TP-Link TL-SG108E : tour des fonctionnalités d’un switch 8x 1 Gb/s administrable à 35 euros
Quels sont ses réseaux ?
Le 25 janvier 2023 à 14h59
9 min
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Des switchs, il en existe à tous les prix ou presque. Aujourd’hui, nous jetons notre dévolu sur le TL-SG108E, un modèle avec huit ports Ethernet à 1 Gb/s. Vendu une trentaine d’euros, il a l’avantage d’être manageable. Qu’est-ce que cela signifie et quelles sont les options proposées ? On vous explique.
Avec la multiplication des ordinateurs et autres objets connectés dans la maison, le besoin d’installer un switch peut rapidement se faire ressentir. Les box en intègrent parfois, mais généralement entre deux et quatre ports seulement, trop peu dans de nombreuses situations. S’il ne s’agit simplement d’assurer une connexion, on trouve des modèles avec huit ports Ethernet à 1 Gb/s pour moins d’une vingtaine d’euros.
Il existe aussi des switchs dits « manageables » ou administrables pour quelques euros de plus. C’est le cas du TL-SG108E de TP-Link. Actuellement vendu aux alentours de 35 euros, nous l’avons acheté la semaine dernière pour à peine plus de 30 euros. Il est souvent en promotion chez les revendeurs ; il est même déjà descendu à 22 euros seulement (avant la pandémie).
Quelles sont les fonctionnalités proposées par ce switch ? Peuvent-elles vous être utiles au quotidien ? Valent-elles le coût par rapport au TL-SG108 non manageable à 17 euros ? On vous propose un petit tour d’horizon des services disponibles sur un switch à 30 euros.
Installation et accès à l’interface d’administration
Première chose à savoir, un switch administrable peut être utilisé sans se plonger dans les méandres de son interface de gestion. Branchez-le à votre box et connectez vos différents appareils, ils seront alors sur le même réseau local et pourront accéder à Internet. C’est exactement la même chose qu’avec un switch non administrable.
Le boîtier du TL-SG108E est entièrement métallique (15,8 x 10 x 2,5 cm) avec les huit ports gigabit RJ45 sur l’avant, ainsi qu’un bouton reset et la prise d’alimentation sur l’arrière. Le transformateur affiche une tension en sortie de 5 volts pour 0,6 ampère, soit une puissance de 3 watts. Aucun ventilateur n’est présent.
Particularité de notre switch administrable : il dispose de sa propre adresse IP et il suffit de la saisir dans son navigateur pour arriver sur son interface de gestion. Pour vous aider à la trouver, TP-Link propose un petit utilitaire Easy Smart Configuration Utility. Il suffit de le lancer depuis un ordinateur relié au switch pour qu’il nous donne son adresse IP. On peut également accéder directement à l’interface de gestion en cliquant sur Login (colonne de droite).
Changer le mot de passe et mettre à jour le firmware
Par défaut, les identifiants sont admin et admin pour le login et le mot de passe. À la première connexion, le switch demande de le changer… fort heureusement d’ailleurs. Même si vous n’avez pas besoin de trifouiller dans l’interface pour le moment, pensez à le changer immédiatement après l’installation pour limiter les risques de piratage.
Dans notre cas, la seconde chose que nous avons faite était de mettre à jour le firmware pour passer à la version 1.0.0 Build 20220930 Rel.35985 (la dernière en date). Une fois le fichier téléchargé sur le site du fabricant (attention à bien vérifier la version matérielle visible dans System Information, V6 dans notre cas), il faut se rendre dans Systems Tools, Firmware Upgrade et suivre les instructions.
Nous ne nous attarderons pas dans la partie System de l’interface de gestion. Sachez simplement qu’elle permet de changer le mot de passe, le nom d’utilisateur, de sauvegarder ou rétablir une configuration, d’éteindre les LED, etc. Juste une précision dans IP Setting : la fonction DHCP Setting permet au switch de récupérer tout seul son adresse IP depuis un routeur. Si on passe sur Disable, on peut alors indiquer l’adresse IP, le masque et la passerelle manuellement.
