Rémunération de la presse, Facebook joue les bons élèves (ou presque)

Rémunération de la presse, Facebook joue les bons élèves (ou presque)

Rémunération de la presse, Facebook joue les bons élèves (ou presque)

Alors que certains éditeurs attaquent Google devant l'autorité de la concurrence concernant le droit voisin et l'indexation sans contrepartie financière de leurs articles, Facebook cherche à se faire bien voir.

Bien que toujours empêtré dans ses affaires de respect de la vie privée, de diffusion de fausses informations, notamment via ses canaux publicitaires ou de monnaie Libra, le réseau social se présente comme le nouvel ami de la presse en ligne.

Une situation étonnante lorsque l'on connait le passif du groupe avec les médias en ligne, comme le rappelle Techcrunch.

Des accords avec certains médias ont été signés outre-Atlantique, puis autour de programmes vidéo (notamment en France), faisant naître de l'espoir de revenus aux gros éditeurs européens. Mais si le groupe semble décidé à montrer patte blanche, il ne veut pour autant pas se faire tondre.

Dans un billet de blog, il annonce ainsi qu'il « discutera avec les éditeurs de presse pour créer un espace dédié aux actualités ». Quels médias, comment se feront les mises en avant ? Car avec une telle mécanique, Facebook pourrait aisément favoriser tel ou tel sous couvert de modifications de son algorithme.

Surtout, le géant américain ne souhaite pas une rémunération directe pour la publication de liens ou même d'articles. Il évoque plutôt une « création de valeur » chez ses partenaires grâce à ses outils et la mise en avant de leurs articles sur sa plateforme.

Un réseau social « à partir duquel les utilisateurs se rendent sur leur site Internet, générant ainsi des revenus pour les éditeurs au travers d’abonnements ou de publicités ».

Sans doute une nouvelle douche froide pour ceux qui espéraient faire plier l'un pour forcer l'autre, et tous les autres services par effet de domino.

Facebook précise au passage que « les éditeurs de presse décident de la publication de leurs contenus sur notre plateforme », faisant ici référence aux Instant Articles qui servent à diffuser son contenu sur Facebook (ce qui n'est pas le cas de Google Actualités).

Une manière de confirmer qu'il n'y aura pas rémunération, mais que Facebook va « continuer d’afficher ces contenus dans un format enrichi, en y incluant les images, les titres, les extraits et autres champs qu’ils publient via leur flux RSS ».

Et pour la « très petite part des contenus sur notre plateforme publiée par des utilisateurs, et ce sans avoir reçu le consentement des éditeurs de presse [si les éditeurs] souhaitent que les liens publiés par les utilisateurs s’affichent dans un format enrichi sur Facebook, ils auront la possibilité de nous donner leur accord et de nous informer de leur volonté ».

« Nous nous réjouissons de développer notre partenariat avec le secteur français de l’édition » conclut Facebook, non sans ironie.

Commentaires (19)


J’ai rien pigé …

Si je partage un article de presse sur FB, il n’aura pas de description ni d’image, à moins que le journal dont je partage l’article ai accepté de baisser son froc ? Comme avec Google ?

Au final, qu’est-ce qui ira dans un espace dédié ? Les articles mis à dispo par les éditeurs ? Ils auront du texte + des images ou pas ? Et ils seront partageables ou pas ?

Et c’est prévu pour quand ? Parce que la loi est en vigueur depuis quelques jours, non ? En attendant, ils sont hors la loi ?



Edit : je viens de partager un article du Monde pour tester, et effectivement, il n’y avait que le titre et la mention « lemonde.fr » (alors que l’article comporte des images)


Et bah voilà, hier ça parlait qu’il n’y avait que google et qu’ils avaient donc une position dominante.

FB rentre dans la danse.


tout pareil… rien pigé….


“Il évoque plutôt une « création de valeur » chez ses partenaires grâce à ses outils et la mise en avant de leurs articles sur sa plateforme.”



