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crocodudule

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2757 commentaires

Le 13/02/2019 à 17h 45

Belle décision et qui pourrait sauf erreur de ma part être doublée si elle devient définitif “d’une action de groupe”.



En revanche: “Finies les conditions générales interminables à accepter en bloc.”

Là j’y crois pas une seconde ^^

 

Le 13/02/2019 à 17h 41







DoWnR a écrit :



Oui, et ça m’est déjà arrivé de complètement corrompre une machine en faisant une mise à jour parce qu’il n’y avait plus assez d’espace disque en plein milieu de l’upgrade <img data-src=" />





Parce que le système d’update est moisi, tout comme mon cas où je me retrouve avec un vieux pilote graphique à la suite d’une maj qui me fait planter un logiciel.



J’ai plutôt l’impression que “l’équipe” windows a intérêt à travailler le “service qualité” qu’à s’attribuer préventivement de l’espace disque, alors que des bugs de maj sont régulièrement remontés (et sauf erreur de pifomètre pas majoritairement liés au manque de place sur le dd).



Plus largement je me souviens de l’époque où il nous était annoncé des maj silencieuses et ne demandant même plus de relancer la machine. Aujourd’hui j’ai l’impression que chaque maj met des plombes et nécessite un reboot, voire plusieurs.


Le 13/02/2019 à 14h 09

C’est tout de même curieux comme situation, d’autres systèmes d’exploitation sont mis à jour sans recourir à l’amputation d’une part non symbolique du disque.



Je subi ce fameux windows 10 depuis quelques semaines sur mon portable perso et j’ai déjà pu expérimenter;

. windows S et galéré pour le virer car l’option pour en sortir est contreintuitive (le store patinant largement avant d’enfin télécharger),

. l’obligation d’aller sur le store pour avoir la calculatrice (store qui a bien patiné avant de la télécharger),

. l’occupation de l’espace par d’anciennes maj (que j’ai viré) de façon incompréhensible alors que la possibilité de revenir en arrière me semble relever des points de restauration et donc de la sauvegarde,

. un sentiment pénible d’être dissuadé d’utiliser autre chose que edge et envahi par corona (avant de le virer),

. l’installation d’un pilote intel plus ancien que celui présent de base après une maj windows, me faisant planter mon émulateur préféré (mettant un certain temps à identifier le problème).



Si on ajoute à ce très mauvais début d’expérience utilisateur, que les prochains vont avoir (à minima) 7g réservés (ce qui est par rien sur les petites config SSD), ils font tout pour que les avis soient pas franchement nuancés concernant windows 10.



(Je passe sur le fait que je ne fais strictement rien de plus que je ne faisais pas déjà sous win7).

Le 12/02/2019 à 17h 23

Décision intéressante sous réserve d’un éventuel appel (reste néanmoins l’exécution provisoire). On sera vite fixé, je ne doute pas que molotov va s’empresser de la faire signifier pour purger le délai d’appel.

Le 11/02/2019 à 16h 51

Inutile d’ergoter sur son efficacité, la baisse du p2p pour le téléchargement illégal ne lui est certainement pas imputable, le directdowload mais surtout netflix pour les séries et dezzer-spotify etc… pour la musique, sont les principaux (seuls?) responsables.



Un grand merci à Hollande qui en son temps avait tout le loisir de dégommer ce truc qui n’a aucune espèce d’utilité et coute “un pognon de dingue”, mais qui, comme sur bien des sujets, s’est littéralement dégonflé.



Aujourd’hui ce truc plus inutile que jamais, n’a plus que la surenchère pour tenter de justifier son existence, chose qu’il ne manque pas de faire.

Le 08/02/2019 à 17h 27







Paratyphi a écrit :



Clairement, il y a plus de niveau dans les commentaire de NXi. <img data-src=" />







Trop gros, passera pas… <img data-src=" />





C’est dredi <img data-src=" />


Le 08/02/2019 à 17h 03

La « mise à disposition d’une interface numérique par une personne qui l’utilise à titre unique ou principal pour fournir aux utilisateurs des contenus numériques, des services de communication ou des services de paiement&nbsp;»



T’es balèze Marc pour arriver à voir ce qu’ils veulent dire, j’en suis incapable ^^

Le 08/02/2019 à 14h 50







OlivierJ a écrit :



(je te cite pour plus bas)





Vi vi, on sait :-) .

