votre avatar Abonné

Sans intérêt

est avec nous depuis le 29 novembre 2013 ❤️

875 commentaires

Le 24/01/2017 à 15h 38

En 2017, on compte plus d’un écran par membre du foyer. Dès le collège, chaque membre du foyer dispose d’un smartphone, parfois, en plus, d’une tablette. Ceci en complément des consoles portables, et de l’équipement mutualisé, comme la télévision ou la console de salon.



Ainsi, quand l’un de mes neveux joue à LoL sur un écran du PC, l’autre écran diffuse la vidéo d’une autre partie de LoL, pendant que sa tablette lui permet de regarder des vidéos de GTA V. Quand son frangin et son tonton sont là, autant dire que les 15 Mbps de la connexion ADSL sont très justes. Et pourtant, personne ne regarde de vidéos 4K.

Le 24/01/2017 à 15h 30

Une autre piste ne semble pas exploitée par les opérateurs d’Internet fixe : un réseau mesh visant à mutualiser la bande passante des “box” voisines en faisant du bonding via Wi-Fi. (Certes, il faudrait probablement une antenne Wi-Fi par box supplémentaire à agréger.)



Ainsi, lorsque quatre voisins à la campagne n’ont que des lignes ADSL de 512 Kbps, ils pourraient totaliser 2 Mbps en les mutualisant. Bien entendu, cela ne résoudrait pas le problème de la congestion aux heures de pointe, où chacun regarde des vidéos le soir venu, mais cela permettrait d’améliorer la situation dans tous les autres cas, pour peu que le NRA ne soit pas saturé.



À défaut, on peut prendre plusieurs abonnements chez soi et les agréger avec des solutions de type OverTheTop d’OVH. Pour peu, bien entendu, d’avoir, à la base, accès à Internet… ADSL, VDSL, câble, fibre, 3G ou 4G.

Le 23/01/2017 à 09h 51

En fait, comme d’autres lecteurs, à en croire les commentaires, j’en suis toujours au Galaxy Note 3. Un excellent téléphone, que j’ai depuis 3 ans, désormais, et que j’espère garder une bonne année encore, voire plus, si je peux. Certes, les quelques coups qu’il s’est pris sur la figure l’ont quelque peu abîmé, au point que le gyroscope indique parfois une orientation… étonnante. Mais je suis ravi de voir qu’il n’a ni pris feu, ni explosé jusqu’ici, hi hi.



Bref, tout comme d’autres clients Samsung, je suis rassuré de voir qu’en cas de pépin, la firme assume ses erreurs (enfin bon, elle dénonce ses petits camarades de fournisseurs, donc ?) et communique clairement sur ce que l’on pourrait qualifier de désastre. Oui, c’est rassurant, et m’incite à rêver d’un Note 8. Ou 9. Ou allez savoir, il faut que je devienne riche, avant. ;-)

Le 19/01/2017 à 20h 02

Oh. Bien vu.

Le 17/01/2017 à 15h 26

On attend la segmentation des offres selon l’adresse exacte. Afin de proposer des tarifs en lien avec les revenus des ménages, et ainsi obtenir la marge la plus gr… Non, non, non, je veux dire : afin de rentabiliser les antennes relais en lien avec les investissements. Voilà.

Le 13/01/2017 à 16h 15

Le lien unique envoyé dans l’email mène à quoi ? Peut-on définir des adresses secondaires, pour enfin prendre le contrôle des comptes d’électeurs des personnes aux identités ainsi dévoilées ? En d’autres termes, s’agit-il d’une anecdote fort fâcheuse pour la vie privée des victimes, ou une possible suite, malveillante, est-elle à prévoir ?





« la liste complète de ceux qui se sont inscrits [à la Primaire] et dont le numéro de cellulaire n’est pas un 06. Donc je dirais, ceux qui sont à l’étranger, je viens d’en voir une dans la liste à Amsterdam »



Notons qu’en France, Free (notamment) a distribué des numéros mobiles commençant par “07”, et il y a eu un temps une distribution de numéros (fixes ou mobiles ?) commençant par “08”.

Le 13/01/2017 à 15h 27



Rien ne permet dans l’absolu de considérer l’extension comme dangereuse pour la vie privée.



C’est un mouchard. Certes, un tel procédé est devenu — presque, car sinon, il n’aurait pas donné lieu à cet article — courant. Néanmoins, par le principe même d’un mouchard, doublé par la méthode fourbe de son installation, l’extension est dangereuse pour la vie privée.

Le 11/01/2017 à 21h 12

Oh. Merci pour le résumé. Décidément, je suis dépassé. Et je ne comprends plus rien, mais alors rien du tout, à ce deal.

Le 10/01/2017 à 23h 12

Du coup, si je comprends bien, il s’agit de s’inspirer de Google qui s’est réorganisé autour d’Alphabet ?

Le 10/01/2017 à 21h 14



Pour [ne pas être poursuivis pour « négligence caractérisée »], les professionnels sont généralement invités par la Hadopi à sensibiliser leur personnel via des clauses insérées dans les contrats de travail ou les règlements intérieurs.





