votre avatar Abonné

JK

est avec nous depuis le 15 août 2024 ❤️

248 commentaires

Le 08/10/2024 à 14h 37

Merci de ne pas relancer cet emballement Ligue du LoL. 🫠🤪

Le 07/10/2024 à 11h 59

Je ne sais pas ce que tu voulais écrire à la place de ton *, mais j'ai l'impression que tu n'es pas allé lire la série d'articles de JMM ici même dont le premier est en lien dans cette brève. Tu pourras lire les autres articles à partir du premier. Ces articles sont de début 2020 et ton compte est plus récent, tu ne les as probablement pas lus à l'époque.

Donc, tu vas lire tout ça et tu nous diras après ce que tu en penses.

Pour finir, pourquoi les traiter de boomers qui est infamant pour toi alors même qu'une bonne partie sont plutôt nés dans les années 80 ?

Pour être précis, l'expression complète utilisée est « un avis de boomer ». Un avis donc, qui correspond à celui qu'aurait un boomer, une personne qui a profité des 30 Glorieuses et qui en profite encore avec une retraite confortable, qui s'oppose très volontiers aux changements sociétaux présents, changements généralement admis comme salutaires pour l'avenir (à défaut d'une application qui aurait pu avoir lieu plus tôt avec les connaissances en écologie depuis au moins le rapport Midows 1972 sur les limites de la croissance).

à lire : Hakim El Karoui, auteur de La lutte des âges,

Le 07/10/2024 à 10h 08

Oui, certainement un effet de groupe, quelques actes de cyberharcèlement (la Ligue du Lol était en général un prétexte à faire des blagues, comme les mèmes qu'on voit encore circuler aujourd'hui). Le problème, c'est aussi l'emballement médiatique et la méconnaissance de l'époque de ce qu'étaient Facebook et Twitter par le Landerneau médiatique avec toutes les approximations, les amalgames, les extrapolations qui ont eu des conséquences néfastes sur des gens qui n'avaient rien fait (que ce soit en toute innocence ou en passivité quand on voit un truc moche fait par une personne qu'on connait).
Perso, dans mon souvenir, j'ai suivi la seconde vague médiatique sur la Ligue du Lol (quand le fameux groupe Facebook avait été supprimé depuis plusieurs années, que Twitter avait changé) et ça m'apparaissait être une nébuleuse, une affaire floue, un mélange de réputations, d'accusations, de rivalités professionnelles, d'anecdotes plus que de témoignages (même si aujourd'hui, on dit qu'il faut croire les victimes, c'était quand même des victimes impliquées dans un réseau plus ou moins professionnel ou de connaissances). En tout cas, c'était ma perception.

Le 04/10/2024 à 16h 44

À classer dans les cas d'école des emballements médiatiques et des réputations flouées d'un milieu parisien. Comme l'affaire des Marioles de Blast et de Bruno Gaccio (un arrêt brutal après un crowdfunding, ça vaut peut-être mieux quand ça tourne au vinaigre).
Dernièrement, même si ça se passe en Belgique, c'est Damien Gillard sur la RTBF (Le Grand Cactus) qui connaît une polémique à propos d'une caricature de l'Abbé Pierre (mais c'est un guignol "professionnel").

Le 08/10/2024 à 13h 52

« Faites des Shorts, pas des vidéos ! » 🤖

Le 06/10/2024 à 20h 59

https://www.facebook.com/share/r/httZi7iLjNTUVNw1/
Extrait du film Un air de famille (1996)

Le 05/10/2024 à 13h 41

Pourquoi pas mettre la catégorie "renard" sur le formulaire ? Bref c'est triste d'adhérer à un non sens qui refuse la biologie, bref la connaissance scientifique.

Vos commentaires n'ont pas l'air de se référer à la connaissance scientifique, mais c'est bien que vous en parliez, c'est un bon début.

Le 05/10/2024 à 13h 35

Il n'y a pas que les garçons à éduquer. L'éducation pour que les filles apprennent à identifier et se défendre de ces comportements est tout aussi importante.

Oui, c'est écrit à la fin de l'article. Ça n'empêche pas cette réalité que la grande majorité des agresseurs sont des hommes. C'est un fait sociologique. On peut toujours imaginer des solutions, il serait temps de parler des faits et de veiller à appliquer des solutions.

