“Sky Guide” affiche sur l’écran en temps réel ce que tu regardes dans le ciel en pointant l’iPhone. De mon côté, je n’ai pas de pub sur la version iOS. Sur Android pu autre, aucune idée s’il est bien ou nul.
Je n’ai pas l’impression que ton logiciel permet de faire pareil, mais cela semble être un bon support
La version Android propose le suivi de mouvement du téléphone , en effet.
Que ce soit à la portée, peut être. En tous cas il n’y a aucune preuve que des humains aient pu se rendre au delà d’où ils sont actuellement dans les stations.
Ah bah j’imagine que les échantillons de régolithe lunaire sur lesquels je bosse avec mes collègues à l’ESA sont des faux, je m’en vais de ce pas leur dire écoutes, merci beaucoup.
Du calme, l’Europe continue de bosser avec l’Inde, le Japon, les US et la Chine pour le spatial, sans compter tous les états membres de l’ESA entre eux et le Canada. Les russes ont décidé d’eux même d’arrêter les lancements Soyuz en Guyane et ce sont leurs soldats qui ont détruit l’Antonov 225 qui devait servir à transporter par mal de matériel spatial, entre autres, un peu partout dans le monde.
Et la Chine n’a clairement pas besoin de ça pour instrumentaliser la science en outil politique, ils le font déjà très bien tout seuls.
C’est vrai que c’est une unité à la con, mais il est d’usage d’utiliser des unités compatibles avec l’ordre de grandeur, parfois, c’est vrai aussi avec la volonté d’orienter la vision de la quantité évaluée. Exemple “La sonde Parker Solar Probe dépasse les 585 000 km/h” (NxI) C’est assez objectif, mais une vitesse s’exprime dans le SI en m/s. Ce qui n’aurait aucun sens. Mais ça ferait un gros gros chiffre. Au contraire, si on veut minimiser le truc, c’est environ 0,5% de c.
0.05%, faut pas pousser quand même
Par contre là les 3 pages de commentaires sur l’unité Mégalitre, honnêtement je ne comprends pas. Il y a plein de choses à dire sur le sujet pourtant.
Les projet de propulsion nucléaire typer NERVA (https://en.wikipedia.org/wiki/NERVA) consistent en gros a prendre le cœur d’un réacteur à fission classique et de faire passer de l’hydrogène ou un autre ergol à travers les barre pour le chauffer et l’expulser. La promesse est une impulsion spécifique bien plus élevée que la propulsion chimique traditionnelle. Le gros problème, et ce qui fait que c’est resté dans les cartons, c’est qu’a la moindre merde au lancement ou la mise en orbite (qui se ferait toujours par propulsion chimique classique bien entendu puisque les gaz expulsés sont radioactifs), tu te retrouves littéralement avec un réacteur nucléaire qui soit s’écrase au sol, explose ou crame dans l’atmosphère et éparpille sont contenu de matériaux fissile. Bref, faudrait qu’ils soient sûrs de leur coup et c’est à comparer aux infinies précautions que prends la NASA quand elle envoie un RTG qui ne contient que quelques kilogrammes de Pu238 juste radioactif, pas fissile, qui sont subdivisés en petits cylindres eux mêmes encapsulés chacuns dans un conteneur censé résister à une rentrée atmosphérique où une explosion sur le pas de tir.
sinon, il y a l’option de scanner la pièce avec une antenne dirrectionelle qui envoie 100 W aux différentes fréquences GSM. Si un truc prend feux, c’était un téléphone
Pas mal de fréquences GSM sont dans la bande micro-ondes, tu vas surtout faire des grosses étincelles des que ça va toucher une surface conductrice et/ou faire claquer le moindre appareil électronique (téléphone compris en effet …) et/ou flinguer ton émetteur micro-ondes et/ou buter le type qui opère le canon si le faisceau est réfléchi dans sa face. 100W c’est peu être même un peu léger par contre pour tuer le téléphone, surtout si il est planqué et qu’il faut traverser des surfaces.
(quote:1863233:Trit’) D’accord, pas la relativité, donc. Mais on va dire la science et le monde réel en général (ça te va mieux, ça ?). Haha, ça me va (je ne voulais pas te froisser )
Le
25/03/2021 à
11h
21
(quote:1863212:Trit’) En effet : ce qu’on voit de cette galaxie et de ce trou noir actuellement sont ce qu’ils étaient il y a 55 millions d’années. Comme ce qu’on voit de la Lune est ce qu’elle était il y a une seconde, ou il y a 8 minutes 18 pour le Soleil.
Il y a des choses très amusantes avec ça, d’ailleurs, et je crois qu’Einstein avait formulé cette expérience : – mets une personne immobile sur un quai de gare, et une autre dans un train qui se dirige vers cette même gare. – supposons que deux éclairs frappent le sol, de part et d’autre de la personne sur le quai, en même temps : la personne sur le quai verra les deux éclairs apparaître au même moment, mais pas celle qui est dans le train ! Elle, elle verra d’abord apparaître l’éclair le plus proche d’elle, puis ensuite celui qui est plus éloigné (en supposant qu’on puisse ralentir assez le temps pour percevoir cette différence).
Variante dans l’autre sens : mettons que tu regardes le ciel, une nuit. Soudain, tu vois apparaître pile poil au même instant deux points lumineux (on va dire que deux étoiles ont explosé en supernovæ). Sauf que les étoiles ne se trouvaient pas à la même distance de la Terre, et leurs deux explosions ne se sont donc pas produites au même instant « en vrai » (peut-être que 20 ans ont séparé ces deux événements, car elles étaient éloignées de 20 années-lumière). Pourtant, toi, depuis la Terre, tu les as vues se produire simultanément, donc tu peux dire que ça s’est passé en même temps, de ton point de vue. Et quelqu’un qui aurait été exactement de l’autre côté des supernovæ aurait dû attendre 20 ans entre la première et la deuxième.
Les petites merveilles de la relativité…
Je ne pense pas qu’il y ait de relativité impliquée dans les deux exemples que tu donne, du moins pas de relativité au sens relativité restreinte ou générale avec les effets dus à la vitesse de la lumière. Juste une différence de référentiel entre la personne sur le quai et celle dans le train, mais ça Galilée l’avait déjà théorisé et observé. SI tu remplace tes deux éclairs par deux haut parleurs qui émettent un son bref, tu auras la même conclusion. Quand tu fais le postulat : “supposons que deux éclairs frappent le sol, de part et d’autre de la personne sur le quai, en même temps”, eh bien justement, les principes de relativité ne te permettent pas de faire ce postulat. La suite de ta démonstration le prouve bien, la notion de simultanéité de deux éventements ayant lieu a deux endroits différents est impossible a définir, la conséquence étant qu’elle diffère entre les deux observateurs.
(quote:1862413:Z-os) Mais c’est pour mon neveu quand il aura 18 ans. Quoi 15 ans d’avance c’est trop ?
Edit : 18 ans, c’est ce qui est indiqué sur la boîte si quelqu’un se pose la question !
Si tu le gardes bien dans sa boite pour ton neveu dans 15 ans, il le revendra à très bon prix pour la dernière console, ne fais pas cette erreur, montes le
Il en existe au moins une très connue : GUT ou Grand Unified Theory qui relie ces 3 forces (EM, faible et forte).
GUT est juste un nom générique pour englober pleins de modèles et théories d’unification de la force forte , EM et faible. Aucunes de ces théories n’a pu être vérifiée et l’état de l’art des observations (désintégration des protons, on plutôt leur absence de désintégration notamment et impossibilité d’observer les particules prédites avec les accélérateurs de particules actuels et à venir et pour longtemps) tend à les réfuter à peu près toute.
Si tu ne considères les points que j’ai cités que comme des “améliorations” alors la fusée n’est pas une rupture technologique, elle n’est que l’amélioration du missile, qui n’est lui-même que l’amélioration de l’avion.
