votre avatar Abonné

fdorin

est avec nous depuis le 26 mai 2017 ❤️

2761 commentaires

Le 20/06/2022 à 08h 43

Vous pouvez rappeler ce que vous voulez ça ne marche jamais votre système, et vous ne répondez pas non plus sur les code à réclamer à chaque fois aussi, bref.
Et au pire normalement vous auriez déjà relancé l’envoi, mais visiblement ça ne vous viens pas à l’esprit…



Moi j’arrête là pour la version Papier.

C’est bizarre, j’ai une expérience très différente de la votre. Pour les 2 premiers magazines, j’ai tout reçu en temps et en heure comme on dit, sans aucune souci. Idem pour les codes qui m’ont été envoyé par mail.



Pour le 3e, il y a eu quelques couacs, mais c’est en partie de ma responsabilité. J’ai “tardé” à répondre à un mail. Mais en revenant vers eux le problème a vite été réglé.



Je ne dis pas que tout est parfait, mais la situation est bien loin d’être aussi “calamiteuse” que vous le prétendez. Et en cas de problème, les consignes ont toujours été claires : passer par la messagerie Ulule (ben oui, compte NextINpact != compte Ulule).



Ils ne sont pas devins. S’il y a un problème de livraison, il faut leur dire, ainsi que les informations nécessaires pour pouvoir identifier votre compte Ulule. C’est aussi simple que ça.

Le 01/06/2022 à 10h 03


Teuf a dit:


Car nous passons par un routeur. :chinois:



10M/100M/1G/10G ? Compatible Wifi6 et 5G ?



:pastaper: je suis déjà sorti

Le 25/05/2022 à 08h 38

Oh non, je vais encore débourser des sous…



Bon faudrait que je prenne le temps de lire le numéro 3 aussi :mdr: il est commencé, mais pas bien avancé !

Le 18/06/2022 à 11h 57

:non:
Pisser est populaire et vulgaire, contrairement à uriner, tu ne dis donc pas la même chose :langue:

Et puis on peut “pisser du code”, mais je n’ai jamais entendu “uriner du code” :non: :francais:

Le 17/06/2022 à 11h 55

Je pense que le “troll” vient de l’association chiffrer à déchiffrer et de crypter à décrypter.



Déchiffrer et décrypter veulent dire deux choses similaires mais différentes : retrouver le message initial en connaissance (déchiffrer) ou non (décrypter) la clé de déchiffrement.



Certains “puristes” se refusent donc d’utiliser crypter pour dire chiffrer car chiffrer sans connaitre la clé n’a pas de sens pour eux.



Sauf que, comme je le relevais plus haut, si on considère que comme décrypter, c’est “déchiffrer” sans connaitre la clé de déchiffrement, crypter pourrait être considéré comme “chiffrer” sans connaitre la clé de déchiffrement.



Cela n’a pas de sens pour du chiffrement symétrique (car clé chiffrement = clé déchiffrement), mais peut avoir du sens dans le cadre d’un chiffrement asymétrique.

Le 17/06/2022 à 07h 46


RatonLaveur54 a dit:


Perso, je suis à la recherche d’un executable windows qui s’ouvre avec un mot de passe fort, et qui permette d’editer son contenu comme un notepad, puis se referme et s’autorechiffre avec la clé. Rien trouvé de satisfaisant dans l’open source jusqu’à présent.


Tu peux peut être regarder du coté d’ansible. Il y a la notion d’un coffre fort avec édition de fichiers chiffrés. L’éditeur utilisable est configurable. Par contre, je ne sais pas si l’ouverture peut se faire autrement qu’en ligne de commande…



https://docs.ansible.com/ansible/latest/user_guide/vault.html#editing-encrypted-files

Le 17/06/2022 à 06h 27

Oui, la langue française évolue. Ce n’est pas pour autant qu’il faut négliger la signification des mots. Lorsqu’on s’adresse à un néophyte, utiliser crypter au lieu de chiffrer n’a que peu d’importance, les deux seront compris de la même manière.



Lorsqu’on parle technique, comme c’est le cas ici, et/ou à un lectorat averti (aussi le cas ici), la signification des mots prennent tout leur sens. Chiffrer existe, crypter n’existe pas dans le langage technique.



Déchiffrer et décrypter existent , et si ils représentent le même concept (traduire un message chiffré en un message lisible), les deux se font dans des contextes différents (déchiffrer = on possède la clé de déchiffrement, décrypter = on ne possède pas la clé de déchiffrement).



Utiliser crypter signifierait donc, comme le relève sephirostoy, de chiffrer le message sans connaitre la clé. Mais il existe un cas où la clé de chiffrement et la clé de déchiffrement ne sont pas les mêmes : le chiffrement asymétrique.



