Référendum d’initiative partagée : le gouvernement désormais prêt au débat
Débats amoureux
Le 17 décembre 2018 à 16h02
10 min
Droit
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Afin de répondre aux revendications de certains « gilets jaunes », le gouvernement se dit prêt à rouvrir le débat sur le référendum d’initiative partagée (qui permet aux citoyens de soutenir, sur Internet, des propositions de loi). La majorité jugeait pourtant « prématuré » de s'aventurer sur ce terrain il y a encore quelques mois.
Après avoir fait différentes annonces en faveur du pouvoir d’achat, la semaine dernière, l’exécutif lâchera-t-il du lest en matière de démocratie participative ? À l’issue du Conseil des ministres du 12 décembre, le gouvernement s’est déjà engagé à « adapter les modalités du débat démocratique aux attentes des citoyens qui souhaitent être plus directement associés à l’élaboration des politiques publiques qui ont une incidence directe sur leur vie quotidienne », ou même à accentuer « l’inclusion de volets « participatifs » dans les budgets publics ».
Interrogé hier par Les Échos sur le « référendum d’initiative citoyenne » réclamé par certains « gilets jaunes », Édouard Philippe a déclaré : « Je ne vois pas comment on peut être contre son principe. » Le chef du gouvernement a ainsi confirmé que le « grand débat » national voulu par Emmanuel Macron serait l’occasion d’aborder cette proposition (voir notre article).
« Le référendum peut être un bon instrument dans une démocratie, mais pas sur n'importe quel sujet ni dans n'importe quelles conditions, a néanmoins prévenu le Premier ministre. C'est un bon sujet du débat que nous allons organiser partout en France. Comme l'est le vote blanc. »
Des revendications tournées vers le référendum d’initiative partagée
« Référendum populaire », « référendum d’initiative citoyenne »... Depuis plusieurs semaines, différents « gilets jaunes » plaident pour davantage de démocratie participative – parfois dans l’espoir d’obtenir in fine la destitution d’Emmanuel Macron.
Les revendications sont loin d’être identiques. Mais il a par exemple été réclamé qu’un « site lisible et efficace, encadré par un organisme indépendant de contrôle », soit mis en place, afin que les citoyens puissent « faire une proposition de loi ». Dès lors que le texte en question recueillerait au moins 700 000 signatures, le Parlement disposerait d’un an pour en débattre. Passé ce délai, la proposition de loi serait soumise « au vote de l’intégralité des Français ».
Le « référendum d’initiative citoyenne » se veut quant à lui un peu différent. Il permettrait non seulement de proposer (ou de supprimer) des lois, mais également de révoquer certains responsables politiques. Le tout sans débat parlementaire, puisque chaque décision serait prise par référendum.
En creux, ces « gilets jaunes » dénoncent l’inutilité de l’actuel « référendum d’initiative partagée », pourtant censé être opérationnel depuis 2015. Ce dispositif issu de la réforme constitutionnelle de 2008 a effectivement, en l’état actuel des choses, tout d’une usine à gaz.
Tout d’abord, il faut qu’au moins un cinquième des membres du Parlement (soit 185 députés et/ou sénateurs) s’associent pour le dépôt d’une proposition de loi rédigée par leurs soins. Après contrôle du Conseil constitutionnel – tant sur le fond du texte que sur la forme – s’ouvre une seconde phase, consacrée au recueil de signatures sur Internet.
Si, dans un délai de neuf mois, « au moins un dixième des électeurs inscrits sur les listes électorales » (soit plus de 4,5 millions de citoyens à ce jour) apporte son soutien au texte en question, celui-ci a vocation à être débattu devant le Parlement. Ce n’est cependant que dans l’hypothèse où la proposition de loi n’a pas été examinée au moins une fois par chacune des deux assemblées, dans un délai de six mois, que le président de la République est tenu de la soumettre à référendum.
Déjà des propositions de réforme à l’Assemblée
La semaine dernière, le député Julien Aubert (LR) a déposé deux propositions de loi – l’une constitutionnelle, l’autre dite « organique » –, afin de rendre le référendum d’initiative partagée « plus démocratique ». Ces textes, co-signés par une vingtaine d’élus de l'opposition, permettraient aux citoyens d’être directement à l’origine d’une proposition de loi (alors qu’ils sont aujourd’hui contraints de soutenir des textes d’origine parlementaire).
Le seuil retenu par Julien Aubert : 1/30ème des personnes inscrites sur les listes électorales – soit tout de même plus de 1,5 millions de citoyens. Le recueil des signatures se ferait « dans les mêmes conditions » que dans le cadre de la procédure actuelle, explique le parlementaire. C’est-à-dire sur le site « www.referendum.interieur.gouv.fr », qui n’a pour l’heure jamais accueilli la moindre proposition de loi.