Ok pour missile -> fusée mais avion -> fusée, non, carrément non.
la plupart des satellites géostationnaires modernes ont des isolations thermiques noire (ce qu’on appelle les MLI, multi layer insulation) je ne suis pas certain qu’en LEO les conditions d’environnement soit exactement les même mais ça doit s’en rapprocher Donc il est tout a fait possible d’avoir une gestion thermique satisfaisante avec des MLI noires. Et j’irais même plus loin une gestion plus performante sachant que dans les années 2000 les MLI étaient argentées ou dorées, et sont passées a la version noire un peu avant les années 2010
Le choix de MLI argentée / dorée (elle n’est pas dorée, juste coté kapton vers l’extérieur), noire ou avec un coating germanium n’est pas une question de perfectionnement, les deux sont utilisées depuis très longtemps selon les contraintes de thermique et de surface charging du satellite.
Le
01/03/2021 à
19h
04
darkbeast a dit:
Sauf que les satellites opaques on un soucis de chauffe apparement Clairement, c’est le pb de thermique que je mentionnais.
Le
01/03/2021 à
14h
18
Les astronomes professionnel se tirent les cheveux à se demander comment ils pourront faire de la détection d’exoplanète par occultation sans faux positifs / faux négatifs en permanence et les astronomes amateurs pour ne pas avoir un ciel quadrillé par des trais lumineux. Les industriels et agences spatiales planchent sur une rustine partielle pour rendre les surfaces faisant face au sol le plus opaques et non-refléchissantes possibles (non-sans problèmes de thermique), ce qui satisferait potentiellement les second mais carrément pas les premiers.
(quote:1856788:John-Ib) Bien sur qu’il y a une régulation supra nationale des positions orbitales. L’ITU (Union Internationale des Telecom), qui est une des branches de l’ONU, a en charge la gestion, à l’échelle mondiale, du spectres radio (au sol ou dans l’espace) mais aussi des positions orbitales.
A noter que l’ITU étant une instance de l’ONU, les industriels n’y vont pas directement mais sont représenté par les administration de leur pays (l’ANFR pour la France, la FCC pour les US).
Dans le cas de Starlink, les demandes de positions orbitales ont été faite à la FCC qui les a instruite dans le cadre du systeme de gestion de l’ITU.
Du coup non, ce n’est pas le far-west. Si Starlink peut déployer sa flotte, c’est pas seulement parce qu’il est le premier à en etre capable, c’est aussi parce que le régulateur à dit “OK”.
Pas vraiment, l’ITU et la FCC se chargent de la coordination orbite/spectre radio pour éviter les interférences, pas vraiment pour le partage d’obite, et minimisation du risque de collisions. Pour la partage d’orbites elles n’ont vraiment d’autorité que pour l’orbite geosynchrone. Pour le reste c’est first come, first served, d’ou mon allusion au Far west. S’il y avait une vraie autorité de régulation pour l’attribution d’orbites avec une optique de minimisation du risque de collisions et de débris et pou assurer une utilisation pérenne, raisonnée et partagée entre les pays des différentes orbites, les tirs de missiles de destruction de satellite par la Chine et USA n’auraient pas eu lieu (bon Ok ça commence à dater), et il y aurait eu de véritables discussions internationales avant que Musk puisse demander à deployer 7000 satellies à 1200km ou que OneWeb s’en voie attribuer une centaine alors que la boite était en train de couler.
Le
23/02/2021 à
13h
15
sirius35 a dit:
adieu les belles photos grands champs de la Voie Lactée…
Oui … Cette appropriation d’orbites sans régulation supra-nationale et nationale comme pour les fréquences radio est vraiment digne du far-west. Au delà de l’impact pour l’astronomie amateur et scientifique au sol, c’est le risque de pourrir une orbite pour 1000 ans qui pèse et son appropriation sans concertation. Au temps la partie de la constellation à 340km c’est pas dramatique, tout retombe en quelques mois, mais la seconde partie à 1200km, s’il y a un gros pépin et une cascade de collisions, c’est tout une fourchette d’orbites entre 1100 et 1300 km inutilisable pour 1 millénaire.
il faut savoir : que la pression sur “Mars” est, presque, 1 000 fois moindre que sur “Terre” !
on approche ‘du vide-absolu’ (forcément le son se diffuse moins-vite)
Plutôt 200 en moyenne , mais assez dépendant de l’altitude et de la saison. Pas vraiment le vide absolu par contre. L’atmosphère ténue est suffisante pour avoir des nuages de glace de CO2, une vraie météo avec des cellules de convection poles-equateur, du vent qui soulève la poussière et génères un panel de tempêtes de poussières qui va du petit tourbillon local (dust devil) à la tempête de globale qui recouvre toute la planète. L’atmopshere est aussi suffisamment dense pour supporter le vol du petit drone Ingenuity (certes très léger et avec des grosses pales qui tournent très vite), le freinage partiel par parachute et enfin suffisamment dense pour avoir besoin d’un bouclier thermique pendant la rentrée atmosphérique.
Le
23/02/2021 à
10h
32
la_hyene a dit:
Cliques en haut a droite la thèse fait 350 pages :)
Le
23/02/2021 à
09h
47
Ackchyually , Seb à raison, le son à une propagation assez étrange sur Mars à cause d’un mode propre de la molécule de CO2 qui coupe en gros à 10kHz, en plus de la très basse pression qui fait que le son est plus vite atténué. Voir cette excellente thèse, très abordable et intéressante à lire : http://www.theses.fr/2020ESAE0041
Le
22/02/2021 à
14h
08
Le sismographe est sur Insight, pas Curiosity, mais en effet, c’est le seul “son” qu’on aie de Mars, dans la mesure ou c’est plus un signal sismique basse fréquence shifté dasn le domaine audio plus qu’un vrai audio de microphone.
Tu surestimes l’équipement présent dans l’ISS pour faire ce genre d’analyse. Ce type d’échantillon sera dispersé dans le monde (bon USA-Europe- Japon), microgramme par microgramme, et analysé avec des microscopes électroniques, cristallographie X, spectrographes, etc. L’ISS n’est pas équipée de matériel d’analyse de labo standard, mais plutôt des expériences particulières sous forme de rack, avec du matériel léger et spatialisable, donc absolument pas le plus performant ni le plus pratique. En plus de ça la micro-gravité n’aide absolument pas à manipuler les échantillons.
Le fait est que c’est préoccupant, mais il le faut pas complètement dramatiser, si un effet en cascade se produit (voir effet Kessler sur wiki), typiquement avec un gros satellite type Envisat qui entre en collision avec un autre gros débris, cela condamnera juste une fourchette d’altitude d’ orbite, donc en gros 800 km pour Envisat, les orbites MEO et GEO ne seront pas affectée (occupées majoritairement par Navigation et Telecom respectivement), et toutes les orbites en dessous de 600 km se “nettoient” toute seules en quelques années. Et il sera toujours possible de “ passer” à travers ces orbites. On minimise souvent la “place” qu’il y a dans l’espace. Gravity donne en effet toujours une image très faussée au public (Du type, l’ISS, et Tiangong sont visibles entre elles tout le temps).
Ce serait par contre en effet dramatique de perdre les orbites de 800 à 1000, beaucoup de satellites d’observation “Sun-Synchronous” s’y trouvent en orbite polaire, et ce sont les seules orbites qui permettent de faire des suivi réguliers au sol.
Se poser et redecoller de Mars est drastiquement différent de la Lune. S’y poser est beaucoup plus éxigeant: l’atmopshère est présente, donc il faut un bouclier thermique et gérer les effet aerodynamiques, mais elle est trop ténue, donc des parachutes ne sont pas suffisant pour poser une grosse mission, il faut des retrofusées comme sur la lune. La gravité est beaucoup plus élevée donc il faut beaucoup plus de carburant pour en redécoller, et comme il y a une atmosphere donc frottements, il en faut d’autant plus. Le puit gravitationnel est plus profond, donc pour arriver en orbite autour se Mars, en redécoller, comme dit, mais aussi pour en repartir et revenir sur Terre, il faut beaucoup de carburant. C’est pourquoi la NASA et l’ESA vont faire appel à de la propulsion électrique pour l’orbiter qui rapportera les échantillons. Clairement, il n’est pas envisageable pour l’agence spatiale chinoise de modifier ChangE pour faire le même retour d’échantillons martiens. Ca ne retire rien à leur exploit sur la Lune, mais Mars est cruellement plus éxigeante. Il y a une raison pour laquelle la NASA ne l’a pas fait depuis 50 ans, et qu’elle se casse la tête avec l’ESA pour monter ce retour d’échantillons.