Le 05/10/2024 à 13h 31

Et donc, "Tu est tombé sur les 5-10% qui reste, c'est malheureux pour toi. Tu est juste un dommage collatéral du narratif à sens unique", c'est cette réponse que tu propose ?

Visiblement "On a vraiment encore du boulot pour éduquer" que tout le monde à le droit à la même considération.

C'est comme dans le domaine médical : si on a 90% de crises cardiaques ou 10%, c'est certainement pas la même chose. Mais oui, un individu qui fait une crise cardiaque, il s'en fiche des données statistiques, mais la médecine n'a pas que lui à soigner.
Bref, on ne parle pas de faits divers, on parle de faits sociologiques.

Le 04/10/2024 à 13h 57

Alors justement, l'affaire Mazin a soulevé une question juridique sur le consentement et l'ajout de celui-ci dans la définition du viol. Car le code pénal ne parle pas de la notion de consentement et c'est un flou avec lequel des accusés se défendent.

Comme le code pénal est d'application stricte, il n'y a pas de place à l'interprétation.

Oui, juridiquement, le Code pénal liste des infractions et s'intéresse uniquement à leurs auteurs. Chacun sa conscience j'ai envie de dire aussi, chacun ses fantasmes. Où est l'intention quand on ne se préoccupe pas de son partenaire de jeu sexuel ? Grande question.

Le 04/10/2024 à 13h 06

Ca repond pas a la question bien au contraire puisque la "sideration" arrive apres(est la resultante de) la contrainte physique.

Selon ce graphique moi je lis que 49% des viols sont faits sous menace/contrainte physique(35,4 + 13,6) .Ajoutons les 14.6 sans menace physique(que tu dis "psycologique) on arrive a 63.6%.

Il reste donc 36.4 % des viols "faits" sans aucune contraintes???

T'appelle ca comment alors?Du viol consentant?

Le viol dans de droit français peut être commis « par violence, contrainte, menace ou surprise ».
Par surprise, la victime n'est pas consentante même si elle ne dit rien, même si elle est immobile. J'ai même envie de dire, si lors d'un acte sexuel la personne en face ne bouge pas, ne répond pas, c'est inquiétant.

Le 03/10/2024 à 18h 05

La moitié des élèves, tous des mâles, ont commencé par ricaner et à se moquer, a tel point qu'ils empêchaient le cours de se dérouler.
En tant que prof de maths (rien à voir), j'ai dû accompagner une classe de 2de à une séance d'information animée par une infirmière (en cas d'intervenant extérieur à l'EN, il est impératif qu'un personnel de l'EN soit présent).
L'infirmière a demandé à chaque élève de poser une question sur un papier.
Elle a passé une partie de la séance à lire les questions (35 élèves...)
Les garçons : que des questions graveleuses, voire obscènes ou scato, j'ai même appris des mots, comme "bondage"... De la pure provoc.
Les filles : que des questions sensées...
Elle s'est sentie obligée de répondre aux questions des garçons, ambiance dans la salle...
Elle a eu à peine le temps de répondre à quelques questions des filles. Durée : 1h.

Moi, j'avais compris que l'intérêt de ce type d'intervention était que les questions des uns apportent des réponses aux autres. Il n'y a pas de mauvaise question. D'ailleurs, ça lance la communication et ça éveille les uns à ce qui intéresse les autres mutuellement. D'où la demande d'écrire anonymement les questions sur des papiers.

Le 06/10/2024 à 10h 35

Le dessin sur l'Arcep est un point de vue intéressant. 😹

Le 04/10/2024 à 11h 18

Ce n'est pas la peine de le rappeler à chaque instant mais je pense que c'est requis car à l'image bien que moindre de ce que vivent les femmes, il y a des logiques foireuses qui persistent. J'en ai vu des tas sur les réseaux sociaux.

Du genre : des hommes battus, bah... ils devraient avoir honte, ce sont vraiment des hommes ? Des hommes harcelés, bah... ils devraient se sentir honorés en fait. Un gosse violé par une prof, putain la chance qu'il a le petit coquin !

Euh... mouais.