En d’autres termes, la Hadopi suggère d’insérer dans le contrat de travail que les salariés doivent respecter la loi ? Est-ce qu’une mention telle que “le salarié s’engage à respecter les lois en vigueur” suffit-elle ? Ou bien faut-il énumérer tout le code pénal ? Ou alors faut-il spécifiquement cibler les lois sur le droit d’auteur, les seules dont le respect ne paraît, en toute logique, pas évident ?

Le 06/01/2017 à 11h 15

Si les jeux indépendants ne couvrent sans doute pas leurs frais de développement, ce qui est somme toute logique (ou pas ?), compte tenu de leur positionnement, on peut se réjouir qu’ils figurent aussi dans le haut des classements. Certes, compte tenu de la masse des titres indépendants disponibles, Starwew Valley, Undertale, ou encore Terraria apparaissent comme des exceptions, mais n’en demeurent pas moins des jeux à succès que la presse a failli, parfois, oublier (je pense en particulier à Undertale, que “la” presse avait surtout “découvert” de par son étonnant succès auprès des joueurs.)

Le 02/01/2017 à 07h 50



Le but est évidemment de laisser des places libres pour les autres clients de la marque.



Est-ce si évident ? Je veux dire, le plus évident, pour laisser des places libres, serait… d’en construire.

Le 27/12/2016 à 18h 04

Etonnant, que ce Hero’s Song ! Rien que la vidéo d’introduction ne donne pas envie.



N’est-ce pas un peu osé, que de consacrer la moitié de la vidéo à créer les 7 (sept !) personnages de son équipe et à choisir la mission que l’on va effectuer ? Quant à l’aventure, que ça a l’air mou et fastidieux ! On ne dirait pas que le jeu soit sorti après Diablo, premier du nom… L’équipe a semble-t-il voulu faire un jeu à la sauce des jeux 16-bits de la première moitié des années 1990, mais… ça manque cruellement de charme.



Autre souci de taille : le jeu n’est pas relayé dans les médias. On peut comprendre qu’en tant que développeur, John Smedley ait voulu rester du côté du clavier, mais sa valeur ajoutée n’aurait-elle pas été mieux employée à harceler les médias, à savoir la presse et les vidéastes populaires, pour relayer le développement de son jeu ? On peut comprendre que des médias ne souhaitent pas être référencés sur Metacritic, et que les joueurs ne s’y référencent pas nécessairement. Toutefois, l’absence de critiques sur ce site de référence montre un sacré souci de communication. Ne leur manquait-il pas un producteur avec un carnet d’adresses conséquent ?



Etonnant de voir que le manque d’intérêt des joueurs (et de la presse ?) pour ce titre lors des campagnes Kickstarter et IndieGogo n’ait pas convaincu ce développeur à corriger le tir en cours de route.



Cela nous rappelle que les éditeurs de jeux vidéo qui mettent leurs billes dans le développement apportent aussi leur valeur ajoutée, y compris lorsqu’ils tuent un titre en cours de route.



Quoi qu’il en soit, c’est dommage de voir un projet échouer ainsi. Pourvu que toute l’équipe sache rebondir rapidement. Et qu’ils fassent tous des bons jeux à l’avenir !

Le 27/12/2016 à 02h 08



On notera qu’ici, la distinction entre fibre et câble est faite, contrairement à ce que l’on peut lire sur les documents commerciaux de l’opérateur, qui regroupe tout sous le terme « Fibre ».





Ou comment faire sourire le lecteur malgré un sujet en apparence barbant. Chapeau bas ! <img data-src=" />

Le 17/12/2016 à 05h 02

La consommation électrique d’un appareil varie dans le temps. Les phases les plus évidentes sont l’allumage, l’utilisation, l’extinction. En cours d’usage d’un appareil connecté, la consommation électrique n’est pas constante, mais varie dans le temps (d’ailleurs, je peine à stabiliser courant et tension sur mes petits circuits électroniques). Ces caractéristiques sont spécifiques à chaque appareil et son usage (je le constate en particulier sur mes propres bidouilles électroniques). En analysant la consommation électrique du foyer, on peut en déduire les appareils allumés, et, comme le suggère l’article, appliquer les signatures d’appareils identifiées dans un foyer pour les repérer dans d’autres foyers.



Quant à savoir si l’usage d’un appareil peut être isolé dans une courbe de charge mêlant une vingtaine d’appareils, la question est ouverte. Les “signaux faibles” analysés par le “Big Data” tendent à penser que c’est une hypothèse envisageable. D’ailleurs, ce sont des arguments initialement mis en avant par EDF ou Ededis/ERDF (et plus généralement les opérateurs de “smart grid”) jusqu’à ce que s’en emparent les collectifs anti-Linky. Il s’agissait de fournir aux ménages la courbe d’usage de leurs appareils, appareil par appareil, pour suggérer des solutions d’économie d’énergie.



Si cette fois-ci, tu as lu mon message jusqu’au bout, je t’invite à lire cet article (2010) sur la vie privée en lien avec les compteurs électriques intelligents. On peut y voir notamment un graphique de consommation électrique identifiant les signatures d’appareils électriques de par leur consommation électrique. Les chapitres de ce rapport du NIST sur la sécurité des smart grids consacrés à la vie privée méritent d’être parcourus.