Pour ma part, avec le chiffrement asymétrique, on peut chiffrer un message sans connaitre la clé de déchiffrement (mais en connaissant la clé de chiffrement !). Donc, et pour le cas du chiffrement asymétrique, l’usage de “crypter” ne me paraitrait pas complètement déconnant, puisque cela reviendrait à chiffrer un message sans connaitre la clé de déchiffrement. Mais c’est un cas bien particulier et pour l’instant, pas vraiment d’usage auprès des avertis.

Le 16/06/2022 à 09h 45

En pratique, avec l’adresse IP, le cookie de A est vite associable au cookie de B :poke:



Si on rajoute un poil de fingerprinting (l’IP étant déjà vachement discriminante), je pense qu’il y a moyen d’associer les deux cookies quasiment à chaque fois, y compris en cas d’usage d’une connexion partagée par de nombreuses personnes (entreprise, université, etc…)

Le 15/06/2022 à 08h 11

Le roi est mort, vive le roi.



IE est mort, vive Chrome :craint: (oui, c’est la fin de vie officielle pour IE aujourd’hui pour ceux qui ne le saurait pas !).



C’est quand même triste de retourner dans les méandres du passé, où au final, une entité va décider de l’évolution de ce qui est faisable ou pas…

Le 14/06/2022 à 21h 23


Je ne pense pas que la CNIL contactera les personnes identifiées.


C’est pourtant ce qui est dit dans la news :




La CNIL « vérifiera si, sur la base de ce jeu de données, elle est en capacité de réidentifier les personnes et, dans l’affirmative, elle informera individuellement celles-ci. »


L’information pourra être faite par courrier postal. Avec les informations de géolocalisation, il y a de grande chance de réussir à trouver le domicile des personnes concernées. Les contacter sera donc facile.

Le 10/06/2022 à 12h 08

Je n’ai pas vraiment vu de stat là-dessus. Maintenant, je pense que Copie France fait quand même profil bas au sujet des pro.



Aujourd’hui, il touche indument une manne assez conséquente simplement par l’absence de demande de remboursement, car les gens ne sont pas au courant.



Mes derniers remboursements sont passés sans soucis, et pourtant, je n’ai pas spécialement été explicite sur pourquoi je commandais 3 disques dur externe (j’ai simplement mis “backup”).



Maintenant, s’ils refusent trop, ils risquent de se prendre le législateur et/ou l’Europe dans la figure qui viendrait mettre un terme aux millions qui tombent de la part des professionnels. Donc bon…



[mylife]
J’externalise ma compta dans un cabinet comptable. C’est moi qui ai du expliquer ce qu’était le RCP lorsqu’il a vu passer un remboursement ! Donc si même les comptables ne sont pas au courant, je pense qu’il y a encore du chemin à faire…
[/mylife]

Le 10/06/2022 à 08h 43

Sauf erreur, il me semble que la mention du montant de la RCP est obligatoire sur la facture. Obligation non suivie par de nombreux professionnels, certes, mais cela n’en reste pas moins une obligation.



Donc, comme l’obligation n’est pas suivie, on crée un label à la place ? Un label qui se contente finalement de dire “oui oui, chez XXX on respecte la loi” ? :reflechis:

Le 10/06/2022 à 08h 49

Et quel est l’empreinte écologique de ce calcul totalement inutile ? Car bon, c’est pas juste un serveur qu’ils ont laissé tourner pendant 157j…



Car bon, pour citer les citer :




La protection de la planète se retrouve dans chacune de nos initiatives.


Le 08/06/2022 à 07h 59

Hors lobbying, la seule explication que je vois c’est pour des raisons de sécurité. Un lave-linge/sèche-linge/lave-vaisselle ont très souvent des carlingues métalliques, et donc conductrices. Un micro-onde pourrait perdre son étanchéité, et un four son isolation et donc être source d’incendie.



Et dans ce cas, quid de la responsabilité en cas de problème ? La faute au fabriquant ? La faute au “bricoleur du dimanche” (ne pas y voir d’aspect péjoratif, c’est juste pour dire bricoleur non professionnel dans le sens où ce n’est pas le métier. Car sinon, il peut y avoir des bricoleurs du dimanche très pro et des pro très bricoleur du dimanche :mdr: ).

Le 06/06/2022 à 09h 20

Je ne sais pas ce qui est le plus remarque. Le sous-titre, ou la phrase de conclusion ?
Pour les deux :dix:

Le 03/06/2022 à 06h 32


fofo9012 a dit:


Une appli européenne (je n’ai pas écrit de mutualiser les données, je parle bien uniquement de l’applicatif) serait 27x plus pertinente !


Et 100x moins cher au global (on divise par 28 pour le nombre de pays, et le 3x restant, c’est les divers connexions et interopérabilités en moins à faire)



+10000 pour le reste sinon.

