Tellement débile ton commentaire, le pire c’est que le jours ou je te présenterais la facture tu sera le premier à dire non. Chaque zone de vie à ses inconvenant et ses avantage, et oui les zone rurale seront toujours en retard par rapport au grande ville.
La facture ? Fais-moi rire ! J’ai beau vivre dans une grande ville (Toulon, Var, PACA), j’estime que la cambrousse est laissée pour compte dans le domaine de l’accès à Internet. Que les zones rurales soient en retard par rapport aux zones urbaines n’est pas acceptable. J’avoue avoir un problème avec la rentabilité lorsque celle-ci laisse sur le carreau 35% de la population française, répartie sur 90% du territoire. En comptant les zones périurbaines, il est question de 27,4 millions d’habitants.
Les zones rurales de la France ne doivent pas devenir le tiers-monde de la France. Aujourd’hui, lorsque je m’aperçois du traitement auxquelles elles ont droit (cela va bien au delà de l’accès à Internet), ils y a de quoi se dire qu’elles sont totalement oubliées.
Le
08/06/2018 à
15h
35
Comme d’habitude, il se trouvera toujours des gens pour venir dire que les personnes qui vivent en zone rurale ont fait un choix de vie et que cela passe par des compromis. Les débits Internet est l’un d’entre eux.
Les FAI, qui déploient la fibre optique, ne sont pas intéressés par les zones rurales. En tant qu’entreprises privées, elles recherchent le profit dans le déploiement de la fibre. Elles veulent un retour sur investissement et ce n’est pas les zones rurales, peu denses, qui vont le leur permettre.
L’Etat a fait le choix de ne pas déployer la fibre optique, afin d’économiser l’argent public. C’est une erreur. La rentabilité n’a pas que des avantages et ici, cela se voit très bien.
Sans parler de fibre optique, ces zones rurales sont loin de pouvoir profiter d’un haut débit digne de ce nom. Les débits de l’ADSL, dans les zones rurales, sont très bas, à comparer à ceux des zones urbaines. Le 18 mega, vous pouvez l’oublier dans la cambrousse ! Pire, certains doivent obligatoirement passer pas l’Internet par satellite car ils vivent dans une zone blanche. Et ça ne dérange personne… Quand je vois les prix des abonnements de l’Internet par satellite… et l’illimité limité, c’est encore courant chez les opérateurs satellitaires.
Les très bon débits des zones urbaines sont l’arbre qui cache la forêt. La France, c’est de l’Internet à trois vitesses (la fibre optique, l’ADSL correct et le mauvais ADSL). Sympathique comme constat… Je rappelle tout de même que le déploiement de la fibre optique dans les zones rurales pourrait potentiellement leur permettre de se redynamiser, avec l’arrivée de certaines entreprises. Des départements tel que la Creuse n’attende que cela !
Bref, le déploiement de la fibre optique en France, en plus d’être bordélique, avec des paradoxes incompréhensibles, met toujours plus à l’écart la campagne.
Les théories du complot naissent grâce aux informations cachées aux citoyens, aux électeurs " />
Exemple les nombreux coups d’état américains pour remplacer des démocraties un peu trop de gauche par des dictatures bien de droite, les USA l’ont avoué, après s’être fait prendre, que c’est leur politique " />
C’est ton point de vue. Il n’engage que toi. Je maintiens que les théories du complot se nourrissent des fakes news pour se développer et exister sur le long terme, aidé par la naïveté et la crédulité des Internautes.
Bref, les complotistes sont une race qui n’est pas prête encore de s’éteindre…………..
Le
08/06/2018 à
14h
07
Les fausses infos sont un fléau. Elles relatent des faits qui n’ont jamais eu lieu et propagent donc des informations qui font le tour d’Internet, notamment des réseaux sociaux. En plus de tromper les Internautes, elles nuisent également à la réputation des personnes dont elles sont le sujet.
Les théories du complot naissent grâce aux fausses informations.
Tout ceci ayant été dit, lutter contre les fausses infos via une loi est faire prendre un risque à la liberté d’expression. Cela peut être apparenté à de la censure.
Je me demande si une loi est réellement nécessaire pour lutter contre les fausses infos… Mais, le problème, c’est que nous avons à faire à une tartine d’Internautes qui croient tout et n’importe quoi. La naïveté et le peu d’intelligence dont ils font preuve n’aident pas.
Ce proposition de loi est également vu par certains Internautes comme une volonté de la part de l’Etat de vouloir protéger les médias d’Etat. Ah ben oui… il y a encore des gens qui croient que les journalistes des médias officiels ne sont pas indépendants. Il faut comprendre par là que ces journalistes travaillent toujours pour protéger et valoriser le Président la République en fonction et son Gouvernement. Par exemple, il faut voir tout ce que RMC se prend dans la gueule depuis l’élection de Emmanuel Macron…
Cette loi, qui sera très certainement adoptée au Parlement, ne contentera finalement personne. Lutter contre les fausses informations, c’est nécessairement empiéter sur la liberté d’expression. Et là, en France, c’est quelque chose qui ne passe pas du tout…………
Quel intérêt de s’abonner à une offre “fibre optique” si c’est pour avoir des débits bridés ? Quel est l’intérêt de la fibre optique si ce n’est pas pour profiter pleinement de ses capacités de débits ?
Nous avons une fibre à deux vitesses. C’est très intéressant… Une pure connerie de la part de tous les FAI. Une connerie qui durera jusqu’à quand ? Cela ne semble pas déranger l’ARCEP…
Ici, il est question des sites Internet publics. Cependant, plus généralement, je pense que je peux englober les sites Internet publics avec les administrations publiques. Je pense même pouvoir englober la France tout entière, dom-tom compris.
Une personne n’aura conscience de ce qu’est être handicapée que le jour où elle le sera. Tel est le triste constat que je peux faire dans cette société française. Les personnes handicapées sont marginalisées et souffrent de discrimination.
En lisant cet article, j’en viens à me demander si l’Etat ne considèrent pas les personnes handicapées comme des éléments perturbateurs. Je suis sûr que rendre un site Internet accessible aux personnes handicapées n’a rien de rédhibitoire et pourtant, l’Etat y va en trainant des pieds. Pourtant, il n’est question ici que de revoir un site Internet.
Quoiqu’il en soit, les personnes handicapées font partie de notre quotidien. Etre handicapé ne doit pas être vécu comme une punition. Même lorsqu’une personne est devenue handicapée de son propre chef, en faisant une bêtise, elle n’a jamais demandée à l’être. Les personnes handicapées ont le droit d’être respecté et de pouvoir avoir la même accessibilité que les autres. En la matière, mieux vaut vivre dans d’autre pays. Heureusement qu’il y a l’Union Européenne pour obliger la France à évoluer.
A 400 000 € l’échec, comment dire… de toute façon, c’est l’argent du contribuable qui a permis de développer SAIP. Donc bon… Nous sommes combien de contribuables en France ? Cela fait moins de 1 € par personnes de perdu… Ben j’essaie d’être positif !
Cette application a été développé avec les pieds. Ces nombreux dysfonctionnements ne lui ont pas permis d’avertir les personnes qui avaient installé l’application sur leur smartphone. Déjà que ces personnes ne représentaient qu’une minorité, les problèmes de SAIP ont convaincus les autres mobinautes de ne pas installer cette application.
Ca m’emmerde beaucoup que la France se tourne vers des entreprises étrangères pour alerter les citoyens français en cas d’attentat. De plus, je rappelle que tous les utilisateurs ne disposent pas des applications des réseaux sociaux sur leurs smartphones. Je fais partie de ceux-là. Je refuse d’installer les applications mobiles de Facebook, de Twitter et compagnie sur mon téléphone portable. Je n’en ai cure de ces applications.
Il existe le Cell Broadcast, en français la diffusion cellulaire, qui est adapté à tous les smartphones. A tous. Aucun smartphone n’est incompatibles avec la diffusion cellulaire. Le SMS d’alerte n’est pas envoyé à un terminal mais à une cellule du réseau, c’est à dire à une antenne des réseaux d’opérateurs, qui se chargera de diffuser le SMS dans sa zone de couverture. Avec la diffusion cellulaire, un maximum de personnes peuvent être ainsi alertée.
En France, la diffusion cellulaire est standardisée depuis que le GSM existe. Le GSM, ça date de 1982. La France n’est pas foutue d’utiliser la diffusion cellulaire lorsque d’autres pays l’utilise largement. C’est quoi qui coince ? L’archaïsme de nos politiques ? Le manque de volonté ? L’envie, comme toujours avec la France, de faire différemment ? Pfffff……. Mon pays préfère se reposer sur des entreprises étrangères. La bonne blague… Pure connerie…
Pour une majorité de personnes, ce sera les goûts et les couleurs qui leur feront décider d’utiliser tel ou tel navigateur Internet.
La plupart des gens se moquent du fond. C’est la forme qui les intéresse. Comprenez par-là que la technicité, ils s’en moquent.
Cette actualité est faite pour les connaisseurs. Elles rentrent dans des détail qui n’intéressent pas le commun des mortels.
Du moment qu’un navigateur Internet répondra à leurs attentes, qui sont principalement celles de pouvoir accéder sans soucis à leurs sites Internet, c’est tout ce qui importe la plupart des Internautes.
@Romaindu83: Y’a un autre site qui est passé aux abonnements, un truc nommé NextInpact…
Il existe toujours une version gratuite. Vu les limites imposées par la version gratuite, elle n’a aucune raison d’être. C’est mon point de vue.
Le
24/05/2018 à
20h
15
Stel a écrit :
Je bosse dans le domaine et je peux vous dire que c est le gros bordel.
De plus il y a un vrai problème au niveau de la pub, notamment adsense.
J avoue être inquiet pour l avenir de tout site qui ne fait pas partis d un groupe qui a des moyens. Et croyez moi je dis pas ca en trollant, c est grave ce qu il est en train de se passer, l internet du tout gratuit vous pouvez l oublier…..
Ca fait plus d’une décennie qu’il est acquis que la publicité n’est pas un modèle économique viable. Contournable à loisir sur Internet, via des modules/extensions, la publicité sur Internet rapporte de moins en moins d’argent.
Il faut désormais rajouter le Règlement général sur la protection des données de l’Union Européenne, qui est un coup de plus contre la publicité. Effectivement, ce règlement limite la collecte des données personnelles, vitales pour la publicité comme AdSence.
Les sites Internet doivent évoluer et décider, une bonne fois pour toute, de cesser de proposer librement du contenu. A l’instar d’un site Internet comme Mediapart, ils ne doivent désormais proposer leurs contenus que contre monnaie sonnante et trébuchante, via des abonnements.
Mediapart a fait ce choix. Il existe toujours. Mediapart a arrêté l’hypocrisie avec le “tout gratuit”, qui n’est finalement qu’un mythe. Imposer de la publicité pour avoir accès librement à du contenu, ce n’est pas ce que j’appelle du “tout gratuit”.
Le
24/05/2018 à
15h
36
Rien d’anormal dans cette actualité. C’est même rassurant. Cela veut dire que la RGPD fait réagir, notamment les sociétés se situant en dehors de l’Union Européenne, et qui ne veulent pas se soumettre à nos règles.
Tant pis si des sociétés ne veulent plus proposer leurs services dans l’Union Européenne. Est-ce que nous y perdons beaucoup ? Je ne pense pas, bien au contraire…
Il est impossible de démontrer l’absence de phénomène. Tout au plus, on peut démontrer qu’on a pas été capable de le détecter.
Et c’est justement cette conclusion qui sent bon l’intégrité qui permet à tous les débiles anti-ondes de mettre à la poubelle toutes les études scientifiques sérieuses afin de se remplir le cerveau de théories complotistes absurdes.
Non, absolument pas.
Le principe de précaution inscrit dans la loi dit : “si y’a un doute légitime et risque évident, on arrête de faire le temps d’étudier”.
Sauf que dans le cas des ondes, y’a eu qq doutes à une époque sur des cas assez particuliers et aucun risque évident.
Tu ne pourras pas nier qu’en France, de plus en plus de personnes se posent la question de la dangerosité des ondes sur la santé. Tu me diras pourtant que ces personnes sont de longue sur leurs smartphones. En même temps, c’est (malheureusement ?) un outil qui nous est devenu indispensable.
L’association Robin des Toits se fait leur porte-voix. Elle lutte contre les aspects qu’elle juge dangereux du rayonnement électromagnétique et les antennes-relais.
Les compteurs Linky émettent des ondes électromagnétiques, contrairement aux anciens compteurs. Je pose une question simple ? Est-ce qu’il y avait une nécessité à installer des compteurs qui émettent des ondes électromagnétiques, même à faible dose ? Est-ce qu’il y avait une nécessité à installer des compteurs communicants ?
A quoi s’attendait l’Etat avec sa loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, qui met notamment en place la généralisation des compteurs communicants chez les particuliers ? D’un, les Français sont méfiant envers l’Etat. Très populistes, ils apprécient peu lorsqu’un Gouvernement impose plutôt que de laisser le choix. De deux, la dangerosité des ondes fait de plus en plus débat dans la société française. Comment l’Etat pouvait-il croire que les particuliers allaient chaleureusement accueillir des compteurs qui émettent des ondes électromagnétique ?
L’Etat estime qu’il n’y a pas de risque évident avec ces compteurs Linky. Les associations prétendent le contraire. Qui a raison ? Qui a tord ? En tout cas, il existe un principe de précaution, qui devrait être utilisé dans un tel cas. Je ne suis ni pour ni contre les compteurs Linky. Je dis qu’il existe un outil constitutionnel qui a toute sa raison d’être, dans des cas comme celui-ci.
Le
21/05/2018 à
16h
35
Je reste pragmatique.
Aucune étude sérieuse n’a démontré que les compteurs Linky étaient mauvais pour la santé, notamment pour les personnes électrosensibles.
Mais aucune étude sérieuse n’a démontré que les compteurs Linky n’étaient pas mauvais pour la santé, notamment pour les personnes électrosensibles.
Ce que je veux dire, c’est que bien malin serait celui qui pourrait dire aujourd’hui ce qu’il en est réellement de ces nouveaux compteurs d’ERDF. J’estime aujourd’hui que ni des associations comme les Robins des toits ni EDRF ne sont objectifs. Au final, nous ne savons rien de la dangerosité de ces compteurs, si il en a une. Et, pardonnez-moi, ce n’est pas une bande de geek et de technophiles, qui ne sont pas objectifs, puisque ne voyant dans ces compteurs que de l’évolution, qui pourra mettre un terme à cette polémique.
Ceci étant dit, je rappelle à tout à hasard que nous vivons dans un pays où le Parlement a voté, à la majorité, une certaine loi. La loi n° 95-101 du février 1995 relative au renforcement de la protection de l’environnement. Plus connu sous le nom de loi Barnier, celle-ci a mis en place le principe de précaution. Dix ans plus tard, en février 2005, le Parlement réuni en Congrès inscrivait la Charte de l’environnement dans la Constitution. De fait, le principe de principe de précaution est désormais inscrit dans notre Constitution.