Je ne suis pas spécialiste, mais les cours de lycée ne semblent pas être le summum de la connaissance scientifique ou technologique. (Oh, oui, hein, je me permets une pique de sarcasme, chacun son tour.)

Le 15/12/2016 à 23h 49







KP2 a écrit :



Et je doute franchement que ce boitier soit en mesure de détecter quel appareil fonctionne à quel moment. EDF sera peut-être en mesure d’estimer la présence de qqn ou non en fonction de l’évolution de la conso globale dans la journée mais je doute que ça aille plus loin. En tout cas, rien de plus qu’ils ne soient déjà capables de savoir aujourd’hui.





Chaque appareil électrique émet des perturbations caractéristiques sur le réseau électrique. Il est théoriquement possible d’en déduire une signature et de l’exploiter en analysant ces perturbations. Les micro-contrôleurs intégrés aux boîtiers Linky semblent a priori suffisants pour faire certaines analyses de ce type, avec toutefois certaines limites. Si ce n’est pas le cas aujourd’hui, rappelons que le firmware peut être mis à jour à distance demain.



A l’avenir, on peut imaginer que les appareils connectés se signalent automatiquement aux compteurs connectés, voire qu’une norme s’installe d’ici quelque temps afin de communiquer leur présence, leur consommation précise en cours, ou encore leur consommation à venir. Via un réseau CPL ?



Ainsi, un thermostat connecté pourrait prévenir le compteur connecté de sa programmation de la journée, et sa mise en activité à 17h45. La machine à laver pourrait prévenir de sa mise en route retardée. Un four pourrait prévenir que le four cramera le brownie durant 40 minutes à 250°C.



On pourrait imaginer beaucoup de choses. Comme exercice de style purement fictif. Ou sur la base de ce qui s’est déjà produit.



Ainsi, lorsque Tesla n’apprécie pas le test de son automobile connectée fait par un journaliste, le constructeur audite le journal de bord dans ses moindres détails, pour discréditer ce journaliste. Lorsqu’un journaliste met en doute les fonctionnalités du four connecté June, le constructeur fouille dans le journal de bord du four pour corriger ses propos, faisant ajouter un addendum au journaliste. Enfin, pourquoi diable ce sextoy envoie-t-il le détail des masturbations de ses utilisateurs à son constructeur ?!



Pour en revenir à Linky, il y a effectivement une atteinte à la vie privée. Et nul doute que l’on finira par l’utiliser comme outil d’espionnage. Toutefois, ce n’est pas le cas actuellement. Ce n’est pas prévu dans ce sens. Et il y a d’autres moyens de surveillance plus intéressants. Oh. Et il existe des moyens de limiter la portée des données recueillies, voire de les fausser sciemment.


Le 15/12/2016 à 12h 18

Du coup, dans l’hypothèse d’un pirate ou d’un Etat, on peut imaginer que si “application avec l’accès à l’écran dans les droits peut lire le code et l’envoyer au pirate”, elle peut aussi simuler la pression sur “[Oui] sur le mobile comme ce que propose Microsoft et Google.” Quant à la méthode Yubikey, elle a aussi ses limites, comme le laisse penser le piratage de Gemalto par la NSA, ou encore comme semblent le permettre nos propres lois sécuritaires sur la communication des moyens de déchiffrement.



Il n’y a sans doute pas de méthode infaillible, juste des méthodes rendant le piratage difficile et improbable ?

Le 15/12/2016 à 11h 55

Ca risque d’être difficile (mais pas impossible, certes, OTG roulaize), sur mobile, probablement la plateforme majoritaire pour Twitter (ayant commencé comme réseau social SMS, en plus du web).

Le 15/12/2016 à 11h 52

Pirates (social engineering au niveau de l’opérateur) et Etats (hacking de l’opérateur étatique) détournent les SMS, comme le rapporte cet article de WIRED :





That kind of social engineering is more than hypothetical. Earlier this month, Black Lives Matter activist DeRay McKesson found that his Twitter account was hacked to tweet pro-Donald Trump messages, despite having two-factor authentication in place. The hackers, as he tells it, had called up Verizon, impersonated him, and convinced the company to redirect his text messages to a different SIM card, intercepting his one-time login codes. And activists in Iran and in Russia both recently found that their Telegram accounts were being hacked, likely by state-owned telecom companies helping those authoritarian governments to hijack the SMS messages Telegram uses to log users in.

Le 15/12/2016 à 00h 21

Cela signifie-t-il que le CSA entend imposer les “pastilles” de classification des émissions à l’ensemble des productions publiées sur YouTube ? Qui, dans ce cas, émettra ces pastilles ?



Quid d’une vidéo traitant d’un jeu vidéo déconseillé aux mineurs ? Faudra-t-il appliquer le système défini par le CSA à la télévision, ou bien celui, autrement plus dur, défini par PEGI ? Ou bien appliquera-t-on des pastilles du CSA, mais selon les critères de PEGI ?



Quid des vidéos étrangères que l’on peut visionner depuis la France ?



Enfin, si je comprends bien, c’est bien Studio Bagel Productions, et non le diffuseur, YouTube, qui est assimilé à un SMàD. N’est-ce pas étonnant ?