Le 31/05/2022 à 08h 36


Tirnon a dit:


vu que ce sont des données personnelle appartenant à des personnes qui ne donnent pas leurs consentement, quel est la base légale de la collecte et du traitement ?


La seule base légale exploitable est celle de l’intérêt légitime.



Par contre, je ne suis pas certains que cette base serait validée par la CNIL. En effet, les suggestions d’amis :




  • ce n’est pas obligatoire pour que le réseau fonctionne

  • ils peuvent déjà se baser sur les amis en commun ayant un compte facebook

  • est un traitement à grande échelle



Sauf que… l’autorité compétente n’est pas la CNIL français mais la CNIL irlandaise, qui fait preuve d’un certain laxisme à ce sujet .

Le 25/05/2022 à 06h 30


Il manque toujours le support de .NET MAUI (Multi-platform App UI), mais il approche : on le trouve dans la préversion 17.1, elle est aussi disponible. À noter que MAUI vient d’être lui aussi finalisé.


En même temps, c’est la même chose sous Windows donc bon… MAUI est en RC et devrait être dispo avec Visual Studio 17.2. J’ai hâte :D

Le 23/05/2022 à 12h 53


Gamble a dit:


J’ai l’impression que le gars il a bien fumé et croit qu’il n’y a que lui qui a le droit de vendre des chaussures avec des semelles rouges


Quand un élément est associé à une marque, oui, c’est possible (je ne dis pas que c’est bien, je dis juste que c’est juridiquement possible).



Apple a bien breveté les téléphones avec bords arrondis… un clown rouge et jaune désigne indubitablement le personnage de Ronald McDonald, un chocolat violet c’est milka, etc…



Que des chaussures rouges soient associées à Louboutin, why not… (mais là, je en suis pas assez caler en mode et cordonnerie pour le dire !)

Le 23/05/2022 à 05h 57

Je ne dis pas que le 13 pouces n’est pas utile, je dis que cela ne répond pas à mon besoin (pour avoir déjà essayé).

Le 21/05/2022 à 17h 59

Sauf erreur, ils ne proposent que des écrans de 13”. C’est petit quand même :/
Si l’idée derrière est pas mal, la réalité économique + incertitude sur la disponibilité des pièces + marché de niche rend quand même le principe difficilement viable sur le long terme. Mais j’aimerais bien me tromper !

Le 21/05/2022 à 20h 22


Jodoigne a dit:


Oui mais pourquoi alors vendre une offre sans backup. Cela ne fait pas très pro. Cela devrait=être expliqué pour les débutant webmaster.


Désolé, mais c’est expliqué. Quand tu prends un VPS, tu as les options “sauvegarde automatique” et “sauvegarde manuelle” qui sont bien mises en avant. Et quand on lit le descriptif des VPS, il est clairement indiqué que la sauvegarde est une option. Rejeter la faute du webmaster sur l’hébergeur c’est facile. Il est débutant, il fait des erreurs, c’est à lui d’en assumer les conséquences. Point.



La plupart des hébergeurs “grand public” ne fournissent pas de solution de backup intégré. C’est une option supplémentaire, ou il faut le faire soi-même. Scaleway, Ikoula sont dans le même cas. o2switch est famélique sur les sauvegardes réalisés (durée de rétention, accessibilité, et fréquence inconnues), et LWS précise carrément que les sauvegardes gratuites sont sans aucune garantie (ce qui est encore pire que l’absence de sauvegarde à mes yeux). OVH a le mérite d’être très clair là-dessus par rapport à ses concurrents.



Maintenant, il faut aussi arrêter de se leurrer. Un service à 3, 4 ou 5€/mois, il ne faut pas s’attendre à avoir un hébergement 3 étoiles… Quand on veut du low cost, on a du low cost.



Note : je ne bosse pas pour OVH. Je me suis même fait avoir avec l’incendie, puisqu’à l’époque où j’avais pris des VPS chez eux (quelques années), il y avait un backup hebdomadaire qui était réalisé (non accessible, et uniquement pour leur besoin interne en cas de panne). Ce qui me suffisait amplement vu le peu de criticité de mes services hébergés. Sauf que les conditions ont changés et que même ce backup là n’existe plus.

Le 20/05/2022 à 06h 56

Vu le sujet, je pense que c’est plutôt Jacquie et Michel la référence ici ;) !