Vous pouvez critiquer ce principe de précaution. En effet, un certain nombre de personnes estiment, à tord ou à raison, que ce principe de précaution empêche la France d’aller de l’avant, car il peut bloquer la mise en place de certaines avancées technologiques, qui pourraient être nuisibles à l’environnement et/ou à la santé des gens. Mais il existe et ne peut être ignorer.
Le compteur Linky est une avancée technologique. Il est normalement prévu que 35 millions de foyers en soient équipé à l’horizon 2021. Sauf que… il y a ce fameux principe de précaution. Si cette actualité n’en fait pas mention, si les députés de la France Insoumise ne le mettent pas en avant, des associations ne se privent de rappeler à l’Etat que le principe de précaution est un droit constitutionnel et qu’il faut l’utiliser. Comme finalement personne ne sait rien de ce qu’il en est de ces compteurs Linky, ces associations, logiquement, demande à ce que le principe de précaution soit appliqué. Elle veulent, au pire, que les installations de compteurs Linky soient stoppées, au mieux, que tous les compteurs Linky déjà installés soient retirés.
C’est la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, du 17 août 2015, qui prévoit la généralisation des compteurs Linky dans tous les foyers. Sauf que, comme bien d’autres lois, elles rentre en contradiction avec ce principe de précaution.
Le principe de précaution est simple : si tu ne sais pas, tu ne fais pas. Cela peut être résumé de cette façon. Tant qu’aucune étude sérieuse et indépendante ne sortira, ces compteurs Linky continueront de faire parler d’eux. Vous aurez des députés qui se battront contre leur généralisation. Vous aurez des maires qui, via des arrêtés municipaux, interdiront sur leurs communes la généralisation des compteurs Linky. C’est le cas par exemple du maire de Saint-Etienne-du-Rouvray ou du maire de Grenay. Même si ces arrêtés municipaux seront attaqués par Enedis devant la justice administrative. Et vous aurez des particuliers qui refuseront d’eux-même l’installation de ces compteurs, même au risque d’être conduit devant la justice par Enedis pour non-respect de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
En son temps, il y a un film qui a dérangé le monde du 7eme art et choqué plusieurs spectateurs. Son réalisateur fut lynché en place publique, étant accusé par la vindicte populaire d’avoir réalisé un snuff movie. C’était en 1980, son réalisateur s’appelle Ruggero Deodato, le film a pour nom “Cannibal Holocaust”. L’attrait pour le gore ne date pas d’hier. Mais là, il s’agit de gore déguisée.
Avant cela, il y a eu “Freaks”, en 1932, qui a aussi fait parlé beaucoup de lui.
Récemment (2008), je pense à un film français, “Martyr”, de Pascal Laugier, qui a réalisé un très bon film d’horreur, comme savent le faire les Français. Un film très dur, qui a frôlé l’interdiction au moins de 18 ans.
Mais aujourd’hui, le gore, c’est sur Internet que cela se passe. Et il rencontre un énorme succès. Quand je vois que le succès qu’a eu en son temps la vidéo de Luka Rocco Magnota, quand je vois le nombre de vue des vidéos montrant des accidents mortels, quand je vois le nombre de vues des vidéos montrant des tortures infligés à des animaux/insectes, quand je vois le succès des vidéos où les gens montrent des suicidés (je pense notamment à ce connard de Logan Paul)… bref, et même si pour certaines vidéos, ce n’est pas à proprement parler du gore, beaucoup d’Internautes raffolent de vidéos montrant de l’horreur vraie. Pour le coup, ceux sont là de réels snuff movies. Je ne pensais pas que voir des hommes et femmes souffrir ou que de voir de vraies personnes mortes pouvaient autant attirées de monde.
Depuis la nuit des temps, l’être humain est fasciné par le sang. Avant, c’était par la littérature et l’imagination que des écrivains répondaient à cette fascination. Aujourd’hui, c’est le cinéma qui a pris le relai. Les films gores remplissent toujours les salles obscures. Internet aussi l’a compris… mais pas dans le bon sens. Je n’imagine même pas ce que je pourrais trouver dans le Web profond…
Je pense que c’est essentiellement les revenus générés et le type de produits vendus qui ont amené à cette décision.
L’article mentionne ici une montre de marques Longines comme étant le produit ayant initialement déclenché le contentieux. Or, cette marque est justement assez onéreuse.
Tout à fait. Que cela soit en France ou en Bulgarie, je pense que la justice tient compte des revenus que génèrent des ventes pour qualifier un particulier de vendeur professionnel et ainsi le condamner pour avoir omis la loi. Ici, NextINPact nous fait état uniquement de la vente de la montre Longine. Les montres Longine se vendent à partir de 500 € environ et peuvent parfois dépasser les 2 000 €. Même d’occasion, un particulier vendant une montre Longine peut récupérer plus d’argent qu’en vendant d’occasion une voiture. C’est pour dire… Quelles ont été les sept autres ventes de cette particulière bulgare ? La quantité de vente faite par un particulier importe peu. C’est le montant récupéré qui compte.
Par extrapolation, cette affaire met en exergue le problème des particuliers qui deviennent des professionnels, quelque soit leur activité (je pense notamment à la location de maisons secondaires), en passant par des sites désormais très connu.
Non mais après… On peut faire aussi “open bar” ! Je veux dire que tout le monde fait ce qu’il veut. Les vrais professionnels, on les emmerde. Nous, on passe par tels ou tels sites, on ne paie pas d’impôts, pas de taxe… On ne fait pas conditions de vente au moins, si l’acheteur veut nous renvoyer sa commande, on lui fait un bras d’honneur. Donc, vive l’anarchie, vive les Black Bloc, bienvenu dans le Nouveau (dés)Orde mondial.
Plus sérieusement, tout particulier qui se met à faire des ventes sur Internet, même si il s’agit de ventes d’occasion, doit savoir qu’à partir d’un certain niveau de revenus qu’ils tirent de ces ventes, il pourrait potentiellement être qualifié de vendeur professionnel. Sur Priceminister, des vendeurs particuliers ont du, contre leur gré, devenir des vendeurs professionnels, pour ne pas avoir de souci avec la justice. De fait, ils ont du écrire des conditions générales de vente qui respecte les lois, ils ont du clairement mettre leurs coordonnées, ils ont du déclarer leur activité au service des impôts, ect… Ah ben ouais, au final, ils ont désormais moins de revenus… mais ils respectent les lois de la République.
bon alors, et si jamais on diffusait de la musique électronique générée aléatoirement par une IA ?
techniquement ce n'est pas un "phonogramme", car un phonogramme est par définition enregistré puis diffusé.
oh, et quid de la musique classique datant d'il y a 2-3 siècles ? c'est dans le domaine public donc diffusable gratuitement non ?
c'est une situation aberrante, c'est comme si on se faisait controler au travail pour les licences informatiques, et qu'on se prenne une amende pour défaut de paiement de la "société de collecte des droits des logiciels" (fictive) pour des licences linux / libre office / firefox gratuites
setaou2 a écrit :
C’est limpide, certes, mais il faut être attentif au sens précis des mots :
De
la musique publiée sous licence libre est-elle “publiée à des fins de
commerce” ? C’est discutable. Dans le cas contraire cet article ne
s’appliquerait tout simplement pas. Il semble que le jugement n’ait pas
retenu cette possibilité.“ouvrir droit à la rémunération”
signifie que les artistes-interprètes et producteur ont droit de
réclamer une rémunération. Quid s’ils choisissent expressément de ne pas
la réclamer ? Si je ne m’abuse, la charnière du jugement consiste
justement dans le fait que les auteurs des morceaux diffusés n’ont pas
signifiés expressément aux sociétés de collecte des droits qu’ils ne
souhaitaient pas de rémunération. De ce fait, ces dernières sont dans
leur rôle de collecter les droits en leur nom. Le jugement consacre donc
le fait que le choix d’une licence de diffusion pour l’oeuvre n’exprime
pas la volonté de l’auteur concernant ses prétentions à une
rémunération. C’est un point de vue qui est là aussi discutable.En fait si on peut comprendre le jugement, il faut admettre que la prise de position est quand même tout à fait discutable…
Je prend le texte de loi au sens stricto sensus. Pour moi, ce texte est assez clair pour ne pas sujet à interprétation. Cependant, je ne suis pas un juriste ni un magistrat. Effectivement, ce texte de loi à peut-être un sens différent lorsqu’il s’agit d’oeuvres libre de droit. Dans ce texte, le plus important est “à des fins de commerce” et “rémunération”. Je conviens que cela ne peut pas s’appliquer lorsqu’il s’agit de musique libre de droit.
Le
14/05/2018 à
19h
50
L’article L214-1 du Code de la propriété intellectuelle stipule que “Ces utilisations des phonogrammes publiés à des fins de commerce, quelque soit le lieu de fixation de ces phonogrammes, ouvrent droit à la rémunération au profit des artistes-interprètes et des producteurs.”
La Cour d’appel de Paris a donc confirmé le jugement du tribunal de grande instance de Paris. Tous les deux s’appuie sur cet article de loi, qui est clair comme de l’eau de roche. Il ne laisse aucune place à l’interprétation. La musique, quelle soit protégée par le droit d’auteur ou quelle soit libre de droit, diffusée dans une grande surface (c’est le “à des fins de commerce”) ouvre le droit à une rémunération.
La justice ne fait qu’appliquer la loi. La Cour de cassation ne rejugeant pas une affaire, mais vérifiant que le jugement rendu respecte scrupuleusement la loi, il y a peu de chance qu’elle casse le jugement.
En vouloir à notre justice lorsqu’elle respecte les textes de loi est faire fausse route. Prenez-vous en aux législateurs, c’est à dire aux députés et aux sénateurs. Ils n’ont pas adapté le Code de la propriété intellectuelle aux nouvelles licences qui sont apparues : les licences libre de droit.
Par extrapolation, les décisions de justice du tribunal de grande instance de Paris et de la Cour d’appel de Paris pourraient s’appliquer à l’intégralité des œuvres libre de droit, comme les logiciels. C’est ce qui s’appelle la jurisprudence !
Tu refais un commentaire au propos répétitif, sans donner d’argument pour expliquer en quoi tu es opposé au principe des voitures autonomes.
Et ceux qui y sont opposés ont toute latitude pour le dire (ici ou ailleurs), tu racontes des bêtises à ce sujet.
J’ai déjà écris moult commentaires concernant les voitures autonomes. D’ailleurs, tu a répondu à ces commentaires. A toi de les retrouver ! Je ne vais pas répète ad viternam mes arguments contre la voiture autonomes.
Peut-être lors d'une actu à ce sujet... peut-être... mais là non.
Le
13/05/2018 à
22h
59
OlivierJ a écrit :
Je ne vois pas bien pourquoi cette logorrhée s’adresse à moi.
Concernant les voitures autonomes, qu’on soit pour ou contre, de toutes façons elles sont en développement depuis des années, et représentent un progrès plutôt qu’une régression, du fait des vies qui seront sauvées (et la fatigue en moins). Cela étant dit, je ne sais pas quel est l’avenir de la voiture à long terme, du fait du probable”mur” énergie-minerais (cf “l’âge du low-tech” de Philippe Bihouix). Un point intéressant c’est si les voitures autonomes deviennent des commodités à louer seul ou à plusieurs pour le temps d’un trajet, favorisant aussi le co-voiturage ; beaucoup de gens n’auraient plus de voiture et plus besoin d’en acheter (ok, impact pour les fabricants et les garagistes).
Cette logorrhée n’en est pas une. C’est un constat. Ici, une personne qui est contre la voiture autonome est considérée comme une personne qui est opposée au progrès. Cette conclusion est un chemin facile à prendre, que les pro voiture autonomes utilisent, afin de couper court au débat.
Cette logorrhée, qui n’en est pas une, ne s’adresse pas à toi en particulier mais à toutes les personnes qui soutiennent le développement de la voiture autonome.
Tu estimes que c’est un progrès. Moi pas. Est-ce que tu es en capacité de l’entendre ? Est-ce qu’une personne qui est pour la voiture autonome est capable de l’entendre ? Au vu des diatribes qui m’ont été distribués lorsque j’ai écris mes commentaires, argumentés soit dit en passant, concernant les voitures autonomes, il semble que non.
Ici, les opposants à la voiture autonome sont considérés, au mieux, comme des craintifs, au pire comme des demeurés, notamment en leur disant très clairement qu’ils sont irrationnels dans leurs arguments.
Bref, ma loggorhée, qui n’en est pas une, t’explique que les opposants à la voiture autonomes ont difficilement le droit à la parole sur Next INPact. Les partisans de la voiture autonomes ont toujours raisons. Les opposants ont toujours tord. La messe est dite !
Le
13/05/2018 à
19h
50
OlivierJ a écrit :
Quand tu vois la fiabilité du transport aérien, ça devrait te donner plus d’optimisme sur la capacité à mettre au point des véhicules autonomes ; qui de toutes façons seront nettement plus fiables que les conducteurs humains (on parle de moyenne).
Les personnes qui sont contre les voitures autonomes sont has-been, c’est bien connu. Totalement dénuées de neurones, à côté de la plaque, ceux sont des cas sociaux qui vivent en marge de la société.
Peu recommandable, ces personnes sont des éléments perturbateurs, des nuisibles, qui empêchent d’aller de l’avant. De gros boulets qu’ils convient de jeter à l’eau pour ne plus entendre parler d’eux.
Bientôt, des milices de technophiles se créeront, afin de venir achever la vie de ces personnes à coups de machettes…
Oui, les personnes qui sont contre les voitures autonomes sont de pures imbéciles, qui font chier les autres.
Je suis contre les voitures autonomes. Je pense déjà avoir fait de longs commentaires à ce sujet, qui m’en valut de grandes diatribes de la part de technophiles.
Je n’adhère pas au modèle de société que souhaiterais les végans, mais je respecte leurs opinions. En revanche, je n’apprécie pas leurs moyens d’actions, qui sont pour le moins discutables. Mais ça fonctionne tout de même : la consommation de viande en France ne fait que diminuer. Est-ce que les végans sont des imbéciles ? Non.
Les personnes qui sont contre les voitures autonomes ont leurs opinions, avec des arguments qui iront forcément l’encontre des tiens, des autres, des technophiles. Cela n’en fait pas pour autant des personnes qui sont contre l’évolution des technologie. Cela n’en fait pas des réactionnaires. Leurs opinions est tout aussi respectables que ceux qui sont pour les voitures autonomes. Ils méritent d’être entendue mais, à vrai dire, c’est très difficile sur un site comme celui de Next INPact, spécialisé notamment dans les nouvelles technologies. Il y a des endroits où, effectivement, il ne fait pas bon d’avoir des idées contraires à celles de la majorité.
C’est ca, mais il y en a quand même des mieux que d’autres… Même en étant objectif et non expert ! J’utilise au quotidien, FireFox et Chrome au boulot, Opera et Vivaldi sur le perso (En windows et en linux d’ailleurs), Opera et le nouveau Firefox sont de loin mes préférés maintenant. Ce qui est à l’appréciation de chacun par contre, c’est ce qui défini un bon ou mauvais navigateur ! Pour certain c’est la vitesse, d’autres la personnalisation, d’autres les options ou extensions, etc…
Je pense que c’est en grande partie une question d’habitude du coup, ton simplement. Pour une personne lambda, changer de navigateur c’est changer toutes ces habitudes. Donc on reste sur celui que l’on maitrise au mieux… C’est pour ca que Chrome à beaucoup de part de marché d’ailleurs. J’ai voulu plus d’une fois passer des personnes sous Opera ou FF mais pas simple de changer leurs habitudes !