Vraiment étonnante, cette mise en garde du CSA !

<img data-src=" />

Le 14/12/2016 à 08h 50







WereWindle a écrit :



pour le coup je “soupçonnais” l’existence d’une autre source qui aurait rendu l’histoire plus croustillante <img data-src=" />





En fait, suite à ton commentaire, j’ai relu le présent article, et mon commentaire n’avait rien à faire ici.



Ceci dit, l’article consacré à l’affaire publié chez Kotaku est accompagné d’une réaction d’Ubisoft. Celle-ci est neutre, à ceci près que le P-DG entend apporter appui et confiance aux cadres condamnés.



L’article de Gamekult et la mise-à-jour de l’article de gamesindustry.biz incluent des commentaires émanant d’Ubisoft (l’entreprise) qui vont dans le sens de la défense du personnel condamné.



L’un des commentaires d’Ubisoft semble indiquer que les cadres dirigeants de l’entreprise sont dans l’incapacité d’anticiper la décision de reporter un jeu vidéo non terminé (à savoir annoncé comme tel dans les rapports internes, car ne répondant pas aux critères internes de publication) :





Regrettably, the AMF’s decision represents a serious misunderstanding of the game development and production process at our company and common to our industry. Each major game requires the involvement of multiple teams across the company, but ultimately only the company’s CEO can make an exceptional decision such as changing a game’s release date.





Ceci dit, mon commentaire était clairement hors sujet ici. Et n’apportait rien de “croustillant”. Navré, encore une fois, donc, pour le bruit.


Le 13/12/2016 à 10h 24







WereWindle a écrit :



Je ne vois rien dans l’article relatif à une réaction quelconque d’Ubisoft (des personnes incriminées oui mais pas de l’éditeur lui-même… même remarque pour la partie “défend les méfaits de ses salariés”)







Tu as parfaitement raison. J’ai fait une erreur de lecture. Pardon pour le bruit. <img data-src=" />


Le 13/12/2016 à 10h 03

C’est tout de même étonnant, de bosser dans une boîte de jeux vidéo, sur un jeu sur le hacking, et de continuer à laisser des traces électroniques de ses méfaits. Quand à la défense de l’éditeur, elle est risible. D’une part, sur ses motifs, basés sur la forme, plutôt que le fond ; d’autre part, pourquoi diable une entreprise défend-elle les méfaits de ses salariés ?

Le 13/12/2016 à 08h 29

Ces tarifs paraissent vraiment très bas. Mine de rien, les tarifs doivent couvrir le PC local, ainsi que le PC distant. Même avec un PC local d’entrée de gamme et un PC de gamer de milieu de gamme mutualisé, 30 à 45 € par mois, ça reste étonnamment peu.



D’ailleurs, espérer mutualiser le PC distant avec plusieurs joueurs paraît difficile, même si l’idée est séduisante. En effet, la plupart des gens semblent jouer le soir et le week-end, éventuellement le mercredi après-midi pour les jeunes joueurs français.



Bien entendu, comme le suggère l’article, tous les clients ne sont pas sur le même fuseau horaire. Toutefois, les deux fuseaux horaires autour de Paris rajoutent environ 40 ms de ping aux joueurs. A quoi il faut ajouter le temps d’encodage, puis de décodage de l’image et du son, pas sûr que les champions d’Overwatch le restent longtemps…



Il semble alors difficile de partager un ordinateur distant à plus de deux, maximum quatre abonnés sans qu’il n’y ait de souci de surréservation.



Ceci étant, depuis le temps qu’on nous promet du cloud gaming, il serait en effet intéressant de voir ce que deviendra cette expérience. Car il semble difficile de qualifier le service d’autre chose, vus les innombrables problèmes que celui-ci risque de rencontrer (à commencer, évidemment, par la qualité de l’abonnement Internet de l’abonné). Bonne chance à Blade !

Le 11/12/2016 à 14h 03







OlivierJ a écrit :



Xylane t’a déjà répondu, mais l’article aussi l’avait dit :

 

“La Commission doit, elle, fournir la solution à un casse-tête : supprimer les frais d’itinérance, tout en tenant compte des différences de niveau de vie dans les 28 pays de l’Union, et en évitant que les pays les plus touristiques ne bénéficient d’une manne trop importante, via les frais qu’ils facturent aux opérateurs d’origine des touristes.”







En effet, en l’état actuel des habitudes de facturation, et des tarifs télécoms très contrastés d’un pays à l’autre, certains pays opérateurs peuvent gagner ou perdre du chiffre d’affaires.



Toutefois, c’est bien ces tarifs que la Commission européenne entend harmoniser. Et, tant qu’à faire, il serait temps, peut-être, de niveler ces tarifs par le bas.



Comme je l’écrivais dans un autre commentaire :







Sant intérêt a écrit :



Quel que soit l’opérateur, lorsqu’on appelle de Bulgarie en France, ou de France en Bulgarie, via un opérateur français, bulgare ou encore belge, les coûts sont identiques ; or, le même appel sera facturé différemment. De même pour les données.







Les récentes offres promotionnelles mobiles montrent que même un pays riche aux coûts salariaux importants peut se permettre de faire un (très gros) effort sur les tarifs.