Les boîtiers type “armor” passifs en alu permettent de garder le Pi4 à moins de 50°C tout en étant overclocké à 2GHz. Un peu plus cher (~15€) mais clairement plus silencieux.
Ni la même vitesse, ni la même accélération. L’acceleration de la pesanteur g = G*m(terre)/r^2 donc cette accélération n’est pas la même à la surface de la Terre (environ 9.8 m/s^2), en orbite basse 400km (environ 8.7m/s^2) ou en orbite GEO (environ 0.23 m/s^2). Cela se voit sur la vitesse orbitale, environ 7.8 km/s en orbite basse et 3km/s en GEO. Tout ceci pour des orbites circulaires bien sûr.
Le
27/11/2020 à
16h
25
(reply:1840033:Chungking) Ça reste toujours très rare des collisions. Mais disons qu’en faisant des calculs de risques, d’années en années, ces risques augmentent. Pour ce qui est d’orbites qui se croisent je parlais du cas particulier des orbites polaires qui sont très utilisées par les satellites d’observation de la Terre. Pour lancer un satellite sur une telle orbite, en partant de Guyanne mettons, la fusée part plein nord. Imagine maintenant que tu lances un premier satellite à midi de Guyane, sur une orbite polaire, plein nord donc, et un autre 12h plus tard, à minuit, en tirant là aussi plein nord. Tu vas te retrouver avec 2 satellites avec une orbite polaire et qui tournent en sens inverse l’un par rapport à l’autre. Pour les orbites avec une inclinaison < 90°, comme tu dis, il y a tout intérêt à utiliser la rotation de la Terre pour lancer le satellite et ils tournent tous dans le même sens en gros.
Le
27/11/2020 à
10h
43
C’est un lancement en orbite basse, les premiers étages du lanceur retombent, et le dernier étage, si correctement utilisé, garde un peu de carburant pour se désorbiter et retomber. Le satellite de récupération est là pour capturer le débris ciblé et utiliser son carburant pour désorbiter l’ensemble.
Le
27/11/2020 à
10h
17
Imagine deux orbites basses à la même altitude (~8km/s ) mais pas dans le même plan, elles se croisent en 2 points , plus l’angle entre ces deux plans orbitaux est élevé, plus la vitesses relative sera élevée en cas d’impact, qui arrivera à l’un de ces deux points. Le cas pire, les deux satellite tournent en sens inverse (c’est envisageable en orbite polaire), et la différence de vitesse est de 16 km/s. Avec un cas plus raisonnable avec 60° entre les deux plans, la vitesse de collision est de 8km/s.
On ne devrait pas s’aventurer à commenter dans ses domaines d’incompétence, qui sont nombreux et variés en ce qui te concerne.
Évangile selon Matthieu chapitre 7, versets 1 à 5
Le
17/11/2020 à
13h
49
Ton point de départ: “Comme le montre la dernière phrase, ces contrats ne sont en fait que des subventions publiques à des acteurs privés du transport déguisées en missions « pour sauver la planète ». À part les cochons de contribuables consentants à qui on n’a pas demandé leur avis sur le sujet, toute la clique des habituels profiteurs, des polytocards aux crapitalistes en passant par les bureaucrates et technocrates des Eurosoviets est gagnante. ” Tu parles où de protectionnisme ??????
Mais il n’y à PAS eu de refuelling en GEO. SI tu fais référence au satellite intelsat 901 en avril de cette année ce n’est pas un un refuelling, juste un rendez-vous/capture et une mise en orbite cimetière. Ça n’enlève rien à la prouesse ceci dit.
Le
17/11/2020 à
12h
38
” « Et ? » : pas plus que ce que j’ai déjà écrit : pourquoi sélectionne-t-on ces entreprises alors que hors UE bien d’autres existent certainement plus compétitives et tout aussi compétentes “ Je t’ai cité deux autres entreprises européennes autres qu’Airbus et Thales mais tu les as ignorées. Quand à l’emploi de services non-UE, le but est de redistribuer les budgets UE au sein de l’UE, ce sont des investissements des pays pour les universités, labos et entreprises dans ces pays, pas partout dans le monde.
“Allons, les USA remplacent leurs satellites comme l’ESA, pourquoi le nier. Et une mission (privée) en GEO de refuelling a déjà eu lieu cette année. Ce qui « me semble pertinent » ou pas est sans rapport. Mais merci pour ces précisions.” Oui les USA les remplacent aussi, en effet, c’est exactement ce que j’ai dis.
Le
17/11/2020 à
09h
57
“Doctorat scientifique”, ok formulation suspectement vague, si tu veux vraiment faire un concours de zizi , j’ai fait ma thèse de doctorat en physique (instrumentation spatiale) au LATMOS et en lien étroit avec le LMD. J’ai passé 4 années a côtoyer et discuter tous les jours avec les chercheurs qui passent leur vie a traiter ces données d’observation du climat, passé et actuel et à faire tourner ces modèles … Je te concède que je ne vais pas du tout sur le terrain, je passe carrément mes journées devant un ordi ou en labo, mais ma compagne (ingénieure Agro ParisTech) passe son temps sur des exploitations un peu partout en europe + russie + EU, elle a une vue assez globale merci. Rererererererererere pas de bol du coup ???
1 Merci d’abord à toi de pratiquer ce genre d’agriculture, je n’ai jamais dit qu’elles n’existaient pas, mais tu ne peux pas restreindre ton analyse à la France. Ma formulation “en occident” était assez malvenue voire carrément fausse, si tu regarde à l’échelle mondiale c’est 35-40 % de non-labour, donc oui le labour est toujours “dominant”. De plus tu ne peux te limiter à réfuter que le labour, l’emploi de produit phytosnaitaires, encore à l’échelle mondiale est lui en croissance constante. Mais je comprends ton point de vue, tu n’aimes pas que l’agriculture, et donc toi et ton associés, soit pointée du doigt dans sa contribution au réchauffement climatique alors qu’elle n’est clairement pas l’acteur majeur, je te le concède
2 ta vue se restreint à tes pratiques https://www.nature.com/articles/s41893-019-0396-x de plus copernicus ne sert pas qu’a des données sol agro, mais aussi des données meteo locales . Ces données sont de plus en plus nécessaire pour nourrir les modèles météorologiques et être capable de prédire les événements météo violents et agir (évacuer la Roya avant des pluies diluviennes ? )
3 Je n’ai utilisé aucun argument d’autorité, juste que tu n’as pas le baggage pour comprendre ces modèles et te permettre de les critiquer. Encore heureux que tu aies ton bac, c’est même obligatoire pour passer une thèse de doctorat il me semble. Là je vais faire une petite hypothèse à la vue de ton profil PCI, de tes autres commentaires et ton emploi répétitif dans ces commentaires des termes “rechauffiste” et “climastrologie”. Je suis prêt à parier que cette liste d’article pèle mêle ne vient pas de toi mais d’un quelconque forum ou site climatosceptique, et je suis prêt à parier que tu n’as jamais mis les mains dans les équations et le code d’un modèle atmosphérique et donc que tu ne comprends pas vraiment ni les arguments ni les articles que tu as posté. Pêle mêle : tu mélanges modèle atmosphérique à court terme et long terme (météo vs climat), tu mélanges modélisation des nuages et microphysique (heureusement que les nuages sont simulés, leur albédo et leur capacité thermique !!!!! la microphysique elle, simulée avec des vrais modèles PIC n’est réalisable que sur des petits modèles de labos en 1D, absolument impensables avec les calculateurs actuels de l’implémenter sur un GCM ou meme modele regional autrement qu’avec des modèles simplifiés analytiques), tu cites articles qui réfutent tel ou tel modèle (il en existe BEAUCOUP, heureusement qu’il existe des articles qui critiquent le travail d’autres équipes, c’est même capital pour que chaque équipe progresse et qu’en fin de compte certains modèles soient plus fiable).
4 Oui thales et Airbus font du transport ok, et ?? Reste que quand X millions dont dédiés à une mission, ils vont dans cette mission , pas des avions …. C’est le boulot de l’ESA de redistribuer les budget européen que chaque pays a décidé de dédier et au spatial et de contrôler comment chaque budget est utilisé et pour quels sous traitants, etc …. Quelle mission doit être faite ou non est aussi décidé en réunion ministérielle annuelle donc ce sont là encore les pays qui décident., donc, en supposant que les démocraties représentatives fonctionnent à peu près en Europe (là je suis prêt à te laisser du terrain sur ce point …), c’est le peuple qui décide des missions spatiales européennes.
