Ciblée par une active campagne de violence numérique menée depuis des réseaux d’extrême-droite, la journaliste Ivanne Trippenbach a déposé plainte devant le pôle national de lutte contre la haine en ligne.
Le 11 janvier, la journaliste avait été dépêchée par le quotidien pour faire le compte rendu des funérailles de Jean-Marie Le Pen, décédé trois jours plus tôt à l’âge de 96 ans.
D’abord autorisée à y assister, elle a été mise à l’écart au bout d’une quinzaine de minutes.
Depuis, un militant du média Frontières (auparavant Livre noir) a initié une campagne rapidement reprise par plusieurs sites d’extrême droite et appelant à la violence, au viol, voire au meurtre de la journaliste.
Cité dans la plainte, le député Union des droites pour la République (UDR, le parti d’Éric Ciotti rallié au RN) Alexandre Allegret-Pilot a participé à la campagne.
Le Monde indique porter plainte aux côtés de sa journaliste.
Parmi les multiples décrets pris au premier jour de son second mandat, Donald Trump a révoqué celui de Joe Biden pour réduire les risques posés par l’intelligence artificielle.
Signé en 2023, ce texte obligeait les développeurs de systèmes d’IA posant des risques à la sécurité nationale des États-Unis, la santé publique ou l’économie de partager les résultats de leurs tests de sécurité avec le gouvernement avant d’être mis sur le marché.
Il obligeait par ailleurs ses agences à créer des standards pour ces audits, dans lesquels les risques chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires et de cybersécurité seraient pris en compte, rappelle Reuters.
En 2024, le Parti républicain appelait au rejet de ce texte, qu’il considérait comme un frein à l’innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Trump révoque le décret de Biden sur les risques de l’intelligence artificielle
France Identité et la SNCF tentent une expérience depuis hier : pouvoir vérifier, dans l’application France Identité, la validité d’un titre de transport. Comme la plupart des fonctions liées à l’application, il faut posséder la dernière carte d’identité, au format carte bancaire et munie d’une puce.
« Plus besoin de présenter votre billet de train et un titre d’identité, vous pourrez présenter votre application France Identité, notamment si vous avez un abonnement TGV INOUI ou une carte avantage SNCF Voyageurs », vante ainsi le communiqué.
Dans la dernière version bêta de l’application, une nouvelle fonction fait ainsi son apparition. En appuyant sur la carte d’identité présente sur l’écran d’accueil. Un encadré « Expérimentation SNCF » apparaît, avec un bouton « Commencer ». Il faut ensuite accepter la transmission de certaines données : nom, prénom et date de naissance.
Après quoi, il faudra saisir le code personnel et scanner la carte d’identité. Un lien est alors établi avec les services de la SNCF, mais seulement si les données ont été transmises. Cette mise en relation permet, lors d’un contrôle dans le train, de présenter un code QR spécifiquement généré par l’application France Identité. Ce code permet la vérification simultanée du titre de transport et de l’identité.
L’expérience doit durer quelques semaines. À son terme, la fonction devrait être diffusée dans la version stable. Notez que l’expérience est pour l’instant limitée en possibilités. Seuls les TGV INOUI sont ainsi concernés pour l’instant. En outre, si le code QR remplace celui du billet dans les transports, les portiques d’accès ont toujours besoin du code habituel. Enfin, les abonnements INOUI et la carte avantage Voyageurs sont pris en charge.
La SNCF avait fait parler d’elle ces derniers mois suite à des amendes à des voyageurs présentant une pièce d’identité numérisée (ici par exemple). Sur cette page, la SNCF précise, en effet, que « les pièces d'identité dématérialisées (photo ou scan sur votre téléphone, photocopie en papier, etc.) ne sont pas acceptées ». Le site indique désormais que « vous pouvez désormais nous présenter votre pièce d’identité dans l’application France Identité ».
L’application France Identité va permettre la vérification des titres de transport
Cela fait maintenant plusieurs mois que Seagate a annoncé ses disques durs Exos M dans la série Mozaic 3 + exploitant la technologie HAMR. Deux versions sont de 30 To et 32 To sont de la partie, la première en CMR, la seconde en SMR.
Le fabricant annonce aujourd’hui un nouveau modèle de 36 To. dont les premiers échantillons sont livrés à des partenaires triés sur le volet. Le disque dur dispose de 10 plateaux, chacun de 3,6 To.
Le constructeur ne donne pas de précision, mais son disque dur de 36 To utilise certainement la technologie SMR. Elle permet pour rappel d’augmenter la densité en superposant un peu les pistes, mais au prix d’une amplification en écriture.
Ce n’est que le début du HAMR, avec une montée en puissance prévue pour les prochaines années avec l’objectif de 50 To, toujours dans un format de 3,5 pouces.
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