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Sans intérêt

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875 commentaires

Le 23/11/2016 à 10h 20







GvLustig a écrit :



Ton expérience est assez… surprenante. Il y a pas un abus de prendre un rendez-vous pour toi, comme ça? L’employeur était au courant au moins?&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;



Ecoute, je préfère ne pas me mettre en porte à faux avec Terminator !&nbsp;<img data-src=" />



En fait, Google repère les deux principaux endroits où tu passes tes journées et affecte “domicile” pour l’un, “travail” pour l’autre.



Plaisanteries de côté, oui, c’est effrayant.


Le 22/11/2016 à 17h 16







GvLustig a écrit :



Quelle m$*#!//e quand même ! Je vais tout virer (j’ai horreur de ça, les POI en cas de besoin me suffisent).

La suppression est définitive même pour google?





Je n’ai pas lu les CGU, mais elle semble bel et bien définitive, y compris pour Google (sauf dans d’éventuelles sauvegardes internes ?)



En effet, lorsque j’édite ou que j’efface mon historique YouTube, par exemple, les vidéos suggérées changent en conséquence. C’est pratique avec le lancement automatique, lorsque tu as le malheur de tomber sur un “top 10”, par exemple, qui enchaîne sur un “top 5”, qui enchaîne sur une autre vidéo à la con et qui pourrit ton historique au point de rendre les suggestions insupportables.



Maintenant, autant cela est agaçant de se voir espionné à tout instant, cela permet aussi de bénéficier des avantages qui y sont liés.



Ainsi, grâce à l’historique des positions, puisque nous en parlions, Google repère — tout seul — ton domicile et ton boulot, et même les horaires de travail, te suggérant de partir pour arriver à l’heure. (Cela fonctionne de même avec tes rendez-vous, pour peu que tu indiques les adresses dans ton agenda.)



Certes, il y a des couacs. Ainsi, une fois, Google m’avait trouvé… un nouvel emploi. Tout seul. Comme ça. De sa propre initiative. Sans me consulter. Et sans m’en informer. YOLO. Comment l’ai-je su ? Google m’a invité à partir de suite en m’envoyant une alerte sur mon téléphone !



Nous voici dans le futur. Un futur où les machines prennent le pouvoir. Voire l’ont déjà pris. Nous laissant vivre dans l’illusion du contraire.&nbsp;<img data-src=" />


Le 22/11/2016 à 14h 38







GvLustig a écrit :



Moi qui viens de m’appercevoir que sur mon téléphone pro, tous mes trajets sont enregistrés sur google maps avec les photos prises et envoyées sur le compte (mauvaise manip de ma part)… ça fait peur. Bonjour le traçage, pas besoin de puce pour me suivre




Comment cela fonctionne? Google utilise t'il des applications "fantômes" sur les android pour les flux de personnes? (genre le nombre d'android dans tel magasin en direct pour évaluer la masse de monde?)







Tu peux désactiver ces fonctionnalités, activées par défaut, que ce soit de manière globale, en interdisant la “synchronisation” de ton compte Google complet, soit de manière particulière, pour chaque service séparément, au moyen de la page Commandes relatives à l’activité. Tu peux ainsi désactiver l’historique des positions, voire même effacer certaines positions particulières. Pour l’anecdote, sache que si tu utilises Google Now, tes requêtes audio sont enregistrées et leur historique disponible (et écoutable !), éditable, et désactivable.


Le 22/11/2016 à 14h 30

Ne serait-il pas pertinent d’augmenter et de sanctionner les contrôles dans les centres d’appels ?



Faire reconnaître une maladie professionnelle est une bonne chose, s’il y a un lien de causalité. Toutefois, ne serait-il pas mieux de protéger avant tout la santé des salariés ?



Plutôt que de faire assumer les conséquences des manquements de certaines entreprises à l’ensemble de la collectivité, n’est-il pas plus pertinent de responsabiliser les entreprises concernées, notamment en augmentant les contrôles de la médecine du travail, ou encore, faire assumer financièrement ce préjudice, dissuadant les récidivistes par des sanctions financières, voire pénales ? (Ne s’agit-il pas d’une mise en danger d’autrui ?)

Le 22/11/2016 à 06h 14







J@ckHerror a écrit :



Je me suis dis la même chose ! surtout qu’on a essayé de nous faire croire que c’était un newby de 12 ans qui aurait loué le botnet pour mettre une claque au PSN contre qui il avait quelques rancoeures &nbsp;!!!

Je trouve plus de crédit à ta suppositions qu’au gamin de 12 ans* &nbsp;[…]





Quitte à émettre des hypothèses, citons celle, sans doute plus sérieuse, de&nbsp;Bruce Schneier, qui envisage l’idée de services gouvernementaux cherchant à apprendre à éteindre Internet.


Le 22/11/2016 à 04h 20







john san a écrit :



Tu as regardé trop de films de complots. Je te rejoins complètement !





C’est la faute à John Shaft qui m’a ouvert les yeux sur tous ces complotistes !


Le 21/11/2016 à 15h 57

On dirait que la récente attaque contre Dyn a eu lieu durant les dernières négociations de rachat, non ? Du coup, existe-t-il un lien entre les deux ? Après tout, Oracle se félicite de propulser plusieurs milliards d’objets connectés, ceux-là même qui auraient causé la disparition de Dyn des radars lors de l’attaque ?