Le 11/12/2016 à 13h 53







Xylane a écrit :



Enfin, il y aurait une forme de concurrence déloyale, car tu mettrais en concurrence des opérateurs étrangers avec ceux nationaux. Comme le coût de la vie et les salaires varient fortement d’un pays à l’autre, et que dans ce cas il n’y aurait même pas de TVA puisque tu n’achèterais rien en France (tu ne ferais qu’utiliser un produit étranger), comment un opérateur Français pourrait proposer des tarifs comparable à un opérateur Bulgare, où les salaires sont 4 fois plus bas qu’en France? ^^





Lorsque j’achète un produit en Bulgarie et me fais livrer en France, je paye (désormais) la TVA française. De même pour les services, dont la TVA du pays du consommateur est (désormais) appliquée.



S’il faut tenir compte du coût de la vie pour déterminer les prix, pourquoi s’arrêter aux services téléphoniques ? Pourquoi ne pas appliquer le même raisonnement pour tous les produits de consommation ?



J’ai vraiment l’impression que les télécoms se sont organisés en cartels (nationaux) et tentent de garder leurs territoires coûte que coûte afin d’empêcher les concurrents de pénétrer leur marché (national). Et tant pis pour le consommateur.


Le 11/12/2016 à 13h 41







ojbis a écrit :



En fait le marché est déjà ouvert. Tu peux déjà prendre de prendre ton forfait Bulgare y a pas de problème, tu pourras l’utiliser là où l’opérateur offre son service … en  Bulgarie :). En France, l’opérateur Bulgare n’a pas de réseau, il a 3 choix : devenir MVNO en France, contruire son réseau et acheter des fréquences en France ou louer le réseau en roaming d’un opérateur Francais… sauf que dans tous les cas cela a un cout et donc il est normal que ca te coute des frais en plus de ton forfait bulgare de base.



Le problème est de trouver le bon niveau de cout “équitable”. Il est faux de dire que c’est gratuit, et dans l’autre sens les tarifs facturés sont abusifs.



Toute la difficulté de la commission est de trouver une solution pour “forcer” une juste facturation du roaming.



 De la même façon quand tu loues une chambre pas chère dans un hotel en Bulgarie… cela te donne accès… à ton hotel en Bulgarie, tu peux pas te présenter dans un hotel en France avec ta clé bulgare…





C’est un faux problème lié aux particularités de facturation des opérateurs téléphoniques qui n’ont aucun lien entre un quelconque coût, mais à des habitudes, un héritage historique.



Quel que soit l’opérateur, lorsqu’on appelle de Bulgarie en France, ou de France en Bulgarie, via un opérateur français, bulgare ou encore belge, les coûts sont identiques ; or, le même appel sera facturé différemment. De même pour les données.



Il n’existe pas de “juste” facturation du roaming, vu que le roaming n’a rien de “juste” à la base, les factures étant totalement dissociées des coûts.



En dissociant les opérateurs des réseaux des opérateurs d’exploitation, tout comme on a fait dans les chemins de fer, on pourrait, peut-être, gagner en clarté des coûts et les répartir, peut-être, de manière plus “juste”.


Le 08/12/2016 à 19h 13

Je suis peut-être naïf, mais… pourquoi ne pas ouvrir totalement le marché européen ? Pourquoi ne peut-on pas prendre un opérateur bulgare pour utiliser le service en France ? N’est-ce pas ça, l’un des principes européens, à savoir l’ouverture des marchés à la concurrence internationale ?

Le 08/12/2016 à 14h 00

Du coup, il n’y a aucune chance que l’ARJEL s’intéresse aux jeux d’argent intégrés aux jeux vidéo ou en périphérie de ceux-ci, dont les “coffres” et autres “paquets” des CS:GO, LoL et autres Hearthstone ?

Le 07/12/2016 à 04h 02







Altair31 a écrit :



Je me demande ce qui est réellement la cause de cette recrudescence de fuite.

La montée en puissance des machines, le vieux code qui ne respecte plus l’état de l’art de la crypto ou la révélation de plus en plus systématique des brèches exploitées <img data-src=" />.







On peut espérer que ce soit cette dernière piste, à savoir que les failles ne sont ni plus fréquentes, ni plus volumineuses qu’auparavant, mais qu’elles sont “juste” plus médiatisées, notamment au travers de services spécialisés dans le suivi des fuites.



Et dans ce cas, on peut se réjouir de cette médiatisation, car elle permet à tout un chacun d’agir au plus tôt. En revanche, certaines formes de communication ne sont pas les bienvenues. Savoir qu’une personne donnée s’était inscrite sur un site particulier ne regarde qu’elle et ce site, pas la planète entière…


Le 07/12/2016 à 03h 54

Oui, on “fuite” une information : le nom de son compte ou son adresse email.



S’il le souhaite, le service peut alors faire le lien avec l’adresse IP de celui qui fait la requête. Toutefois, n’importe qui peut faire une requête sur n’importe quoi. La fiabilité de la nouvelle information est donc sujette à caution.



De plus, LeakedSource permet de faire une recherche par métacaractère (wild card). Cela permet donc de vérifier la présence d’une adresse email avec un motif relativement générique, sans nécessairement fournir son adresse email exacte.