Ce fail sur toute la ligne… Se ridiculiser à ce point mais continuer à courir sur les plateaux télés et radios (comme hier sur inter) pour crier au scandale, alors qu’ils ont toutes les raisons de se terrer:

. ce texte est imbécile car on ne peut pas contraindre FB et Google a reprendre les résumés d’articles et donc à indemniser au titre de ce nouveau “droit voisin”,

. ce texte est injuste car fait pour satisfaire quelques intérêts privés, là où le seul combat qui a du sens est celui visant à faire payer leurs impôts aux GAFA.








AltreX a écrit :



Et bah voilà, hier ça parlait qu’il n’y avait que google et qu’ils avaient donc une position dominante.

FB rentre dans la danse.





Il y a 2 géants de la publicité en ligne dans le monde 1- Google (30% de parts de marché) 2- Facebook (10-15%)

Et Amazon monte sur le podium mais très loin derrière.









Arkeen a écrit :



[…]

Edit : je viens de partager un article du Monde pour tester, et effectivement, il n’y avait que le titre et la mention « lemonde.fr » (alors que l’article comporte des images)





C’est vrai… je viens d’essayer avec Next inpact :




  • en partageant le lien d’un article : il n’y a que le lien html

  • en repartageant une publication de la page facebook de Next inpact : il n’y a pas d’image, pas de texte, rien que le titre.



    PS : avec franceculture.fr, il y a une image…









joma74fr a écrit :



Il y a 2 géants de la publicité en ligne dans le monde 1- Google (30% de parts de marché) 2- Facebook (10-15%)

Et Amazon monte sur le podium mais très loin derrière.





Et?? C’est quoi le rapport avec ce que disait AktreX?



Tout le monde confirme que vouloir appliquer ces foutus droits voisin du droit dauteur à Google et Facebook est ridicule: ils ont tellement moins à perdre que les éditeurs de presse que je ne comprends pas où tu te situes à vouloir à tout prix défendre l’INdéfendable!



Cette loi est mal écrite. Google et FB ont mis en place leur “riposte” afin d’être dans les clous… c’est quoi le reproche que tu leur fais!? <img data-src=" />



Est-ce que l’AFP peut faire la même chose que les journaux : demander une compensation pour la reprise de leur contenu ? Car le copier-coller&nbsp; d’article, ça y va aussi…


Tu sais, ils se font payer par les journaux pour cela. Ce ne sont pas de philanthropes.








MacGivre a écrit :



Est-ce que l’AFP peut faire la même chose que les journaux : demander une compensation pour la reprise de leur contenu ? Car le copier-coller  d’article, ça y va aussi…





C’est déjà le cas. L’AFP vend son contenu, c’est pas gratuit.<img data-src=" />









MacGivre a écrit :



Est-ce que l’AFP peut faire la même chose que les journaux : demander une compensation pour la reprise de leur contenu ? Car le copier-coller  d’article, ça y va aussi…





https://www.geste.fr/les-membres/

https://www.nextinpact.com/news/108332-droits-voisins-google-ne-bafoue-pas-loi.h…









frikakwa a écrit :



[…]

Cette loi est mal écrite. Google et FB ont mis en place leur “riposte” afin d’être dans les clous… c’est quoi le reproche que tu leur fais!? <img data-src=" />





Si j’ai quelque chose à reprocher à Google et à Facebook, en tant qu’utilisateur de leurs services, c’est l’utilisation abusive de mes données personnelles et le ciblage publicitaire dont je fais l’objet. Et je regrette que la presse mainstream n’en ai rien à faire de mon petit intérêt en tant que lecteur ou d’auditeur de leurs “informations”.









frikakwa a écrit :



[…]

Tout le monde confirme que vouloir appliquer ces foutus droits voisin du droit dauteur à Google et Facebook est ridicule: ils ont tellement moins à perdre que les éditeurs de presse que je ne comprends pas où tu te situes à vouloir à tout prix défendre l’INdéfendable!

