PS : T’as pas le sentiment d’avoir raté ta vie à poster ce genre de commentaires ?
De la part du trolleur pathologique, c’est la meilleure de l’année ! Merci mec (ou nana, j’en sais rien), mais tu as fais ma journée.
Le
15/08/2023 à
09h
20
J’avoue que je suis un peu sceptique (et pourtant, j’ai l’habitude de vous défendre).
Mais là, on est passé de “sauf miracle, il reste quelques semaines à vivre” à une “situation financière fragile”. Sauf à ce que j’ai raté un épisode (ce qui reste possible) j’avoue ne pas vraiment comprendre comment on a pu passer de l’un à l’autre (même si une partie de moi se réjouie) alors que d’après les chiffres communiqués, les dons & consorts recueillis permettaient à peine de prolonger la durée de vie d’environ 1 mois 1⁄2.
Que les discussions avec des repreneurs avancent, c’est tant mieux. Mais je reste prudent et attend de voir une discussion aboutie avant de crier ouf.
Pour autant, rien n’empêchait les utilisateurs de se rendre d’eux-mêmes sur le site Internet de l’application pour se renseigner.
Techniquement non.
Je regrette ce manque d’autonomie des utilisateurs
Est-ce un problème d’autonomie ou de praticité ?
cela ne coûte pas grand chose d’aller vérifier sur le site Internet s’il y a d’autres abonnements possibles que celui proposé dans l’application.
Justement. Le choix ce fait depuis l’application. Pas chez un revendeur tier. La seule étape qui sort de l’application, c’est le paiement, via Apple Pay. Pourquoi l’utilisateur penserait qu’il existe d’autres possibilités via le site et qui ne serait pas proposée par l’application officielle ? De ce fait, Apple Pay est vu par beaucoup d’utilisateur comme un simple prestataire de paiement, alors que ce n’est absolument pas le cas en réalité.
Le
17/08/2023 à
08h
45
(quote:2147174:Jean de Tolbiac) Il me semble qu’Apple interdit de parler des autres tarifs au sein de l’application, pas en-dehors où elle ne contrôle pas ce qui se passe.
Maintenant oui, mais cela n’a pas toujours été le cas. Il faut dire qu’Apple s’est pris une class action à ce sujet. Le communiqué d’Apple (donc forcement biaisé avec un air de “vous voyez, on est gentil” mais source incontestable) le précise.
Apple today announced a number of changes coming to the App Store that, pending court approval, will resolve a class-action suit from US developers. […] The agreement clarifies that developers can share purchase options with users outside of their iOS app.
Sur cet article, il est précisé que les nouvelles règles d’Apple ont supprimé la clause 3.1.3 qui empêchait les développeurs de contacter leurs utilisateurs iOS.
Et malgré cette class action, il est toujours interdit de préciser, dans l’application, l’existence de moyens alternatifs.
Le
16/08/2023 à
08h
52
Je maintiens que c’est le problème de l’utilisateur, je n’ai pas besoin qu’on me prenne par la main pour comparer des tarifs avant de prendre un abonnement. Indépendamment du fait qu’Apple prenne ou non une commission.
Si je paye Spotify 10 € par mois ou 13 € par mois pour le même service, ce n’est pas anodin sur ma facture annuelle.
Le seul problème que je vois, c’est la distorsion de concurrence avec les services “équivalents” d’apple, qui ne sont pas soumis à cette comission.
Le fait que TU n’ais pas besoin ne signifie pas que d’autre ne l’ait pas.
Comparer les tarifs entre concurrents, c’est une chose. Mais c’est autre chose de comparer les services d’une même société en fonction du moyen utilisé pour y souscrire.
Si pour toi, il n’y a absolument aucun souci à ce que contractuellement, une société A empêche une société B de communiquer comme elle le souhaite, c’est dommage. Ce serait pourtant bien pratique pour toi (surtout que, pour reprendre tes dires 3€ / mois ce n’est pas anodin sur ta facture actuelle), que tu puisses être informé que tu peux payer moins cher en changeant simplement le moyen de paiement.
Sauf que tu n’as pas le droit d’être informé qu’il existe une alternative, et encore moins d’être informé qu’elle est moins chère. Et comme Apple à le monopole sur son système de paiement au sein de son écosystème, le seul choix qu’aurait l’entreprise, c’est simplement de ne pas fournir de service pour les détenteurs d’iPhone.
Si tout le monde agissait comme Apple, des choses comme les comparateurs de prix entre distributeurs de produit seraient tout simplement illégal.
Le
16/08/2023 à
07h
50
Tandhruil a dit:
Donc le problème n’est pas l’Appstore mais les utilisateurs. Perso je suis abonné sur PC et j’utilise les app sur IOS et android sans pb. Si les gens ont suffisamment d’argent pour payer 30% plus cher parce qu’ils ne souhaitent pas réfléchir, c’est leur problème.
Je ne ferai que répéter ce que j’ai déjà dit, en mettant en gras la partie que tu sembles oublier
L’éditeur peut tout à fait pratiquer 2 tarifs différents (un sur l’AppStore, l’autre directement sur son site). Sauf qu’il n’a pas le droit de dire que les montants sont différents, ni d’expliquer pourquoi. C’est ça, le système Apple
En bref, dire que le problème, c’est les utilisateurs, c’est oublier que contractuellement, l’éditeur n’a pas le droit de les prévenir. Ici, le public est “averti”, donc on sait tous plus ou moins qu’Apple prend une commission. C’est loin d’être le cas de tout le monde.
Le
12/08/2023 à
15h
00
Attention, Epic avait mis en place des achats in-app en utilisant un autre système qu’ApplePay, ce qui allait a l’encontre des conditions d’utilisation. Mais cela restait des achats in-app.
Pour des achats hors app (out-app ?), en passant via le site Web par exemple de l’éditeur, Apple n’a rien à dire.
Le
12/08/2023 à
13h
40
(quote:2146678:127.0.0.1)
Ca oblige donc l’éditeur soit à rogner sa marge sur l’Apple Store, soit à augmenter ses tarifs partout ailleurs.
L’éditeur peut tout à fait pratiquer 2 tarifs différents (un sur l’AppStore, l’autre directement sur son site). Sauf qu’il n’a pas le droit de dire que les montants sont différents, ni d’expliquer pourquoi. C’est ça, le système Apple
Le
12/08/2023 à
11h
05
Breizhad a dit:
Pour le problème n’est pas en soit la commission d’Apple (et des autres) mais son montant.
Le gros problème, n’était pas le montant de la commission, mais l’interdiction faite ne serait-ce qu’évoquer la possibilité d’un moyen de paiement alternatif (comme aller directement sur le site de l’éditeur). Et encore moins le fait de dire que c’était moins cher. Sur ce point, Apple s’est d’ailleurs pris un beau revers et a dû se soumettre.
Pour Spotify, l’histoire est un brin plus complexe, puisque Apple proposait les mêmes services, sans la commission (ce qui créait une distorsion de la concurrence).
Sachant que bientôt, les stores alternatifs seront disponibles sur iOS (au moins pour l’Europe). D’ici la fin de l’année si j’ai bien suivi l’histoire.
Alors non, authentification et identification ne veulent pas dire ça !
L’authentification, c’est le fait de vérifier que personne est connue, par exemple vérifier que je suis bien Edtech. Généralement, un mot de passe suffit à prouver que c’est bien son compte. Mais ça n’indique pas qui on est vraiment.
L’identification, c’est de vérifier mon identité, à savoir qui est vraiment la personne derrière le pseudo Edtech. Pour ça il faut une pièce d’identité et un contrôle entre elle et la personne qui fait la demande, ou bien passer par un tiers de confiance qui nous a déjà identifié (l’identité numérique de la Poste par exemple).
Dans certains cas, on fait les deux, le plus souvent, on ne fait que l’authentification.
Alors la définition de pierreonthenet est ce qu’il y a de plus proche de la réalité. Mais en tout cas, authentification et identification sont deux concepts liés, mais différents. On trouve souvent sur internet tout du moins, les deux mélangés.
Authentification : on vérifie la légitimité d’un accès. Accès protégé par mot de passe, certificat, clé privé, etc.
Identification : on identifie quelque chose ou quelqu’un.
Sur internet, on fait souvent l’amalgame, car les deux vont généralement de pairs.
En effet, une authentification sans identification préalable n’a que peu de sens. Il ne sert à rien de vérifier le mot de passe de quelqu’un tant qu’on ne sait pas le mot de passe de qui il faut vérifier ! Une vérification par certificat fait les 2 car le certificat contient des informations sur l’identité (=identification) de la personne en plus de la clé publique permettant de vérifier un chalenge cryptographique (= authentification)
L’identification sans authentification serait totalement absurde aujourd’hui, puisque n’importe qui pourrait agit ou se connecter au compte de n’importe qui juste en connaissant son identité (souvent un identifiant).
Et on voit bien, à travers les attaques par phising qu’être authentifié et identifié ne signifie pas être la personne qui se cache derrière un compte.
Avec des mécanismes comme le MFA (authentification multifacteur), on tend à refaire cette amalgame, car on se dit que seul le titulaire va avoir tous les facteurs nécessaires pour réaliser l’étape d’authentification.
Il est vrai aussi que lorsqu’on se connecte à un site web, on voit des notions plutôt ambiguës (formulaire d’authentification, formulaire d’identification, formulaire de connexion, etc.) mais jamais formulaire d’identification et d’authentification, qui serait l’expression la plus approprié pour une connexion par login/mot de passe ! Le plus juste et le plus simple étant finalement “formulaire de connexion”.
[edit] Juste pour préciser encore sur l’identification : sur internet (je ne parle pas d’un point de vue législatif), l’identification consiste à dire à qui appartient un compte (qui peut être un compte sous pseudonyme). Pas à vérifier l’identité “civile” d’une personne.
C’est bien d’être précis, et sûrement que mon expression était sujette à caution, mais mon propos concernait les “catégories protégées” dont parle l’article : là-dessus, j’aurais aimé être repris. En vain.