Pour tout soutien, l’internaute est censé fournir les informations suivantes, à des fins de vérification d’identité : nom, prénom(s), sexe, date et lieu de naissance, lieu d'inscription sur les listes électorales, numéro, date et lieu de délivrance de la carte d'identité ou du passeport, et enfin adresse électronique ou postale. Une fois la signature validée, le ministère de l’Intérieur publie une « liste des soutiens », régulièrement actualisée, dans laquelle figurent les nom, prénom(s) et commune d'inscription des signataires.
Les propositions de loi de Julien Aubert prévoient également d’assouplir les seuils permettant aux parlementaires d’initier un référendum d’initiative partagée. Quatre députés ou quatre sénateurs pourraient par exemple proposer un texte, à condition qu’ils appartiennent à quatre groupes politiques différents.
Quand la majorité refusait de revenir sur le référendum d’initiative partagée
Seul hic, la majorité s’est déjà opposée à toute modification du référendum d’initiative partagée. Et ce pas plus tard qu’en juillet dernier, lors des débats sur la réforme constitutionnelle.
« L’usage régulier de la pratique référendaire, au fond, c’est de faire taire les minorités et les oppositions. Eh bien, nous, nous ne voulons pas de cela ! » avait clairement lancé Richard Ferrand. Le chef de file des députés LREM s’en était pris au passage aux votations suisses, dont les thèmes seraient selon lui « très souvent le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes qui, à la fin, sont d’ailleurs démasqués ».
Sur le banc du gouvernement, la ministre de la Justice avait reconnu que le référendum d’initiative partagée n’était « pas d’un maniement aisé », « mais tel est l’équilibre qui a été construit ». Nicole Belloubet avait ainsi appelé à « préserver » celui-ci, « tel qu’il a été écrit en 2008 ».
« C’est grotesque », avait notamment rétorqué Nicolas Dupont-Aignan. « L’objectif, c’était de faire semblant ! Et la réalité, aujourd’hui, vous le savez très bien, c’est que si on ne débloque pas le verrou législatif, le verrou du Parlement, il n’y aura jamais de référendum d’initiative partagée. »
La majorité n’avait toutefois pas voulu lâcher le moindre lest. La présidente de la commission des lois, Yaël Braun-Pivet, était ainsi venue enfoncer le clou : « Nous sommes arrivés à la conclusion qu’il n’était pas possible d’affirmer que les seuils ne sont pas les bons, puisqu’à ce jour, aucun référendum n’a été organisé dans ce cadre. Ce processus est encore trop récent, puisque la loi organique n’a été adoptée qu’à la fin de 2013. »
Pour l’élue LREM, « aucun élément factuel » ne permettait alors d’affirmer que les seuils en vigueur « sont si élevés qu’ils empêcheraient tout référendum d’initiative partagée ». Les modifier serait donc « prématuré », avait martelé la députée.
Un « grand débat » national censé s’achever début mars
L’heure est toutefois au changement de ton. « Une nouvelle opportunité se présente pour aller plus loin », nous confiait il y a peu la députée Paula Forteza, rapporteure (LREM) du groupe de travail sur la « démocratie numérique ».
La réforme constitutionnelle, déjà reportée à début 2019 en raison de l’affaire Benalla, devrait faire l’objet d’un nouveau changement de calendrier « afin que les travaux du Parlement puissent pleinement tenir compte des idées qui remonteront du grand débat national sur la question démocratique », a expliqué le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, la semaine dernière.
L’étude de la #réformeconstitutionnelle sera retardé pour prendre en compte les résultats du débat national sur les nouvelles formes de démocratie : réferendum, droit de pétition, vote blanc, réforme du @lecese ? Nous sommes à l’écoute et moteurs sur la participation citoyenne ! pic.twitter.com/kdR0SYu1qz
— Paula Forteza (@PaulaForteza) 16 décembre 2018
« Si dans le troisième thème de travail, qui est celui de la citoyenneté et de la démocratie, il y avait des propositions qui touchent à l’expression citoyenne, par exemple au référendum d’initiative populaire, d’initiative partagée, d’initiative citoyenne – avec les nombreuses modalités qui existent – ça tombe bien : on a un projet de loi constitutionnel qui va nous permettre immédiatement d’apporter une réponse » a poursuivi hier Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État au Numérique.
« Pour être crédible, la concertation à venir doit s’entourer de toutes les garanties désormais bien identifiées (marges de manœuvre politique, moyens financiers et humains cohérents, animation neutre et indépendante, calendrier réaliste...) » vient néanmoins de prévenir le groupement d’intérêts scientifique « Démocratie & participation ». « La réunion de ces conditions suppose à minima l’assurance de la transparence des échanges et un contrôle démocratique sur le traitement, les synthèses et les comptes rendus de l’immense matériau qui sera rassemblé, ainsi qu’un retour sur l’usage qui en sera fait dans les décisions publiques, justifiant ce qui est gardé ou non des propositions faites dans le débat. »
Le gouvernement a promis la semaine dernière de « faire un retour à tous ceux qui participeront ». Ce grand débat national, dont les modalités exactes de mise en œuvre devraient être précisées prochainement, sera néanmoins « conduit sous la supervision d’un collège de garants chargé d’assurer le bon déroulement des concertations, la transparence des débats et l’authenticité des remontées de propositions ». Il est censé s'achever le 1er mars.