Les options de Switching, avec un détour par le LAG
Passons maintenant aux autres options, en commençant par le menu Switching. Dans Port Setting, vous pouvez activer/désactiver chaque port et ajuster sa vitesse (auto, 10, 100 ou 1 000 Mb/s) individuellement. Le contrôle de flux (Flow Control) permet, lorsque le switch est surchargé, d’envoyer une trame PAUSE à l’appareil afin de lui signifier d’arrêter d'envoyer les transferts pendant un certain temps pour éviter « la perte de paquets causée par la congestion ».
Dans IGMP (Internet Group Management Protocol) snooping, vous n’aurez a priori rien à modifier. Cloudflare rappelle que cette méthode est utilisée « pour identifier les groupes de multidiffusion, c'est-à-dire des groupes d'ordinateurs ou de périphériques qui reçoivent tous le même trafic réseau. Il permet aux commutateurs de transmettre les paquets aux bons périphériques de leur réseau ». Elle n’a rien d’exceptionnel et on la retrouve sur de nombreux switchs administrables ou non.
LAG (Link Aggregation Group) permet, comme son nom l’indique, de créer des groupes de ports qui seront agrégés entre eux pour multiplier la bande passante. Si vous avez par exemple un NAS Synology avec plusieurs ports Gigabit (le fabricant les préfère encore et toujours au multi-Gig), vous pouvez créer un LAG sur le switch et relier les ports correspondants au NAS. Sur notre switch, jusqu’à deux LAG peuvent être mis en place.
À la découverte du Monitoring
Dans la partie Monitoring, on retrouve des statistiques sur l’utilisation de chaque port : paquets envoyés et reçus, ainsi que les éventuelles erreurs. On peut remettre les compteurs à zéro.
Dans ce menu, on peut aussi définir un port miroir. Le switch transférera alors des copies des paquets entrants et sortants d'un ou plusieurs ports vers ce port miroir. Cela permet par exemple de surveiller et d’analyser les données entrantes et/ou sortantes d’une machine.
Dans la partie Cable test, le switch vous propose de « diagnostiquer l'état de connexion du câble connecté au switch et la distance à laquelle se trouve le problème ». La distance en mètres est celle où le switch estime que se trouve le souci, sinon il donne la longueur du câble.
On retrouve enfin Loop prevention. Cette fonctionnalité vérifie qu’il n’y a pas de boucle dans votre réseau local et, si c’est le cas, désactive le port fautif. Cela peut arriver lorsque plusieurs switchs sont installés sur un même réseau et provoquer une surcharge avec des paquets qui tournent en boucle. Il est généralement recommandé de laisser ce paramètre par défaut.
Et voilà les VLAN (sous trois formes différentes)
Une section complète est dédiée aux VLAN, ou Virtual Local Area Network. Pour résumer, cela permet de créer des sous groupes de machines. Ces dernières pourront communiquer entre elles au sein d’un même groupe et accéder à Internet, mais chaque groupe sera isolé des autres. Le TL-SG108E prend en charge trois protocoles : MTU VLAN, Port Based VLAN et 802.1Q VLAN. Un seul des trois peut être activé à la fois.
MTU VLAN (Multi-Tenant Unit VLAN) défini un port qui sera connecté au routeur et créera ensuite sept VLAN avec chacun des ports restants. Chaque VLAN est composé d’un port et de celui relié au routeur, de sorte que toutes les machines ont accès à Internet, mais sans communiquer entre elles.
Comme son nom l’indique, Port based VLAN permet d’associer les ports comme on le souhaite. Jusqu’à huit VLAN peuvent être configurés comme bon vous semble. Enfin, 802.1Q VLAN est un standard de l’IEEE. Il permet notamment de configurer des VLAN sur plusieurs routeurs. TP-Link donne un exemple de fonctionnement par ici.
QoS : gestion des bandes-passantes et prévention des « tempêtes »
Terminons par les options QoS ou Quality of Service. Elles permettent de définir des niveaux de priorité sur les différents ports. Par exemple, l’ordinateur de bureau peut avoir une priorité supérieure au portable, lui-même au-dessus de la console de jeux, en finissant par un pont pour des objets connectés ; c’est à vous de voir. Le switch prend aussi en charge les modes 802.1p et 802.1p/DSCP (DiffServ Code Points) qui se basent sur des indicateurs de priorité dans les entêtes.