Le problème dans tous les cas est surtout la forme, des deux côtés. La radicalité est devenue la norme et à mon avis crée une logique de groupe, et chaque groupe veut défendre ses intêrets, alors que l'on devrait tenter de rassembler.

Perso, je bloque les commentaires problématiques sur mes réseaux sociaux. J'évite les médias pendant les campagnes électorales. Trop de commentaires journalistiques et de commentaires "d'experts". Trop de slogans et d'idées prêtes à penser. J'essaie de suivre des journaux d'enquête ou d'analyse (c'est un peu laborieux parfois)

Le 04/10/2024 à 10h 46

J'aime bien l'idée qu'on utilise des au lieux de les. C'est un petit changement sémantique qui réintroduit de la nuance, et évite de stigmatiser tout un groupe sur le compte d'une minorité.

Oui à condition d'ajouter que les agresseurs sont surtout des hommes parce que c'est de ça dont il s'agit. Personne ne dit que tous les hommes sont des coupables. Si je ressens un sentiment de culpabilité, alors je m'interroge sur mes propres actes au lieu de faire de la sémantique sur ce que disent les autres.

Édit: dans les médias, il y a beaucoup de commentaires, pas souvent d'analyses ou d'enquêtes. On parle beaucoup trop de ce qu'a dit l'autre ou de ce qui s'est passé dans l'actu.

Le 03/10/2024 à 11h 28

Pas d'article depuis un an de sa part, que doit-on en conclure ? :)

Sinon, je n'ai pas de problème avec la pluralité, au contraire ! Je l'ai appelé plusieurs fois ici, et c'est resté lettres mortes.

En tout cas, chez l'informé, tu ne pourras pas faire profiter de ta prose les autres lecteurs, tu devras contacter les journalistes par mail. C'est peut-être pour ça que tu restes ici, on n'est pas si mal sur Next finalement.

Le 03/10/2024 à 10h 21

Comme je l'avais déjà évoqué avec Ferd, je pense me tourner dans un premier temps vers l'Informé. Ils ont l'air d'offrir un travail plus poussé qu'une revue de presse (l'essentiel des articles ici) et d'avoir un angle plus factuel/prise de hauteur.

Je ne suis pas le public de la partie technique poussée par Next, et je ne suis pas aligné avec le traitement des sujets technologiques qui est bien trop militant; ces thématiques sont déjà bien couvertes par l'offre qui existe sur internet, donc pas de problème à ce niveau-là. Ne reste que la partie Légale, qui bien que de plus en plus réduite à sa partie congrue ici, sera plus difficile à remplacer.

L'informé, c'est pas vraiment de la tech/numérique.
Numerama, Le Pavé numérique (Canard PC), Presse Citron, TechTrash, … Next, c'est de la tech.

Le 02/10/2024 à 17h 49

OK, merci pour les infos. C'est vrai que l'original est sympa à écouter.
Moi, la mélodie me rappelait la chanson "Fame" qui servait de générique à la série tv "Fame".
D'ailleurs, je viens de m'apercevoir que la chorégraphie de Geri Halliwell est dans le film Flashdance

Le 02/10/2024 à 09h 29

D'ailleurs, je l'avais raté, mais @Citan666 dans le message #36 explique de façon beaucoup plus détaillée que moi le problème avec ce terme AllMen

Le hashtag #allmen ? J'amais lu nul part
Le commentaire de Citan ? Ce n'est pas le sujet, je parle à vous. Allez, je rigole, je fais comme vous.
Bonne journée, et bonne journée Citan.

Le 02/10/2024 à 09h 15

Le sujet n'était pas l'essentialisation des rapports hommes-femmes mais l'essentialisation des hommes en tant que groupe. Considérer acceptable l'expression "AllMen" qui revient à rendre tous les hommes responsables du comportement de certains d'entre eux
Quand à ce dit La Croix, ce n'est pas le sujet, je m'adresse à vous, je ne suis pas en train de faire de l'étude de texte d'un article.
Et oui mais non: le whataboutisme ce n'est pas ça: c'est vouloir se dédouaner sous prétexte que d'autres font pire dans le but donc de diminuer sa responsabilité ou la gravité de celle-ci. Ce n'est pas le cas ici: je vous fait remarquer que ces propos, appliqués à d'autres groupes vous sembleraient inacceptables et sont l'illustration d'un double standard. "essentialiser c'est mal sauf quand on l'applique à un groupe que je combats ou méprise".