Enfin, il est clair que les services permettant à n’importre qui de vérifier la présence d’un identifiant associé à un individu sont très problématiques. Cela touche directement à la vie privée, et peut avoir des conséquences désastreuses, comme nous l’a rappelé la fuite chez Ashley Madison.



Heureusement, LeakedSource permet aussi de voir ses données personnelles retirées, via une procédure d’identification, gratuite. Pour l’avoir sollicitée, s’il faut parfois patienter quelques jours, cette procédure de suppression fonctionne.

Le 07/12/2016 à 03h 35







Hipparchia a écrit :



[…] Nos sociétés refusent toujours de voir le problème qui va s’accentuer avec l’IA : c’est à dire la disparition du travail. […] Sauf qu’on a tous besoin de manger, de s’abriter, de s’habiller, de se chauffer pour parler de besoin primaires, et qu’aujourd’hui tout cela est conditionné à un salaire (pour l’immense majorité des gens, qui sont aussi citadins). Donc un travail.

A l’heure ou celui ci disparait objectivement, et où on va nous proposer de travailler plus (c’est à dire moins partager le travail), j’ai du mal à voir dans quoi on se dirige.







En effet, nos politiques continuent à se focaliser sur la lutte contre le chômage, à savoir s’assurer que tout actif s’affaire au travail pour dégager des revenus. Or, depuis l’ère industrielle, les travailleurs sont remplacés par les machines. Il est sans doute utile de changer de paradigme et partager autrement les richesses produites.



À terme, la lutte contre le chômage semble veine, et tant que nous continuerons à nous focaliser sur ce point, le problème ne fera que s’aggraver. Le véritable problème n’est pas tant le chômage, mais la pauvreté. Or, lutter contre celle-ci par le travail (humain) paraît de moins en moins pertinent.


Le 05/12/2016 à 16h 04







hellmut a écrit :



#grammarnazi





#altwrite


Le 03/12/2016 à 00h 18

Cela fait plaisir de voir que les autorités policières ne sont pas dépourvues quand il s’agit de démanteler les réseaux criminels en ligne. Il n’en demeure pas moins regrettable de constater qu’un tel réseau de criminels ait perduré aussi longtemps, et que l’enquête ait réclamé autant de moyens et de temps.





Et pour l’heure, le temps est aux congratulations.





Oui, clairement. Bravo aux enquêteurs !

Le 03/12/2016 à 00h 00

Tiens, cette guerre des prix me rappelle l’ouverture à la concurrence de la téléphonie fixe, en France. À l’époque, au début, on pouvait opter pour son opérateur téléphonique sortant en préfixant ses appels. Du coup, on pouvait avoir plusieurs opérateurs en même temps. Et sont ainsi nés des appareils préfixant automatiquement l’appel avec l’opérateur le moins cher pour la destination composée.



Bref, c’est peut-être le moment de voir débarquer des services de résiliation automatique de son opérateur télécoms pour toujours profiter de l’offre la plus rentable ? Il y a un marché à prendre (ou pas) ! <img data-src=" />

Le 01/12/2016 à 00h 12







Carpette a écrit :



Attends, le marche de la video en ligne a juste explose depuis, il y avait un creneau enorme pour dailymotion dont des utilisateurs de tous pays utilisaient la plateforme petit a petit. En ce qui concerne les capitaux je suis franchement dubitatif, il y a un fric enorme en france vu tous les incubateurs, start-ups etc. J ai moi meme participe a un meeting sur nantes de business men qui veulent investir dans de la NTIC sans savoir lesquelles.&nbsp;





Malgré son succès, YouTube est à peine rentable et Dailymotion déficitaire. Ce n’est pas parce qu’il y a une forte demande que le marché est lucratif. Et qu’un succès en apparence soit un succès financier. Par exemple, Twitter, pourtant considérée comme une réussite, a toujours perdu de l’argent. Investirais-tu dans une entreprise déficitaire qui compte exclusivement sur les nouveaux investissements pour survivre ?



Il y a un gros avantage pour une entreprise américaine face à une entreprise française : cinq fois plus de prospects locaux, parlant la même langue et partageant la même culture, certes, avec des nuances. Et une culture des affaires protectionniste, la pénétration du marché américain par un étranger semble très difficile.



Pour autant, il y a beaucoup de réussites en France en NTIC. OVH, notamment, est un exemple patent. À une échelle peut-être moindre, LDLC (dont Materiel.net), ou encore Cdiscount sont deux fleurons de l’e-commerce français. S’il ne s’exporte pas, Free est une réussite insolente. Un autre acteur des télécoms, Orange, dont Dailymotion est devenue la filiale, est un acteur européen imposant.



Les talents ne font pas que partir de France pour réussir ailleurs. La famille Klaba en est un exemple frappant.


Le 30/11/2016 à 15h 08







Carpette a écrit :



C’est vraiment dommage. Ca me rappelle l’epoque ou dailymotion etait une vraie alternative a youtube avec une interface simple, un bon debit, du contenu et des DC un peu partout dans le monde.

Comment peut-on foirer en permanence les strategies de boites qui pourraient devenir mondiales ? Ca reste un grand mystere pour moi.