Notez que la prise en charge du 802.1p n’a rien d’exceptionnel : c’est également le cas sur le switch TL-SG108 (non manageable). Sur cette partie QoS, la principale différence du TL-SG108E est donc de proposer la priorité par port.
Terminons par Bandwidth Control qui, comme son nom l’indique, permet de limiter la bande passante en kb/s (entrante/sortante) sur les différents ports et ainsi bloquer des « tempêtes ». Il faut définir une limite (en kb/s) que ne doivent pas dépasser les paquets en broadcast, multicast et UL (paquets type unicast). Il est possible de fixer la limite sur un ou plusieurs des trois types de paquets.
Le switch TL-SG108E en quelques mots…
La question est maintenant de savoir si le TL-SG108E vaut les 15 euros de plus que son petit frère TL-SG108 (non manageable). Cela dépendra des besoins de chacun, mais si vous avez besoin – maintenant ou plus tard – de gérer des priorités (QoS) ou des séparations (VLAN) entre machines sur votre réseau, alors l’investissement en vaut certainement la chandelle. Sans compter que pouvoir suivre en ligne les ports connectés (et la vitesse de transmission) peut vous simplifier la vie en cas de problème.
Si vous n’êtes pas à la seconde, surveillez les promotions pour acheter votre switch au bon moment. Si vous n’avez pas besoin d’autant de ports, le TL-SG105E (5x 1 Gb/s, administrable) est aussi proposé par TP-Link. On le trouve actuellement à moins de 20 euros au lieu de 35 euros pour le TL-SG108E. Les TL-SG105(E) et TL-SG108(E) sont « garantie à vie » par le constructeur.
TP-Link TL-SG108E : tour des fonctionnalités d’un switch 8x 1 Gb/s administrable à 35 euros
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Installation et accès à l’interface d’administration
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Changer le mot de passe et mettre à jour le firmware
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Les options de Switching, avec un détour par le LAG
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À la découverte du Monitoring
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Et voilà les VLAN (sous trois formes différentes)
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QoS : gestion des bandes-passantes et prévention des « tempêtes »
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Le switch TL-SG108E en quelques mots…
Commentaires (32)
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Abonnez-vousLe 25/01/2023 à 15h26
Je m’intéresse à ce switch pour sa fonction “port mirroring”. Est-ce que vous avez eu l’occasion de la tester et notamment de détecter le comportement en cas de surcharge réseau ?
En full duplex, avec 1 Gbps de transfert des deux côtés, que devient le port mirroring ? Il renvoie la moitié des paquets, ou s’arrête le temps du pic ?
Pour 35€ c’est une bonne solution permettant (à priori) de faire de la capture de trames réseau, du NetFlow (ou IPFIX) et donc de détecter les possibles problèmes de sécurité de son réseau domotique, toujours plus connecté !
Le 25/01/2023 à 16h21
Le port mirroring ne se fait que d’un port vers un autre il me semble, pourquoi tu aurais des soucis de débit ? Il t’envoi juste sur un port ce qui arrive et part sur un autre port.
Généralement tu vas mirroré un port ou tout le flux réseau passe, pour une sonde par ex, mais ca reste 1 port -> 1 port ^^
Le 26/01/2023 à 06h25
Détrompe toi, si j’utilise ce switch uniquement pour faire du TAP, il y aura un port vers ma box FAI, et un port vers le switch non managé interne.
Celui-ci juste au milieu pour avoir une vue sur tout le trafic entrant et sortant !
Le 26/01/2023 à 07h15
ça restera un port limité à 1gb/s peu importe ce que tu fais passer dans ce petit tuyau :)
Le 25/01/2023 à 16h11
Merci pour le test.
Le 25/01/2023 à 16h59
Switch avec un logiciel d’administration => poubelle
J’ai un switch netgear équivalent avec une interface en AdobeAir (on dirait du Flash) et qui n’est plus maintenu depuis des années. Donc ca devient compliqué d’administrer le switch.