Le problème qui se pose avec Chrome, c’est qu’il est installé par défaut sur Android et que la plupart des utilisateurs s’en contentent très bien.
Le succès de Chrome sur Android est dû à la paresse de la plupart des utilisateurs, qui ne vont pas chercher à utiliser un navigateur Internet concurrent. Une paresse qui, si elle est critiquable, reste compréhensible. La plupart de ces utilisateurs attendent très peu d’un navigateur Internet. Chrome, sur Android, répond largement à leurs attentes. Il n’y a aucune raison qui pourrait les pousser à aller voir ailleurs.
Le succès de Chrome sur Android est à mettre en parallèle avec le succès d’Internet Explorer, à son époque. Beaucoup d’utilisateurs s’en contentaient. Il aura fallu du temps à la concurrence et l’immobilisme de Microsoft (entre Internet Explorer 6 et Internet Explorer 7, il se sera passé 5 ans [Microsoft dormait sur ses 90% de part de marché des navigateurs Internet]) pour que de plus en plus d’utilisateurs se mettent à adopter des navigateurs Internet alternatifs.
Le
09/05/2018 à
17h
47
Il n’y aura jamais d’objectivité concernant les navigateurs Internet. Tout est une question de goût et de couleur. Les uns ont leurs arguments, les autres ont leurs arguments. Qui a raison ? Qui a tord ? Les tests que font passé les sites Internet donnent des résultats bruts. C’est à l’utilisation que l’Internaute verra si tel ou tel navigateur lui convient.
J’utilise Firefox. Il est libre de droit et est très personnalisable grâce à ses nombreuses extensions. Et après ? Je serais honnête. Le reste, je m’en tamponne le coquillard. Il s’agit de sujets que je ne maîtrise pas. C’est technique et me passe par dessus la tête.
Quantum CSS, TCP Fast Open, modules EcmaScript 6, ect… serait-ce de nouvelles recettes de cuisines ?🤔
La plupart des utilisateurs, dont je fais partie, vous diront qu’il aime tel ou tel navigateur… mais sur la forme seulement, dont ils se contentent largement. Le fond, c’est très bien… pour les experts !
Je pense que tu ne dois pas être bien vieux pour penser ainsi ta vision du monde du travail.
D’ailleurs, je note que ton expérience personnelle a façonné la façon dont tu apprécies la productivité des uns et des autres. C’est bien. Inutile de continuer sur Mme Machpro, elle semble être une accumulatrice de problèmes.
Mon propos partait de cet exemple comme point de départ d’une discussion plus large en réaction à ton commentaire.
Reste tolérant et acquiers de l’expérience, ton opinion évoluera au fil de tes expériences, je te le souhaite. Ce n’est pas faire preuve de ramollissement avec l’âge, mais plutôt de pondération au regard du vécu et de ce que l’on comprend peu à peu au monde qui nous entoure.
Encore une fois, nous sommes bien d’accord que l’usage de moyens dédiés à une activité professionnelle ne doit pas être détourné à des fins personnelles. C’est la règle de départ.
La réciprocité n’étant pas vraie dans l’absolu (tu dois forcément utiliser des moyens personnels pour ton travail) et n’étant pas souhaitable d’ailleurs (selon moi), il est logique qu’il y ait une tolérance dans les deux sens.
Ensuite, il ne faut pas te résoudre à considérer tes 1650 euros comme une chance.
Certes, nous sommes “pressurisés” à grand renfort de nouvelles pessimistes et alarmistes. Cette vision minimaliste est bien orchestrée à grand coup de peur du chomdu véhiculée par nos médias et nos gouvernants. Il ne faut pas y céder.
In fine, le but du travail, c’est de bien vivre au travers de l’argent qu’il nous rapporte, ce n’est pas d’en avoir un. Alors que le mot travail est étymologiquement un outil de torture, on nous le vante aujourd’hui comme chance et source d’épanouissement. Quelle ironie !
Je ne vois pas où j’ai été agressif. Cependant, la perception de l’écrit peut être très différente d’une personne à une autre.
Je le répète. J’ai une vision bien cadrée du travail. Est-elle mauvaise ? Tu as ton opinion, que je respecte. Je le redis : un lieu de travail est un endroit où à l’unisson les employés (salariés, agents de maîtrise et cadre) et le patron cherche un même but. Celle de faire des bénéfices ou, si tu préfères, faire tourner l’entreprise, ou, si tu préfères encore, répondre aux attentes des clients. Faire des bénéfices n’est pas antinomique avec le facteur humain. Ainsi, il existe des entreprises où le social est mis très avant : le bien-être des salariés est mis au même niveau que celui des bénéfices. Il faut reconnaître qu’en France, les micro-entreprises, les TPE, les PME, les ETI et les GE tendent à mettre de plus en plus le bien-être des salariés en avant. Mais les entreprises françaises partent de loin. Elles ont encore du chemin à parcourir pour atteindre le même niveau de traitement des salariés que celui, par exemple, des entreprises scandinaves.
Lorsqu’une personne, dans une entreprises, s’isole des autres salariés, celle-ci devient un élément perturbateur. Cela peut être pour des raisons personnelles ou du m’en foutisme. L’une ou l’autre des situations demandera une approche différente pour les responsables ou le patron lui-même. Mais ceux sont des situations qui ne pourront pas durer car elles ont un impact sur les autres salariés et sur la productivité en général de l’entreprise.
Concernant les outils de travail dont tu disposes dans une entreprise, la théorie veut que ceux-ci ne servent qu’à des fins professionnelles. En pratique, certains outils professionnels servent à des fins personnelles. Concernant ce sujet, comme je te l’ai dit, je suis intransigeant. Cependant, je suis forcé d’être modérer et de faire preuve de tolérance. Je veux bien que les outils professionnels servent à des fins personnelles, mais il ne faut pas en abuser.
Concernant mon salaire, tu me permettra d’être satisfait de mes 1 650 € par mois. Je ne t’ai jamais dit que c’était une chance. Je t’ai dit que d’autres salariés apprécieraient gagner autant que moi. Et ils sont nombreux dans cette France du travail précaire et du chômage de masse. Ai-je envie de gagner de plus ? Oui. Cependant,
avec mes 1 650 € par mois, je m’en sors très bien dans ma vie personnelle. Je ne vois pas en quoi j’ai ici une vision minimaliste. Lorsque tu as un salaire qui te permet de payer le crédit d’un T2 neuf, qui te permet de payer toutes les charges et qui te permet de vivre (je dit bien “vivre” et non pas “vivoter”, nuance), c’est déjà, en quelque sorte, une réussite.
barlav a écrit :
En fait t’est juste plus sensible à un cas proche du tien; c’est de affect.
Pour revenir à l’exemple de Sylvounet:
Tu as un gars qui peine à faire son travail chaque jour parce X raisons; et un autre qui le fait à l’aise en 4h, prend le temps de discuter, partage ses méthodes et part à 16h pour un évènement exceptionnel.
Si je reprend ton concept, le 2e a tort d’avoir cette aisance? Il devrait aller récurer les chiottes ensuite?
je cite:
“
il n'a aucune raison de glandouiller. Sur un lieu de travail, il y a toujours de quoi faire ! Tu ne ne peux jamais avoir de bonnes raisons de t'ennuyer. Cela peut passer par faire des tâches ingrates.
”
Sympa le concept de valorisation et de bien-être; et le pb de productivité, c’est pour quand?
Parce que à un moment donné tout le monde va être mauvais avec ta méthode, aligné sur le canard boiteux.
Le 2e peut surement continuer à s’épanouir en continuant l’optimisation de son temps de travail avec de nouvelles taches ingrates plus enrichissantes.
Enfin, ça c’est si tu veux garder les bons.
" />
C’est très bien si un employé arrive à faire son travail en moins d’heures que ce que ses responsables ou son patron avaient prévu. Si tel est le cas, je persiste et signe : il y a toujours de quoi faire dans une entreprise. Et cela peut passer par faire des tâches ingrates. Ce n’est pas parce que tu es un salarié groupe 4 niveau 4 que les tâches ingrates doivent forcément être effectué par un salarié groupe 1 niveau 1. Les tâches ingrates sont pour tout le monde, employés comme responsables. Là où je bosse, en tout cas, c’est comme cela que cela se passe. Que tu fasses du travail valorisant, bien évidemment. Mais quand tu as fini ce travail valorisant, tu peux être amené à faire du travail chiant, peu qualitatif. Ben c’est comme ça… Personnellement, je ne vois pas où est le problème. Je ne vois pas où cela tire les employés vers le bas.
Si la méritocratie est nécessaire dans une entreprise. Cependant, les plus méritants n’ont pas a être dispensé des tâches ingrates. La bonne blague…
Le
08/05/2018 à
19h
24
Sylvounet a écrit :
Hello Romain,
Je suis globalement d'accord avec le fait que l'on ne doive pas détourner le matériel professionnel à des fins personnelles.
Quand bien même, ayant bien connu l'inverse (au début de la "numérisation", j'utilisais mon ordi perso, qui était sur mon bureau pour remplir les missions qui m'étaient confiées), je pense qu'il est sain de ne pas totalement l'interdire. L'interpénétration privé/pro est inévitable, et d'ailleurs elle est même souvent encouragée par certaines entreprises, par l'association des conjoints à certaines activités, etc. Nous sommes un et indivisible, donc nous amenons avec nous nos problèmes, soucis, bonheurs et habitudes dans l'une des deux sphères.
Mais en effet, il semble que cette dame ait largement dépassé les bornes, et que ses mauvais actes ne soient pas limités au domaine de l'usage de son ordinateur.
Cependant, je trouve que ta conception du travail est pour toi aussi très française, voire fonctionnaire. Personnellement, je n'envisage pas mon travail comme une liste de tâches à accomplir, ni comme un nombre d'heures à faire derrière mon bureau/comptoir, mais comme quelque chose qui doit me permettre de répondre aux objectifs que l'on m'a assignés. Evidemment, cela passe par un certain nombre de tâches à accomplir, mais les tâches sont subséquentes aux objectifs, elles ne sont pas une fin en soi. Imaginons malgré tout (et je me fais l'avocat du diable) qu'un salarié ait rempli l'ensemble des objectifs assignés en moins de temps que ce que l'employeur avait envisagé : dans le cadre du contrat fixé, qu'est-ce ça peut bien faire à l'employeur que le type glande à la maison ? S'il est malin, après quelques ajustement éventuels si l'employé est hyper performant, il lui proposera du surplus en étant mieux payé.
Et bien souvent c'est là que le bât blesse. Le français (employeurs et employés) ont pour la plupart une défiance réciproque qui conduit à des situations de pourrissement, où d'un côté l'employé glande, mais d'une autre côté, l'employeur ne peut que constater que le type a fait ses tâches ou rempli ses objectifs, sans qu'il ne puisse pas ailleurs améliorer son sort...
Enfin, et sans briser tes ardeurs, je pense qu'avec 1650€, tu as certes un salaire correct, mais d'une part tu es en dessous du salaire moyen et même médian. Ce dernier étant de plus en plus inférieur au moyen, ce qui témoigne d'une stagnation, accompagnée d'une compression des écart de salaires "en bas" (d'employé à cadre sup. inclus), nous devrions plutôt nous poser la question de la rémunération. Pardon pour cette digression.
D'autre part, ta vision est un peu extrémiste et va à l'encontre de l'intérêt de l'employeur : plutôt que de faire sauter, il faut éduquer, punir, récompenser, faire progresser ses employés. Bref, être davantage impliqué et ne pas faire que du management à coups de tristes indicateurs.
Je dis que le matériel informatique que les employés utilisent ne doit pas servir à des fins personnels. Où est le problème ? Cela ne coule-t-il pas de source ? Par exemple, imprimer un document personnel sur son lieu de travail est toléré et pourtant... en principe, c'est interdit. C'est chez toi que tu imprimes des documents personnels.
Ma vision du travail : elle est effectivement très cadrée. J'envisage le travail comme une tâche que l'employeur donne à faire à ses employés. Quitte à eux de faire le nécessaire correctement. Ils peuvent le faire en s'amusant, tant qu'ils restent productifs. Un lieu de travail doit être vivant et doit être imprégné d'une bonne ambiance. Une bonne ambiance est synonyme de motivation, chez la plupart des employés. Si l'employé a rempli ses objectifs en moins de temps que ce que l'employeur avait prévu, il n'a aucune raison de glandouiller. Sur un lieu de travail, il y a toujours de quoi faire ! Tu ne ne peux jamais avoir de bonnes raisons de t'ennuyer. Cela peut passer par faire des tâches ingrates. Et alors ?
Enfin, je reste humain. J'ai eu des problèmes personnels qui ont malheureusement eu un impact sur ma productivité. Pour autant que je m'en rappelle, cela a duré un mois, pendant lequel je me suis isolé sur mon lieu de travail. Je ne disais même plus bonjour. Autant te dire que sur mon lieu de travail, l'image que je renvoyais était mauvaise. Un de mes agent de maîtrise est venu me voir pour me dire que si je souhaitais parler, il serait à mon écoute. Sauf que, là aussi, c'est ma vision du travail : ni un employé ni un responsable ni un patron ne sont des psychiatres, des psychologues ou que sais-je encore. Qu'ils puissent être à mon écoute, certes. Et après ? Que pensait mon agent de maîtrise ? Que parler me ferait du bien ? Me permettrait de sortir de la bulle dans laquelle j'étais enfermé ? Il perdait son temps. Si j'aurais voulu parler, c'est vers un spécialiste que je me serais tourné.
Le résultat ne s'est pas fait attendre. Mon agent de maîtrise m'a pris dans un bureau en me faisant comprendre que mon comportement ne pouvait plus durer. Que je ne veuille pas parler, c'était mon droit. Mais mes problèmes personnels ne devaient plus avoir d'impact sur l'équipe, auquel cas je risquais d'être sanctionné.
Tout ce beau discours pour t'expliquer que si un employé a une baisse de productivité dû à des problèmes personnels, je resterais compréhensif et aborderait la situation différemment d'un employé qui fait preuve de m'en foutisme. Un jour ou l'autre, n'importe quel employé peut avoir des problèmes personnels, qu'il emporte avec lui sur son lieu de travail. C'est humain comme comportement. Comme c'est humain de la part de ses collègues de travail de ne pas comprendre son changement de comportement. Or, je ne reconnais aucune circonstance atténuante à cette Madame X. Elle a voulu faire la cacou. Elle a joué, elle a perdu. Cette Madame X faisait bien preuve de m'en foutisme. Elle avait réduit son travail à un salaire. Aucun employeur ne peut accepter un tel raisonnement ! Il l'a licencié et il a eu raison.
Enfin, concernant mon salaire de 1 650 € net par mois... c'est un salaire correct qui me permet de vivre, de payer le crédit de mon T2 et de payer les diverses charges, mais également de profiter de la vie. Beaucoup de gens voudraient gagner un tel salaire, sur dans la situation économique et sociale que traverse la France.
