt rare dans la vie au quotidien. C’est bien une loi très spécifique, qui vise une pratique très spécifique, rien de généraliste ici.



Et, je le rappel: dans ta réponse, c’est toi que tu écoutes, pas moi.

Le 18/12/2019 à 19h 08

La réponse “Et sinon tu propose quoi ?” est un sophisme, plutôt un lot de sophismes. D’abord il y a celui de la réponse par la question, qui permet de ne rien dire sur la réponse précédente, ensuite un déport du raisonnement, “si tu n’a rien à proposer c’est que ma réponse est la seule possible et certainement la bonne”.

Le 18/12/2019 à 19h 02

Est-ce parce qu’aucune de tes connaissance ne le fait ou parce qu’aucune de tes connaissances ne te fais suffisamment confiance pour partager cette information avec toi ? Ta réponse est ce que l’on appel un sophisme dit “d’appel à la généralisation”, partir du principe que son cas personnel (“tu ne connais personne” est forcément le cas général “[donc personne ne le fait]” avec un renversement de la charge de la preuve (“et toi”).



Du coup, Mihashi t’a apporté la contradiction, lui en connais trois (ou pas).



Dans tous les cas, mon intervention portait sur l’interdiction de filmer ce que tu ne considère pas comme correcte à filmer sur, encore une fois, ton transferts de ton cas particulier à un cas général.



Du coup, ne serait-on pas, là, sur une censure idéologique plus que sur un réel besoin ?

Le 18/12/2019 à 13h 28

Il est certain qu’il faut protéger les enfants et pré-adolescents d’une exposition prématurée et déformées pour être adaptées aux fantasmes des adultes de la sexualité. Je dirais même plus, déformée pour être adaptée aux fantasmes d’adultes qui recherches des images de sexe pour pratiquer du sexe.



On est, du coup, loin de la réalité des relations d’une grande partie de la population. Et cet accès anticipé à la sexualité va causer des problèmes dans l’appréhension du rôle, du genre, du sexe pour ces gamins.



En effet, comme certains le prônent, il faut aussi de l’éducation, celle des parents pour apprendre à parler à leurs enfants, celle des enfants pour apprendre ce qu’est le sexe (quoique, j’ai des doutes et d’horribles images en écrivant cela). Mais soyons d’accord sur une chose, la pornographie n’est pas un livre scolaire pour cette partie de l’éducation.



La loi ne propose rien d’autre que d’en faire une cause national en 2020. Et vu l’origine de la proposition, je crains l’enrobage moralisateur style “la manif pour eux” dans la mise en place. Du coup, je suis entièrement pour que l’on trouve une solution viable (quelque soit la solution) et absolument contre le fait que Mme Thill puisse être l’exemple du député qui doit s’occuper de ce problème.

Le 18/12/2019 à 13h 21







skankhunt42 a écrit :



Certaines pratique devraient être interdites dans les films porno





Heu, du coup ce serait autorisé dans la vie mais interdit de le filmer ? Sur quels fondements juridiques ? Et dans quel mesures ne serait-on pas, là, sur une censure idéologique plus que sur un réel besoin ?


Le 30/12/2019 à 11h 05

La réponse classique qui pue.



La réponse est simple, s’il n’y a rien à cacher, pourquoi fouiller ? Et si l’on fouille là où il n’y a rien à cache, c’est que certains espèrent bien y trouver ce que nous ne voulons pas cacher.

Le 18/12/2019 à 18h 54

Le biais d’interprétation vient du fait que l’ANSSI ne portera pas plainte, pas qu’il n’y aura pas de plainte. La plainte peut venir de la société dénoncée, d’une saisine directe du procureur ou d’une tierce personne



Celui qui montre le danger semble souvent plus dangereux que le danger lui même.

Le 18/12/2019 à 13h 32

Sauf que, manifestement, c’est ce qui se passe sur certains sites. Suffisamment de sites pour qu’un navigateur relativement utilisé préfère jeter le voile sur une possibilité de calculer ses parts de marchés plutôt que de pénaliser ses utilisateurs au niveau de l’affichage.



