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ragoutoutou

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3766 commentaires

Le 26/05/2016 à 09h 55

Donc en gros, sans ordre d’un juge, arbitrairement,  les gendarmes n’ayant pas constaté une infraction par les moyens classiques vont pouvoir éplucher les informations embarquées du véhicule jusqu’à ce qu’ils trouvent une infraction? Et si les systèmes embarqués ne suffisent pas, ils pourront fouiller tout système informatique lié de près ou de loin à l’informatique du véhicule?



Ça me semble être bien barré pour finir devant la CEDH si ce texte fasciste devait passer.

Le 18/05/2016 à 08h 18

Non, mais mettre à mal les droits du citoyen et la démocratie au nom de grandes manifestations de corruption et de blanchiment d’argent sportives, c’est devenu un standard international. Ici le gouvernement saute juste sur le moyen simple et la bonne excuse.

Le 17/05/2016 à 12h 50

Donc en gros, IBM brevette une méthode pour ne pas arriver à faire un truc… on peut dire qu’ils ont une sacrée expérience à valoriser dans le domaine.

Le 14/05/2016 à 08h 57

Mwais en gros une nième démonstration que lutter contre tout ce qui contrarie les entreprises est la priorité maximal de nos sociétés, loin devant le bien-être des individus, les droits de l’homme, la sécurité des personnes, …



Sérieusement, autant je pense que sous certaines conditions la contrefaçon est un problème nécessitant une bonne attention, autant la sacralisation du droit d’auteur et du droit des brevets sont normalement des choix de société, et ceux qui en bénéficient devraient être plus humble et respectueux face à cette société humaine qui leur consacre ce droit… mais à la place on voit les ayants droits se comporter comme si le droit d’auteur leur avait été donné par Dieu et que la société devrait se prosterner devant ce don divin.

Le 14/05/2016 à 08h 20







SebGF a écrit :



Un frisbee ou un ballon n’ont pas de caméra en général à ma connaissance.

Les mauvais usages des drones sont aussi liés à la vie privée : j’ai pas envie d’avoir un truc qui regarde chez moi par la fenêtre ou bien d’avoir ça qui survole mon terrain.



Tout comme on ne fait pas voler un ballon ou un frisbee au dessus d’une foule ou d’un lieu public.





Il y a deux aspects aux drones:

 




  • dangerosité de l’appareil lui-même (collision, perturbation de l’espace aérien, mise en danger)

  • impacte sur la vie privée quand le drone enregistre ou retransmet des images violant la vie privée des individus.



    Le premier point est certainement le plus sérieux car il y a trop d’utilisateurs de drones qui sont trop laxistes par rapport à la discipline que ce type d’appareil implique, et personnellement je m’inquiète bien plus du risque d’avoir mon fils de trois ans se prenant un drone dans la figure que d’avoir un drone filmant par la fenêtre.



    En revenant à la question de l’immatriculation, celle-ci aura surtout un intérêt dans le premier cas, pour retrouver le propriétaire du drone en cas d’accident. L’immatriculation découragera certainement les utilisateurs de drone les plus honnêtes de fuire leur responsabilité en cas d’accident car elle permettra de lier le drone retrouvé à son possesseur. Par contre l’immatriculation ne servira pas à grand chose face aux utilisateurs sauvages  n’ayant pas immatriculé leur drone ou ayant carrément une fausse immatriculation: ceux-ci opèreront de toutes façons à la sauvette et se rendront difficilement contrôlables.



    En ce qui concerne la vie privée, l’immatriculation sera de toutes façons très difficilement contrôlable à distance, à moins d’avoir sois-même du matériel de paparazzi pour photographier l’éventuelle plaque et que celle-ci se présente sous le bon angle.



    Maintenant, ou pourrait imaginer une immatriculation nécessitant la mise en place d’un transpondeur pour permettre un contrôle à distance, mais ça soulève pas mal de questions techniques pour être efficace.