Le
08/05/2018 à
13h
08
skankhunt42 a écrit :
Je pense qu'il est surtout temps de prendre le facteur humain dans le travail... D'un côté il est possible de taper sur cette femme car elle ne s'occupe pas d'une cliente et préfère fumer sa cigarette, d'un autre côté peut être qu'elle à enchainé 4h de saisie non stop et qu'une cigarette c'est 5 minutes max et qu'il faut à un moment décompresser.
Je suis pas un populiste. Tous les patrons ne sont pas des pourris et ne prennent pas leurs salariés pour des esclaves. Je suis extrême dans mes propos, mais c’est pour bien expliquer mon point de vue.
En France, je trouve que beaucoup de salariés pensent qu’ils ont le droit de tout faire sur leurs lieux de travail. Pour ma part, malgré les propos modérés que je tiens concernant l’utilisation d’un ordinateur professionnel par un employé, je serais intransigeant.
J’en ai marre que les salariés utilisent leurs ordinateurs professionnels pour y stocker leurs données personnels. Je n’accepte pas plus l’utilisation d’un ordinateur professionnel pour du surf personnel. Un ordinateur professionnel ne doit servir qu’à des fins professionnelles. J’accepte que les employés puissent s’envoyer des courriels humoristiques entre eux, via leurs boîtes mails professionnels. Mais cela s’arrête là. Je ne dis pas non plus que les salariés ne doivent pas blaguer entre eux, tout en travaillant ! Je parle des ordinateurs professionnels. Un ordinateur professionnel ne doit servir que dans le cadre du travail.
Quand à un salarié qui a des retards à répétitions, qui prend des pauses répétitives (nous ne savons pas dans cette histoire si c’est pendant ou en dehors de ses heures de travail, mais quand bien même), qui refuse des formations professionnelles (elles sont obligatoires, tant du côté de l’employeur que du côté du salarié) et qui, au final, à donc une baisse de productivité, je n’aurais là aussi aucun état d’âme. Si un salarié estime qu’il n’est plus à sa place, qu’il se casse de l’entreprise et arrête d’emmerder son employeur mais aussi ses collègues de travail, qui d’ailleurs ne sont plus des collègues, vu l’image qu’il renvoie.
C’est très français de penser que tu es sur un lieu de travail pour simplement gagner un salaire. C’est très français de réduire le travail à un salaire. Si tout travail mérite salaire, tu as aussi le devoir de faire tourner une entreprise, même lorsque tu es salarié, au bas de l’échelle. D’accord, c’est facile d’écrire cela alors que je touche 1 650 € net par mois et que je suis d’un penchant social-lébéral. Mais j’ai une certaine vision du travail. Un employé qui ne fait plus son travail correctement devient un élément perturbateur (sauf si celui-ci a des problèmes personnels mais là, c’est une situation différente) et il est nécessaire de le faire sauter. Pour le bien de l’entreprise et pour le bien d’un groupe de personnes qui, eux, essaient de faire avancer ensemble cette entreprise.
Le
07/05/2018 à
17h
48
Dès lors qu’un de ses salariés utilisent son ordinateur professionnel pour faire du téléchargement illégal, l’employeur peut décider de le licencier pour faute grave. Un employé qui fait cela met en porte-à-faux l’entreprise dans laquelle il travaille car si les ayants-droits venaient à porter plainte, c’est l’entreprise qui paierait et non pas l’employé.
En revanche, un ordinateur professionnel peut être utiliser pour y stocker des fichiers personnels mais dans une quantité raisonnable. Et ces fichiers personnels ne doivent pas nuire au bon fonctionnement de l'entreprise et ne doivent pas interférer dans le travail de l'employé.
Dans cette affaire, l'employée a fait tout ce qu'il ne fallait pas faire avec son ordinateur professionnel, en y ajoutant des manquements graves à son travail. Cette employée a fait preuve de laxisme. Mais quel manque de sérieux de sa part !
Je pense que son patron lui aurait mis une simple mis à pied si elle n'avait pas considéré son travail comme étant le Club Med. Car, oui, plus que tout, je pense que c'est l'attitude de cette employée sur son lieu de travail qui a fait pencher la balance vers le licenciement.
Quoiqu'il en soit, cette actualité doit tout de même faire rappeler aux employés que les lieux de travail ne sont pas des lieux de loisirs. Les ordinateurs professionnels sont fait avant tout pour travailler. Je ne dis pas que les mails professionnels humoristiques que les employés peuvent s'envoyer entre eux doivent être proscrit. Mais pour le reste, c'est à son domicile que cela doit se passer.
Quand je pense que j’ai réussi à trouver un emploi grâce à l’Union Patronale du Var, emploi que j’occupe désormais depuis 2006 en CDI 35 heures… Et je n’ai pas été pistonné ! Que cela soit clair. L’UPV a été plus efficace que feue l’ANPE… Et je m’aperçois que Pôle Emploi n’est pas plus efficace aujourd’hui. Pourtant, je peux vous dire que j’ai parfois des mots durs envers le patronat.
Ah ça, pour fliquer de plus en plus les chômeurs et leur faire perdre leurs droits, Pôle Emploi est très fort. Quand il s’agit de trouver un travail, c’est une autre paire de manche…
A terme, de toute façon, si l’Etat continue sur le même chemin, Pôle Emploi ne sera plus qu’un organe de contrôle. Mais n’est-ce pas déjà le cas ? Les chômeurs utilisent déjà d’autres moyens pour obtenir un emploi. Je constate ainsi, car cela s’est passé sur mon lieu de travail, que des intérimaires avaient été appelés pour faire une mission… puis les même ont été rappelés pour d’autres missions… et le temps passant, ils ont été embauché en CDD puis en CDI. Je constate aussi que l’emploi 2.0 domine largement aujourd’hui le marché du travail. Se vendre sur Internet pour trouver un travail est bien plus efficace que Pôle Emploi. Le problème, c’est que tout le monde n’est pas à l’aise avec l’emploi 2.0.
Pôle Emploi aurait besoin d’une bonne restructuration pour enfin assurer ses missions correctement.
C’est vrai, c’était bien connu qu’il y a encore qques années tout le monde était au courant que la vmax sur route secondaire allait passer à 80km/h sur tout le réseau! Tous ceux-là ont quand même été bien cons de ne pas acheter de voiture adaptée… " />
Ca veut dire quoi, exactement, “tout”?
Et au passage, il n’y a pas besoin d’avoir une voiture puissante pour être emmerdé à 70 ou 80km/h. Tu prends n’importe quelle voiture à boîte longue (typiquement la Clio IV, modèle relativement courant), et ca sera le cas même avec le moteur de base, que ca soit essence ou diesel.
Je vais te dire réellement ce que je pense :
Depuis que Emmanuel Macron a annoncé que la vitesse maximale autorisée serait abaissée à 80 km/h sur les routes à double sens sans séparateur central, la vitesse maximale est aujourd’hui de 90 km/h, il s’est mis à dos bon nombre de conducteurs.
Je pourrais être avec ces conducteurs, puisque je le suis moi-même. Sauf que non… la mentalité des conducteurs français me fait dire que, malheureusement, il n’y a qu’avec la répression et un code de la route toujours plus stricte que cette mentalité changera.
Il faut arrêter d’être faux-cul ! En terme de conduite, la France a encore beaucoup de progrès à faire. Les conducteurs français doivent cesser de croire qu’une voiture est un objet qui leur permet de montrer ce dont ils sont capables de faire. Faire un trajet n’est pas un amusement. Pour s’amuser, il y a les circuits, comme celui qui se trouve dans mon département, au Castellet.
Cette nouvelle limitation de vitesse sur les routes à double sens sans séparateur central rallongera légèrement les temps de trajets. Pour plus de vies de sauvées ? Je n’en sais rien. Seul l’avenir nous le dira. Pour plus d’amendes, de retraits de points et de retrait de permis ? Ceux sont ceux qui sont contre cette limitation de vitesse qui le disent. Quelle objectivité… Si un conducteur est capable de respecter 90 km/h, il est capable de respecter 80 km/h. Cette différence de 10 km/h ne changera pas sa vie.
Je lis vos commentaires expliquant que vous possédez des véhicules qui s’abîmeront plus vite avec cette nouvelle limitation de vitesse. Et donc, au final, que souhaiteriez-vous ? Que l’Etat laissent les conducteurs tranquille ? En l’état, c’est impossible. Dans quelques années peut-être… mais les mentalités mettent du temps à changer.
Le
18/04/2018 à
20h
48
Pour revenir au sujet, j’ai une question. Si aujourd’hui cette base nationale des limitations de vitesse n’existe pas, comment les développeurs des applications de navigation GPS arrivent-ils à renseigner les limitations de vitesse sur les cartes de leurs applications ? Plus généralement, où trouvent-ils les informations nécessaires pour renseigner leurs cartes ? Les applications de navigation GPS ne sont pas toutes collaborative. Sygic, que j’utilise, ne comporte aucune fonction de collaboration. Ce qui ne me dérange pas pour une application de navigation GPS payante. Lorsque c’est payant, le développeur ne peut pas tout attendre des utilisateurs (à part lui faire remonter des problèmes d’ordre technique).
Par ailleurs, si mettre régulièrement à jour les cartes, c’est le faire une fois par an (c’est le cas de Sygic), je n’appelle pas cela de la régularité. Par exemple… ah, la France, terre des ronds-points ! Et, apparemment, il ne doit pas y en avoir assez puisqu’il s’en construit encore. Bref, ces ronds-points peuvent avoir une légère incidence sur le parcours qu’un conducteur doit emprunter pour aller à destination. Si une application de navigation GPS met ses cartes à jour une fois par an, c’est un peu léger pour rectifier le parcours.
Sur bien des points, les applications de navigation GPS payantes sont perfectibles : zone de danger, proximité d’un radar (d’ailleurs, j’adore quand Sygic m’indique que je m’approche d’un radar, alors que celui se trouve sur l’autoroute et que je suis sur une route secondaire qui longe l’autoroute), ect… La mise à jour des cartes une fois par an n’est donc pas suffisant.
Le
18/04/2018 à
17h
38
Notice me Sempai a écrit :
C’est dangereux comme comportement de faire des break check, pour eux (enfin, j’en ai rien a faire s’ils se crashent…) pour toi et les autres usagers.
Le mieux c'est de les ignorer le temps de finir ta manoeuvre sans te presser.
C’est perturbant d’avoir des conducteurs (voitures ou poids lourds) qui veulent te forcer à accélérer, alors que tu es déjà quasiment à la vitesse maximale autorisée (je n’ai ni régulateur ni limitateur de vitesse sur ma Fiat Panda II essence).
Lorsque je suis les routes secondaires, je n’hésite pas à me décaler légèrement vers la droite pour inviter un véhicule à me dépasser, lorsque je ressens bien l’agacement du conducteur. Encore faut-il que celui reste poli, et cela passe par ne pas me coller au cul.
Les conducteurs qui me collent au cul m’invitent gracieusement à donner des petits coups de frein ou à décélérer. C’est certes dangereux pour moi, pour eux et pour les autres usagers. Cependant, sur une route secondaire qui fait plusieurs kilomètres, je ne me laisserais pas emmerder par ces connards.
J’en profite aussi, puisque j’ai lu quelques commentaires à ce sujet ici même, que si des voitures ont des moteurs qui supportent mal certaines limitations de vitesse, il ne faut pas les acheter. J’entends bien que certaines personnes apprécient les véhicules qui possèdent un puissant moteur, permettant d’atteindre rapidement de grandes vitesses. Sauf que, effectivement, ce type de moteur supporte mal certaines vitesses. Ainsi, rouler en seconde à 30 km/h est mission impossible avec ces moteurs et rouler à 70 km/h sur les routes nationales est compliqué, en quatrième ou en cinquième. D’ailleurs, parfois, les constructeurs mettent une sixième vitesse à ces véhicules, ce qui veut tout dire.
Au regard des limitations de vitesses en France, y a-t-il une nécessité d’acheter des bolides ? Je n’en ai rien à foutre que le conducteur qui me suit me colle au cul parce que le moteur de son véhicule supporte mal la vitesse maximale à laquelle il roule. Il a voulu se faire plaisir. Grand bien lui en fasse ! Ce n’est pas mon problème. C’est le sien. Il y a des limitations de vitesse. Je les respecte, que cela lui plaise ou pas.
Le
18/04/2018 à
15h
30
La création d’une base nationale des limitations de vitesse est effectivement une bonne idée. J’utilise Sygic comme application de navigation GPS (je compte essayer aussi Coyote) et force est de constater que les informations que l’application me donne concernant les limitations de vitesse sont parfois erronées. Les développeurs pourraient se servir de cette base de donnée pour mettre régulièrement à jour leurs applications de navigation GPS.
Ainsi, j’ai récemment traversé plusieurs petits villages et hameaux, où la vitesse maximum autorisé est de 30 km/h. Sygic m’informait que je pouvais rouler à 50 km/h maximum. Sur des routes nationales, surveillées régulièrement par des radars autonomes ou par des gendarmes, où la vitesse maximum est limitées à 70 km/h, Sygic m’informait que je pouvais rouler à 90 km/h.
Il faut rappeler que ce n’est pas l’application qui conduit un véhicule mais un conducteur. Le développeur d’une application de navigation GPS n’est pas responsable si le conducteur se prend, au mieux, un retrait de point et une amende, au pire une confiscation du véhicule et le retrait de son permis de conduire pour avoir fait confiance à son application de navigation GPS, qui donnait de mauvaises informations.
Je suis en revanche contre une base de donnée collaborative concernant des limitations de vitesse. Malgré ses 100 millions de conducteurs de part le monde et ses 5 millions en France, Waze n’est pas fiable à 100%, pas plus qu’une application de navigation GPS payante. Une base de donnée collaborative pourraient contenir des erreurs.
Cependant, vu la mentalité désastreuse d’une grande partie des conducteurs français (et la voiture autonome ne résoudra pas le problème, mais c’est un autre sujet), une base nationale des limitations de vitesse ne changera pas la situation.
Je ne compte plus tous ces connards de conducteurs, qui me collent au cul pour que j’accélère alors que je suis au maximum de la vitesse autorisée. Pour les calmer, je donne des petits coups de frein ou je décélère. Le must étant de le faire sur une autoroute, car ils prennent peur, vu la vitesse à laquelle nous roulons. En France, c’est la voiture B qui est toujours en faute si elle emboutit l’arrière de la voiture A. Pourquoi n’en profiterais-je pas ?
En France, une grande partie des conducteurs estiment que leurs véhiculent leur sert à faire les cacous sur les routes, afin de montrer leur agilité et leur dextérité au volant. Lorsque la vitesse maximale autorisée passera sur les routes secondaires de 90 km/h à 80 km/h, je la respecterais. Ceux qui me suivent et qui ne sont pas content pourront aller se faire foutre…
1,5 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle et 800 millions d’euros pour la nano-électronique.