5 Non, juste non, les USA n’ont pas de moyen actuel et opérationnel de refuel leur satellites. Ils utilisaient la navette quant elle était active pour maintenir et refuel CERTAINS satellites précieux et onéreux (hubble notamment et certains satellites militaires), en LEO uniquement. Ils testent en ce moment le prototye RRM, mais il n’a été testé que sur l’ISS pour le moment. Il y a des projets de missions de refuel pour les satellite GEO parce que (pour des raisons de mécanique spatiale) il est possible en geo d’avoir une mission qui visite plusieurs satellites, en LEO c’est impossible de faire plus d’un. Ça te semble pertinent de fabriquer un satellite complet dédié au refuel d’un autre satellite , d’utiliser un lanceur pour l’envoyer, et de devoir ensuite se débarrasser du satellite de refuel plutôt que d’envoyer un autre satellite d’observation avec de nouveaux instruments plus performants et se débarasser de l’ancien??? Qui plus est le fuel n’est qu’un facteur de vieillissement, les radiations sont un autre facteur limitant, surtout pour les satellites d’observation de la Terre qui sont pour la plupart en orbite polaire et donc traversent les cornets polaires (extrémités des ligues de champ magnétique aux pôles) toutes les 45 minutes et où les niveaux de radiation sont assez élevés, en plus du vieillissement des matériaux dus aux conditions spatiales (plasma, oxygène atomique, dégazage, contamination, cyclage thermique, etc.) . Et oui les missions spatiales prennent du temps (10 -15 and du projet au lancement donc oui il faut prévoir en avance, et comme dit au dessus et répété il ne s’aghit pas de doublon de données, il s’agit de multiplier les données , remplacer des données ancienne, assurer un suivit et avoir une meilleure resolution et répétititvit;e des mesures. Tu utilise le mot doublon comme si il suffisait d’effectuer la mesure une fois en un point. Non ces mesures doivent être continues pour être utilisée par des modèles meteo ou faire du suivi de l’évolution des sols …
Le
16/11/2020 à
14h
09
Autant, il ne fait jamais de mal de faire de l’observation plus pousée. Autant je suis d’accord sur une partie de ton propos. Mention spéciale pour la dernière phrase Pour l’agriculture par contre, on ne peux pas vraiment dire que cela soit durable. Il faut faire mieux.
Beaucoup d’ultracrepidarianisme dans ces commentaires aigris. Il me semble bien que la devise de next inpact héritée de PCI est “Si tu ne sais pas demande, si tu sais partage” et non pas “Si tu ne sais pas, balance quand même ton opinion fielleuse et erronée”. Ça a peu être changé entre temps ceci dit.
Ma est compagne ingénieure agronome spécialisée dans la mise en place (appliquée) de pratiques durables et je suis ingénieur à l’ESA, tu es mal tombé… Donc on va tout de suite mettre de côté le fait qu’on fait tous les deux clairement parti du complot judeo-maconnico-islamo-gaucho-sino-bobo-climatoalarmiste, on va se comporter en adulte et on ne va plus jamais en parler.
Non, l’agriculture n’est clairement pas durable sur le terrain, le dogme de l’agriculture industrielle domine en occident avec le triptyque: labour, cycle de culture et semis/produits phytosanitaire. Et comme mine de rien il permet de produire énormément, bah les pays émergents/développés/en développement l’appliquent aussi. Cette agriculture continue de détruire la bio-diversité et le microbiome des sols , transformant ce qui devrait être un puits de carbone fantastique en une autre source nette de CO2. Comme de tryptique date de l’aprés guerre bah ta phrase n’a aucun sens …
“Comment la sécurité alimentaire va être étudiée depuis l’orbite reste un complet mystère.”, Tu admets tes lacunes, mais c’est un mystère pour toi seul. L’étude de l’émissivité infrarouge des sols, tu taux de Co2 en fonction du temps, de l’humidité, de la température et donc de la capacité thermique , tous ces paramètres étant mesurables et mesurés depuis l’orbite permettent de dresser et tenir à jour une carte de l’état de santé des sols sur de larges régions et donc diriger les efforts sur certaines parcelles plutôt que d’autres.
“le (pseudo) « consensus » climastrologique n’est pas encore compris”, bon là je ne vais pas m’étendre sur le sujet trop de personne se sont égosillées dessus, si tu n’es pas capable de comprendre les problème et continue de mettre des guillemets autour de consensus et de d’utiliser des néologismes péjoratifs pour l’inquiétude du milieu scientifique vis à vis du climat à l’avenir, je ne vais pas parler à un mur. Tu manques clairement des outils et du socle nécessaire (pourtant pas très élevé, terminale S est suffisant) pour te rendre compte de ce qu’est un modèle climatique et comment il fonctionne. Tes conclusions sont donc guère étonnantes.
Quand l’ESA donne la maîtrise d’oeuvre d’un satellite à Airbus au Thales ou OHB ou SSTL (le nombre de compagnie capable d’effectuer l’assemblage final d’un satellite en Europe se compte sur les doigts de la main), premièrement : l’ESA contrôle où vas le budget donc non, il ne part pas dans les transports et je peux t’assurer qu’on est TRES chiants sur ce point. 2) Ces compagnies ne font pas tout toutes seules, elles se chargent presque juste de l’assemblege final et de la conception générale, tout le boulot est fait par des laboratoire de recherche, universités, entreprises, petites PME partout en Europe.
Je te concède que tous ces paramètres sont pour la plupart déjà mesurés par d’autres satellites, mais ces satellites sont vieillissants et ont une durée de vie de 10-15 ans et après ils n’ont plus de carburant pour se maintenir en orbite et la dégradation lente de leur orbite les fera disparaître après quelques années. Comme le but est le suivi au cours du temps de ce mesures au sol, pas une mesure ponctuelle pour pouvoir dire une fois “Oh la terre brûle , regardez nos données”, il faut les remplacer ces satellites. Ce faisant, les technologies sont améliorées, de nouvelles technologies sont développées et ce savoir, et savoir faire, sont donc maintenus en Europe et développés.
elle date de 1998 l’iss, donc elle est déjà plus sur du 22 ans la ce que est énorme pour un objet dans l’espace
Vas dire ça aux Voyagers ^^
Le
26/10/2020 à
09h
40
J’ai bien l’impression, c’est peut être juste une intention, la baseline est peut être plus 2028 en effet (Là je bosse “shall” est un requirement): “The International Space Station, as long as it is safe and functional, shall operate through at least September 30, 2030, or until a demonstrated and sustainable lower cost alternative low-Earth orbit platform can achieve the mission objectives of the National Aeronautics and Space Administration, including but not limited to”
La fin d’exploitation prévue de l’ISS est 2030, mais entre temps la Lunar Orbital Platform Gateway (en orbite autour de la lune) prendra plus ou moins le relai, son assemblage est prévu pour commencer en 2024. Roscosmos n’est pas inclus dans le projet pour le moment ceci dit.
(reply:1832771:jack oneill) Alors je ne connais pas Marc Sauvage en particulier donc je ne me prononcerai pas de manière génerale, mais là, il chougne. Il était déjà responsable d’un des instruments sur Herschel, c’est déjà le travail d’une vie de scientifique d’avoir son bébé sur une mission aussi importante et couronnée de succès.
Le
23/10/2020 à
11h
49
Ah je comprend mieux le message du dessus. Un bon vieux reac des familles
Regarde bien la situation pour SPICA, c’est une décision prise pas un nombre de personne restreint qui touche un grand nombre de professionnels impliqués depuis des années. Le “je je je” dans cette histoire, c’est celui/ceux qui bazardent un projet comme ça sans aucun respect pour les autres.
Comme le dit très justement fullero, là seule chose que l’on obtient avec ce genre de comportement idiots c’est de la rancœur qui ne manquera pas de s’exprimer à la première occasion.