Le 12/05/2016 à 14h 06

Sérieusement, si on commence à immatriculer les drones de la taille de celui de la photo (un hubsan x4), on peut aussi immatriculer les ballons, les frisbees et les balles de jokari dont le pouvoir destructeur est bien plus grand…

Le 12/05/2016 à 10h 14

Pourtant, ça a un sens à  l’ère du numérique et de l’analyse de contenu automatisée de représenter les formes contractuelles de manière systématique et interprétables par les machines.



Si robot.txt n’est pas la bonne solution, alors il faut un équivalent capable d’incorporer les notions de licence et rendre obligatoire son utilisation par les personnes exposant du contenu.



Si j’étais Google, je créerais ce nouveau standard en m’inspirant des Creative Commons, je le mettrais en avant et je signalerais aux utilisateurs des pays qui veulent jouer au con qu’à terme plus aucune image ne sera indexée si elle n’est pas accompagnée d’information de licence et que la licence signalée permette une indexation sans contrepartie financière.

Le 10/05/2016 à 11h 45

En fait, la VR marche surtout pour les jeux qui simulent un mec assis sur son cul dans un cockpit/derrière un volant. En FPS c’est beaucoup plus difficile à gérer en restant assis et ça tend à filer la gerbe. Quand aux surfaces de marche pour la VR, ça reste assez désagréable/peu précis et ça nuit assez à l’immersion (impression de pousser un caddie d’hypermarché avec le bassin)… et pour un prix pas donné.



Pour le moment la seule techno un peu audacieuse, c’est le la réalité virtuelle “room scale” du Vive, mais qui se limite à l’aire de jeu délimitée par les capteurs.

Le 09/05/2016 à 15h 28







Poppu78 a écrit :



Oups désolé je n’avais pas fait attention que c’était toi qui en avais parlé.

Pour la date ça ne me paraît pas incohérent : ça laisse le temps de voir si le marché vaut le coup ou pas, et de paufiner en observant les erreurs de SpaceX. Je pense que c’est aussi un appel du pied pour les subventions…





Je pense que c’est surtout le dernier point… mais ça me semble très risqué de ne pas se montrer plus volontaire…


Le 09/05/2016 à 14h 26







AlphaBeta a écrit :



Rappelons à ceux qui n’y connaissent pas grand chose, et vu les commentaires, ils sont nombreux que les technologies embarquées dans la Falcon sont très anciennes et plutôt considérées comme obsolètes !





Ce serait intéressant d’avoir une véritable analyse sur ce point (genre écrite par un vrai spécialiste), et de comparer aussi ça aux Ariane 5 et Soyouz … Avoir aussi une mise en perspective des coûts de “l’obsolète” face aux solutions supérieures d’un point de vue industrialisation/recyclage …



On pourrait en revenir à la blague “j’ai pas besoin de courir plus vite que l’ours, je dois juste courir plus vite que toi”



 


Le 09/05/2016 à 14h 14







seb2411 a écrit :



Yep c’est la partie cruciale. Récupérer les étages on savait que c’était possible, mais rendre tout ça fiable et rentable c’est une autre paire de manche. C’est de mon point de vue LA partie décisive a défaut d’être la partie impressionnante.





Remarque, ne pas être capable de ramener le premier étage du tout aurait été également décisif…





  • S’ils ne savent pas recycler de manière satisfaisante rapidement, ça reléguera le lanceur à un status de bon lanceur pas trop cher et ils pourront encore itérer sur la technologie ou la revoir complètement pour améliorer la récupérabilité.

     

  • S’ils savent recycler les étages de manière satisfaisante rapidement, ils seront en position pour casser les prix d’ici quelques années et mettre les concurrents dans  une situation intenable si ceux-ci n’ont pas une technologie pour survivre à la baisse des coûts.



    De toutes façons ce ne sera pas un tout ou rien vu l’approche… si par exemple ils ne doivent replacer 3 des 9 moteurs à chaque retour (les trois moteurs utilisés pour freiner), ça représente combien de millions d’économisés?



    En tout cas, face à SpaceX, ne pas avoir de projet concret avec des dates concrètes et une priorité élevée sur ce genre de technologie pourrait bien s’avérer suicidaire.


