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Bientôt un start-uper dans chaque entreprise publique ?

Tout le monde veut prendre sa place

Bientôt un start-uper dans chaque entreprise publique ?

Le 02 février 2015 à 11h15

Les entreprises dans lesquelles l’État détient une participation seront-elles bientôt contraintes d’intégrer dans les rangs de leur conseil d’administration une personnalité ayant des compétences en matière de numérique et d’innovation ? C’est ce que proposent les députés socialistes, ces derniers ayant également dans leur viseur les établissements publics. Explications.

Les députés du groupe socialiste ont manifestement été séduits par le rapport présenté au printemps dernier par Corinne Erhel (PS) et Laure de La Raudière (UMP) sur le développement de l’économie numérique. Les deux élues proposaient à l’époque d’inciter les entreprises du CAC 40 à intégrer systématiquement au sein de leurs conseils d’administration au moins une personne ayant fondé une start-up, un peu sur le modèle de ce qui prévaut pour la présence imposée de femmes.

Une obligation pour certains, une simple incitation pour d'autres

Au travers d’un amendement au projet de loi Macron « pour la croissance et l’activité », les parlementaires de la majorité proposent de décliner cette idée à toutes les sociétés commerciales dans lesquelles l'État ou ses établissements publics détiennent une participation au capital (Orange, Air France, Thales, EDF, Renault, Airbus...). Concrètement, ces entreprises seraient tenues de nommer une personne « en raison de sa connaissance des problématiques liées à l’innovation et au développement d’entreprises innovantes », dès lors que le nombre de membres siégeant au sein de leur organe délibérant – ou de leur conseil d’administration ou de surveillance – serait supérieur à un certain seuil, fixé par décret.

De manière moins stricte, les établissements publics seraient d’autre part invités à imiter ce mouvement. Les députés PS veulent modifier la loi de 1983 sur la démocratisation du secteur public, de telle sorte que le conseil d’administration ou de surveillance de la SNCF, de la RATP, de l'Opéra de Paris, etc. comprenne des personnalités choisies en fonction de différentes compétences, dont la « connaissance des problématiques liées à l’innovation et au développement d’entreprises innovantes ». Il ne s’agira cependant que d’une possibilité parmi d’autres (compétences techniques ou scientifiques, représentant de consommateurs, etc.) et rien ne garantira cette fois de « place réservée ».

députés

Aider les entreprises à prendre le virage du numérique

Selon les auteurs de cet amendement, chaque nouveau membre « partagera son expérience, insufflera une nouvelle culture de l’innovation, apportera un regard innovant, disrupteur, à même de permettre aux établissements et entreprises concernés de saisir les nouvelles opportunités offertes par le numérique ». En clair, il s’agit d’aider ces institutions à prendre le virage du numérique en se faisant aiguiller par une personne habituée à ses codes et pratiques, et qui pourrait disposer d’un carnet d’adresses intéressant.

On remarquera toutefois que la majorité a opté pour une méthode plutôt douce. Les personnalités choisies devront disposer d’une « connaissance » particulière « des problématiques liées à l’innovation et au développement d’entreprises innovantes », ce qui ouvre la porte à de très nombreux profils. Il y a quelques mois, la députée Laure de La Raudière voulait quant à elle imposer au sein des entreprises du CAC 40 des individus « ayant exercé des fonctions de dirigeant d’une jeune entreprise innovante », une notion précisément définie par le Code des impôts. Son amendement avait toutefois été rejeté, mais il pourrait ressurgir à l’occasion des débats relatifs au futur projet de loi numérique (voir notre article).

Le gouvernement ambitionne de diffuser la « culture digitale » au sein de l’État

Les discussions relatives à cette proposition des députés socialistes ne devraient pas avoir lieu avant plusieurs jours. Elles arriveront alors que Thierry Mandon, le secrétaire d’État en charge de la Réforme de l’État, a promis à l’Assemblée nationale la mise en place d’un « programme massif de diffusion de la culture digitale » au sein de l’État. « Le bouleversement induit par le développement des pratiques et usages digitaux dans la société française doit être absolument, pleinement et de manière urgente intégré par les différentes administrations de l’État » a-t-il ainsi fait valoir le mois dernier. Des « correspondants digitaux » devraient par exemple être désignés au sein des ministères. Ceux-ci « définiront la mise en œuvre de politiques nouvelles au sein des différents services publics ou feront l’interface avec les usagers pour que ceux-ci puissent pleinement profiter de ces changements ».

Commentaires (34)

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Une personne au CA ? bah voyons <img data-src=" /> ca va tout de suite améliorer les choses.



