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Connect() : Microsoft intègre la Linux Foundation, officialise Visual Studio 2017 et Mac

Ils grandissent si vite

Connect() : Microsoft intègre la Linux Foundation, officialise Visual Studio 2017 et Mac

Le 17 novembre 2016 à 13h54

Avec l’ouverture de sa conférence Connect() dédiée aux développeurs, Microsoft avait en réserve de très nombreuses annonces, toutes importantes. La firme rejoint par exemple la Linux Foundation, revient sur Visual Studio pour Mac, lance .NET Core 1.1 ainsi qu’un gros Service Pack pour SQL Server 2016. Et la liste continue.

L’annonce qui aura sans doute le plus marqué les esprits durant la conférence Connect() est clairement l’entrée de Microsoft dans la Linux Foundation. Une entrée par la grande porte d’ailleurs puisque la firme arrive directement en membre platine, soit le plus haut « grade » dans la structure, avec un siège au conseil d'administration.

Pour Microsoft, il s’agit simplement d’un enchainement logique, officialisant une nouvelle relation avec le monde de l’open source, 15 ans après le qualificatif de « cancer » utilisé par Steve Ballmer. Car la firme s’appuie bien sur l’ouverture du code, avec les projets Visual Studio Code et .NET Core en tête. Elle va donc poursuivre sur cette voie, même si elle est sans doute surtout intéressée par une bonne intégration de ses produits dans des environnements hétérogènes.

Google rejoint la .NET Foundation, Samsung participe

Mais il y a une annonce que l’on attendait encore moins qu’une entrée de Microsoft dans la Linux Foundation : celle de Google dans la .NET Foundation. Certes Microsoft montrait un intérêt croissant pour l’open source, mais Google n’a jamais vraiment manifesté le sien pour les technologies .NET. Le seul produit sur lequel la firme se soit montrée réellement enthousiaste, c’est le langage TypeScript, désormais recommandé pour développer avec Angular 2.

Que fera Google de cette participation ? On ne le sait pas vraiment encore. Il est probable que l’éditeur soit intéressé par un support de .NET dans le seul de ses produits capables actuellement de l’accueillir, Google Cloud Platform.

Par ailleurs, Samsung – qui faisait déjà partie de la .NET Foundation – a annoncé ses Tools for Tizen. Les développeurs pourront donc se servir de l’IDE de Microsoft pour créer des projets vers cette plateforme, que l’on retrouve maintenant surtout dans les téléviseurs connectés du constructeur sud-coréen.

.NET Core 1.1

.NET Core justement en profite pour passer en version 1.1. En plus de corriger les erreurs de jeunesse de la première version stable, Microsoft indique avoir augmenté les performances. Les PGO (Profile-Guided Optimization) ont été utilisées, et nous en avions expliqué les bénéfices récemment dans Chrome. On compte également 1 380 nouvelles API.

La version 1.1 ajoute également le support de plusieurs systèmes : Linux Mint 18, OpenSUSE 42.1, macOS 10.12 et Windows Server 2016. Notez que les deux derniers ont été ajoutés à .NET Core 1.0. Par ailleurs, pour Linux et macOS, la compilation de CoreCLR a été faite avec Clang/LLVM. Le profil Clang PGO sera utilisé pour la compilation de la prochaine version.

Rappelons que comme toutes les versions de l’environnement .NET, les installations sont concurrentielles. La mouture 1.1 ne remplacera donc pas la 1.0, et les applications prévues pour cette dernière continueront de fonctionner sans modification.

Visual Studio 15 s’appellera bien « 2017 »

Après bien des préversions, Visual Studio 15 abandonne sa numération de code pour un nom commercial : Visual Studio 2017. Le doute n’était plus guère permis, mais la confirmation est cette fois officielle. Pour l’occasion, l’environnement de développement se dote d’une première Release Candidate, censée être assez stable pour commencer à être utilisée sérieusement.

