kzwix
est avec nous depuis le 9 janvier 2008 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
141 commentaires
Hyperloop lève 80 millions de dollars avec la SNCF et réussit son premier test
Le 12/05/2016Le 13/05/2016 à 08h 32
Même moteur éteint ? De ce que j’ai constaté, les planeurs (qui sont des avions) ne faisaient aucun bruit… Donc, en soi, le “vol” ne semble pas produire particulièrement du bruit.
Est-ce que tu ferais référence à la vitesse des avions de ligne ? Celle-ci étant sub-sonique, je ne pense pas qu’elle cause des perturbations particulières.
Ou sinon, est-ce parce que les moteurs “tournent” toujours en partie, même éteints (à cause de l’air qui entre dedans, et activerait leurs pales quand même), et produisent du bruit sur les avions à réaction ?
Ou autre chose ?
Le 13/05/2016 à 08h 21
Quelle sensation de vitesse ? Tu n’as pas de hublots prévus pour regarder le paysage, c’est du tube en métal plein, et des capsules sans fenêtres non plus. Après, tu peux avoir une caméra sur la capsule, mais si c’est pour voir du noir ou des diodes mises dans le tunnel…
Donc, tu ressentiras l’accélération (dans les deux sens), mais c’est à peu près tout.
Le Sénat maintient la liberté de panorama sous les barreaux
Le 28/04/2016Le 29/04/2016 à 15h 00
Maître Eolas a des billets très intéressants quand il parle de sujets juridiques. Il est dans son métier, et il le fait plutôt pas mal.
Maintenant, là, non, c’est de la politique, et il se “plante” en donnant cette explication. Ou plutôt, il occulte la moitié des raisons, au bas mot. Le vote blanc n’est pas pris en compte parce que, si ça entrait dans les suffrages exprimés, et que ça obligeait à refaire des élections jusqu’à avoir trouvé des candidats acceptables, ça aurait les conséquences suivantes:
En fait, le système de vote actuel n’est pas si mauvais. Pour la présidentielle, il est même totalement adapté au but recherché (à savoir, faire élire un des candidats qui ont reçu le plus de suffrages sur leur nom au premier tour). Ce qui est mauvais, c’est que le peuple n’ait aucun contrôle sur le candidat, une fois celui-ci élu. Comme quand il promet un truc, et fait exactement le contraire une fois au pouvoir, par exemple…
Pour les législatives, par contre, le scrutin majoritaire, tel qu’il est fait actuellement “pour représenter les différents territoires” est surtout une excuse pour favoriser les gros partis. Surtout avec les redécoupages de la carte électorale. En gros, c’est comme ça que des partis qui ne représentent que, quoi, 25 à 30% des électeurs (et encore) obtiennent plus de 50% des sièges.
La technique est très simple: Prendre une zone qui vote “comme il faut” (comprendre : pour notre candidat). Par exemple, Neuilly, pour les Républicains. C’est riche, ça vote beaucoup à droite.
Supposons que cette zone vote à 80% pour LR, et que le reste aille vers les autres tendances. Il suffit d’associer à cette charmante bourgade une zone moins favorisée (supposons que cette zone ait une fâcheuse tendance à voter “communiste” à 60%), en prenant juste ce qu’il faut de la première, et en “diluant” autant que nécessaire les voix de la seconde zone dedans. Le but étant, évidemment, d’obtenir des circonscriptions dans lesquelles ton candidat obtiendra, à priori, un score entre 55 et 60% (pour être à peu près assuré qu’il soit élu), et de regrouper la plupart des soutiens d’en face dans les mêmes circonscriptions, là où tu leur concéderas généreusement UN représentant, à 90% des voix, ou quelque chose de ce style.
De cette manière, on peut gouverner “tranquille”, en ayant une opposition en nombre à peine symbolique, à l’assemblée, et on est donc assuré (si les députés alliés pensent à se rendre en séance, évidemment) de faire ce qu’on veut, sans réel débat (vu que se contenter de laisser parler l’opposition, sans chercher à comprendre ses positions, ou à démonter ses arguments sur le fond, puis de voter CONTRE ses amendements, c’est pas tout à fait du débat).
Idem sur les cantonales (départementales, maintenant), où tu as une charmante “prime majoritaire”, pour que celui qui a obtenu une majorité RELATIVE (par exemple, 34%, et les autres partis 33% chacun) soit assuré d’avoir une majorité ABSOLUE de représentants dans l’assemblée en question. Parce que, dans une république “démocratique” comme la France, le débat, c’est très surfait.
Bref, non, le vote blanc, ils le prennent pas en compte, parce que si ça permettait d’invalider le système actuel, extrèmement confortable pour les élus professionnels, ça ne leur plairait vraiment pas. C’est la raison principale, bien avant les autres problèmes soulevés (parce que, sinon, ce serait facile de changer le mode de scrutin, pour s’assurer que ça ne puisse pas durer éternellement).
Democracy 3 s’invite en Afrique avec un nouveau standalone
Le 16/04/2016Le 18/04/2016 à 08h 26
Bah, c’est pas “Nawak”, tu mécontentes fortement certains groupes, si ils n’ont pas encore disparu, ça peut déboucher sur des attentats.