Il faut mettre un gros panneau alors car il est difficile de deviner les intentions
Pour ma part, maintenant, sur les sujets assez délicats (pour ne pas dire trollesques) où les aspects légaux et moraux rentrent en jeu, je préfère m’abstenir. C’est pas qu’il ne peut pas y avoir des discussions intéressantes, mais il y aura toujours des trolls, à user de raccourcis, de sophisme, etc. qui fera que la discussion n’aboutira pas vraiment, et que le peu de discussions “intéressante” sera noyé sous un flux d’inepties, voire d’insulte, avec le risque qu’un message utile soit sabré car en “réponse à un commentaire supprimé”.
Et c’est meilleur pour ma tension ^^
Le
14/08/2023 à
07h
23
(reply:2146762:consommateurnumérique)
Je n’évite pas de répondre sur l’argumentaire, car ce n’était pas le but de mon message.
Ton commentaire contient une imprécision assez importante, et une information fausse. Si pour toi, c’est futile, libre à toi d’interpréter cela comme tu le souhaites.
Le
12/08/2023 à
08h
39
(quote:2146587:consommateurnumérique) Il est obligatoire de s’acquitter d’une taxe si un employeur n’emploie pas un minimum de personnes atteintes de handicap
Il y a quand même des conditions :
que l’entreprise emploi au minimum 20 personnes en équivalent temps plein
lorsque le seuil de 20 salariés vient d’être atteint, l’entreprise à 5 ans pour se mettre en conformité
et il est interdit de licencier une femme enceinte.
Attention : il est interdit de licencier une femme parce qu’elle est enceinte. Certains motifs restent tout à fait valable, comme la faute grave ou l’inaptitude.
Par contre, il y a bien une protection absolue (elle est littéralement non licenciable) pendant son congé de maternité (même pour faute grave).
la protection s’étend à 70 ans après la mort de l’auteur. Il faut donc que les artistes soient beaucoup morts.
C’est vrai. Mais ne pas oublier qu’une chanson ce n’est pas qu’un artiste, mais plusieurs. C’est un interprète, mais aussi un auteur et un compositeur. Si l’artiste (le chanteur) est décédé mais que le compositeur ne l’est pas par exemple, le compositeur continue de toucher des droits !
Pour l’interprète, il y a le chanteur, mais aussi l’orchestre.
Bien sur, certaines personnes peuvent avoir plusieurs casquettes. Quoi qu’il en soit, les maisons de disques ( et gestionnaire des droits en général) se servent de ces subtilités pour étendre au maximum la durée de leur droit.
Un exemple célèbre est le journal d’Anne Franck. Son autrice est décédée depuis plus de 70 ans (donc en théorie, dans le domaine public). Sauf que l’éditeur considère que le père d’Anne Franck, qui est à l’origine de la publication du journal de sa fille, est co-auteur car il a retravaillé le texte (de ce que j’ai compris, il a juste supprimé quelques passages très personnel). Co-auteur mort en 1980, soit 35 ans “de plus” pour les ayants droit.
Vu le trafic important apporté, Google pourrait faire payer la presse pour le trafic supplémentaire.
Les gros (les GAFAM en premiers, mais pas que), à force de piller le contenu de tout le monde, le jour où plus personne ne créera de contenu, ils se retrouveront comme des cons (et la création de contenu d’un utilisateur de Twitter, c’est proche du néant)
Dans ce cas, si les GAFAM “pillent” le contenu, il faut que les GAFAM pait pour TOUS les contenus, pas uniquement la presse. Le “pillage” donne de la visibilité. Sans moteur de recherche aujourd’hui, le trafic de nombreux sites serait quasi-nul.
Et il serait peut être aussi temps d’accepter de payer pour leurs services, plutôt que de vouloir du tout gratuit et de les accuser de “pillage” (qui n’est en réalité que le reflet de la volonté des consommateurs de vouloir tout tout de suite et gratuitement).
Encore une fois, il n’y a pas de bons ou de méchants. Il y avait une situation, plus ou moins à l’équilibre, et profitable à chacune des parties. Vouloir “toujours plus”, c’est prendre le risque de le rompre, avec les conséquences que cela peut entrainer.
Le
05/08/2023 à
08h
43
(quote:2145816:consommateurnumérique) La plupart des utilisateurs de médias sociaux ne cliquent pas pour lire l’article, ils s’informent en lisant le titre de l’article et le texte du tweet (et en regardant l’image). Même dans les commentaires de #LeBrief, les inpactiens ne lisent que le titre et partiellement le texte si l’article dépasse 5 lignes.
Xtwitter fait donc son beurre sur des mots-clés, pas seulement sur ses célèbres “hashtags”, aussi sur les mots-clés des titres, les photos de presse. Donc cette idée que les médias sociaux apportent de la visibilité aux articles de presse, c’est comme les start-up qui veulent des prestations gratuites de travailleurs en freelance au motif que ça fera une ligne de plus sur leur CV.
La plupart des utilisateurs ne vont pas sur les sites de presse. Ils s’informent en passant par les réseaux sociaux via les liens qui y sont partagés .
Les sites de presse font donc leur beurre sur le partage des liens de leurs articles. Donc cette idée que les sites de presse, sous couvert de “pillage” demande du pognon pour afficher un lien parait franchement illégitime (j’ai pas dit illégal, mais bien illégitime). C’est comme si j’allais chez le crémier et que je demandais le beurre et l’argent du beurre.
Le problème des sites de presse, est qu’ils veulent une contrepartie qui soit directement d’ordre pécuniaire. Les autres retours n’ont pas de valeur à leur yeux.
C’est dommage, car il y avait un équilibre entre producteur & média sociaux / moteur de recherche, équilibre profitable pour chacune des parties.
A force de vouloir traire les gros (les GAFAM en premiers, mais pas que), le jour où un service ne sera plus rentable pour une raison X ou Y, il ne faudra pas venir se plaindre que ledit service ferme (cf. ce qui s’est passé en Espagne il y a quelques années, ou encore au Canada se qui est en train de se passer).
Il y a malgré tout une grosse différence entre aujourd’hui et il y a 25 ans.
Il y a 25 ans, le seul moyen d’aller sur internet, c’était via un ordinateur (pas de tablette ni de smartphone). La plupart étant sous Windows, Microsoft avait, via IE, un monopole de fait sur la quasi-intégralité du web, car IE était un composant de base de Windows.
Aujourd’hui, même si la situation semble similaire, elle reste pourtant très différente :
on accède à internet via ordinateur, smartphone et tablette
l’éditeur du navigateur par défaut n’est pas forcément l’éditeur du système. C’est vrai pour le desktop (où Chrome doit être installé manuellement => action utilisateur), c’est vrai aussi pour beaucoup de téléphone sous Android, notamment avec les surcouches constructeurs & opérateurs
Il est beaucoup plus difficile aujourd’hui de crier à l’abus de position dominante, vu la fragmentation et sachant que la solution n’est pas imposée et que les utilisateurs le font grandement par choix.
Cela ne change en rien l’amer constat qui est qu’une seule entité “contrôle” à elle seule les 2⁄3 du web, et les dangers que cela peut représenter, mais les situations aujourd’hui / il y a 25 ans sont très loin d’être comparable.
Rien que ce passage montre que tu ne lis (ou ne comprends pas) les liens que tu donnes. Citation :
Sa surabondance relative dans la nature par rapport aux prédictions de la nucléosynthèse primordiale et stellaire s’explique en fait par sa nucléosynthèse interstellaire (phénomène de spallation cosmique) par bombardement d’éléments plus lourds par des rayons cosmiques.
L’article ne dit pas que le lithium est surabondant. Il dit qu’il y en a plus que d’après les modèles théoriques. C’est quand même sacrément différent que ce que tu annonces.
Il faut aller voir la section “Réserves terrestres et production” pour avoir plus d’info sur les réserves. Les réserves (26Mt) sont estimées à 200 ans pour un rythme d’extraction de 130kt/an (rythme 2022).
Sauf que ces dernières années, la production n’a cessé de grimper, et si on prend une hypothèse de progression de 20% / an (qui correspond à l’augmentation de la production entre 2021 et 2022 et qui est assez “faible” par rapport au quasi 100% entre 2016⁄2017 ou 50% entre 2017⁄2018), alors on a à peine 20 ans de réserve disponible aujourd’hui.
Le
28/07/2023 à
14h
13
Trooppper a dit:
Edit : je vois que tu t’es répondu à toi même, c’est bien. Pour info j’ai vu les conséquences d’un feu de batterie de trottinette électrique dans le garage de chez une amie (combustion spontanée).
Moi c’était une batterie de téléphone portable. Et franchement, c’est vrai que ça peur….
Le
28/07/2023 à
14h
11
Trooppper a dit:
Evidemment qu’on retrouve du lithium dans l’eau, les batteries sont détruites.
Ce n’est absolument pas une évidence. Le sel est soluble dans l’eau. Est-ce le cas du dioxyde de cobalt et de lithium ? Je ne crois pas. Ce serait le cas qu’il serait beaucoup plus facile de traiter les incendie de voiture électrique, et notamment les batteries, qui peuvent présenter des risques pendant des jours après un incendie.
Mais le fait qu’il y ait du lithium dans la batterie n’est pas un problème pour immerger la voiture, parce que ce lithium n’est pas sous sa forme métallique (donc il ne réagira pas violemment avec l’eau). D’ailleurs immerger la voiture c’est la seule solution connue pour éteindre un feu d’EV.
Yep, cf le lien que j’ai mis plus haut ;) Tant que la batterie n’est pas touchée, il n’y a pas de risque de réaction avec l’eau (il y en a d’autres, comme l’électrisation, mais c’est autre chose). Une fois la batterie touchée, il faut de toute façon refroidir et étouffer l’incendie. L’eau reste le moyen le plus simple aussi pour ça, malgré quelques risques.