Quelques nouveautés sont présentes, mais rien d’aussi important que les ajouts des dernières préversions. La nouvelle version se veut plus performante (notamment sur l’ouverture et le chargement des projets), présente un système plus riche pour les extensions, dispose d’une installation modulaire, s’oriente vers le développement mobile multiplateforme (avec émulateur iOS), ou encore améliore IntelliSense (support de XAML notamment).

visual studio 15visual studio mac

Autre nouveauté qui n’en est pas une, puisque Microsoft avait vendu la mèche : l’arrivée de Visual Studio pour Mac, cette fois réellement disponible en préversion. Les principales caractéristiques sont déjà connues. Il ne s’agit pas d’un portage vers macOS de l’IDE existant, mais d’une amélioration de Xamarin Studio, que Microsoft avait racheté. L’interface a été modifiée pour se rapprocher du Visual Studio classique et des fonctionnalités ont été ajoutées au passage.

SQL Server : de sérieux mouvements

Microsoft a profité de l’évènement pour présenter le Service Pack 1 pour SQL Server 2016. Une annonce qui ne devrait pas générer un enthousiasme bouleversant, mais qui comporte un changement majeur dans les fonctionnalités des différentes déclinaisons.

SQL Server se décompose en effet en plusieurs éditions, chacune censée être adaptée à des besoins particuliers : Express, Standard, et Enterprise. Chacune dispose de ses fonctionnalités, et plus on monte dans la gamme, plus elles sont nombreuses. Certaines sont de fait réservées à la dernière, ce qui pose un problème aux développeurs : pourquoi en tirer parti si les clients potentiels sont peu nombreux ?

Le Service Pack 1 casse ce modèle en remettant tout à plat : toutes les éditions ont accès à la totalité des fonctionnalités. Si des développeurs veulent profiter des bases de données transactionnelles en mémoire avec l’édition Express, ils le peuvent. Ce qui reste bien sûr, c’est la tarification et les conditions d’exploitation de chaque version, le nombre de processeurs supportés et la quantité de mémoire prise en charge. Un modèle global présenté comme plus souple.

Une première préversion pour SQL Server Linux

La version Linux de SQL Server se dote également d’une première préversion, après une annonce qui en avait surpris plus d’un. La parité fonctionnelle n’est pas encore entière, mais Microsoft a indiqué que tous les principaux traits de la version Windows étaient là, y compris le chargement complet en mémoire vive (in-memory). Dans tous les cas, l’alignement des fonctionnalités est bien prévu par la suite.

La préversion peut être installée via des paquets RPM ou DEB. SQL Server peut également fonctionner dans un conteneur Docker. Autre point important, les développements réalisés dans Visual Studio pour SQL Server pourront viser indifféremment Windows ou Linux. Tout porte à croire que cette dernière version fonctionne avec Drawbridge, donc avec un système de conteneur.

Commentaires (38)

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Exagone313 a écrit :



J’attends qu’ils ouvrent leurs API, notamment DirectX, et qu’ils contribuent donc à Wine.







Faut pas trop rêver non plus… Enfin, ce que fait Wine m’impressionne parfois.


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Avoir une implémentation alternative (et partielle) de la JVM par Google sur Android ne me fait pas plus envie qu’avoir une implémentation alternative (et partielle) de .Net par Microsoft sur Linux.



Soit il y a le même chose partout, soir il y a fragmentation, dispersion et incompatibilités.

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Le .Net Core est le même partout déjà.

Par contre celui-ci n’a pas encore toutes les fonctions du .Net Framework.

La version .Net Core 1.2 est prévu pour être iso avec le .Net Framework 4.6 pour .NET Standard 2.0.

Plus d’info ici:

github.com GitHubhttps://blogs.msdn.microsoft.com/dotnet/2016/09/26/introducing-net-standard/

 

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Comme dit Manus, Microsoft s’occupe actuellement de pousser .NET Core, qui est le même partout… C’est vrai qu’il ne contient pas l’intégralité du .NET Framework, mais faut-il s’étonner que le Core ne supporte pas les classes qui demandent des fonctionnalités Windows pures comme DDE, DirectX ou la Registry ?

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Bien ça, je n’avais que peu d’intérêt pour le .Net Core justement à cause de ce problème d’isométrie fonctionnelle mais si la prochaine version règle ce soucis cela pourrait être sympa, car niveau hébergement, sous .Net pour des besoins ridicules, trouver du gratuit c’est pas toujours évident

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Ca ne m’étonne pas, mais ca limite l’intérêt d’utiliser .NET en dehors du cadre visé par Ms et Google…



Parce que j’ai dans l’idée que toute cette bonne volonté chez les 2 géants vise uniquement à créer les conditions favorables nécessaires à l’essor du Cloud Computing.