&nbsp;



Oui, je vois pas de contradiction ? Avant d’être saisi rien ne se passe, par contre lorsque le Parquet est saisi généralement les choses rentrent rapidement dans l’ordre.


Le 08/02/2019 à 11h 28







anagrys a écrit :



Justement. Sur réquisition judiciaire, c’est tout à fait possible d’avoir ces infos, et c’est justement ce qui fait que nous sommes un Etat de droit et pas un Far West : on a une instance à peu près indépendante et qui n’est pas partie prenante qui décide si le cas de harcèlement dénoncé en est effectivement, et qui le cas échéant demande à la plate-forme des informations sur la personne qui harcèle.

&nbsp;

Quel est le problème dans ce processus, à part que l’autorité judiciaire est occupée à plein d’autres choses et n’a pas forcément les moyens de répondre directement ?





Certains fournisseurs VPN ne respectent pas nos Lois et se tapent des réquisitions judiciaires. Mais d’expérience, la plus part des plateformes très connues bloquent l’accès via ces VPN, tandis que l’utilisation de VPN reste (du moins de mon expérience) anecdotique.


Le 08/02/2019 à 11h 00







skankhunt42 a écrit :



« Moi je ne veux plus de l’anonymat sur les plateformes Internet, a poursuivi Emmanuel Macron. Et je veux une vraie responsabilité des parents, et l’interdiction, c’est le seul moyen. »



Et sinon autant je ne veut pas forcément minimiser le problème, autant quand c’est irl force est de constater que bien souvent rien n’est fait… Au mieux il est fortement conseillé à l’élève harcelé de juste changer d’établissement.



Je pense que ça c’est vraiment le leit motiv de ce que beaucoup d’entre nous demandent, une vrai justice !





Tu as parfaitement résumé la situation, le premier obstacle c’est le chef d’établissement qui en mode “pas de vague pas de vague” refuse de prendre ses responsabilités et laisse les parents et l’enfant se démerder, voire tente le renversement de situation en laissant entendre qu’ils y sont un peu pour quelque chose en mode y a pas de fumée sans feu.



Lorsqu’enfin le parquet est saisi (souvent après prise de conseil des parents), il s’est généralement écoulé des mois voire des années où l’enfant en a pris plein la tronche.



En revanche, lorsque la machine judiciaire est saisie, généralement le harcèlement cesse immédiatement.


Le 08/02/2019 à 10h 51

Démagogie la plus totale; l’anonymat (sauf connaissances techniques suffisantes) est quasiment impossible et donc permet s’il le faut et sous le contrôle d’un Juge de poursuivre les auteurs de publications. Si certaines plateformes ne veulent pas jouer le jeu, il suffit d’appliquer la Loi.



Par ailleurs, la référence à la responsabilité des parents est digne du café du commerce; les parents le sont bien évidemment sur le plan civil de tous les dommages causés par leurs gamins. Ils peuvent par ailleurs eux-mêmes condamnés s’ils ne protègent pas leurs gosses.

&nbsp;

Surtout et en pleine époque des lanceurs d’alerte et où un des rares points positifs que j’arrive à trouver aux réseaux sociaux, c’est de permettre à des personnes discriminées de sortir de l’isolement, voire d’avoir le courage d’agir, on voit la perception du sens de l’histoire qu’à Giscard 2.0…



Marc, si tu as l’occasion de lire mon com, je pense que le sujet de l’anonymat peut justifier une news plus complète, ça fait plusieurs fois qu’il revient sur le sujet, une nouvelle régression s’annonce et un tir de barrage est souhaitable, l’histoire ayant montré que les moments où un Etat s’escrime à contrôler l’identité de ses citoyens a toujours annoncé des dérives importantes.

Le 08/02/2019 à 13h 15







BlueTemplar a écrit :



Ceci impliquerait qu’il ne pourrait que difficilement y avoir du rénouveau en politique… Villani devrait plutôt demander conseil aux politiciens expérimentés !