Mais c’est le processus de sélection ! Oui un petit nombre de personnes à l’ESA et aux réunions annuelles ministérielle prend cette décision et non les scientifiques impliqués dans chaque projet n’y prennent pas part puisque chaque proposal est traité comme dans un appel d; offre publique où chaque équipe défends son projet. Chacune des 3 missions en lisse à eu droit à une étude complète au cours des deux dernières années en concurrent design pour évaluer le design et le coût préliminaire, et là pour le coup chaque équipe scientifique était impliquée ainsi qu’une chiée d’ingénieurs de l’ESA/JAXA/NASA, et à la fin une décision à été prise. C’est comme ça que ça a toujours fonctionné ! Si ces études préliminaires ont montré que cette mission n’est pas viable avec le budget prévu, il est normal que la mission soit évincée. Et oui je résultat est communiqué par une lettre officielle par email/courrier, non il n’y a pas une cérémonie avec tapis rouge pour les perdants et auto flagellation du directeur Science de l’ESA pour s’excuser.
Je bosse à l’ESA, j’ai bossé en support pour certaines de ces 3 missions, et pour avoir côtoyé pendant mes études/thèse le milieu de la planéto et astrophysique en France (et le monde, et je continue de bosser avec eux), oui certains ont des égos démesurés et pourrissent l’ambiance.
120 commentaires
Nuits des étoiles du 5 au 7 août : « faire découvrir l’astronomie au plus grand nombre »
05/08/2022
Le 06/08/2022 à 13h 27
La version Android propose le suivi de mouvement du téléphone , en effet.
Retour des humains sur la Lune : la NASA prépare la suite d’Artemis et cherche un nouvel atterrisseur
25/03/2022
Le 25/03/2022 à 21h 11
Ah bah j’imagine que les échantillons de régolithe lunaire sur lesquels je bosse avec mes collègues à l’ESA sont des faux, je m’en vais de ce pas leur dire écoutes, merci beaucoup.
L’Agence spatiale européenne suspend Exomars 2022, des alternatives à Soyouz à l’étude
18/03/2022
Le 22/03/2022 à 17h 10
je lis l’inverse ici mais je comprends ta remarque, difficile de faire le tracé complet des événements
https://air-cosmos.com/article/l-antonov-an-225-mriya-en-feu-dans-son-hangar-en-ukraine-confirmation-officielle-28613
Le 18/03/2022 à 10h 54
Du calme, l’Europe continue de bosser avec l’Inde, le Japon, les US et la Chine pour le spatial, sans compter tous les états membres de l’ESA entre eux et le Canada.
Les russes ont décidé d’eux même d’arrêter les lancements Soyuz en Guyane et ce sont leurs soldats qui ont détruit l’Antonov 225 qui devait servir à transporter par mal de matériel spatial, entre autres, un peu partout dans le monde.
Et la Chine n’a clairement pas besoin de ça pour instrumentaliser la science en outil politique, ils le font déjà très bien tout seuls.
L’impressionnante empreinte écologique du CERN, malgré un long arrêt et une crise sanitaire
02/12/2021
Le 02/12/2021 à 19h 03
0.05%, faut pas pousser quand même
Par contre là les 3 pages de commentaires sur l’unité Mégalitre, honnêtement je ne comprends pas. Il y a plein de choses à dire sur le sujet pourtant.
Station spatiale internationale : un timelapse « Best of Alpha » de Thomas Pesquet
04/11/2021
Le 05/11/2021 à 11h 10
Bien ce que je pensais, pas capable de sortir mieux que des petites piques mesquines apparemment.
Le 04/11/2021 à 16h 24
Tu sais faire autre chose que brailler dans les commentaires que Pesquet est un acteur ? Juste par curiosité.
Concours GeForce RTX 3060 Ti : et le gagnant est…
27/09/2021
Le 15/09/2021 à 13h 19
Les 3060Ti sont pas LHR ?
Les fortes ambitions de la Chine pour Mars : aller-retour fin 2030, missions habitées dès 2033
25/06/2021
Le 25/06/2021 à 13h 43
Les projet de propulsion nucléaire typer NERVA (https://en.wikipedia.org/wiki/NERVA) consistent en gros a prendre le cœur d’un réacteur à fission classique et de faire passer de l’hydrogène ou un autre ergol à travers les barre pour le chauffer et l’expulser. La promesse est une impulsion spécifique bien plus élevée que la propulsion chimique traditionnelle.
Le gros problème, et ce qui fait que c’est resté dans les cartons, c’est qu’a la moindre merde au lancement ou la mise en orbite (qui se ferait toujours par propulsion chimique classique bien entendu puisque les gaz expulsés sont radioactifs), tu te retrouves littéralement avec un réacteur nucléaire qui soit s’écrase au sol, explose ou crame dans l’atmosphère et éparpille sont contenu de matériaux fissile.
Bref, faudrait qu’ils soient sûrs de leur coup et c’est à comparer aux infinies précautions que prends la NASA quand elle envoie un RTG qui ne contient que quelques kilogrammes de Pu238 juste radioactif, pas fissile, qui sont subdivisés en petits cylindres eux mêmes encapsulés chacuns dans un conteneur censé résister à une rentrée atmosphérique où une explosion sur le pas de tir.
Kaamelott confirme sa sortie le 21 juillet dans une nouvelle bande-annonce
22/06/2021
Le 22/06/2021 à 16h 59
NH-P1 : Noctua officialise son refroidissement passif pour CPU, à 110 euros
15/06/2021
Le 07/06/2021 à 07h 45
… et la palette de couleurs du fabricant :)
L’armée française se prépare pour « la prochaine surprise qui viendra de l’espace »
02/06/2021
Le 03/06/2021 à 22h 01
MagnetoHydroDynamique ? Qu’est ce que tu entends par là ?
Moteur réutilisable Prometheus : l’Europe signe un contrat de 135 millions d’euros avec Arianegroup
20/05/2021
Le 20/05/2021 à 13h 13
https://www.esa.int/About_Us/ESTEC/Engineering_laboratories
Les États-Unis retirent Xiaomi de leur liste noire
14/05/2021
Le 17/05/2021 à 00h 54
Oui, un petit tour sur l’historique des commentaires et on comprend vite …
Le rover Perseverance a fabriqué de l’oxygène sur Mars !
22/04/2021
Le 22/04/2021 à 10h 05
2018 - 2022, 125,6 millions d’euros pour le brouillage des communications en prison
25/03/2021
Le 25/03/2021 à 15h 46
Pas mal de fréquences GSM sont dans la bande micro-ondes, tu vas surtout faire des grosses étincelles des que ça va toucher une surface conductrice et/ou faire claquer le moindre appareil électronique (téléphone compris en effet …) et/ou flinguer ton émetteur micro-ondes et/ou buter le type qui opère le canon si le faisceau est réfléchi dans sa face. 100W c’est peu être même un peu léger par contre pour tuer le téléphone, surtout si il est planqué et qu’il faut traverser des surfaces.
Des astronomes ont capturé l’image du champ magnétique au bord du trou noir de M87
25/03/2021
Le 25/03/2021 à 12h 25
Le 25/03/2021 à 11h 21
Je ne pense pas qu’il y ait de relativité impliquée dans les deux exemples que tu donne, du moins pas de relativité au sens relativité restreinte ou générale avec les effets dus à la vitesse de la lumière. Juste une différence de référentiel entre la personne sur le quai et celle dans le train, mais ça Galilée l’avait déjà théorisé et observé. SI tu remplace tes deux éclairs par deux haut parleurs qui émettent un son bref, tu auras la même conclusion. Quand tu fais le postulat : “supposons que deux éclairs frappent le sol, de part et d’autre de la personne sur le quai, en même temps”, eh bien justement, les principes de relativité ne te permettent pas de faire ce postulat. La suite de ta démonstration le prouve bien, la notion de simultanéité de deux éventements ayant lieu a deux endroits différents est impossible a définir, la conséquence étant qu’elle diffère entre les deux observateurs.
