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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 28/01/2016 à 12h 57







ActionFighter a écrit :



Étant en profession libérale, je n’exploite que ma propre masse laborieuse <img data-src=" />



Quel aveux de faiblesse si peu altruiste quand même ! <img data-src=" />







ActionFighter a écrit :



Pour le reste, je suis bien abonné, mais je me cache, ça fait plus “personne du peuple”, tu comprend <img data-src=" />



Il y a un mot pour cela.


Le 28/01/2016 à 12h 37







ActionFighter a écrit :



Je pense que NXI a trouvé le bon modèle : donner envie aux lecteurs de s’abonner, faire que ce soit les publicitaires qui s’adaptent au public et non l’inverse, et (peut-être) faire accepter au lecteur de la pub en échange de contenu de qualité <img data-src=" />





Et Mr n’est toujours pas abonné. Une petite auto-critique ou une augmentation de ton taux horaire d’exploitation des masses laborieuses s’impose…


Le 28/01/2016 à 08h 57







picatrix a écrit :



Donc nous serons en état d’urgence permanent.En effet le gouvernement est une “calamité publique”.Donc le gouvernement va voter en conseil des ministres l’état d’urgence.Et un gouvernement qui vote l’état d’urgence est une calamité publique … etc …





Ce qui illustre parfaitement le trilemme de Münchhausen (cf H. Albert, Treatise on Critical Reason) dans lequel ces abrutis se sont fourrés :

régression infinie ⟷ dogme ⟷ raisonnement circulaire.


Le 28/01/2016 à 08h 52

Sur quelle base tous ces soit-disant représentants temporaires s’appuient-ils pour « protéger la nation » en modifiant suivant les circonstances et conséquences qu’ils ont eux-mêmes induites les textes fondamentaux sans nous demander formellement et largement notre avis ? N’ont-ils pas oublié qui sont leurs maîtres ?



Est-ce à dire que toute révolution publique pour les renverser eux et leur régime pervers et dispendieux de privilégiés hypocrites est maintenant interdite ?



La constitutionnalisation de l’état d’urgence va seulement permettre à ces pharisiens irresponsables de se camoufler derrière leurs échecs inassumés et de continuer à perpétrer de nouveaux méfaits en notre nom. Ce système est foutu.

Le 27/01/2016 à 18h 35







pentest a écrit :



Tu essayes de discrediter mon propos ?





Évidemment. Mais comme argumenter proprement (dans un espace inadapté qui est plus) sur un sujet compliqué requière plus que de pointer seulement un doigt accusateur vers les idiots habituels, on ne peut pas le blâmer de ne s’en tenir qu’aux gesticulations d’apparat.


Le 27/01/2016 à 11h 24

Les ventes de cigarettes (tous marchés confondus) vont pouvoir exploser : MST est aux cigarettiers ce que la bécasse à la Culture est aux ayant-droits. Et dire qu’il y a encore des gogos pour défendre ce système. <img data-src=" />

Le 27/01/2016 à 14h 56

J’ai toujours été meilleure aux lettres, donc non.

Le 27/01/2016 à 11h 32



d’un Windows Made in France, prêt à « booter » sur le PC de notre brave Mme Michu.

Les oreilles vont siffler dans les ministères. <img data-src=" />

Le 27/01/2016 à 11h 29



sur les nouvelles opportunités économiques (« NOé »)



On peut dire ce qu’on veut, ces nunuches incompétentes, fussent-elles engrossées, ont le chic pour trouver les acronymes adéquats : NOé ou leur arche providentielle pendant que tout le reste s’effondre en douceur.

Le 25/01/2016 à 22h 39







127.0.0.1 a écrit :



“Quand les élus écoutent le peuple, c’est que les élections approchent.”



(proverbe démocrate)







Ils sont plus prosaïques que cela localement : « Quand les goudronneuses sortent du hangar, c’est que les élections approchent. »



(proverbe niçois)


Le 25/01/2016 à 17h 16

Une opération de com’ de plus pour une législorhée additionnelle inutile histoire de caresser dans le sens du poil électoraliste. Ce n’est pas comme si l’instrumentalisation de la participation d’un % nanoscopique de la population n’allait pas servir de blanc-seing à des règlementations iniques et dispendieuses au seul profit de la caste de blaireaux au pouvoir.

Le 25/01/2016 à 22h 31







Hellow a écrit :



En même temps il est difficile de demander de l’innovation à des boîtes de ce genre, qui n’ont ni les compétences ni un passif suffisant du milieu, ça relève du suicide dès le début.



Parce qu’on sait faire du télécom ne veut pas dire qu’on sait faire du Cloud …

J’ai visité le DC d’Orange en Normandie la semaine passée, gros investissement dans l’infrastructure mais reste au trois quart vide par manque de clients et d’une volonté d’élitisme dans les offres.



Demander 45€/mois pour une VM 1vCPU, 528Mo de ram et 10Go de disques, on en rigole des genoux.



Au final quel est le pire, un gouvernement qui finance n’importe quoi, n’importe comment ou bien un acteur télécom pas capable de faire une étude de marché correcte et adaptée aux besoins ?





Tout à fait. Mais il a été inscrit dans le marbre qu’en France on voulait des champions nationaux (obèses et peu novateurs) plutôt que cultiver de la start-up, alors qu’au USA ils ont bien compris que capitaliser de la start-up, c’est permettre un peu plus tard leur rachat, intégration et monétisation par les ténors de l’Internet. Pas étonnant que chez nous ça foire ou stagne pendant que les GAFA se développe toujours plus.



L’exemple le plus frappant de sous-capitalisation de départ est YouTube comparé à DailyMotion. Numergy était un échec annoncé avec zéro différentiation sur l’existant.


Le 25/01/2016 à 09h 20







Vieux_Coyote a écrit :



Là où ils y gagnent, c’est qu’ils ne paient aucune agence physique, et avec ton argent, ils investissent et gagnent plein de pépettes (ou pas). J’imagine donc que si, c’est rentable.







Légalement et contractuellement ce n’est plus « son argent », c’est celui de la banque : en contre-partie la banque a émis (virtuellement) une reconnaissance de dette à son avantage.