Vous retournez la problématique en faveur des idées qui vous plaisent, comme vous l'a dit Aqua. Bonne journée.

Le 02/10/2024 à 02h 49

Voilà, et si c'est La Croix qui le dit, ça doit être vrai.
Je ne vais pas être très original, mais je vous propose un exercice simple: remplaçons "men" par une autre catégorie de personnes comme "black" ou "jews". Est ce que les propos tenus sur AllMen vous sembleraient alors acceptables? Ou bien est ce que cela vous fait réaliser que c'est de l'essentialisation qui doit être combattue, comme doivent l'être toutes les essentialisations ?

Excusez-moi mais l'essentialisation des rapports hommes-femmes est faite par des gens qui ne veulent pas voir les violences sexuelles (c'est ce que dit l'édito La Croix en tout cas). Le hashtag #notallmen est utilisé à cette fin par des gens qui s'expriment comme vous. Libre à vous d'ignorer que les violences sexuelles sont produites en très grande majorité par des hommes, mais votre comparaison avec le racisme, ça s'appelle du confusionnisme ou du whataboutisme (quand on se détourne du sujet pour ne pas avoir à traiter le sujet en question, la question en l'occurrence étant des violences sexuelles, des viols).

Le 01/10/2024 à 22h 45

Est ce que cela officialise que Next est donc maintenant un media militant radical de gauche ?
Si c'est le cas, ce sera avec regret que je mettrais fin à des années d'abonnement ..
Next a bien sur toujours été militant, concernant a minima les libertés numériques, mais là, ça changerait de dimension. Je ne viens/venais pas ici pour lire la section "technologie" de mediapart ou d'asi. Je me serais directement abonné chez eux si c'était ce que je voulais.
Dommage

Un édito d'un célèbre journal de gauche* : La Croix - Procès des viols de Mazan : #AllUnited
Extrait : « Dans ce contexte, le hashtag #NotAllMen (#pastousleshommes), brandi par des hommes qui se défendent d’être des agresseurs, peut apparaître comme une fuite en avant. Quelque chose dérange dans cette réaction épidermique. Peut-être parce qu’elle est défensive quand il s’agit d’aller au combat, qu’elle reconduit l’essentialisation des rapports hommes-femmes quand il faudrait trouver un mot d’ordre commun – suggérons à ces hommes si prompts à se dégager de la réflexion le hashtag : #allunited – « tous unis ». »

*je blague à peine en qualifiant La Croix de journal de gauche, car les commentaires de la page facebook du journal La Croix qualifient régulièrement La Croix de "journal de gauche" (peut-être un journal un peu trop sensible aux sciences humaines et sociales, pas assez traditionaliste).

Le 01/10/2024 à 20h 53

Get ready, all you lonely girls
And leave those umbrellas at home.
Alright!

Humidity is rising, barometer’s getting low
According to all sources, the street’s the place to go
Cause tonight for the first time
Just about half-past ten
For the first time in history
It’s gonna start raining men.

It’s Raining Men – Geri Halliwell – 2001

Le 01/10/2024 à 12h 45

Merci, je ne me souvenais plus que Rick HUNTER était cité dans la Cité de la peur.

A part Rick Hunter l'inspecteur choc, il y avait dans les années 1970-1980 des héros un peu moins machos comme dans la série Les Rues de San Francisco, (je ne compte pas Colombo qui ne patrouillait pas dans les rues) et la série Cagney et Lacey (deux flics femmes). Même si ça a mal vieilli, c'est déjà mieux que Drôles de Dames concernant les scènes d'action et l'esthétique de la série.
D'ailleurs, l'actrice qui joue Lacey dans la série Cagney et Lacey, a joué dans un épisode de l'Inspecteur Harry avec un personnage de femme-flic qui réussit à étonner l'inspecteur Harry, personnage rustique et macho (en apparence puisqu'il déteste les ronds-de-cuir)

Le 01/10/2024 à 11h 54

extrait de La Cité de la Peur

Le 01/10/2024 à 11h 12

Je n'ai jamais exposé ne pas comprendre la profondeur colère et les propos extrêmes qui en découlent.