Le 09/05/2016 à 13h 28







trashcan75 a écrit :



Quand on voit que les essaies d’atterrissage ont débuté en 2012 on peut s’imaginer que le développement du système a dû commencer bien des années plus tôt, trois, quatre ou même cinq ans avant. Ca m’étonnerait quand même qu’ils aient passé autant de temps et d’énergie si ils n’étaient pas certain que ce ne soit pas rentable.





En tout cas, maintenant qu’ils ont un échantillon “retour pépère” et un “retour extrême”, ils vont pouvoir analyser l’usure dans les deux cas et commencer à définir concrètement leur marge de manœuvre commerciale pour le recyclage.


Le 09/05/2016 à 12h 09







seb2411 a écrit :



Du coup le nombre de lancement non plus.





ça dépend si la fusée revient après ou pas <img data-src=" />


Le 09/05/2016 à 12h 00







seb2411 a écrit :



12 Lancements prévus cette année pour Arianespace est une grosse partie sont des lancements double, c’est a dire qu’A5 lance 2 satellites d’un seul coup.





Sur l’agenda, je vois quelques un de ces lancements via Soyouz …&nbsp; pour Galileo…



Sinon, je vois aussi quelques lancements doubles pour la F9 (deux en juin par exemple)… et en novembre, 10 satellites en un lancement pour l’opérateur télécom “Iridium NEXT” (comme quoi le nombre de satellites, ça dit pas grand chose)…



&nbsp;


Le 09/05/2016 à 11h 45







Kikilancelot a écrit :



&nbsp;Alors que si on avait une vrai volonté européenne pour Arianespace, on pourrais largement faire mieux que SpaceX…





Suffit de regarder l’Airbus A400M pour se rendre compte que la ‘vrai volonté européenne’ c’est pas demain la veille…



Reste que si l’Europe veut faire barrage à SpaceX, elle n’a qu’à exiger que cette entreprise soit cotée en bourse: deux mois après l’entreprise deviendra stagnante sous la pression des actionnaires…

&nbsp;


Le 09/05/2016 à 10h 36







KP2 a écrit :



Mouais, ca reste à voir… à ma connaissance, ils ne jouent pas sur le meme tableau… encore…





Tout dépend de ce qu’on appelle même tableau…

&nbsp;

SpaceX, c’est plus de 4000 personnes, Arianespace c’est 330 …

&nbsp;

Cette année, si tout se passe bien, SpaceX aura effectué 14 lancements en technologie propre… contre 8? pour Arianespace…



… et beaucoup plus d’étages de Falcon 9 que d’étages d’Ariane 5 reviendront se poser après avoir accomplis leurs missions.

&nbsp;


Le 09/05/2016 à 10h 07







Poppu78 a écrit :



http://www.air-cosmos.com/airbus-devoile-ses-concepts-pour-des-lanceurs-semi-reutilisables-36555

Rassuré ?

Et tu noteras que ce n’est pas juste du powerpoint, ça a influencé certains choix techniques d’Ariane 6…





J’ai parlé du système Adeline un peu plus tôt… il faut toutefois noter qu’il ne faut rien attendre de cette initiative avant 2025-2030… si ça ne rejoint pas l’avion spatial Hermès dans la catégorie “on a fait de beaux modèles réduits pour le Bourget et on a pas été plus loin”


Le 09/05/2016 à 09h 32







Commentaire_supprime a écrit :



Je pense qu’Arianespace a tout à gagner à attendre de voir ce que ça va donner Space X avant de faire pareil en mieux, ou pas, en économisant des frais de mise au point. Pour l’instant, leur étage récupérable, c’est un prototype, et en série, on ne sait pas ce que ça donne.





Attendre pour la phase commerciale, pourquoi pas, mais il serait fou de ne pas travailler aujourd’hui sur un prototype… car si SpaceX réeussi son pari et casse les prix dans les 5 ans, Ariane Espace sera dans une situation impossible si elle n’a pas au moins une solution en phase test.


Le 09/05/2016 à 09h 24







carbier a écrit :



Si SpaceX réussit, tant mieux pour eux il auront eu raison.