C’est pas du lithium métallique. Révisez votre chimie les amis
En raison des fortes chaleurs pouvant se dégager lors de la combustion d’une voiture (> 1000°C), de nombreuses réactions peuvent se produire. Une étude réalisée par le SDIS86 a mis en évidence dans certains cas une concentration particulièrement élevée de Lithium dans l’eau (donc ayant réagi)
Après, c’est comme tu veux ;)
Le
28/07/2023 à
12h
58
Trooppper a dit:
Que les batteries c’est pas infaillible, et que quand ca crame […] on doit plonger la bagnole entière dans l’eau pendant 1 semaine.
Avec le lithium présent dans les batteries, perso, j’éviterai !
SGBD-FS n’est pas une excellente idée : le principe des systèmes de fichiers, c’est de prendre en compte les limitations du matériel, tout en y donnant accès le plus rapidement/efficacement/sûrement possible. Or, un SGBD ne peut pas se mapper directement à du matos.
Erreur ! Bien sûr, cela dépend du SGBD, et tous ne le font pas, mais c’est possible. SQL Server le fait. Parmis les “options” disponibles :
lors de la création d’une base de données, possibilité de réserver des pages astucieusement sur le disque dur
sur les disques durs (à plateaux donc), données placées aux extrémités si possible (vitesse de rotation plus grande donc débit plus élevés)
gestion de la fragmentation afin de placer des données aux mêmes endroits mais sur des plateaux différents (afin d’accélérer les opérations d’I/O en parallélisant les opérations de lectures et d’écriture)
Rien qu’avec ça, il est possible, sur des disques à plateaux, de gagner un facteur 3x à x10 ! Mais attention à ne pas lancer l’outil de défragmentation de disque derrière
Par contre, aujourd’hui, avec la virtualisation, on créé souvent des pertes de performance dû aux multiples couches d’abstraction des espaces de stockage.
Le
29/07/2023 à
12h
56
J’utilise le raid miroir de btrfs en production depuis plusieurs années, personne ne conteste son bon fonctionnement.
Pardon pour l’imprécision. Comme je n’utilise que des raids 5 et 6, j’ai tendance à me focaliser sur eux ^^
Les RAIDs 5 et 6 ne sont pas prêt pour de la production (et c’est la doc qui le dit).
Par contre, effectivement, les RAID comme 0 ou 1 (miroir, celui que tu utilises) sont tout à fait utilisable. Merci pour la correction ;)
Le
29/07/2023 à
06h
16
Concernant l(e manque d’)adoption de BTRFS, voici mon point de vue.
Sur le desktop : Les aspects utiles de BTRFS, se sont surtout les snapshot. Cela permet de gérer facilement les mises à jour et de revenir en arrière en un clin d’oeil si les choses tournent mal.
Mais BTRFS requiert un apprentissage, de nouveaux concepts et de nouveaux outils. Il faut mettre les mains dans le cambouis. Pas de GUI, CLI only. Les choses ont peut être changées depuis, puisque je n’ai pas regardé depuis quelques années ce qu’il en était.
Sur les serveurs Les aspects utiles de BTRFS sont la déduplication (notamment pour les hyperviseurs), les snapshots, et les RAID.
RAID n’est pas prêt pour un usage en production. Il faut donc rester sur une stack plus “classique” à base de LVM par exemple.
La déduplication nécessite de faire tourner régulièrement des outils en espace utilisateur (maintenance)
Sur des serveurs, notamment avec beaucoup d’I/O, il n’est pas rare d’avoir des disques durs spécifique (et non des SSD). Le COW peut alors être un véritable goulet d’étranglement niveau performance (notamment à cause de la fragmentation) au point que certains administrateurs recommandent purement et simplement de… désactiver le COW, et donc perdre certaines fonctionnalités comme les snapshots ! Et du coup, perdre l’intérêt de BTRFS.
A noter également que pour des usages en production sur des serveurs, on est généralement beaucoup plus “conservateur” sur les technologies utilisées : on souhaite de l’éprouvée !
Conclusion
Sans nier les apports de ce système de fichiers, il n’est pas sans inconvénients. C’est un système de fichiers qui dépasse le rôle d’un système de fichiers “classique”, car peut gérer des disques/partitions directement (d’ailleurs, la déduplication n’a pas été abordé dans l’article !). Les systèmes plus classiques se contente de venir organiser les données au sein d’une partition unique. Si le besoin se fait ressentir d’agglomérer des partitions/disques (pour avoir de la redondance ou étendre la capacité via des mécanismes comme RAID), alors c’est soit du RAID matériel, soit du RAID logiciel.
Notons aussi que si la première version stable de BTRFS date de 2013, toutes les fonctionnalités ne sont pas arrivées en même temps. Elles arrivent au fil de l’eau, donnant une fausse impression de système de fichiers à demi-fini et donc non stable.
Le problème reste Apple qui ne supporte pas de repository alternatif il me semble.
C’est pour bientôt. L’Europe a imposé à Apple l’usage de store alternatif si j’ai bien suivi. Et il me semble que c’est pour 2023.
Le
26/07/2023 à
20h
29
eophea a dit:
D’après ton lien, le Conseil d’État a refusé cette interdiction car définie par la CNIL, et la CNIL n’a pas le pouvoir de légiférer. C’est une pure décision de droit, la CNIL n’a rien le droit d’interdire de nouveau, juste de faire la police sur les interdictions qui existent déjà. Ce n’était donc pas interdit par le RGPD.
Effectivement, la CNIL n’a pas juridiquement le droit d’interdire des pratiques directement (ce qu’elle a voulu faire via les lignes directrices), mais peut pour autant sanctionner chaque usage d’un cookie wall lors d’un contrôle, sous prétexte que le recueil du consentement n’est alors pas valide, pour la simple et bonne raison qu’il ne peut pas l’être dans ce cas précis.
C’est cette généralisation qui a été retoqué par le conseil d’état, qui s’est bien gardé de se prononcer sur le fond (la validité ou non des cookies wall).
Pour résumer :
le cookie wall n’est pas légalement parlant interdit
le cookie wall va à l’encontre du RGPD car le consentement recueilli n’est pas libre (du coup, défaut de base légal)
la CNIL a donc voulu, dans ses lignes directrices, interdire les cookies wall
le Conseil d’Etat a rappelé, à juste titre, que cette interdiction sortait des prérogatives de la CNIL dans le cadre d’un acte de droit souple, où elle ne peut que conseiller ou fortement recommander, sans obliger ni interdire, quand bien même toutes les briques menant à cette interdiction sont déjà présentes légalement parlant via le RGPD notamment.
Du coup, l’interdiction ne peut se faire qu’au cas par cas, c’est-à-dire en cas de contrôle ou de plainte. Avec des délais qui sont parfois très longs (plusieurs années de procédure).
Le
26/07/2023 à
18h
33
C’est justement ça qui m’inquiète, la tendance sur Internet est vers plus de contrôle et de flicage, d’un côté les États qui ne supporte pas ne pas pouvoir contrôler l’ensemble de la population et qui tentent maintenant tous les ans de faire passer des lois les plus liberticides: identification sur les sites pornos, les réseaux sociaux, HADOPI, ARJEL, blocage de Sci-Hub. Et d’un autre côté les GAFAM qui sont complices de tout cela et qui eux apportent l’aspect technique à cette mise en place du flicage et du contrôle dans le but d’être sûr de garder leur monopole. J’ai bien peur que dans 10 ans il ne soit plus possible ou alors très difficile d’utiliser un PC monté soit même avec un OS libre et de consulter des sites Internet sans devoir prouver son identité.
Je préférais largement Internet dans les années 90, c’était lent, pas sécurisé et pas fiable mais où moins on était libres.
+1000
Le
26/07/2023 à
18h
31
J’avais justement en tête cette solution technologique. Et pour le coup, il fallait un navigateur compatible. De mémoire, cela ne fonctionnait pas sous IE (en tout cas, pas toutes les versions)
Le
26/07/2023 à
18h
29
eophea a dit:
Ce qui est important, c’est pas tant de limiter l’abus des grandes entreprises et des gouvernements, que de laisser un cadre légal à la possibilité de s’en passer totalement, et sans se voir limiter l’accès aux ressources. l’UE a quand même pondu le RGPD, c’est pas si mal.
Justement, quand on voit ce qui est fait aujourd’hui, ça me fait peur. Exemple tout bête : les cookies wall. Interdit par principe par le RGPD (pour cause d’invalidité du consentement faute qu’il soit “libre”), le Conseil d’Etat a malgré tout refusé une interdiction générale de cette pratique, avec une appréciation au cas par cas.
Ça rejoint cette vieille idée de FDN qui consiste à dire que ce qui est important, c’est de se garder la possibilité d’entrer en résistance si jamais un jour il y a besoin.
Mouais. 1% (et encore) contre des entreprises de la taille d’un GAFAM. C’est un peu David contre Goliath.
Justement, il n’y a rien d’interdit. C’est ça qui est important. Si Netflix décide de limiter leur accès aux appareils pré-approuvés, grand bien leur fasse. Que l’UE ou les gouvernements européens suivent, pour l’instant je n’y crois pas une seconde. Alors que ça devienne une obligation de fait, ou encore pire légale, je serais vraiment surpris.
Le danger pour moi n’est pas directement Netflix et consort. Mais plutôt les banques, qui pourraient être incitées, à la vue d’autres acteurs (comme justement Netflix) de franchir le cap.
Comme d’hab, c’est l’industrie du divertissement et de la pub qui met le foutoir. Tant qu’ils gagneront des milliards avec le temps de cerveau disponible, ça ne sentira pas bon. Pour l’instant l’UE tient bon.
Je ne peux qu’être d’accord.
Je trouve que la concentration des médias de masse dans les mains de quelques milliardaires sent bien moins bon que la fermeture de Disney et Netflix.
Si on prend ce virage, je trouve que l’usage des réseaux sociaux, ces nids à fake news, bien plus dangereux encore que la concentration des médias…. Mais là, on devient quand même bien hors sujet par rapport à l’article ;)
Le
26/07/2023 à
16h
51
SebGF a dit:
Dans le cas d’un site de l’administration, je me demande si ça serait légal d’imposer le client Google.