Le 20/11/2016 à 19h 25

Non, ce n’est pas le cas de tous les APN des smartphones. Les miens, sous Android 5, ne le font pas. Cela dépend de l’application appareil photo du téléphone, que bon nombre de constructeurs remplacent par la leur, aux fonctionnalités variées, en plus ou en moins par rapport à celles de l’application de base fournie par Google.

Le 18/11/2016 à 09h 19

Cette étonnante impression que cela prend autant de temps et d’effort de scanner un QR Code dans Twitter que de… taper le pseudo à suivre ?

Le 17/11/2016 à 23h 10







CreaYouz a écrit :



Bon moi j’ai une vieille ligne free loin du nra avec un débit de merde. Et pas de fibre avant plusieurs années… Et j’ai eu la fibre avant que je me casse de Paris alors j’y ai goûté longtemps…&nbsp;





Si jamais tu as une antenne 4G dans les environs (à la campagne, hum… rêvons !), le forfait mobile Free de 50 Go/mois est envisageable pour un usage d’appoint. Déjà, cela permet de télécharger Titanfall. Certes, pour les màj, il faut attendre le mois suivant. ;-)


Le 17/11/2016 à 23h 05







Kurton a écrit :



Au final, je reste malgré tout perplexe sur le switch entre 100 et 400 Mbps, sachant que l’upload reste le même. A moins d’être très gros consommateurs de produits téléchargés (séries, films, etc.), je ne suis pas sûr que la différence de coût apporte un réel changement de comportement consommateur. Mais bon, je peux également comprendre que ceux qui peuvent l’avoir et se le permettre se laissent séduire. :)





Cette année, je suis passé de l’ADSL 19 Mbps (UL/DL) au FTTLA 10100, puis au FTTH 100100. Je n’ai pas goûté à plus. Toutefois, je constate que :





  • L’ADSL 19 Mbps (UL/DL) est limite pour un joueur, que cela soit pour mettre à jour les jeux que pour jouer. Lorsque la famille compte plusieurs ordis de gamers, dont des jeux en réseau, et fans de vidéos, cela est tout simplement catastrophique. S’il s’agit de mettre en ligne des vidéos, que ce soit en direct (Twitch) ou en différé (YouTube), il faut être motivé. L’ADSL n’est plus adaptée à certains profils d’usage familiaux qui me semblent courants.

  • Le FTTLA 10100 Mbps (UL/DL) a accéléré les mises-à-jour logicielles au point où elles n’étaient plus gênantes. De plus, j’ai commencé à mettre en ligne des vidéos, y compris sur Twitter. L’UL de vidéos était devenu envisageable, bien que long.

  • Le FTTH 100100 Mbps (UL/DL) m’a incité à mettre plus de vidéos, sur un coup de tête, sans me sentir limité par le temps de téléchargement. De plus, certains logiciels SaaS profitent grandement de l’UL. Je m’amuse avec la 3D, et “mlon” logiciel téléverse dans le “cloud” les fichiers à la moindre sauvegarde, dont des fichiers très, très volumineux.



    J’ai l’impression que le cap actuel est de 100 Mbps en DL pour un usage en tant que consommateur d’Internet. Pour la production de contenus, 10 Mbps en UL est limité, mais exploitable. 100 Mbps, c’est vraiment agréable.



    Et plus ?



    Personnellement, si j’avais 1000 Mbps en UL/DL, je modifierais encore mon usage pour privilégier la sauvegarde systématique dans le “cloud” (de préférence sur son propre serveur). Actuellement, on use et on abuse du “cloud” sans s’en rendre, dès le moment où l’on prend une photo avec son smartphone. Avec 1000 Mbps, on peut envisager d’avoir un disque réseau… distant. Et “cloud” oblige, ne plus se soucier de l’espace de stockage (sauf pour gérer la facture, hum…)



    Pour en revenir aux jeux vidéo, un usage courant, avec un débit de 100 à 1000 Mbps, on peut envisager le jeu dans le cloud, où l’on n’achète plus de console ou d’ordinateur pour jouer, mais on se sert du téléviseur comme terminal : le jeu tourne sur un serveur distant. Et un nouveau business débarque : la location d’un jeu vidéo de l’heure. Ou au forfait. Certaines entreprises y travaillent. Les constructeurs de consoles l’avaient promis. Cependant, faute d’un Internet véritablement THD, elles ont du mal à percer.



    Bref, la disponibilité ouvre accès à des usages encore rares, voire inédits.


Le 17/11/2016 à 17h 48







Charly32 a écrit :



&nbsp;Je ne vois pas spécialement où est la problème face à cette approche : tu en veux plus, tu payes plus, logique non? Je serai curieux de savoir quelle est la proportion de clients qui a un réel besoin (je ne parle ni de l’iNpactien,&nbsp; ni d’attendre 30 min au lieu de 2h pour installer&nbsp; son JV Steam 1 fois par mois) de 40050 quand il a déjà accès au 10050.&nbsp;





En fait, les joueurs sont très friands de bandes passantes importantes. On peut discuter de l’intérêt d’une offre à 40050 Mbps (DL/UL) par rapport à du 10010, mais face à une ADSL à 201, c’est le jour et la nuit. Les jeux vidéo “AAA” sont de plus en plus gourmands en termes de bande passante, et de plus en plus de jeux vidéo intègrent des téléchargements réguliers et de gros volume. L’ADSL devient pénalisante, surtout lorsque le jeu (en réseau) refuse de se lancer sans cette mise-à-jour.