Si SpaceX échoue, c’est ArianeEspace qui aura eu raison.





Je pense pas que la question soit d’avoir tort ou raison de manière totalement blanche ou noire… la réussite peut se présenter avec des niveaux différents.



Ce qui est par contre intéressant, c’est de voir d’autres idées germer autour de la ré utilisabilité, comme le système Adeline d’Airbus… ce qui est par contre dommage, c’est que ce n’est pas près d’être fiancé.

&nbsp;


Le 09/05/2016 à 09h 09







AlphaBeta a écrit :



Faut juste comparer les moyens

Etats unis : financement public massif, planche à billet, préférence nationale, achat des talents internationaux&nbsp;et impérialisme économique

France : financement public moribond, planche à billet interdite, pas de préférence nationale voire européenne,&nbsp;abandon des talents, laxisme (trahison/corruption ?)&nbsp;de nos politiques





La Nasa au niveau financement public, c’est plus trop ça… c’est un organisme qui a de moins en moins les moyens de ses ambitions et qui se fait démonter de plus en plus par les apôtres du néolibéralisme qui ne peuvent soutenir la vue d’une entreprise publique.



Sinon, question trahison, faudrait voir tous ces états membres qui tolèrent et soutiennent la collecte massive de données par la NSA… il y a pas mal d’informations relevant plus ou moins du secret commercial d’entreprises ou d’inventeurs européens qui sont collectées ou déduites par la NSA, et qui s’en sert ensuite pour soutenir les entreprises US (sa mission n°1 depuis la chute du rideau de fer)


Le 09/05/2016 à 08h 52







tazvld a écrit :



Il ne faut cependant pas oublier qu’il y a encore pas mal de différence entre les 2 lanceurs :

SpaceX : petite charge, orbite basse

Ariane : Charge importante, orbite moyenne et haute





Euh… non…&nbsp; faudrait un peu se mettre à jour sur le sujet, le dernier lancement était en orbite haute, et la version “Full Thrust” de la Falcon 9 a des caractéristiques très comparables à celles de la fusée Ariane 5 question charge utile…


Le 09/05/2016 à 08h 41







KP2 a écrit :



Pour une société aussi jeune qui a démarré from scratch, ca reste quand même très acceptable…





Petit article (en Anglais) sur le fait que l’échec fait partie du processus chez SpaceX…



&nbsparstechnica.com Ars Technica



Sérieusement, si SpaceX arrive à reconditionner et réutiliser les premiers étages à prix réduit, ça va faire mal aux entreprises aérospatiales de bon papa…


Le 25/04/2016 à 11h 24

Et pourquoi on ne ferait pas payer ceux qui font la représentation publique de l’œuvre, à savoir ses commanditaires?



Chaque centime exigé par les ayants droits pour photo publiée sur le net serait directement prélevé chez le propriétaire du bâtiment… un peu une approche “pollueur-payeur”…



&nbsp;

Le 25/04/2016 à 09h 34







recoding a écrit :



On pourrait alors décider tout simplement d’une loi qui interdirait la construction d’œuvres protégées dans les lieux publics <img data-src=" />







Exactement… il est temps d’empêcher le vol d’espace public.


Le 22/04/2016 à 11h 33







mezcalbert a écrit :



Je prends ce qui fonctionne le mieux, sans m’imposer de contrainte idéologique.





&nbsp;Je comprend… de mon côté, je prend ce qui me suffit (et sur certains points je peux être très exigeant), et généralement les solutions libres me suffisent.&nbsp;



&nbsp;Maintenant, il y a une question idéologique dans le logiciel libre, c’est certain, mais je pense qu’elle peut être abordée sous divers angles et j’ai déjà rencontré un libriste qui considérait l’emploi de logiciel libre plus comme une hygiène de vie que comme un combat militant: “J’utilise les logiciels libres comme je me brosse les dents… parfois j’oublie et je sais que ça augmente mon risque d’avoir des problèmes, donc j’essaye de faire attention”



Reste que pour ceux qui n’aiment pas les idéologies et qui n’aiment pas le discours sur les libertés, il reste le mouvement OpenSource qui utilise des moyens similaires sans objectif particulier par rapport à l’utilisateur.