Le 23/01/2016 à 12h 11







Pr. Thibault a écrit :



Le “légitime” étant ce que tu as décrété comme tel dans ton for intérieur, ton affirmation est éminemment subjective…





Pas plus subjective que l’idéologie qui prévaut à l’empilement de toutes ces lois liberticides. Ce qu’il pense comme légitime est sans doute beaucoup plus raisonnable et raisonné que le fatras d’interdictions/obligations dites légales qu’on nous impose sans discernement et sans consentement. Surtout quand on sait pertinemment à qui profite le crime. Et ça se proclame socialistes. Le sinistère de la culture et ses sbires ne sont qu’une parodie risible.


Le 14/01/2016 à 14h 16







van25fr a écrit :



Compression en h265 mon PC met 6 à 7 heures pour une vidéo de 2 heures. (voir mon poste précédent à une réponse d’un autre post)





Tu as vérifié l’absence de « banding » (sur une scène sous-marine ou un ciel bleu, par exemple) ? Pour avoir testé il y a peu, le H265 n’est pas à la hauteur du H264 quelque soit le taux de compression pour ce problème en particulier. Pour le reste OK.


Le 13/01/2016 à 19h 35

J’ai lu quelque part que les intermédiaires numériques pour la production sont toujours en 2K à l’heure actuelle, ce qui impliquerait que ces BR4K ne sont que des mises à l’échelle.



Quelqu’un peut confirmer ?

Le 13/01/2016 à 09h 42







Fantassin a écrit :



La BBC serait plus utile, une chaine que Free diffusait un temps, diffusion coupée sans raison.





Vu ce qu’est devenue la BBC, autant qu”elle diffuse sa propagande ailleurs.


Le 13/01/2016 à 09h 27



Celui qui choisit de construire un bâtiment dans l’espace public ne devrait pas pouvoir privatiser la vue de tous au nom du droit d’auteur.



Maintenant il suffit de généraliser et on obtient :





Celui qui choisit de diffuser ses idées dans l’espace public ne devrait pas pouvoir en priver de l’usage par tous au nom des droits de propriétés intellectuelles.





Ça me va.

Le 12/01/2016 à 18h 04



éventuel rapprochement entre Orange et Bouygues dans les télécoms n’aura aucune répercussion pour les consommateurs



Autant ne pas le faire alors. Voilà quand même la confirmation franche et limpide qu’Orange n’est pas là pour satisfaire ses clients.

Le 12/01/2016 à 17h 59







Quidd a écrit :



Eh bien en faite il existe quelques problématiques, et la législation est présente dans d’autres pays où les compétitions Esport sont plus importantes.



Il ne faut pas toujours voir la législation en mal. Le vide juridique sur le sujet oblige les acteurs à marcher sur la pointe des pieds pour la représentation des joueurs (souvent mineurs ce qui est particulier) et sur la légitimité des rémunérations/cashprize qui peuvent être accordés. Encadrer un domaine qui se développe, et protéger des joueurs “pro” qui aujourd’hui n’ont pas de règles encadrant de manière cohérente leur activité (ni artistes, ni sportifs au sens de la loi) n’est pas nécessairement à regarder d’un mauvais oeil.





L’argumentation pour ta justification est circulaire.



Bien sûr que la législation n’est pas toujours mauvaise (quoique).



Mais ici, il est facile de voir vers quoi on se dirige tout doucement : une fédération officiel adoubée par l’État, d’où des cotisations (et la mafia qui va avec) puis une obligation d’adhérer pour pouvoir pratiquer, et ensuite toutes les remontées d’informations à Bercy pour déclarer/fiscaliser convenablement : le modèle français dans toute sa rage de contrôle universel et sa folie taxatrice.


Le 12/01/2016 à 17h 49







HarmattanBlow a écrit :



<img data-src=" />



Je légifère, tu légifères, il légifère. Ils doivent avoir une prime fonction des kilogrammes de code civil produits dans l’année.





« législation » et « privilège » ne dérivent pas de la même racine par hasard.


Le 12/01/2016 à 17h 43







Ricard a écrit :



Réguler, réguler… toujours réguler. <img data-src=" />



Alors qu’une simple taxe suffirait. <img data-src=" />





Oui c’est bizarre, ils ne l’ont pas fait dans l’ordre cette fois-ci :



Si ça bouge, taxez-le. Si ça continue à bouger, régulez-le. Si ça s’arrête de bouger, subventionnez-le.

Tu taxes tout ce qui bouge, et quand ça ne bouge plus, c’est le socialisme.


Le 12/01/2016 à 11h 54



lorsqu’il est confronté aux nécessités de protection et de sécurité de l’État



On voit bien où va leur dévotion à ces branquignoles : la protection et la sécurité des individus n’ont jamais été leur priorité.

Le 06/01/2016 à 16h 12

Je te laisse à tes enfantillages que tu affectionnes tant. Pas étonnant que les chinois réussissent à vendre autant de camelote avec des branquignoles pareils.

Le 06/01/2016 à 11h 08







Patch a écrit :



Défaut d’incohérence = pas d’incohérence. Principe de base de double négation, que tu ne sembles même pas maitriser… Et après ca vient donner des lecons





Ne fais pas semblant de na pas comprendre. Ton défaut d’incohérence intellectuelle est bien un défaut parce que la cohérence intellectuelle (et l’orthographe) est une qualité. Apparemment, il vaut mieux persévérer avec ce défaut en s’en vantant urbi et orbi que de le corriger, confirmant ainsi le diagnostic initial (et l’absence de réponse au problème posé par la même occasion).







Patch a écrit :



Pas dans tous les domaines, à l’évidence.





Suffisamment pour tenir une conversation de haut niveau sur n’importe quel sujet avec des personnes sensées, ce qui n’est manifestement pas ton cas.


Le 05/01/2016 à 13h 02







Railblue a écrit :



Lui, au moins, il reconnaît ses biais et ses limites,





Je ne comprend pas trop le comportement de s’en glorifier en public : les réflexions niveau bac à sable n’ont d’intérêt pour personne. La médiocrité est bien assez répandue, non ?