Les discriminations et les dangers auxquels sont exposés certaines personnes (femmes, trans, etc.) ne devraient pas exister.

Mais il n'est pas normal, au même titre que pour les personnes citées précédemment, qu'un homme hetero standard qui ne souhaite faire de mal à personne subisse des pressions telles qu'il puisse avoir peur de dire bonjour à sa voisine

Si par « avoir peur de dire bonjour à sa voisine », il faut entendre « prendre des précautions oratoires et comportementales face à une personne en situation de vulnérabilité », il est donc évident d'avoir peur de dire boujour maladroitement à sa voisine. On marche forcément sur des oeufs, on adapte constamment son comportement, sans ça on devient dérangeant (si ce n'est pire).

Le 01/10/2024 à 10h 40

Avec le fait de parler, il y a le fait d'écouter. Etre curieux de ce qu'en disent les 1ers témoins.
Sinon, c'est facile de donner son avis sur tout. D'ailleurs, les experts autoproclamés qui ont tout vécu, ça court les rues et les plateaux TV.

Le 01/10/2024 à 10h 25

L'idée est que ce que subissent les hommes dans l'espace public et dans la sphère intra-familiale est sans commune mesure avec ce que peuvent subir les femmes au quotidien, dans la répétition. Il n'est pas question d'individualiser les choses, ce sont des faits sociologiques. Et la segmentation genrée de la population est pertinente à cet égard.
S'il est besoin de le dire : il existe des hommes harcelés, des hommes battus, c'est une évidence, c'est pas la peine de le rappeler à chaque instant. Concernant les hommes, c'est surtout de l'inceste (violences familiales) et de la pédophilie dont il faudrait parler (mais là encore désolé de le rappeler, ce sont des hommes qui agressent généralement, pas tous les hommes mais des hommes plutôt que des femmes).

Le 30/09/2024 à 22h 15

Réplique d'une avocate à Mark Zuckerberg dans le film The Social Network :

« Vous n'êtes pas un salaud Mark, mais vous faites beaucoup d'effort pour l'être. »

Le 30/09/2024 à 20h 56

Concernant l'image qui accompagne l'article avec le personnage de Rick Hunter (une scène de La Cité de la Peur, si je ne me trompe pas), j'aime aussi le personnage de The Equalizer, l'homme tourmenté qui tente de mettre sa propre violence au service des victimes de la violence d'autres hommes. Ça reste de la fiction (la rédemption n'est pas toujours de mise dans le monde réel) mais j'aime l'idée de maîtriser ses pulsions et ses emportements autant que faire se peut.

Le 04/10/2024 à 10h 34

Non, la fibre permet d’essayer de monter les débits et les abonnés qui ne sont pas débranchés tous les 4 matins en sont satisfaits.
Le truc c’est que pour les opérateurs grand public, vu que ce qui reste en déploiement est lourd et pas forcément rentable ça ne les motive pas.
Ensuite il reste les rip, ça va petit à petit.
Il peut y avoir des bizarreries, dans le village de mes parents, tout le monde est éligible sauf 30 maisons arbitrairement alors que tout est prêt pour le raccordement.

Mais si on regarde les gens raccordés dans le village (car la carte le permet) quasiment toutes les maisons sont raccordés à la fibre. Le taux d’abonnement est super bon.

La 5g c’est différent car ça touchera plus les zones urbaines et périurbaines et c’est aussi une tentative pour augmenter les prix (mais au fait non, car maintenant même les forfait à 10€ en ont).

Les opérateurs tirent un peu la langue mais du coup on arrive à une situation grand public où la fibre et la 5g tend à se banaliser la plupart du temps, avec des exceptions.

Moi, je pense que dans la stratégie des opérateurs, le fixe (fibre, etc) est actuellement la rente qui finance la 5G. Faire de la maintenance a un coût, la fibre ftth a été déployée rapidement mais sans cohérence, avec de la colle et des coups de perceuse (même sans parler de vandalisme). Je n'habite pas en zone très dense (les villes métropoles) mais vu ce que je vois dans mon agglo, j'imagine la cacophonie que ça doit être dans les armoires techniques, les immeubles.
Aujourd'hui, on a 100 Go mensuel pour 10 euros en mobile. C'est 40 euros en fibre et 4G fixe. À part les services des box, le grand public n'utilise pas la fibre pour son potentiel.