(Et pas en premier à ceux de son “camp”, évidemment… en tant que chercheur il devrait être bien équipé pour en savoir sur les biais !)



Sinon, desolé, mais je ne comprends pas ta reponse…

Qu’est ce qui pourrait bien être communiqué au juste dans le cas d’une décision prise à l’aide d’un réseau neuronal ?





On doit pouvoir expliquer les principes de fonctionnement d’un algo à l’usager d’un service public, si l’algo a fondé la décision administrative individuelle.



Par conséquent si on est pas en mesure d’expliquer le fonctionnement de celui-ci (ce qui est souvent avancé pour les AI utilisant un réseau neuronal), alors on peut utiliser cet algo.


Le 08/02/2019 à 09h 25







BlueTemplar a écrit :



Justement, l’IA dans les administrations serait hors de question, étant donné qu’une IA est “éduquée” plutôt que programmée, il n’y a donc pas d’algorithme qui puisse être divulgué, comme le réquiert la loi Numérique !



P.S.: Je me pose d’ailleurs la question si ça ne va pas se heurter aux aspirations de Villani pour l’IA en France ?





La décision du Conseil constit vise bien l’algo pas nécessairement l’IA, donc c’est bien communicable dès que l’algo fonde une décision:

“Il en résulte qu’une décision individuelle ne saurait être prise à l’aide d’un algorithme dont les principes de fonctionnement ne pourraient être communiqués sans porter atteinte à l’un des secrets ou intérêts énoncés au 2° de l’article L. 311-5 du code des relations entre le public et l’administration.”



Et s’agissant de l’aspiration de Villani tu en as une belle illustration via son amendement qui vient de conduire à la situation actuelle permettant au gouvernement de jouer l’opacité. Je pense qu’il serait préférable qu’il reste dans son domaine de compétence, bien souvent les génies scientifiques sont des tanches en politique ^^

&nbsp;


Le 07/02/2019 à 14h 29

Ca tourne à la parano, je doute fortement que Parcoursup cache un algo de reproduction des élites (pour ça pas besoin d’algo), pas plus que je n’ai de raison de croire qu’il y a des discriminations fondées sur la couleur ou encore l’appartenance religieuse dedans.



Je crois tout simplement que cela “cache” un système développé selon la norme ISO1664, aussi bien au niveau national que de l’université.



Le révéler objectivement ne manquerait pas de démontrer l’arbitraire du fonctionnement et surtout des dysfonctionnements.



Par ailleurs, cela pourrait remettre en cause le culte du dieu l’algo appelé à tout résoudre et notamment dans les administrations.

&nbsp;

Ici l’algo n’est pas vu comme un outil d’aide à la décision s’ajoutant au personnel et moyens actuels des administrations, mais comme la promesse de palier le manque de moyens et de crédits permettant de prétendre que l’on peut continuer à vider les services publics de leurs personnels.



Derrière le discours sur l’amélioration de l’efficacité de l’administration par l’algo ou l’IA, il y a systématiquement un discours justifiant l’absence de nouveaux moyens pour les services publics.

Le 07/02/2019 à 10h 25

“L’UNEF a de son côté annoncé qu’il souhaitait « créer un contentieux de masse », puisque de nombreuses autres procédures ont été lancées contre d’autres universités”



C’est nécessaire, la question posée au travers de Parcoursup est un sujet de société alors que l’affaire citée démontre le parfait double langage du Gouvernement.



Attention, il n’est pas question ne nier l’intérêt en terme d’aide que peut représenter le traitement algorithmique, mais bien que;




  • celui-ci se fonde sur les règles en vigueur et pas des adaptations des règles,

  • puisse être vérifié et communiqué s’il fonde, même seulement pour partie, une décision,

  • puisse faire l’objet d’un recours effectif.



    Soit à peu de chose la décision du Conseil Constit (qui a cependant limité la communication aux cas de traitements de données sensibles, ce qui une restriction injustifiée, ou alors inutile car pour la CNIL le n° sécu ou CNI sont des données sensibles, donc la plus part des traitements administratifs sont sensibles et donc communicable).