Le souci est que ces entreprises se battent sur des marchés déficitaires à à peine rentables. De plus, il semble plus difficile, en Europe, et en particulier en France, de trouver des capitaux suffisants pour alimenter de telles activités. Néanmoins, depuis toujours déficitaire, Dailymotion persiste.


Le 29/11/2016 à 11h 51

Et encore, le graphique semble très simplifié. Par exemple, la branche de “surfaces solides” exploite la marque STARON de&nbsp;Lotte Advanced Materials Europe Gmbh, connue aussi sous le nom “Samsung Samsung Chemical Europe” [sic]. Pas étonnant, en effet, que les actionnaires aient un peu de mal à s’y retrouver. Voire qui que ce soit. Ah, oui, Samsung fabrique aussi des lavabos et des sols de cuisine. Même pas (encore ?) connectés.

Le 28/11/2016 à 11h 42

Le régulateur (FTC aux USA ou DGCCRF en France) va finir par se pencher sur le cas de Tesla.



L’entreprise communique largement sur l’autonomie de ses voitures. Or, celle-ci n’existe pas tel qu’annoncé.



D’une part, la technologie vendue n’est toujours pas disponible, nulle part. D’autre part, les fonctionnalités supportées dépendent du régulateur local, avec ce que cela suppose comme interrogations concernant les voyages transfrontaliers. Enfin, les vidéos promotionnelles font état d’une conduite même sans conducteur (la voiture va elle-même chercher sa place de stationnement ou revient de celle-ci pour rejoindre le propriétaire), alors que les CGU semblent dégager la responsabilité du constructeur au détriment du propriétaire.



Bref, Tesla vend actuellement du rêve, à savoir un produit qui n’existe pas ou un produit qui ne peut être utilisé tel que promu. On flirte avec une pratique commerciale trompeuse.

Le 28/11/2016 à 10h 46







joma74fr a écrit :



[…] jeune député (élu depuis 2007, il briguera un 3e mandat en 2017).





Ou bien deviendra-t-il notre prochain “Secrétaire d’État chargé du Numérique et de l’Innovation”, va savoir ?


Le 28/11/2016 à 10h 44







zethoun a écrit :



il a aussi le droit de le soutenir car il croit à 95% de son programme et espérer pouvoir le faire changer d’avis sur le reste. c’est un peu dommage de renoncer à supporter un candidat car 1 seule de ses propositions va à l’encontre d’un de tes combats passés, non?





Très certainement. Malheureusement, dans une démocratie représentative qu’est la nôtre, on prend soit tout le package lié au candidat, soit rien du tout.



Si le député parvient à faire fléchir la candidat à la Présidentielle sur la Hadopi, ce sera super. J’ai néanmoins de gros doutes. Et cela supposerait que ledit candidat ne tienne pas ses promesses électorales, donc.


Le 28/11/2016 à 09h 29

Étonnant, que Lionel Tardy, qui avait combattu la création de la Hadopi avec une vision informée, critique, cohérente et intransigeante, se rallie à un candidat qui souhaite donc l’étendre. Ceci étant, c’était une position ultra-minoritaire au sein de la droite. Il faut croire qu’il se sera résigné. Tout comme l’ont fait les députés de la gauche par la suite. Dommage.

Le 26/11/2016 à 14h 07







tmtisfree a écrit :



Et spécifiquement, où sont ces exemples « majoritaires » de « formes d’entreprises (autres) que celles basées sur le capital » ?&nbsp;



Même un autoentrepreuneur doit posséder un minimum de capital (sous forme de moyens de production ou autres), pour produire des biens/services.&nbsp;



Une « entreprise » sans capital, ça s’appelle un travailleur. Et un travailleur ne produit rien sans moyens de production. Ce n’est pas pour rien que les marxistes voudraient bien imposer le démembrement (c’est à dire légaliser le vol) de la propriété et la confiscation des moyens de production – autrement dit du capital – au profit de l’élite dirigeante du prolétariat.





L’un des freins à la création d’entreprise a été le capital social.



L’auto-entrepreneur lève ce frein : aucun capital n’est nécessaire. Les deux types d’auto-entrepreneurs (vente de biens et vente de services) découragent l’investissement, celui-ci n’étant pas déduit de l’imposition, basée sur le chiffre d’affaires. Si un entrepreneur a besoin de capital pour se lancer, la forme d’auto-entrepreneur n’est pas adaptée.



La forme d’entreprise de “auto-entrepreneur” visait par ailleurs la lutte contre le&nbsp;travail&nbsp;au noir. Compte tenu du plafond, assez faible, de chiffre d’affaires annuel, cette forme n’est pertinente que dans le cadre d’un travail ne réclamant que peu de qualifications, ou bien d’un travail à temps partiel.En France, la forme d’entreprise “auto-entrepreneur” concerne un million d’entreprises.



D’autres formes d’entreprises sans capital existent en France, telle l’entreprise individuelle. Cette forme non plus n’a pas besoin de capital. Je ne trouve pas les chiffres.