Un client Google, clairement non. Un client compatible, je pense que oui.
Un peu comme la communication officielle faite sur les médias sociaux qui ont une maîtrise absolue et opaque de ce que les utilisateurs ont le droit de voir ou non. L’Etat français doit reprendre cette maîtrise en ayant sa propre instance auto-gérée et au besoin publier sous forme de miroir sur ces plateformes privées. Au même titre que l’UE qui a sa propre instance Mastodon.
Que la communication officielle soit faite sur les médias sociaux ne me dérange pas. Que la communication officielle ne soit faite que sur les médias sociaux est déjà beaucoup plus problématiques.
Certaines municipalités l’ont fait pendant la COVID, et je m’étais justement posé la question de la légalité de la chose. Par exemple, le site de ma municipalité affichait une information “périmée” qui n’avait pas été mise à jour ailleurs que sur les réseaux sociaux (Facebook pour ne pas le citer). Pour être précis, il s’agissait des lieux publics (notamment la liste des rues) soumis au port du masque obligatoire.
Le
26/07/2023 à
16h
42
eophea a dit:
Netflix, Amazon, Disney, je m’en fous.
Toi oui. Mais les autres ?
La grande majorité des gens veut juste un truc qui marche. Rien à faire de savoir si c’est Firefox, Opera, Chromium, Safari ou Chrome. Comme ces sites ont une part d’audience magistrale, le choix d’un seul de ces sites d’utiliser la techno pourrait faire basculer nombre de gens. Alors plusieurs…
Si ça arrive pour les impôts, les banques, les services européens, etc., alors je deviendrai militant, et acharné. En attendant j’ose croire que l’UE va empêcher cela.
Quand on voit le virage “solutionisme technologique” que l’on prend à des fins sécuritaires, est-ce que l’UE va vraiment l’empêcher ? Aujourd’hui, à part l’usage de l’IA (et notamment l’usage de la biométrie), il n’y a pas vraiment grand chose d’interdit
Le seul axe que je vois vraiment, c’est plutôt au sujet de Google et de sa position dominante, mais absolument pas l’interdiction de cette technologie à proprement parler.
Mozilla n’est pas le seul. Et heureusement. Le souci, c’est que le W3C rempli beaucoup moins son rôle aujourd’hui :
Chrome représente à lui tout seul autour de 70% de la part de marché, mobile et desktop confondu ! (et sans compter ses dérivés comme Chromium ou Edge). Si les développeurs adoptent une techno “propre à Chrome” les autres navigateurs sont plus ou moins obligé de suivre
Le W3C a accepté les DRM, ce qui va pourtant à l’encontre même de la plateforme pour un Web Ouvert que se prétend être le W3C (The Open Web Platform is the collection of open (royalty-free) technologies which enables the Web)
Bred, pour moi, “ça sent pas bon”.
Le
26/07/2023 à
13h
44
eophea a dit:
On a encore le choix de ne pas utiliser cet internet de flicage. C’est fou, mais j’ai l’impression que de ne pas avoir un compte Apple ou Google est devenu un acte militant.
C’est un peu le côté inquiétant. Aujourd’hui, oui, on a le choix. Mais demain ?
Si demain tu ne peux plus aller sur ton webmail, tes comptes bancaires, Netflix/Amazon Prime/Disney+/…, les impôts, ou que sais-je encore, car ton environnement “n’est pas safe”, beaucoup prendrons la solution de facilité : installer Chrome, alimentant encore plus cette spirale infernale.
Ca depend. On a une ressource super abondante : l’hydrogène (de l’eau). Si on maitrisait la fusion on resoudrait une grande partie du problème. Je ne parle bien que d’energie là, pas des autres ressources
Attention, la fusion requiert 2 isotopes spécifiques de l’hydrogène : le deuterium et le tritium.
Le deutérium est présent à l’état naturel. Mais du coup, il faut donc prendre en compte son extraction (j’avoue que je ne sais pas comment ça se passe).
Le tritium par contre, doit être produit, (par exemple, à partir d’un isotope du Lithium).
Reste ensuite à voir le bilan de la fusion une fois pris en compte la production de son “carburant” (qui nécessite de l’énergie), ainsi que le maintien du confinement de la zone de fusion (qui nécessite également une part importante d’énergie). Sans oublier le rendement (perte thermique, etc.).
As-tu lu tes sources ? Elles disent exactement ce que je dis. Et pour information, sans recoupement, Wikipédia n’est pas une source fiable.
Le
19/07/2023 à
14h
05
(quote:2143547:Stéphane Bortzmeyer) Ça, c’est le Web 3.0, pas le Web 3 (oui, je suis sérieux).
Tu es donc en train de mettre les points sur les i sur le web
Plus sérieusement, je suis preneur d’une source. Autant je suis d’accord qu’en 2006 on ne voyait que Web 3.0 (en tant qu’évolution du Web 2.0). Autant aujourd’hui, on lit les deux (web 3 et web 3.0) pour désigner les crypto actifs.
Le
19/07/2023 à
11h
52
Si je puis me permettre, il faut bien distinguer le Web sémantique (ou Web 3.0) de Tim Berners-Lee dont l’objectif était d’établir des normes standardisées W3C, et donc des biens communs, du Web3 lié à la blockchain, aux cryptoactifs, NFT, DAO & Cie, et donc bien plus spéculatif, et libertarien.
Tout à fait. C’est justement ce que je reproche à l’écosystème blockchain : on prend un terme, tant pis s’il existait déjà, et on l’utilise à notre sauce : web3, crypto.
Une phrase comme “je travaille dans la crypto” ou “je travaille sur le web 3.0” n’a pas du tout la même signification en 2013 qu’en 2023
du Web3 lié à la blockchain, aux cryptoactifs, NFT, DAO & Cie, et donc bien plus spéculatif, et libertarien.
Attention quand même : la technologie de la blockchain en elle-même n’est pas spéculative. Et elle n’est libertarienne que si elle est publique. Sinon, c’est même plutôt l’effet contraire !
Le
19/07/2023 à
09h
56
Le web3 n’a pas été créé en 2014. Le web3 (je parle bien du terme) existe depuis bien avant l’ère blockchain et est employé déjà dès 2006 pour désigner plus ou moins le web sémantique, par nul autre que Tim Berners Lee, considéré comme un des pères du web.
La “puissance marketing” autour de la blockchain a dévoyé non seulement le terme web 3, mais aussi le terme crytpo. Avant, la “crypto”, c’était la cryptographie. Aujourd’hui, la “crypto”, c’est la crypto-monnaie.
Je ne nie pas l’intérêt de la blockchain dans certains cas. Par contre, il faut bien différencier les blockchains publiques des blockchains privées.
Pour les publics, aucun régulateur, si ce n’est l’ensemble des “participants”. La blockchain publique a permis l’émergence d’un système sans tiers de confiance.
Pour les privées, c’est en fait un oxymore. La blockchain privée nécessite un tiers de confiance, et s’appuie donc sur un système qui est forcément plus ou moins centralisé. L’intérêt est alors simplement de placer un buzzword (blockchain), comme on a pu le connaitre par le passé avec plusieurs vagues (nosql, cloud, microarchitecture, …) dévoyant complètement l’intérêt réel de la technologie en l’utilisant “parce qu’elle est cool” plutôt que pour répondre à un besoin réel.
Pour ce qui est des crypto-monnaie en elle-même, je n’en dirai rien. Je vais troller sinon (mais je n’en pense pas moins )
Je mets ce message ici, même si je sais que je suis hors sujet, car cela concerne la modération. Mais nous avons un bel exemple ici qui va illustrer ma proposition d’évolution : changer le pseudo d’un membre lorsqu’il est clairement irrespectueux. Cf 2 commentaires avant le mien.
Car bon, même si le message en lui-même n’est pas visible, le pseudo du membre modéré l’est
Le
18/07/2023 à
16h
40
Je crois que je viens de répondre en partie dans mon commentaire juste au-dessus
Nous avons surtout une limite matérielle très tangible : le temps. Nous sommes cinq, et notre priorité reste la rédaction de nos articles. Pour vous comme pour nous, il faut pour l’instant patienter. Mais je peux t’assurer que personne ne quitte le navire, nous restons simplement focalisés sur nos priorités. Si l’on s’en détourne, il y aura encore moins d’actus, et donc encore moins de raisons de s’abonner.
Oui effectivement, tu as en partie répondu à mes interrogations ;)
Maintenant, c’était le message que je souhaitais adressé à l’équipe (et je considère que c’est maintenant chose faite) : vous consacrez à vos articles c’est très certainement une bonne chose, mais ne négligez pas non plus votre lectorat, sans qui l’aventure NextINpact se serait terminée il y a déjà quelques années sans les divers appels aux dons.
La seule chose que je souhaite, c’est simplement voir ce qui avait été promis les fois précédentes (et repromis encore aujourd’hui à Trooppper) : transparence. Je crois que c’est Fred42 qui avait très bien résumé cela dans un précédent commentaire sur le billet précédent justement. Et pour le coup, ce n’est pas forcément à toi de répondre, mais à Teuf (et dans ce cas, cela ne prend pas du temps sur l’écriture des articles ;)).
La grande inconnue à ce jour, pour moi, c’est cette notion de quelques semaines. Ca veut dire quoi ? Fin juillet ? Fin aout ? Septembre ? Octobre ? J’avoue que c’est là dessus que j’aurais préféré avoir des nouvelles, plus que sur les évolutions de la ligne éditoriale. Si c’est un sujet sensible parce qu’actuellement il y a des négociations, dites le nous, tout simplement. Nous sommes aptes à le comprendre.
Que vous ne puissiez pas dire la date d’un rachat, c’est normal, puisque cela dépend des négociations. Mais comme je l’ai déjà dit dans un précédent commentaire, si les négociations échouent (scénario pire cas), jusqu’à qu’en pouvez-vous tenir avant de procéder à la liquidation ?