Lego propose un kit avec la navette spatiale Discovery et le télescope Hubble
23/03/2021
Le 23/03/2021 à 11h 42
Si tu le gardes bien dans sa boite pour ton neveu dans 15 ans, il le revendra à très bon prix pour la dernière console, ne fais pas cette erreur, montes le
LHC du CERN : 59 nouveaux hadrons découverts… « et ce n’est pas fini ! »
18/03/2021
Le 23/03/2021 à 05h 53
GUT est juste un nom générique pour englober pleins de modèles et théories d’unification de la force forte , EM et faible. Aucunes de ces théories n’a pu être vérifiée et l’état de l’art des observations (désintégration des protons, on plutôt leur absence de désintégration notamment et impossibilité d’observer les particules prédites avec les accélérateurs de particules actuels et à venir et pour longtemps) tend à les réfuter à peu près toute.
Nouveau record pour SpaceX : un même premier étage effectue neuf allers-retours dans l’espace
15/03/2021
Le 15/03/2021 à 23h 35
Ok pour missile -> fusée mais avion -> fusée, non, carrément non.
Telesat Lightspeed : 298 satellites pour un accès mondial à Internet, en partenariat avec Thales
01/03/2021
Le 01/03/2021 à 22h 31
Le choix de MLI argentée / dorée (elle n’est pas dorée, juste coté kapton vers l’extérieur), noire ou avec un coating germanium n’est pas une question de perfectionnement, les deux sont utilisées depuis très longtemps selon les contraintes de thermique et de surface charging du satellite.
Le 01/03/2021 à 19h 04
Le 01/03/2021 à 14h 18
Les astronomes professionnel se tirent les cheveux à se demander comment ils pourront faire de la détection d’exoplanète par occultation sans faux positifs / faux négatifs en permanence et les astronomes amateurs pour ne pas avoir un ciel quadrillé par des trais lumineux. Les industriels et agences spatiales planchent sur une rustine partielle pour rendre les surfaces faisant face au sol le plus opaques et non-refléchissantes possibles (non-sans problèmes de thermique), ce qui satisferait potentiellement les second mais carrément pas les premiers.
Internet par satellite : feu vert de l’Arcep pour Starlink de SpaceX
19/02/2021
Le 26/02/2021 à 12h 52
Pas vraiment, l’ITU et la FCC se chargent de la coordination orbite/spectre radio pour éviter les interférences, pas vraiment pour le partage d’obite, et minimisation du risque de collisions. Pour la partage d’orbites elles n’ont vraiment d’autorité que pour l’orbite geosynchrone. Pour le reste c’est first come, first served, d’ou mon allusion au Far west.
S’il y avait une vraie autorité de régulation pour l’attribution d’orbites avec une optique de minimisation du risque de collisions et de débris et pou assurer une utilisation pérenne, raisonnée et partagée entre les pays des différentes orbites, les tirs de missiles de destruction de satellite par la Chine et USA n’auraient pas eu lieu (bon Ok ça commence à dater), et il y aurait eu de véritables discussions internationales avant que Musk puisse demander à deployer 7000 satellies à 1200km ou que OneWeb s’en voie attribuer une centaine alors que la boite était en train de couler.
Le 23/02/2021 à 13h 15
Oui … Cette appropriation d’orbites sans régulation supra-nationale et nationale comme pour les fréquences radio est vraiment digne du far-west. Au delà de l’impact pour l’astronomie amateur et scientifique au sol, c’est le risque de pourrir une orbite pour 1000 ans qui pèse et son appropriation sans concertation. Au temps la partie de la constellation à 340km c’est pas dramatique, tout retombe en quelques mois, mais la seconde partie à 1200km, s’il y a un gros pépin et une cascade de collisions, c’est tout une fourchette d’orbites entre 1100 et 1300 km inutilisable pour 1 millénaire.
Perseverance : des photos de Mars, de la descente, du rover… et une fausse vidéo
22/02/2021
Le 24/02/2021 à 12h 17
Plutôt 200 en moyenne , mais assez dépendant de l’altitude et de la saison. Pas vraiment le vide absolu par contre. L’atmosphère ténue est suffisante pour avoir des nuages de glace de CO2, une vraie météo avec des cellules de convection poles-equateur, du vent qui soulève la poussière et génères un panel de tempêtes de poussières qui va du petit tourbillon local (dust devil) à la tempête de globale qui recouvre toute la planète. L’atmopshere est aussi suffisamment dense pour supporter le vol du petit drone Ingenuity (certes très léger et avec des grosses pales qui tournent très vite), le freinage partiel par parachute et enfin suffisamment dense pour avoir besoin d’un bouclier thermique pendant la rentrée atmosphérique.
Le 23/02/2021 à 10h 32
Le 23/02/2021 à 09h 47
Ackchyually , Seb à raison, le son à une propagation assez étrange sur Mars à cause d’un mode propre de la molécule de CO2 qui coupe en gros à 10kHz, en plus de la très basse pression qui fait que le son est plus vite atténué. Voir cette excellente thèse, très abordable et intéressante à lire : http://www.theses.fr/2020ESAE0041
Le 22/02/2021 à 14h 08
Le sismographe est sur Insight, pas Curiosity, mais en effet, c’est le seul “son” qu’on aie de Mars, dans la mesure ou c’est plus un signal sismique basse fréquence shifté dasn le domaine audio plus qu’un vrai audio de microphone.
Mars 2020 (Perseverance) : « sept minutes de terreur », avant de chercher d’éventuelles traces de vie
16/02/2021
Le 18/02/2021 à 09h 05
Tu surestimes l’équipement présent dans l’ISS pour faire ce genre d’analyse. Ce type d’échantillon sera dispersé dans le monde (bon USA-Europe- Japon), microgramme par microgramme, et analysé avec des microscopes électroniques, cristallographie X, spectrographes, etc. L’ISS n’est pas équipée de matériel d’analyse de labo standard, mais plutôt des expériences particulières sous forme de rack, avec du matériel léger et spatialisable, donc absolument pas le plus performant ni le plus pratique. En plus de ça la micro-gravité n’aide absolument pas à manipuler les échantillons.
Débris spatiaux : leur évolution sur deux ans, le Top 50 des plus dangereux
29/01/2021
Le 29/01/2021 à 16h 06
Le fait est que c’est préoccupant, mais il le faut pas complètement dramatiser, si un effet en cascade se produit (voir effet Kessler sur wiki), typiquement avec un gros satellite type Envisat qui entre en collision avec un autre gros débris, cela condamnera juste une fourchette d’altitude d’ orbite, donc en gros 800 km pour Envisat, les orbites MEO et GEO ne seront pas affectée (occupées majoritairement par Navigation et Telecom respectivement), et toutes les orbites en dessous de 600 km se “nettoient” toute seules en quelques années. Et il sera toujours possible de “ passer” à travers ces orbites. On minimise souvent la “place” qu’il y a dans l’espace. Gravity donne en effet toujours une image très faussée au public (Du type, l’ISS, et Tiangong sont visibles entre elles tout le temps).
Ce serait par contre en effet dramatique de perdre les orbites de 800 à 1000, beaucoup de satellites d’observation “Sun-Synchronous” s’y trouvent en orbite polaire, et ce sont les seules orbites qui permettent de faire des suivi réguliers au sol.
Archos présente son X67, « le premier smartphone durci 5G »
11/01/2021
Le 11/01/2021 à 10h 53
C’est un téléphone Oukitel rebadgé : https://oukitel.com/pages/wp10
La NASA valide la première phase de la mission Mars Sample Return
18/12/2020
Le 21/12/2020 à 09h 37
Se poser et redecoller de Mars est drastiquement différent de la Lune. S’y poser est beaucoup plus éxigeant: l’atmopshère est présente, donc il faut un bouclier thermique et gérer les effet aerodynamiques, mais elle est trop ténue, donc des parachutes ne sont pas suffisant pour poser une grosse mission, il faut des retrofusées comme sur la lune. La gravité est beaucoup plus élevée donc il faut beaucoup plus de carburant pour en redécoller, et comme il y a une atmosphere donc frottements, il en faut d’autant plus. Le puit gravitationnel est plus profond, donc pour arriver en orbite autour se Mars, en redécoller, comme dit, mais aussi pour en repartir et revenir sur Terre, il faut beaucoup de carburant. C’est pourquoi la NASA et l’ESA vont faire appel à de la propulsion électrique pour l’orbiter qui rapportera les échantillons. Clairement, il n’est pas envisageable pour l’agence spatiale chinoise de modifier ChangE pour faire le même retour d’échantillons martiens. Ca ne retire rien à leur exploit sur la Lune, mais Mars est cruellement plus éxigeante. Il y a une raison pour laquelle la NASA ne l’a pas fait depuis 50 ans, et qu’elle se casse la tête avec l’ESA pour monter ce retour d’échantillons.