Et c’est à notre époque.



Et je suis d’accord sur le fait que cela ne devrait pas être le cas.

Mais c’est le cas…

Le 12/12/2019 à 11h 07

Serais-ce la démonstration que le User agent est passé d’un outil technique permettant de gérer correctement l’affichage des sites à un outil politique permettant de gérer des parts de marchés ?

Le 12/12/2019 à 11h 13

Ce n’est pas parce que c’est la pratique que cela est, pour autant, réjouissant.

Le 10/12/2019 à 11h 19

Comment peut-on se réjouir d’une grave atteintes aux libertés individuelles et à la protection des données personnelles en considérant que, finalement, c’est toujours grave mais moins pire ?

Le 10/12/2019 à 11h 31

Le décret n° 2017-738 du 4 mai 2017 modifie l’article L. 2133-2 du code de la santé publique. Il s’applique aux “…photographies à usage commercial de mannequins … dont l’apparence corporelle a été modifiée”. Il reste à ce demander si un homme politique est considéré comme un mannequin et si sa communication est un message publicitaire.



Cela implique aussi qu’il est parfaitement possible de retoucher une image d’actualité sans avoir à le signaler.



L’objet de ce texte ne concerne donc que les images destinées à faire croire à un avantage corporel en vantant un produit alors que cet avantage est dû à un photochopage.



Du coup, pour l’homme politique, je pense que cela n’entre pas en ligne de compte.

Le 10/12/2019 à 11h 17

Cela ne va pas changer grand chose dans le monde de la Macronie. Déjà que la machine a nettoyer les bavures (appelée IGPN) n’arrive pas à retrouver les policiers non flouté, ou les floutes elle même pour pouvoir ne pas les reconnaître…



Il ferait mieux de proposer la dissolution de l’IGPN et la mise en place d’un outil d’enquête réellement indépendant.



Quand tu confonds tes envies propres et les nécessités de ton pays.

Le 02/12/2019 à 14h 52

RGPD, Article 33.1, ils ont obligation de le déclarer aux autorité responsable pour chaque pays où ils intervenaient, pour le France, c’est la CNIL qui est compétente. Délais de 72h après avoir découvert l’incident.



RGPD, Article 34.1, ils ont obligation de le communiquer à toutes les personnes concernées a partir du moment où “[la fuite) est susceptible d’engendrer un risque élevé pour les droits et libertés d’une personne physique …” . Toutes les personnes concernées devraient déjà être averties.



Ne pas s’y soumettre peut coûter plusieurs millions d’euro.

Le 29/11/2019 à 14h 03







PtiDidi a écrit :



et tu fais comment pour envoyer le mot de passe des serveurs de prod toi? <img data-src=" />







Si tu as besoin de WhatsApp pour envoyer le mot de passe des serveurs de prod, c’est que tu as tellement d’autres problèmes de sécurité à régler que celui d’avoir un compte par administrateur n’a pas encore été traité.


Le 29/11/2019 à 14h 00

Raté.

Le 25/11/2019 à 14h 31

Et rien n’empêche un mineur d’utiliser la carte de ses parents (pas de besoin du code secret) pour y arriver. Rien ne garanti que le SMS du système 3DS et qui arrivera sur le téléphone du parent sera lu par le propriétaire du téléphone. Déjà que, en général, c’est le gamin en question qui aura installé l’ordinateur et le téléphone et qui va possédé les codes d’accès et de récupération.



Il ne faut pas oublier que le publique, ici, est un publique particulier, les “chez moi cela n’arrive jamais” sont justifiés, mais uniquement pour le publique de ce site.

Le 23/11/2019 à 17h 17

C’est un tue twitter que cet possibilité.



Même si je peux comprendre que pour certaines personnes réellement harcelées cela peut sembler une bonne solution. Sauf que pour ces quelques personnes, elles vont malgré tout devoir lire les réponses harcelantes avant de les marquer. Et que rien n’empêche qu’elles soient vue par les harceleurs organisés. Et que l’on ait toujours le même niveau de harceleur. On peut même le voir comme un avantage, les harceleurs n’ayant plus à fouiller les messages vu que ceux qui les intéressent vont être simplement regroupé dans la partie masqué qui reste lisible.