Le 22/04/2016 à 09h 57







boogieplayer a écrit :



Voilà pourquoi UBUNTU et plus largement Linux, ne sera jamais utilisé par monsieur tout le monde et que W$ a de beaux jours devant lui, pour le PC j’entend. Un mot sur deux de ce que tu viens de dire est incompréhensible pour un non technicien, expert, fan boy





Un mot sur deux de la grande majorité des commentaires sur PCI sont incompréhensibles pour 95% de la population mondiale… c’est pas purement Linux, c’est une question d’ambiance…


Le 22/04/2016 à 09h 54







mezcalbert a écrit :



Je ne suis pas un geek et je suis un utilisateur pragmatique. Donc, non, le libre n’est pas ma priorité. <img data-src=" />





C’est marrant de faire cette opposition entre liberté et pragmatisme… à très court terme ça peut sembler payer, mais sur le moyen/long terme, ça fini par avoir un coût parfois élevé…



Bon, maintenant, il est clair que si on veut vraiment atteindre le niveau de liberté préconisé par RMS il y a pas mal de sacrifices à faire dans son confort d’utilisation et qu’on tendra plutôt à essayer de trouver un équilibre entre les contraintes (en fait, comme l’industrie en général s’éloigne de plus en plus des principes du libre, il n’est même plus possible d’avoir un système x86 récent dépourvu de software propriétaire et de backdoorshttp://mail.fsfeurope.org/pipermail/discussion/2016-April/010912.html )


Le 20/04/2016 à 16h 58

Moi je suis pas opposé au fait que Google se fasse poursuivre pour position dominante, mais quand je regarde la façon dont la position dominante de Microsoft a été traitée…

Le 19/04/2016 à 09h 48

Sérieusement, on va encore se faire entuber…



L’authentication USB est juste un moyen pour les contructeurs de nous faire payer plus cher l’absence de suivi correcte dans la mise à jour du soft des contrôleurs usb, via un système de confiance géré par certaines entreprises et échappant complètement au contrôle du consommateur.



&nbsp;Bref, de la sécurité par le “circulez y a rien à voir mais laissez votre carte de crédit en sortant…”

Le 16/04/2016 à 08h 04







Mithrill a écrit :



Tu pense que si le casque détecte de plus en plus de tremblements de mon corps Facebook va transmettre à mes assurances que j’ai peut-être Parkinson et qu’ils devraient me facturer plus cher ? (je ne blague pas c’est une possibilité dont je suis consciente).



Je vois donc d’éventuels soucis d’assurances mais sinon, qu’entend tu exactement par menace à court terme pour l’exercice des libertés individuelles ?





La menace pour les libertés individuelle, c’est cette tradition qui continue à se perpétuer de sacrifier volontairement sa vie privée à chaque nouveau service auquel on accède, et ce toujours bien au delà du minimum nécessaire au fonctionnement du service.



Je ne pense pas que l’Oculus Rift puisse à l’heure actuelle mettre en danger les individus par rapport à leur assurance, mais il crée déjà le précédent qui justifiera le produit qui viendrait à le faire.



Il y a 20 ans, tout cet espionnage de masse était perçu comme inacceptable. Maintenant, à chaque fois que quelqu’un s’en plaint, on se fait répondre que c’est une pratique standard et que protéger sa vie privée est presque illégitime dans le monde moderne.



L’Oculus Rift sert de tête de pont à Facebook et les autres pour créer aujourd’hui la légitimité des abus de demain, pour mettre à mal un peu plus chaque jour le respect de la vie privée, pour trainer un peu plus les individus dans le gouffre de l’abandon volontaire des droits et libertés.

&nbsp;


Le 15/04/2016 à 14h 05







Mithrill a écrit :



Là on est tout de même sur un produit axé jeu, détente… (pour Google ce que je critique est prouvé) j’étais pour avant le rachat par Facebook, mais maintenant ils ont des finances en plus… si c’est utilisé à mauvais escient je serai la première à m’offusquer… mais si je peux l’utiliser pour le jeu sans me prendre la tête alors je soutiens toujours ce projet.