Raspberry Pi 4 : la fondation annonce un système de ventilation à 5 dollars
30/11/2020
Le 30/11/2020 à 09h 30
Les boîtiers type “armor” passifs en alu permettent de garder le Pi4 à moins de 50°C tout en étant overclocké à 2GHz. Un peu plus cher (~15€) mais clairement plus silencieux.
L’ESA signe un contrat pour « la première mission d’enlèvement d’un débris » spatial
27/11/2020
Le 27/11/2020 à 18h 51
Ni la même vitesse, ni la même accélération. L’acceleration de la pesanteur g = G*m(terre)/r^2 donc cette accélération n’est pas la même à la surface de la Terre (environ 9.8 m/s^2), en orbite basse 400km (environ 8.7m/s^2) ou en orbite GEO (environ 0.23 m/s^2). Cela se voit sur la vitesse orbitale, environ 7.8 km/s en orbite basse et 3km/s en GEO. Tout ceci pour des orbites circulaires bien sûr.
Le 27/11/2020 à 16h 25
Le 27/11/2020 à 10h 43
C’est un lancement en orbite basse, les premiers étages du lanceur retombent, et le dernier étage, si correctement utilisé, garde un peu de carburant pour se désorbiter et retomber. Le satellite de récupération est là pour capturer le débris ciblé et utiliser son carburant pour désorbiter l’ensemble.
Le 27/11/2020 à 10h 17
Imagine deux orbites basses à la même altitude (~8km/s ) mais pas dans le même plan, elles se croisent en 2 points , plus l’angle entre ces deux plans orbitaux est élevé, plus la vitesses relative sera élevée en cas d’impact, qui arrivera à l’un de ces deux points. Le cas pire, les deux satellite tournent en sens inverse (c’est envisageable en orbite polaire), et la différence de vitesse est de 16 km/s. Avec un cas plus raisonnable avec 60° entre les deux plans, la vitesse de collision est de 8km/s.
Copernicus : l’ESA signe trois contrats pour des « missions environnementales haute priorité »
16/11/2020
Le 18/11/2020 à 18h 23
Évangile selon Matthieu chapitre 7, versets 1 à 5
Le 17/11/2020 à 13h 49
Ton point de départ: “Comme le montre la dernière phrase, ces contrats ne sont en fait que des subventions publiques à des acteurs privés du transport déguisées en missions « pour sauver la planète ». À part les cochons de contribuables consentants à qui on n’a pas demandé leur avis sur le sujet, toute la clique des habituels profiteurs, des polytocards aux crapitalistes en passant par les bureaucrates et technocrates des Eurosoviets est gagnante. ”
Tu parles où de protectionnisme ??????
Mais il n’y à PAS eu de refuelling en GEO. SI tu fais référence au satellite intelsat 901 en avril de cette année ce n’est pas un un refuelling, juste un rendez-vous/capture et une mise en orbite cimetière. Ça n’enlève rien à la prouesse ceci dit.
Le 17/11/2020 à 12h 38
” « Et ? » : pas plus que ce que j’ai déjà écrit : pourquoi sélectionne-t-on ces entreprises alors que hors UE bien d’autres existent certainement plus compétitives et tout aussi compétentes “ Je t’ai cité deux autres entreprises européennes autres qu’Airbus et Thales mais tu les as ignorées. Quand à l’emploi de services non-UE, le but est de redistribuer les budgets UE au sein de l’UE, ce sont des investissements des pays pour les universités, labos et entreprises dans ces pays, pas partout dans le monde.
“Allons, les USA remplacent leurs satellites comme l’ESA, pourquoi le nier. Et une mission (privée) en GEO de refuelling a déjà eu lieu cette année. Ce qui « me semble pertinent » ou pas est sans rapport. Mais merci pour ces précisions.”
Oui les USA les remplacent aussi, en effet, c’est exactement ce que j’ai dis.
Le 17/11/2020 à 09h 57
“Doctorat scientifique”, ok formulation suspectement vague, si tu veux vraiment faire un concours de zizi , j’ai fait ma thèse de doctorat en physique (instrumentation spatiale) au LATMOS et en lien étroit avec le LMD. J’ai passé 4 années a côtoyer et discuter tous les jours avec les chercheurs qui passent leur vie a traiter ces données d’observation du climat, passé et actuel et à faire tourner ces modèles … Je te concède que je ne vais pas du tout sur le terrain, je passe carrément mes journées devant un ordi ou en labo, mais ma compagne (ingénieure Agro ParisTech) passe son temps sur des exploitations un peu partout en europe + russie + EU, elle a une vue assez globale merci. Rererererererererere pas de bol du coup ???
1 Merci d’abord à toi de pratiquer ce genre d’agriculture, je n’ai jamais dit qu’elles n’existaient pas, mais tu ne peux pas restreindre ton analyse à la France. Ma formulation “en occident” était assez malvenue voire carrément fausse, si tu regarde à l’échelle mondiale c’est 35-40 % de non-labour, donc oui le labour est toujours “dominant”. De plus tu ne peux te limiter à réfuter que le labour, l’emploi de produit phytosnaitaires, encore à l’échelle mondiale est lui en croissance constante. Mais je comprends ton point de vue, tu n’aimes pas que l’agriculture, et donc toi et ton associés, soit pointée du doigt dans sa contribution au réchauffement climatique alors qu’elle n’est clairement pas l’acteur majeur, je te le concède
2 ta vue se restreint à tes pratiques https://www.nature.com/articles/s41893-019-0396-x de plus copernicus ne sert pas qu’a des données sol agro, mais aussi des données meteo locales . Ces données sont de plus en plus nécessaire pour nourrir les modèles météorologiques et être capable de prédire les événements météo violents et agir (évacuer la Roya avant des pluies diluviennes ? )
3 Je n’ai utilisé aucun argument d’autorité, juste que tu n’as pas le baggage pour comprendre ces modèles et te permettre de les critiquer. Encore heureux que tu aies ton bac, c’est même obligatoire pour passer une thèse de doctorat il me semble. Là je vais faire une petite hypothèse à la vue de ton profil PCI, de tes autres commentaires et ton emploi répétitif dans ces commentaires des termes “rechauffiste” et “climastrologie”. Je suis prêt à parier que cette liste d’article pèle mêle ne vient pas de toi mais d’un quelconque forum ou site climatosceptique, et je suis prêt à parier que tu n’as jamais mis les mains dans les équations et le code d’un modèle atmosphérique et donc que tu ne comprends pas vraiment ni les arguments ni les articles que tu as posté. Pêle mêle : tu mélanges modèle atmosphérique à court terme et long terme (météo vs climat), tu mélanges modélisation des nuages et microphysique (heureusement que les nuages sont simulés, leur albédo et leur capacité thermique !!!!! la microphysique elle, simulée avec des vrais modèles PIC n’est réalisable que sur des petits modèles de labos en 1D, absolument impensables avec les calculateurs actuels de l’implémenter sur un GCM ou meme modele regional autrement qu’avec des modèles simplifiés analytiques), tu cites articles qui réfutent tel ou tel modèle (il en existe BEAUCOUP, heureusement qu’il existe des articles qui critiquent le travail d’autres équipes, c’est même capital pour que chaque équipe progresse et qu’en fin de compte certains modèles soient plus fiable).
4 Oui thales et Airbus font du transport ok, et ?? Reste que quand X millions dont dédiés à une mission, ils vont dans cette mission , pas des avions …. C’est le boulot de l’ESA de redistribuer les budget européen que chaque pays a décidé de dédier et au spatial et de contrôler comment chaque budget est utilisé et pour quels sous traitants, etc …. Quelle mission doit être faite ou non est aussi décidé en réunion ministérielle annuelle donc ce sont là encore les pays qui décident., donc, en supposant que les démocraties représentatives fonctionnent à peu près en Europe (là je suis prêt à te laisser du terrain sur ce point …), c’est le peuple qui décide des missions spatiales européennes.