Le 17/11/2016 à 16h 04

Depuis que j’ai goûté au FTTH à 100 Mbps en UL/DL, ma consommation d’Internet a changé : j’envoie beaucoup plus de données, dont vidéos, ce que je n’osais pas faire avec un UL de 1 Mbps (ADSL) ou 10 Mbps (FTTLA).



Une chose que j’avais appréciée chez SFR, c’était la qualité de son réseau. Certes, à l’époque, je ne disposais que du FTTLA de 10100 Mbps (UL/DL). Bref, ça vaut le coup de monter à 50400 Mbps, surtout pour l’UL supérieur (le DL dépend beaucoup des divers services).

Le 17/11/2016 à 16h 50







bobdu87 a écrit :



Comme bien souvent en france avec ce qui touche à l’informatique, les réactions arrivent 10 ans trop tard et sont trop mole… Je doute que cette mesurette donne envie à ubisoft Montréal de revenir en france…





En effet, dommage que cela arrive si tard. Et que cela ne soit encore qu’à l’état d’amendement. Ceci dit, il y a pas mal de subventions dont profitent les studios français, qu’ils soient petits (chômage perçu au lancement d’une entreprise) ou grands (divers crédits d’impôt).


Le 16/11/2016 à 21h 42

YouTube a-t-il été condamné pour avoir hébergé les vidéos ? Que sont devenues ces vidéos ? Sont-elles toujours accessibles ? Qu’en est-il des auteurs de ces vidéos ? Ont-ils été inquiétés ?

Le 15/11/2016 à 20h 31







Lodd a écrit :



Ils font déjà l’analyse des dépenses ne serait-ce que lorsqu’on leur demande un prêt…





À ceci près que désormais, ils le feront même sans prêt, et pour des sommes dérisoires, le tout en vue de t’envoyer t’expliquer au commissariat en cas de doute sur une somme insignifiante, sur la base de fantasmes paranoïaques.



Dans le domaine de prêts, immobiliers, ou à la consommation, où l’on en fait par millions, il y a des données de remboursement ou de non remboursement par camions entiers. On peut y trouver des paramètres évidents ou des “signaux faibles” pertinents pour savoir si l’on peut faire un prêt à un client, qu’il l’utilisera suivant le contrat, et qu’il le remboursera, ou non, et ainsi définir le taux et les remboursements mensuels optimaux.



Dans le domaine du terrorisme, on parle de cas particuliers, voire uniques. Imaginer que l’on puisse repérer des terroristes par l’analyse de leurs mouvements financiers supérieurs à 100 €, c’est un fantasme. Imaginer qu’une poignée de terroristes justifie l’analyse financière de dizaines de millions d’individus, c’est de la paranoïa.



C’est d’autant plus absurde que les services de renseignements avaient déjà fiché ou soupçonné l’ensemble des terroristes impliqués dans les récentes attaques, et que par conséquent, ce n’est pas l’information qui manque, mais les moyens d’enquête — humains ! — pour analyser, corroborer, et si besoin arrêter les individus dangereux.



Il y a une disproportion manifeste entre le but recherché et les moyens mis en oeuvre, le tout empiétant gravement sur la vie privée, une liberté fondamentale, de dizaines de millions de gens honnêtes.


Le 14/11/2016 à 18h 08







carbier a écrit :



Cela se fait depuis bien longtemps maintenant: TRACFIN cela te dit quelque chose ?

Ils étendent juste le principe aux monnaies électroniques et aux intermédiaires de celles ci.



Sérieusement on a l’impression que dès qu’un article sur ce type de sujet parait sur NXi c’est la fin du monde dans 3 jours <img data-src=" />





Oui, je connais bien TRACFIN pour avoir eu à faire avec la cellule dédiée de ma banque. J’avais pourtant prévenu mon conseiller du montant et de sa source, mais il fallait que d’autres yeux examinent mon compte bancaire. Et oui, c’est gênant de constater sa vie passée au crible. D’autant plus que cela concerne désormais des montants ridicules.



La fin du monde dans trois jours ? Non. Mais la fin de la vie privée, on y arrive à grands pas. Et c’est regrettable. D’autant plus que les montants sont totalement ridicules, impliquant une surveillance de masse de fait par des acteurs privés que sont les banques, avec tout ce que cela implique comme sous-traitance, fuites et autres abus.


Le 14/11/2016 à 15h 54

Aïe. Vu que l’essentiel, sinon la totalité, de nos échanges monétaires sont électroniques, les banques vont donc passer au crible toutes nos dépenses. Quand on écoute certains politiques qui veulent analyser en détail l’emploi des aides sociales, on se dit qu’une fois les élections présidentielles passées, les vannes seront ouvertes pour l’interconnexion de tous les fichiers, sans même prétexter le terrorisme.

Le 15/11/2016 à 07h 42

Très bonne nouvelle. Et on espère maintenant la version Linux.