Référendum d’initiative partagée : le gouvernement désormais prêt au débat
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Commentaires (96)
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Abonnez-vousLe 19/12/2018 à 09h53
Le 19/12/2018 à 10h01
des votes dit “populaires”Le principe d’un référendum, c’est l’expression du peuple… c’est la base d’un système politique dit démocratique.Après on peut être contre la démocratie. ça se défend…. peut être qu’une forme d’aristocratie “pouvoir aux élites intellectuelles” avec un contrôle citoyen (assemblée citoyenne de contrôle) est plus efficace/juste.Les gens qui ont un sens critique sans concession sur le RIC… j’aimerai qu’il utilise leur sens critique sur le système actuel et qu’il propose une alternative.Parce qu’aujourd’hui, c’est privatisation tous azimut des biens commun des français (autoroute, aéroports, forêts, bientôt les barrages électriques, mutuelle, clinique privée, école privée,… même les sociétés françaises se font rachetées), c’est du chacun pour soi (et forcément les bourgeois actuels sont pour)Alors propose un changement comme le RIC ne sera jamais parfait (si quelqu’un a un système parfait qu’il le dise ;-) )… mais ça le mérite de proposer, la possibilité de changer progressivement les choses, d’essayer des modifications dans notre système de gouvernance…
Le 19/12/2018 à 10h04
Le 19/12/2018 à 10h08
Le 19/12/2018 à 10h34
“tu sembles faire une fixation sur ton niveau intellectuel.“Non rien de personnel, je reste humble avec mon “niveau intellectuel”. Mais l’argument anti-RIC que j’entends le plus souvent: “les gens sont trop con pour voter”.Je trouve ça profondément méprisant,… Pour cotoyer des Gilets Jaunes… il y a beaucoup de bon sens, de sens du commun. Quand on explique quelques choses ils comprennent (il manque des bons profs ;-) )
“Sinon penser que 80% de la population ont les capacités de comprendre les grandes lignes d’une loi structurelle c’est de la pure utopie”Mais le RIC ne remplacera pas l’assemblée nationale… et les 200~300 lois votées par an seront toujours du fait de l’assemblée nationale (comme ton exemple)Le RIC permet de proposer des lois que les députés “oublies”, permettre d’abroger une loi qui est contre l’intérêt général,…
“il faut bien que les bonnes décisions soient prises par des “élites” (des vraies)“Je suis d’accord. D’où les questions:- Comment définir le mot “élite” ? Quelles compétences sont nécessaires (humaines/technocratique/scientifiques/… ?) ?- Comment choisir un représentant avec les bonnes compétences ? (l’élection favorise certaines compétences… qui ne sont pas forcément celles attendues pour gouverner)- Comment contrôler qu’un élite travaille pour le bien commun ? (l’élection tous les 5 ans, c’est ridicule comme “contrôle”. Un élue qui fait plein d’annonces (démagogiques) avant l’élection… sans contrôle derrière, c’est naif/stupide)…
Le RIC n’est pas une réponse magique, parfaite… il y a des défauts. Mais ça a le mérite de pouvoir proposer des choses… avec 2 protections (suffisantes ?):- celle de la pétition de déclenchement (~2⁄3% de la population ?))- le réferendum lui-mêmeune 3ème protection serait une chaine d’information publique indépendante et fiable.
Aujourd’hui, on n’a aucun contrôle citoyen sur nos élus (ni sur les médias public). Ils travaillent de moins en moins pour l’intérêt général (déconstruction de la SECU, niveau scolaire en baisse, augmentation des écoles privée, nos autoroutes perdues, la création monétaire perdue,……..)
Le 19/12/2018 à 10h43
Le 19/12/2018 à 11h24
Je vais sûrement te surprendre mais je suis entièrement d’accord avec tout ce que tu dis.
Comme quoi tout est possible. " />
Ça rejoint ce que je dis par rapport à cette fameuse “élite” (dont je persiste à penser qu’elle est souvent auto-proclamée) qui croit qu’elle est la seule à pouvoir comprendre et donc résoudre tous les problèmes de ces pauvres “ignares” qui ne comprennent rien à rien.