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Ah clairement, ils ont fait la une sur sur hackernews <img data-src=" />

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Je dis pas le contraire ils ont clairement des avantages à y rentrer, et pourrons avoir leur mot à dire quand aux futurs évolutions etc…



Ça leur permet d’avoir un peu plus de contrôle mais de là à dire que c’est obligatoire pour supporter Linux alors qu’ils le faisaient déjà avant…

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Etrange que personne ne s’attarde pas plus sur les dernières ligne de l’article …



Le fait que SQL Serveur Linux soit possible grâce à Drawbridge (voir les explications détaillé du projet par Charon sur driverscloud.com (grossièrement le Noyau NT + les API Win32 de Windows 8 ont été porté en User Mode sur Linux)) est pourtant très intéressant notamment pour l’avenir car a terme IIS, exchange etc.. pourraient également être “portés” sous Linux tout comme la suite office etc …



Quelques tweet intéressant : , ici et

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arno53 a écrit :



Etrange que personne ne s’attarde pas plus sur les dernières ligne de l’article …



Le fait que SQL Serveur Linux soit possible grâce à Drawbridge (voir les explications détaillé du projet par Charon sur driverscloud.com (grossièrement le Noyau NT + les API Win32 de Windows 8 ont été porté en User Mode sur Linux)) est pourtant très intéressant notamment pour l’avenir car a terme IIS, exchange etc.. pourraient également être “portés” sous Linux tout comme la suite office etc …





Ça serait quoi l’intérêt d’IIS sous Linux ?


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fred42 a écrit :



Ça serait quoi l’intérêt d’IIS sous Linux ?





Migrer une application ASP legacy dans le cloud.&nbsp;<img data-src=" />


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Tu as mal compris ce que j’ai écris. Je n’ai jamais dis qu’il était obligatoire de rentrer dans la fondation Linux pour supporter l’OS (ça se saurait).

Je parlais juste du fait que MS est obligé de supporter Linux s’ils veulent que leur service Cloud prenne des parts de marché, car la plupart des clients de service cloud utilisent Linux (75% d’après la Linux Foundation).



Pour ce qui est de décider des futurs évolutions, rentrer à la fondation Linux ne leur donne aucun droit de la sorte. ça facilite juste les échanges avec les autres développeurs. En outre en rentrant à la fondation MS s’engage aussi à promouvoir Linux… Je suis curieux de voir comment ils vont faire ça, sachant qu’ils ont tout de même un sérieux conflit d’intérêt.

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Je suis curieux de connaître les performances d’une base relationnelle SQL qui tourne sur un noyau entièrement en espace user…

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Arno53 s’est trompé. Le noyau NT ne tourne pas en espace utilisateur dans DrawBridge. Seule la partie applicative est virtualisé dans un pico process. Il comprend le sous système win32 et tous les dll utilisées par l’application déjà en user mode. Le noyau ici c’est Linux (le système hôte).

DrawBridge au départ a été conçu pour faire tourner Windows sur d’autres systèmes qui n’ont rien à voir comme barrelfish et Midori. Mais comme je l’avais expliqué à l’époque sur ce site il avait été aussi porté sur Linux. DrawBridge est aussi capable de virtualiser des “librairies os” Linux.

DrawBridge est le projet du MSR à l’origine des conteneurs Windows.(Drawbridge=Conteneur) Personne ici ne viendrait dire que les performances de MySQL ou Postgres sont mauvaises sur docker. La on est exactement dans la même situation.

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Le jour où ça arrive, je dis adieu à Windows à jamais :-)

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Ça troll un max dis donc !!! <img data-src=" />

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ca sent le takeover tout ca

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Cela me rappelle un reportage dans les années 2000 où un cadre de Microsoft UK disait “Si les clients veulent de l’Open Source, MS fera de l’Open Source. Voilà on y arrive: MS (comme Google et Facebook) libère le code qui les différencie le moins et garde celui qui les enrichir (moteur de recherche, base de données des habitudes de ses clients, mis en relation avec les publicitaires, collecte via des bots comme cortana, etc…).