Certes…
Très bien…
Très bonne idée…
L’intelligence artificielle, la nano-technologie… le futur… tout ça…
Ouais…
La dette française n’est que de 2 200 milliards d’euros, c’est à dire 97% du PIB. Rien que ça… et Macron qui sort le carnet de chèques… Ah mais peut-être souhaite-t-il financer cela grâce à la réforme de la SNCF ? Mort de rire…" />
Pour le moment, il s’agit d’un effet d’annonce. Il faudra pouvoir financer les promesses de Macron. Il y a son discours, purement théorique, et la réalité, purement pratique et c’est cette dernière qui aura le fin mot de l’histoire. En l’état actuel de notre dette, et même si certains continuent à prôner que nous pouvons continuer à dépenser sans compter, la Banque centrale pouvant faire fonctionner la planche à billet, je ne vois pas comment cela pourra être financer.
1,5 milliards d’euros pour l’IA et 800 millions d’euros pour la nano-électronique… j’attends vraiment de voir, tout aussi intéressantes et optimistes soient les déclations de notre monarque républicain. L’avenir, oui, mais en préoccupant également de nos dépenses.
Euh, un cadre doit encadrer, et ce n’est pas forcément facile à distance. Mais tu parles peut-être des soi-disant
cadres qui n'encadrent pas.
Sur la fourniture du PC et des logiciels, voir ma citation de la ministre juste au-dessus. Elle dit bien la même chose que toi.
Je travaille dans une grande enseigne suédoise, qui vend notamment des meubles (perso, je n'ai pas à le cacher). Comme dans toutes entreprises, il y a des employés, des agents de maîtrise et des cadres.
Mon point de vue :
* Un employé est embauché pour être directement sur le terrain.
* Un agent de maîtrise est une personne qui gère une équipe. Parfois dans les bureau pour faire de l’administratif, il est souvent sur le terrain pour superviser une équipe et l’aider dans ses tâches.
* Un cadre travaille essentiellement dans les bureaux. Il gère un département, composé de plusieurs équipes. Son travail se passe souvent devant un ordinateur. Certes, un cadre est là pour encadrer, mais pour faire cet encadrement, a-t-il besoin nécessairement d’être présent sur son lieu de travail ? Je ne pense pas. Je ne pense pas que la présence d’un cadre soit une obligation dans toutes ses heures de travail.
La cadre de mon département dispose d’un ordinateur portable “clé en main” qui lui permet de pouvoir éventuellement travailler à distance. Cet ordinateur portable lui permet d’accéder de chez elle à l’Intranet. Avec cet accès à Intranet, elle a les accès nécessaires pour travailler de chez elle à partir de son ordinateur portable.
Bref, la présence de cette cadre n’est pas obligatoire. Le département dans lequel je travaille fonctionne très bien lorsqu’elle n’est pas présente.
Le
03/04/2018 à
15h
52
Ah… le télétravail… La France est en retard dans ce domaine (comme dans d’autres). Je pense que des employés français, notamment des cadres, seraient motivés pour faire du télétravail. Mais la culture du travail, chez nous, c’est le “sur place”. Entendez par là que les patrons français, dans leur grande majorité, continuent à vouloir que leurs employés soient sur leur lieu de travail pour travailler, quelques soient le type de tâches qui leur incombe, même si cela se passe devant un ordinateur.
Par contre, là où je ne suis pas d’accord, c’est que l’employeur qui souhaiterait que certains de ces salariés puissent faire du télétravail devrait fournir le nécessaire afin qu’ils puissent travailler de chez eux. Je pense notamment aux logiciels. Ce n’est pas aux employés de payer à leurs frais les logiciels pour télétravailler, pas plus que la maintenance de ceux-ci. Pourquoi les employeurs ne fourniraient-ils pas des ordinateurs portables qui seraient configuré “clé en main” à leurs salariés qui doivent télétravaillé ?
Oui au télétravail mais ce n’est pas au salariés qui le feront à supporter tous les frais pour ce faire.
Que certains abonnés ne veuillent pas utiliser les box, leur préférant des modems, c’est leur choix. Mais ils paieront tout de même la location de ces box, même si le prix de la location est incluse dans le prix des offres.
Le prix de la location étant désormais incluse dans le prix des offres d’abonnement, les FAI ne vont pas s’amuser à tripatouiller leurs nouvelles formules pour faire plaisir aux clients qui ne veulent pas de leurs box, sous-entendu évidemment qu’ils ne veulent pas payer la location des box.
Lorsque les FAI n’incluaient pas la location de leurs box dans leurs offres d’abonnement, cette location restait une option. Cette location n’en est désormais plus une. La DGCCRF a obligé les FAI à éclaircir leurs offres d’abonnement. C’est une très bonne chose. Revers de la médaille : une option devient une obligation.
Un FAI/opérateur mobile vend un service. Chacun d’entre eux pratiquent des prix différents pour leurs formules d’abonnement. La différence de prix est parfois importante pour un abonnement plus ou moins équivalent. Cependant, il ne faut pas s’arrêter au prix. Faire jouer la concurrence n’est pas observer uniquement les prix.
Ici, il y a une augmentation des prix chez SFR. Mais de ce que je comprend, la nouvelle direction muscle ses offres d’abonnements. Il y a des extras supplémentaires. Et les extras, ça se paie.
Il est intéressant d’observer que les technophiles veulent toujours payer moins cher leur accès à Internet, mais qu’ils sont prêt à ouvrir grand leur porte-feuille lorsqu’il s’agit d’acheter des produits high-tech. C’est donc qu’ils comprennent qu’un prix peut être synonyme de qualité.
Pour ce qui ce passe sur le darknet, c’est un autre sujet qui n’a rien à voir, et qui est géré par d’autres personnes.
Et c’est de la surveillance qui est effectué, pour luter contre des activités interdites.
Et qui sont ces personnes, si ce n’est aussi des enquêteurs ? Policiers et gendarmes connaissent le Web profond et les activités qui s’y trament. Sur le Web profond ont lieu les mêmes dérives que sur le Web classique, sauf que c’est à visage couvert. Et, évidemment, c’est à une tout autre échelle.
Le Web profond n’est pas un autre sujet. C’est le même sujet. Pharos a pour mission de traquer les sites qui peuvent faire l’objet d’une infraction pénale. Le Web profond est donc également de son domaine. Sauf que ce n’est pas 23 gus qui peuvent le surveiller… et agir en conséquence, puisque, comme je l’ai écrit, le Web profond est une immense forêt très dense où chacun des sites Internet et des Internautes y trouvent d’excellentes caches. Les y déloger demandent des moyens que Pharos n’a pas. Même la CIA ou le FBI ont toutes les peines pour enquêter dans ce milieu… c’est pour dire…
Bref, les chiffres annoncés par Gérard Collomb pour l’année 2017… mais c’est à mourir de rire lorsque je sais ce qui se trame ailleurs.
Le
27/03/2018 à
19h
07
Est-ce que les gendarmes et policiers qui composent Pharos connaissent le réseau Tor ? La réponse coule de source.
Quels sont les marges de manœuvre de Pharos sur le réseau Tor ? C'est une question que je pose car la plupart des sites terroristes, des sites pédopornographiques, des sites racistes et antisémites, bref tous les sites Internet qui peuvent potentiellement faire l'objet d'un enquête par Pharos et être par la suite bloqué se trouvent sur Web profond.
Or, si enquêter sur le Web profond est du domaine du possible, bloquer certains des sites qui s'y trouvent est une autre paire de manche, comme débusquer les Internautes qui y sont actifs, vu qu'ils naviguent sous une IP différente.
Pour agir sur le Web profond, les enquêteurs doivent disposer de moyens colossaux par rapport au Web classique. Cela demande du temps, beaucoup de temps et aussi des moyens financiers important. Ce qui explique en partie pourquoi les enquêteurs ont beaucoup de mal à mener des actions sur le Web profond.
Tout ça pour dire que les sites qu'arrivent à bloquer et/ou à déréférencer les enquêteurs ne sont que l'arbre qui cache la forêt. Une forêt très dense, où il est très facile d'y pénétrer mais où ses locataires sont si bien planqué qu'il est très difficile de les y déloger.
D’ailleurs, j’ai hate de lire la réponse sur le fait que l’application n’ait pas fonctionné :p
La plupart != tout le monde.
En cas d’attaque, tu ne veux pas alerter que ceux qui ont un smartphone, tu alertes tout le monde par tous les moyens.
Penses à ceux qui ont pas un smartphone et pire, ceux qui en ont un mais qui ont un système plus supporté.
Faudra leur dire quoi quand ils se prendront une balle : “C’est con
mais avec un smartphone plus récent, tu aurais possiblement évité ça. La
faute à pas de chance” ?
L’avantage du SMS, c’est qu’il est universel, tout système et correspond parfaitement à la diffusion d’une info simple.
Patch a écrit :
Avoir un smartphone ne signifie pas :
-qu’on connait l’application.
-qu’on sait à quoi sert cette application
-qu’on va installer cette application.
-qu’on garde la data activée H24.
(A fortiori quand on est étranger, pour les 3 premiers)
A côté, des SMS zonés fonctionnent sur 100% des téléphones mobiles mêmes non-smartphones, et fonctionnent sur tous les réseaux 2G à 4G même sans activer la data.
Je n’avais pas pensé à cela.
Et la diffusion cellulaire ? N’est-elle pas universelle ? Plusieurs pays, dont certains de nos voisins, l’utilisent. C’est donc que la France pourrait le faire. Et il n’est pas nécessaire d’être connecté à l’Internet mobile, puisque la diffusion cellulaire utilise le réseau de téléphonie mobile.
Le
23/03/2018 à
17h
16
En théorie, qu’un pays développe une application mobile qui puisse prévenir ces citoyens en cas d’attaque terroriste est une bonne idée. La plupart des gens ont aujourd’hui un smartphone. Autant utilisé les possibilités des smartphones.
En pratique… un pays qui développe une telle application doit utiliser cette application en cas d’attaque terroriste. Et l’utiliser correctement. Or, chez nous, ce n’est pas le cas. C’est le moins qui puisse être dit…
Je ne doute pas un instant que la préfecture de l’Aude aura une réponse à formuler à ce sujet…
Si SAIP existe pour avoir une telle utilité, autant la supprimer.
Et d’ailleurs, pourquoi avoir créer une telle application alors que les smartphones permettent la diffusion cellulaire ? Il était inutile d’investir dans le développement d’une telle application… surtout lorsque je vois les résultats…
Il faut dire aussi que Marseille est loin d’être une ville exemplaire en ce qui concerne la délinquance, la criminalité et le savoir-vivre.
Les mesures politiques de la municipalité marseillaise concernant ces sujets n’ayant pas porté leur fruit, celle-ci se tourne vers un “Big Data de la tranquillité”. La solution ultime ? Parce qu’il n’y en aura pas d’autres, à moins de faire de Marseille un “New York 1997”.
Vous ne réglez pas les problèmes de délinquance, de criminalité et de savoir-vivre sur le court terme. Cela demande de longues années. En attendant que les mentalités changent, que faire pour que les touristes et les Marseillais eux-même se sentent en sécurité et dans un ville respectable ?
Je suis opposé à ce “Big Data de la tranquillité”, vu ce qu’il promet d’être, mais je n’ai pas de solutions alternatives à proposer. Je n’en vois aucune. Ou plutôt, il y a des solutions alternatives, mais c’est dans les dictatures qu’elles sont utilisées.
Au risque de me faire encore lynché, je suis persuadé que c’est si la société française était plus mâture, aucune municipalité n’aurait l’idée de mettre en place un tel système de vidéo-surveillance.
Ca m’embête toujours quand quelqu’un qui soutient une thèse proche de la mienne utilise des chiffres totalement faux.
Avec humain: 9.4 mort par milliard de km en France
Autonome: plus (pour le moment, comme tu le dis, mais bon, il y a plein de critiques à faire à ce chiffrage)
On n'a pas attendu Stephen Hawking pour en parler: le concept de Singularité Technologique existait même avant la WWII.
Utiliser son nom n'apporte pas de crédit à tes propos. On en vient même à se demander pourquoi tu viens citer un scientifique en dehors de son domaine de spécialité, voir de compétence.
Belle phrase, mais vide de sens.
Où s'arrête l'assistance et où démarre le remplacement:
Creuser les fondations d'une maison:
- un ouvrier avec ses mains
- un ouvrier avec une pelle
- un ouvrier avec un tracto-pelle
- un contremaitre donnant des ordres à unes flotte de tracto-pelles
- un architecte dessine un plan, et un chantier automatisé le réalise
Chercher un renseignement:
- demander autour de soi
- chercher la réponse dans un livre
- chercher la réponse sur Internet
- demander à un assistant vocal
- penser une question et attendre la réponse via notre interface neurale
- avoir accès mental direct à une base de connaissance générale
J’ai dit ce que j’avais à dire et je continuerais à le dire, même si je suis minoritaire. J’avais largement anticipé vos commentaires. Je savais que mes arguments ne pourraient être que mauvais quand les vôtres seraient forcément bon. Je n’attendais pas d’autres réactions de votre part.
Vous n’êtes pas à l’écoute des préoccupations que provoque l’évolution de l’intelligence artificielle. Le sujet ici est la voiture autonome. Tous autant que vous êtes, vous voyez de l’irrationalité dans les peurs que provoquent les véhicules autonomes. Et pourtant, mettre sa vie et celle des autres entre les mains de processeurs, de systèmes informatiques et d’algorithmes, ainsi que de capteurs n’a pourtant rien d’irrationnel. C’est même sain d’esprit que de se poser des questions à ce sujet. Que vaut l’intelligence artificielle face à l’intelligence humaine ? Ce n’est pas parce que j’ai regardé “Terminator” ou “I, Robot” que je suis préoccupé. Il ne faudrait pas me faire passer pour ce que je ne suis pas. Ce n’est pas qu’une question philosophique. Évidemment qu’une intelligence artificielle est plus développée et plus rapide qu’une intelligence humaine, mais ça ne suffit pas.
Aimer la technologie, autrement dit être technophile/geek et être opposé aux possibilités techniques de certaines évolutions technologiques dans le futur, au regard des problématiques qu’elles pourraient potentiellement amené n’est pas antinomique.
Le
21/03/2018 à
20h
08
Jerome7573 a écrit :
Justement, il a autre chose à faire que souffrir, ne t’en déplaise.
Mais fonce, personne ne t’oblige à aimer la technologie, mais lâche cette machine (saloperie de machine, une méchante, elle a viré des humains genre le métier de messager, pourquoi en as-tu une alors qu’elle a tué des métiers?) pour assumer tes idées, va labourer les champs pour survivre, ha au fait tu as 35 ans? Tu serais déjà mort depuis un moment si tes ancêtres avaient pensé comme toi à bloquer la technologie qui te permet d’avoir une longue espérance de vie (petite pensée à la voiture conduite par un humain que tu aimes tant, empêchée au début par des gens pensant comme toi car ça tuait plus que le chevaux, et fallait penser aux maréchaux ferrant)
*
Bref, rien de nouveau dans ce commentaire, depuis la nuit des temps il y a des gens qui rejettent avec des excuses foireuses “je ne suis pas contre mais”, éternel recommencement dans les peurs émotionnelles. Faut vivre avec.