Bien évidemment. C’était juste une pointe d’humour ;) J’ai d’ailleurs applaudie le sous-titre plus haut, ce n’est pas pour rien :mdr:

Le 19/05/2022 à 20h 28


(reply:2073702:Penguin of Caerbannog)


(pour celles et ceux qui ne connaitraient pas) :
https://i.pinimg.com/564x/f8/38/73/f8387342410dddd76da7ad82ef4a9a83.jpg
https://i.ebayimg.com/images/g/xFUAAOSwCxtfvTF~/s-l500.jpg”



what else ? :D

Le 19/05/2022 à 18h 55


(reply:2073692:Penguin of Caerbannog)


Les plus “anciens” se souviennent aisément de la publicité Mamie Nova ;)

Le 19/05/2022 à 18h 29

Ce sous-titre… :bravo: :dix:

Le 19/05/2022 à 06h 29


S’ils ne proposent pas d’autre voie, ils devront pouvoir démontrer « qu’un autre éditeur propose une telle alternative sans conditionner l’accès à son service au consentement de l’utilisateur au dépôt de traceurs », autrement dit sans mur. Traduction, un site peut se défendre de ne pas proposer d’alternative s’il prouve que les informations recherchées sont disponibles ailleurs et sans cookies.


J’avoue ne pas vraiment comprendre cette position. Un site, en tant que responsable de traitement n’a, en théorie, à se soucier que de son site. En quoi une information potentiellement accessible ailleurs change-t-elle, de quelque manière que ce soit, les traitements réalisés par le responsable de traitement ?



Le seul cas où je pourrais éventuellement comprendre cette position, c’est si sur le cookie wall était affichée l’URL où l’information est disponible… sans cookie wall !

Le 03/05/2022 à 15h 47

Cela n’entre pas dans la définition de l’obsolescence programmé. Cela complique un peu l’installation des applications mais n’empêche pas leur bon fonctionnement (sauf ben sûr les applications qui vont demander des versions récentes).



Pour que cela puisse être considéré comme de l’obsolescence programmé, il faudrait que l’appareil deviennent totalement inutilisable, ce qui n’est pas le cas ici. Mais aussi prouver que cela est fait intentionnellement pour forcer l’utilisateur à en racheter un et c’est plus compliqué.



En revanche on pourrait se plaindre du monopole de Play store et de la trop grande dépendance du système vis à vis de cette boutique.

C’est effectivement la définition “initiale”. Elle est beaucoup plus étendue aujourd’hui, et ne plus pouvoir jouir pleinement de son téléphone est considérée comme de l’obsolescence programmée.



Il suffit de prendre le cas d’Apple qui s’est justement pris des attaques (réglées à l’amiable pour éviter le procès !) à ce sujet suite aux ralentissements des iPhone 6 et 7 à cause d’une mise à jour par exemple.



Si installer des applications sera toujours possible, cela signifie aussi installer depuis des sources non sûr, avec tous les soucis que cela peut provoquer.



Si le public de NextINpact pourra très certainement installer des applications (nous sommes un public d’avertis), cela ne sera pas le cas pour beaucoup, qui ne connaissent même pas l’existence de moyens alternatifs. Ne pouvant plus installer d’applications, ils seront donc incités à changer de téléphone.



En bref, si ce n’est pas une obsolescence programmée absolue, cela n’en représente pas moins un frein énorme pour beaucoup.



Là où l’histoire se complique, c’est que le vendeur du terminal n’est pas forcément l’éditeur d’Android. Mais Google vend aussi des terminaux donc peut éventuellement se voir attaquer pour obsolescence à cause de cela.



Par contre, un nième abus de position dominante reste lui tout à fait possible.

Le 03/05/2022 à 13h 42

Au sujet de Google, si je comprends bien, le Play Store n’aura plus que des applications nécessitant un niveau d’API récent.



Là, je vois bien l’Europe se pencher là dessus, car bonjour l’obsolescence programmé des terminaux qui ne sont plus maintenus à jour : il deviendra impossible d’y installer la moindre application via le Play Store, tout en tuant une bonne partie du reconditionné pour smartphone.



Même s’il y a des alternatives (store alternatif, installation en direct des APK) c’est un très mauvais signal qui est envoyé pour la durée de vie de nos appareils.

Le 02/05/2022 à 12h 36

Idem, même avis.

Le 02/05/2022 à 12h 32

En fait, je ne vois pas ce que ça a d’irréaliste. A l’écrit ça semble un peu long, mais à l’oral ça prendre littéralement 15 secondes, ça permet de fournir une information claire et précise au client.

Ce qui me parait irréaliste :




  • le client doit se répéter

  • il doit écouter une diatribe digne d’Otis pendant au moins 1 min (et je suis gentil, je fais l’hypothèse d’une communication réseau claire et d’absence de problème d’ouï et/ou d’élocution)

  • vu la quantité d’informations données oralement, quasiment rien ne sera retenu.



Est-ce que la personne de SFR a fait tout un speech, t’informant de tes droits, des traitements, du responsable de traitement, du DPO, etc… ou s’est-elle contentée de poser des questions en relation directe avec le service ?



Car d’après la CNIL, “la conversation va être enregistrée pour valider vos choix” n’est pas suffisant justement.

Le 02/05/2022 à 08h 44

Hmmm, j’imagine bien la scène pour que tout cela soit licite.