Le 19/12/2018 à 12h42
Perso, j’aurai pas dit non à un Coluche." />
Le 19/12/2018 à 12h47
Le 19/12/2018 à 12h49
Le 19/12/2018 à 13h10
Le 19/12/2018 à 13h21
Le 19/12/2018 à 13h36
Le 19/12/2018 à 14h31
Le 19/12/2018 à 14h53
Le 19/12/2018 à 15h05
Le 17/12/2018 à 19h37
Le 17/12/2018 à 20h03
Le 17/12/2018 à 20h13
ça tombe bien : on a un projet de loi constitutionnel qui va nous permettre immédiatement d’apporter une réponse
Bref, ils vont caser une ou deux mesures au milieu de toutes celles qui les arrangent, et comme ça soit ça passe et ils sont gagnants, soit ça ne passe pas et ils pourront dire qu’ils ont essayé mais que l’opposition a voté contre.
Le 17/12/2018 à 20h22
>> C’était plus une conversation, qu’autres choses !
Un monologue peut-être ?
Le 17/12/2018 à 20h30
Le 17/12/2018 à 21h37
Ça a été ça ton choix. À partir de là, tu acceptes le choix des autres, tu restes mesuré dans tes critiques et tu évites de réclamer un référendum pour pouvoir virer celui qui a été choisi parce que la fois d’après tu n’iras pas plus choisir.
Il t’aurait fallu quel type de candidat pour aller voter ? C’est histoire de comprendre.
Le 17/12/2018 à 21h47
Le peuple écrit une nouvelle constitution, on supprime le second tour et le président de la république, on légifère avec une assemblée représentative des votes d’un seul tour, et on refuse toutes lois qui sont contre l’intérêt de la moitié des Français (Traité de Maastricht=49% de non, Traité de Lisbonne=55% de non…), tant qu’il n’y a pas consensus (80%?) et trop de perdants d’une loi, on l’a retravaille jusqu’à ce qu’elle devienne meilleure pour tout le monde, sinon poubelle " />
Le 17/12/2018 à 22h12
Quand je voie que dans ma copro d’une centaine de personne, on a du mal a atteindre 66% de vote/pouvoir (nécessaire pour certaines résolutions) alors que ça les concernent directement " /> alors 80% pour un consensus c’est juste utopique.
Perso une démocratie liquide comme le propose le partie pirate m’irait bien mieux" />
Le 17/12/2018 à 22h19
Entre “permettre aux gens de s’exprimer” et “laisser les gens décider”, il y a (heureusement) un fossé.
Effectivement, je n’ai pas dit le contraire. S’exprimer à un référendum, ce n’est pas décider seul… aujourd’hui le président décide seul, sans contre-pouvoir citoyens.
Et pourquoi le “heureusement” ? Les gens sont trop con, pour décider de leur futur ?
Le 17/12/2018 à 22h31
Le 17/12/2018 à 22h32
“Aux dernières présidentielles, il y avait un choix un peu plus large que cela avec :
Mélanchon, Poutou, Le Pen, Hamon, Arthaud, Cheminade, Lassalle, Asselineau et Dupont-Aignan”
Tu peux chercher dans l’histoire et me donner un exemple d’un “petit” candidat qui a été élu ?
Et quand je dit “petit” candidat, j’utilise le même mot “petit” que les “journalistes”.
Tu peux me trouver un candidat d’un partie politique avec peu de moyen financier et peu de temps de parole qui a gagné une élection présidentielle ?
Il existe une corrélation très élevé (supérieur à 0.8) entre le budget de campagne (idem pour le temps de parole) et le nombre de vote gagné à l’élection. Tune ~= vote. Media ~= vote
Parce qu’entre théorie (gagné une élection avec un petit partie) et la réalité (victoire des gros)… il ne faut pas se mentir !
En théorie je peux gagner au loto… en pratique toujours pas ;-)
Je vous invite à lire l’article:
http://etrecitoyen.org/lelection-n-est-pas-outil-democratique/
Le 17/12/2018 à 22h34
Le 17/12/2018 à 23h12
Le 17/12/2018 à 23h27
Et bien ne vote pas et laisse les autres choisir, que veux-tu que je te dise ! Mais ne te plains pas, c’est une posture trop facile.
Si tout ceux qui veulent changer de système font comme toi et ne votent pas pour un petit, c’est sûr que ce sont les mêmes qui vont rester au pouvoir. Le meilleur moyen d’être visible, c’est de voter en masse pour les petits. Ça ne changera peut-être pas pour cette fois là, mais pour la fois suivante, ça aura forcément une influence et il y aura quelqu’un pour rassembler.
Le petit candidat qui s’est fait élire, c’est Macron. Il est parti de rien, sans parti (En Marche, c’était une rigolade au moment de son élection et ce n’est pas encore un parti très structuré).
Ah oui, pour l’élection présidentielle, tout le monde a le même temps de parole.
Quant aux budgets, on peut les lire ici, Hamon a eu quasiment le même que Macron et celui de Mélenchon était à 61 % de celui de Macron. Le budget, s’il est crédible, un candidat l’aura : il faut prouver que l’on sera remboursé de ses dépenses pour la partie emprunt.
Et si tu veux changer le mode d’organisation de la vie publique, il faut d’abord voter pour quelqu’un qui veut faire ce changement (il y avait Mélenchon qui proposait de faire une constituante pour une 6ème république) ou faire la révolution, mais fais attention, dans ce cas, tu auras des hommes armés en face et il y aura des morts.