Railblue a écrit :



ce qui n’est pas le cas de certains ici…





Je reconnais quelques lacunes en Physique des particules et en théorie des cordes. Pour le reste, quand j’atteins une limite, mon premier réflexe est d’aller à la pêche aux informations et aux sources originelles pour la réduire. Pour les biais, il est certain que tout le monde en a plus ou moins : l’idéal est de les minimiser, pas de s’en vanter.


Le 05/01/2016 à 11h 48







Patch a écrit :



Et personnellement, je me satisfais pleinement de mon défaut d’incohérence intellectuelle.





On te croie volontiers. sinon, tu ne passerais pas ton temps à scotomiser ce qui n’est qu’une évidence. La Terre sera toujours plate pour certain. <img data-src=" />


Le 02/01/2016 à 23h 52







sr17 a écrit :



Toutes les économies de la planète tourneraient bien.



Or, qu’est ce qu’on constate ? …. plus nous “mondialisons” et appliquons les “bons” principes du libéral-utopistme, plus c’est la merde…





Face à tes oeillères idées préconçues, que prouvent les analyses empiriques ? Le contraire, tout simplement.


Le 02/01/2016 à 23h 28







Patch a écrit :



4/ il y a des gens qui croient que le libéralisme fonctionne (quand tout prouve le contraire). <img data-src=" />



Pour le point 3, je confirme : tu l’illustres d’ailleurs parfaitement ici, et les 2 autres, c’est de la déformation de propos 100% volontaire de ta part.





Il est au moins clair qu’on ne peut pas te reprocher d’esquiver pas très soigneusement le sujet : l’hameçon doit être trop gros pour toi. товарищ sr17 répond, lui, toujours plus subtilement en vaporisant des mots dont la combinaison laissent toujours à penser qu’ils n’ont qu’un lointain rapport avec le sujet en cours, jacassant sans cesse sur l’incompréhensible complexité du monde tout en prescrivant ses remèdes primitifs marxistes tout droit venus d’outre-tombe, mais en se défendant d’en être of course.



Le résultat revient au même dans les 2 cas, mais chacun son style de défausse, je suppose.



Le défaut d’incohérence intellectuelle subsiste cruellement néanmoins. Mes professeurs disaient toujours que quand on rencontre un paradoxe, c’est qu’il faut réviser ses prémisses. Parce qu’il n’y a pas de paradoxe dans un monde rationnel.


Le 02/01/2016 à 21h 43







sr17 a écrit :



Si c’était aussi simple de diriger une économie, ça se saurait depuis longtemps.





C’est ça ton vrai problème (la cohérence intellectuelle).



On peut diriger un âne, même obtus. On ne dirige pas une économie. et ça on le sait depuis longtemps.


Le 02/01/2016 à 19h 21







joma74fr a écrit :



En même temps, à l’époque des années 1970, quand on parlait de quelques centaines de milliers de chômeurs, c’était la catastrophe. Et le 1er Ministre Raymond Barre (“1er économiste de France” et libéral assumé) n’a rien pu faire contre l’hémorragie de oisifs économiques.



Aujourd’hui, on parle de plusieurs millions de demandeurs d’emploi et l’extrême-gauche n’atteint plus 15%-20% à chaque élection.









Also_Spracht_Wapdoowap a écrit :



Par contre, là, j’ai rien raté.



<img data-src=" />









Commentaire_supprime a écrit :



Bonne année.



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />









Patch a écrit :



SMIC 2015 :



France : 1457€

Allemagne : 1473

Belgique : 1502

Pays bas : 1502

Irlande : 1462

Luxembourg : 1922€





A ce que je remarque, plus le SMIC est élevé, plus les gens roulent en voitures hautes en gamme.

…Donc tu disais quoi sur le SMIC soit-disant trop élevé?



Et on attend tous de te voir te mettre à 400€ par mois pour ton travail actuel, ensuite on verra si on suit, selon le résultat <img data-src=" />





Ah ah, la pêche est bonne aujourd’hui, tous les petits poissons sont là pour défendre leur bout de gras.

Je vous laisse maintenant mariner sur les points suivants :



1/ il y a des gens qui croient qu’augmenter les taxes sur le tabac réduit sa consommation ;

2/ il y a des gens qui croient qu’augmenter le coût des salaires n’a pas d’effet sur l’emploi ;

3/ il y a des gens qui se satisfont d’une absence de cohérence intellectuelle.



Pour les plus atteints, une Illustration.

Pour les moins atteints, les chiffres comparatifs en EU.

Pour tous, l’explication.


Le 02/01/2016 à 16h 49







sr17 a écrit :



Enfin, ceux qui on le recul de l’age pourront t’assurer que la situation de nos concitoyens s’est quand même bien dégradée avec le temps.





Merci de me confirmer mon diagnostic.







sr17 a écrit :



Comme je sais que tu ne raisonne que par les chiffres, celui du chômage parle de lui même.





Merci le SMIC (et autres mesures irresponsables).


Le 01/01/2016 à 21h 31

Mes vœux à tous.



Avertissement préliminaire à ces vœux :



Le principe de précaution est maintenant inscrit dans la Constitution, tandis que des lois pénales sévères prohibent toute discrimination et toute analyse hérétique de l’histoire contemporaine, sous peine de prison et de ruine coupables. Enfin, le fait de parler d’étrangers ou de certaines communautés pour autre chose que pour en dire du bien est sanctionné des mêmes peines.



Par prudence, je vous adresse donc pour 2016 des vœux que j’espère « politiquement corrects » et, surtout, en conformité avec la législation en vigueur dans notre libre démocratie. En conséquence, j’ai le regret de vous demander de bien vouloir ne pas tenir compte de la formulation sous laquelle je vous aurais éventuellement fait parvenir mes vœux dernièrement. Celle-ci étant nulle et non avenue, vous voudrez bien trouver ci-dessous, sous la forme légale fournie par mon avocat, une nouvelle formulation.



Je vous prie d’accepter, sans aucune obligation implicite ou explicite de votre part, mes vœux à l’occasion du solstice d’hiver et du premier de l’an en adéquation avec la tradition, la religion ou les valeurs existentielles de votre choix, dans le respect de la tradition, de la religion ou des valeurs existentielles des autres, ou dans le respect de leur refus, en la circonstance, de traditions, religions ou valeurs existentielles, ou de leur droit de manifester leur indifférence aux fêtes populaires programmées.