[…]





Ce modèle économique n’est pas ridicule d’un point de vue financier : on centralise l’audience au niveau de Google et plus largement, sur l’ensemble des “webmédias”. Et on produit des contenus de manière centralisée… et peut-être qu’un jour on centralisera tout dans le même groupe. Par exemples, Altice, Verizon ont déjà commencé ce modèle entre médias/télécoms.



D’un point de vue journalistique, je pense que c’est INdéfendable : Avoir une rente sur les “webmédias” n’encourage pas l’INdépendance journalistique nécessaire vis-à-vis du monde politico-médiatique. Et le lectorat ou l’audience perdra confiance dans ces médias (en France, de plus en plus de gens n’ont plus confiance dans les médias mainstream avec le rachat de l’ensemble des grands médias par des industriels).









frikakwa a écrit :



Et?? C’est quoi le rapport avec ce que disait AktreX?

[…]





AktreX a écrit : « hier ça parlait qu’il n’y avait que google et qu’ils avaient donc une position dominante.

FB rentre dans la danse. » Je lui réponds que la publicité est captée par Google et Facebook. Pourquoi on parlerait aujourd’hui de Twitter qui ne fait pas le poids ? Pourtant Twitter, LinkedIn, Pinterest (tous les “webmédias”) sont concernés aussi (et n’ont pas forcément plus l’intention que Google de se plier à cette loi). Rien d’étonnant.



Excellent, même Facebook se fout de l’Esprit de la loi. <img data-src=" />


Je crois que les gafam respectent plus les lois que la pluspart des sites français… RGPD, déontologie, salaire des employers, cette article de loi…



Et l’optimisation fiscale, c’est l’europe qui l’avait permis pour devellopper l’irlande au tout debut et maintenant il faut l’accord des 27 pour revoir la fiscalité en europe, donc c’est mort.



Le truc avec cette loi c’est que des deputés avaient voulu encadrer ça, avec une remuneration autour d’un certain pour cent avec l’auteur et un prix encadré pour l’article partagé. Mais les editeurs ont expliqué que avec un tel systeme, ils ne pourraient pas négocier. Bien fait pour eux, a force de tout vouloir, on a rien.


“encadrer ” ?

En quoi cela aurait changé la réaction de google ?

Faire payer pour un service qui est en réalité donné par google (de la visibilité, un endroit que beaucoup utilise pour ensuite aller sur les articles)…



Cela aurait terminé comme en espagne : arrêt de google news en France.



Et je rigole bien sur l’argument : vu qu’il y a le résumé, les gens ne lisent que le résumé, et ne vont pas sur le site de presse… Le résumé est justement un élément qui permet de convaincre une personne d’aller voir le site en question. C’est un plus.



La preuve: quand google a voulu se conformer, et n’afficher que le titre, tout le monde s’est empressé de demander à google de rajouter le reste.



comme d’autres ont dit, c’est par la fiscalité qu’il faut attaquer. Faire de l’Europe une zone fiscale unique. Mais ça, les gens comme les politiques ne veulent pas en entendre parler.

Et pourtant, c’est bien là la source de tous nos problèmes économiques internes (la déclaration d’un siège fiscal fantôme dans un pays complaisant (on pense souvent à l’irlance, mais le benelux est pas mal dans le genre) pour faire passer la totalité des bénéfices dans ce pays, les autres filiales étant en déficit (ou neutre).

Bref, encore de l’argent du contribuable lancé dans la benne à ordures


C’est légèrement plus complexe que ça.









Gemini_Power a écrit :



[…]

comme d’autres ont dit, c’est par la fiscalité qu’il faut attaquer. Faire de l’Europe une zone fiscale unique. Mais ça, les gens comme les politiques ne veulent pas en entendre parler.

Et pourtant, c’est bien là la source de tous nos problèmes économiques internes (la déclaration d’un siège fiscal fantôme dans un pays complaisant (on pense souvent à l’irlance, mais le benelux est pas mal dans le genre) pour faire passer la totalité des bénéfices dans ce pays, les autres filiales étant en déficit (ou neutre).