Sinon il y a des sociétés spécialisées dans l’accompagnement d’entreprise, c’est peut-être vers çà qu’il faudrait se tourner…



…ou alors, bon je sais que c’est pas à la mode, mais pourquoi pas embaucher des gens et monter un pôle numérique dans les sociétés ? Je sais bien que la gauche tente par tout les moyens de faire péter record sur record de chômage mais bon faut bien faire quelques sacrifices de temps en temps.

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Et c’est reparti avec la “culture digitale”… Décidément, faut vraiment qu’ils arrêtent.

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c’est plutot cohérent avec “profond sans vaseline” <img data-src=" />

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Il y a des patrons qui ont du temps à perdre? Ou est-ce une projet pour récompenser X-Niel?

&nbsp;Et je ne vous raconte pas les risques de corruption si cette grosse entreprise s’avère un jour devenir un client potentiel.

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C’est marrant, parce que ce matin en lisant une news (refus d’une gare TGV en lorraine), je me suis demandé combien il faudrait de millenaire pour les ram de tgv deviennent 100% automatiques…

Je veux dire, combien de millenaire apres que les voiture autonomes et volantes aient pris le dessus?

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“programme massif de diffusion de la culture digitale”



Culture digitale, ça veut dire qu’il faut arrêter de se laver les mains pour faire des cultures (champignons, bactéries …) sur nos doigts ?



Ou alors l’emploi du doigt en l’occurence est un message subliminal pour dire qu’ils vont encore nous le mettre bien profond ?



A moins qu’ils n’aient voulu dire numérique ?



Pour rappel (http://www.academie-francaise.fr/digital ) :



L’adjectif digital en français signifie « qui appartient aux doigts, se rapporte aux doigts ». Il vient du latin digitalis, « qui a l’épaisseur d’un doigt », lui-même dérivé de digitus, « doigt ». C’est parce que l’on comptait sur ses doigts que de ce nom latin a aussi été tiré, en anglais, digit, « chiffre », et digital, « qui utilise des nombres ». On se gardera bien de confondre ces deux adjectifs digital, qui appartiennent à des langues différentes et dont les sens ne se recouvrent pas : on se souviendra que le français a à sa disposition l’adjectif numérique.

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Ricard a écrit :



Et c’est reparti avec la “culture digitale”… Décidément, faut vraiment qu’ils arrêtent.





en même temps c’est raccord avec la lutte pour l’accès à la culture des handicapés.

on veut aider les malvoyants mais tout de suite ça braille



:partiloin:


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Je suis assez dubitatif… Les connaissances en innovation, ouais, j’ai un peu de mal à situer ce que c’est. Finalement, c’est de la gestion de projet avec un chiffrage des aléas couplé à une bonne connaissance technique d’un domaine…

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Dans l’idée très générale c’est pas trop mal.



Le tout est qu’en pratique ça ne finisse pas simplement en “pote de” comme seule compétence… <img data-src=" />

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Toujours des lois au lieu de promouvoir les passerelles



je vois mal comment les lios peuvent suivre le rythme de l’innovation. Pas sûr que ça soit la bonne approche même si l’intention est louable.



Ces pauvres politiciens devraient TOUS avoir bossé au moins 10 ans dans le privé avant, ça devrait être interdit les carrières de pur politicien, ils ne comprennent rien au monde réel….

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Reznor26 a écrit :



Dans l’idée très générale c’est pas trop mal.



Le tout est qu’en pratique ça ne finisse pas simplement en CON “pote de” comme seule compétence… <img data-src=" />







C’est bon la compote. <img data-src=" />

Pardon je viens de finir de manger…


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Razorgore a écrit :



Toujours des lois au lieu de promouvoir les passerelles



je vois mal comment les lios peuvent suivre le rythme de l’innovation. Pas sûr que ça soit la bonne approche même si l’intention est louable.



Ces pauvres politiciens devraient TOUS avoir bossé au moins 10 ans dans le privé avant, ça devrait être interdit les carrières de pur politicien, ils ne comprennent rien au monde réel….





Et à ceux qui ont bossé dans le privé, on leur reproche leurs relations avec le privé car cela crée des conflits d’intérêts. <img data-src=" />



WereWindle a écrit :



en même temps c’est raccord avec la lutte pour l’accès à la culture des handicapés.

on veut aider les malvoyants mais tout de suite ça braille



:partiloin:





<img data-src=" />


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Reznor26 a écrit :



Dans l’idée très générale c’est pas trop mal.