Le 08/02/2019 à 09h 28

Marc & Xavier , une petite news sur la volonté de mettre fin à

l’anonymat dont l’annonce a été renouvelée hier par Giscard 2.0 ?

Le 07/02/2019 à 16h 01







WereWindle a écrit :



en même temps, fallait choisir un autre titre que “enlarge your recouvrement” <img data-src=" />





Mais fallait pas dire le plan !


Le 07/02/2019 à 13h 30







apm a écrit :



Marrant, depuis quelque temps google me jette pleins de courriels légitimes ET important dans le dossier spam. Alors que ça n’arrivait jamais avant. Les merveilles du machine learning ?





Je confirme, il n’aime pas notamment les mails pro de ma boite, qui ne sont que légitimes (aucun démarchage).

Je m’interroge notamment sur l’impact que peut avoir des utilisateurs qui mettent en spam mes courriels (lorsqu’il s’agit de relance de facture impayée…), je présume que petit à petit ca généralise l’arrivée en spam de l’adresse.


Le 06/02/2019 à 11h 15







le podoclaste a écrit :



Ah non, la dernière fois je me suis réveillé attaché dans un lit qui n’était pas le mien, alors je me méfie maintenant.





J’ai dit le cœur pas sa b* <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 55







le podoclaste a écrit :



Mon coeur dit “heure d’été”, mais ma tête dit “heure d’hiver.” Et mon expérience professionnelle avec les horodatages informatiques dit “UTC, sinon rien !”





Faut toujours écouter son coeur ! <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 52







fred42 a écrit :



Espèce de dictateur ! <img data-src=" />





C’est totalement irrationnel, mais pour ce truc oui je peux l’être.



Je viens même de balancer une chaine mail ce que je n’ai jamais fait jusqu’ici <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 49







DJon51 a écrit :



Si je suis d’accord sur la chocolatine, l’heure d’été est une vrai plaie pour l’astronomie…sans compter que je n’ai jamais vu la tombée de la nuit interrompre un apéro-plage…

(bon de tout façon chez mois ça ne changera pas grand-chose, vu que d’avril à août, il ne fait pas nuit <img data-src=" />)





Dans le questionnaire j’ai coché UTC+2 comme à Séville <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 46







fred42 a écrit :



Cette consultation européenne est inique : elle a eu peu de publicité au moins en France et eu lieu en plein été.

Il n’y a eu que 4,5 millions de réponses dont 70 % d’allemands sur 511 millions d’européens.



S’appuyer là-dessus est un déni de démocratie.





M’en tape, pour une fois je suis pour le déni de démocratie si ca me permet de plus avoir ce <img data-src=" />

&nbsp;de changement d’heure <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 33







OlivierJ a écrit :



Pour une fois qu’on fait une consultation publique, chose qui a l’air très demandée par certains, je m’étonne que tu te plaignes.





On l’a eu la consultation elle était européenne, pour une fois qu’on interroge au niveau de l’Union, chose qui pourrait accessoirement nous donner le sentiment d’appartenir à une citoyenneté européenne.



De toute manière s’ils reviennent sur cette décision, m’en fous je deviens gilets jaunes voire même casseur !

<img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 28







empty a écrit :



L’heure d’hiver est l’heure standard. Pourquoi choisir l’heure d’été ?

Ha oui, parce que “l’été c’est mieux y a plus de soleil et il fait beau”……….





Parce que dans le Sud les soirées d’été seraient bousillées, encore un complot du nord (avec un tout petit n) et du pain au chocolat !



La CHOCOLATINE vaincra !!!&nbsp; <img data-src=" />


Le 06/02/2019 à 10h 09

P c’est acté au niveau Européen qu’il doit plus y avoir de changement d’heure.



Quel est le con qui a pensé qu’il fallait éventuellement en décider autrement par une consultation nationale tout en évoquant dans le questionnaire l’importance du changement d’heure au regard “des relations entre l’Union européenne et les citoyens européens” ?



Ils ont pas l’impression de manquer de logique élémentaire ? Ils t’ont répondu les citoyens européens !