Et attention, je ne dis pas que la ligne éditoriale n’est pas importante, juste que c’est du long terme, et que c’est la survie sur le court terme dont il est actuellement question.
En tout cas, merci d’être venu ici commenter. Je trouve cela rassurant
Le
18/07/2023 à
15h
03
Vincent_H a dit:
Des discussions sont bien en cours avec des repreneurs potentiels, mais il est encore trop tôt pour en dire davantage.
Ca on peut le comprendre. Mais déjà on apprend une chose : il y a bien des repreneurs potentiels. On est donc passé de “on recherche” à “on en a déjà trouvé quelques-uns”. Pour moi, en tant que lecteur, c’est déjà énorme !
Sachez que nous lisons tous les messages, que nous en discutons très souvent entre nous, mais que pour plusieurs raisons, nous sommes limités dans ce que nous pouvons partager avec vous, notamment parce que le processus en cours doit aboutir pour que des situations se débloquent.
C’est compréhensible aussi. Et c’est tout à fait entendable qu’il y ait certaines choses que vous ne puissiez pas dire actuellement. Simplement… dites-le !
Désolé si je suis franc, mais par moment, depuis 1 mois 1⁄2, j’ai l’impression que l’équipe a déserté les commentaires (en tant que participant je veux dire). Il y a toujours un modérateur qui sévie (et merci ++!), mais sur les sujets concernant la vie de NextINpact, c’est un peu le désert.
De mon point de vue de lecteur, j’ai juste l’impression que l’équipe abandonne le bateau qui coule (et pourtant, je n’ai vraiment pas envie qu’il coule) et que malgré le dernier message (ce billet), je ne suis pas vraiment rassuré. On y parle surtout changement autour de la ligne éditorial, mais pas vraiment grand chose au sujet du fond du problème que sont les aspects financiers.
Le
18/07/2023 à
08h
25
Ce qui est critiqué à mon sens est moins l’appel aux dons que le manque de visibilité et d’information (de la part d’un site d’information c’est assez ironique).
Pour ma part, c’est aussi le constat que je fais. Si je fais le “bilan” des informations dont nous disposons (je suis juste factuel, ce ne sont pas des reproches)
Dans les commentaires du billet du 12 juin, Teuf à donner quelques informations complémentaires. Notamment, les frais fixes (de mémoire, autour de 40000€/mois sur le court terme, à cause de dettes qui sont en cours de remboursement).
Le 21 juin, on apprend une récolte de près de 60000€ de dons. Soit, grosso modo, 1mois 1⁄2 de “survie” supplémentaire.
Lors du billet alarmant du 12 juin, on ne sait pas combien de semaine NextINpact pouvait tenir. Quelques, c’est quoi ? 2 semaines ? 4 semaines ? 8 semaines ? Plus je me dis que la métrique utilisée aurait été le mois.
Du coup, aujourd’hui, objectivement, combien de temps reste-t-il dans le pire cas ? On ne sait toujours pas.
Est-ce qu’il y a des candidats à une reprise ? On ne sait pas non plus.
Je me doute que la situation est difficile aussi moralement pour l’ensemble de l’équipe. Mais vous avez des lecteurs qui se posent beaucoup de questions et qui ont su répondre à plusieurs reprises à vos appels à l’aide. Une présence plus poussée dans les commentaires seraient grandement appréciée je pense (je ne veux pas parler pour les autres, mais en tout cas, moi, j’apprécierai :) ) car je ne peux malheureusement que constater une absence depuis des semaines
Le
18/07/2023 à
06h
37
(reply:2143258:Ler van keeg)
Je ne peux que m’incliner
Je ne connaissais pas du tout (je n’étais pas là à cette époque). Et là… c’est encore plus adapté, car tu as réussi à sortir une parodie d’un truc déjà peu connu de base, parodie autour de PC Inpact qui plus est ! Franchement, chapeau
Le
17/07/2023 à
21h
03
Vous allez me détester bien fort : YouTube(désolé pour la qualité, mais la vidéo a plus de 15 ans en même temps et j’ai eu du mal a en retrouver une avec les sous-titres français !!)
Dédicace pour tout ceux qui veulent (ou pas) et qui se sentent visés (ou pas)
Il y en a peut être d’autres. J’avoue que je n’ai que survolé la licence
Le
19/07/2023 à
15h
28
J’ai vu en particulier une clause qui dit que si tu as plus de 700 millions d’utilisateurs un mois donné, tu ne peux plus utiliser le produit de façon commerciale et que tu dois demander une licence à Meta qui peut te la refuser.
Le reste me semblait OK.
La clause indiquant que Llama ne peut pas être utilisé pour entrainer / améliorer d’autres modèles est aussi limitante et empêche de facto de considérer la licence comme open-source.
Le
19/07/2023 à
13h
57
eliumnick a dit:
Est-ce donc vraiment de l’open source si il faut s’inscrire et demander le droit pour avoir accès aux données nécessaires pour utiliser le programme ?
Open-source ne signifie pas que tout le monde peut y accéder. Open-source signifie que celui qui reçoit dispose des 4 libertés fondamentales (étudier, exécuter, modifier, distribuer).
Après, dans le cas des algorithmes d’IA, il faut distinguer 2 choses :
l’algorithme utilisé (pour faire simple, la topologie du réseau de neurones)
le modèle en tant que tel (les différentes pondérations des neurones, c’est-à-dire le résultat à l’issu de l’entrainement).
Le premier est souvent libre. C’est souvent plus compliqué pour le second. J’avoue que je n’ai pas regardé en détail les clauses de la licence de LLima (qui est une licence sur mesure), mais j’ai cru voir des restrictions quant à son utilisation, donc, incompatible avec la définition d’une licence libre ou open-source. Elle semble toutefois s’en approcher pas mal malgré tout.
2769 commentaires
Vers de beaux jours pour Next INpact ?
14/08/2023
Le 20/08/2023 à 06h 05
Le 15/08/2023 à 09h 20
J’avoue que je suis un peu sceptique (et pourtant, j’ai l’habitude de vous défendre).
Mais là, on est passé de “sauf miracle, il reste quelques semaines à vivre” à une “situation financière fragile”. Sauf à ce que j’ai raté un épisode (ce qui reste possible) j’avoue ne pas vraiment comprendre comment on a pu passer de l’un à l’autre (même si une partie de moi se réjouie) alors que d’après les chiffres communiqués, les dons & consorts recueillis permettaient à peine de prolonger la durée de vie d’environ 1 mois 1⁄2.
Que les discussions avec des repreneurs avancent, c’est tant mieux. Mais je reste prudent et attend de voir une discussion aboutie avant de crier ouf.
Commission de 30 % : Apple et Epic bientôt devant la Cour Suprême
11/08/2023
Le 17/08/2023 à 10h 14
Et il est trop tard pour éditer. Le voici : Apple
Je me suis raté sur la création du lien.
Techniquement non.
Est-ce un problème d’autonomie ou de praticité ?
Justement. Le choix ce fait depuis l’application. Pas chez un revendeur tier. La seule étape qui sort de l’application, c’est le paiement, via Apple Pay. Pourquoi l’utilisateur penserait qu’il existe d’autres possibilités via le site et qui ne serait pas proposée par l’application officielle ? De ce fait, Apple Pay est vu par beaucoup d’utilisateur comme un simple prestataire de paiement, alors que ce n’est absolument pas le cas en réalité.
Le 17/08/2023 à 08h 45
Maintenant oui, mais cela n’a pas toujours été le cas. Il faut dire qu’Apple s’est pris une class action à ce sujet. Le communiqué d’Apple (donc forcement biaisé avec un air de “vous voyez, on est gentil” mais source incontestable) le précise.
Sur cet article, il est précisé que les nouvelles règles d’Apple ont supprimé la clause 3.1.3 qui empêchait les développeurs de contacter leurs utilisateurs iOS.
Et malgré cette class action, il est toujours interdit de préciser, dans l’application, l’existence de moyens alternatifs.
Le 16/08/2023 à 08h 52
Le fait que TU n’ais pas besoin ne signifie pas que d’autre ne l’ait pas.
Comparer les tarifs entre concurrents, c’est une chose. Mais c’est autre chose de comparer les services d’une même société en fonction du moyen utilisé pour y souscrire.
Si pour toi, il n’y a absolument aucun souci à ce que contractuellement, une société A empêche une société B de communiquer comme elle le souhaite, c’est dommage. Ce serait pourtant bien pratique pour toi (surtout que, pour reprendre tes dires 3€ / mois ce n’est pas anodin sur ta facture actuelle), que tu puisses être informé que tu peux payer moins cher en changeant simplement le moyen de paiement.
Sauf que tu n’as pas le droit d’être informé qu’il existe une alternative, et encore moins d’être informé qu’elle est moins chère. Et comme Apple à le monopole sur son système de paiement au sein de son écosystème, le seul choix qu’aurait l’entreprise, c’est simplement de ne pas fournir de service pour les détenteurs d’iPhone.
Si tout le monde agissait comme Apple, des choses comme les comparateurs de prix entre distributeurs de produit seraient tout simplement illégal.
Le 16/08/2023 à 07h 50
Je ne ferai que répéter ce que j’ai déjà dit, en mettant en gras la partie que tu sembles oublier
En bref, dire que le problème, c’est les utilisateurs, c’est oublier que contractuellement, l’éditeur n’a pas le droit de les prévenir. Ici, le public est “averti”, donc on sait tous plus ou moins qu’Apple prend une commission. C’est loin d’être le cas de tout le monde.
Le 12/08/2023 à 15h 00
Attention, Epic avait mis en place des achats in-app en utilisant un autre système qu’ApplePay, ce qui allait a l’encontre des conditions d’utilisation. Mais cela restait des achats in-app.
Pour des achats hors app (out-app ?), en passant via le site Web par exemple de l’éditeur, Apple n’a rien à dire.