Par contre, pour les comploteurs en tous genres, et ils sont nombreux. Ils vont pouvoir masquer tous ceux qui donnent des arguments gênants et les masquer. On va alors avoir deux publics, ceux qui sont contres, qui sont masqués et qui vont aller voir les réponses masquées qui correspondent à leurs avis et ceux qui sont pour et qui iront voir les réponses non masquées qui correspondent à leurs avis. On aura alors deux débats de personnes en accord les unes avec les autres.



Fin du débat.



Fin de tweeter ?

Le 18/11/2019 à 10h 59

Du coup, par sécurité, Debian recommande de passer sous Chrome ? Non 😯

Le 06/11/2019 à 13h 31

2016 c’est avant le RGPD, il faudrait refaire la demande.



Attention, une société n’est pas en devoir de répondre intégralement à une demande de suppression de données, certaines contraintes légales peuvent forcer la société à conserver des données personnelles même si vous en demander la suppression. Par exemple, si vous faîtes un achat dans une boutique en ligne, le commerçant à l’obligation de conserver les données directement liées à l’achat pour à minima 3 ans (suivant le type d’achat, cela peut être plus long).

Le 06/11/2019 à 11h 30

Cet article 57, c’est juste du grand n’importe quoi. Il est évident qu’une telle base de données avec plein d’informations regroupées va servir à bien d’autre chose qu’à la lute fiscal.



D’ici à ce que l’on se retrouve avec des personnes condamnées parce qu’elle pensait peut-être se rendre à une manifestation qui aurait pu être violente, sans qu’ils n’aient quittés leurs canapés…



Il ne faut empêcher ce type d’agrégat de données, c’est un non sens en matière de libertés individuelles.

Le 06/11/2019 à 09h 03

Ce n’est qu’une illustration de plus que cet individu ne connaît rien aux sujet qu’il entend utiliser pour cultiver la haine dans son électorat.

Le 04/11/2019 à 13h 41

On serait ici plus sur l’application de l’article 2 que du 9. Il prévoit une exception possible des règles pour des cas de : “…à des fins de prévention et de détection des infractions pénales, d’enquêtes et de poursuites en la matière…” . C’est ce qui permet de conserver certains fichiers sur les citoyens sans déclaration et sans avoir de comptes à rendre.



Il reste à savoir si l’on peut considérer un fichier de données biométrique permettant d’entrer dans un lycée comme répondant à l’article 2. J’ai des doutes.

Le 04/11/2019 à 11h 07

Si, si, il y a des contres-parties, un président c’est fait plein de copains riches…

Le 30/10/2019 à 12h 22

La dyslexie se glisse même dans les acronymes…

Le 30/10/2019 à 10h 54

Aie aie aie aie aie aie aie !

Le 30/10/2019 à 10h 12

Lire et comprendre, deux éléments nécessaire à une réponse éclairée.



L’avis de la CNIL fait suite à une AIDP demandée par les DPO des établissements en question. Elle porte sur la gestion d’un traitement de données personnelles biométriques sur un mineur (art 8 et art 9 du RGPD). Au vu du texte, la gestion de ce type de données n’est pas envisageable dans ces conditions.



Il n’y a pas de valeur morale dans cet avis. Le fait que l’on puisse arriver à la finalité du traitement sans avoir à passer par des données biométrique n’est là que pour confirmer que ces données biométrique n’ont pas à être utilisées.

Le 30/10/2019 à 09h 58

Pour remettre cette histoire en perspective. Le mieux est de consulter, sur le site de la CNIL, le pourquoi de cet avis.



La position et la réponse de la CNIL se fait donc entièrement dans le cadre du RGPD et uniquement sur la notion de stockage des données personnelles biométriques d’enfants par les lycées. Ceci intervient après un AIDP déclenchée par les établissements parce qu’ils avaient bien conscience que ce traitement de données était particulièrement impactant.