Évidemment qu’il y a des risques, existent-il déjà ?





Si c’est utilisé à mauvais escient? Le meilleur moyen de ne pas avoir ses données personnelles utilisées à mauvais escient est de ne pas les donner en premier lieu…&nbsp; Cette culture de l’espionnage et de l’abolissement de la vie privée sous prétexte de ‘se détendre’ est une menace à court terme pour l’exercice des libertés individuelles.


Le 14/04/2016 à 21h 56

S’il faut en arriver là pour que ca t’inquiète, je pense que le jour où on y sera tu auras trouvé une nouvelle liste plus extrêmes pour justifier ton insouciance…

Le 14/04/2016 à 10h 48

Perso, je souhaite juste à un maximum de gens de ne pas acheter un Oculus Rift…&nbsp; ce produit est toxique pour la vie privée.

Le 13/04/2016 à 12h 15

la ligne de commande peut être nécessaire pour faire une élévation de privilèges, mais à part ça, tu peux bosser via un éditeur texte graphique normal.



Personnellement, j’utilise vi par facilité pour les tâches simples ou complexes mais répétitives, par contre pour des fichiers très structurés et visuels, je passe souvent par la case gedit.

Le 12/04/2016 à 15h 56







maestro321 a écrit :



Et le comportement des interfaces sont les même que sous Linux (à quelques exceptions).

Quelqu’un sous linux pourrait donc suivre sans trop de soucis un tuto windows, mais un utilisateur windows aura bien du mal à suivre un tuto linux qui lui demande de saisir une commande (même un simple copier collé).



&nbsp;

Sérieusement?



Si faire un copier-coller de texte est une chose insurmontable,&nbsp; je pense que le problème est plutôt d’ordre médical…&nbsp; copier-coller n’est pas une opération nécessitant un haut niveau de compétence et peut se faire avec une souris.



Enfin, pour la majorité des usages (bureautique/web/messagerie/…) sous GNU/Linux avec une interface graphique correcte, la ligne de commande n’est pas plus nécessaire qu’il n’est nécessaire d’ouvrir l’éditeur de base de registre sous windows.

&nbsp;

Par contre, ceux qui le souhaitent peuvent pousser plus loin et réellement investir dans le shell.


Le 12/04/2016 à 11h 37







Okki a écrit :



C’est tout de même marrant cette aversion pour la ligne de commande, sachant qu’un bête copier coller sera toujours infiniment plus simple et rapide que de suivre un tuto pouvant rapidement contenir des dizaines de captures d’écran, indiquant qu’il faut cliquer là, puis ensuite là, et encore là…





Moi je dirais que c’est carrément terrifiant… ok la ligne de commande c’est parfois un peu compliqué, mais ça permet d’avoir une approche beaucoup plus structurée et consciente qu’un tour de clickodrome.



Dialoguer avec l’ordinateur au moyen d’un vocabulaire, d’une grammaire et de concepts reste de loin préférable, surtout pour les tâches complexes ou à risque.



Maintenant, pour les tâches de base non structurées cliquer est généralement plus adapté, surtout quand l’objet de travail est plutôt visuel, mais ramener l’humain à un plan purement gestuel et non-verbal en prônant le pur gui, c’est très réducteur.


Le 12/04/2016 à 11h 27







statoon54 a écrit :



Malheureux, certainement pas c’est pas un bon exemple . Pour installer correctement un .deb il faut surtout avoir les dépendances installées et ça c’est pas forcément toujours le cas . De plus les dépendances évoluent tellement que 6 mois après le même paquet ne fonctionnera plus . Essaye d’installer virt-manager à partir du dépôt git sur une Mint par exemple , tu vas t’arracher les cheveux.&nbsp;&nbsp;&nbsp;



&nbsp;

Euh, installer virt-manager depuis le git n’est absolument pas une utilisation normale d’une distribution, on rentre dans le domaine&nbsp; de l’expérimental mains dans le cambouis jusqu’au coude et il est relativement normal d’avoir des problèmes si on a pas un environnement de dev cohérent autour de cette manœuvre.