Ces vœux concernent plus particulièrement :





  • la santé, ceci ne supposant de notre part aucune connaissance particulière de votre dossier médical, ni de nous immiscer dans le dialogue confidentiel établi avec votre médecin traitant ou votre assureur avec lequel vous auriez passé une convention obsèques ;



  • la prospérité, étant entendu que j’ignore tout de la somme figurant sur votre déclaration de revenus, de votre taux d’imposition et du montant des taxes et cotisations auxquelles vous êtes assujetti ;



  • le bonheur, sachant que l’appréciation de cette valeur est laissée à votre libre arbitre et qu’il n’est pas dans mon intention de vous recommander tel ou tel type de bonheur.





    Nota Bene :



    Le concept d’année nouvelle est ici basé, pour des raisons de commodité, sur le calendrier grégorien, qui est celui le plus couramment utilisé dans la vie quotidienne de la région à partir de laquelle ces vœux vous sont adressés. Son emploi n’implique aucun désir de prosélytisme. La légitimité des autres chronologies utilisées par d’autres cultures n’est absolument pas mise en cause.



    Notamment :



  • le fait de ne pas dater ces vœux du السبت 1 Safar de l’an 1434 de l’Hégire (fuite du Prophète à Médine) ne constitue ni une manifestation d’islamophobie, ni une prise de position dans le conflit israélo-palestinien ;



  • le fait de ne pas dater ces vœux du 2 Teveth 5773, ne constitue ni un refus du droit d’Israël à vivre dans des frontières sûres et reconnues, ni le délit de contestation de crime contre l’humanité ;



  • le fait de ne pas dater ces vœux du 3ème jour (du Chien de Métal) du 11ème mois (Daxue, Grande Neige) de l’année du Dragon d’Eau, 78ème cycle, n’implique aucune prise de position dans l’affaire dite « des frégates de Taïwan » ;



  • le fait de ne pas dater ces vœux du Quintidi de la 3ème décade de Frimaire de l’an 221 de la République Française, une et indivisible, ne saurait être assimilé à une contestation de la forme républicaine des institutions.





    Enfin, l’emploi de la langue française ne sous-entend aucun jugement de valeur. Son choix tient au fait qu’elle est la seule couramment pratiquée par l’expéditeur. Tout autre idiome a droit au respect ainsi que ses locuteurs.



    Clause de non responsabilité légale :



    En acceptant ces vœux, vous renoncez à toute contestation postérieure. Ces vœux ne sont pas susceptibles de rectification ou de retrait. Ils sont librement transférables à quiconque, sans indemnités ni royalties. Leur reproduction est autorisée. Ils n’ont fait l’objet d’aucun dépôt légal. Ils sont valables pour une durée d’une année, à la condition d’être employés selon les règles habituelles et à l’usage personnel du destinataire. À l’issue de cette période, leur renouvellement n’a aucun caractère obligatoire et reste soumis à la libre décision de l’expéditeur. Ils sont adressés sans limitation préalable liée aux notions d’âge, de genre, d’aptitude physique ou mentale, de race, d’ethnie, d’origine, de communauté revendiquée, de pratiques sexuelles, de régime alimentaire, de convictions politiques, religieuses ou philosophiques, d’appartenance syndicale, susceptibles de caractériser les destinataires.





    Les résultats de ces vœux ne sont, en aucun cas, garantis et l’absence, totale comme partielle, de réalisation n’ouvre pas droit à compensation.



    En cas de difficultés liées à l’interprétation des présentes, la juridiction compétente est le Tribunal habituel du domicile de l’expéditeur, c’est-à-dire le Tribunal de Grande Instance de Nice.

Le 01/01/2016 à 20h 48







gjdass a écrit :



Tous les ans on s’est dit que l’année passée était merdique.





C’est le syndrome Georges Marchais (plus prosaïquement appelé problème de Diagoras). Chaque fois qu’il était invité par un journaliste à donner son appréciation de l’année passée sur le niveau de vie des Français, il était pire que l’année précédente. Et pourtant pendant toutes les années (50) où il a été membre (puis secrétaire générallllll) du PC français, le niveau de vie a été multiplié par 5.



Chez certains les biais (ou la mauvaise foi) sont une seconde nature.


Le 04/01/2016 à 16h 18

Je me suis laissée dire que tous les BR4K en préparation ne sont que des mises à l’échelle de l’intermédiaire numérique (Digital Intermediate) qui est actuellement en 2K, quelque soit la résolution de captation.



Quelqu’un a des précisions sur cette infos/rumeur ?

Le 04/01/2016 à 15h 31



Quoi qu’il en soit, à notre connaissance, aucune étude scientifique sérieuse sur les risques liés à l’exposition des ondes, dans les limites fixées par le décret de 2002, ne fait pour le moment pencher la balance dans un sens ou dans l’autre.





Interphone : négatif (10 ans)

MTHR : négatif (11 ans)

Agence de protection de la santé (UK) : négatif

Un papier parmi d’autres : négatif

Une revue rapide récente : négatif



Pourquoi toutes les études sérieuses sont négatives

Le 03/01/2016 à 12h 24







barlav a écrit :



Ton équation correspond juste à la même règle que le moustique: prélever suffisamment pour vivre mais suffisamment peu pour ne pas tuer. 2% de parasitage permet au parasite d’exister. Le reste de l’activité est vital pour pouvoir jouer le rôle de parasite sans tuer l’hôte.

Bref, l’équation te profite peut être, mais c’est un mécanisme qui ne marchera pas de tous temps.

<img data-src=" />





Déjà, ce n’est pas une équation, mais le résultat d’un calcul (tu sais : 1+1=2, ce genre de chose). Ensuite, sa logique et celle de la situation t’échappe complétement : le moustique ne produit pas les 98% de sang restants de l’hôte, alors que c’est bien le capitaliste qui produit et redistribue 98% de son activité. <img data-src=" />



Sans lui, tu serais encore en train de sucer du sureau pour tout repas.