5 Non, juste non, les USA n’ont pas de moyen actuel et opérationnel de refuel leur satellites. Ils utilisaient la navette quant elle était active pour maintenir et refuel CERTAINS satellites précieux et onéreux (hubble notamment et certains satellites militaires), en LEO uniquement. Ils testent en ce moment le prototye RRM, mais il n’a été testé que sur l’ISS pour le moment. Il y a des projets de missions de refuel pour les satellite GEO parce que (pour des raisons de mécanique spatiale) il est possible en geo d’avoir une mission qui visite plusieurs satellites, en LEO c’est impossible de faire plus d’un. Ça te semble pertinent de fabriquer un satellite complet dédié au refuel d’un autre satellite , d’utiliser un lanceur pour l’envoyer, et de devoir ensuite se débarrasser du satellite de refuel plutôt que d’envoyer un autre satellite d’observation avec de nouveaux instruments plus performants et se débarasser de l’ancien??? Qui plus est le fuel n’est qu’un facteur de vieillissement, les radiations sont un autre facteur limitant, surtout pour les satellites d’observation de la Terre qui sont pour la plupart en orbite polaire et donc traversent les cornets polaires (extrémités des ligues de champ magnétique aux pôles) toutes les 45 minutes et où les niveaux de radiation sont assez élevés, en plus du vieillissement des matériaux dus aux conditions spatiales (plasma, oxygène atomique, dégazage, contamination, cyclage thermique, etc.) . Et oui les missions spatiales prennent du temps (10 -15 and du projet au lancement donc oui il faut prévoir en avance, et comme dit au dessus et répété il ne s’aghit pas de doublon de données, il s’agit de multiplier les données , remplacer des données ancienne, assurer un suivit et avoir une meilleure resolution et répétititvit;e des mesures. Tu utilise le mot doublon comme si il suffisait d’effectuer la mesure une fois en un point. Non ces mesures doivent être continues pour être utilisée par des modèles meteo ou faire du suivi de l’évolution des sols …
Le 16/11/2020 à 14h 09
Beaucoup d’ultracrepidarianisme dans ces commentaires aigris. Il me semble bien que la devise de next inpact héritée de PCI est “Si tu ne sais pas demande, si tu sais partage” et non pas “Si tu ne sais pas, balance quand même ton opinion fielleuse et erronée”. Ça a peu être changé entre temps ceci dit.
Ma est compagne ingénieure agronome spécialisée dans la mise en place (appliquée) de pratiques durables et je suis ingénieur à l’ESA, tu es mal tombé… Donc on va tout de suite mettre de côté le fait qu’on fait tous les deux clairement parti du complot judeo-maconnico-islamo-gaucho-sino-bobo-climatoalarmiste, on va se comporter en adulte et on ne va plus jamais en parler.
Non, l’agriculture n’est clairement pas durable sur le terrain, le dogme de l’agriculture industrielle domine en occident avec le triptyque: labour, cycle de culture et semis/produits phytosanitaire. Et comme mine de rien il permet de produire énormément, bah les pays émergents/développés/en développement l’appliquent aussi. Cette agriculture continue de détruire la bio-diversité et le microbiome des sols , transformant ce qui devrait être un puits de carbone fantastique en une autre source nette de CO2. Comme de tryptique date de l’aprés guerre bah ta phrase n’a aucun sens …
“Comment la sécurité alimentaire va être étudiée depuis l’orbite reste un complet mystère.”, Tu admets tes lacunes, mais c’est un mystère pour toi seul. L’étude de l’émissivité infrarouge des sols, tu taux de Co2 en fonction du temps, de l’humidité, de la température et donc de la capacité thermique , tous ces paramètres étant mesurables et mesurés depuis l’orbite permettent de dresser et tenir à jour une carte de l’état de santé des sols sur de larges régions et donc diriger les efforts sur certaines parcelles plutôt que d’autres.
“le (pseudo) « consensus » climastrologique n’est pas encore compris”, bon là je ne vais pas m’étendre sur le sujet trop de personne se sont égosillées dessus, si tu n’es pas capable de comprendre les problème et continue de mettre des guillemets autour de consensus et de d’utiliser des néologismes péjoratifs pour l’inquiétude du milieu scientifique vis à vis du climat à l’avenir, je ne vais pas parler à un mur. Tu manques clairement des outils et du socle nécessaire (pourtant pas très élevé, terminale S est suffisant) pour te rendre compte de ce qu’est un modèle climatique et comment il fonctionne. Tes conclusions sont donc guère étonnantes.
Quand l’ESA donne la maîtrise d’oeuvre d’un satellite à Airbus au Thales ou OHB ou SSTL (le nombre de compagnie capable d’effectuer l’assemblage final d’un satellite en Europe se compte sur les doigts de la main), premièrement : l’ESA contrôle où vas le budget donc non, il ne part pas dans les transports et je peux t’assurer qu’on est TRES chiants sur ce point. 2) Ces compagnies ne font pas tout toutes seules, elles se chargent presque juste de l’assemblege final et de la conception générale, tout le boulot est fait par des laboratoire de recherche, universités, entreprises, petites PME partout en Europe.
Je te concède que tous ces paramètres sont pour la plupart déjà mesurés par d’autres satellites, mais ces satellites sont vieillissants et ont une durée de vie de 10-15 ans et après ils n’ont plus de carburant pour se maintenir en orbite et la dégradation lente de leur orbite les fera disparaître après quelques années. Comme le but est le suivi au cours du temps de ce mesures au sol, pas une mesure ponctuelle pour pouvoir dire une fois “Oh la terre brûle , regardez nos données”, il faut les remplacer ces satellites. Ce faisant, les technologies sont améliorées, de nouvelles technologies sont développées et ce savoir, et savoir faire, sont donc maintenus en Europe et développés.
Mars Sample Return : la NASA fera une annonce à 17 h
10/11/2020
Le 11/11/2020 à 12h 55
je confirme :)
Station spatiale internationale : inquiétudes et pannes en série dans la partie russe, jugée trop vétuste
26/10/2020
Le 26/10/2020 à 10h 10
Vas dire ça aux Voyagers ^^
Le 26/10/2020 à 09h 40
J’ai bien l’impression, c’est peut être juste une intention, la baseline est peut être plus 2028 en effet (Là je bosse “shall” est un requirement):
“The International Space Station, as long as it is safe and functional, shall operate through at least September 30, 2030, or until a demonstrated and sustainable lower cost alternative low-Earth orbit platform can achieve the mission objectives of the National Aeronautics and Space Administration, including but not limited to”
Source
Le 26/10/2020 à 09h 12
La fin d’exploitation prévue de l’ISS est 2030, mais entre temps la Lunar Orbital Platform Gateway (en orbite autour de la lune) prendra plus ou moins le relai, son assemblage est prévu pour commencer en 2024. Roscosmos n’est pas inclus dans le projet pour le moment ceci dit.
L’ESA exclut brutalement le projet de télescope spatial infrarouge de ses prochaines missions
22/10/2020
Le 23/10/2020 à 12h 01
Le 23/10/2020 à 11h 49
Mais c’est le processus de sélection ! Oui un petit nombre de personnes à l’ESA et aux réunions annuelles ministérielle prend cette décision et non les scientifiques impliqués dans chaque projet n’y prennent pas part puisque chaque proposal est traité comme dans un appel d; offre publique où chaque équipe défends son projet.
Chacune des 3 missions en lisse à eu droit à une étude complète au cours des deux dernières années en concurrent design pour évaluer le design et le coût préliminaire, et là pour le coup chaque équipe scientifique était impliquée ainsi qu’une chiée d’ingénieurs de l’ESA/JAXA/NASA, et à la fin une décision à été prise. C’est comme ça que ça a toujours fonctionné ! Si ces études préliminaires ont montré que cette mission n’est pas viable avec le budget prévu, il est normal que la mission soit évincée.
Et oui je résultat est communiqué par une lettre officielle par email/courrier, non il n’y a pas une cérémonie avec tapis rouge pour les perdants et auto flagellation du directeur Science de l’ESA pour s’excuser.
Je bosse à l’ESA, j’ai bossé en support pour certaines de ces 3 missions, et pour avoir côtoyé pendant mes études/thèse le milieu de la planéto et astrophysique en France (et le monde, et je continue de bosser avec eux), oui certains ont des égos démesurés et pourrissent l’ambiance.