Le 06/02/2019 à 09h 57

C’est fabuleux le double discours du gouvernement s’agissant de la communication des algos et plus largement sur l’opendata, pourtant légalement prévue, et par ailleurs l’opposition systématique à toute communication ou alors totalement parcellaire.



Si en plus le Conseil constit n’était pas venu poser des réserves sur ces points en consolidant la Loi, l’arbitraire des administration ne pourrait plus être contesté:

“D’une part, conformément à l’article L. 311 3 1 du code des relations entre le public et l’administration, la décision administrative individuelle doit mentionner explicitement qu’elle a été adoptée sur le fondement d’un algorithme et les principales caractéristiques de mise en œuvre de ce dernier doivent être communiquées à la personne intéressée, à sa demande. Il en résulte qu’une décision individuelle ne saurait être prise à l’aide d’un algorithme dont les principes de fonctionnement ne pourraient être communiqués sans porter atteinte à l’un des secrets ou intérêts énoncés au 2° de l’article L. 311-5 du code des relations entre le public et l’administration. D’autre part, la décision administrative individuelle doit pouvoir faire l’objet de recours administratifs, conformément au chapitre premier du titre premier du livre quatrième de ce code. L’administration sollicitée à l’occasion de ces recours est alors tenue de se prononcer en ne se fondant plus exclusivement sur l’algorithme. La décision administrative est en outre placée, en cas de recours contentieux, sous le contrôle du juge, qui est susceptible d’exiger de l’administration la communication de l’algorithme. Enfin, le recours exclusif à un algorithme est prohibé si ce traitement porte sur l’une des données sensibles mentionnées au paragraphe I de l’article 8 de la loi du 6 janvier 1978, c’est-à-dire des données à caractère personnel « qui révèlent la prétendue origine raciale ou l’origine ethnique », les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ou l’appartenance syndicale d’une personne physique, des données génétiques, des données biométriques, des données de santé ou des données relatives à la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle d’une personne physique. Enfin, le Conseil constitutionnel a relevé que le responsable du traitement doit s’assurer de la maîtrise du traitement algorithmique et de ses évolutions afin de pouvoir expliquer, en détail et sous une forme intelligible, à la personne concernée la manière dont le traitement a été mis en œuvre à son égard”



Au regard de ce qui précède la position du ministère est parfaitement ridicule.

Le 05/02/2019 à 20h 15

Un petit mot pour sortir de windows 10 S (dont je viens de découvrir l horreur) peut être intéressant pour ceux n y connaissant rien et si par malheur ce truc se réinstalle à la ré-init

Le 05/02/2019 à 10h 49







kidbzt a écrit :



L’autorité du 6-1 LCEN est bien l’OCLCTIC, prévu par l’article 1 du décret n°2015-125.&nbsp;





Ah ben voilà là je capte, je l’avais pas ce décret, j’étais sur celui qui défini les compétences de l’Office (Décret n°2000-405 du 15 mai 2000) qui bien que consolidé ne dit pas un mot sur la possibilité de demander de retrait et même de bouger une oreille sans l’accord de l’autorité judiciaire, pas plus que celui sur Pharos.

&nbsp;


Le 05/02/2019 à 10h 46







linkin623 a écrit :



Le droit administratif : à la fin, l’Etat a raison





Oui moi je me suis arrêté là aussi ^^


Le 04/02/2019 à 17h 55

Triste constat, la liberté d’expression (aussi détestable que puissent être les publications mais qui sont sans lien avec le terrorisme ou la pédophilie) peut être totalement entravée pendant 3 ans avant de voir un premier Juge trancher.



Cela démontre aussi les garanties qui sont offerte dans la Loi “anti-casseurs” et plus généralement ce glissement extrêmement grave du contrôle par le Juge judiciaire vers le Juge administratif, ce dernier n’étant pas le garant des libertés contrairement au premier.