Le 31/12/2015 à 19h 27







KissFC a écrit :



J’en viens donc au but de mon message qui n’était pas plus d’argumenter que d’amener ceci : l’accélération de se que tu appel la financiarisation fait que “le papier” (et ses chiffres ;) ) ont de moins en moins raison.  Puisque les études récentes montrent qu’une diminution des évolutions est a prévoir dans les années a venir (je parlerai plus de stagnation que de recul. Certains y allant vraiment trop fort) et ne pourront donc soutenir la demande d’évolution (qui devient un produit comme un autre, alors qu’avant c’était une résultante).





Ta prose est difficile à déchiffrer. Je suppose que par « papier » tu vises la monnaie-papier (ou l’or-papier, etc). Mais de quoi parles-tu par « diminution des évolutions » et « demande d’évolution » ? Évolution et demande de quelle variable ? Il manque des mots ou c’est incompréhensible.









KissFC a écrit :



Pour le reste même si je suis globalement d’accord, selon mon point de vue, ça reste une hypothèque sur les générations futures.





Tu fais référence aux dettes monstrueuses qu’on leur laisse en préemptant leur avenir, je suppose. Cela ne dérange pas les étatistes et les politiciens professionnels outre mesure (leur horizon temporel est à 5 ans au mieux). Après eux le déluge, comme on dit.









KissFC a écrit :



Mais ça, on ne pourra pas le savoir avant d’y être puisqu’il n’y a aucuns modèle fiable capable de prédire les évolutions de notre société (tout ceux que j’ai pu voir, en big data ou manuel sont assez loin de la réalité, et heureusement parce que celui qui l’inventera, s’il existe un jour, sera le roi du monde :O)





Les outils mathématiques n’existent pas encore pour cette classe de système (Complex Adaptative System).


Le 31/12/2015 à 19h 11







Herbefol a écrit :



Ça, c’est du bel argument pourri. Personnellement, j’ai pas envie de développer ma capacité à exploiter autrui sans vergogne tout en cherchant tous les moyens possibles pour que cet argent ne profite à personne à part à moi (et encore pas tant que ça vu que ce serait coincé dans un paradis fiscal dont je ne peux pas le sortir).





Tu me fais penser au bon mot si véridique de l’économiste Deirdre McCloskey :

“The only thing worse than being exploited by a capitalist is not being exploited by a capitalist.”




  • Deirdre McCloskey


Le 31/12/2015 à 16h 18







jeje07bis a écrit :



pour ce qui est du “nirvana collectiviste”, tu me fais sourire avec tes individus prospères comme solution miracle….. c’est quoi un individu prospère? Apple avec ses 200 milliards en cash ou Bettencour et sa fortune de 30 ou 40 milliards? Dans les 2 cas ça nous fait une belle jambe…..





Plutôt que de jalouser la réussite des autres, fais comme eux. Tu auras au moins démontré tes compétence au lieu de te plaindre de celles d’autrui. Et tu pourras fièrement débuter tes phrase par d’autres mots qu’une auto-flagellation publique…









jeje07bis a écrit :



je crois que tu n’as rien compris au principe des impôts et que tu n’en as rien à faire de la collectivité. De là à penser que tu serais un de ces experts comptables / financiers véreux toujours à la recherche du profit démesuré en se foutant de l’individu et de la société, il n’y a qu’un pas….





Tout à fait : mon intérêt personnel est le seul qui vaille la peine. Parce que je vis pas pour les autres et je n’attends pas des autres qu’ils travaillent pour moi. Ils ne sont pas mes esclaves tout comme je ne suis pas le leur. Je ne demande pas leur sacrifice à mes besoins tout comme je ne me sacrifierai pas aux leurs. C’est pourtant du bon sens simple à comprendre (sauf pour les parasites professionnels bien sûr).





“Faire intervenir l’État, lui donner pour mission de pondérer les profits et d’équilibrer les fortunes, en prenant aux uns, sans consentement, pour donner aux autres, sans rétribution, le charger de réaliser l’œuvre du nivellement par voie de spoliation, assurément c’est bien là du Communisme. Les procédés employés par l’État, dans ce but, non plus que les beaux noms dont on décore cette pensée, n’y font rien. Qu’il en poursuive la réalisation par des moyens directs ou indirects, par la restriction ou par l’impôt, par les tarifs ou par le Droit au travail ; qu’il la place sous invocation de l’égalité, de la solidarité, de la fraternité, cela ne change pas la nature des choses ; le pillage des propriétés n’en est pas moins du pillage parce qu’il s’accomplit avec régularité, avec ordre, systématiquement et par l’action de la loi.”




  • Frédéric Bastiat, 1863.


Le 31/12/2015 à 15h 59







KissFC a écrit :



Ok, de la valeur est crée, mais n’aurait-elle pas été crée de toutes manière sans les produits ?





Le divine providence n’existe que dans les contes pour enfants.









KissFC a écrit :



La répartition 298 est bonne si on prend l’aspect fiduciaire, mais en termes réels,





Comment peut-on compter autrement qu’avec des nombres la répartition de la valeur créée ? Quelle est la définition opérationnelle et/ou économique de l’expression « termes réels » ?









KissFC a écrit :



l’investissement est juste inversé, le bénéfice de productivité est de 2%.C’est un peu un biais suivant la prise de vue, la relativité appliquée a l’économie. D’un point de vue brut, le train va plus vite que la personne qui le regarde, mais les deux vont infiniment plus rapidement a tel point que ça réduit le gain de productivité a néant. En gros, les innovations, tant qu’elles ne profitent pas a tous, restent socialement un gain nul.





Le papier (un des rare à traiter ce sujet avec des chiffres) démonte justement ton point : le partage de la valeur créée est définitivement et largement en faveur de la société. Sinon tu vivrais encore dans les arbres à picorer des vers. Plus vraisemblablement tu serais déjà mort violemment, de maladie ou de malnutrition. Les pleureuses du bon vieux temps des cavernes ne mesurent pas leur chance de vivre à cette époque.