Je te renvoie la balle. Ne fais pas de ton cas une généralité. Tu a l’air d’estimer que sans cette robotique, notamment dans le milieu professionnel, les humains que nous sommes souffrons. Mais c’est toi qui le pense… D’ailleurs, je n’ai pas écris que les travailleurs étaient content de souffrir. Je te l’apprend peut-être mais tu peux travailler durement, rentrer chez toi exténuer sans avoir souffert à ton boulot. Je pense par exemple à la manutention. Demain, ce sera des robots qui la feront mais… qui te dit que les manutentionnaires exècrent leur job parce qu’utiliser leurs mains et leurs jambes est pénible ?
Également, tu sembles dire que la conduite au volant est une souffrance. Là aussi, peut-être que conduire avec un volant implique pour toi une souffrance. Tu m’en verras désolé mais ton cas n’est pas une généralité. Il y a des gens qui sont content de tenir un volant en main, même sur des longues distances. C’est un plaisir pour eux. Je pense que tu n’as pas la même définition que moi du mot “plaisir”. Mais après tout, le plaisir est subjectif.
Je ne rejette pas la technologie. Tu ressens mon commentaire comme un rejet de l’évolution mais il n’en est rien. Je rejette le chemin que prend l’évolution technologique. Nuance. Je maintiens que celle-ci déshumanise la société. Demain, que fera un être humain si c’est la robotique qui se charge de tout ? Déjà, d’un, il faudra me dire comment les salariés seront payés puisqu’ils n’auront plus de travail. Enfin, si, il y en aura, mais ce sera du travail qualifié. Le travail basique (les taxis, la manutention, les livraisons, le ménage, ect…) seront assuré par la robotique. Or, ce que j’appellerai vulgairement le travail de merde est nécessaire car tout le monde ne peut pas être ingénieur, développeur, médecin, avocat ou que sais-je encore. De deux, nous naissons sur Terre pour faire fonctionner notre cerveau, même pour les tâches les plus anodines, les plus simples. L’évolution technologique, cette fameuse robotique, ces magnifiques outils autonomes réfléchiront pour nous. Qu’est-ce qui nous restera à faire ? Les loisirs ? Ouais… et encore…
Aujourd’hui, au stade où en est l’évolution technologique, celle-ci nous assiste mais elle a toujours besoin de nous. Cette fameuse machine que j’utilise pour écrire ce commentaire, qui s’appelle un ordinateur, a encore besoin de moi, d’un être humain, pour fonctionner. Pour le moment, cette machine ne m’a pas encore déshumanisé, ne m’a pas dépassé, même si elle réfléchit plus vite que moi. Mais demain, lorsqu’elle n’aura plus besoin de moi, ce sera le cas.
Autrement dit, la technologie doit-être là pour nous assister mais pas pour nous remplacer. Or, le chemin que prend l’évolution technologique, le chemin que suivent les chercheurs, les développeurs et les ingénieurs est celui du remplacement de l’homme par des robots, des outils autonomes, qui fonctionneront grâce à une intelligence artificielle perfectionnée. Sympa comme futur…
Un célèbre astrophysicien britannique est décédé récemment : Stephen Hawking. Pour sûr, l’homme n’a jamais été contre l’évolution technologique. Bien au contraire. Pourtant, je le cite. Dans une interview à la BBC, il a déclaré : “L’intelligence artificielle pourrait mettre fin à l’humanité”. Stephen Hawking a toujours pensé que le chemin que prend le développement de l’intelligence artificielle pourrait dépasser à terme l’humanité. Ah, j’te jure, ce Stephen Hawking, un rétrograde de la pire espèce certainement.
Le
21/03/2018 à
15h
30
Est-il possible de penser que des expérimentations qui se révèlent meurtrières doivent cesser ? Certains me diront que c’est une nécessité pour évoluer. L’histoire des évolutions technologiques n’a pas toujours été sans drames humains. Certes. Et alors ? Cette passante n’a rien demandé. Elle est victime d’une voiture autonome, qui aurait du freiner lors de son passage, même en dehors d’un passage pour piéton. Il est intéressant de constater que certains concessionnaires font de nous leurs cobayes, sans nous demander notre permission.
Est-il possible dès lors de penser qu’un conducteur en chair et en os est plus sécurisant qu’une voiture autonome, qui obéit à un processeur et à des logiciels informatiques, qui sont bêtes et disciplinés et ne savent pas résonner, aidés par des capteurs qui peuvent éventuellement tomber en panne ou dysfonctionner ? Est-il possible de penser cela sans que des personnes viennent dire que je me fait submerger par l’affect (la mort d’une passante) et qu’il est irrationnel de penser qu’un conducteur est plus sûr qu’une intelligence artificielle ? Aujourd’hui, rien ne le démontre. Au contraire, plusieurs accidents, mortels ou pas, démontrent que la voiture autonome est dangereuse, tant pour ceux qui sont à l’intérieur de l’habitacle que pour les autres, qu’ils soient conducteurs ou piétons.
Enfin, est-il possible, du haut de mes 35 ans, d’en avoir ras la casquette de cette déshumanisation que nous promet l’évolution technologique ? Des voitures autonomes, des caisses autonomes, des usines d’assemblages autonomes, des tramways autonomes, des livraisons de colis autonomes, des opérations chirurgicales autonomes… et l’humain dans tout cela ? Quel est sa place ? J’accepte le progrès mais pas en supprimant les humains partout. Par exemple, il y a des personnes qui adorent conduire et ne voudront pas lâcher le volant. Est-ce que c’est compréhensible chez les technophiles ? Est-ce qu’ils sont en capacité de comprendre que la robotique supprime les plaisirs humains ? Autre exemple : dans un travail pénible, la robotique peut aider à avoir moins de fatigue professionnelle. Mais il aura toujours des personnes, que je pense nombreuses, qui seront heureuses de rentrer chez elles exténuées par une dure journée mais satisfaites d’avoir fait le travail avec leurs mains et leurs jambes. C’est ça, être un humain.
Certes, le fabricant Tinno a racheté Wiko en 2018 (cela a fait beaucoup de bruit), mais pour autant, Wiko reste une marque française. Une marque commerciale, si cela te convient mieux.
Depuis 2018, Wiko est passé sous le giron de Tinno en devenant une de ses filiales. Dois-je considérer que Wiko n’est donc plus français ? Tu as ton avis, j’ai le mien. Pour information, le siège social de Wiko est toujours en France.
Concernant Archos et Echo Mobile, ils sont toujours français. Je ne parlerais ici pas de marques commerciales car ils n’ont pas été racheté.
Cependant, pour ces trois marques, leurs smartphones ne sont pas assemblés en France mais en Chine. C’est pour cela que beaucoup de rédacteurs mettent entre guillemets le mot “françaises”, lorsqu’ils écrivent “marques françaises” car certains considèrent que définir Wiko, Echo Mobile et Archos comme étant français est un non-sens. Et, comme je l’ai dit dans le premier paragraphe, certains considèrent également que Wiko n’a plus rien de français. Tout est une question de point de vue.
Le
20/03/2018 à
17h
43
Ricard a écrit :
Ben de toute évidence, oui. Les guillemets sont là pour marquer le côté “cocasse” de la situation. Une société chinoise qui veut se faire passer pour française.
Tout ce que je vois, c’est que cette stratégie commerciale fonctionne puisque que cette “contre vérité” est relayée même par NXI.
Il aurait peut-être été plus “honnête” de ne pas mettre de guillemets et de dire clairement la situation.
Toyota fabrique des voitures en France, ça n’en fait pas une marque française pour autant.
Inutile de relayer leur propagande commerciale.
Pour fabriquer du low-cost, les usines doivent être implantées dans les pays où la main d’oeuvre n’est pas chère et où les coûts de production sont bas.
Y a-t-il nécessité de préciser que Echo, Wiko et Archos, qui sont bien des marques françaises, fabriquent leurs smartphones en Chine ? Pour moi, c’est d’une évidence… Même le mec qui habiterait dans une grotte depuis 30 ans le sait !
Le
20/03/2018 à
16h
48
Archos, Wiko et Echo vendent des smartphones à des prix qui sont abordables pour des “petites” bourses.
A spécificités techniques équivalentes, les smartphones de leurs concurrents, plus prestigieux, sont vendu au double du prix de ceux d'Archos, de Wiko ou d'Echo.
Ces trois marques françaises sont spécialisées dans la vente de smartphone low-cost. Mais "low-cost" n'est pas synonyme de mauvaise qualité. Beaucoup de produits low-cost n'ont rien a envié à leurs équivalents chez des marques plus élitistes. Oui, parce que la différence de prix s'explique d'abord par l'élitisme. Lorsqu'une personne achète un smartphone chez la marque à la pomme ou chez un Sud-Coréen ou chez un Japonais, il paie en premier lieu la marque.
Parmi ces trois marques français, Archos est celui qui doit, à mon avis, faire le plus d'effort. Il traîne comme un boulet son 50 Diamond, avec lequel il a fait des erreurs de communication, des erreurs de stratégie commerciale (il fut très souvent en rupture de stock chez les fournisseurs) et des erreurs de développement (je parle d'Androïd, qui était sujet à plusieurs bugs sur ce smartphone).
Grosso modo, ce que j'apprécie chez ces trois marques, c'est qu'elles ne font jamais d'excès de zèle dans leurs campagnes publicitaires (je n'ai jamais été saoulé par leurs pubs contrairement à leurs concurrents qui en font des tonnes), leurs smartphones sont simples et les surcouches sont très légères.
Oui, clairement, Echo, Wiko et Archos se démarquent de leurs concurrents, sur le fond comme sur la forme.
remplace n’importe lequel des acteurs que tu cites par « vendeur d’huile de baleine », et regarde ce qui cloche…
Nous ne sommes pas aux Etats-Unis, où il n'existe aucune chronologie des médias. Chez l'Oncle Sam, les sorties des films en DVD, blu-ray, VOD et désormais UHD ainsi qu'en VOD par abonnement dépend d'accords que passent les intéressés entre eux (notamment la Motion Pictures Association of America et les éditeurs).
En France, la chronologie des média existe depuis la loi du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle. Elle est régie par le Ministère de la Culture. Autrement dit, comme c'est le cas sur beaucoup d'autres sujets, la chronologie des médias est étatisée en France. Contrairement aux Etats-Unis, où chacun est libre de faire ce qu'il veut, via donc des accords.
"Vendeurs d'huile de baleine" ? Certes... mais puisque notre chronologie des médias est étatisée, le Ministère de la Culture doit pouvoir contenter chacun des acteurs du marché, en trouvant un certain équilibre. C'est pour cela que cette récente réforme de la chronologie des médias n'est pas structurelle. Si c'était le cas, nul doute que certains de ces acteurs du marché seraient perdant. Je ne dis pas que c'est bien ou que c'est mal. Je donne simplement mon explication.
Dans tout cela, le maillon de la chaîne reste les salles obscures. Cette chronologie des médias favorise clairement les exploitants de salles de cinéma. Il n'y a rien d'anormal. Ces derniers doivent rester les premiers diffuseurs de films. Je pense que c'est la chronologie de la SVOD qu'il faudrait rapprocher de la VOD.
818 commentaires
En dépit d’une fibre conquérante en France, la fracture numérique reste ouverte
08/06/2018
Le 08/06/2018 à 20h 19
Le 08/06/2018 à 15h 35
Comme d’habitude, il se trouvera toujours des gens pour venir dire que les personnes qui vivent en zone rurale ont fait un choix de vie et que cela passe par des compromis. Les débits Internet est l’un d’entre eux.
Les FAI, qui déploient la fibre optique, ne sont pas intéressés par les zones rurales. En tant qu’entreprises privées, elles recherchent le profit dans le déploiement de la fibre. Elles veulent un retour sur investissement et ce n’est pas les zones rurales, peu denses, qui vont le leur permettre.
L’Etat a fait le choix de ne pas déployer la fibre optique, afin d’économiser l’argent public. C’est une erreur. La rentabilité n’a pas que des avantages et ici, cela se voit très bien.
Sans parler de fibre optique, ces zones rurales sont loin de pouvoir profiter d’un haut débit digne de ce nom. Les débits de l’ADSL, dans les zones rurales, sont très bas, à comparer à ceux des zones urbaines. Le 18 mega, vous pouvez l’oublier dans la cambrousse ! Pire, certains doivent obligatoirement passer pas l’Internet par satellite car ils vivent dans une zone blanche. Et ça ne dérange personne… Quand je vois les prix des abonnements de l’Internet par satellite… et l’illimité limité, c’est encore courant chez les opérateurs satellitaires.
Les très bon débits des zones urbaines sont l’arbre qui cache la forêt. La France, c’est de l’Internet à trois vitesses (la fibre optique, l’ADSL correct et le mauvais ADSL). Sympathique comme constat… Je rappelle tout de même que le déploiement de la fibre optique dans les zones rurales pourrait potentiellement leur permettre de se redynamiser, avec l’arrivée de certaines entreprises. Des départements tel que la Creuse n’attende que cela !
Bref, le déploiement de la fibre optique en France, en plus d’être bordélique, avec des paradoxes incompréhensibles, met toujours plus à l’écart la campagne.
À l’Assemblée nationale, vraie confusion sur la définition même de la fausse information
08/06/2018
Le 08/06/2018 à 20h 06
Le 08/06/2018 à 14h 07
Les fausses infos sont un fléau. Elles relatent des faits qui n’ont jamais eu lieu et propagent donc des informations qui font le tour d’Internet, notamment des réseaux sociaux. En plus de tromper les Internautes, elles nuisent également à la réputation des personnes dont elles sont le sujet.
Les théories du complot naissent grâce aux fausses informations.
Tout ceci ayant été dit, lutter contre les fausses infos via une loi est faire prendre un risque à la liberté d’expression. Cela peut être apparenté à de la censure.
Je me demande si une loi est réellement nécessaire pour lutter contre les fausses infos… Mais, le problème, c’est que nous avons à faire à une tartine d’Internautes qui croient tout et n’importe quoi. La naïveté et le peu d’intelligence dont ils font preuve n’aident pas.
Ce proposition de loi est également vu par certains Internautes comme une volonté de la part de l’Etat de vouloir protéger les médias d’Etat. Ah ben oui… il y a encore des gens qui croient que les journalistes des médias officiels ne sont pas indépendants. Il faut comprendre par là que ces journalistes travaillent toujours pour protéger et valoriser le Président la République en fonction et son Gouvernement. Par exemple, il faut voir tout ce que RMC se prend dans la gueule depuis l’élection de Emmanuel Macron…
Cette loi, qui sera très certainement adoptée au Parlement, ne contentera finalement personne. Lutter contre les fausses informations, c’est nécessairement empiéter sur la liberté d’expression. Et là, en France, c’est quelque chose qui ne passe pas du tout…………
Envie de changer de FAI ? Voici notre comparatif des principales offres
07/06/2018
Le 07/06/2018 à 16h 29
Quel intérêt de s’abonner à une offre “fibre optique” si c’est pour avoir des débits bridés ? Quel est l’intérêt de la fibre optique si ce n’est pas pour profiter pleinement de ses capacités de débits ?