Le 15/11/2016 à 02h 28







ArchangeBlandin a écrit :



J’ai du mal avec les NAS avec plein de baies et une sortie HDMI, ils ont prévu que tu regardes le film à fond pour couvrir le ronronnement des disques durs ?





Ca me fait penser à une solution de centralisation de télésurveillance connectée directement à un écran de contrôle.



Une autre utilisation qui me vient à l’esprit, c’est le cinéma, que ce soit en lien avec le projecteur (cinémas de quartier ?) ou dans la salle d’attente (projections de bandes annonces).


Le 14/11/2016 à 15h 58







nick_t a écrit :



Tu as raison mais je me limite au technique, sorry

Je vois bien une nouvelle étiquette sur les barquettes de steaks “Abattage éthique”, on tue propre.

<img data-src=" />



oh wait

http://www.l214.com/enquetes/2016/abattoir-made-in-france/mauleon/imgs/logo-enqu…

https://visuels.l214.com/logos/L214/logo-L214-fond-blanc-contour-orange.png





À force, on va peut-être finir végétariens ? Outre la souffrance animale que cela réduirait (mais alors, que faire des vaches laitières en fin de vie ? faudrait-il devenir végétalien, du coup ?), cela éviterait des soucis sociétaux (liés aux idéologies politiques ou religieuses)…


Le 14/11/2016 à 15h 41







nick_t a écrit :



Les caméras ne sont que des yeux, il y de l’intelligence derrière.

C’est un vieux sujet et la techno avance vite



lemonde.fr Le Monde





Certes, la technologie avance, mais encore faudrait-il appliquer cette technologie non à la délinquance de la rue, mais… au fait de savoir si une vache est pleine ou malade, ou encore si elle est assommée ou non au moment de sa mise à mort. À ma connaissance, cela n’existe pas. Et pour que cela existe, il faut travailler sur le sujet. Et donc rémunérer les &nbsp;gens qui font ça. Et encore une fois, on rentre dans le sujet des coûts. Qui va payer tout ça ? À un moment ou un autre, il faudra installer la caméra, la maintenir, vérifier les images, que ce soit par un être humain ou un logiciel, et agir en conséquence.



Soit ce coût est absorbé par les établissements d’abattage, ce qui va mettre en colère toute la filière, avec ce que cela implique comme réactions extrémistes. Soit ce coût est absorbé par la collectivité, ce qui va mettre à mal ses finances dans un climat de promesses de baisses d’impôts, que l’on financera par une baisse des fonctionnaires, alors que l’humain est plus efficace que la machine, à coût égal, dans le domaine de la télé-surveillance.



Au-delà de ce cas, on est en droit de se demander si la bonne réponse à tous les maux est de placer des caméras partout. La réponse “télé-surveillance” tend à prendre pour synonyme “je n’ai pas de solution pertinente à proposer, mais je fais comme si”.


Le 14/11/2016 à 14h 58

Puisque ce “contrôle vidéo” n’est pas un “outil de surveillance des salariés”, on vérifiera en toute logique que les animaux &nbsp;s’assomment eux-mêmes, et qu’ils s’égorgeront, assommés, tout seuls ?



Je propose l’installation de “contrôle vidéo” dans tous les lieux où Olivier Falorni se déplace. Non pour le surveiller en tant qu’élu, mais en guise de&nbsp;“vidéo-surveillance”, mais dans le but exclusif de s’assurer qu’aucune malversation n’a lieu.



La vidéo-surveillance est une sacrée source de néologismes dans la novlangue politique.



On est en droit de se demander en quoi la vidéo-surveillance pourra être efficace. J’imagine mal un contrôle où un mois d’images est visionné : il faudrait que le contrôleur y passe… un mois. Ou une partie de ce mois, du moins, pour une vision en accéléré. A-t-on prévu d’ajouter un budget aux contrôles ? Car soit le contrôleur passera du temps de contrôle à vérifier le site, soit il regardera les vidéos. Ou bien alors &nbsp;les images serviront de preuve si le contrôleur constate des manquements. Mais alors, s’il a constaté des manquements, à quoi sert la vidéo ?



Oh, je sais : s’indigner lorsque ces images fuiteront dans la presse ! Allez :



« Il est des situations d’injustice face auxquelles le silence est synonyme de lâcheté, l’inaction synonyme d’intolérables complicités. »



Maintenant que c’est fait, rappelons au député que suite à l’installation de la vidéo-surveillance (pardon, “vidéo-sécurité” !) dans les rues, le taux de délinquance ou de criminalité ne baisse pas dans ces mêmes rues. Et leur taux d’élucidation est inférieur, à budget identique, aux moyens humains. Certes, les caméras semblent plus efficaces à l’intérieur plutôt qu’à l’extérieur. Encore faudrait-il les visionner. Donc financer leur usage, leur maintenance et… leur installation !

Le 14/11/2016 à 15h 31







jackjack2 a écrit :



Par contre dans 6 mois quand on aura pris l’habitude, aucun problème repasse nous voir…





&nbsp;Il est probable qu’il faille attendre les résultats des élections présidentielles pour l’extension du champ de compétences du blocage. Quel que soit le candidat élu, il expliquera qu’il ne fait qu’appliquer le programme que les Français ont choisi démocratiquement, le tout pour la sécurité de tous.