Client © : c’est bon j’achète
Vendeur (V) : OK, je vais donc activer l’enregistrement de la conversation à partir de maintenant et vous demander de répéter votre validation afin de valider le contrat en l’absence d’écrit. Etes-vous d’accord ?
C : ok, pas de souci.
(le vendeur démarre l’enregistrement)
C : C’est bon j’achète
V : je vous informe donc que votre consentement oral a été validé et enregistré. A ce titre, le responsable de traitement est M. X, archiviste intérimaire de la société Guacamole Production. Cet enregistrement sera conservé afin de servir de preuve si nécessaire quant à l’existence du contrat qui nous lie maintenant. Le traitement réalisé sera celui lié à la prestation de service que vous venez de valider et à donc pour base légale la conclusion d’un contrat. Les données ne serviront que pour un usage interne et ne seront pas communiquées à des tiers. La durée de conservation de ces données est celle de la durée d’exécution du contrat + 5 ans. Vous aviez la possibilité de vous opposer à cet enregistrement et vous avez validez le fait que cette conversion soit maintenant enregistrée. Vous pouvez exercer vos droits d’accès et de rectification en contactant notre service clientèle au 0800 XYZ Tartampion ou en envoyant un e-mail à [email protected]. Vous avez également la possibilité d’adresser une plainte à la CNIL directement depuis son site internet https://www.cnil.fr.



Ca me parait un peu irréaliste quand même :D :windu:

Le 24/04/2022 à 10h 14


Mihashi a dit:


Tu admettras que le max du barème fixé à la moyenne de ce qui se faisait avant, c’est un peu du foutage de gueule, non ?


Je serais d’accord si c’était effectivement le cas. Sauf que cela ne veut rien dire. Tout d’abord, car il y a plusieurs barèmes (2 pour être précis, en fonction de la taille de l’entreprise).



Ensuite, comme il s’agit d’un barème, il dépend de variables : l’ancienneté, et le salaire. Le barème est simple : pour X années, le max c’est Y mois de salaire, avec une correspondance quasi-linéaire entre les deux jusqu’à 10-15 ans d’ancienneté.



Si on prend l’affirmation (qui reste encore à prouver) que le max du barème est fixé à la moyenne de ce qui se faisait avant, alors, on a :





C’est factuel et vérifiable. Note bien que je ne dis pas que je suis pour ou que je suis contre. Je ne fais que vérifier les informations. On m’a dit que le max des barèmes étaient calculés sur la moyenne avant. Ben non.



Si on creuse encore plus, on voit bien qu’il y a de grosses différences entre un salarié avec peu d’ancienneté et beaucoup d’ancienneté, et que même en essayant d’appliquer l’affirmation du calcul du max basé sur la moyenne pour chaque tranche du barème (et non plus sur le barème entier), cela ne tient pas.



Voilà, j’ai juste fait un travail de vérification. Le barème est loin d’être parfait, il présente de nombreux inconvénients à mes yeux. Mais il est là et il faut faire avec. Affirmer des choses fausses, sans source ni argumentation pour dézinguer un truc “injuste” ne rend pas les choses vrais pour autant, bien au contraire.

Le 23/04/2022 à 13h 49


Patch a dit:


Voilà comment on calcule une moyenne, que tu ne sembles pas savoir : https://www.brevetdescolleges.fr/articles/outils/comment-calculer-moyenne/


Merci de prendre les gens pour des imbéciles. Pour calculer une moyenne, il faut des chiffres. Ces chiffres, se sont les cas réel. Ce qui se fait (et ce qui semble tellement te déranger).




Je ne suis pas sûr que tu aies compris toi-même ce que tu voulais dire…


Comprendre avant la mise en place des barêmes.




C’est quoi que tu ne comprends pas dans “maximum de l’ancienne moyenne”, exactement?


Et si tu prenais le temps de lire, et surtout de comprendre ce que les autres écrivent ?




Je n’ai pas vu beaucoup de TPE/PME s’amuser à dégager qqu’un sans cause réelle et sérieuse…


Je vais t’apprendre un truc sur les licenciements sans cause réelle et sérieuse. Cela ne désigne pas se séparer d’un salarié juste sur un coup de tête parce qu’on en a envie. Licencier un salarié nécessite un motif (c’est obligatoire). Maintenant, si le motif n’est pas assez précis ou ne requiert pas obligatoirement un licenciement, les prudhommes peuvent requalifier le licenciement en un licenciement sans cause réelle et sérieuse.



Bref, c’est soumis à interprétation, donc très subjectif. Et dans les TPE/PME, il y en a.




Simple : sur tous tes commentaires ici, tu trouves parfaitement normal de limiter fortement ce que peuvent donner les prud’hommes.


Donc, tu passes d’un “Que le barême en lui-même ait été plus ou moins déterminé en fonction de ce qui se fait en général n’a rien de choquant.” à “Bon après si tu trouves parfaitement normal de te faire dégager sans aucune raison valable et de n’avoir aucune compensation derrière”



Et tu as le culot de me dire que tu n’interprètes pas ???