Le jeu te prévient bien en amont, hein, tu vois la formation des groupes de pression, puis des groupuscules extrémistes, puis éventuellement des tentatives contre toi (si tu as du bol, et que tu y passes pas au premier coup)…
Faut pas oublier que les politiques choisies ont un effet sur l’opinion de tel ou tel groupe envers toi, mais aussi sur le nombre de personnes appartenant au groupe. Par exemple, si tu vires les subventions à l’éducation religieuse, tu fais des mécontents chez les croyants, ET tu réduis le nombre de croyants. Même chose avec le créationnisme, etc…
Bref, le but, si certains groupes te gênent beaucoup, c’est de tenter autant que possible de les réduire. Parce que si ils sont nombreux et que tu fais une politique oposée à leur voeux, ben… ça n’aide pas tes chances de réélection (que ce soit avec ou sans attentat, d’ailleurs).
L’avocat général de la CJUE estime qu’un lien vers un contenu illégal n’est pas illégal
Le 07/04/2016Le 12/04/2016 à 07h 54
Comment peux-tu être sûr que l’oeuvre est publiée illégalement ? Tu as accès aux contrats (ou à l’absence de contrats) entre le diffuseur (qui peut s’appeler SuperPirate.com, comme il peut s’appeler TorrentsLegaux.fr - et si ça se trouve, derrière les deux, tu as le même site, la même base de données, avec deux habillages distincts).
De même, tu peux publier un lien vers “FilmsDeVacances.com”, qui ne publie à ce moment-là QUE des films de vacances, parfaitement légaux. Et là, PAF, le mec met un film sans autorisation (un film de vacances, mais de Marie-Françoise Marais, qui n’a pas explicitement autorisé la diffusion). Contrefaçon, horrible !
Tu comprendras peut-être qu’il puisse être dangereux, si on sanctionne ceux qui ne font que lier de manière secondaire vers de tels sites, de mettre le moindre lien hypertexte. Après tout, qui me dit, si je redirige les gens vers Google, ou vers Legifrance, qu’il n’y aura pas d’oeuvres protégées sur ces sites ? Ou de LIENS VERS des liens (vers des liens, au besoin, etc.) vers des oeuvres protégées ? A quel moment s’arrête la responsabilité ? 5 liens plus loin ? 10 liens plus loin ? Jamais ? (après tout, tu lies vers un site qui lie vers un site qui lie vers un site, et 25 sauts plus loin, on tombe sur la vidée de Marie-Françoise Marais en train de patauger dans l’écume… C’est inacceptable, non ?)
Bref, sanctionner ceux qui ne sont pas responsable du site qui met VRAIMENT à disposition l’oeuvre sans autorisation, c’est une aberration juridique. Si on le fait, l’ensemble d’Internet est coupable, peu ou prou.
[MàJ] L’interdiction des machines à voter (à nouveau) rejetée à l’Assemblée
Le 25/03/2016Le 24/03/2016 à 09h 56
Doublon
Le 24/03/2016 à 09h 53
Loupton, le vrai problème, c’est la possibilité de vérification.
Vote classique, n’importe qui peut, normalement, s’assurer que les bulletins disent bien ce qu’ils étaient censés dire, que le décompte correspond bien à ce qui a été dépouillé, etc. Donc, oui, on peut tricher, mais c’est pas évident (faut quand même échanger les bulletins des enveloppes avec ceux des chaussettes, ou avoir une encre qui s’efface et une autre qui s’affiche à la place, etc…)
Bref, un citoyen “lambda”, sans autre qualification que savoir lire, écrire, et compter, et observer, peut s’assurer de la sincérité du scrutin.
Avec une machine à voter, tu peux avoir énormément de choses qui se passent une fois le vote enregistré. Il y a eu un exemple, comme ça, de machine ayant enregistré 2048 votes de plus (ou je sais plus quelle puissance de 2) que le nombre de votants, le tout, en faveur d’un des choix. Alors, oui, ça s’est vu, évidemment. L’enquête a conclu à un rayonnement cosmique qui aurait changé un bit de 0 à 1, dans la machine. Imagine que, manque de bol, un second rayon ait changé, lui, le bit équivalent, de 1 à 0, pour un autre choix… Ben, pas de bol, on aurait jamais su que ça s’était produit, et y’aurait tout de même eu une sacrée différence au final (parce que, sur un bureau de vote, ça fait déjà beaucoup).
Ca, c’était pour le côté “tout le monde est gentil, mais ça peut rater quand même”. Maintenant, imagine qu’un gars programme un truc qui lui permet de faire tricher la machine, vers tel ou tel résultat… Un “cheat code” basé sur les boutons de vote, qui te permet de dire à la machine que tu veux modifier les résultats de telle ou telle façon. Ou afficher les résultats actuels. Ou afficher les votes, dans l’ordre…
NON, ça ne peut pas nécessairement être détecté (tu peux avoir des codes qui s’effacent automatiquement, moyennant certaines conditions - par exemple, tu détectes que la machine s’ouvre, vite, tu effaces toute trace de ton méfait, sauf la bidouille des résultats, évidemment).