Si tu veux, tu peux aussi nous expliquer concrètement quel système politique tu souhaites et comment tu penses qu’il puisse arriver à partir du système existant. Ça sera plus intéressant que ton premier message et ton “Enfumage” répété.
Le 17/12/2018 à 23h30
Tu as une preuve de cette corruption qui arrive “souvent” ou c’est du poujadisme de bas étage ?
Et pour les preuves d’incompétences, je les veux bien aussi, mais de façon étayée, hein.
Le 18/12/2018 à 00h34
Le 18/12/2018 à 09h59
….c’est 3-4 référendums par trimestre….
des sujets, TRÈS importants, y-en a pas tant-que-ça, pour le reste la “D.R. actuelle, me va bien ! " />
* ce ne doit, pas trop, difficile à organiser
Le 18/12/2018 à 10h01
Pas une question d’être trop cons, mais de maitrise des tenants et des aboutissants.
Pour voter une baisse ou hausse de l’impôt par exemple, il faut en connaitre les conséquences, ce qui demande du temps et de l’investissement.
Chose qu’aujourd’hui les gens n’ont peu avec l’aliénation au travail, et le peu de temps restant est vampirisé par Netflix et la PS4 " />
Le 18/12/2018 à 10h03
Disons que l’article de la constitution mentionne les trois couleurs sans préciser d’ordre, et c’est énoncé « rouge, jaune et noir » .
Mais à la base il était horizontal (ressemblant au drapeau allemand), c’est en dehors de la constitution qu’il est vertical et dans l’ordre noir-jaune-rouge.
Le 18/12/2018 à 10h13
je n’ai jamais compris cette phrase : “le Pouvoir a peur du Peuple” ! " />
Le 18/12/2018 à 10h41
“Et bien ne vote pas et laisse les autres choisir, que veux-tu que je te dise !“Justement, en réclamant le RIC… je demande à voter plus souvent. Il ne faut pas confondre vote et élection !
Tu n’as pas répondu à ma question: Est-ce qu’un petit candidat a déjà été élu depuis 200 ans qu’existe l’élection ?Parce que bon… attendre encore et encore… attendre l’élu providentiel… ça devient une religion. (Malheureusement, ça serait tellement plus facile… mais ça ne marche pas)
“Le petit candidat qui s’est fait élire, c’est Macron. Il est parti de rien, sans parti”C’est une blague ?Macron a été ministre. Il a participé à la commision Atali (encore lui !). Il est millionnaire avec son travail à la banque Rothschild. Il a eu une couverture médiatique sans précédent (record absolue de couverture de magasines).
“Ah oui, pour l’élection présidentielle, tout le monde a le même temps de parole.“C’est vrai seulement pour les 3 semaines qui précédent l’élection. Les 6 mois encore avant, c’est un temps de parole ‘équitable’… les “gros” parlent plus que les “petits”. Et encore avant, il n’y a aucun contrôle.
“Quant aux budgets, on peut les lire ici, Hamon a eu quasiment le même que Macron et celui de Mélenchon était à 61 % de celui de Macron. Le budget, s’il est crédible, un candidat l’aura : il faut prouver que l’on sera remboursé de ses dépenses pour la partie emprunt.Et les 11 candidats de départ, ils sont où ? Macron, Hamon, Mélenchon (61% seulement), Fillon et Le Pen.. 5 gros budgets… 5 personnes pro-système libérale… et les petits n’ont aucune chance.
“ou faire la révolution, mais fais attention, dans ce cas, tu auras des hommes armés en face et il y aura des morts.“En quoi demander le RIC (qui est un outil démocratique) devrait finir avec des morts ? Encore le chiffon rouge: changement = révolution = morts.
“Ça sera plus intéressant que ton premier message et ton “Enfumage” répété.“J’explique en quoi c’est un enfumage, juste après… il faut lire le post jusqu’au bout.
“Si tu veux, tu peux aussi nous expliquer concrètement quel système politique tu souhaites et comment tu penses qu’il puisse arriver à partir du système existant.“Le RIC est bon début pour proposer progressivement, à partir de l’existant, des changements vers la démocratie:- comment contrôler nos représentants ? Assemblée de contrôle. - prise en compte du vote blanc aux élections- interdiction de se présenter à une élection avec un casier judiciaire…Les idées, il y en a plein… si elles sont justes… le RIC permettra de les appliquer (sans attendre un élu(e)).