Le tout est qu’en pratique ça ne finisse pas simplement en “pote de” comme seule compétence… <img data-src=" />





Ça, c’est déjà dans les fiches de postes pour l’entrée en CA <img data-src=" />


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Le plus étrange étant que je mangeais effectivement une compote en lisant ta réponse o.O

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FunnyD a écrit :



Et à ceux qui ont bossé dans le privé, on leur reproche leurs relations avec le privé car cela crée des conflits d’intérêts. <img data-src=" />

<img data-src=" />





C’est marrant j’ai l’impression que c’est pas vraiment le même genre de reproche qu’on ferait à Philippe POUTOU pour avoir bosser dans le privé ? <img data-src=" />



Ceux à qui on reproche les conflits d’intérêts ne sont pas ouvrier sur une chaîne de production en général ;)


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Il ressemble un peu à Kerviel, le gars sur votre photo du haut…&nbsp;



Sinon, sur le sujet, je ne suis pas sûr qu’imposer cette idée soit bien. C’est un peu comme de forcer la parité parce que c’est bien, on a toujours un doute, est-ce qu’on prend les femmes par souci de représentation ou parce qu’elles vont amener quelque chose de plus?

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Bonjour,



A mon sens, le titre est trompeur. J’ai cru un court instant qu’un employé doit être du support aux start-up dans chaque entreprise publique, en lien avec les activités de l’entreprise.



Ensuite, qu’elle est la crédibilité d’un self made man au milieu de X / Mines / Télécom / SupAero / Centrale?

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C’est mon coté NSA. <img data-src=" />

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kypd a écrit :



C’est marrant j’ai l’impression que c’est pas vraiment le même genre de reproche qu’on ferait à Philippe POUTOU pour avoir bosser dans le privé ? <img data-src=" />



Ceux à qui on reproche les conflits d’intérêts ne sont pas ouvrier sur une chaîne de production en général ;)





Ceux qui sont ouvriers sur une chaine de production sont rarement élus à des hautes fonctions <img data-src=" />


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WereWindle a écrit :



&nbsp;

on veut aider les malvoyants mais tout de suite ça braille



:partiloin:



<img data-src=" />





Bon, maintenant, tu cours. Mais vite….


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la « culture digitale »



gniiiiiii <img data-src=" />

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vloz a écrit :



C’est marrant, parce que ce matin en lisant une news (refus d’une gare TGV en lorraine), je me suis demandé combien il faudrait de millenaire pour les ram de tgv deviennent 100% automatiques…

Je veux dire, combien de millenaire apres que les voiture autonomes et volantes aient pris le dessus?





un train c’est deja casi 100% automatique, c’est comme un avion… c’est des problème de réglementation &nbsp;comme pour la voiture autonome (qu’on sait deja faire en France)…


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sebcap26 a écrit :



“programme massif de diffusion de la culture digitale”



Culture digitale, ça veut dire qu’il faut arrêter de se laver les mains pour faire des cultures (champignons, bactéries …) sur nos doigts ?



Ou alors l’emploi du doigt en l’occurence est un message subliminal pour dire qu’ils vont encore nous le mettre bien profond ?



A moins qu’ils n’aient voulu dire numérique ?



Pour rappel (http://www.academie-francaise.fr/digital ) :



L’adjectif digital en français signifie « qui appartient aux doigts, se rapporte aux doigts ». Il vient du latin digitalis, « qui a l’épaisseur d’un doigt », lui-même dérivé de digitus, « doigt ». C’est parce que l’on comptait sur ses doigts que de ce nom latin a aussi été tiré, en anglais, digit, « chiffre », et digital, « qui utilise des nombres ». On se gardera bien de confondre ces deux adjectifs digital, qui appartiennent à des langues différentes et dont les sens ne se recouvrent pas : on se souviendra que le français a à sa disposition l’adjectif numérique.





Moi ça me fais penser à l’argument marketing d’il y a 20&nbsp; 30ans, où il ajoutait digital à a peut près partout (un peu comme multimedia/interactif/virtuel).


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GérardMansoif a écrit :



A mon sens, le titre est trompeur. J’ai cru un court instant qu’un employé doit être du support aux start-up dans chaque entreprise publique, en lien avec les activités de l’entreprise.&nbsp;





oui, dans le cadre d’un pole innovation au sein d’une boite, je dis pas, mais au niveau conseil d’administration, je suis vraiment pas sur que ce soit une bonne idée.

il y a quand meme start-up et start-up (je veux dire qu’il y en a une bonne grosse partie qui met la clé sous la porte… la startup qui se transforme en géant, bon, c’est loin d’etre la norme.)