NON, un citoyen “lambda” n’a absolument AUCUN moyen de vérifier. Je suis ingénieur, je développe des logiciels, c’est mon métier. Je comprends l’assembleur, le langage machine, pour peu que j’aie la documentation et les valeurs binaires devant les yeux. Et pourtant, j’estime n’avoir, moi non plus, aucun moyen de vérifier ce qui est réellement dans la machine.
NON, l’analyse du code à l’avance NE PEUT PAS garantir qu’il n’y aura pas de fraude. Il existe des compilateurs qui ajoutent du code de virus à la compilation (le proof of concept a été fait, je sais plus par qui), et qui, quand ils détectent qu’on compile un compilateur, y ajoutent le code capable de refaire la manip’. Donc on a des jolies sources, propres, saines, mais des binaires qui, eux, sont infectés.
Et même si le soft est correct, rien ne prouve que le hardware n’a pas été trifouillé pour avoir des backdoor. Une puce qui fait certaines manipulations dans certaines conditions, même si ça n’apparaît pas dans le code “général”. Un bout de circuit, innocent en apparence, mais dont la longueur de fil fait qu’il agit comme “antenne” et réagit particulièrement bien à certaines longueurs d’onde. Une réaction à… ce que tu peux imaginer, en fait, si c’est faisable techniquement, et dur à détecter.
Tu vas aller vérifier les circuits intégrés un par un, pour vérifier qu’ils font ce qu’ils sont censés faire ? Et, même comme ça, sauf à les vérifier réellement au niveau atomique, comment peux-tu garantir qu’ils n’ont pas une fonctionnalité cachée ? Du style, si les mille dernières entrées sur les broches 0, 1, et 17, sont des 1, que les 400 dernières sur les broches 2 et 27 sont des 0, et les 600 précédentes une alternance de 0 et de 1, alors les broches 9, 12, et 13 déterminent l’opération à effectuer…
Non, désolé, il n’y a pas de moyen fiable ET simple de vérifier l’exactitude, sur une machine à voter dont les votes sont cachés. Et, là, je parlais pour un expert. Pour un citoyen “lambda”, c’est encore pire.
Donc je ne dis pas qu’une machine à voter, c’est la garantie d’un vote truqué. Je suis même persuadé que, dans la plupart des cas, ça sera parfaitement honnête. Mais, manque de bol, les fois où quelqu’un de vraiment puissant souhaitera trafiquer un vote, ça pourra être fait, très discrètement, et personne n’y verra rien. Et ça, à mon sens, c’est le véritable danger des machines à voter.
Après, évidemment, si on décide que les votes doivent être publics, là, par contre, il est très simple de faire des machines fiables, et dont le résultat est VERIFIABLE par tout le monde (puisque chacun pourra vérifier que, à côté de son nom, est bien comptabilisé le vote souhaité, et que les totaux sont exacts, etc.).
Donc, sur votes publics, ça ne pose aucun problème, au contraire, c’est même souhaitable.
Mais si on veut garder des votes anonymes, les machines à voter, c’est une très, TRES mauvaise idée.
À son tour, Audrey Azoulay veut étendre la redevance TV aux PC, smartphones et tablettes
Le 16/03/2016Le 17/03/2016 à 13h 06
N’aurait-on pas dû écrire: “[…] son bâton de Pellerin […]” ?
Bientôt amende et prison pour ceux qui signalent des contrôleurs via Facebook ou SMS
Le 10/03/2016Le 16/03/2016 à 01h 18
C’est marrant, j’ai lu quelque part que, pour le métro, les pubs suffisaient à assurer l’entretien des station, et le coût récurrent du traffic… et que les billets, c’était déjà du bonus, pour la RATP.
Alors, certes, y’a les bus, qui, eux, doivent être bien moins rentables, mais tout de même… il serait peut-être bon de se remettre à penser en termes de service public, et de service rendu à la société, plutôt qu’en termes purement comptables.
Pourquoi ne pas tout simplement financer les transports à 100% via les impôts (avec une taxe pour les étrangers venant en France, compensant le fait que, eux, ne payent pas l’impôt), et démonter ces saloperies de tourniquets, portiques, et autres dispositifs qui gênent les voyageurs, tombent souvent en rade, sont galère à passer dès qu’on est un peu chargés, etc… ?
Avec cette solution, plus de fraude possible (sauf à frauder AUSSI le fisc, évidemment), on pourrait avoir un tarif en fonction des revenus réels, et surtout, surtout, le transport serait “déjà payé”. Donc, ça réduirait mécaniquement l’usage de la voiture (puisque prendre le train ou le bus serait, de fait, “gratuit”, par rapport à la voiture, qui, elle resterait un coût supplémentaire), donc ça réduirait la pollution, et ça réduirait aussi les bouchons - moins de voitures, ça veut dire moins de ralentissements, donc moins de pollution, là aussi.
En somme, rien qu’avec cette petite mesure, on pourrait améliorer grandement la qualité de vie de beaucoup de monde.
Parce que, de toutes façons, même si tout le monde ne prend pas les transports en commun, au final, ça arrange tout le monde quand les AUTRES les prennent, tant écologiquement qu’en termes de fluidité du traffic. Pour ma part, ça justifierait totalement un financement par l’impôt.