Le 12/11/2016 à 22h 19

Siri aurait déjà laissé au moins un type entrer chez son voisin, alors bon, pourquoi pas vider son compte en banque. Une suite logique, non ?&nbsp;<img data-src=" />

Le 10/11/2016 à 21h 03

La vidéo promotionnelle indique des trajets étonnamment longs par rapport à l’estimation d’itinéraire proposée par Google Maps :





  • à pieds : 47h13 selon la publicité d’Hyperloop One System, contre 36 heures selon Google Maps ;

  • en bus : 3h05 contre 1h30 ou 1h50.



    Les autres trajets manquent à Google Maps pour faire une comparaison.

Le 10/11/2016 à 17h 44







EricB a écrit :



Un tout autre exemple: le train. Avec les prix flottants, il n y a même plus de prix normal pour un trajet donné. Plutôt que d avoir un jour un billet prems à 20€ et un autre jour à 80€, je crois que la majorité des gens préférerais devoir payer toujours 50€ comme ds les années 90. Quoique vu le peu de prems, le prix moyen doit plutôt tourner à 75€…&nbsp;





La segmentation (artificielle) du marché permet de toucher le prix maximum de la part de chaque client, tout en évitant la vente à la tête du client… interdite.


Le 10/11/2016 à 16h 55







PtiDidi a écrit :



Comment ca tu ne sais pas ce que tu vas payer le mois suivant?

À moins de payer au volume ou un surplus en cas de dépassement de seuil de débit, je vois mal <img data-src=" />





J’ai débarqué chez RED by SFR à l’occasion d’une promotion, à la fin du printemps. Depuis, ils ont ajouté SFR Presse. Ensuite, ils ont facturé, en plus, la location de la box. J’ai alors résilié mon abonnement, espérant avoir plus de stabilité chez Orange Fibre.



Là encore, une promotion, mais semble-t-il limitée à une période très, très courte. Puis remboursement forfaitaire de frais de résiliation, et promotion liée au changement d’opérateur. Le tout pris en compte sur des factures différentes, de manière ponctuelle, étalée, ou limitée dans le temps.



Au final, que ce soit chez SFR ou chez Orange, j’ai des factures aux montants variables pour un service constant.



J’ai abandonné l’idée de chercher combien je vais la payer mon Internet le mois prochain. Il y a désormais des journalistes d’investigation pour cela.


Le 10/11/2016 à 15h 50



Je pense que tu vis dans un autre monde ^^&nbsp;

&nbsp;

Dans mon monde, je viens de recevoir une facture Orange pour de la FTTH d’un montant de -27,01 €. Oui, une facture négative, l’opérateur me devant désormais de l’argent. Et ce n’est pas ma seule facture surprenante. Je me demande si j’ai reçu deux fois une facture de même montant ces six derniers mois, malgré l’absence de consommations variables.

Le 10/11/2016 à 15h 22

“Mais encore maintenant, SFR continue par exemple de séparer le tarif de la location de sa box du montant mis en avant dans ses tableaux, alors qu’elle est imposée aux clients, sans possibilité d’opter pour une autre solution. Un élément introduit un peu avant l’été.”

&nbsp;

J’ai rencontré un cas similaire chez Orange : j’ai explicitement cherché à acheter le modem, plutôt que de le louer. Le site web de l’opérateur proposait alors de joindre un téléconseiller. Or, celui-ci m’avait expliqué que l’achat est impossible pour un abonnement FTTH.



Les FAI semblent à tel point multiplier et complexifier leurs offres, dont promotions ponctuelles ou permanentes, qu’ils ne savent plus où ils en sont.



Depuis six mois, je suis incapable d’anticiper d’un mois à l’autre le montant de ma prochaine facture de FAI, alors que j’étais convaincu, en étudiant les offres, ou en en parlant avec le commercial, d’avoir opté pour un forfait de montant fixe.



Parfois, on se demande si la création des nouveaux catalogues, dont marketing et facturation, ne représente pas l’essentiel du coût d’un abonnement.

Le 10/11/2016 à 17h 13







steinfield a écrit :



Le truc, c’est que l’innovation c’est bien, mais encore faut-il que ca soit ce que veulent les consommateurs. […]



Ca se discute. Ford aurait déclaré que “si j’avais demandé aux gens ce qu’ils voulaient, ils auraient dit des chevaux plus rapides.”



L’innovation, de rupture qui plus est, est un risque, car elle surprend les consommateurs. Des fois, l’innovation réussit à Nintendo (Wii, Game Boy, DS, 3DS…) ; d’autres fois, c’est un échec (Virtual Boy, 64DD, Wii U…)


Le 10/11/2016 à 17h 04







jojofoufou a écrit :



Innovante sur la manière de consommer le jeu, mais ça me parait être la console conçue par Nintedo la plus pauvre en terme d’innovation apportée au gameplay.





Cela ne fait-il pas partie de l’innovation de gameplay, que de pouvoir jouer chez soi, en voyage, ou à plusieurs sur à la fois la même console et la console voisine, comme le suggère la vidéo d’annonce, le tout avec des joypads aux formes, voire fonctions, multiples ?