Le 04/10/2024 à 09h 16

J'ai l'impression que la priorité est à la 5G, autant pour Orange (et autres) que pour l'ARCEP.

Le 03/10/2024 à 13h 40

Gafam, Natu, BATX, … US vs China as usual

Le 03/10/2024 à 13h 34

Extrait de l'article du FT :

“Because the round was so oversubscribed, OpenAI said to people: ‘We’ll give you allocation but we want you to be involved in a meaningful way in the business so you can’t commit to our competitors,’” according to one person with knowledge of the deal.

A partner at one leading VC firm noted that ride-hailing app Uber had a similar policy “when they were in full world-domination mode”, adding: “If a company holds all the cards, they can force people to do things unnaturally.”


L'article précise en outre que ça pourrait créer des tensions avec les rivaux d'Open AI, notamment avec Elon Musk qui est en procès envers Open AI.

Pas fairplay envers les rivaux concurrents, comme le fait que Open AI devienne à but lucratif (mais on avait déjà compris que c'était déjà acté depuis le débarquement d'une partie des équipes qui exprimait une vision plus déontologique et moins mercantile du projet OpenAI, au moment de l'implication de Microsoft).

Le 02/10/2024 à 21h 39

MÉGACONSTELLATIONS: Ce qu'ils ne vous diront JAMAIS ! - On Se l'Demande #118 - Le Journal de l'Espace
30 sept. 2024

🌍 Une vidéo très spéciale aujourd'hui, où la recherche de données chiffrées fiables a été au cœur de nos priorités. Pourquoi les Mégaconstellations sont-elles une véritable BOMBE à RETARDEMENT ? Une vidéo un peu plus engagée que d'habitude face à une activité qu'il convient d'analyser en détail, vous allez voir, ce n'est pas joli joli !

Le 02/10/2024 à 21h 11

Merci pour ces podcasts qualitatifs. J-G Ganascia s'exprime simplement, il me fait penser à Julien Bobroff.

Le 01/10/2024 à 14h 01

C'est le principe de la promotion : on prétend faire une faveur au client pour dissiper les dernières réticences (alors que proposer directement le prix tel quel fait penser que le prix est plus cher même s'il s'agit du même montant).
Perso, je suis surtout gêné par le modèle du tout-en-un dans un seul forfait (triplay, fixe-mobile, bundle, formule tarifaire, pack, etc). C'est l'illusion de l'abondance, comme les rayonnages des supermarchés qui sont habillés avec de faux produits en hauteur ou des produits qui montent jusqu'à la toiture de l'entrepôt, inaccessibles à l'acheteur (maintenant, il y a même des écrans avec des images dynamiques accrochés en hauteur).

Le 01/10/2024 à 08h 02

A une époque, tu appelais en tant que appelant et appelé, en roaming notamment à l'étranger

Et sur réseau postal, il fût une époque où le destinataire payait la réception du courrier. Les opérateurs postaux se sont vite rendu compte qu'ils étaient plus facilement rémunérés en faisant payer à l'expédition dès le départ.

Le 01/10/2024 à 07h 57

Je ne sais pas si la Poste est un bon exemple : quand j'envoie une carte postale à ma mamie, c'est moi qui effectivement paye le timbre (sauf si je veux jouer les crevards et faire payer le destinataire du courrier sans timbre...), mais dans ce cas je paye le service que j'ai demandé, envoyer des nouvelles.
Et quand je commande en ligne, c'est encore moi qui paye les frais d'expédition du colis, en complément du prix des articles ou via une part de la marge du commerçant.
Dans les 2 cas c'est celui qui sollicite le service qui paye la Poste (ici moi en tant qu'expéditeur de nouvelles ki-veu-rekup-20-balles-a-mamie, puis client d'un commerce en ligne), pas le fournisseur de service.

Pour Méta c'est pareil: ce sont les clients de DT qui sollicitent les 3,5 To/s, et pas Méta qui les envoient quand ça leur chante.