Une distribution de qualité invite l’utilisateur à rester dans les clous et à avancer quand elle avance.


Le 11/04/2016 à 17h 56

Sinon, c’est quand-meme terrible de fairte des articles qui cultivent l’ambiguité linux = os…&nbsp; pas un mot au sujet du projet GNU à la base de l’OS, et tout ramener au noyau comme si c’était tout ce qui composait l’écosystème ne dénote pas d’une analyse ou d’une compréhension du sujet très avancée…

Le 11/04/2016 à 17h 45







TotoRhino a écrit :



Bon, je vais tailler dans le gras !



Perso, j’ai connu le DOS et ai vu émerger les systèmes avec interface graphique.

Alors quand Linux demande de passer par une invite de commande, ben fait chr.





&nbsp; La différence&nbsp; entre la ligne de commande et l’interface graphique est la même qu’entre la personne qui demande un croissant à la boulangerie et celle qui montre le croissant du doigt à la boulangère sans dire un mot…

&nbsp;

L’interface graphique est très intéressante pour réaliser des tâches visuelles, mais ne permet généralement pas de structurer des concepts en séquence. Les études menées sur l’éducation du personnel en bureautique tendent d’ailleurs à montrer un net avantage pour ceux qui maîtrisaient la ligne de commande plutôt que ceux qui ne maîtrisent que le gui (compréhension plus claire des concepts de répertoires, fichiers, de la structure du disque…)

&nbsp;

J’ai fait du dos pendant longtemps, et dans le genre hardcore, edlin pulvérise tout ce qu’on a pu voir sous linux. vi et emacs sont des modèles d’ergonomie en comparaison.


Le 09/04/2016 à 11h 36

Le problème n’est pas la rapidité, mais plutôt le “manifestement illicite”



Demander à un intermédiaire d’apprécier la léicité d’un contenu pour choisir de le retirer ou non, avec sanction s’il se trompe dans le sens qui ne fait pas plaisir aux sangsues de l’industrie culturelle, ça ne mène qu’à des censures abusives sans base légale et en dehors de tout débat contradictoire.

Le 08/04/2016 à 12h 41

… alternative: bâcher les immeubles récents





“mais oui monsieur l’agent, je voulais prendre une photo sans violer le droit d’auteur”

Le 08/04/2016 à 12h 37

La solution serait de pouvoir poursuivre les architectes pour appropriation illicite de panorama:



Tu me cherches des poux parceque ton immeuble de merde apparaît dans le paysage que j’ai pris en photo sans en être le sujet, je te colle un procès pour avoir volé les 40 hectares de paysage autour de ton immeuble.



Combattre la connerie par l’absurde…

Le 07/04/2016 à 09h 19







sr17 a écrit :



Non, il a raison.



“Open Source” est un terme vague qui ne signifie rien de plus que le fait de pouvoir lire le code source. Cela peut désigner aussi bien un logiciel libre qu’un logiciel propriétaire.



Le terme “Open Source” n’implique absolument pas qu’un logiciel soit libre ni qu’on ait le droit de l’utiliser, de le modifier et le redistribuer.





Disons que tous les logiciels libres sont open source alors que tous les logiciels open source ne sont pas libres.



Open Source est même qualifié par Richard Stallman comme étant une forme de contre-mouvement face au Logiciel Libre pour retirer le discours prônant les libertés pour les utilisateurs.



En pratique, les grandes éditeurs de logiciels aiment bien parler d’Open Source car elles fournissent aussi des logiciels non-libres, et préfèrent donc pousser en avant un mouvement dépourvu d’idéologie pouvant entrer en conflit avec leurs intérêts.



Personnellement, je pense en tout cas qu’on parle de nos jours beaucoup trop d’Open Source et pas assez de libertés.


Le 07/04/2016 à 08h 50

“Les sénateurs de la commission des lois n’ont en revanche pas supprimé

les dispositions faisant expressément entrer les «&nbsp;codes sources&nbsp;» dans

la liste des documents administratifs communicables au citoyen sur

demande, au titre de la loi dite CADA”



Il me semble que l’amendement est adopté:http://www.senat.fr/amendements/commissions/2015-2016/325/Amdt_COM-208.html



&nbsp;me trompes-je?