En matière de gameplay, c’est sans doute la Super NES qui a eu le moins d’innovations. A contrario, pour sa grande soeur, la NES, Nintendo avait fabriqué des accessoires externes, dont un robot connecté et un pistolet lumineux, ou encore&nbsp;un gant tactile.


Le 10/11/2016 à 15h 44

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Nintendo innove, et sort des sentiers battus. Sortir du chemin, c’est prendre un risque, mais c’est aussi le seul moyen de créer une technologie de rupture permettant de bouleverser un marché.



Ainsi, des trois constructeurs de consoles, Nintendo est le seul à proposer une console radicalement nouvelle, alors que ses deux concurrents se contentent d’itérations de l’existant. Certes, Nintendo est aujourd’hui contraint de sortir une console originale, la précédente mouture ayant connu un échec. Mais Nintendo l’avait aussi fait pour la Wii U après le succès (phénoménal) de la Wii, ou de la Wii après le succès (certes, moindre) de la GameCube.

Le 10/11/2016 à 15h 12

On peut légitimement se demander comment Google pourra distinguer les “Repeat Offenders” piratés des “Repeat Offenders”&nbsp;malveillants. C’est un coup du bon et du mauvais chasseur.



Pour avoir travaillé dans le domaine du référencement et vu des pratiques de “Negative SEO” retors (dont piratages informatiques), je n’ai nul doute que ce système sera abusé, et que des victimes verront leur business ruiné. Espérons au moins que le bilan restera tout de même positif.

Le 09/11/2016 à 11h 00







Pictou a écrit :



Avant de conclure qu’il s’agit d’un produit type DLC, ça serait bien qu’on ait des éléments qui soutiennent cette hypothèse et qui en éliminent d’autres. Car pour l’instant, tout ce que l’on sait&nbsp;c’est qu’il a de la “perte de puissance dans un petit nombre de cas”.





L’assurance-qualité ne fait-elle pas partie d’un processus de fabrication habituel ? N’est-ce pas à celle-ci d’éviter tout défaut de fonctionnement ?



Plutôt que de parler de “DLC”, on devrait plutôt parler de “patch”. Et oui, la tendance, surtout avec le développement de méthodes “agiles”, semble être de délocaliser l’assurance-qualité… chez le client.


Le 08/11/2016 à 14h 51

Je ne comprends pas bien : les mairies achètent des machines à voter qui comprennent un vice caché fondamental rencontré aussi dans la pratique, les rendant inexploitables, et ce n’est pas aux fabricants de les reprendre ? Quant à la maintenance, comment des contrats peuvent-ils se produire et des services facturés… en l’absence de contrepartie ? Ne s’agit-il pas d’un enrichissement sans cause que la loi interdit ?



Si je comprends bien l’intérêt de ce fonds, les mairies ont inscrit dans leurs comptes les machines comme des actifs, avec une valeur, bien qu’elles n’aient aucun intérêt, donc désormais aucune valeur. Et ce député propose un tour de passe-passe comptable pour ne pas plomber les comptes, déjà manifestement faux, afin que l’opposition ne puisse pas parler de déficit lors de la prochaine campagne ?

Le 07/11/2016 à 22h 37

Bon anniversaire ! Cela fait plaisir de participer, en tant qu’abonné, certes, très modestement, à un titre de presse de qualité qu’est Next INpact.

Le 07/11/2016 à 14h 02

Quelqu’un saurait-t-il me dire sur quelle période s’étalent les 60.000 emails ? Le volume laisse entendre que l’essentiel de ces messages n’ont pas été lus par l’intéressée. Mais du coup, qui a accès à ces emails ? Qu’en est-il des assistants de l’ancienne Secrétaire d’État ?



Au-delà des informations contenues dans les emails, l’analyse des méta données risque d’être intéressante. Ainsi, connaître la propagation des messages, la chaîne de commandement d’un gouvernement, le temps de réaction, identifier les influances et les influenceurs des décideurs, les lieux et les horaires des interventions, peuvent être encore plus intéressants que le contenu des messages, en particulier compte tenu de l’avenir probable de Mme Clinton.

Le 04/11/2016 à 21h 56

Rassurant de voir un éditeur constatant que les joueurs jouent sur le long terme, et qu’ils reviennent d’autant plus nombreux à leurs anciens titres lorsque la maintenance est assurée.



Mais du coup, les DLC, voire les abonnements, risquent de devenir plus fréquents sur les titres à venir. Il est sans doute plus facile de capter un joueur ayant déjà installé le jeu que d’en acquérir un tout nouveau. Est-ce que cela signifie qu’il sera d’autant plus difficile de financer des jeux originaux, les jeux déjà sortis étant plus sûrs et plus rentables ?



Les jeux vidéo, à l’instar de l’informatique dans son ensemble, semblent s’orienter vers un modèle itératif, où le produit sort parfois non fini, et que l’éditeur améliore au fur et à mesure de sa vie, désormais longue. Même le marché du hardware, avec les nouvelles itérations des PS4 et XBO, semblent avoir emprunté cette voie. À suivre…

Le 04/11/2016 à 18h 15







OlivierJ a écrit :



Est-ce que tu penses que ça marcherait en double aveugle (si on peut dire ;-) ) ce test ?