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Le 16/12/2015Le 17/12/2015 à 13h 13
En fait, quand on ne consomme pas tout, on arrête éventuellement certaines tranches de réacteur, ou on réduit au minimum l’intensité de la réaction de fission (c’est l’intérêt des barres de contrôle, en carbone, qu’on descend dans les réacteurs - arrêter une partie des rayonnements et réduire ainsi le nombre d’atomes qui se disloquent en mode réaction en chaîne, ce qui réduit l’énergie produite, et la consommation de combustible).
Alors, certes, ça prend du temps, d’arrêter un coeur, ou de le rallumer. C’est pourquoi, en général, on fait ça que pour les GROSSES tendances.
Après, pour les pics de consommation, y’a l’hydroélectrique (qui sert aussi à stocker le surplus électrique produit par le nucléaire, via pompage vers des bassins hauts, et drainage quand besoin), qui est le plus rapide à “allumer”, suivi des centrales thermiques, qui mettent un peu plus longtemps, mais restent bien plus “réactives” que le nucléaire.
L’éolien et le solaire, par contre, c’est de l’occasionnel. Ca produit quand ça peut, on profite de l’occasion, mais… c’est pas du “fiable”, quoi.
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Le 28/09/2015Le 30/09/2015 à 22h 41
On pourrait tout simplement mettre dans les contraintes du poste que la productivité exigible est définie selon tels ou tels critères, hein… Un fonctionnaire incompétent peut parfaitement être licencié (enfin, le terme exact est peut-être “démis”, ou autre, hein), il faut juste prouver qu’il ne fait pas correctement son travail.
Donc si le travail demandé est juste de réaliser tel ou tel soft, sans contrainte de temps, oui, dur de quantifier, et donc de virer les mauvais / glandeurs / etc.
Par contre, si le travail demandé est de réaliser tel ou tel soft, dans tels délais, avec moins de X bugs remontés par les utilisateurs, etc., là, tu peux donc quantifier le travail. Alors, c’est assez subjectif, vu qu’il y a une grosse part d’estimation, mais tu peux demander à des “pairs” d’évaluer le temps nécessaire, et avoir une évaluation des performances réalisée par ceux-ci. Après tout, qui mieux que des spécialistes du domaine pour établir une estimation fiable ?
Le 30/09/2015 à 22h 31
@Jb07
Ah, un fonctionnaire ne produit aucune richesse ? Donc, si je comprends bien, un jardinier d’une entreprise privée, qui fait un massif de fleurs, il crée de la richesse, par le service rendu. Le même jardinier, ouvrier municipal, il se contente d’entretenir le système, donc ne crée aucune valeur, c’est bien ça ?
Un médecin de l’AP-HP, il se contente d’entretenir un système de soins public, ce naze ! Heureusement que des médecins libéraux, eux, permettent la création de richesse… Merci de nous avoir ouvert les yeux, en fait, c’était pas évident au premier abord.
Plus sérieusement, la grosse différence entre le public et le privé vient de la finalité de l’exercice: Dans le privé, on cherche à réaliser un PROFIT (sauf cas des ONG, et associations à but non lucratif - ce qui est loin d’être la majorité). Dans la fonction publique, et plus généralement, dans les services publics, on cherche à rendre un SERVICE. Idéalement, ce service est compensé par les frais facturés aux usagers, mais, même si le service n’est pas “rentable”, on s’en fout, parce qu’il est nécessaire, et/ou utile, dans tous les cas.
Maintenant, à gestion égale, entre une entreprise privée, et un opérateur public, si celui qui bosse est payé pareil, qu’il y a les mêmes frais fixes, etc… d’après toi, lequel des deux coûte le plus cher au “client” final ? Celui qui travaille pour une entreprise qui veut dégager un profit après avoir payé les coûts, ou celui qui travaille pour un service public dont le but est, normalement, de dégager simplement assez de recettes pour couvrir les coûts, et permettre un peu d’investissement, sans chercher à engraisser des actionnaires ?
Je ne dis pas qu’il n’y a aucun abus dans le public, mais les solutions visant à externaliser tout un tas de tâches, en payant chaque fois plus cher que ce que ça aurait coûté en interne, juste pour pouvoir dire “oui, mais regardez ce qu’on a économisé en salaires !”, c’est de l’attrape-couillon. Regarde les régies d’eau potable, regarde les régies de gestion des déchets, regarde en gros tous les services publics, et tu verras que dans la majorité des cas, une gestion publique CORRECTE est nettement moins chère qu’une gestion privée.
Alors, oui, ça implique que la gestion publique soit faite correctement. Mais au lieu de cracher sur le système dans son ensemble parce que certains cadres sont incompétents et/ou ont couvert des détournements de fonds pour des amis politiques (emplois fictifs, tout ça), on pourrait peut-être chercher à l’améliorer (augmenter les contrôles, virer les incompétents en question, voire les traduire en justice si il est avéré que c’était plus que de l’incompétence), non ?
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Le 12/08/2015Le 13/08/2015 à 11h 37
Merci, j’avais oublié cette news (que j’avais lue, en son temps). Mais cela ne traite pas du point que je soulevais, à savoir l’autorisation.