KissFC a écrit :



Maintenant, on va continuer dans la relativité : plus la masse fiduciaire augmente par rapport a la richesse réelle, plus le gain social ralentit. jusqu’à atteindre une masse critique qui fait que l’énergie dépensée par l’Homme ne pourra plus maintenir la masse financière.





Tu te rends compte que tu débutes ton affirmation en rejetant « l’aspect fiduciaire » puis discoures plus de la moitié du commentaire sur les méfaits supposés de la « masse fiduciaire ». <img data-src=" />



Sinon sur le fond, ta critique est celle de la financiarisation. Cette dernière n’a été rendue possible qu’à partir des années 70 quand Nixon (note : un politicien) a décroché le $ de l’étalon or afin, entre autres, de pouvoir financer sans limites les dépenses du gouvernement US. Les américains peuvent se permettre de dépenser autant pour leur politique car leur économie est capable de générer une quantité faramineuse de richesses tout en utilisant une partie du nouveau capital créé pour investir sur les marchés mondiaux. Ce n’est pas le cas des économies administrées comme la notre.



La financiarisation et les manipulations monétaires par la fixation arbitraire du prix de l’argent et de sa quantité ne sont que de la responsabilité des banques centrales aux ordres des États qui profitent de l’aubaine pour financer leurs dettes colossales par l’inflation (la perte du pouvoir d’achat). Les crises à répétition ne sont que la conséquence de :

1/ l’étouffement du système économique avec ce trop-plein d’argent issu de cette financiarisation, et

2/ de décisions politico-idéologiques anti-économiques imposées en subventionnant des secteurs non-rentables avec de l’argent issu de cette financiarisation.



Pour conclure, les agents économiques (producteurs, consommateurs) ne sont pas responsables de cet état de fait. Tu sais maintenant à qui t’adresser pour te plaindre ou quoi faire pour changer ce système pervers.


Le 31/12/2015 à 13h 45







the_frogkiller a écrit :



et quelle est la répartition des 98%?





Le papier ne s’intéressait qu’à la fraction de valeur captée par les méchants capitalismes.



 







the_frogkiller a écrit :



moué qui est vraiment le parasite dans notre système… On profite du système mis en place par l’état mais on fait tout pour ne pas participer aux infrastructures. Ne me dites pas qu’on leur arrache le cœur dans le cas d’Apple avec 200millards dans des paradis fiscaux et des bénéfices de l’ordre de 60 milliards si mes souvenirs sont bons.





Le « système mis en place par l’état » n’est qu’un système de pillage et de blanchiment des fruits du labeur des travailleurs, l’État étant bien incapable de produire autre chose que de la dette.



Concernant Apple, 200 miyards n’est que la partie émergée de l’iceberg. Quel est le montant de la valeur, dans le restant de l’économie, de l’ensemble des richesses qui ont été permises par les innovations d’Apple ? Rien que la somme de la valeur retirée personnellement par chaque individu ayant acheté un produit Apple est supérieur à son CA (sinon par définition les gens n’auraient pas acheté). Ce qui est caché est souvent bien plus vaste que ce qui est visible. D’où la répartition 2%-98%.











the_frogkiller a écrit :



et non ils sont pas forcement rationnel. Quand on est rationnel on prend en compte l’ensemble des choses et pas seulement le biais du rendement économique à cour terme. un exemple la grande distribution. Vous trouvez ça rationnel leurs comportements via leur centrale d’achat? asphyxier les producteurs leur est très profitable à cour terme, a moyen et long terme c’est autre chose…





Qui a permis l’existence de ce cartel en distribuant des faveurs (avec les collectivités locales), en manipulant le marché avec des lois anti-économiques réduisant la concurrence pour appliquer sa vision de favoriser la création de « champions nationaux » sinon l’État. Pareil dans le secteur des FAIs, pareil dans l’immobilier, pareil dans le domaine de la santé, pareil partout où l’idéologie dogmatique et obsolète du planisme a tenté de remplacer les mécanismes économiques du marché qui fonctionnent par le culte du command and control.



Nous payons le prix de ce dévoiement tous les jours.


Le 31/12/2015 à 12h 01







jeje07bis a écrit :



tes principes fondamentaux, ce sont ceux des capitalistes qui ne pensent

qu’à leur gueule et qui se foutent royalement du système et des autres……





Si c’était vrai, pourquoi le capitaliste ne conserve-t-il qu’un peu plus de 2% de la valeur de son activité, et donc qu’il en redistribue sociétalement pas loin de 98 % ? Les mécréants ne sont pas là où tu croies.









jeje07bis a écrit :



je dois être trop con de penser que chacun peut participer à la vie collective en payant sa part d’impôts sans chercher à “gruger” le système et sans attendre que les politiques tape sur les doigts en disant “attention, c’est pas biennnnnnn de pratiquer l’optimisation fiscale!”





Je suis d’accord avec tes 5 premiers mots, surtout quand tu fais semblant d’oublier que les possibilités d’optimisation n’existent que de par l’empilement législatif vermoulu bâti par les politiques eux-mêmes au cours du temps pour siphonner de plus en plus de la valeur de l’activité des travailleurs et producteurs.



Chercher à éviter le parasite en utilisant les failles de ce vol en bande organisée de l’entreprise lucrative sans but social qu’est l’État n’est que pur bon sens pour un agent économique rationnel. On n’atteindra le nirvana collectiviste qu’avec une somme d’individus prospères, pas en le décrétant avec du nivellement par le bas.


Le 01/01/2016 à 19h 48







sr17 a écrit :



Malheureusement, pour la plupart des gens, les entrepreneurs sont forcément riches.





Les préjugés et l’ignorance sont difficiles à outrepasser.









sr17 a écrit :



Quand à l’ISF, tous les spécialistes savent que c’est un impôt plus démagogique qu’utile. Mieux vaudrait taxer au niveau des successions ou des revenus. Le problème, c’est qu’on est déjà trop taxé partout et qu’on a largement dépassé le niveau ou cela devient contre productif.





Les taxes sur les successions sont déjà si élevées qu’elles confinent à la confiscation pure et simple.









sr17 a écrit :



Sinon, leurs histoires de biodiversité me font bien marrer. Comme si quelqu’un ignorait encore qu’il y a trop d’humains sur terre.