Est-ce que l’expérience est “toutes choses égales par ailleurs” (même scène exacte, même écran, même niveau de détail du jeu, etc.) ?&nbsp;





Je pense que oui, que je saurais faire la différence. Etant joueur et développeur (certes, pas toujours de jeux vidéo) depuis 30 ans, j’y suis sensible.

&nbsp;

Le problème des jeux vidéo, c’est l’effet stroboscope : il suffit de bouger la vue rapidement pour voir les bords fort contrastés ressortir nets. Avec un flou de mouvement réaliste, ce serait moins visible. Voire invisible.



Certes, je n’ai pas testé… en double aveugle.





OlivierJ a écrit :



Est-ce que la VR ne demande pas ce taux élevé car finalement c’est divisé entre chaque oeil ?





La télévision 3D, ou encore 3D Vision de Nvidia réclament 120 Hz pour cacher un oeil sur deux, afin que chacun voie 60 images par seconde sur un même écran.



Les casques de VR disposent d’un affichage dédié pour chaque oeil. Soit il s’agit de deux écrans, soit d’un même écran partagé en deux. Le souci de la nausée est lié à l’écart qu’il y a entre nos sens, comme celui du toucher et de l’équilibre. Et donc, à 60 ips, soit un décalage de l’ordre de 16 ms d’écart, c’est a priori déjà trop, pour de nombreuses personnes.



Et puis… comme le dit l’adage, “qui peut le plus peut le moins” ? ;-)


Le 04/11/2016 à 14h 11







OlivierJ a écrit :



Sinon, 60 ims ça me paraît déjà suffisant (on n’est pas déjà au-delà la limite de la perception), sachant qu’au cinéma on a 24 ims.&nbsp;



60 images par seconde est correct, mais, pour avoir essayé des jeux vidéo, je fais la différence entre 60 et 90 images par seconde “à l’oeil nu”. Monter la fréquence permet de limiter l’effet stroboscopique de nombreux jeux, qui ne gèrent pas, contrairement au cinéma, de “flou de mouvement” (lié au temps d’exposition). Et ceux qui le font le font maladroitement (souvent, par réutilisation de l’image précédente, affichée par dessus, déformée ou non).



En matière de VR, monter en fréquence permet de limiter la nausée. 90 images par seconde semblent être un minimum, 120, ou plus encore, semblent préférables.


Le 04/11/2016 à 07h 02







OlivierJ a écrit :



Autant sur un téléviseur c’est intéressant, autant j’ai du mal à imaginer l’intérêt de la 4K sur mobile. Ils livrent la loupe avec ?



 (et à 120 ims, heu...)








 Outre que les processeurs ARM ne sont pas limités aux smartphones, mais largement utilisés sur tablettes et… dans l'embarqué en général (dont casques de réalité virtuelle, ou encore les voitures dites "connectées"), sur mobiles, la vidéo type VR est souvent encodée en 4K&nbsp;(ou assimilé). &nbsp;Et qui dit VR dit 120 Hz pour limiter la nausée.

Le 04/11/2016 à 16h 38

Avec “Roudoudou”, vue l’affaire Caliméro, le jeune apprenti terroriste risque de se faire poursuivre pour atteinte au droit d’auteur, non ? Après le terrorisme, la contrefaçon… il démarre mal dans la vie, ce jeune homme !

Le 04/11/2016 à 06h 48

Je ne comprends pas comment un challenger peut tenter de s’imposer en se contentant de copier le leader tout en ajoutant plus de restrictions aux clients.



On dirait que Microsoft compte d’abord de convaincre les éditeurs avec des DRM restrictifs, et de s’imposer auprès des clients au travers de Windows, où la boutique est intégrée, à la manière de macOS ? Mais dans ce cas, il ne faudra pas que Microsoft se plaigne des poursuites pour abus de position dominante…

Le 04/11/2016 à 06h 31

Du temps où je faisais (un peu) d’eréputation, je trouvais Gravatar très intéressant.



Pour ceux qui ne connaissent pas, Gravatar est ce que les blogs WordPress utilisent pour associer une image commune aux commentateurs des billets. Pour que l’image soit commune sur deux blogs ne communiquant pas entre eux, on utilise l’adresse email fournie par le commentateur en guise de signature pour construire une URL pointant vers l’image du commentateur hébergée sur les serveurs de Gravatars. Pour éviter de dévoiler l’adresse email qui pourrait servir aux spammeurs, on applique une fonction de hashage, MD5, sur celle-ci.



Ainsi, si votre adresse email est [email protected], le MD5 correspondant est&nbsp;0bc83cb571cd1c50ba6f3e8a78ef1346, et l’URL du Gravatar est&nbsp;https://www.gravatar.com/avatar/0bc83cb571cd1c50ba6f3e8a78ef1346.



Concrètement, si vous connaissez l’adresse email de quelqu’un, vous pouvez trouver tous les commentaires publics qu’il a publiés sur Internet, du moins tous ceux faisant appel au service Gravatar, à savoir tous les blogs WordPress et quelques forums.



Conséquence ?



Avec un fichier d’adresses email de tous les Français, les services de renseignement pourront connaître les opinions de bon nombre de Français.