Accessoirement, ça démontre que je comprends vraiment rien au droit administratif (matière que je déteste et qui le rend bien), puisque je trouve pas dans les textes que l’OCLCTIC peut agir sans avoir au moins l’accord de l’autorité judiciaire le décret d’origine (qui ne semble pas être modifié sur ce point) le prévoyant expressément, sauf à se limiter à un rôle de coordination entre services (police/gendarmerie/international) <img data-src=" />



&nbsp;

Le 01/02/2019 à 16h 02







jb18v a écrit :



je sais pas ce que tu prends mais partage <img data-src=" />





Je t’assure que François Fillon a bien une fille qui s’appelle Marie ! Tous les indices sont là ! Ouvrez les yeux !

&nbsp;

(J’en ai plus ^^ )


Le 01/02/2019 à 15h 53







Ellierys a écrit :



#RendezLargentDesAbonnés





Nouvel indice!

On connait tous le penchant de François Fillon pour la religion catholique.

Naturellement, il a eu une fille nommée Marie, qui était très copine avec les apôtres, dont le fameux Marc !

En plus si on enlève 4 lettres à Rees, et qu’on en ajoute 6 ça donne Fillon, comme par hasard !!!



Marc Fillon tu es démasqué ! Mais ça les médias mainstream nous le cachent ! <img data-src=" />


Le 01/02/2019 à 15h 35







WereWindle a écrit :



<img data-src=" /> (c’est ‘dredi)





Ah c’est donc ça! C’est un coup de poutine ! <img data-src=" />


Le 01/02/2019 à 15h 03







Ellierys a écrit :



Marc, annule tout, on a été découverts !





C’était du beau travail, le couverture a commencé dès la DADVSI pour ne pas attirer l’attention, vous êtes des pros, mais aujourd’hui les preuves sont accablantes! <img data-src=" />


Le 01/02/2019 à 14h 51

<img data-src=" />

Le 01/02/2019 à 14h 39







Commentaire_supprime a écrit :



+1.




Sans être méchant (faut le mériter avec moi :D:D:D:D:D), Marc Rees, il fait vraiment alibi sur cette liste. Damien Bancal peut-être aussi, je n'ai pas l'honneur de le connaître.








En fait Marc est un agent double qui nous fait croire être contre l'hadopi alors qu'en fait c'est un sycophante qui balance les noms des abonnés de NX à TMG pour surveiller leurs IP , puis après rédige les études avec ses stats pour l'hadopi&nbsp; :dd:

Le 01/02/2019 à 14h 18

Alors go page 73 pour découvrir comment a été réalisée l’étude et la pertinence scientifique de comment il a été déterminé les éléments de “cartographie”…



Honnêtement je pensais qu’ils allaient un peu mieux emballer le truc, mais non en fait <img data-src=" />

Le 01/02/2019 à 13h 31

Désolé pour le lien sosbook, mais j’adore cette vidéo : <img data-src=" />

facebook.com Facebook

Le 01/02/2019 à 13h 09







KP2 a écrit :



@NXI : si vous pouviez aussi récuperer les modes d’emploi et les instructions officielles relatives à l’emploi des LBD en manif, ça serait interessant.



J'ai vachement de mal a penser que c'est prévu pour toucher la tête et que c'est normal que les flics visent de cette façon.       

Ca me donne tellement l'impression que les mecs se font des kiffs comme si ils étaient au paintball...








Oui d'ailleurs c'est le sens de la décision très réaliste du Conseil d'Etat d'aujourd'hui, invitant les autorités à rappeler aux agents&nbsp; de:rtfm:du LBD&nbsp; :D

Le 01/02/2019 à 12h 19







cyrano2 a écrit :



C’est facile, les autres pays européen le font sans GLI-F4 et sans flash ball. Et ils sont confronté de façon identique au black block.





Facile je sais pas mais il est certain que ces armes ne sont pas adaptées


Le 01/02/2019 à 11h 32







grunk a écrit :



Franchement quand tu vois ce que les mecs prenne sur la gueule (boulons , pot en verre rempli de vis et clou, parpaing , etc …) à longueur de manif , le flashball me parait pas si démesuré que ça en terme de réponse …



On voit quasi jamais les vidéos "in" des colonnes de crs , mais pour le peux que j'ai vu c'est assez impressionnant le niveau de violence auquel il sont confronté.      