Il est urgent de prendre conscience que le problème numéro 1 de l’humanité, c’est l’augmentation rapide et complètement incontrôlée de sa démographie…





La surpopulation est le mythe fétiche des néo-malthusiens comme les Ehrlich et consorts, ceux-là mêmes qui n’ont jamais digérés leurs prédictions apocalyptiques non réalisées et leur crucifixion empirique subséquente par les économistes tel J. L. Simons.



De manière ironique, le taux de croissance de la population mondiale a atteint son pic pile juste avant la sortie de The P Bomb et va en diminuant depuis. Le pic en valeur absolue sera possiblement atteint en 2050 ou en 2100 (selon l’ONU).


Le 01/01/2016 à 15h 23







Drepanocytose a écrit :



Qu’on ne comprenne pas que l’écologie c’est une science sérieuse, qui est une branche de la biologie qui est elle même une science “dure” (sans jugement de valeur pour celles qui ne sont pas “dures”), c’est navrant. Je te le dis d’autant plus volontiers que tu sais que c’est ma formation, étudiée dans un cursus scientifique sérieux, et que je suis le premier à houspiller l’approche “TF1” ou “écolo-bobo” de ceux qui ne la gèrent pas de manière scientifique, les amenant à dire, mais surtout à faire, n’importe quoi, par ignorance.





Tout cela est vrai, mais il faut aussi reconnaitre les dérives de l’écologisme sur la Science elle-même : il est loin le temps où les chercheurs étudiaient un sujet sans arrière-pensée idéologique, mais dans un but explicatif pour aider à la compréhension (et éventuellement à la modification des pratiques).



En agriculture par ex., l’évolution des pratiques et des méthodes culturales durant les dernières décennies a été initiée par de la recherche publique sur le terrain. Maintenant le mot d’ordre dans la recherche publique est idéologique pour satisfaire les lubies de la clique éco-fasciste (Hulot et consorts), ruinant de fait le lien (sauf financier évidemment) entre les applicateurs potentiels (agriculteurs) et les institutions. Ce sont les boîtes privées qui sont maintenant sur le terrain (et prescrivent). C’est un échec politique lamentable.



Cela devient similaire dans un certain nombre d’autres domaines scientifiques. Même la Physique est touchée par cette politisation nauséabonde. Cependant en sociologie et psychologie, on entend maintenant très souvent des voix qui s’élèvent et des papiers qui sortent pour réclamer plus de diversité (!) politique, surtout aux USA (où 80-90% des chercheurs sont démocrates/socialistes). Le carcan idéologique est peut-être trop pénible à supporter ?



La politisation et la polarisation de la science dans un but idéologique est un grave problème sociétal qu’il va falloir un jour aborder sérieusement plutôt que de se voiler la face. Une remise à plat du mode de financements publiques qui ne garantit plus d’indépendance de la recherche et qui actuellement favorise plus la confirmation des biais de l’idéologie dominante que la recherche de la vérité pure, et une réévaluation de l’orientation prise par diverses disciplines sont rapidement requises avant la désaffection du public et la perte totale de son soutien à l’institution nommée Science.











Drepanocytose a écrit :



L’économie et l’écologie sont evidemment liées, si on massacre les biotopes aujourd’hiu (et hier aussi d’ailleurs) c’est au nom de l’intérêt économique principalement.

Une analyse sérieuse des problématiques et de leurs possibles solutions doit bien entendu prendre bien en compte l’aspect économiques des choses (en quoi l’économie participe au problème, et quelle structure économique mettre en place pour la résolution), mais réduire la question à un pur problème économique comme tu le fais, c’est se mettre une paire d’oeillères inacceptables pour moi, dans le cadre d’un raisonnement qui se veut sérieux et rigoureux.





Je répondais à ton exemple de l’agave qui est un problème économique et donc nécessite une réponse économique adaptée, et plus généralement quand l’Homme modifie son environnement pour l’adapter à ses besoins.



Il va de soi qu’on peut étudier la Nature sans aucune considération économique. Le point était simplement que la disparition naturelle de biotope/espèce/etc ne doit pas conduire à un conservatisme idéologique qui irait à l’encontre des mécanismes dynamiques qui existent dans le milieu naturel et qui lui permettent de d’adapter aux conditions changeantes.


Le 01/01/2016 à 12h 58







gavroche69 a écrit :



Cela dit appelle ça comme tu veux, richesses ou valeurs, tu chipotes car ça se ramène toujours au fric qui est l’indicateur absolu que l’on est (matériellement) riche ou pas selon qu’on en possède ou pas…





Pas du tout, et c’est justement l’échec de cette distinction qui fait que les comparaisons pour calculer les inégalités ne veulent rien dire en fin de compte. Par ex. une grande partie des petits entrepreneurs ou artisans sont riches en terme de valeur, mais n’ont que très peu d’argent : la valeur se situe dans les outils de production, de l’immatériel (services) ou dans des actifs non liquides.



On peut être riche et posséder de la valeur sans posséder d’argent (cf par ex. la fraction de gens imposés à ISF qui sont dans l’impossibilité de payer sans vendre leur patrimoine). L’argent n’est qu’un intermédiaire, un outil parmi d’autres, pour acquérir de la valeur (celle qui dure).


Le 31/12/2015 à 16h 23







gavroche69 a écrit :



Et l’économie telle qu’elle existe n’a strictement rien à voir avec le fric, c’est bien connu… <img data-src=" />





Tout à fait et si tu relis mon commentaire il ne parle pas d’argent. D’ailleurs ce n’est qu’un outil, et je préfère parler de valeurs ou de richesses qui sont des termes bien plus approprié quand on discute de phénomènes ou processus économiques.







gavroche69 a écrit :



Je te souhaite néanmoins un bon réveillon (quand t’auras fini de compter tes lingots bien sûr) ainsi qu’une bonne année. <img data-src=" />





Pareillement (sauf pour les lingots je pense) <img data-src=" />


Le 31/12/2015 à 16h 03

Tu projettes tes propres démons.



J’ai parlé d’économie, pas d’argent.



Ou alors apprend à lire.