En réseau télécom, on paie une bande passante (un flux de données qui évolue à chaque instant). Donc, sauf facturations croisées, l'interconnexion est payée sur le déséquilibre des flux acheminés.

À la poste, c'est l'expédition qui occupe la logistique (à part la boîte aux lettres que le destinataire paie et met à disposition de l'opérateur postal). C'est Amazon qui paie La Poste pour le service de livraison de ses colis. C'est la presse papier par abonnement qui paie La Poste (ou autre opérateur postal) pour livrer les magazines dans chaque boîte aux lettres. Libre à l'expéditeur de faire payer tout ou partie des frais de port à son client final (voire de se rémunérer lui-même sur ses livraisons).

En comparaison, Meta paie son infrastructure, paie sa bande passante à ses opérateurs télécom (dont D-Telekom). L'internaute (dont l'utilisateur des services Meta) paie son FAI, généralement au forfait à débit limité (qui limite l'utilisation de bande passante par l'utilisateur grand public).

Le 30/09/2024 à 15h 46

Les commentaires de Next me font penser à une anecdote que j'ai vécu plus jeune. J'étais entré avec une collègue de travail dans un bar PMU pour manger à la pause déjeuner, elle est ressortie de là très vite. Elle m'a fait comprendre que l'ambiance était franchement hostile à sa présence : un peu trop de testostérone avec des attitudes pas très "fair play", du style une femme qui entre dans un saloon rempli de cow-boys.

Ça me fait penser à des titres de films comme Les Figures de l'ombre (l'histoire de trois scientifiques afro-américaines), Drôles de Dames (comme si c'était drôle, des femmes d'action).

Le 25/09/2024 à 17h 51

J'aime bien te lire et je trouve que tu as des points de vue intéressants, mais , par pitié, il faut arrêter d'utiliser le terme "haine" à tout va, ça le vide de sa substance. Un peu comme "agression", d'ailleurs. Les mots ont un sens, utilisons les à bon escient.

@ElMarcassin
Dans un sens, je comprends la remarque, car bien souvent les réactions disproportionnées écrites en ligne sont, du moins au départ, motivées par un simple mépris ou un profond désintérêt. Mais comme les plateformes de réseaux sociaux font tourner ça en boucle, ça fait boule de neige, ça grossit, et ça devient très vite très hostile si ce n'est haineux.

Le 25/09/2024 à 17h 44

https://www.ellesbougent.com/association/presentation/
« Notre histoire, nos actions

C'est en 2005 que commence l'histoire d'Elles bougent, lorsque deux groupes industriels expriment leur besoin de recruter davantage de femmes ingénieures à Marie-Sophie PAWLAK, alors directrice des relations extérieures d'une école d'ingénieurs, et elle-même ingénieure de formation.

Pour attirer plus de jeunes filles vers ces métiers qu'elles méconnaissent souvent, l'idée qui s'impose est de leur faire rencontrer des femmes ingénieures. La mission de l'association est trouvée, Elles bougent nait officiellement en 2006.

Très vite, de nombreux groupes industriels et entreprises en manque de talents scientifiques féminins rejoignent l'aventure. D'abord dans le secteur des transports (Airbus, PSA, Dassault Aviation, SNCF…), puis dans les secteurs de l'énergie, du numérique, du bâtiment, etc. »

C'est effectivement du lobbyisme qui ne te concerne visiblement pas à titre personnel (à tout point de vue).

Le 25/09/2024 à 12h 35

Tu te rompes de cible. Je ne critique pas le fait de parler de cette problématique. Il faut en parler, il faut chercher des solutions.
Mais investir l'argent de l'association dans une étude aussi bidon, c'est un bien piètre investissement. En tout cas, ça n'éclaire pas du tout sur les raisons de la situation, donc ça manque sa cible.

Merci de l'intérêt que tu portes au sujet en tout cas. Tu as dû passer au moins 15 minutes à commenter négativement le travail de gens payés pour le faire (une asso et un sondeur). C'est déjà pas mal.

Le 24/09/2024 à 21h 10

le plafond de verre qui empêche les femmes personnes, hommes comme femmes, compétentes et motivées d'atteindre le sommet de l'organigramme.