Nous avons une fibre à deux vitesses. C’est très intéressant… Une pure connerie de la part de tous les FAI. Une connerie qui durera jusqu’à quand ? Cela ne semble pas déranger l’ARCEP…
Inquiétudes autour de l’accessibilité des sites publics, en débat au Parlement
07/06/2018
Le 07/06/2018 à 16h 21
Ici, il est question des sites Internet publics. Cependant, plus généralement, je pense que je peux englober les sites Internet publics avec les administrations publiques. Je pense même pouvoir englober la France tout entière, dom-tom compris.
Une personne n’aura conscience de ce qu’est être handicapée que le jour où elle le sera. Tel est le triste constat que je peux faire dans cette société française. Les personnes handicapées sont marginalisées et souffrent de discrimination.
En lisant cet article, j’en viens à me demander si l’Etat ne considèrent pas les personnes handicapées comme des éléments perturbateurs. Je suis sûr que rendre un site Internet accessible aux personnes handicapées n’a rien de rédhibitoire et pourtant, l’Etat y va en trainant des pieds. Pourtant, il n’est question ici que de revoir un site Internet.
Quoiqu’il en soit, les personnes handicapées font partie de notre quotidien. Etre handicapé ne doit pas être vécu comme une punition. Même lorsqu’une personne est devenue handicapée de son propre chef, en faisant une bêtise, elle n’a jamais demandée à l’être. Les personnes handicapées ont le droit d’être respecté et de pouvoir avoir la même accessibilité que les autres. En la matière, mieux vaut vivre dans d’autre pays. Heureusement qu’il y a l’Union Européenne pour obliger la France à évoluer.
Le gouvernement abandonne SAIP au profit d’alertes attentat sur les réseaux sociaux
29/05/2018
Le 30/05/2018 à 18h 21
Le 29/05/2018 à 16h 33
A 400 000 € l’échec, comment dire… de toute façon, c’est l’argent du contribuable qui a permis de développer SAIP. Donc bon… Nous sommes combien de contribuables en France ? Cela fait moins de 1 € par personnes de perdu… Ben j’essaie d’être positif !
Cette application a été développé avec les pieds. Ces nombreux dysfonctionnements ne lui ont pas permis d’avertir les personnes qui avaient installé l’application sur leur smartphone. Déjà que ces personnes ne représentaient qu’une minorité, les problèmes de SAIP ont convaincus les autres mobinautes de ne pas installer cette application.
Ca m’emmerde beaucoup que la France se tourne vers des entreprises étrangères pour alerter les citoyens français en cas d’attentat. De plus, je rappelle que tous les utilisateurs ne disposent pas des applications des réseaux sociaux sur leurs smartphones. Je fais partie de ceux-là. Je refuse d’installer les applications mobiles de Facebook, de Twitter et compagnie sur mon téléphone portable. Je n’en ai cure de ces applications.
Il existe le Cell Broadcast, en français la diffusion cellulaire, qui est adapté à tous les smartphones. A tous. Aucun smartphone n’est incompatibles avec la diffusion cellulaire. Le SMS d’alerte n’est pas envoyé à un terminal mais à une cellule du réseau, c’est à dire à une antenne des réseaux d’opérateurs, qui se chargera de diffuser le SMS dans sa zone de couverture. Avec la diffusion cellulaire, un maximum de personnes peuvent être ainsi alertée.
En France, la diffusion cellulaire est standardisée depuis que le GSM existe. Le GSM, ça date de 1982. La France n’est pas foutue d’utiliser la diffusion cellulaire lorsque d’autres pays l’utilise largement. C’est quoi qui coince ? L’archaïsme de nos politiques ? Le manque de volonté ? L’envie, comme toujours avec la France, de faire différemment ? Pfffff……. Mon pays préfère se reposer sur des entreprises étrangères. La bonne blague… Pure connerie…
Entre Chrome et Firefox, un large tronc commun et de légères différences fonctionnelles
28/05/2018
Le 28/05/2018 à 15h 25
Pour une majorité de personnes, ce sera les goûts et les couleurs qui leur feront décider d’utiliser tel ou tel navigateur Internet.
La plupart des gens se moquent du fond. C’est la forme qui les intéresse. Comprenez par-là que la technicité, ils s’en moquent.
Cette actualité est faite pour les connaisseurs. Elles rentrent dans des détail qui n’intéressent pas le commun des mortels.
Du moment qu’un navigateur Internet répondra à leurs attentes, qui sont principalement celles de pouvoir accéder sans soucis à leurs sites Internet, c’est tout ce qui importe la plupart des Internautes.
Ces services qui jettent l’éponge face au RGPD
24/05/2018
Le 25/05/2018 à 14h 10
Le 24/05/2018 à 20h 15
Le 24/05/2018 à 15h 36
Rien d’anormal dans cette actualité. C’est même rassurant. Cela veut dire que la RGPD fait réagir, notamment les sociétés se situant en dehors de l’Union Européenne, et qui ne veulent pas se soumettre à nos règles.
Tant pis si des sociétés ne veulent plus proposer leurs services dans l’Union Européenne. Est-ce que nous y perdons beaucoup ? Je ne pense pas, bien au contraire…
Contre les compteurs Linky, les députés LFI déposent une proposition de loi
21/05/2018
Le 21/05/2018 à 18h 44
Le 21/05/2018 à 16h 35
Je reste pragmatique.
Aucune étude sérieuse n’a démontré que les compteurs Linky étaient mauvais pour la santé, notamment pour les personnes électrosensibles.
Mais aucune étude sérieuse n’a démontré que les compteurs Linky n’étaient pas mauvais pour la santé, notamment pour les personnes électrosensibles.
Ce que je veux dire, c’est que bien malin serait celui qui pourrait dire aujourd’hui ce qu’il en est réellement de ces nouveaux compteurs d’ERDF. J’estime aujourd’hui que ni des associations comme les Robins des toits ni EDRF ne sont objectifs. Au final, nous ne savons rien de la dangerosité de ces compteurs, si il en a une. Et, pardonnez-moi, ce n’est pas une bande de geek et de technophiles, qui ne sont pas objectifs, puisque ne voyant dans ces compteurs que de l’évolution, qui pourra mettre un terme à cette polémique.
Ceci étant dit, je rappelle à tout à hasard que nous vivons dans un pays où le Parlement a voté, à la majorité, une certaine loi. La loi n° 95-101 du février 1995 relative au renforcement de la protection de l’environnement. Plus connu sous le nom de loi Barnier, celle-ci a mis en place le principe de précaution. Dix ans plus tard, en février 2005, le Parlement réuni en Congrès inscrivait la Charte de l’environnement dans la Constitution. De fait, le principe de principe de précaution est désormais inscrit dans notre Constitution.
Vous pouvez critiquer ce principe de précaution. En effet, un certain nombre de personnes estiment, à tord ou à raison, que ce principe de précaution empêche la France d’aller de l’avant, car il peut bloquer la mise en place de certaines avancées technologiques, qui pourraient être nuisibles à l’environnement et/ou à la santé des gens. Mais il existe et ne peut être ignorer.
Le compteur Linky est une avancée technologique. Il est normalement prévu que 35 millions de foyers en soient équipé à l’horizon 2021. Sauf que… il y a ce fameux principe de précaution. Si cette actualité n’en fait pas mention, si les députés de la France Insoumise ne le mettent pas en avant, des associations ne se privent de rappeler à l’Etat que le principe de précaution est un droit constitutionnel et qu’il faut l’utiliser. Comme finalement personne ne sait rien de ce qu’il en est de ces compteurs Linky, ces associations, logiquement, demande à ce que le principe de précaution soit appliqué. Elle veulent, au pire, que les installations de compteurs Linky soient stoppées, au mieux, que tous les compteurs Linky déjà installés soient retirés.
C’est la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, du 17 août 2015, qui prévoit la généralisation des compteurs Linky dans tous les foyers. Sauf que, comme bien d’autres lois, elles rentre en contradiction avec ce principe de précaution.
Le principe de précaution est simple : si tu ne sais pas, tu ne fais pas. Cela peut être résumé de cette façon. Tant qu’aucune étude sérieuse et indépendante ne sortira, ces compteurs Linky continueront de faire parler d’eux. Vous aurez des députés qui se battront contre leur généralisation. Vous aurez des maires qui, via des arrêtés municipaux, interdiront sur leurs communes la généralisation des compteurs Linky. C’est le cas par exemple du maire de Saint-Etienne-du-Rouvray ou du maire de Grenay. Même si ces arrêtés municipaux seront attaqués par Enedis devant la justice administrative. Et vous aurez des particuliers qui refuseront d’eux-même l’installation de ces compteurs, même au risque d’être conduit devant la justice par Enedis pour non-respect de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
#Replay : cheval de Troie, secrets des champignons et sites gores
18/05/2018
Le 18/05/2018 à 19h 11
En son temps, il y a un film qui a dérangé le monde du 7eme art et choqué plusieurs spectateurs. Son réalisateur fut lynché en place publique, étant accusé par la vindicte populaire d’avoir réalisé un snuff movie. C’était en 1980, son réalisateur s’appelle Ruggero Deodato, le film a pour nom “Cannibal Holocaust”. L’attrait pour le gore ne date pas d’hier. Mais là, il s’agit de gore déguisée.
Avant cela, il y a eu “Freaks”, en 1932, qui a aussi fait parlé beaucoup de lui.
Récemment (2008), je pense à un film français, “Martyr”, de Pascal Laugier, qui a réalisé un très bon film d’horreur, comme savent le faire les Français. Un film très dur, qui a frôlé l’interdiction au moins de 18 ans.
Mais aujourd’hui, le gore, c’est sur Internet que cela se passe. Et il rencontre un énorme succès. Quand je vois que le succès qu’a eu en son temps la vidéo de Luka Rocco Magnota, quand je vois le nombre de vue des vidéos montrant des accidents mortels, quand je vois le nombre de vues des vidéos montrant des tortures infligés à des animaux/insectes, quand je vois le succès des vidéos où les gens montrent des suicidés (je pense notamment à ce connard de Logan Paul)… bref, et même si pour certaines vidéos, ce n’est pas à proprement parler du gore, beaucoup d’Internautes raffolent de vidéos montrant de l’horreur vraie. Pour le coup, ceux sont là de réels snuff movies. Je ne pensais pas que voir des hommes et femmes souffrir ou que de voir de vraies personnes mortes pouvaient autant attirées de monde.
Depuis la nuit des temps, l’être humain est fasciné par le sang. Avant, c’était par la littérature et l’imagination que des écrivains répondaient à cette fascination. Aujourd’hui, c’est le cinéma qui a pris le relai. Les films gores remplissent toujours les salles obscures. Internet aussi l’a compris… mais pas dans le bon sens. Je n’imagine même pas ce que je pourrais trouver dans le Web profond…
À la porte de la CJUE, un internaute requalifié vendeur professionnel après huit petites annonces
18/05/2018
Le 18/05/2018 à 18h 08
La musique Creative Commons diffusée dans les magasins est bien soumise à rémunération équitable
14/05/2018
Le 14/05/2018 à 20h 41
Le 14/05/2018 à 19h 50
L’article L214-1 du Code de la propriété intellectuelle stipule que “Ces utilisations des phonogrammes publiés à des fins de commerce, quelque soit le lieu de fixation de ces phonogrammes, ouvrent droit à la rémunération au profit des artistes-interprètes et des producteurs.”
La Cour d’appel de Paris a donc confirmé le jugement du tribunal de grande instance de Paris. Tous les deux s’appuie sur cet article de loi, qui est clair comme de l’eau de roche. Il ne laisse aucune place à l’interprétation. La musique, quelle soit protégée par le droit d’auteur ou quelle soit libre de droit, diffusée dans une grande surface (c’est le “à des fins de commerce”) ouvre le droit à une rémunération.
La justice ne fait qu’appliquer la loi. La Cour de cassation ne rejugeant pas une affaire, mais vérifiant que le jugement rendu respecte scrupuleusement la loi, il y a peu de chance qu’elle casse le jugement.
En vouloir à notre justice lorsqu’elle respecte les textes de loi est faire fausse route. Prenez-vous en aux législateurs, c’est à dire aux députés et aux sénateurs. Ils n’ont pas adapté le Code de la propriété intellectuelle aux nouvelles licences qui sont apparues : les licences libre de droit.
Par extrapolation, les décisions de justice du tribunal de grande instance de Paris et de la Cour d’appel de Paris pourraient s’appliquer à l’intégralité des œuvres libre de droit, comme les logiciels. C’est ce qui s’appelle la jurisprudence !
#Flock est irresponsable
12/05/2018
Le 14/05/2018 à 20h 08
Le 13/05/2018 à 22h 59
Le 13/05/2018 à 19h 50
Firefox 60 est là : Web Authentication, gestion des cookies, Modules ES6 et Policy Engine
09/05/2018
Le 10/05/2018 à 16h 37
Le 09/05/2018 à 17h 47
Il n’y aura jamais d’objectivité concernant les navigateurs Internet. Tout est une question de goût et de couleur. Les uns ont leurs arguments, les autres ont leurs arguments. Qui a raison ? Qui a tord ? Les tests que font passé les sites Internet donnent des résultats bruts. C’est à l’utilisation que l’Internaute verra si tel ou tel navigateur lui convient.
J’utilise Firefox. Il est libre de droit et est très personnalisable grâce à ses nombreuses extensions. Et après ? Je serais honnête. Le reste, je m’en tamponne le coquillard. Il s’agit de sujets que je ne maîtrise pas. C’est technique et me passe par dessus la tête.
Quantum CSS, TCP Fast Open, modules EcmaScript 6, ect… serait-ce de nouvelles recettes de cuisines ?🤔
La plupart des utilisateurs, dont je fais partie, vous diront qu’il aime tel ou tel navigateur… mais sur la forme seulement, dont ils se contentent largement. Le fond, c’est très bien… pour les experts !
Stocker films et photos perso sur son ordinateur professionnel peut conduire au licenciement
07/05/2018
Le 10/05/2018 à 16h 24
Erreur
Le 09/05/2018 à 13h 55
Le 08/05/2018 à 19h 24
Le 08/05/2018 à 13h 08
Le 07/05/2018 à 17h 48
Dès lors qu’un de ses salariés utilisent son ordinateur professionnel pour faire du téléchargement illégal, l’employeur peut décider de le licencier pour faute grave. Un employé qui fait cela met en porte-à-faux l’entreprise dans laquelle il travaille car si les ayants-droits venaient à porter plainte, c’est l’entreprise qui paierait et non pas l’employé.
Dès 2019, certains chômeurs devront détailler leurs recherches dans un « journal de bord numérique »
02/05/2018
Le 02/05/2018 à 17h 28
Quand je pense que j’ai réussi à trouver un emploi grâce à l’Union Patronale du Var, emploi que j’occupe désormais depuis 2006 en CDI 35 heures… Et je n’ai pas été pistonné ! Que cela soit clair. L’UPV a été plus efficace que feue l’ANPE… Et je m’aperçois que Pôle Emploi n’est pas plus efficace aujourd’hui. Pourtant, je peux vous dire que j’ai parfois des mots durs envers le patronat.