En effet, l’article ne précise pas si, dans l’affaire, St. Maclou est à même de produire une “autorisation” des ayant-droit (en gros, du compositeur, de l’interprète, du producteur, etc.)
Si ils le peuvent, mon interprétation est que l’article ne peut exiger une peine pour défaut d’autorisation. Et donc, ils devraient pouvoir envoyer paître la SPRE. Mais je ne suis pas juriste, et je sais à quel point les juges peuvent être corrompus obtus quand il s’agit d’interpréter la loi, et à quel point leurs jugements peuvent être sensibles aux arguments sonnants et trébuchants ? des ayant-droit.
Bref, j’espère que Marc nous fera une analyse des conclusions du tribunal quand l’affaire aura été jugée, mais, entre temps, un avis juridique sur ma question serait apprécié :)
Le 13/08/2015 à 10h 53
Bonjour,
Question même pas trollesque, si quelqu’un s’y connaissant peut me répondre: A priori, sur le site de la SPRE, ils donnent les textes de loi. Et y’a un joli article, le Art. L.335-4, qui dit ce qu’on risque si on ne paye pas alors qu’on n’a pas les autorisations, quand celles-ci sont exigées.
Est-ce sur ce point que se base la SPRE pour réclamer les sous, et faire un procès si on paye pas ? Parce que, dans ce cas, si on passe du libre ET QU’ON A L’AUTORISATION (qui peut être donnée de manière générique, par l’auteur, pour tout type de manifestation, publique ou privée, en quelque circonstances que ce soit), l’article n’est plus applicable, non ?
Auquel cas, on pourrait peut-être bien les envoyer se faire voir chez… euh, chez quelqu’un d’autre, quoi.
Non ?
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Le 10/08/2015Le 11/08/2015 à 11h 01
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Le 03/07/2015Le 04/07/2015 à 14h 47
La question étant, est-ce qu’on peut encore considérer les “démocraties” comme des démocraties. L’angleterre, la France, les Etats-Unis… il semble que les systèmes prétenduement “démocratiques” ne soient qu’une autre manière, au final, de confisquer le véritable pouvoir.
Certes, ça se voit moins qu’en Chine, ou en Corée du Nord, évidemment, et c’est bien le but. Mais… depuis combien de temps les demandes populaires sont-elles purement ignorées, dans tous ces jolis pays, pour prendre, à la place, des mesures qui favorisent une petite minorité (et toujours la même, évidemment…) ?
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Le 16/09/2014Le 17/09/2014 à 09h 17
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Le 15/09/2014Le 16/09/2014 à 09h 37
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Le 09/09/2014Le 11/09/2014 à 11h 41
Le 10/09/2014 à 14h 36
Faith: J’ai rien contre le fait de respecter une limitation de vitesse appropriée. Y’a des virages, limités à 70, même à 50km/h tu as l’impression que tu vas sortir de la chaussée…
A l’inverse, tu as des endroits à 80 où, même en roulant à 120, y’a pas de risque particulier (bonne visibilité, chaussée large, etc).
Y’a des STOP en rase campagne, avec une visibilité à 300m de chaque côté. Est-ce que marquer l’arrêt est une question de sécurité, dans le cas où la route est vide des deux côtés, ou une question d’obéissance aveugle à une règle trop rigide ?
Bref, ce que je veux dire par là, c’est que ce n’est pas parce qu’un imbécile place un panneau à un endroit que ledit endroit devient d’un coup plus dangereux… à part pour les points du permis.
A titre personnel, je préfèrerais largement qu’on supprime les radars, que les limitations deviennent indicatives, et que les policiers verbalisent uniquement la vitesse manifestement excessive (ils peuvent déjà, sans radar, si ils te voient faire un petit 90 en ville, par exemple, devant une école à l’heure de la sortie, c’est manifestement excessif, et tu es bon pour la prune).
Ca serait bien plus intelligent de punir une vitesse excessive par rapport aux circonstances (chaussée glissante, encombrée, enfants sur le trottoir à côté, animaux errants sur le bas-côté, etc.) plutôt qu’une vitesse excessive par rapport à une limite arbitraire fixée pour être “à priori sûre” (donc au plus bas de ce qui est acceptable, toutes conditions de circulation prises en compte).
Le 10/09/2014 à 13h 14
Le 10/09/2014 à 11h 46
Minecraft : la version 1.8 apporte une montagne de nouveautés
Le 02/09/2014Le 03/09/2014 à 09h 12
Le 03/09/2014 à 08h 00
Vote en ligne : le gouvernement refuse finalement de se passer de Java
Le 18/08/2014Le 20/08/2014 à 15h 50
Obligation de vote, je suis contre.
Ou alors, faut ajouter le vote “noir” (par opposition au vote blanc, censé signifier qu’on n’a pas d’avis, qu’on laisse les autres décider), qui serait plutôt “je ne suis d’accord avec aucune des propositions”.
Histoire qu’on aie toujours au moins UN choix valide. Et qu’il soit compté comme un suffrage exprimé dans la plupart des cas (sauf si on doit avoir un choix binaire, comme POUR ou CONTRE tel ou tel projet).
En combinant ça avec des systèmes de report des voies d’un candidat minoritaire vers un candidat ayant plus de voies que lui, ça me semble intéressant.