Le 31/12/2015 à 11h 00







Drepanocytose a écrit :



Sérieux, c’est une blague ? Tu fais dans l’écolo troll ces derniers temps ; mais là il faut redescendre quand même, t’es bien perché.

C’est quoila prochaine étape ? Pas de problème de “pollution” non plus, la pollution c’est un concept flou non scientifique juste crée par des élites communisantes afin de mettre des bâtons dans les roues du système économique mondial vertueux (alors que l’économie est une science dure et très clairement définie, comme chacun le sait) ?





Ce n’est pas le sujet, mais comme tu l’abordes je vais te répondre. La pollution est un problème relatif, ponctuel et transitoire résolu ou en passe de l’être. Elle est en diminution constante depuis des décennies dans tous les pays riches (il reste quelques rares foyers en Chine et Inde) (voir les liens que j’ai donné récemment qui le montrent graphiquement).



Comme la pollution est un problème technico-économique, le seul moyen de la résoudre est nécessairement technico-économique : + la richesse augmente, + des moyens sont disponibles pour s’en occuper. Tu tireras les conclusions qui s’imposent sur le type de système à même de créer suffisamment de richesse pour ce faire.



Un dernier point important : je préfère mon niveau de vie actuel avec quelques petites nuisances passagères inconséquentes que la vie en cave ou arboricole dans une nature intouchée avec une espérance de vie réduite des 23. Je laisse ce romantiscisme anti-humain débile aux idéologues éco-fascistes et leur troupe de groupies bien tenue en laisse idéologique. No regret politics baby.











Drepanocytose a écrit :



Evidemment qu’il y a un gros problème avec la perte ultrarapide de diversité génétique des espèces en ce moment.





On ne connait même pas le nombre d’espèces (quelque soit sa définition) actuelle sur Terre à 2 ou 3 ordres de grandeur d’incertitude près, alors estimer une quelconque biodiversité ou même une variation sans données historiques relève de la gageure ou de l’aveuglement chimiquement pur. Que certaines espèces s’adaptent implique une sélection et donc une disparition et 99.9% de la nouveauté a déjà disparu et disparaitra quoiqu’on fasse (ou pas).



Il ne faut pas nier pour autant qu’il existe quelques problèmes localisés (généralement dans les pays où la tragédie des biens communs donne à plein), mais de là à généraliser et imposer les non-solutions liberticides et inefficaces comme celle décrite dans l’article et qui aura 0 conséquence positive sur le problème imaginé (et plus probablement une brouettée de conséquences inattendues négatives), il faut être bien naïf pour avaler ce genre de fadaises qui n’est que de la vulgaire propagande boboïde des éco-conscientisés (une maladie mentale auto-imposée par les gourous de la religion verte sectaire à leurs fidèles).











Drepanocytose a écrit :



N’importe qui qui a eu un jour à faire des études de diversité génétique sur un espèce ou un genre (c’est mon cas) et qui en a vu les conséquences économiques réelles sur le terrain (c’est aussi mon cas) le sait parfaitement bien.





Être son propre point de référence conduit toujours à des généralisations abusives et tu n’échappes pas à ce travers.



Ce type d’études (j’en ai lu des dizaines) est aussi universellement entaché de graves biais d’observation et de déficiences méthodologiques parce qu’il n’existe aucune données historiques ou spatiales de comparaison : l’échantillon est nécessairement son propre point de référence et les quelques rares données éparses qu’on peut obtenir en amont/aval ou historiquement ne permettent pas de conclure.



Ce qui conduit presque toujours ces papiers à attribuer les variations par un jugement d’experts mais sans aucune données de référence pour les supporter empiriquement : pour les plus tordues, le tour de passe-passe est d’utiliser de la statistique bayésienne avec priors (ce qui aide beaucoup pour enfumer mais n’est rien d’autres qu’opinions déguisées dans un jeu de devinettes sans les cartes), alors que le degré de variabilité naturelle et son évolution sont nécessairement inconnus.



C’est la même pseudo-science post-moderne qu’en climastrologie. En sociologie et psychologie, ils sont en train de faire leur propre auto-critique en ce moment, il serait bon que l’écologie (ou ce qu’il en reste) fasse de même avant de sombrer corps et biens dans l’obscurantisme.











Drepanocytose a écrit :



D’ailleurs souvent si on fait des études de diversité sur une espèce particulière, c’est pas pour le plaisir : c’est qu’on s’est rendu compte d’un problème spécifique sur l’espèce en question, et qu’on cherche à le résoudre. Ce que j’ai fait moi, sur l’agave, quand une majorité des agaves domestiques du méxique est morte de la même maladie : bah oui, ce n’étaient que des clones ou des parents proches : quand une maladie survient et que le plant mère ou l’espèce mère est vulnérable, tous les descendants le sont.

Dans le cas du méxique, bilan environnemental desastreux, bilan économique desastreux (l’agave ca sert à faire le mescal et la tequila : triplement des prix par pénurie).





Ce que tu décris n’est que le cycle naturel de la vie : en quoi le fait de préserver une espèce/genre qui n’est pas assez évolué/e pour survivre a un quelconque intérêt pour la nature elle-même ? Aucun d’un point de vue évolutif (je suppose peut-être incorrectement que tu n’es pas un créationniste).



Le seul intérêt en jeu ici, comme tu le fais remarquer, est économique, la solution sera donc technique càd économique : on trouvera une autre espèce voisine, on développera un variant, on créera un hybride voire plus probablement un OGM (moins cher et plus rapide) pour contourner le problème comme l’homme l’a pratiqué depuis plus d’un millénaire avec les autres plantes/animaux/etc. Un problème économique n’est qu’une opportunité en attente de solution(s) économique(s).


Le 31/12/2015 à 11h 29



Il y a en effet d’un côté des attaques sauvages et de l’autre, des immixtions plus profondes encore car autorisées par les législations nationales où la discrétion absolue est de rigueur.



« de rigueur » ou plus surement supposée telle sans autre justification que la manie du secret des zélites au pouvoir à ce moment-là, ce qui revient à pas de justification du tout, en un mot illégitime.



L’initiative de Microsoft est à saluer même si sa portée est réduite.