De quoi nous inciter à fournir une adresse email dédiée aux administrations…

Le 04/11/2016 à 05h 44

Ainsi, les Internautes cliqueraient sur les publicités de Google parce qu’ils les préfèrent ? Moi qui pensais que c’était parce qu’elles remplissaient l’essentiel, sinon la totalité de la page visible au-dessus de la ligne de flottaison, tel ce résultat de recherche sur “drone enfant” ou cet autre résultat sur “hôtel paris“…

Le 04/11/2016 à 05h 37







Paladin_Fr a écrit :



Si je peux me permettre il y a loooongtemps la livraison était gratuite chez cdiscount sans minimum.

Un truc à 2 euro -&gt; livraison gratuite.

Et ca a duré plusieurs années.





Tu as certainement raison. Cependant, Cdiscount n’a pas la présence internationale d’Amazon, qui, lorsqu’il débarque dans un pays, change le marché de l’ecommerce local, comme le prix des frais de port. C’est au point qu’en France, on s’est senti obligé d’édicter une loi anti-Amazon, qui n’aura eu aucun effet notable, compte tenu de son contournement immédiat par le principal intéressé, mais qui a surpris ses concurrents, Cdiscount et la Fnac s’alignant à leur tour sur l’enseigne américaine.


Le 02/11/2016 à 15h 39

On peut comprendre la déception de Microsoft, Google donnant de sérieuses pistes aux pirates pour identifier en détail et développer un outil pour exploiter la faille. C’est d’autant plus étonnant que Google ne suggère aucune solution, sinon… d’utiliser Chrome sous Windows 10.



Google paraît ici d’autant plus cavalier qu’il renvoie sur la documentation de son système de protection Win32 Renderer lockdown. Or, cette même documentation affirme qu’il faut jusqu’à six semaines aux équipes de Google pour corriger un bug dans ses propres noyaux Linux, dont Chrome OS&nbsp;:





  • “On Linux, kernel bugs such as these are mitigated in two ways. &nbsp;Firstly, they are fixed by the Linux kernel maintainers at a relatively rapid pace, so most systems can be updated. &nbsp;In particular, Chrome OS, a Linux based system under Google control, can be patched within the six week target patch timelines as the kernel is controlled by Google.”



    Et il ne s’agit pas d’une ancienne documentation obsolète : elle a été mise-à-jour le 28 octobre 2016, soit une semaine après que Google ait découvert la faille relative à Flash&nbsp;et à Windows, et trois jours avant son annonce publique.



    Si à son tour, Microsoft donnait sept jours à Android pour annoncer ou corriger les failles, Google risquerait de ne pas apprécier… (En parlant d’Android, si Google pouvait inviter Samsung à mettre à jour mon téléphone, ce serait bienvenu.)

Le 02/11/2016 à 12h 52

Cette intégration du pavé tactile de la manette PS4 facilitera peut-être l’adoption de la manette Steam ? Ce serait en tous les cas bienvenu.

Le 02/11/2016 à 10h 14

En quoi les lois actuelles ne sont-elles pas adaptées à l’impression 3D ?



La propriété intellectuelle n’est pas bouleversée par l’impression 3D : les droits d’auteur s’appliquent, tout comme les propriétés industrielles.



D’expérience, l’impression 3D coûte souvent plus cher que le prix d’une fabriquée par des procédés industriels habituels, telle l’injection. C’est d’autant plus le cas lorsqu’on inclus la maintenance et l’amortissement d’une imprimante 3D. C’est aussi vrai lorsqu’on passe par un prestataire spécialisé.



Là où la contrefaçon s’avère économiquement pertinente, c’est dans les pièces détachées : l’impression d’une pièce essentielle au fonctionnement d’un objet entier. Certes, les fabricants de voitures, notamment, qui protégeant la moindre pièce en plastique par une tonne de brevets, pièce dont ils ont le monopole de fabrication et sont les seuls à en définir le prix, n’apprécient pas nécessairement.



Quant à la fabrication d’armes à feu… rappelons que le fameux Liberator de Defense Distributed réclame des balles réelles. Or, celles-ci sont sujettes aux mêmes contraintes de commercialisation que les armes à feu : on ne peut s’en procurer qu’en quantité limitée, et sur autorisation. Le fantasme d’une fabrique d’armes à la maison à la portée de tous est donc amoindri.



Par ailleurs, nul besoin d’une imprimante 3D pour fabriquer une arme létale, à projectiles… et entièrement en plastique. Ainsi, tous les matériaux sont disponibles dans n’importe quel magasin de bricolage&nbsp;pour fabriquer un fusil à air comprimé. Moins sexy (quoi que ?), les arbalètes peuvent aussi s’avérer particulièrement meurtrières.



Vouloir encadrer avec de nouvelles lois une industrie encore balbutiante risque de ralentir son essor sans apporter de valeur ajoutée. C’est, au contraire, une technologie à promouvoir, quitte à accepter des abus, de manière temporaire, avant d’acquérir le recul nécessaire à toute législation spécifique.



Rappelons que l’impression 3D a actuellement pour synonyme le prototypage rapide, et aide de nombreuses entreprises à innover à moindres coûts. C’est aussi un moyen de réduire les stocks de pièces détachées, ou encore de prolonger la durée de vie des produits anciens, aux pièces indisponibles, et dont la moindre panne implique actuellement le transport en décharge.