Des idées ici:http://etrecitoyen.org/democratie/
Pour le reste de notre débat… en MP
Le 18/12/2018 à 10h52
“Quand je vois comment les gens votent en France (j’ai souvent entendu des trucs style “je vote pour untel parce qu’il est beau” (les compétences? La politique prévue? Purement secondaire, il est beau!), “il est compétent, on le voit partout!” (heu… C’est quoi le rapport?)) sans compter les votes-sanction (“je vote contre car j’aime pas le gouvernement, même si je ne comprends rien au sujet”),“On est d’accord.“La politique prévue”Et même quand le politicard annonce un truc pendant sa campagne… rien ne garantie aux électeurs le résultat.Hollande qui devait se battre contre la finance, baisser le chômage, fermer fessenheim,… c’est juste de l’enfumage (clin d’œil à fred42) ça met en évidence un problème majeur sur “comment sélectionner nos représentants politiques ?”.L’élection favorise les “beaux-parleurs / menteurs”…. on est loin des compétences nécessaires pour gouverner.Et un 2ème point, inexistant aujourd’hui: “Comment contrôler nos représentants ?“Il n’y a aucun contrôle, aucune sanction possible.“ca m’étonnerait que la masse se renseigne avant de se rendre au scrutin.“Dans le cas d’un RIC… il n’y a qu’UN sujet à travailler… et non pas les centaines de propositions des programmes politiques actuelles (que peu de personnes doivent lire !)
Le 18/12/2018 à 11h03
“Pour voter une baisse ou hausse de l’impôt par exemple, il faut en connaitre les conséquences, ce qui demande du temps et de l’investissement.“Je suis d’accord (à quand les +1 sur les commentaires ;-)Après le RIC n’est pas là pour gérer le pays, ni pour voter toutes les lois (200~300 par an en France !)… déjà 2-3 comme les suisses.“Chose qu’aujourd’hui les gens n’ont peu avec l’aliénation au travail, et le peu de temps restant est vampirisé par Netflix et la PS4 " />”
Je suis d’accord ;-)
Le 18/12/2018 à 11h08
“je n’ai jamais compris cette phrase : “le Pouvoir a peur du Peuple” !“Le pouvoir (politique) => nos élus/représentants. Au pays-bas, ils ont supprimé le référendum… et les élus étaient contents (de conforter leur pouvoir politique) !Juncker : “Il ne peut y avoir de choix démocratique [RIC] contre les traités européens”
Le 18/12/2018 à 11h57
Le 18/12/2018 à 12h14
Le 18/12/2018 à 12h17
Le 18/12/2018 à 13h15
Ah merde. La mise en page était correcte avant envois !
Et les MP ne fonctionnent pas. Grrrrr
Le 18/12/2018 à 13h18
Vote pour mon chat.
Le 18/12/2018 à 14h00
Le 18/12/2018 à 14h02
Active l’éditeur BB code dans les options des commentaires (engrenage en haut des commentaires).
Je ne t’ai pas répondu pour la même raison, c’est illisible.
Le 18/12/2018 à 14h03
Le 17/12/2018 à 16h25
Enfumage, enfumage, enfumage…
J’ai entendu un député (en marche), qui parlait du référendum d’Initiative Citoyenne (RIC)… pour remonter des demandes… qu’ils [les députés] valideraient ou non !
Si l’ensemble des français s’expriment par référendum… on n’a pas besoin de l’accord “parentale” !
C’est incroyable, ils ne veulent pas que les gens s’expriment… les “sans dents”, les “illettrés”, les gueux, les cons !
Et j’aime bien le “3 mois de consultation”… histoire de passer l’hiver… et de refroidir l’ardeur des Gilets Jaunes !
Le 17/12/2018 à 16h30
Le 17/12/2018 à 16h54
Plus je lis les commentaires de NXI, plus j’ai l’impression d’être dans l’antichambre de Philippe Poutou. " />
Le 17/12/2018 à 17h00
Comme un certain nombre de gens, je suis plutôt dubitatif sur cette question du référendum ; ça semble la porte ouverte aux demandes sous le coup de l’émotion (genre le retour de la peine de mort), et on a pu voir que sauf exception (comme celui sur l’autodétermination de la Nouvelle-Calédonie, dans les années 90), il n’était pas vraiment répondu à la question du référendum, mais plutôt en fonction du pouvoir en place. Pas sûr qu’en France on ait la maturité suffisante pour des référendums.
Sans parler du fait que ces demandes un peu obsessionnelles pour le “RIC” (je passe sur le fait que “citoyen” n’a rien à faire là, un référendum est déjà un vote donc un acte civique) semblent émaner de gens persuadés qu’on va les suivre dans leurs demandes, parfois bien fantaisistes. A mon avis ils vont être déçus.
Même en Suisse, les référendums ont des portées limitées et sont parfois instrumentalisés, il y a des rapports sur le sujet.
(merci les rageux d’avoir commencé à truster les commentaires, les 2 premiers à l’instant où j’écris " /> )
Le 17/12/2018 à 17h11
Édouard Philippe a déclaré : « Je ne vois pas comment on peut être contre son principe. » …
…. “…mais pas sur n’importe quel sujet ni dans n’importe quelles conditions”
“Je ne suis pas raciste mais …”
“Je ne suis pas machiste mais…”
“Je ne suis pas homophobe mais…”
Tu la sens bien venir sa position sur le référendum et le résultat qui en découlera comme par hasard …" />
Le plus flagrant restant les réactions des députés de la LREM au micro des journaux TV/radios, tous en train de répéter exactement les mêmes éléments de langage (à défaut d’arguments) contre ce référendum.
La démocratie leur fait sérieusement peur et ils font tout pour l’annihiler.
Le 17/12/2018 à 17h11
Le 17/12/2018 à 17h18
“en France on ait la maturité suffisante”Et voilà, les gens sont con… sauf moi.Pour tous ceux qui sont supérieur aux autres… merci de sortir éduquer les autres… de faire monter le niveau… d’argumenter avec la populace…“merci les rageux “Pourquoi ‘rageux’ ? Pourquoi quand quelqu’un n’est pas de ton opinion, il faut l’insulter, dénigrer,…“d’avoir commencé à truster les commentaires”C’est l’hôpital qui ce fou de la charité ? J’ai commencé à lire les commentaires d’une news précédente… sur 300 commentaires, tu devais en avoir une centaine. C’était plus une conversation, qu’autres choses !
Le 17/12/2018 à 17h21
“les gens se déplacent jusqu’aux urnes” “élections importantes”Se déplacer pour donner tout son “pouvoir” politique à quelqu’un (qui peut faire l’opposer de ce qu’il a promis avant l’élection) ce n’est pas motivant.Si tu as le faux choix entre: “droite libérale, milieu libérale, gauche libérale’…… est-ce utile d’aller voter ? Le résultat sera libérale.
Le 17/12/2018 à 17h22
Idée de referendum :
* plus de pouvoir à la cnil.
* enterré hadopi.
* ferme certaines autorité indépendante inutiles.
* étoiles de la mort.
* base lunaire européenne.
* article 123 annulé.
* dépenses détailler de tout les élus.
* Que les AD paye le chômage des intermittent.
Etc…
Je sais, je troll un peu." />
Le 17/12/2018 à 17h30
Le 17/12/2018 à 18h14
Entre “permettre aux gens de s’exprimer” et “laisser les gens décider”, il y a (heureusement) un fossé.
Laisser les gens s’exprimer, et en tenir compte dans les décisions, c’est censé et ça ne peut apporter beaucoup. Laisser les gens décider, il est assez évident que ça mènerait tout droit à la faillite du système.
Le 17/12/2018 à 18h28
Le 17/12/2018 à 19h33
Le 18/12/2018 à 14h04
Sinon je ne vois toujours pas ce que cet article fait sur NXi
Le 18/12/2018 à 14h09
Le souci avec les 2-3 (comme en suisses), c’est que ça n’aboutit qu’à des votes dit “populaires” et non à des décisions qui impactent réellement la vie des gens (ça, les personnes en cravates choisissent pour eux ^^).
Le 18/12/2018 à 14h16
Le 18/12/2018 à 14h55
Euh, tu es sûr de ton coup ? Prenons 2018, par exemple.
Il y a eu de grandes propositions de principe (billag, monnaie pleine)
Mais aussi une loi sur les cornes des vaches, ou sur les détails de la réglementation des jeux d’argent
En Suisse, ça concerne aussi bien des trucs importants que des « détails »
Le 18/12/2018 à 14h58
Le 18/12/2018 à 14h59
Le 18/12/2018 à 16h15
perso., il me convient parfaitement !
(mais, les goûts et les couleurs…..) " />
Le 18/12/2018 à 22h36
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Et tu ne vois même pas la contradiction de dénigrer un point de vue te dérangeant, en l’accusant de se rapprocher de celui de la majorité élue (sous entendant qu’il serait incapable d’avoir son propre point de vue), tout en accusant les autres de prendre les gens pour des cons.
Le 19/12/2018 à 08h08
… il n’était pas vraiment répondu à la question du référendum, mais plutôt
en fonction du pouvoir en place….
ça…c’est la rengaine de “ceux” qui sont CONTRE le Référendum
prenons le prob. à l’envers : SI…on leur donnait l’occasion de s’exprimer PLUS* souvent
il se transformerait MOINS souvent en plébiscite “pour, ou contre” !!!
* le dernier remonte à……………………………………………………………………………….2005 (13 ans) ! " />
Le 19/12/2018 à 08h24
c’est sûr, il manquait “Superman, Zorro, et pour moi Iznogood” ! " />" />
Le 19/12/2018 à 08h53
Le 19/12/2018 à 09h25
Le 19/12/2018 à 09h36
Le 19/12/2018 à 09h38
Oui c’est complètement hypocrite et c’est ça qui me gêne…
Dans ce cas précis il n’y avait aucun doute possible et le mot “suspect” n’avait rien à faire ici, pas plus que la “présomption d’innocence”.
Mais c’est vrai qu’on peut toujours trouver des tas de “bonnes” mauvaises raisons pour dire n’importe quoi.
Ça veut dire quoi me “me laisser parler tout seul” ?
Je réponds simplement à un message en donnant différents exemples de mots et expressions que je trouve injustement utilisés… " />
Et toi quand t’écris un message vous êtes combien pour écrire ? " />
Le 19/12/2018 à 09h45
Le 19/12/2018 à 09h46
J’ai pas envie de plaisanter sur le sujet, vraiment.
Le 19/12/2018 à 15h06
Le 19/12/2018 à 22h03
Le 20/12/2018 à 09h37
je dirais : “tout…dépend du sujet”
donner mon avis ! " />
Le 18/12/2018 à 05h25
Je lai accepter depuis longtemps, par contre un référendum pour pouvoir virer quelqu’un d’élus ne fait pas partis de mes préférences, préfèrent les choix actuel : élection, démission, ou au pire des cas décès de mort naturel ou accidentel, par contre les assassinats c’est non. On peut ne pas respecter les élus, mais il faut quand même respecter les fonctions des institutions.
Le 18/12/2018 à 05h40
Je pense que, comme c’est le cas aujourd’hui dans la constitution, les sujets du référendum doivent être encadrés.
Faites un référendum après une erreur judiciaire, genre Omar Raddad ou Patrick Dils, la peine de mort est abolie.
Faites un référendum après le 13 Novembre ou Charlie Hebdo, la peine de mort est rétablie.
Et ce n’est pas une histoire de maturité ou d’intelligence, c’est une histoire d’émotionnel, de contexte.
C’est pas pour rien qu’on a créé le cadre de la Constitution pour éviter les dérives d’un Etat “légal”.
(Louis Favoreu, donne moi la force !)
Un RIC pour modifier la constitution, notamment ce qui touche au Bloc de constitutionnalité, je trouve ça dangereux.
Le 18/12/2018 à 08h20
Le 18/12/2018 à 08h44
En Suisse aussi il y a des affaires, des guerres au voisinage, des divergences, etc.
Les « votations » permettent de changer la constitution (elle a même dû être réécrite car elle était devenue un peu trop bordélique, pour la petite histoire).
Et pourtant « ça marche ».
Le vrai risque du referendum c’est de diviser une partie de la population dans un État à l’identité nationale plus fragile (Wallonie vs Flandre en Belgique, mais imagine si un referendum quelconque a 80 % de oui dans l’ensemble de la France et 80 % de non en Corse, en Bretagne, dans les DOM-TOM, en Alsace je ne sais nin ?)
Le 18/12/2018 à 08h49
Je ne connais pas le Droit Suisse en la matière, mais cela veut il dire que TOUS les champs du Droit, constitutionnel et autres, peuvent être soumis à Référendum ?
Un référendum pour interdire le droit de manifester ? Le droit de pratiquer telle ou telle religion etc… ?
Est il possible d’abolir la confédération helvétique et la transformer en Etat unitaire via référendum ?
Le 18/12/2018 à 08h50
Le 18/12/2018 à 08h57
à part le budget et ce qui contrevient au jus cogens, oui, il est possible de voter sur « tout »
Donc interdire la liberté religieuse non, changer de mode de gouvernement oui (mais ça m’étonnerait que ça soit accepté).
Le 18/12/2018 à 09h01
En effet, j’étais en train de lire l’article 193 de la Constitution.
Pour le coup ce bouclier du droit impératif est pas mal. En France le coupler au bloc de constitutionnalité ce serait un +.
Donc oui, y’a bien une limite à la modification par référendum, pour éviter tout basculement émotionnel.
Le 18/12/2018 à 09h03
Le 18/12/2018 à 09h06
Le 18/12/2018 à 09h12
Non, de la Suisse :https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19995395/index.html
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Le 18/12/2018 à 09h32
Le 18/12/2018 à 09h36
ok……mais qu’ils viennent pas nous parler “de Démocratie” dans ce cas !
osons appeler : un chat….un CHAT, qu’ils disent, ouvertement, “merci de nous avoir donné le Pouvoir
maintenant, (il est hors-de-question) de LE partager avec vous, na ” !!!!! " />
Le 18/12/2018 à 09h53
Ca, par contre, ça existe depuis qu’on vote.
Louis-Napoléon Bonaparte a été élu parce que ça rappelait son tonton.
Le Boulangisme est un passage pas mal de notre Histoire aussi.
On pourra jamais empêcher ça, sauf à créer un “permis de voter” mais je ne vois pas qui aurait la légitimité de créer et de donner ce permis…
Le 18/12/2018 à 09h54
Dans la constitution belge c’est l’article qui définit le drapeau et la devise, j’ai bogué aussi " />
Le 18/12/2018 à 09h57
Y’a pas eu une histoire comme quoi le drapeau belge était dans le mauvais sens depuis le début d’ailleurs ? (je digresse ça y’est)