Le 12/08/2023 à 13h 40
L’éditeur peut tout à fait pratiquer 2 tarifs différents (un sur l’AppStore, l’autre directement sur son site). Sauf qu’il n’a pas le droit de dire que les montants sont différents, ni d’expliquer pourquoi. C’est ça, le système Apple
Le 12/08/2023 à 11h 05
Le gros problème, n’était pas le montant de la commission, mais l’interdiction faite ne serait-ce qu’évoquer la possibilité d’un moyen de paiement alternatif (comme aller directement sur le site de l’éditeur). Et encore moins le fait de dire que c’était moins cher. Sur ce point, Apple s’est d’ailleurs pris un beau revers et a dû se soumettre.
Pour Spotify, l’histoire est un brin plus complexe, puisque Apple proposait les mêmes services, sans la commission (ce qui créait une distorsion de la concurrence).
Sachant que bientôt, les stores alternatifs seront disponibles sur iOS (au moins pour l’Europe). D’ici la fin de l’année si j’ai bien suivi l’histoire.
Accusée à tort par un algorithme de reconnaissance faciale
11/08/2023
Le 14/08/2023 à 08h 29
Alors la définition de pierreonthenet est ce qu’il y a de plus proche de la réalité. Mais en tout cas, authentification et identification sont deux concepts liés, mais différents. On trouve souvent sur internet tout du moins, les deux mélangés.
Authentification : on vérifie la légitimité d’un accès. Accès protégé par mot de passe, certificat, clé privé, etc.
Identification : on identifie quelque chose ou quelqu’un.
Sur internet, on fait souvent l’amalgame, car les deux vont généralement de pairs.
En effet, une authentification sans identification préalable n’a que peu de sens. Il ne sert à rien de vérifier le mot de passe de quelqu’un tant qu’on ne sait pas le mot de passe de qui il faut vérifier ! Une vérification par certificat fait les 2 car le certificat contient des informations sur l’identité (=identification) de la personne en plus de la clé publique permettant de vérifier un chalenge cryptographique (= authentification)
L’identification sans authentification serait totalement absurde aujourd’hui, puisque n’importe qui pourrait agit ou se connecter au compte de n’importe qui juste en connaissant son identité (souvent un identifiant).
Et on voit bien, à travers les attaques par phising qu’être authentifié et identifié ne signifie pas être la personne qui se cache derrière un compte.
Avec des mécanismes comme le MFA (authentification multifacteur), on tend à refaire cette amalgame, car on se dit que seul le titulaire va avoir tous les facteurs nécessaires pour réaliser l’étape d’authentification.
Il est vrai aussi que lorsqu’on se connecte à un site web, on voit des notions plutôt ambiguës (formulaire d’authentification, formulaire d’identification, formulaire de connexion, etc.) mais jamais formulaire d’identification et d’authentification, qui serait l’expression la plus approprié pour une connexion par login/mot de passe ! Le plus juste et le plus simple étant finalement “formulaire de connexion”.
[edit]
Juste pour préciser encore sur l’identification : sur internet (je ne parle pas d’un point de vue législatif), l’identification consiste à dire à qui appartient un compte (qui peut être un compte sous pseudonyme). Pas à vérifier l’identité “civile” d’une personne.
X Corp. (Twitter) attaquée en justice pour discrimination
11/08/2023
Le 14/08/2023 à 08h 02
Il faut mettre un gros panneau alors car il est difficile de deviner les intentions
Pour ma part, maintenant, sur les sujets assez délicats (pour ne pas dire trollesques) où les aspects légaux et moraux rentrent en jeu, je préfère m’abstenir. C’est pas qu’il ne peut pas y avoir des discussions intéressantes, mais il y aura toujours des trolls, à user de raccourcis, de sophisme, etc. qui fera que la discussion n’aboutira pas vraiment, et que le peu de discussions “intéressante” sera noyé sous un flux d’inepties, voire d’insulte, avec le risque qu’un message utile soit sabré car en “réponse à un commentaire supprimé”.
Et c’est meilleur pour ma tension ^^
Le 14/08/2023 à 07h 23
Je n’évite pas de répondre sur l’argumentaire, car ce n’était pas le but de mon message.
Ton commentaire contient une imprécision assez importante, et une information fausse. Si pour toi, c’est futile, libre à toi d’interpréter cela comme tu le souhaites.
Le 12/08/2023 à 08h 39
Il y a quand même des conditions :
Attention : il est interdit de licencier une femme parce qu’elle est enceinte. Certains motifs restent tout à fait valable, comme la faute grave ou l’inaptitude.
Par contre, il y a bien une protection absolue (elle est littéralement non licenciable) pendant son congé de maternité (même pour faute grave).
Des maisons de disques réclament 412 M$ à archive.org pour des disques 78 tours d’artistes décédés
14/08/2023
Le 14/08/2023 à 07h 54
C’est vrai. Mais ne pas oublier qu’une chanson ce n’est pas qu’un artiste, mais plusieurs. C’est un interprète, mais aussi un auteur et un compositeur. Si l’artiste (le chanteur) est décédé mais que le compositeur ne l’est pas par exemple, le compositeur continue de toucher des droits !
Pour l’interprète, il y a le chanteur, mais aussi l’orchestre.
Bien sur, certaines personnes peuvent avoir plusieurs casquettes. Quoi qu’il en soit, les maisons de disques ( et gestionnaire des droits en général) se servent de ces subtilités pour étendre au maximum la durée de leur droit.
Un exemple célèbre est le journal d’Anne Franck. Son autrice est décédée depuis plus de 70 ans (donc en théorie, dans le domaine public). Sauf que l’éditeur considère que le père d’Anne Franck, qui est à l’origine de la publication du journal de sa fille, est co-auteur car il a retravaillé le texte (de ce que j’ai compris, il a juste supprimé quelques passages très personnel). Co-auteur mort en 1980, soit 35 ans “de plus” pour les ayants droit.
L’AFP attaque Twitter/X sur les droits voisins
04/08/2023
Le 07/08/2023 à 09h 15
Tous les autres utilisateurs qui auront cliqué sur le lien, c’est déjà pas mal non ?
En Espagne, lorsque Google News a été fermé, l’effet sur le fréquentation des sites de presse n’a pas du tout tardé : en à peine 24h, de 10 à 15% en moins.
Vu le trafic important apporté, Google pourrait faire payer la presse pour le trafic supplémentaire.
Dans ce cas, si les GAFAM “pillent” le contenu, il faut que les GAFAM pait pour TOUS les contenus, pas uniquement la presse. Le “pillage” donne de la visibilité. Sans moteur de recherche aujourd’hui, le trafic de nombreux sites serait quasi-nul.
Et il serait peut être aussi temps d’accepter de payer pour leurs services, plutôt que de vouloir du tout gratuit et de les accuser de “pillage” (qui n’est en réalité que le reflet de la volonté des consommateurs de vouloir tout tout de suite et gratuitement).
Encore une fois, il n’y a pas de bons ou de méchants. Il y avait une situation, plus ou moins à l’équilibre, et profitable à chacune des parties. Vouloir “toujours plus”, c’est prendre le risque de le rompre, avec les conséquences que cela peut entrainer.
Le 05/08/2023 à 08h 43
La plupart des utilisateurs ne vont pas sur les sites de presse. Ils s’informent en passant par les réseaux sociaux via les liens qui y sont partagés .
Les sites de presse font donc leur beurre sur le partage des liens de leurs articles. Donc cette idée que les sites de presse, sous couvert de “pillage” demande du pognon pour afficher un lien parait franchement illégitime (j’ai pas dit illégal, mais bien illégitime). C’est comme si j’allais chez le crémier et que je demandais le beurre et l’argent du beurre.
Le problème des sites de presse, est qu’ils veulent une contrepartie qui soit directement d’ordre pécuniaire. Les autres retours n’ont pas de valeur à leur yeux.
C’est dommage, car il y avait un équilibre entre producteur & média sociaux / moteur de recherche, équilibre profitable pour chacune des parties.
A force de vouloir traire les gros (les GAFAM en premiers, mais pas que), le jour où un service ne sera plus rentable pour une raison X ou Y, il ne faudra pas venir se plaindre que ledit service ferme (cf. ce qui s’est passé en Espagne il y a quelques années, ou encore au Canada se qui est en train de se passer).
Web Environment Integrity : défiance généralisée contre le « DRM du web »
01/08/2023
Le 02/08/2023 à 13h 12
Il y a malgré tout une grosse différence entre aujourd’hui et il y a 25 ans.
Il y a 25 ans, le seul moyen d’aller sur internet, c’était via un ordinateur (pas de tablette ni de smartphone). La plupart étant sous Windows, Microsoft avait, via IE, un monopole de fait sur la quasi-intégralité du web, car IE était un composant de base de Windows.
Aujourd’hui, même si la situation semble similaire, elle reste pourtant très différente :
Il est beaucoup plus difficile aujourd’hui de crier à l’abus de position dominante, vu la fragmentation et sachant que la solution n’est pas imposée et que les utilisateurs le font grandement par choix.
Cela ne change en rien l’amer constat qui est qu’une seule entité “contrôle” à elle seule les 2⁄3 du web, et les dangers que cela peut représenter, mais les situations aujourd’hui / il y a 25 ans sont très loin d’être comparable.
Après avoir exagéré l’autonomie de ses véhicules, Tesla a empêché ses clients de se plaindre
28/07/2023
Le 30/07/2023 à 17h 09
Rien que ce passage montre que tu ne lis (ou ne comprends pas) les liens que tu donnes. Citation :
L’article ne dit pas que le lithium est surabondant. Il dit qu’il y en a plus que d’après les modèles théoriques. C’est quand même sacrément différent que ce que tu annonces.
Il faut aller voir la section “Réserves terrestres et production” pour avoir plus d’info sur les réserves. Les réserves (26Mt) sont estimées à 200 ans pour un rythme d’extraction de 130kt/an (rythme 2022).