Bref, encore de l’argent du contribuable lancé dans la benne à ordures





Oui, mais la cause, c’est plutôt que le marché commun s’est fait à 6. Comment veux-tu faire une zone fiscale à 28 ?









Gemini_Power a écrit :



[…]

Et je rigole bien sur l’argument : vu qu’il y a le résumé, les gens ne lisent que le résumé, et ne vont pas sur le site de presse… Le résumé est justement un élément qui permet de convaincre une personne d’aller voir le site en question. C’est un plus.



La preuve: quand google a voulu se conformer, et n’afficher que le titre, tout le monde s’est empressé de demander à google de rajouter le reste.

[…]





Sur les réseaux sociaux, et ce n’est que ma constatation personnelle (mais je ne suis pas le seul à déplorer), oui, je confirme la plupart des internautes ne cliquent pas sur le lien pour lire l’article, ils se contentent pour la plupart de lire sur Facebook, Twitter, Google, etc, et de regarder les images… Et, en plus, ce sont ces plateformes qui gagnent le plus d’argent avec la publicité ciblée. Attention, je ne donne pas raison au modèle économique exposé par les “ayants-droit” et par cette nouvelle loi, c’est le constat réel.



D’ailleurs, même sur Next inpact, on voit dans les commentaires ceux qui ont lu les articles et ceux qui commentent après avoir lu le titre.









Gemini_Power a écrit :



“encadrer ” ?

En quoi cela aurait changé la réaction de google ?

Faire payer pour un service qui est en réalité donné par google (de la visibilité, un endroit que beaucoup utilise pour ensuite aller sur les articles)…



Cela aurait terminé comme en espagne : arrêt de google news en France.

[…]





Si on veut être moins partial, on se demande également quel est l’intérêt de Google à éditer un service comme Gnews, non ? Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse préfèrent prendre leurs lecteurs pour des idiots qui ne font que cliquer sur les liens des plateformes de “webmédia”. Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse utilisent autant les services d’audience de Google ? Bref, que des bonnes questions dont les réponses ne se trouvent pas dans 10 lignes d’article de news à lire en 4 minutes.









ThomasBrz a écrit :



Le truc avec cette loi c’est que des deputés avaient voulu encadrer ça, avec une remuneration autour d’un certain pour cent avec l’auteur et un prix encadré pour l’article partagé. Mais les editeurs ont expliqué que avec un tel systeme, ils ne pourraient pas négocier. Bien fait pour eux, a force de tout vouloir, on a rien.





Pour ma part, je pense que l’erreur est plutôt en amont :




  • considérer les plateformes du numérique comme uniquement des diffuseurs d’information (qui doivent payer des droits d’auteurs) ou comme uniquement des hébergeurs

  • considérer que le chiffre d’affaire de la publicité se trouve dorénavant au niveau des plateformes du numériques (qui doivent redistribuer les revenus vers les producteurs de “contenus”)



    Pour moi, les plateformes du numérique correspondraient plus à des agrégateurs qui éditent parfois le contenu, mais leur rôle n’empêche nullement les organes de presse de faire leur travail et de se trouver des modèles économiques viables à côté. D’autant qu’un journaliste ou un reporter n’est pas spécifiquement un “producteur de contenus”, c’est un relais de l’information, un témoin, un commentateur, un analyste, un enquêteur, etc.









    ThomasBrz a écrit :



    Et l’optimisation fiscale, c’est l’europe qui l’avait permis pour devellopper l’irlande au tout debut et maintenant il faut l’accord des 27 pour revoir la fiscalité en europe, donc c’est mort.





