La répression des fraudes commence avec la société Feliccia Taskiran et sa dirigeante Gulfer Taskiran. Elle reproche la mise en place de pratiques commerciales trompeuses sur Snapchat (@feliccia_GUL) et Instagram (@ feli_ccia).
Elle enjoint aussi une autre influenceuse de « cesser des pratiques commerciales trompeuses » sur sa chaine YouTube, Instagram et TikTok. Elle « était rémunérée par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou services dans ses publications. Toutefois, les publications en question ne mentionnaient pas leur intention commerciale ».
La DGCCRF reproche aussi à Mélanie Orlenko (@melanie_orl) des « pratiques commerciales trompeuses » sur son compte Instagram. Il est question de « donner l’impression que le service présenté est licite alors qu’il ne l’est pas » et de « ne pas indiquer le caractère publicitaire des publications ».
Enfin, Amandine Pellissard « a mis en œuvre des pratiques commerciales trompeuses sur le compte Instagram @amandine.pellissard.off (auparavant dénommé @famille.pellissard.tf1) ». Les reproches sont à peu près les mêmes que pour Mélanie Orlenko.
Commentaires (12)
#1
Je ne les connaissais absolument pas. Je suis donc aller voir.
Je m’absenterai cette fois de faire un commentaire déplacé qui pourrait choquer (certains wokistes?), mais je dirai juste que pour toutes ces 4 là, un point commun apparait clairement: leurs esthéticienne-visagiste est surement leur 1ere alliée…
Sur la forme, en effet, pas grand chose à redire, mais j’imagine (d’après la DGCCRF), que sur le fond, ça doit pécher autrement et sérieusement…
Bref…
#1.1
Leur faux chirurgien esthétique, tu veux dire ? Dommage que les communiqués n’indiquent rien concernant les poursuites pénales contre les injecteurs, ou alors c’est qu’ils sont hors France/UE.
#1.2
On peut ajouter comme point commun le collagène (acide hyaluronique pour les intimes) pour les lèvres et… l’absence totale de scrupules. Ont-elles seulement eu recours elles-mêmes aux services des escrocs (qui ne sont pas des professionnels de santé) injectant cette substance qu’elles conseillent à leurs “influencés” ?
#2
J’ai fait un recherche sur Google image des 4 influenceuses.
J’avoue qu’on dirait des images générées avec la beta de midjourney…
#3
Je me souviens d’une phrase prononcée par le Roi Fou dans Game of Thrones qui conviendrait parfaitement à cette engeance… à l’ensemble des influenceurs en fait, et la société ne s’en porterait pas plus mal…
#3.1
engeance:
“Catégorie de personnes méprisables ou détestables”
Je connaissais pas !
Sinon c’était quoi la phrase? prononcée par Little Finger ou plutôt Cersei ?
#3.2
Prononcée par Aegon II Targaryen : Burn them all !
Un peu radical non ? :)
#4
On pourrait se dire que ceux qui tombent dans le panneau bah tant pis pour eux fallait pas être aussi stupide pour gober tout ce que racontent ce genre de dindes plastifiées (au passage si l’idéal féminin aujourd’hui c’est de ressembler à “ça” c’est triste) mais d’un autre coté on est quand même pas loin, et c’est un euphémisme, de l’abus de faiblesse et il me semble que c’est punissable et ça coûte très cher, je trouve la DGCCRF très coulante avec ces escrocs, d’autant quand ça peut potentiellement avoir des répercussions sérieuses sur la santé des gens
#4.1
#5
Seulement quatre?
#6
J’espère qu’avec la nouvelle loi, ça va taper sec. 300K d’amende et 2 ans de prison, ça en fera peut-être réfléchir certains.
Je remarque aussi que c’est sur insta/snap/tiktok que les dérives sont les plus nombreuses. Bizarrement, YT est assez épargné (et tant mieux).
Tous les youtubers que je suis (environ une centaine) ont toujours annoncés leur sponsos, s’ils en font.
#6.1
peut-être que Youtube est plus réactif ou que la peur de la démonétisation est efficace ?