Sauf que ces dernières années, la production n’a cessé de grimper, et si on prend une hypothèse de progression de 20% / an (qui correspond à l’augmentation de la production entre 2021 et 2022 et qui est assez “faible” par rapport au quasi 100% entre 2016⁄2017 ou 50% entre 2017⁄2018), alors on a à peine 20 ans de réserve disponible aujourd’hui.
Le 28/07/2023 à 14h 13
Moi c’était une batterie de téléphone portable. Et franchement, c’est vrai que ça peur….
Le 28/07/2023 à 14h 11
Ce n’est absolument pas une évidence. Le sel est soluble dans l’eau. Est-ce le cas du dioxyde de cobalt et de lithium ? Je ne crois pas. Ce serait le cas qu’il serait beaucoup plus facile de traiter les incendie de voiture électrique, et notamment les batteries, qui peuvent présenter des risques pendant des jours après un incendie.
Yep, cf le lien que j’ai mis plus haut ;) Tant que la batterie n’est pas touchée, il n’y a pas de risque de réaction avec l’eau (il y en a d’autres, comme l’électrisation, mais c’est autre chose). Une fois la batterie touchée, il faut de toute façon refroidir et étouffer l’incendie. L’eau reste le moyen le plus simple aussi pour ça, malgré quelques risques.
Le 28/07/2023 à 13h 58
Je me répond à moi-même. A priori, l’eau reste quand même utilisée, car imbattable pour étouffer et refroidir un incendie
Le 28/07/2023 à 13h 53
En raison des fortes chaleurs pouvant se dégager lors de la combustion d’une voiture (> 1000°C), de nombreuses réactions peuvent se produire. Une étude réalisée par le SDIS86 a mis en évidence dans certains cas une concentration particulièrement élevée de Lithium dans l’eau (donc ayant réagi)
Après, c’est comme tu veux ;)
Le 28/07/2023 à 12h 58
Avec le lithium présent dans les batteries, perso, j’éviterai !
Systèmes de fichiers : ext4 et Btrfs, les « frères ennemis » du monde Linux
28/07/2023
Le 30/07/2023 à 07h 09
Erreur ! Bien sûr, cela dépend du SGBD, et tous ne le font pas, mais c’est possible. SQL Server le fait. Parmis les “options” disponibles :
Rien qu’avec ça, il est possible, sur des disques à plateaux, de gagner un facteur 3x à x10 ! Mais attention à ne pas lancer l’outil de défragmentation de disque derrière
Par contre, aujourd’hui, avec la virtualisation, on créé souvent des pertes de performance dû aux multiples couches d’abstraction des espaces de stockage.
Le 29/07/2023 à 12h 56
Pardon pour l’imprécision. Comme je n’utilise que des raids 5 et 6, j’ai tendance à me focaliser sur eux ^^
Les RAIDs 5 et 6 ne sont pas prêt pour de la production (et c’est la doc qui le dit).
Par contre, effectivement, les RAID comme 0 ou 1 (miroir, celui que tu utilises) sont tout à fait utilisable. Merci pour la correction ;)
Le 29/07/2023 à 06h 16
Concernant l(e manque d’)adoption de BTRFS, voici mon point de vue.
Sur le desktop :
Les aspects utiles de BTRFS, se sont surtout les snapshot. Cela permet de gérer facilement les mises à jour et de revenir en arrière en un clin d’oeil si les choses tournent mal.
Mais BTRFS requiert un apprentissage, de nouveaux concepts et de nouveaux outils. Il faut mettre les mains dans le cambouis. Pas de GUI, CLI only. Les choses ont peut être changées depuis, puisque je n’ai pas regardé depuis quelques années ce qu’il en était.
Sur les serveurs
Les aspects utiles de BTRFS sont la déduplication (notamment pour les hyperviseurs), les snapshots, et les RAID.
RAID n’est pas prêt pour un usage en production. Il faut donc rester sur une stack plus “classique” à base de LVM par exemple.
La déduplication nécessite de faire tourner régulièrement des outils en espace utilisateur (maintenance)
Sur des serveurs, notamment avec beaucoup d’I/O, il n’est pas rare d’avoir des disques durs spécifique (et non des SSD). Le COW peut alors être un véritable goulet d’étranglement niveau performance (notamment à cause de la fragmentation) au point que certains administrateurs recommandent purement et simplement de… désactiver le COW, et donc perdre certaines fonctionnalités comme les snapshots ! Et du coup, perdre l’intérêt de BTRFS.
A noter également que pour des usages en production sur des serveurs, on est généralement beaucoup plus “conservateur” sur les technologies utilisées : on souhaite de l’éprouvée !
Conclusion
Sans nier les apports de ce système de fichiers, il n’est pas sans inconvénients. C’est un système de fichiers qui dépasse le rôle d’un système de fichiers “classique”, car peut gérer des disques/partitions directement (d’ailleurs, la déduplication n’a pas été abordé dans l’article !). Les systèmes plus classiques se contente de venir organiser les données au sein d’une partition unique. Si le besoin se fait ressentir d’agglomérer des partitions/disques (pour avoir de la redondance ou étendre la capacité via des mécanismes comme RAID), alors c’est soit du RAID matériel, soit du RAID logiciel.
Notons aussi que si la première version stable de BTRFS date de 2013, toutes les fonctionnalités ne sont pas arrivées en même temps. Elles arrivent au fil de l’eau, donnant une fausse impression de système de fichiers à demi-fini et donc non stable.
Web Environment Integrity : chez Google, l’ombre d’un DRM pour le web
25/07/2023
Le 27/07/2023 à 15h 07
C’est pour bientôt. L’Europe a imposé à Apple l’usage de store alternatif si j’ai bien suivi. Et il me semble que c’est pour 2023.
Le 26/07/2023 à 20h 29
Effectivement, la CNIL n’a pas juridiquement le droit d’interdire des pratiques directement (ce qu’elle a voulu faire via les lignes directrices), mais peut pour autant sanctionner chaque usage d’un cookie wall lors d’un contrôle, sous prétexte que le recueil du consentement n’est alors pas valide, pour la simple et bonne raison qu’il ne peut pas l’être dans ce cas précis.
C’est cette généralisation qui a été retoqué par le conseil d’état, qui s’est bien gardé de se prononcer sur le fond (la validité ou non des cookies wall).
Pour résumer :
Du coup, l’interdiction ne peut se faire qu’au cas par cas, c’est-à-dire en cas de contrôle ou de plainte. Avec des délais qui sont parfois très longs (plusieurs années de procédure).
Le 26/07/2023 à 18h 33
+1000
Le 26/07/2023 à 18h 31
J’avais justement en tête cette solution technologique. Et pour le coup, il fallait un navigateur compatible. De mémoire, cela ne fonctionnait pas sous IE (en tout cas, pas toutes les versions)
Le 26/07/2023 à 18h 29
Justement, quand on voit ce qui est fait aujourd’hui, ça me fait peur. Exemple tout bête : les cookies wall. Interdit par principe par le RGPD (pour cause d’invalidité du consentement faute qu’il soit “libre”), le Conseil d’Etat a malgré tout refusé une interdiction générale de cette pratique, avec une appréciation au cas par cas.
Mouais. 1% (et encore) contre des entreprises de la taille d’un GAFAM. C’est un peu David contre Goliath.
Le danger pour moi n’est pas directement Netflix et consort. Mais plutôt les banques, qui pourraient être incitées, à la vue d’autres acteurs (comme justement Netflix) de franchir le cap.
Je ne peux qu’être d’accord.
Si on prend ce virage, je trouve que l’usage des réseaux sociaux, ces nids à fake news, bien plus dangereux encore que la concentration des médias…. Mais là, on devient quand même bien hors sujet par rapport à l’article ;)
Le 26/07/2023 à 16h 51
Un client Google, clairement non. Un client compatible, je pense que oui.
Que la communication officielle soit faite sur les médias sociaux ne me dérange pas. Que la communication officielle ne soit faite que sur les médias sociaux est déjà beaucoup plus problématiques.
Certaines municipalités l’ont fait pendant la COVID, et je m’étais justement posé la question de la légalité de la chose. Par exemple, le site de ma municipalité affichait une information “périmée” qui n’avait pas été mise à jour ailleurs que sur les réseaux sociaux (Facebook pour ne pas le citer). Pour être précis, il s’agissait des lieux publics (notamment la liste des rues) soumis au port du masque obligatoire.
Le 26/07/2023 à 16h 42
Toi oui. Mais les autres ?
La grande majorité des gens veut juste un truc qui marche. Rien à faire de savoir si c’est Firefox, Opera, Chromium, Safari ou Chrome. Comme ces sites ont une part d’audience magistrale, le choix d’un seul de ces sites d’utiliser la techno pourrait faire basculer nombre de gens. Alors plusieurs…
Quand on voit le virage “solutionisme technologique” que l’on prend à des fins sécuritaires, est-ce que l’UE va vraiment l’empêcher ? Aujourd’hui, à part l’usage de l’IA (et notamment l’usage de la biométrie), il n’y a pas vraiment grand chose d’interdit
Le seul axe que je vois vraiment, c’est plutôt au sujet de Google et de sa position dominante, mais absolument pas l’interdiction de cette technologie à proprement parler.
Mozilla n’est pas le seul. Et heureusement. Le souci, c’est que le W3C rempli beaucoup moins son rôle aujourd’hui :
Bred, pour moi, “ça sent pas bon”.
Le 26/07/2023 à 13h 44
C’est un peu le côté inquiétant. Aujourd’hui, oui, on a le choix. Mais demain ?
Si demain tu ne peux plus aller sur ton webmail, tes comptes bancaires, Netflix/Amazon Prime/Disney+/…, les impôts, ou que sais-je encore, car ton environnement “n’est pas safe”, beaucoup prendrons la solution de facilité : installer Chrome, alimentant encore plus cette spirale infernale.
Les producteurs de lithium alertent contre une demande trop élevée
26/07/2023
Le 27/07/2023 à 08h 22
Attention, la fusion requiert 2 isotopes spécifiques de l’hydrogène : le deuterium et le tritium.