    Je ne vois pas à quoi tu fais référence précisément. Moi, j’appelle ça le marché commun : « Libre circulation des biens, des personnes, des capitaux et des services. »

    https://www.touteleurope.eu/actualite/le-marche-unique.html









    ThomasBrz a écrit :



    Je crois que les gafam respectent plus les lois que la pluspart des sites français… RGPD, déontologie, salaire des employers, cette article de loi…





    Je n’ai pas la même impression : les Gafam paient régulièrement des arriérés d’impôts qu’ils avaient “oublié”. Une recherche rapide dans le moteur de recherche de Next inpact montre plusieurs articles.

    https://www.nextinpact.com/recherche?_search=redressement+fiscal&RubriqueId=…









Gemini_Power a écrit :



“encadrer ” ?

En quoi cela aurait changé la réaction de google ?

Faire payer pour un service qui est en réalité donné par google (de la visibilité, un endroit que beaucoup utilise pour ensuite aller sur les articles)…









Cela aurait terminé comme en espagne : arrêt de google news en France.



Et je rigole bien sur l’argument : vu qu’il y a le résumé, les gens ne lisent que le résumé, et ne vont pas sur le site de presse… Le résumé est justement un élément qui permet de convaincre une personne d’aller voir le site en question. C’est un plus.



La preuve: quand google a voulu se conformer, et n’afficher que le titre, tout le monde s’est empressé de demander à google de rajouter le reste. [/quote]

En faite ça aurait soit permis de se faire rémunérer par les gafa, soit les gafa ferment les tuyaux et on voit apparaitre des acteurs privés d’agrégateur d’actualité. Mais au lieu de ça les éditeurs esperaient négocier des exclusivités pour faire augmenter leurs audience et de ramener un peu plus d’argent.





Gemini_Power a écrit :



comme d’autres ont dit, c’est par la fiscalité qu’il faut attaquer. Faire de l’Europe une zone fiscale unique. Mais ça, les gens comme les politiques ne veulent pas en entendre parler.

Et pourtant, c’est bien là la source de tous nos problèmes économiques internes (la déclaration d’un siège fiscal fantôme dans un pays complaisant (on pense souvent à l’irlance, mais le benelux est pas mal dans le genre) pour faire passer la totalité des bénéfices dans ce pays, les autres filiales étant en déficit (ou neutre).

Bref, encore de l’argent du contribuable lancé dans la benne à ordures









joma74fr a écrit :



C’est légèrement plus complexe que ça.





Oui, mais la cause, c’est plutôt que le marché commun s’est fait à 6. Comment veux-tu faire une zone fiscale à 28 ?







C’était au debut de l’ue qu’on a décidé que chaque pays avait sa souveraineté sur sa fiscalité et pour qu’il y ait une reforme sur ça donc une harmonisation, il faut l’accord de tous les pays de l’ue donc c’est mort.

PS : La France impose jusqu’à 15 % pour les gros groupes via des accords et autres… c’est l’une des plus généreuses en Europe









joma74fr a écrit :



Si on veut être moins partial, on se demande également quel est l’intérêt de Google à éditer un service comme Gnews, non ? Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse préfèrent prendre leurs lecteurs pour des idiots qui ne font que cliquer sur les liens des plateformes de “webmédia”. Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse utilisent autant les services d’audience de Google ? Bref, que des bonnes questions dont les réponses ne se trouvent pas dans 10 lignes d’article de news à lire en 4 minutes.





Gnews est un service qui met en avant android, comme la messagerie, gmail et autre. Ça permet de proposer une suite de logiciel « confortable » pour l’utilisateur. Ce n’est pas forcement, une raison pécuniaire mais plus une raison d’environnement ergonomique pour l’utilisateur.

Il faut savoir que Google est devenue le principal service de publicité sur internet et beaucoup de dev utilise les outils google pour le confort. D’ailleurs, google a renforcé ses algos qui note les sites selon comment les pubs sont encombrantes, et a coté ils proposent un service de publicité qui a un trafic énorme (YT) et tant d’autre site en utilisant la publicité ciblée.

PS : il commence à avoir des études qui dénonce une surestimation de la valeur ajoutée des publicités ciblés .






Fermer