Le 04/04/2016 à 11h 36







heret a écrit :



C’est certainement d’ailleurs la base FreeBSD qui permet à OSX d’être certifié Unix, ce qui, à ma connaissance, n’est le cas d’aucune distribution Linux.





Vu que FreeBSD n’est pas certifié, je pense que c’est surtout le chéquier d’Apple (l’open group est surtout une pompe à fric) et son travail de mise en conformité qui permet cette certification.

&nbsp;

Les systèmes GNU/Linux tendent plutôt à suivre la norme “Linux Standard Base”, même si celle-ci est occupée à perdre également de l’intérêt.


Le 31/03/2016 à 11h 14







Jungledede a écrit :



troll, oui et non, tant que la&nbsp; voix devra être envoyer sur des serveurs externe, ça sera pas viable. Car là la cible, c’est des personnes au courants de l’info et un peut bidouilleur dans l’ame, donc on sais tous ce que représentent d’envoyer la voix sur amazon.



(et non je n’uitilise pas d’assistant alamode alakon des téléphones pour les trolls voulant répondre)





Effectivement, avoir une solution autonome n’utilisant pas de serveurs tiers pour ce type d’opération me semble être le minimum syndical pour un service pérenne et respectant la vie privé.



Une solution libre avec un raspberry Pi dans chaque pièce et serveur avec un intel correct dans la cave pour faire le gros du traitement me semble plus intéressant.


Le 24/03/2016 à 07h 13

Avec le temps, j’ai souvent découvert que des intervenants que je prenais pour des trolls étaient sincères, donc je préfère en cas de doutes, considérer qu’ils prennent réellement part au débat.

Le 23/03/2016 à 22h 40







picatrix a écrit :



A la lecture de vos commentaires j’en déduis :




  • les machines à voter ne sont pas fiables car on peut tricher.

  • On peut tricher aussi avec les votes papier.





    Tu oublies les arguments:



  • le vote papier est contrôlable par le citoyen lambda (par exemple examiner l’urne ou observer le processus de comptage)

  • le vote informatique n’est pas contrôlable par le citoyen lambda qui se contente de l’illusion de contrôle d’un rituel ne reposant pas sur un examen complet du système.

  • le vote informatique, lorsque le code source n’est pas disponible au citoyen, inféode complètement le processus démocratique au fournisseur de la solution de vote.


Le 23/03/2016 à 17h 09







skerdreux a écrit :



du coup pour vérifier si il y a falsification c’est aussi plus simple (car on a un modèle donc on vérifie le modèle ou une série d’une centaine de machines au hasard) et on peut vérifier que les résultats sont correctes.&nbsp;





Vérifier la conformité des machines par rapport à un modèle est peut-être simple (si le matériel le permet), mais il faut encore que la falsification ne soit pas présente dans le modèle servant de référence…



Et puis, une attaque peut se utiliser une subtile faille de sécurité indétectable pour le commun des développeurs.


Le 23/03/2016 à 16h 21







skerdreux a écrit :



perso je suis pour ces machines.

Elles ne sont pas parfaites mais c’est pareil que les urnes papiers.

Alors on dit que oui on peut revérifier les voies dans une urne classique. oui enfin à condition de détecter un problème et à mon avis ce n’est pas souvent le cas.&nbsp;

Je pense qu’il est plus simple et rapide de trafiquer des voies d’un système classique que celle d’une machine.&nbsp;





Pour falsifier un vote classique, il faut que tous les membres du bureau de vote ou tous les membres de l’équipe de dépouillement soient de mèche. Pour falsifier un vote à l’échelle d’une nation, il faut que tous les membres des bureaux de vote de toute la nation s’y mettent.



Pour falsifier un vote électronique, il faut certes plus de connaissances techniques, mais le risque de se faire chopper est beaucoup plus faible et cela peut être exécuté à l’échelle nationale sans avoir des milliers de personnes à corrompre.