Depuis plusieurs années, les SARL et EURL réclament un capital symbolique (1 €).Pour les détails, je t’invite à jeter un oeil aux statistiques d’entreprises proposées par l’INSEE. La majorité d’entreprises françaises réclame peu, voire aucun capital.Enfin, “travailleur non salarié” est spécifiquement le terme qui définit les chefs d’entreprises, qu’elles soient grandes ou petites.


Le 26/11/2016 à 13h 53







tmtisfree a écrit :



Et spécifiquement, où sont ces exemples « majoritaires » de « formes d’entreprises (autres) que celles basées sur le capital » ?



Même un autoentrepreuneur doit posséder un minimum de capital (sous forme de moyens de production ou autres), pour produire des biens/services.



Une « entreprise » sans capital, ça s’appelle un travailleur. Et un travailleur ne produit rien sans moyens de production. Ce n’est pas pour rien que les marxistes voudraient bien imposer le démembrement (c’est à dire légaliser le vol) de la propriété et la confiscation des moyens de production – autrement dit du capital – au profit de l’élite dirigeante du prolétariat.





L’un des freins à la création d’entreprise a été le capital social. L’auto-entrepreneur a


Le 26/11/2016 à 13h 51







linkin623 a écrit :



Non mais sans déconner, pensez à filtrer ce troll ambulant. Depuis plusieurs semaines ce type raconte des conneries juste pour avoir quelqu’un à qui parler.



En plus en le citant je vois ces conneries <img data-src=" />





Je ne suis pas sûr de comprendre : c’est moi ou un autre que tu qualifies de “troll ambulant” ?&nbsp;<img data-src=" />


Le 26/11/2016 à 09h 17







tmtisfree a écrit :



[…] Les syndicats ont zéro pouvoir de négociation sur l’orientation industrielle et commercial employée pour ce faire, et c’est bien naturel puisqu’ils ne subissent pas les risques pris par les apporteurs de capitaux. Si les salariés ne sont plus satisfaits de leurs conditions de travail ou autre, ils ont la liberté d’aller voir ailleurs. […]





Il n’y a rien de “naturel” ici, et d’autres systèmes économiques sont là pour en témoigner, voire même d’autres formes d’entreprises que celles basées sur le capital et elles sont nombreuses, voire majoritaires, même en France, à commencer par les “autoentrepreneurs”.



Quant aux “risques pris par les apporteurs de capitaux”, ils sont justement limités au capital, alors que, pour les salariés, des risques existent aussi, mais sous d’autres formes. Par exemple, le salarie prend parfois le risque d’un éventuel déménagement, avec toutes les conséquences que cela implique pour lui et l’ensemble de sa famille.



Ceci dit, en effet, dans une économie capitaliste, c’est le capital, ou plutôt ses représentants, qui décident de l’orientation d’une entreprise. Pour autant, en France, nous ne vivons pas dans une économie ultra-libérale qui ne donne de pouvoir qu’aux seuls capitalistes, mais dans une économie régulée où l’ensemble des acteurs d’une entreprise ont leur mot à dire, dont les salariés, au travers de leurs représentants syndicaux.



Ce qui est choquant, toutefois, c’est que l’on puisse gérer une entreprise sans faire intervenir les salariés dans ses décisions, et cette intervention ne peut se faire qu’en connaissance de cause. La décision du tribunal semble rappeler à la direction de SFR qu’elle a des devoirs envers ses salariés, dont l’information de la stratégie adoptée, en premier lieu de la suppression des postes.



Gardons à l’esprit que pour licencier 5 000 personnes, soit ici un tiers des effectifs, il faudra à l’entreprise soit de passer des accords à l’amiable, soit de passer par un plan social. Dans un cas comme dans l’autre, la loi exige un certain formalisme que la direction de SFR ne semble pas vouloir respecter. Et c’est bien dommage.



C’est dommage pour de nombreuses raisons, mais la toute première qui me vient à l’esprit est le moral des troupes. Il est en effet difficile de travailler quand on sait que l’on risque de perdre son emploi. Et ce, même lorsque l’on n’a aucune crainte d’en trouver un nouveau rapidement. Cette incertitude empêche de s’investir à moyen ou à long terme. Or, c’est indispensable pour la réussite d’une entreprise. Et au bien être des individus.


Le 25/11/2016 à 15h 31

Tu veux dire que la prochaine fois qu’une prostitué m’appelle au téléphone, je serai allégé de 1500 € ?&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;La bonne nouvelle, c’est que l’Etat va enfin en finir avec le déficit !&nbsp;<img data-src=" />

Le 25/11/2016 à 14h 32

Ce qui paraît triste, c’est de voir ces entreprises continuer leurs combines en exploitant des failles dans la loi dans l’espoir qu’un contrôle n’ait pas lieu, ou que celui-ci prenne trop de temps pour être effectif. Je persiste à croire que tant que les cadres de ces entreprises ne seront pas tenus personnellement des agissements illégaux de leurs entreprises, ils continueront à sévir.

Le 25/11/2016 à 14h 13

Cela fait plaisir de voir un commerçant français réussir. On parle beaucoup d’enseignes américaines ou chinoises, mais on sait aussi faire du business en France.

Le 25/11/2016 à 12h 19

Par “communications sont chiffrées”, on entend “Wi-Fi”, c’est bien ça ?