Il est préférable de prendre un switch manageable par interface web, ou mieux, en CLI.
Ex: 39€ => Amazon
Le 25/01/2023 à 17h54
euh… on est d’accord que tu parle “en général” et pas par rapport au switch présenté sur ce test, hein?
non parce que l’outil proposé sert juste à détecter le switch et son IP pour y accéder via le web ensuite…
edit: grilled
Le 25/01/2023 à 19h52
Merci pour l’info ; apparemment les derniers Netgear GS105E et GS108E ont maintenant une interface web, alors que les miens non ; c’est via un logiciel propriétaire de Netgear.
Le 26/01/2023 à 15h17
Bah, interface web, CLI ou autre, si le firmware n’est plus maintenu, on l’a toujours dans l’os.
Ici, récemment, j’avais un vieux pare-feu Cisco (Small Business). Je me suis dit, bah, pourquoi pas l’utiliser pour du labo. Et bim, il utilise du TLS1.0 au max. (Dernier firmware en date) Donc tous les navigateurs râlent. Pourtant le matos est nickel, j’ai démonté la boîte pour jeter un oeil aux ventilos qui font un peu de bruit, c’est tout propre. Dommage, je vais devoir le déclasser.
Le 25/01/2023 à 17h21
On est d’accord, mais ici il n’y a pas de logiciel d’administration, c’est bien une interface web. Il y a tout au plus un utilitaire qui cherche son IP actuelle, qui me paraît tout à fait dispensable et sert juste à ceux qui ont la flemme de chercher l’IP par défaut dans le manuel ou d’utiliser le bouton reset quand ils l’ont oubliée.
Le 25/01/2023 à 18h02
+1 et citer Netgear qui propose des softs de gestion de ses switchs manageables, c’est un mauvais exemple pour la peine. (même si on peut configurer au choix en web ou via appli)
Le 25/01/2023 à 18h02
Je ne sais pas si certains équipements consomment plus que d’autres (pour du matos qui tourne 24h/24 on peut se poser la question). Celui-là est annoncé à 3.55W max.
(test intéressant, je n’avais aucune idée des critères de choix pour un switch)
Le 25/01/2023 à 18h35
Pour 35 balles il a l’air bien ce switch.
Le 25/01/2023 à 18h54
Intéressant pour le prix, mais bien souvent il manque la possibilité de configurer un port en “trunk” au niveau des VLAN.
Le 25/01/2023 à 19h03
Merci pour cet article, très intéressant, c’est cool toutes ces news hardware !
Le 25/01/2023 à 20h03
Je gère mes VLAN directement dans les machines pour permettre la connexion simultanée en VLAN et en direct sur le même port. Du coup, c’est pas forcément utile.
Du coup, les machine incapables de gérer les VLAN directement sont précisément celles en qui je ne fait pas confiance (TV, aspi robot, console de jeux, tous les truc sous android…).
Ce qui me refroidi par contre est l’absence d’IPv6 sur ce modèle. Je ne veux que de l’IPv6 pour gérer mon LAN.
Le 25/01/2023 à 21h53
heu ça n’a pas de sens ça, à partir du moment où on peut configurer des vlans en 802.1q sur un port, donc taggés, c’est un port trunk, désolé.
il peut dont avoir 8 ports trunk en fait, j’ai le même en 16 ports,TL-SG1016DE (après un netgear GS716 qui a décédé suite à un reset usine), rien à redire sauf, grave défaut , on ne peut pas coller de description sur les ports, c’est un vrai handicap, et pas d’ipv6 en management
Le 25/01/2023 à 21h56
Ça fait un bail que beaucoup de petits Netgear plus ou moins administrables (leurs gammes « plus » et les « smart ») ont une interface web. Les miens (GS116Ev2 et GS108T) doivent être de 2013 pour le premier, à peine plus récent pour le second, et ils l’ont tous les deux.
Et sans vouloir donner de faux espoirs, je suis presque sûr de me souvenir que certains modèles similaires n’avaient pas l’interface web à leur lancement et qu’elle est venue avec une mise à jour. Ça vaut peut-être la peine de jeter un œil aux derniers firmwares; et pour le coup Netgear est assez bien de ce point de vue, le site support propose toutes les mises à jour, les release notes, les bugs connus, etc.