Mais je crois qu’on s’éloigne du système de vote, là, vu qu’on dérive sur le mode de scrutin et la constitution :)
Le 20/08/2014 à 14h 26
Le 20/08/2014 à 13h 43
Le 20/08/2014 à 10h 48
narz, là, je suis obligé de te donner tort.
Tu peux pas dire avec certitude qu’un truc est impossible si tu te bases sur des théorèmes dont tu n’es pas certain. En maths, tu peux prouver un résultat C en te basant sur des hypothèses A et B, et en t’assurant que A et B sont vraies. En physique, c’est plus difficile, vu qu’on a seulement des conjectures (vérifiées expérimentalement, et raisonnablement fiables, mais conjectures tout de même).
Je m’explique: Qu’est-ce qui te prouve que la théorie de la gravité est exacte ? Certes, on a vérifié que, partout où on a regardé, s’appliquait le principe d’une accélération basée sur les masses des corps… mais qu’est-ce qui prouve qu’on a pas un paramètre supplémentaire (ou plusieurs) qui s’annulent actuellement à chaque fois, mais qui pourraient changer ?
Donc, sur ce coup là, Neliger a raison, même si il l’exprime mal:
Il est peut-être possible de faire un vote électronique correspondant à ce qu’on souhaiterait y voir, à savoir un système anonyme, fiable, sécurisé, ET auditable par un citoyen lambda… mais, honnêtement, je vois pas comment, et je pense que personne ne trouvera avant un bon moment :)
Après, oui, les avantages du vote électronique sont très intéressants, et il serait donc souhaitable de l’employer, si ses inconvénients majeurs ne le rendaient pas plus dangereux qu’utile.
Ai-je résumé correctement les points de vue ?
Le 20/08/2014 à 08h 24
Dadal, ça n’est pas vérifiable par le commun des mortels. Les meilleurs experts pourront peut-être valider, mais ça impliquerait de TOUT valider, à savoir la machine (au niveau physique, le CPU, la carte mère, les bus, les disques, tout), l’OS (toutes les couches logicielles actives, quels que soient leurs rôles supposés), et les programmes executés.
Sachant qu’à l’heure actuelle, on ne sait déjà pas faire une preuve en temps polynomial pour tout algorithme (c’est un problème NP complet, de mémoire), explique-moi qui va pouvoir garantir que le processus est bon ?
Et même si tout a été fait honnêtement, si on a anonymat des votes, rien n’empêche une erreur (par exemple, explosion solaire -> grosse onde électromagnétique -> erreurs sur les disques, etc.)
C’est pour ces raisons qu’il est indispensable qu’on puisse chacun contrôler notre vote, sur un système électronique.
Or, actuellement, tout système fonctionnant de manière anonyme, qu’il soit ouvert ou en mode “boîte noire”, souffre de ces problèmes.
Ensuite, si je souhaitais frauder le système, je le ferais discrètement (quelques pourcents tout au plus), du moins au début. Si j’ai bien suivi les discussions, quelqu’un parlait de 30% de votants par électronique au maximum, les autres devant se déplacer. Mais c’était appelé à augmenter, puisque les 30% sont là pour “vérifier que c’est comparable”.
Sauf que tu ne peux pas exiger une égalité parfaite: En théorie, tu pourrais même avoir tous les votants papier pour Monsieur X, tous les votants électroniques pour Madame Y, et ne pas pouvoir prouver qu’il y a eu fraude. Après tout, peut-être que les votants papier sont plus “traditionnalistes”, donc ont tendance à voter pour le même candidat. C’est le même souci avec le “vrai” hasard: Si tu lances 10 fois un dé, et qu’il fait 10 fois 6, tu vas avoir tendance à penser qu’il est pipé. Mais ça n’est pas prouvé, il peut parfaitement, par hasard, tomber 10 fois dessus, et y’a aucun moyen de démontrer le contraire. On ne peut que conjecturer qu’il y a un problème.
Et, de plus, sur la plupart des sujets vraiment polémiques, les pourcentages sont généralement assez serrés (mariage gay, euthanasie, mais aussi entre les “grands” candidats, y’a souvent pas beaucoup d’écart). Donc, si au lieu d’avoir X qui gagne à 52 contre 48%, je mets Y gagnant à 51 contre 49, qui le verra ?
Bref, à mon sens, votre système est dangereux, et si il n’est pas déjà sous contrôle de quelqu’un, il le sera très probablement un jour ou l’autre. Je sais pas ce que tu en penses, mais j’aimerais autant éviter qu’une belle avancée démocratique (le fait de laisser tout le monde voter sur à peu près toutes les lois) ne se transforme en “dictature du hacker”…
Le 19/08/2014 à 15h 54
HarmattanBlow, je suis relativement d’accord avec toi. Cela dit, il ne faut pas négliger la possibilité de pressions organisées à l’échelle nationale.