J'ai corrigé pour toi. :)

Merci de tordre des expressions qui ont un sens pour leur faire dire n'importe quoi. C'est très utile pour comprendre des phénomènes sociaux auxquels des personnes (hommes ou femmes) dans ton genre (rien à voir avec le genre lié au sexe) n'y prêtent aucun intérêt.

J'espère que j'ai bien tenu compte de ta correction. :)

Le 24/09/2024 à 16h 04

La sélection par les maths a quand même une certaine logique quand tu fais une filière scientifique.
Mais je rassure : les postes clefs sont de moins occupés par des ingénieurs, et de plus en plus par des gens issus d'écoles de commerce et autres écoles de management. Nous sommes sauvés !

Merci Captain Obvious

Le 24/09/2024 à 15h 46

de facto

Oui c'est évident, j'ai été idiot de ne pas le voir ! C'est un fait inévitable que plus de femme ingénieur va entrainer plus d'homme assistant maternel.

:fume:

Plus le genre sera insignifiant pour atteindre le sommet de la hiérarchie (conception, direction de service), plus les hommes s'intéresseront à des métiers dévolus aux femmes (pour le coup, il s'agit de désintérêt des hommes pour ces métiers dévalorisés). Ce n'est pas difficile pour un homme de devenir assistant maternel (du moment qu'il en a les compétences) parce que c'est le type de métier qui a besoin de bras et parce que les réticences que tu sembles pointer du doigt n'ont rien de comparable avec le plafond de verre qui empêche les femmes compétentes et motivées d'atteindre le sommet de l'organigramme.

de facto, oui.

Le 24/09/2024 à 13h 25

C'est un sondage ou une étude scientifique ? !

Comme je l'ai indiqué ci-dessus, leur méthode n'est pas du tout scientifique. Et comme c'est réalisé par Opinionway, la réponse semble claire : c'est un sondage.

L'intérêt est de demander aux femmes (actives, étudiantes) leur expérience. Et comme l'indique l'article, c'est dommage de ne pas avoir fait de même sur l'expérience des hommes.
La sélection par les maths et par les filières scientifiques est un fardeau pour beaucoup d'hommes aussi. Certainement moins que pour les femmes mais ça permettrait peut-être, à mon avis personnel, de privilégier une sélection plus diversifiée de profils dans des postes-clés des entreprises.

Le 24/09/2024 à 12h 57

Emmanuel Todd a raison de voir que le féminisme concerne aujourd'hui la classe bourgeoise puisqu'il s'agit de mettre plus de femmes dans les milieux dirigeants. Pour le reste, Emmanuel Todd n'est aucunement sociologue, il est démographe et historien. Il est à côté du sujet.
Concernant votre avis sur une potentielle recherche de parité homme/femme, c'est vrai que la parité h/f n'a aucun sens et je me demande pourquoi ça revient souvent dans les commentaires puisqu'il n'est jamais question de parité (en tout cas en France où il n'existe pas de dispositif de discrimination positive, à part dans les candidatures d'élections politiques et à part vis-à-vis des personnes en situation de handicap même si ça concerne seulement les employeurs de 20 salariés et plus).

Le 24/09/2024 à 12h 49

En permettant aux femmes d'accéder aux métiers technologiques, on permet de facto de faciliter l'entrée des hommes vers des métiers du médico-social qui sont aussi les métiers parmi les plus précaires (être payé au SMIC n'est pas un privilège social).
Éboueurs, dockers, les métiers du BTP sont autant masculins parmi les ingénieurs que parmi les métiers opérationnels. C'est la mécanisation du travail (la robotique, l'IA, etc) qui permet aux ouvrières de rivaliser efficacement avec les ouvriers masculins (d'ailleurs, c'est la guerre de 1914-1918 qui a ouvert aux femmes le droit de travailler comme salariées et de sortir du foyer).

Le 26/09/2024 à 12h 19

La page d'accueil de Firefox contient des publicités par défaut. Le moteur de recherche est configuré sur Google search par défaut. Les paramètres de Firefox contiennent des services Google notamment la « Protection contre les contenus trompeurs et les logiciels dangereux ».
Ce n'est pas spécialement de la collecte de données (quoique…?).

édit: ça ne m'empêche pas d'être un utilisateur de Firefox, de Pocket, de synchroniser mes appareils avec un compte Firefox.