Source du contraire, vu qu’à la base c’est toi qui affirmais que c’était énormément voire une majorité?


Mes sources, je les ai déjà donné, n’inverse pas.




Et surtout, quel intérêt pour Jupiter d’avoir limité un coût s’il ne touche au final qu’une maigre proportion des licenciements attaquables, vu que ca ne rapporterait que des clopinettes à ses copains?


Voilà, tout est dit. De toute façon, avec un tel discours, un patron est forcément un salaud qui veut abuser de ses employés et les virer sans rien payer, et les salariés sont tous des gentils agneaux.



Bref, discussion impossible dans ce contexte. Bon week-end à toi, et bonjour le blocage :)

Le 23/04/2022 à 11h 33


Patch a dit:


Pas en fonction de ce qui se fait. En fonction de la moyenne.


Et la moyenne est calculée comment ? En fonction de ce qui se fait… (enfin faisait en l’occurence)




Donc coût moindre pour les employeurs, qui peuvent s’en donner plus facilement à coeur joie,


Moindre non, car c’est en fonction de la moyenne comme tu le prétends. Moindre dans certaines situations peut être, et plus dans d’autres. La mise en place des barêmes a eu un effet “uniformisant”




vu qu’ils savent déjà que même dans le pire des cas, les bénéfs seront à peine touchés.


Là, tu dois avoir en tête les grosses entreprises. Car pour les TPE/PME (la très grande majorité des entreprises en France, rappelons le), c’est bien loin d’être le cas (et encore faut-il qu’il y ait des bénéfices).




Bon après si tu trouves parfaitement normal de te faire dégager sans aucune raison valable et de n’avoir aucune compensation derrière (ou juste une merde pour dire que)…


Où ai-je écrit cela ? Arrête d’interpréter dans tous les sens stp.




Ce qui n’est pas le cas de l’énorme majorité des licenciements sans cause réelle et sérieuse, donc. Merci de la confirmation :chinois:


source ?

Le 23/04/2022 à 08h 19


Patch a dit:


Le max a été déterminé en fonction de la moyenne d’avant, je confirme. Faut surtout pas que ca coûte trop cher de licencier sans cause, tout de même…


Les “paramètres” sont simples : nombre d’années d’ancienneté + salaire de la personne.



Que le barême en lui-même ait été plus ou moins déterminé en fonction de ce qui se fait en général n’a rien de choquant.




Tu connais beaucoup de licenciements suite à dénonciation de crime ou délit, toi? :keskidit:


Pour que je te le cite de mémoire, oui :p Maintenant, suite à une petite recherche, voici les cas (source) :




Par exception, les planchers et les plafonds ci-dessous ne s’appliquent toutefois pas dès lors que la nullité du licenciement est liée




  • à la violation d’une liberté fondamentale,

  • à un harcèlement moral ou sexuel,

  • à l’application d’une mesure discriminatoire,

  • à une action en justice du salarié sur la base des règles relatives à l’égalité professionnelle entre hommes et femmes,

  • à la dénonciation d’un crime ou d’une délit (chouette, je n’ai pas dit de bêtise !),

  • à la violation des règles sur les salariés protégés ou des règles protectrices des salariées enceintes, des salariés en congés de naissance ou d’adoption ou des salariés victimes d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle.


Le 23/04/2022 à 08h 05


  1. sauf erreur, le max est fonction de l’ancienneté du salarié, et absolument pas d’une quelconque moyenne

  2. les barèmes ne s’appliquent pas dans tous les cas. Il y a encore de nombreux cas non soumis à barème (par ex. nullité du licenciement suite à la dénonciation d’un crime ou d’un délit). Je sais qu’il y en a beaucoup d’autres, mais je ne les ai pas en tête :chinois:

Le 19/04/2022 à 15h 56

“C’est la CADAstrophe”, doivent-ils penser au ministère de la l’Education :mdr:

Le 16/04/2022 à 13h 44


Citan666 a dit:


Il y a beaucoup de vrai dans ce que tu dis. Cela dit, j’apporterais quelques nuances… 1/


Merci. Et je vais me permettre d’ajouter des nuances aux nuances ;)




Embaucher quelqu’un en interne, à fortiori en CDI, ça permet aussi de se projeter sur un temps plus long et donc mieux gérer le “tuilage” (ce terme magique désignant le transfert / partage de compétences et connaissances) et mettre en place une stratégie d’autonomie.