Ah ça, pour fliquer de plus en plus les chômeurs et leur faire perdre leurs droits, Pôle Emploi est très fort. Quand il s’agit de trouver un travail, c’est une autre paire de manche…
A terme, de toute façon, si l’Etat continue sur le même chemin, Pôle Emploi ne sera plus qu’un organe de contrôle. Mais n’est-ce pas déjà le cas ? Les chômeurs utilisent déjà d’autres moyens pour obtenir un emploi. Je constate ainsi, car cela s’est passé sur mon lieu de travail, que des intérimaires avaient été appelés pour faire une mission… puis les même ont été rappelés pour d’autres missions… et le temps passant, ils ont été embauché en CDD puis en CDI. Je constate aussi que l’emploi 2.0 domine largement aujourd’hui le marché du travail. Se vendre sur Internet pour trouver un travail est bien plus efficace que Pôle Emploi. Le problème, c’est que tout le monde n’est pas à l’aise avec l’emploi 2.0.
Pôle Emploi aurait besoin d’une bonne restructuration pour enfin assurer ses missions correctement.
La base nationale des limitations de vitesse accuse du retard
18/04/2018
Le 19/04/2018 à 17h 41
Le 18/04/2018 à 20h 48
Pour revenir au sujet, j’ai une question. Si aujourd’hui cette base nationale des limitations de vitesse n’existe pas, comment les développeurs des applications de navigation GPS arrivent-ils à renseigner les limitations de vitesse sur les cartes de leurs applications ? Plus généralement, où trouvent-ils les informations nécessaires pour renseigner leurs cartes ? Les applications de navigation GPS ne sont pas toutes collaborative. Sygic, que j’utilise, ne comporte aucune fonction de collaboration. Ce qui ne me dérange pas pour une application de navigation GPS payante. Lorsque c’est payant, le développeur ne peut pas tout attendre des utilisateurs (à part lui faire remonter des problèmes d’ordre technique).
Par ailleurs, si mettre régulièrement à jour les cartes, c’est le faire une fois par an (c’est le cas de Sygic), je n’appelle pas cela de la régularité. Par exemple… ah, la France, terre des ronds-points ! Et, apparemment, il ne doit pas y en avoir assez puisqu’il s’en construit encore. Bref, ces ronds-points peuvent avoir une légère incidence sur le parcours qu’un conducteur doit emprunter pour aller à destination. Si une application de navigation GPS met ses cartes à jour une fois par an, c’est un peu léger pour rectifier le parcours.
Sur bien des points, les applications de navigation GPS payantes sont perfectibles : zone de danger, proximité d’un radar (d’ailleurs, j’adore quand Sygic m’indique que je m’approche d’un radar, alors que celui se trouve sur l’autoroute et que je suis sur une route secondaire qui longe l’autoroute), ect… La mise à jour des cartes une fois par an n’est donc pas suffisant.
Le 18/04/2018 à 17h 38
Le 18/04/2018 à 15h 30
La création d’une base nationale des limitations de vitesse est effectivement une bonne idée. J’utilise Sygic comme application de navigation GPS (je compte essayer aussi Coyote) et force est de constater que les informations que l’application me donne concernant les limitations de vitesse sont parfois erronées. Les développeurs pourraient se servir de cette base de donnée pour mettre régulièrement à jour leurs applications de navigation GPS.
Ainsi, j’ai récemment traversé plusieurs petits villages et hameaux, où la vitesse maximum autorisé est de 30 km/h. Sygic m’informait que je pouvais rouler à 50 km/h maximum. Sur des routes nationales, surveillées régulièrement par des radars autonomes ou par des gendarmes, où la vitesse maximum est limitées à 70 km/h, Sygic m’informait que je pouvais rouler à 90 km/h.
Il faut rappeler que ce n’est pas l’application qui conduit un véhicule mais un conducteur. Le développeur d’une application de navigation GPS n’est pas responsable si le conducteur se prend, au mieux, un retrait de point et une amende, au pire une confiscation du véhicule et le retrait de son permis de conduire pour avoir fait confiance à son application de navigation GPS, qui donnait de mauvaises informations.
Je suis en revanche contre une base de donnée collaborative concernant des limitations de vitesse. Malgré ses 100 millions de conducteurs de part le monde et ses 5 millions en France, Waze n’est pas fiable à 100%, pas plus qu’une application de navigation GPS payante. Une base de donnée collaborative pourraient contenir des erreurs.
——————————————-
Cependant, vu la mentalité désastreuse d’une grande partie des conducteurs français (et la voiture autonome ne résoudra pas le problème, mais c’est un autre sujet), une base nationale des limitations de vitesse ne changera pas la situation.
Je ne compte plus tous ces connards de conducteurs, qui me collent au cul pour que j’accélère alors que je suis au maximum de la vitesse autorisée. Pour les calmer, je donne des petits coups de frein ou je décélère. Le must étant de le faire sur une autoroute, car ils prennent peur, vu la vitesse à laquelle nous roulons. En France, c’est la voiture B qui est toujours en faute si elle emboutit l’arrière de la voiture A. Pourquoi n’en profiterais-je pas ?
En France, une grande partie des conducteurs estiment que leurs véhiculent leur sert à faire les cacous sur les routes, afin de montrer leur agilité et leur dextérité au volant. Lorsque la vitesse maximale autorisée passera sur les routes secondaires de 90 km/h à 80 km/h, je la respecterais. Ceux qui me suivent et qui ne sont pas content pourront aller se faire foutre…
Intelligence artificielle : des propositions de Cédric Villani au discours d’Emmanuel Macron
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 16h 49
1,5 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle et 800 millions d’euros pour la nano-électronique.
Certes…
Très bien…
Très bonne idée…
L’intelligence artificielle, la nano-technologie… le futur… tout ça…
Ouais…
La dette française n’est que de 2 200 milliards d’euros, c’est à dire 97% du PIB. Rien que ça… et Macron qui sort le carnet de chèques… Ah mais peut-être souhaite-t-il financer cela grâce à la réforme de la SNCF ? Mort de rire…" />
Pour le moment, il s’agit d’un effet d’annonce. Il faudra pouvoir financer les promesses de Macron. Il y a son discours, purement théorique, et la réalité, purement pratique et c’est cette dernière qui aura le fin mot de l’histoire. En l’état actuel de notre dette, et même si certains continuent à prôner que nous pouvons continuer à dépenser sans compter, la Banque centrale pouvant faire fonctionner la planche à billet, je ne vois pas comment cela pourra être financer.
1,5 milliards d’euros pour l’IA et 800 millions d’euros pour la nano-électronique… j’attends vraiment de voir, tout aussi intéressantes et optimistes soient les déclations de notre monarque républicain. L’avenir, oui, mais en préoccupant également de nos dépenses.
Au Journal officiel, réécriture des règles encadrant le télétravail
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 16h 16
Le 03/04/2018 à 15h 52
Ah… le télétravail… La France est en retard dans ce domaine (comme dans d’autres). Je pense que des employés français, notamment des cadres, seraient motivés pour faire du télétravail. Mais la culture du travail, chez nous, c’est le “sur place”. Entendez par là que les patrons français, dans leur grande majorité, continuent à vouloir que leurs employés soient sur leur lieu de travail pour travailler, quelques soient le type de tâches qui leur incombe, même si cela se passe devant un ordinateur.
Par contre, là où je ne suis pas d’accord, c’est que l’employeur qui souhaiterait que certains de ces salariés puissent faire du télétravail devrait fournir le nécessaire afin qu’ils puissent travailler de chez eux. Je pense notamment aux logiciels. Ce n’est pas aux employés de payer à leurs frais les logiciels pour télétravailler, pas plus que la maintenance de ceux-ci. Pourquoi les employeurs ne fourniraient-ils pas des ordinateurs portables qui seraient configuré “clé en main” à leurs salariés qui doivent télétravaillé ?
Oui au télétravail mais ce n’est pas au salariés qui le feront à supporter tous les frais pour ce faire.
Le 5 avril, la location de la Livebox sera incluse dans les offres d’Orange
30/03/2018
Le 01/04/2018 à 15h 15
Que certains abonnés ne veuillent pas utiliser les box, leur préférant des modems, c’est leur choix. Mais ils paieront tout de même la location de ces box, même si le prix de la location est incluse dans le prix des offres.
Le prix de la location étant désormais incluse dans le prix des offres d’abonnement, les FAI ne vont pas s’amuser à tripatouiller leurs nouvelles formules pour faire plaisir aux clients qui ne veulent pas de leurs box, sous-entendu évidemment qu’ils ne veulent pas payer la location des box.
Lorsque les FAI n’incluaient pas la location de leurs box dans leurs offres d’abonnement, cette location restait une option. Cette location n’en est désormais plus une. La DGCCRF a obligé les FAI à éclaircir leurs offres d’abonnement. C’est une très bonne chose. Revers de la médaille : une option devient une obligation.
Chez SFR, tout s’accélère (surtout la hausse des prix)
28/03/2018
Le 28/03/2018 à 17h 35
Un FAI/opérateur mobile vend un service. Chacun d’entre eux pratiquent des prix différents pour leurs formules d’abonnement. La différence de prix est parfois importante pour un abonnement plus ou moins équivalent. Cependant, il ne faut pas s’arrêter au prix. Faire jouer la concurrence n’est pas observer uniquement les prix.
Ici, il y a une augmentation des prix chez SFR. Mais de ce que je comprend, la nouvelle direction muscle ses offres d’abonnements. Il y a des extras supplémentaires. Et les extras, ça se paie.
Il est intéressant d’observer que les technophiles veulent toujours payer moins cher leur accès à Internet, mais qu’ils sont prêt à ouvrir grand leur porte-feuille lorsqu’il s’agit d’acheter des produits high-tech. C’est donc qu’ils comprennent qu’un prix peut être synonyme de qualité.
Terrorisme : 90 demandes de blocage, 534 de déréférencement administratifs en 2017
27/03/2018
Le 28/03/2018 à 14h 22
Le 27/03/2018 à 19h 07
Est-ce que les gendarmes et policiers qui composent Pharos connaissent le réseau Tor ? La réponse coule de source.
Attaques dans l’Aude, sauf pour l’application SAIP
23/03/2018
Le 23/03/2018 à 20h 08
Le 23/03/2018 à 17h 16
En théorie, qu’un pays développe une application mobile qui puisse prévenir ces citoyens en cas d’attaque terroriste est une bonne idée. La plupart des gens ont aujourd’hui un smartphone. Autant utilisé les possibilités des smartphones.
En pratique… un pays qui développe une telle application doit utiliser cette application en cas d’attaque terroriste. Et l’utiliser correctement. Or, chez nous, ce n’est pas le cas. C’est le moins qui puisse être dit…
Je ne doute pas un instant que la préfecture de l’Aude aura une réponse à formuler à ce sujet…
Si SAIP existe pour avoir une telle utilité, autant la supprimer.
Et d’ailleurs, pourquoi avoir créer une telle application alors que les smartphones permettent la diffusion cellulaire ? Il était inutile d’investir dans le développement d’une telle application… surtout lorsque je vois les résultats…
Big Data de la tranquillité : le Minority Report de Marseille
22/03/2018
Le 22/03/2018 à 18h 51
Il faut dire aussi que Marseille est loin d’être une ville exemplaire en ce qui concerne la délinquance, la criminalité et le savoir-vivre.
Les mesures politiques de la municipalité marseillaise concernant ces sujets n’ayant pas porté leur fruit, celle-ci se tourne vers un “Big Data de la tranquillité”. La solution ultime ? Parce qu’il n’y en aura pas d’autres, à moins de faire de Marseille un “New York 1997”.
Vous ne réglez pas les problèmes de délinquance, de criminalité et de savoir-vivre sur le court terme. Cela demande de longues années. En attendant que les mentalités changent, que faire pour que les touristes et les Marseillais eux-même se sentent en sécurité et dans un ville respectable ?
Je suis opposé à ce “Big Data de la tranquillité”, vu ce qu’il promet d’être, mais je n’ai pas de solutions alternatives à proposer. Je n’en vois aucune. Ou plutôt, il y a des solutions alternatives, mais c’est dans les dictatures qu’elles sont utilisées.
Au risque de me faire encore lynché, je suis persuadé que c’est si la société française était plus mâture, aucune municipalité n’aurait l’idée de mettre en place un tel système de vidéo-surveillance.
Voiture autonome et accident mortel : Uber ne serait pas en faute, coup de frein chez Toyota
21/03/2018
Le 21/03/2018 à 22h 24
Le 21/03/2018 à 20h 08
Le 21/03/2018 à 15h 30
Est-il possible de penser que des expérimentations qui se révèlent meurtrières doivent cesser ? Certains me diront que c’est une nécessité pour évoluer. L’histoire des évolutions technologiques n’a pas toujours été sans drames humains. Certes. Et alors ? Cette passante n’a rien demandé. Elle est victime d’une voiture autonome, qui aurait du freiner lors de son passage, même en dehors d’un passage pour piéton. Il est intéressant de constater que certains concessionnaires font de nous leurs cobayes, sans nous demander notre permission.
Est-il possible dès lors de penser qu’un conducteur en chair et en os est plus sécurisant qu’une voiture autonome, qui obéit à un processeur et à des logiciels informatiques, qui sont bêtes et disciplinés et ne savent pas résonner, aidés par des capteurs qui peuvent éventuellement tomber en panne ou dysfonctionner ? Est-il possible de penser cela sans que des personnes viennent dire que je me fait submerger par l’affect (la mort d’une passante) et qu’il est irrationnel de penser qu’un conducteur est plus sûr qu’une intelligence artificielle ? Aujourd’hui, rien ne le démontre. Au contraire, plusieurs accidents, mortels ou pas, démontrent que la voiture autonome est dangereuse, tant pour ceux qui sont à l’intérieur de l’habitacle que pour les autres, qu’ils soient conducteurs ou piétons.
Enfin, est-il possible, du haut de mes 35 ans, d’en avoir ras la casquette de cette déshumanisation que nous promet l’évolution technologique ? Des voitures autonomes, des caisses autonomes, des usines d’assemblages autonomes, des tramways autonomes, des livraisons de colis autonomes, des opérations chirurgicales autonomes… et l’humain dans tout cela ? Quel est sa place ? J’accepte le progrès mais pas en supprimant les humains partout. Par exemple, il y a des personnes qui adorent conduire et ne voudront pas lâcher le volant. Est-ce que c’est compréhensible chez les technophiles ? Est-ce qu’ils sont en capacité de comprendre que la robotique supprime les plaisirs humains ? Autre exemple : dans un travail pénible, la robotique peut aider à avoir moins de fatigue professionnelle. Mais il aura toujours des personnes, que je pense nombreuses, qui seront heureuses de rentrer chez elles exténuées par une dure journée mais satisfaites d’avoir fait le travail avec leurs mains et leurs jambes. C’est ça, être un humain.
Archos, Echo, Wiko : les fabricants « français » de smartphones marquent leurs différences
20/03/2018
Le 21/03/2018 à 15h 01
Le 20/03/2018 à 17h 43
Le 20/03/2018 à 16h 48
Archos, Wiko et Echo vendent des smartphones à des prix qui sont abordables pour des “petites” bourses.
Au ministère de la Culture, une réforme timide de la chronologie des médias
12/03/2018
Le 12/03/2018 à 14h 43