Le deutérium est présent à l’état naturel. Mais du coup, il faut donc prendre en compte son extraction (j’avoue que je ne sais pas comment ça se passe).
Le tritium par contre, doit être produit, (par exemple, à partir d’un isotope du Lithium).
Reste ensuite à voir le bilan de la fusion une fois pris en compte la production de son “carburant” (qui nécessite de l’énergie), ainsi que le maintien du confinement de la zone de fusion (qui nécessite également une part importante d’énergie). Sans oublier le rendement (perte thermique, etc.).
Où en est le web3 ?
19/07/2023
Le 20/07/2023 à 16h 13
As-tu lu tes sources ? Elles disent exactement ce que je dis. Et pour information, sans recoupement, Wikipédia n’est pas une source fiable.
Le 19/07/2023 à 14h 05
Tu es donc en train de mettre les points
sur les isur le webPlus sérieusement, je suis preneur d’une source. Autant je suis d’accord qu’en 2006 on ne voyait que Web 3.0 (en tant qu’évolution du Web 2.0). Autant aujourd’hui, on lit les deux (web 3 et web 3.0) pour désigner les crypto actifs.
Le 19/07/2023 à 11h 52
Tout à fait. C’est justement ce que je reproche à l’écosystème blockchain : on prend un terme, tant pis s’il existait déjà, et on l’utilise à notre sauce : web3, crypto.
Une phrase comme “je travaille dans la crypto” ou “je travaille sur le web 3.0” n’a pas du tout la même signification en 2013 qu’en 2023
Attention quand même : la technologie de la blockchain en elle-même n’est pas spéculative. Et elle n’est libertarienne que si elle est publique. Sinon, c’est même plutôt l’effet contraire !
Le 19/07/2023 à 09h 56
Le web3 n’a pas été créé en 2014. Le web3 (je parle bien du terme) existe depuis bien avant l’ère blockchain et est employé déjà dès 2006 pour désigner plus ou moins le web sémantique, par nul autre que Tim Berners Lee, considéré comme un des pères du web.
La “puissance marketing” autour de la blockchain a dévoyé non seulement le terme web 3, mais aussi le terme crytpo. Avant, la “crypto”, c’était la cryptographie. Aujourd’hui, la “crypto”, c’est la crypto-monnaie.
Je ne nie pas l’intérêt de la blockchain dans certains cas. Par contre, il faut bien différencier les blockchains publiques des blockchains privées.
Pour les publics, aucun régulateur, si ce n’est l’ensemble des “participants”. La blockchain publique a permis l’émergence d’un système sans tiers de confiance.
Pour les privées, c’est en fait un oxymore. La blockchain privée nécessite un tiers de confiance, et s’appuie donc sur un système qui est forcément plus ou moins centralisé. L’intérêt est alors simplement de placer un buzzword (blockchain), comme on a pu le connaitre par le passé avec plusieurs vagues (nosql, cloud, microarchitecture, …) dévoyant complètement l’intérêt réel de la technologie en l’utilisant “parce qu’elle est cool” plutôt que pour répondre à un besoin réel.
Pour ce qui est des crypto-monnaie en elle-même, je n’en dirai rien. Je vais troller sinon (mais je n’en pense pas moins )
Quoi de neuf à la rédac #3
13/07/2023
Le 20/07/2023 à 06h 08
Certes, mais quand même
Le 20/07/2023 à 05h 36
Je mets ce message ici, même si je sais que je suis hors sujet, car cela concerne la modération. Mais nous avons un bel exemple ici qui va illustrer ma proposition d’évolution : changer le pseudo d’un membre lorsqu’il est clairement irrespectueux. Cf 2 commentaires avant le mien.
Car bon, même si le message en lui-même n’est pas visible, le pseudo du membre modéré l’est
Le 18/07/2023 à 16h 40
Oui effectivement, tu as en partie répondu à mes interrogations ;)
Maintenant, c’était le message que je souhaitais adressé à l’équipe (et je considère que c’est maintenant chose faite) : vous consacrez à vos articles c’est très certainement une bonne chose, mais ne négligez pas non plus votre lectorat, sans qui l’aventure NextINpact se serait terminée il y a déjà quelques années sans les divers appels aux dons.
La seule chose que je souhaite, c’est simplement voir ce qui avait été promis les fois précédentes (et repromis encore aujourd’hui à Trooppper) : transparence. Je crois que c’est Fred42 qui avait très bien résumé cela dans un précédent commentaire sur le billet précédent justement. Et pour le coup, ce n’est pas forcément à toi de répondre, mais à Teuf (et dans ce cas, cela ne prend pas du temps sur l’écriture des articles ;)).
La grande inconnue à ce jour, pour moi, c’est cette notion de quelques semaines. Ca veut dire quoi ? Fin juillet ? Fin aout ? Septembre ? Octobre ? J’avoue que c’est là dessus que j’aurais préféré avoir des nouvelles, plus que sur les évolutions de la ligne éditoriale. Si c’est un sujet sensible parce qu’actuellement il y a des négociations, dites le nous, tout simplement. Nous sommes aptes à le comprendre.
Que vous ne puissiez pas dire la date d’un rachat, c’est normal, puisque cela dépend des négociations. Mais comme je l’ai déjà dit dans un précédent commentaire, si les négociations échouent (scénario pire cas), jusqu’à qu’en pouvez-vous tenir avant de procéder à la liquidation ?
Et attention, je ne dis pas que la ligne éditoriale n’est pas importante, juste que c’est du long terme, et que c’est la survie sur le court terme dont il est actuellement question.
En tout cas, merci d’être venu ici commenter. Je trouve cela rassurant
Le 18/07/2023 à 15h 03
Ca on peut le comprendre. Mais déjà on apprend une chose : il y a bien des repreneurs potentiels. On est donc passé de “on recherche” à “on en a déjà trouvé quelques-uns”. Pour moi, en tant que lecteur, c’est déjà énorme !
C’est compréhensible aussi. Et c’est tout à fait entendable qu’il y ait certaines choses que vous ne puissiez pas dire actuellement. Simplement… dites-le !
Désolé si je suis franc, mais par moment, depuis 1 mois 1⁄2, j’ai l’impression que l’équipe a déserté les commentaires (en tant que participant je veux dire). Il y a toujours un modérateur qui sévie (et merci ++!), mais sur les sujets concernant la vie de NextINpact, c’est un peu le désert.
De mon point de vue de lecteur, j’ai juste l’impression que l’équipe abandonne le bateau qui coule (et pourtant, je n’ai vraiment pas envie qu’il coule) et que malgré le dernier message (ce billet), je ne suis pas vraiment rassuré. On y parle surtout changement autour de la ligne éditorial, mais pas vraiment grand chose au sujet du fond du problème que sont les aspects financiers.
Le 18/07/2023 à 08h 25
Pour ma part, c’est aussi le constat que je fais. Si je fais le “bilan” des informations dont nous disposons (je suis juste factuel, ce ne sont pas des reproches)
Dans les commentaires du billet du 12 juin, Teuf à donner quelques informations complémentaires. Notamment, les frais fixes (de mémoire, autour de 40000€/mois sur le court terme, à cause de dettes qui sont en cours de remboursement).
Le 21 juin, on apprend une récolte de près de 60000€ de dons. Soit, grosso modo, 1mois 1⁄2 de “survie” supplémentaire.
Lors du billet alarmant du 12 juin, on ne sait pas combien de semaine NextINpact pouvait tenir. Quelques, c’est quoi ? 2 semaines ? 4 semaines ? 8 semaines ? Plus je me dis que la métrique utilisée aurait été le mois.
Du coup, aujourd’hui, objectivement, combien de temps reste-t-il dans le pire cas ? On ne sait toujours pas.
Est-ce qu’il y a des candidats à une reprise ? On ne sait pas non plus.
Je me doute que la situation est difficile aussi moralement pour l’ensemble de l’équipe. Mais vous avez des lecteurs qui se posent beaucoup de questions et qui ont su répondre à plusieurs reprises à vos appels à l’aide. Une présence plus poussée dans les commentaires seraient grandement appréciée je pense (je ne veux pas parler pour les autres, mais en tout cas, moi, j’apprécierai :) ) car je ne peux malheureusement que constater une absence depuis des semaines
Le 18/07/2023 à 06h 37
Je ne peux que m’incliner
Je ne connaissais pas du tout (je n’étais pas là à cette époque). Et là… c’est encore plus adapté, car tu as réussi à sortir une parodie d’un truc déjà peu connu de base, parodie autour de PC Inpact qui plus est ! Franchement, chapeau
Le 17/07/2023 à 21h 03
Dédicace pour tout ceux qui veulent (ou pas) et qui se sentent visés (ou pas)
Meta publie son modèle LLaMa 2 en open source
19/07/2023
Le 19/07/2023 à 15h 39
Il y en a peut être d’autres. J’avoue que je n’ai que survolé la licence
Le 19/07/2023 à 15h 28
La clause indiquant que Llama ne peut pas être utilisé pour entrainer / améliorer d’autres modèles est aussi limitante et empêche de facto de considérer la licence comme open-source.
Le 19/07/2023 à 13h 57
Open-source ne signifie pas que tout le monde peut y accéder. Open-source signifie que celui qui reçoit dispose des 4 libertés fondamentales (étudier, exécuter, modifier, distribuer).
Après, dans le cas des algorithmes d’IA, il faut distinguer 2 choses :
Le premier est souvent libre. C’est souvent plus compliqué pour le second. J’avoue que je n’ai pas regardé en détail les clauses de la licence de LLima (qui est une licence sur mesure), mais j’ai cru voir des restrictions quant à son utilisation, donc, incompatible avec la définition d’une licence libre ou open-source. Elle semble toutefois s’en approcher pas mal malgré tout.
Un registre malien reçoit par erreur, depuis 10 ans, des millions d’e-mails adressés à des militaires états-uniens
17/07/2023
Le 19/07/2023 à 11h 59
Non, du tout (et heureusement !)
Si je résume la situation qui a amené à “pouvoir” accéder aux mails :