Après c'est peut être pas le bon gars qui prend la riposte dans la poire , mais c'est un autre débat.







La question est comment répondre à ces violences pour cibler ceux qui en sont à l’origine, les arrêter, et sans blesser (en réalité mutiler) les gens qui ne présentent pas une menace et ceux qui sont violents (dans la limite de la protection de l’agent lui-même naturellement).



Cette arme à mon avis de répond pas à l’objectif de maintenir l’ordre public (qui peut prétendre que c’est par elle que l’on arrête les casseurs et qu’arrive à disperser les troupes ?), tout en représentant un risque avéré de blessures graves.


Le 01/02/2019 à 10h 49







plusquezero a écrit :



La mamie est morte à cause d’une grenade, pas d’un LBD. Mais les grenades aussi doivent être utilisées de manière proportionné.





Oui pardon, mais effectivement tu as parfaitement saisi là où je veux en venir.


Le 01/02/2019 à 10h 40

Moi j’aime lorsqu’on termine une phrase en disant “c’est tout”, ça me donne encore plus envie de savoir la suite ^^



J’espère sincèrement que cette saloperie sera interdite, contrairement à la réponse de Rantanplan à l’Assemblée, la question n’est pas d’excuser ou minimiser les violences des GJ ou des casseurs à l’occasion des manifs de ces derniers, parce qu’on demande l’interdiction de cet engin.



L’Etat a seul le monopole légitime de la violence, donc pas définition les violences de GJ ou des casseurs doivent être condamnés.



En revanche, ce monopole n’autorise pas l’Etat à l’exercer n’importe comment.



&nbsp;La violence exercer par l’Etat se doit être légitime et proportionnée.



Légitime, l’usage du LBD lorsqu’il intervient dans le cadre du maintien de l’ordre à l’occasion d’une manif, il l’est nécessairement puisque prévu.

&nbsp;

En revanche proportionné, il l’est manifestement pas, on ne peut pas accepter l’usage d’une arme qui mutile gravement des gens, tandis qu’une mamie qui ouvrait ses fenêtres en est morte.

Le 01/02/2019 à 13h 29

Ca et probablement le risque de requalification en salarié, l’Espagne ayant déjà certainesdécisions en ce sens (et bien avant la notre).

Le 01/02/2019 à 09h 58







Commentaire_supprime a écrit :



J’ai vérifié le terme, dont j’ignorais l’existence (jamais entendu dans la bouche de l’un des magistrats avec qui j’ai travaillé jusqu’ici), et il est effectivement correct.



Toutefois, il est quand même indiqué comme étant vieilli d’emploi. Ce qui ne change rien à sa pertinence.





J’adore utiliser ces termes, j’en ai toute une ribambelle <img data-src=" />


Le 01/02/2019 à 09h 50







Commentaire_supprime a écrit :



<img data-src=" />



«assigner» devant un tribunal. La Justice n’est pas une vache à lait. <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Tu peux dire attraire devant ou en cause (2° § ) :

https://www.courdecassation.fr/jurisprudence_2/assemblee_pleniere_22/communiqu_eacute_418.html

<img data-src=" />


Le 31/01/2019 à 17h 13

La question de fond est très intéressante, et l’opacité voire l’arbitraire (faute d’arriver à l’attraire devant une Juridiction) de Google sur ses motifs de rupture ont été souvent évoqués.



Par contre je suis pas certain d’aimer plus les pratiques de Google que l’activité intrinsèque de “service de renseignement téléphonique, à tarification majorée” <img data-src=" />

Le 01/02/2019 à 09h 55







numerid a écrit :



Et je crois que personne ne peut raisonnablement croire que les dés ne sont pas faussés dès le départ compte tenu d’une part du style du “grand débat” avec des questions très orientées et sous forme de QCM et d’autre part de l’affirmation sans cesse répété du président qu’il ne changera pas de cap.





Si j’ai de sérieux doutes au regard de mes propres démarches pour tenter de contribuer au grand bidule, je tenterai le coup malgré tout.



Ce qui me permettra, si nos doutes sont confirmés, de dire que ce n’était que de l’enfumage.