Et pour le coût de achats de voix, par contre, je ne suis pas du tout d’accord. Si on “achète ma voix” aujourd’hui, je vote ce que je veux dans l’isoloir, et je peux quand même dire que j’ai voté X, personne ne peut prouver le contraire (sauf pas de bol, si personne n’a voté X dans le bureau en question)
Par contre, si le vote est public, l’acheteur sait si il a été floué ou pas. Et comme l’achat de voix est quand même un peu apparenté à une pratique mafieuse, j’imagine que les conséquences seraient du même ordre (au revoir les rotules, ou bonjour les poissons, etc…)
Bref, donc oui, je reformule, je reste opposé au vote électronique dans le système actuel, puisqu’il impose un anonymat incompatible avec la vérification simple de la sincérité du scrutin.
Si on change le système, et si on décide de passer à un système dans le genre de ce que tu proposes, alors oui, le vote électronique sera bien plus intéressant que le vote papier pour les votes “de tous les jours”.
La question principale reste donc de savoir si les gens préfèrent garder l’anonymat des votes, ou obtenir plus de démocratie… (avec le risque que des pressions viennent fausser cette démocratie ouverte)
Le 19/08/2014 à 15h 20
Je vais enfoncer des portes ouvertes, mais je suis informaticien aussi, et je suis contre le vote électronique, pour les raisons évoquées plus haut:
Ensuite, on peut faire un vote électronique fiable si il n’est pas anonyme (déja expliqué), mais doit-on accepter la perte d’anonymat ? Si il n’y a pas de pressions, c’est idéal, c’est tout de même le plus transparent. Si il y a des pressions, par contre, la justice peut-elle protéger les gens et le système contre les abus ?
Pour ce qui est de l’achat de voix, ça ne me gêne pas trop, si il n’y a pas de contrainte: Les politiciens le font déjà, de toutes façons, par leurs promesses. Alors, oui, c’est interdit, mais si le vote est anonyme, ils n’ont aucune garantie que leur “achat” a fonctionné, et si c’est pas anonyme, mais qu’il n’y a pas de contrainte, au pire, ils voient qu’ils se sont faits rouler, au mieux, le vote correspond à ce qui était attendu, mais ça change pas grand chose pour le votant.
Oui, je suis conscient que l’achat de voix se fait rarement sans contrainte (Cf. accusations dans l’affaire Dassaut), mais je parlais en général.
Sinon, le système proposé avec des députés ET du vote direct (en gros, le député nous représente si on ne “surcharge” pas le vote directement) me plait bien, mais, là encore, ça nécessite la fin de l’anonymat.
Star Citizen : le module de combat est enfin disponible, et parfois payant
Le 04/06/2014Le 05/06/2014 à 15h 57
Le 05/06/2014 à 15h 28
Si t’as les sous, et la foi, pourquoi pas. Ne serait-ce que pour encourager ce genre d’initiatives.
Sinon, les sous en trop, y’a plein de projets Kickstarter (ou sur d’autres plateformes, hein), qui ont besoin de financement ;)
Le 05/06/2014 à 14h 25
Ah, ça, c’est pas pour rien que j’ai soutenu le projet, hein " />
(modestement, environ $75, mais bon, c’est déjà plus que le package de base. J’ai un vaisseau d’exploration, dans l’espoir de nommer un ou deux systèmes solaires ^^)
Le 05/06/2014 à 14h 02
Attention toutefois, en abordage, on court des risques. C’est pas comme la plupart des FPS, où tu respawn pour retourner au front.
Là, si tu te fais descendre, tu es “hors combat”, et tu as, en gros, un jet sur une table de dégâts. Ca peut aller de “juste blessé” (tu vas respawn sur un vaisseau allié, ou une planète, etc), à mutilé, ou tué.
Et si tu es tué, ça te reset ton perso (y’a un système d’héritage prévu, mais faut s’attendre à y laisser des plumes, peut-être via des “droits de succession”, peut-être via des pertes de compétences si ils implémentent les compétences - mais je crois pas, je crois que c’est que le skill du joueur qui compte - certainement une perte de réputation (tu as une réputation positive ou négative, et ça la fera tendre vers 0, tout en gardant une part de celle de l’ancètre).
En gros, le fils de Super Paladin sera vu comme probablement bon, mais devant faire ses preuves, le neveu du Grand Stratéguerre sera vu comme une probable pourriture, mais ayant le bénéfice du doute…
Ca jouera sûrement sur les factions PNJ (difficile d’obtenir des contrats d’escorte de marchands si on a une réputation de pirate), et probablement aussi sur le recrutement dans les factions des joueurs (j’imagine mal une guilde de pirates recruter un mec à la réputation de super-héros pourfendeur du crime).
Le 05/06/2014 à 13h 36
fraoch: Certaines planètes (ou zones, en tout cas) seront ouvertes en mode FPS.
Pour les autres, ça sera probablement comme les zones “protégées” des MMO, soit impossible d’attaquer, soit y’a des gardes qui te mettent la misère en 2 secondes…
Mais, oui, c’est prévu. De même qu’il est prévu de pouvoir quitter son vaisseau, dans l’espace, pour en aborder un autre (ou atterrir sur un vaisseau capital ennemi, sortir et avancer en mode FPS, etc.)
Le 05/06/2014 à 11h 42
Je crois pas qu’on puisse acheter les plus gros vaisseaux, contrairement à ce qui a été dit. On peut acheter les plus gros vaisseaux pouvant atterrir, les vaisseaux plus gros que ça (porte chasseur de type militaire, cuirassés, etc.) ne pourront pas être obtenus autrement que en jeu.