Le 25/01/2023 à 23h01
Il ne s’agit pas de chercher l’IP par défaut, puisque par défaut il est en dhcp. C’est pour ceux qui ont la flemme d’aller chercher dans les logs du serveur dhcp la dernière IP allouée.
Le 25/01/2023 à 23h55
L’article mentionne une tension d’alimentation de 5V hors sur les images il est indiqué pour 9V. Pour le coup 5V c’est assez pratique pour l’alimenter via USB.
Le 26/01/2023 à 08h19
Une fonction intéressante des switchs manageable est l’accès SNMP pour pouvoir surveiller les ports dans le temps. Pour un particulier ce n’est peut-être pas intéressant (ou rarement), mais dès qu’on a une une structure avec quelques utilisateurs, ça peut être utile.
Le 26/01/2023 à 08h59
Vous savez si cette gamme est compatible avec le SDN Omada de la marque ?
Le 26/01/2023 à 09h34
Il a l’air très bien ce petit switch, merci pour cet article très intéressant
Par contre, ce qui m’interpelle, c’est pourquoi la différence est aussi prononcée entre du giga et du multi-gig ? On peut facile rajouter x 10 ? Comment expliquer une si grande différence ?
Sinon, vous avez dans les tuyaux des tutos pour des cas pratiques d’utilisation de l’administration depuis les machines jusqu’au switch, au hasard avec celui-là (vlan etc.) ?
Merci
Le 26/01/2023 à 12h18
Super cet article, merci 👍🏻
Le 26/01/2023 à 14h43
Ca existe le même en 8 x 10 Gbit/s ?
Le 26/01/2023 à 15h56
J’attends aussi une justification crédible et honnête de la différence de prix. Toujours pas vue.
Je suis donc resté sur multi-gig => entreprise => plein de pognon => on les facture à mort.
Le 27/01/2023 à 10h19
1 port pour ma box, 2 pour le NAS, 1 pour le PC fixe et 1 autre pour la PS5 par exemple,
je pense que la version 5E me conviendra amplement.
Merci pour cet article,
pour un petit prix ce sont des fonctionnalités très pratiques qu’on a ici.
La limitation de vitesse par port sera pratique. Dommage que l’interface ne semble pas proposer de leur donner un nom personnalisé (aux ports).
Le 27/01/2023 à 20h22
Et en 10Gbits ?
Le 27/01/2023 à 20h33
En 10 Gb/s à 30 euros, ce n’est pas pour tout de suite, mais des tests de NAS 10 Gb/s sont en approches
Le 29/01/2023 à 11h18
En entrée de gamme , tu as une belle petite bête qui est le ZyXEL XS1930 à 539 Euro
https://www.zyxel.com/fr/fr/products/switch/10-12-port-multi-gigabit-smart-managed-switch-xs1930-series
Amazonhttps://www.amazon.de/Zyxel-NebulaFlex-Commutateur-intelligent-multi-Gigabit/dp/B09Q96L2Z8?th=1
Ce serait bien une présentation de Nebula et du prix.
beaucoup de gens se posent des questions sur Nebula. Il y a 3 catégories
https://support.zyxel.eu/hc/fr/articles/360004098300-Diff%C3%A9rences-entre-les-fonctionnalit%C3%A9s-du-pack-Nebula-Base-Plus-et-Pro-Pack
Idéal pour des gens qui ont une bonne connexion fibre. Fonctionne bien avec une Freebox Delta
Sinon , chez Unify, il y a un beau en Enterprise mais c’est 1597 Euro pour du 24 ports.
USW-EnterpriseXG-24-EU
https://eu.store.ui.com/collections/unifi-network-routing-switching/products/switch-enterprisexg-24
Le 28/01/2023 à 11h38
Merci pour cet article !
J’vais m’en choper deux pour faire du cloisonnement sur mon infra de virtu’.
Vivement les autres tests.
Le 30/01/2023 à 07h15
Il manque le support du SNMP pour la supervision, sinon il semble pas mal !