Il n’y a pas, comme le laisse entendre tous nos “brave politicien” une intervention de la CNIL, mais une réponse à une AIDP normalement déclenchée par le DPO des établissements, conformément au texte du RGPD qui est entré en activité en 2018.



On a donc des politiciens du 20éme siècle confronté à des lois du 21ème siècle. Je comprend qu’ils soient troublés.

Le 30/10/2019 à 09h 49

Rire d’un viol… Est-ce bien sérieux ?

Le 30/10/2019 à 07h 00

Il faudrait déjà arriver à démontrer que, tous les viols dans l’enceinte d’un lycée auraient pu être évité par la reconnaissance facial. Bonne chance.

Le 30/10/2019 à 09h 58

Pour remettre cette histoire en perspective. Le mieux est de consulter, sur le site de la CNIL, le pourquoi de cet avis.



La position et la réponse de la CNIL se fait donc entièrement dans le cadre du RGPD et uniquement sur la notion de stockage des données personnelles biométriques d’enfants par les lycées. Ceci intervient après un AIDP déclenchée par les établissements parce qu’ils avaient bien conscience que ce traitement de données était particulièrement impactant.



Il n’y a pas, comme le laisse entendre tous nos “brave politicien” une intervention de la CNIL, mais une réponse à une AIDP normalement déclenchée par le DPO des établissements, conformément au texte du RGPD qui est entré en activité en 2018.



On a donc des politiciens du 20éme siècle confronté à des lois du 21ème siècle. Je comprend qu’ils soient troublés.

Le 28/10/2019 à 13h 19

Après, que l’on reste bien clair sur mes préférences. Je suis abonné à 4 revues généralistes et professionnelles, directement, sans google, et j’utilise framanews (et je suis donateur) pour syndiquer les flux RSS.



Il est possible de maintenir une presse de qualité, il faut juste payer pour cela.



Pour tout ce qui est gratuit, c’est vous qui êtes le produit.

Le 28/10/2019 à 13h 15

Il faut prendre deux choses en compte, il est possible d’indexer le titre d’un article, de base, sans la description ou le premier paragraphe et la photo qui va servir d’appel sur certains article. L’indexation est beaucoup moins précise.



Il faut aussi prendre en compte qui va en souffrir ? Est-ce le moteur pour qui une partie de son indexation sera moins précise ou est-ce l’éditeur qui, parce que moins bien indexé et moins sexy sur l’affichage du moteur verra son trafic, et donc ses revenus, largement diminués ?



Il est aussi important de ce rappeler que, ce droit a été inventé pour compensé le fait qu’une partie des “clients potentiels” se contentaient de lire sur google le titre, la description et de voir l’image sans aller sur le site de l’éditeur. D’où l’indemnité demandée. Si le moteur n’affiche plus que le titre, cela devrait automatiquement augmenter la fréquentation du site de l’éditeur. Si ce n’est pas le cas, pourquoi y aurait-il une indemnisation pour la perte de quelque chose qui n’est pas spolié ?



La réaction des éditeurs, qui, dans leur majorité, on décidés d’accorder gratuitement à google le droit d’afficher toutes les informations est la démonstration que l’indemnisation n’est pas justifiée.

Le 28/10/2019 à 11h 18

Le fait est que Google a démontré un changement de pragmatisme.



La loi s’appuie sur le fait que google à besoin de la presse pour exister, google vient de démontrer que c’est la presse qui a besoin de google pour exister.



Faire une loi respectant cet état de fait pour que google, qui est nécessaire à la presse, soit contraint de payer alors que cela ne lui rapporte rien me semble un peu illusoire.



Après, ce n’est pas comme si nos hommes politiques avaient été prévenu, avant.

Le 26/10/2019 à 16h 36

Une parfaite illustration de l’anarchie qui existe dans le monde des plateformes de streaming, surtout autour des films et feuilletons.



Une industrie qu’il est urgent de réglementer en mettant le consommateurs, nous, au centre des besoins.