2/ “Un mauvais recrutement coûte cher. ” Bah je peux te confirmer que ça coûte potentiellement beaucoup moins qu’un presta quand tu embauches celui-ci pour des mois. :mdr:


Tout est dans le potentiellement ;) Je peux te garantir que j’ai déjà vu le contraire ! Un mec pas au niveau, qui ne fait pas (ou très mal) son boulot, obligeant les autres à repasser derrière. Invirable, car bossant dans une entité “régionale”, personne ne veut prendre la décision de mettre fin à son contrat depuis la fusion des régions (c’est tellement la guerre parfois entre les services…)




3/ Un salarié n’est pas virable facllement Ma foi, autant pour les fonctionnaires cela semble vrai, autant pour les contractuels en CDD puisque a) ce sont généralement des CDD entre 1 et 2 ans et b) jusqu’à récemment tu ne touchais aucune prime de précarité (et maintenant ça existe mais uniquement pour une petite partie des CDD) ce n’est pas si compliqué. Au pire tu ne renouvelles pas, point.


J’ai l’impression (à toi de me corriger si je me trompe) que tu fais référence à des emplois dans le public ou l’administration. Pour les CDD, la prime de précarité par exemple, c’est la norme (et pas pour une petite partie des CDD, mais pour tous, en tout cas dans le privé).



Si tu te rends compte au bout de 6 mois que la personne ne fait pas l’affaire ou a arrêté de bosser, et que le CDD est d’une durée de 1 an, tu as encore 6 mois à attendre avant de mettre fin au contrat. Avec l’effet pervers possible que le salarié ne travaille plus si tu lui dis qu’il ne sera pas renouvellé. Du coup, non seulement il ne rempli pas sa mission, mais en plus tu le payes.



Enfin, il n’est pas rare d’avoir dans le public des plans triennaux, quadriennaux, etc… pour lesquels le recours en CDD est normalement banni de par leur durée (donc CDI obligatoire). Sauf que… qu’est-ce qu’on fait au bout de 3 ou 4 ans quand le besoin n’est plus là ?



L’externalisation permet d’avoir un cout défini à l’avance sans engagement (coût qui sera plus élevé que l’internalisation, je le concède)




4/ Un prestataire apporte-t-il une garantie en responsabilités ? Ce pourrait (devrait ?) être l’argument premier du recours à la prestation de services : on paye, cher, un expert, donc on doit pouvoir le shooter quand ça se passe mal, et ça justifie le prix. N’est-ce pas ? Sauf que dans les faits jamais rien n’est fait envers les entreprises prestataires. Au mieux le presta concerné est remplacé et… C’est tout.


Dans un sens, c’est déjà pas mal. Remplace presta par salarié, et tu ne peux pas le remplacer ;)




C’est vraiment de la poudre aux yeux, de la gestion court-termiste dont on met les conséquences sous le tapis. D’autant que…


Entièrement d’accord. On préfère payer plus cher sur du court-terme que d’investir sur le long terme (et souvent payer moins cher).




5/ L’ interne (contractuel ou fonctionnaire), tu peux nettement plus facilement le “gérer” au final


Ah là, on n’est pas d’accord. Un interne “volontaire” oui, tu peux facilement le gérer. Un “interne qui n’y met pas du sien” non. Il s’opposera à tout changement, ne sera pas productif dans son travail, fera perdre du temps aux collègues qui doivent repasser derrière, sans compter les innombrable réunion pour savoir ce que l’on fait de lui sans jamais réussir à prendre la décision de le virer (et le pire, c’est que je ne caricature pas, je constate ça chez un client :craint: )

Le 15/04/2022 à 11h 51


Ramaloke a dit:



On marche sur la tête ? A peine. Parait que les boites préfèrent payer des consultants que des salaires (OPEX c’est mieux que des charges en comptabilité il parait).


C’est pas complètement faux. D’une, certaines cotisations que paient une entreprise est basée sur la masse salariale (taxe d’apprentissage, comité d’entreprise quand il y en a un, participation de l’employeur à l’effort de construction etc…). Plus de consultants donc moins de masse salariale, donc moins de charges.



De deux, un consultant est “virable” facilement, contrairement à un salarié => gain en flexibilité. Et virer un consultant ne coute pas cher, contrairement à un licenciement (même un licenciement dit “économique” coute très cher).



Restructurer une entreprise faisant appel à des consultants est plus simple qu’avec des employés car il n’y a aucune obligation de “recaser” le consultant.



Voilà, donc oui, si on regarde sur un mois, ça coute plus cher. Sur on regarde sur des années, ça peut couter moins cher (un mauvais recrutement peut coute très cher, une personne enchainant les arrêts maladie aussi, la formation également, etc…)

Le 13/04/2022 à 21h 40

:copain:




Misocard a écrit :



Si ils avaient quelque chose à gagner de la fin du réchauffement climatique ça ferait longtemps qu’on aurait mis en place une solution :)



Les grands esprits se rencontrent :)



:copain:

Le 13/04/2022 à 12h 00


misocard a dit:


L’idée n’est pas nouvelle (enfin, j’espère, j’y pense depuis 15 ans) … le soucis ça reste d’évaluer l’empreinte carbone des produits de base.