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Ewil a écrit :



un train c’est deja casi 100% automatique, c’est comme un avion… c’est des problème de réglementation  comme pour la voiture autonome (qu’on sait deja faire en France)…



pas quasi, déjà 100% automatique (au moins pour les TGV). les conducteurs de TGV se contentent de tirer ou pousser une manette pour la conduite (le démarrage d’une machine est un poil plus complexe, mais rien de surhumain à automatiser), j’imagine qu’un circuit électronique peut produire le même effet… <img data-src=" />


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Même les japonnais et leur train le moins en retard du monde n’est pas automatique… Les contraintes sont différentes d’un métro dans un tube.



Bref.



Sinon l’idée ici présentée est bonne, mais on parle d’organisations nationales. Et elles n’ont pas leur pareil pour briser, casser ou évincer toute personne n’étant pas dans le moule.



Non, l’avenir réside dans la quantité importante de personnes partant à la retraite dans les années qui viennent. En prenant des jeunes, et en évitant qu’ils prennent les mauvaises habitudes, on peut changer la dynamique de l’ensemble.



Mettre une personne, en plus au sein du CA, relève de l’homéopathie.

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Patch a écrit :



pas quasi, déjà 100% automatique (au moins pour les TGV). les conducteurs de TGV se contentent de tirer ou pousser une manette pour la conduite (le démarrage d’une machine est un poil plus complexe, mais rien de surhumain à automatiser), j’imagine qu’un circuit électronique peut produire le même effet… <img data-src=" />





<img data-src=" /> il faut surtout appuyer toutes les x secondes sur un bouton qui change de place pour montrer que tu es “encore” vivant ;)


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Ewil a écrit :



<img data-src=" /> il faut surtout appuyer toutes les x secondes sur un bouton qui change de place pour montrer que tu es “encore” vivant ;)





Comme dans assassin creed, en fait.<img data-src=" />


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Ewil a écrit :



<img data-src=" /> il faut surtout appuyer toutes les x secondes sur un bouton qui change de place pour montrer que tu es “encore” vivant ;)



je crois qu’ils l’ont éliminé dans les TGV (mais je ne le certifierai pas) <img data-src=" />


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Le principe d’une startup, c’est de chercher son business model, donc d’avoir encore des choses à prouver avec sa boite, et peut-être prendre une future mauvaise décision. Je ne suis pas sûr que ce soit de ça dont auraient besoin les entreprises publiques, qui sont déjà des modèles de prise de décisions censées et de gestion rigoureuse de budget <img data-src=" />

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Ils feraient bien de commencer par mettre des chefs d’entreprise à Bercy pour remplacer la horde d’énarques pro-formats qui ruinent le pays depuis des décennies à coup de mesures anti-économiques non sensiques et contre-productives.



Quand on sait que sur la centaine de hauts fonctionnaires du sinistère de l’économie, seuls 2 ont passé plus d’un an dans une entreprise, et que ces guignols (en particulier ceux de Direction de la législation fiscale) ont entre leurs mains des armes de destructions économiques massives, on comprend mieux qu’ils en soient maintenant réduits à proposer de mettre un peu de culture (eh oui, l’innovation n’est qu’un problème culturel !) dans leurs machins publiques histoire de tenter une énième débilité après un demi siècle d’échecs patentés.



Élus et gouvernés par des idiots, quelle farce.

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Ewil a écrit :



<img data-src=" /> il faut surtout appuyer toutes les x secondes sur un bouton qui change de place pour montrer que tu es “encore” vivant ;)









Patch a écrit :



je crois qu’ils l’ont éliminé dans les TGV (mais je ne le certifierai pas) <img data-src=" />





De mémoire cela s’appelle “l’homme mort”, et c’est un mélange entre une poignée, un arceau et une pédale à maintenir / relâcher régulièrement sous peine d’avoir une corne de brume dans les oreille avant l’arrêt du train.


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linkin623 a écrit :



De mémoire cela s’appelle “l’homme mort”, et c’est un mélange entre une poignée, un arceau et une pédale à maintenir / relâcher régulièrement sous peine d’avoir une corne de brume dans les oreille avant l’arrêt du train.





Et on sait tous qu’une corne de brume reveille les morts <img data-src=" />


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WereWindle a écrit :



en même temps c’est raccord avec la lutte pour l’accès à la culture des handicapés.

on veut aider les malvoyants mais tout de suite ça braille



:partiloin:





<img data-src=" />


Bientôt un start-uper dans chaque entreprise publique ?

  • Une obligation pour certains, une simple incitation pour d'autres

  • Aider les entreprises à prendre le virage du numérique

  • Le gouvernement ambitionne de diffuser la « culture digitale » au sein de l’État

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