De plus, c’est pas grave si certains commencent avec plus au départ: Ce n’est pas une compétition, le but n’est pas d’être le premier à tel ou tel niveau de puissance, ça change simplement la situation de départ. Au lieu d’avoir 200.000 joueurs démarrant sur la ligne de départ avec chacun le vaisseau de base, là, on aura des joueurs incarnant des personnages ayant un “vécu”. Certains seront des chasseurs de prime à le petite semaine, d’autres des pirates, d’autres des marchands, certains commenceront riches, d’autres pauvres.
Mais, au final, un mec “riche” avec un gros vaisseau risque quand même tout à fait de se le faire blaster, surtout si il agace. C’est pas si compliqué de s’allier à d’autres pilotes pour “chasser le mamouth”, et je suis persuadé que ça sera un des objectifs de pas mal de pilotes axés sur le combat.
Donc, faut pas voir ça comme un avantage style pay-to-win, mais comme un simple attribut RP de départ.
Ensuite, pour l’achat de sous durant le jeu, c’est un peu plus gênant, mais ils ont promis de limiter ça pour que ça ne déséquilibre pas tout. Sur ce coup là, faut attendre de voir ce que ça donne…
La justice condamne un logiciel d’enregistrement de flux en streaming
Le 28/05/2014Le 29/05/2014 à 08h 08
@carbier et @philoxera:
La justice est censée appliquer la loi, nuance. Elle ne juge pas scientifiquement, avec une suite de tests booléens décrits clairement dans la loi, elle interprète des textes plus ou moins précis.
Et dans toute interprétation, il y a une part d’arbitraire. D’ailleurs, c’est bien à ça que sert l’appel: Si on avait un algorithme infaillible pour déclarer coupable ou innocent l’accusé, et choisir la peine, on n’aurait même pas besoin d’un juge. L’appel permet d’avoir une seconde interprétation du droit, possiblement plus favorable, possiblement plus juste. Ou peut-être tout aussi ratée, d’ailleurs. Et ensuite, tu as la cassation, si tu peux prouver qu’un texte n’a pas été appliqué correctement, ou que la procédure n’a pas été respectée.
Là, on conteste les textes, inadaptés, mais également l’interprétation qui en est faite (“s’introduire dans le système informatique de Deezer”, pour moi, ça serait une intrusion sur un de leurs serveurs. Là, faut croire que le simple fait d’avoir “sniffé” la clé de déchiffrement envoyée par réseau (ou l’avoir trouvée dans le code du player, qui est pourtant envoyé à l’utilisateur, et pas “caché” sur un serveur) suffit à qualifier cette infraction).
De plus, si on veut aller plus loin, tout peut être une “mesure technique de protection”. Par exemple, tu renommes ton fichier, de .flac, tu le passes en .txt, paf !, Windows ne sait plus le lire, seul ton astucieux player (qui ne regarde pas l’extension, juste le contenu) sera alors capable de le faire ! C’est bien une mesure TECHNIQUE visant à protéger ton truc, non ? Pourtant, un gamin de 5 ans qui sait charger le truc manuellement dans un lecteur audio adapté pourrait la contourner.
Donc y’a un vrai souci d’interprétation, et de latitude dans les textes. D’autant plus que l’intéropérabilité est censée être garantie par la loi, aussi.
L’Humble Bundle veut bâtir une « Civilization » pour lutter contre la faim
Le 05/02/2014Le 07/02/2014 à 16h 56
P. Axel : “La privatisation des sociétés de gestion collective du droit d’auteur”
Le 29/01/2013Le 02/02/2013 à 12h 21
J’ai aussi d’autres questions pour cerner tes choix :
Questions sur l’intérêt public VS l’intérêt privé/le secret industriel/le droit d’auteur.
Tu découvres la panacée, le remède universel, il soigne tout.
Et, pour la forme:
Une entreprise se met à produire de manière révolutionnairement plus efficace, économiquement parlant (prix de vente très nettement inférieurs, et pourtant, employés mieux payés). Cependant, des doutes surviennent quant aux conséquences écologiques (ressources naturelles, pollution) de son mode de production.
Bien évidemment, son mode de production est jalousement gardé, donc aucune accusation d’agissements contraires à l’éthique ou à l’intérêt général n’ont pu êtres étayées… ou prouvées fausses.
Si l’entreprise de la question précédente utilise plus de ressources naturelles, et/ou pollue plus que ses concurrentes, faut-il:
Le 02/02/2013 à 11h 42
@Ph11 : Tu glorifies le libéralisme, pourquoi pas. Après tout, c’est un système qui est censé optimiser l’efficacité globale économique. Maintenant, je pense que pour pouvoir te répondre de manière constructive, j’ai besoin d’en savoir un peu plus sur ce que tes convictions humanistes.
Si quelqu’un est en train de mourir, et que tu peux le sauver, est-ce que tu le fais ? Si oui, est-ce que tu le fais si :
7 à 9) Idem 4 à 6, mais par rapport à la “société”, à l’ensemble de la population.
Oh, et, au cas où:
Plusieurs réponses possibles, évidemment :)