Malheureusement les états européens ne comprennent pas l’importance stratégique des FLOSS qui leur donnerait une souveraineté par rapport aux GAFA et serait plus efficace que tous les procès pour abus de position dominante.

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Par hasard ils prévoient pas une version complète de VS (autre que code) pour linux ?!

J’en ai marre de monter des VM pour bosser !

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Qui sait, vu ce qu’ils ont fait avec SQL Server, c’est pas impossible

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Et avec la nouvelle version de VS, la télémétrie est toujours au goût du jour (dans l’IDE et dans les applications compilées) ?



J’avais lu des trucs là-dessus avec la précédente version mais pas moyen d’avoir une confirmation.

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Cette nouvelle n’est pas surprenante…

Dans sa quête pour le marché du cloud, Microsoft n’a pas d’autres choix que de supporter Linux, qui détient plus de 75% de part de marché sur ce segment.

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Dernièrement les conférences de Microsoft qui ciblent les développeurs ne sont pas dépourvues d’annonces intéressantes.

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Je vois pas en quoi entrez dans la Linux foundation en grade platine est obligatoire s’ils veulent prendre en charge des VM Linux sur Azure.



Ils le font depuis un bon moment sans être platine (ils font énormément de contrib depuis plusieurs années)

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Le coup de google qui rejoint la .net fondation je m’y attendais pas. Ca me renforce d’autant plus dans mon orientation full stack angular2 / .net <img data-src=" />

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Ah, si Google pouvait lâcher Java pour les techno .NET, ça serait topissime.

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-Stephane- a écrit :



Cette nouvelle n’est pas surprenante…

Dans sa quête pour le marché du cloud, Microsoft n’a pas d’autres choix que de supporter Linux, qui détient plus de 75% de part de marché sur ce segment.



“75% de part de marché”, la source c’est alalouche.com ou il y a des données officielles ?


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En entrant dans la fondation ils bénéficient de canaux de communications privilégiés avec les développeurs, notamment lors des évènements organisés par la fondation .

ça leur permet à la fois de pouvoir discuter directement avec les développeurs, mais en plus de “vendre” leurs technos à des organisations qui ne sont pas dans leur écosystème.

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La source c’est la fondation Linux elle même:

&nbsphttps://www.linuxfoundation.org/about

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Non merci

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plop97 a écrit :



Non merci





Pourquoi non ? Tu peux expliquer ?

&nbsp;

Je n’ai jamais creusé ce sujet mais en lisant cet article https://blog.xamarin.com/android-in-c-sharp/ , je me dis que c’est peut-être pas une mauvaise idée…


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Kako78 a écrit :



Pourquoi non ? Tu peux expliquer ?







Oracle propose l’implémentation de référence de le JVM de manière complète (toutes les libs, packages, compilateurs, whatever) sur windows, macOS et Linux.



Ce n’est pas le cas de Ms qui propose l’implémentation de référence complète seulement sur windows.


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nekogami a écrit :



Je vois pas en quoi entrez dans la Linux foundation en grade platine est obligatoire s’ils veulent prendre en charge des VM Linux sur Azure.





500.000$ pour faire la une de tous les blogs infos c’est pas si cher.


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c’est juste une suite logique en fait: on s’intéresse, puis on participe.

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VS, SQL server et script linux dans windows, 2016 aura été l’année de linux pour MS…



Jusqu’où cela ira-t-il? <img data-src=" />

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Peut-être qu’un jour à la sempiternelle question “Quelle est la meilleure distrib linux ?”, la réponse sera :

“Windows”



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J’attends qu’ils ouvrent leurs API, notamment DirectX, et qu’ils contribuent donc à Wine.

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Google n’utilise pas l’implémentation de référence d’Oracle. Ils ont développé Dalvik justement pour s’en échapper. Par ailleurs, .NET Core est sur la bonne voie.

Connect() : Microsoft intègre la Linux Foundation, officialise Visual Studio 2017 et Mac

  • Google rejoint la .NET Foundation, Samsung participe

  • .NET Core 1.1

  • Visual Studio 15 s’appellera bien « 2017 »

  • SQL Server : de sérieux mouvements

  • Une première préversion pour SQL Server Linux

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