Je propose de confier cela à Copie France. Quand on voit ce qu’ils ont réussi à faire pour la RCP, nul doute qu’ils pourraient faire des miracles dans ce domaine également



:humour:

Le 07/04/2022 à 06h 22

Merci beaucoup, je mets ça dans mes favoris pour y jeter un œil quand je serais sur le sujet :inpactitude:

Tu peux aussi les retrouver sur https://www.gog.com/. Pas cher, et il y a même des versions remasterisées !

Le 06/04/2022 à 06h 50

Information Contract Exchange Board for European Rules Greenwhasing



(Greenwhasing, c’est qu’il faut bien mettre un côté écolo quand même :mdr: )



Et bienvenue Ilda :)

Le 31/03/2022 à 12h 04


fry a dit:


arghl, je viens de réaliser une analogie : “c’est l’acte de diffusion qui est taxé” <= sous prétexte de dédommager les groupes qui n’ont pas été embauchés pour faire de la diffusion en live


Pas du tout. Il existe juste une multitude de société de gestion collective (SACEM, SEAM, SACD, etc…) et qu’il revient à la SACEM de percevoir les droits et de les répartir ensuite à qui de droit. Ce droit est pour l’usage d’oeuvre phonographique dans un lieu public.



Le montant des droits perçus n’est pas dépendant du contenu diffusé (mais d’autres variables comme le type de lieu, si c’est payant ou pas, le budget, etc…) , mais la répartition l’est (en théorie du moins).

Le 31/03/2022 à 09h 17

On en est pas loin. Je prends l’exemple de devoir payer même si diffuse de la musique libre de droit…
voir : https://musique-libre.org/doc/diffusion-de-musiques-libres-dans-un-lieu/
et nextinpact.com Next INpact

Oui, c’est ce que je disais. Que la musique soit soumis à droit d’auteur ou pas, tu dois payer la SACEM. C’est malheureusement la loi qui est comme ça (grosso modo, tu payes à la SACEM pour toute diffusion de musique dans un lieu public, qu’importe la musique et le fait qu’elle soit libre de droit ou non, c’est “l’acte de diffusion” qui est “taxé”, et non le contenu de la diffusion).

Le 29/03/2022 à 10h 23

Malheureusement l’un n’empêche par l’autre.
Exemple, si tu fais fait une soirée étudiante (sans PAF) donc gratuite et bien tu dois bien payé la SACEM…

Rien à voir. Une soirée étudiante n’a pas vocation a être gratuite (elle peut, mais ce n’est pas une obligation). Ensuite, c’est SI tu diffuses de la musique que tu dois payer à la SACEM (que la musique soit soumise à droit d’auteur ou non ne change absolument rien en plus).



Dans le cas du cloud, (et si on continue l’analogie) c’est vous faites une soirée donc vous payez à la SACEM, que vous diffusiez ou non de la musique.

Le 28/03/2022 à 19h 29

Avec 18 milliards de dollars de bénéfices en un trimestre, je n’ai pas de craintes pour la rentabilité de Google honnêtement. :D



Bref, encore une fois, on verra bien ce qu’ils trouveront dans leur chapeau pour taxer ces offres. Perso les cris d’apocalypse, ça fait des années que je les entends. Donc c’est pour ça que je n’y prête plus attention et ne me permettrait pas d’être aussi catégorique sur la suite des événements.

Faudrait quand même rapporter les bénéfices des utilisateurs français. Google ne fait pas 18 milliards par trimestre en France. Il fait beaucoup moins ;)



Et à force de le ponctionner de partout (on en est quand même à quelques milliards d’amendes rien que pour ces deux dernières années) plus les lois qui vont minimiser l’impact de l’optimisation fiscale (optimisation dans lequel ce genre de groupe excelle).



Le plus gros des recettes de google, c’est quand même via la publicité. Donc des services comme le drive… Il serait intéressant de savoir ce que cela leur rapporte d’ailleurs.

Le 31/03/2022 à 09h 36

Que DOS et DDOS ne soient pas traduit de la même manière (saturation vs interruption) ne me gêne pas. Si l’objectif de l’attaque est le même, le principe est radicalement différent.



Par contre, je trouve le terme “collectif” bien mal choisi. Collectif sous-entend plusieurs attaquants, ce qui n’est pas toujours le cas (rarement en fait). Le terme “distribué” ne me parait pas non plus des plus adéquats. J’aurais plutôt vu quelque chose comme “réparti” ou “décentralisé”.



Bref, pour DDOS, j’aurais donc plutôt vu une “attaque décentralisée par saturation de service”

Le 28/03/2022 à 15h 11


Une croix sur le X ?


Ca marche aussi dans l’autre sens : le X sur la croix :mdr: