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Aurélie Filippetti : « il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion »

Et prend le Cerf par les bois

Aurélie Filippetti : « il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion »

Le 12 décembre 2013 à 14h30

La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, vient d'annoncer que le gouvernement défendrait en 2014 un alignement du taux de TVA pour la presse en ligne à 2,1 %, comme c’est actuellement le cas pour la presse imprimée. La locataire de la Rue de Valois a également assuré qu’il n’y aurait pas de taxe sur la revente des livres d’occasion, contrairement à ce qu’elle suggérait dans une réponse écrite qui évoquait également le cas des fichiers numériques de seconde main.

 

Aurélie Filippetti était ce matin l’invitée de France Inter. L’intéressée fut bien entendu interrogée dans un premier temps sur son boycott (annoncé à la dernière minute) de l’inauguration du « Lab » de l'Institut Culturel de Google à Paris - lequel a finalement eu lieu mardi en présence de Fleur Pellerin, ministre déléguée à l’Économie numérique. « Il ne s’agit pas de bouder, ce n’est pas un caprice ou une saute d’humeur » a rétorqué à cet égard la locataire de la Rue de Valois.

Filippetti assume sa « décision politique » de boycotter Google

Après avoir indiqué au Monde qu’elle ne souhaitait pas « servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que [le gouvernement a] à traiter avec Google », notamment en matière de droit d’auteur, Aurélie Filippetti a donné un nouvel éclairage sur ce qu’elle a qualifié de « décision politique ». La ministre de la Culture a en effet expliqué que ce choix faisait suite aux récents propos de Vint Cerf, « évangéliste en chef » de l’internet pour Google, « qui avait déclaré quelques jours auparavant qu’il considérait que finalement la vie privée était une anomalie ».

 

annulation

 

« Aujourd’hui, tous les enjeux du Big Data (...), les enjeux de la protection de la vie privée, les enjeux aussi évidemment de la protection des droits d’auteur, les enjeux de l’ouverture des systèmes en matière de numérique (...) et puis la question de la fiscalité (...). Tout ça ce sont des enjeux majeurs et les déclarations de Vint Cerf, toutes récentes, me semblaient très problématiques pour une ministre de la Culture » a fait valoir Aurélie Filippetti.

Pas de taxe sur la revente d’ebooks d’occasion

Autre sujet sur lequel fut amené à se prononcer la ministre de la Culture : la revente de livres d’occasion, y compris sous forme numérique - du moins tel que l’avait évoqué l’intéressée au travers d’une réponse à une question parlementaire du député Hervé Gaymard. « C’est totalement faux ! C’est une rumeur totalement infondée qui circule... Non, non, non, pas du tout : il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion » a martelé Aurélie Filippetti.

 

La locataire de la Rue de Valois a cependant rappelé que le CSPLA, qui conseille son ministère en matière de propriété littéraire et artistique, se penchait effectivement sur le statut juridique du livre d’occasion (comme nous l’avions évoqué dans ces colonnes). « On réfléchit parque qu’Amazon, géant du numérique, on sait très bien la concurrence déloyale [qu’il] représente pour l’ensemble de notre réseau de libraires. Parfois, sur Amazon (...) sont vendus des livres qui sont présentés comme des livres d’occasion alors que se sont des livres neufs » a fait valoir la ministre. Les conclusions de la mission du CSPLA sur les fichiers d’occasion (musique, jeu vidéo, livre, film, etc.) sont d'ailleurs attendues pour juillet 2014.

Le gouvernement défendra l’alignement de la TVA entre presse imprimée et en ligne

Enfin, autre dossier évoqué par Aurélie Filippetti, celui de la TVA applicable à la presse en ligne. En effet, tandis que la presse imprimée est soumise à un taux « super réduit » de 2,1 %, les journaux en ligne doivent quant à eux appliquer un taux normal de 19,6 % (bientôt 20 %, au 1er janvier 2014). « Je suis favorable à ce que, dès 2014, et je l’ai dit, c’est la position que je défend, à ce que la presse en ligne soit soumise à la même TVA que la presse écrite, comme nous l’avons fait pour le livre » a déclaré la ministre de la Culture. Depuis le 1er janvier 2013, les livres numériques et physiques sont en effet soumis au même taux réduit de TVA (de 5,5 %). Un tel alignement vaut d’ailleurs à la France d’être traînée devant la Cour de justice de l’Union européenne par Bruxelles.

 

Sauf qu’une telle mesure fiscale n’a pas été inscrite dans le cadre du projet de loi de finances pour l’année prochaine... Selon Aurélie Filippetti, l’exécutif n’a « pas pu encore le faire sur la presse en ligne » en raison des contestations de la Commission européenne s’agissant de la TVA applicable aux livres numériques. La locataire de la Rue de Valois l’assure cependant : « Ce sera en 2014 la position du gouvernement » que de défendre « un taux réduit sur la TVA "presse en ligne" ».

Commentaires (28)

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entendue en live ce matin, <img data-src=" /> une capacité a esquiver les questions hors du commun et ne jamais oublier de cracher sur l’opposition!



“je l’ai lu sur une réponse que vous avez faite au député Gaymard”

“non”



Patrick cohen il sait pas lireuhhh <img data-src=" />



Et sinon, c’est bien beau de cracher sur Amazon …

mais la fnac fait aussi la livraison gratuite …



Quant a sa partie sur les livres d’occasion qui en fait serait des livres neufs,

perso, si quelqu’un pouvait m’expliquer, j’ai strictement rien compris.



et on parle pas de la partie sur la musique, élitisto-parisiano centrée …

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paradise a écrit :



Parole de ministre! <img data-src=" />





<img data-src=" />


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paradise a écrit :



Parole de socialiste ! <img data-src=" />











dematbreizh a écrit :



<img data-src=" />







Parole de politique !



Pas de jaloux <img data-src=" />


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-sd- a écrit :



“je l’ai lu sur une réponse que vous avez faite au député Gaymard”

“non”



Patrick cohen il sait pas lireuhhh <img data-src=" />





En l’occurrence elle a raison Voir sa réponse :



En ce qui concerne le développement de l’occasion de livres imprimés, les premiers contacts pris avec les acteurs du livre - au premier chef desquels les auteurs et les éditeurs - font certes apparaître leur préoccupation mais également la nécessité d’une mesure de l’ampleur de ce phénomène et de ses évolutions récentes qui n’a aujourd’hui pas été menée. Il convient également sans doute de préciser les notions de livre neuf et livre d’occasion dans la mesure où certaines propositions commerciales tendent aujourd’hui à les confondre. De ce point de vue, la création d’un médiateur du livre, votée à l’occasion des débats autour du projet de loi relatif à la consommation, pourra permettre d’éclairer cette question.





C’est une réponse assez longue et de technocrate, mais il n’est pas dit que qu’il y a un projet de taxe. Il n’est pas dit le contraire non plus.



Elle utilise sa méthode habituelle (comme avec Pierre Lescure) faire “éclairer” la situation par le médiateur du livre qui sera nommé !



Et après, si elle est toujours là, elle pourra dire, ce n’est pas moi mais le médiateur qui l’a proposé après avoir entendu les différentes parties.





Quant a sa partie sur les livres d’occasion qui en fait serait des livres neufs,

perso, si quelqu’un pouvait m’expliquer, j’ai strictement rien compris.



Ce que j’ai compris sur cette partie, c’est que sur le Marketplace d’Amazon certains vendraient des livres neufs en disant qu’ils sont d’occasion afin de les vendre moins cher que le prix unique (minoré de 5%).


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La ministre de la Culture a en effet expliqué que ce choix faisait suite aux récents propos de Vint Cerf, « évangéliste en chef » de l’internet pour Google, « qui avait déclaré quelques jours auparavant qu’il considérait que finalement la vie privée était une anomalie ».





Bordel, elle n’a rien compris à ce qu’il dit. <img data-src=" />



Je tire ce qui suit de l’article de The Verge cité dans la news. Je l’avais déjà lu hier et je n’ai pas compris ce que disait Filippetti ce matin à ce sujet.

Le fait de l’avoir relu aujourd’hui me conforte dans mon impression.



Il fait un constat de la situation actuelle, puis il explique son point de vue qui est loin d’être celui que notre Ministre décrit.



Il prévient ensuite qu’il a simplifié son point de vue en parlant de ça et qu’il ne faut pas croire qu’il considère cela superficiellement, mais que c’est de plus en plus difficile d’atteindre un bon niveau de vie privée.

Il met en cause le comportement de personnes qui par exemple taguent quelqu’un sur une photo sans son consentement (et sans qu’il le sache).

La technologie est allée bien plus vite que notre intuition sociale et qu’il y a un besoin de développer des conventions sociales qui soient plus respectueuses de la vie privée.



Il dit enfin que le respect de la vie privée va progresser avec le temps mais qu’en attendant, c’est quelque chose avec lequel il va falloir vivre.



Bref, pour quelqu’un de chez Google, il est quand même très pondéré dans son jugement et il pense que la vie privée est à préserver.



Mais cette Ministre c’est encore une fois ridiculisée en ne comprenant rien à ce qu’il a dit. Ce qui m’embête le plus, c’est qu’elle a ridiculisé la France en même temps.

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il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion





Dans ce cas y’a-t-il pour les livres d’occasion un projet de redevance, impôt ou toute forme de prélèvement obligatoire à destination d’une structure liée à l’état ou à toute forme d’ayant droit, auteur, maison d’édition ou major ?



Je me méfie des politiques et de la langue de bois …



<img data-src=" />

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fred42 a écrit :



(…)





ce serait surement intéressant qu’il développe son idée parce que là, il y a une part de cynisme tout de même (dans la manière sont il le tourne, du moins)


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traduction : pour l’instant, il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion…

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fred42 a écrit :



Bordel, elle n’a rien compris à ce qu’il dit. <img data-src=" />





En même temps, faut pas trop leur en demander…

http://leblogalupus.com/2013/12/09/la-predominance-du-cretin-par-charles-gave/


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WereWindle a écrit :



ce serait surement intéressant qu’il développe son idée parce que là, il y a une part de cynisme tout de même (dans la manière sont il le tourne, du moins)





Tu peux développer toi aussi ?



Je ne le trouve pas cynique, c’est même courageux de sa part, bossant dans une boite qui vit de l’étude des habitudes des ses utilisateurs.

Je vais essayer de résumer ce que j’ai compris, plus haut, j’ai plutôt fait une simili traduction.



En gros, il dit que s’il y a perte de vie privée, c’est de la faute des utilisateurs de technologies nouvelles qui mettent en ligne plein de trucs y compris qui concernent d’autres personnes qu’elle-même et sans se rendre compte de ce qu’elles font et des conséquences possibles.



Il a quand même bien raison, les gens mettent plein de trucs sur sur eux-mêmes ou des proches en ligne, mais c’est plus sur les réseaux sociaux genre Facebook, twitter ou autre. Je n’ai pas trop étudié l’aspect Google+ pour en parler.



Mais Google à mon avis est plutôt respectueux de la vie privée. Je sais que je vais en faire bondir certains.



Il garde pour lui l’essentiel des données qu’il a sur ses utilisateurs et ne vend que des cibles anonymes aux annonceurs.

Et si son moteur de recherche remonte des informations sur toi, il ne fait que s’appuyer sur des informations qui ont été publiées par toi ou d’autres.



Sachant cela, j’utilise certains services de google dans un cadre particulier.

J’utilise aussi certains outils du Web où je m’expose actuellement parce que je veux être trouvé et qu’on me propose du boulot. Ça marche plutôt bien d’ailleurs, au moins la partie “me trouver”, même si cela n’aboutit pas pour le moment.

Mais je cloisonne, en particulier parce que je ne veux pas que ce qui concerne ma vie privée soit rattachable à ma vie professionnelle. Je cloisonne aussi différentes parties de ma vie privée.



Mais j’ai la chance de bien comprendre tout cela, les nouvelles technos et leur conséquences.



La plupart des gens vont plus lentement et apprendront des erreurs, des leurs ou de celles des autres.


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Filippetti rien que le nom m’amuse (ou pas)… <img data-src=" />

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fred42 a écrit :



Tu peux développer toi aussi ?



Je ne le trouve pas cynique, c’est même courageux de sa part, bossant dans une boite qui vit de l’étude des habitudes des ses utilisateurs.

Je vais essayer de résumer ce que j’ai compris, plus haut, j’ai plutôt fait une simili traduction.



En gros, il dit que s’il y a perte de vie privée, c’est de la faute des utilisateurs de technologies nouvelles qui mettent en ligne plein de trucs y compris qui concernent d’autres personnes qu’elle-même et sans se rendre compte de ce qu’elles font et des conséquences possibles.



Il a quand même bien raison, les gens mettent plein de trucs sur sur eux-mêmes ou des proches en ligne, mais c’est plus sur les réseaux sociaux genre Facebook, twitter ou autre. Je n’ai pas trop étudié l’aspect Google+ pour en parler.



Mais Google à mon avis est plutôt respectueux de la vie privée. Je sais que je vais en faire bondir certains.



Il garde pour lui l’essentiel des données qu’il a sur ses utilisateurs et ne vend que des cibles anonymes aux annonceurs.

Et si son moteur de recherche remonte des informations sur toi, il ne fait que s’appuyer sur des informations qui ont été publiées par toi ou d’autres.



Sachant cela, j’utilise certains services de google dans un cadre particulier.

J’utilise aussi certains outils du Web où je m’expose actuellement parce que je veux être trouvé et qu’on me propose du boulot. Ça marche plutôt bien d’ailleurs, au moins la partie “me trouver”, même si cela n’aboutit pas pour le moment.

Mais je cloisonne, en particulier parce que je ne veux pas que ce qui concerne ma vie privée soit rattachable à ma vie professionnelle. Je cloisonne aussi différentes parties de ma vie privée.



Mais j’ai la chance de bien comprendre tout cela, les nouvelles technos et leur conséquences.



La plupart des gens vont plus lentement et apprendront des erreurs, des leurs ou de celles des autres.





bah tel que rapporté par The Verge, son argumentation fait :




  • l’attachement à la vie privée est un phénomène récent lié au progrès technique et démographique (plus de villes, plus grandes, etc.

  • la technologie (notamment de communication) a continué de progressé plus vite.

  • les moyens de protéger la vie privée sont obsolète face aux techno ci-dessus

  • ils vont évoluer mais il y aura de la casse entre temps.



    Ce que j’en déduits : on (Google) en profite tant que c’est open bar, de toute façon ça ne durera pas.

    Note que Zuckerberg avait dit à peu près la même chose en plus violent il y a un ou deux ans (de mémoire, il disait “c’est à la notion de vie privée de s’adapter à la technologie et non l’inverse”).



    Autant aussi bien lui que Cerf ont raison, en un sens, sur cette nécessaire évolution, autant venant de gens dont les revenus viennent justement de l’exploitation de cette vie privée, je trouve cela cynique.

    Enfin, ils présentent tous deux cela comme un fait inéluctable et extérieur (dit autrement que la technologie au sens large évolue sans contrôle, en dehors de l’homme pourrait-on dire) au même titre que le monde des idée platonicien.

    Je trouve l’argument bancal.



    Après, il dit lui-même résumer sa pensée à l’excès, du coup je fais probablement un réquisitoire infondé.



    (PS : j’ai écrit tout le pavé après n’avoir lu que ta première phrase. je te rejoins partiellement sur ta vision de Google)

    (PPS : pardon pour les pavés HS <img data-src=" />)


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WereWindle a écrit :



(PPS : pardon pour les pavés HS <img data-src=" />)





On n’est pas HS à mon avis : on discute d’à peu près 13 de la news et du fait que Filippetti n’a rien compris à ce que Vint Cerf avait dit au sujet de la vie privée sur Internet.


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Aurélie Filippetti : « il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion »





Et je vais me rendre au Google Lab

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nighty a écrit :



Je suis pour un alignement avec la TVA à 20% et un arrêt total des subventions.







Et la fin du prix unique ?


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Les conclusions de la mission du CSPLA sur les fichiers d’occasion (musique, jeu vidéo, livre, film, etc.) sont d’ailleurs attendues pour juillet 2014.





Ouais… bah si c’est pour se retrouver avec des vieux octets qui ont été lus et relus mille fois par un gars pas soigneux, je préfère autant acheter des octets tout neuf quitte à payer plus cher…





/portnawak

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127.0.0.1 a écrit :



Ouais… bah si c’est pour se retrouver avec des vieux octets qui ont été lus et relus mille fois par un gars pas soigneux, je préfère autant acheter des octets tout neuf quitte à payer plus cher…





/portnawak





<img data-src=" /> c’est tellement ça


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Aurélie Filippetti : « il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion »





On aurait du s’en douter. Une taxe de plus c’était trop tentant pour eux…. <img data-src=" />

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Taxé les produits d’occase <img data-src=" /> ils en ont des idées quand il s’agit d’impôt <img data-src=" />



Il doit y avoir un élevage dans l’Est en plus c’est la saison des dindes <img data-src=" />

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Idiot Proof a écrit :



Taxé les produits d’occase <img data-src=" /> ils en ont des idées quand il s’agit d’impôt <img data-src=" />



Il doit y avoir un élevage dans l’Est en plus c’est la saison des dindes <img data-src=" />







Ils croient taxer le vendeur, mais en fait c’est une surtaxe sur un produit déjà taxé et qui a vécu sur le dos du client suivant et du suivant et suivant et du suivant, wouaw une taxe qui rapporte par incrémentation de revente <img data-src=" />


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un ebook d’occasion ? kézako ?

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Allez, afin que Filippetti soit bien vénère : Je lui annonce que je viens de passer une commande sur Amazon !!! Voilà, c’est dit !



Pour en revenir à la news, très sincèrement, je suis sûr que l’idée va revenir sur le tapis un jour. Le ministère de la culture est généralement un lieu très propice aux taxes loufoques faites pour alimenter une espèce de mafia de certains lobbys de produits culturelles qui ne voit que les technologies modernes que destruction et hérésie (pour schématiser) qui ne semble qu’a être bon a taxer.

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Une TVA sur la presse en ligne à 2,1%, ça pose effectivement un énorme problème de concurrence avec d’autres pays de l’UE, notamment ceux francophones (Lux., Suisse, Belgique …) .



Je ne pense pas que ça passera, bien que je sois plutôt pour un taux réduit, ça me semble pas vraiment normal et ce serait plutôt du genre à inciter ces sites là à venir vendre à partir de notre territoire, concurrence déloyale, toussa …

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Ha mais Si la Filippetti l’a dit, c’est que c’est du sûr à 100%

Cette marionnette a toute ma confiance… on peut donner crédit à ses propos, y a pas de doute.



Allez je vais prendre mes cachets de cortisone pour calmer mon allergie…

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Je suis pour un alignement avec la TVA à 20% et un arrêt total des subventions.

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Parole de socialiste ! <img data-src=" />

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On réfléchit parque qu’Amazon, géant du numérique, on sait très bien la concurrence déloyale “qu’il” représente pour l’ensemble de notre réseau de libraires. Parfois, sur Amazon (…) sont vendus des livres qui sont présentés comme des livres d’occasion alors que se sont des livres neufs





vous pas parler bien Français ?

vous ministre de l’etranger ? ha non ?

vous culturisme!!

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La ministre de la Culture a en effet expliqué que ce choix faisait suite aux récents propos de Vint Cerf, « évangéliste en chef » de l’internet pour Google, « qui avait déclaré quelques jours auparavant qu’il considérait que finalement la vie privée était une anomalie ».





Et pendant ce temps, #LPM…<img data-src=" />

Aurélie Filippetti : « il n’y a aucun projet de taxe sur les livres d’occasion »

  • Filippetti assume sa « décision politique » de boycotter Google

  • Pas de taxe sur la revente d’ebooks d’occasion

  • Le gouvernement défendra l’alignement de la TVA entre presse imprimée et en ligne

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