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potn

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1066 commentaires

Le 23/07/2019 à 16h 15

A quand un site qui fera des articles avec des titres courts mais laconiques, décrivant des faits simples, juste pour profiter de cette mane financière ?


Le 18/07/2019 à 09h 31

“Internet is really really greaaaat!”

… “No more!”



(pour ceux à qui ça rappelle des souvenirs :-P)


Le 06/06/2019 à 16h 13

Pourquoi “que” 400 000 euros ?

Ce n’est “pas si grave” selon la CNIL ? Qu’est-ce qui justifiera une sanction de 4% du CA mondial, du coup ? Il faut qu’il y ai les données personnelles des membres de la CNIL ?


Le 24/05/2019 à 18h 02

Les gens sont plutôt “forcés” de rester : ils ne choisissent pas grand chose…



Exemple tout bête : j’ai essayé d’inciter mes proches à utiliser Signal plutôt que Whatsapp, sans grand succès. Pourquoi ? “J’ai pas envie d’avoir une application en plus.” Pourquoi “en plus”? Parce que tout leur réseau est sur Whatsapp : pour passer à Signal, il faut que TOUT LE MONDE passe à Signal en même temps (ou au moins, installe les 2 applications).

Bref, Whatsapp va garder sa position dominante… grâce à sa position dominante, justement. Et c’est pareil avec Windows. Et avec Facebook.


Le 23/05/2019 à 22h 37

OK, donc surcensurer est mauvais pour leur business : c’est plutôt une bonne chose ! :-)


Le 23/05/2019 à 22h 35

Parfait, merci ! ;-)


Le 22/05/2019 à 16h 57

Quelqu’un peut me dire si Facebook facture tout de même les publicités “bloquées”, ou s’il perd du CA ?

Parce que dans un cas, c’est tout bénef’ de bloquer un maximum, dans l’autre ça contrebalance leur envie de faire du zèle.



M’enfin en 2 news, on voit bien le bordel de celle loi mal fichue : d’un côté de “vraies fake news” sont jugées acceptables, de l’autre il y a surcensure… Magique.


Le 20/05/2019 à 17h 06

Je pense que c’est surtout par peur que la décision “politique” de telle ou telle école de ne pas prendre de boursiers (par exemple) pourrait faire scandale.



Et puisqu’on vous dit que de toutes manières ce n’est PAS utilisé pour sélectionner les candidats, mais juste pour aider à la sélection : pas de raison qu’on puisse “tricher”… Ou alors on nous ment ?! :-P


Le 13/05/2019 à 21h 49

Vous croyez pas que ça va pousser Google (par exemple) à négocier un accord sans rémunération pour les agences de presse, avec comme sanction sinon de tronquer les titres des pages, genre “Le pape est mort !” => “Le pape est… (titre trop explicite)”?


Le 28/03/2019 à 14h 24

Mais tu as le droit de “brasser des sous”, ça ne veut pas dire que tu es “à BUT lucratif”.


Le 28/03/2019 à 14h 02

Le (62) est explicite quand au fait que seuls les structures à but lucratives sont concernées, il est juste précisé un exemple non limitatif :





(62) Certains services de la société de l’information sont, dans le cadre de leur utilisation normale, conçus pour donner au public l’accès aux contenus ou autres objets protégés par le droit d’auteur que leurs utilisateurs téléversés. La définition de fournisseur de services de partage de contenus en ligne prévue par la présente directive ne devrait cibler que les services en ligne qui jouent un rôle important sur le marché des contenus en ligne en étant en concurrence pour les mêmes publics avec d’autres services de contenus en ligne, comme les services de diffusion audio et vidéo en flux continu. Les services couverts par la présente directive sont les services dont l’objectif principal ou l’un des objectifs principaux est de stocker et de permettre aux utilisateurs de téléverser et de partager une quantité importante de contenus protégés par le droit d’auteur en vue d’en tirer un profit, directement ou indirectement, en organisant et en promouvant ces contenus afin d’attirer un public plus large, y compris en les classant et en faisant une promotion ciblée parmi ceux-ci. Ces services ne devraient pas inclure les services qui ont un objectif principal autre que celui de permettre aux utilisateurs de téléverseret de partager une grande quantité de contenus protégés par le droit d’auteur en vue de tirer profit de cette activité. Ces services englobent, par exemple, les services de communications électroniques au sens de la directive (UE) 20181972 du Parlement européen et du Conseil (14) , ainsi que les prestataires de services en nuage informatique entre entreprises et les services en nuage informatique qui permettent aux utilisateurs de téléverser des contenus pour leur propre usage, comme les sites de stockage de fichiers en ligne de type «cyberlocker», ou les places de marchés en ligne dont l’activité principale


Le 28/03/2019 à 13h 20

Attention à ne pas tout confondre : on peut avoir une activité commerciale sans être à but lucratif, exemple, l’amicale laïque qui vend de la limonade pour payer un voyage aux enfants de l’école publique.



Une entreprise, elle, est à but lucrative car elle a pour but, et non pas comme moyen, de faire de l’argent.


Le 27/03/2019 à 15h 53







ragoutoutou a écrit :



Proposer une alternative à Facebook, Youtube, … est maintenant devenu un problème juridique quasi impossible à surmonter pour les petites structures, et la différence de puissance entre les GAFAS et les petits acteurs pour les négociations de licence ou les technologies de filtrage rend la compétition impossible.







Alors autant je suis OK avec toi sur la majorité de ton commentaire, autant sur cette partie, ce n’est pas aussi simple.

En effet, il semble que seules les structures A BUT LUCRATIF sont concernées.

Du coup, c’est une aubaine pour les structures associatives, qui n’auront pas autant de contraintes. Qui sais : peut-être est-ce ce qui pourrait faire grimper Wikimedia (notez le “m”) ?

Après, il est vrai qu’il va être difficile de motiver quelqu’un à monter une association loi 1901 pour concurrencer Youtube, et du coup on a un gros risque de perte de liberté d’expression sur la plus grosse plateforme d’expression vidéo au monde… Ce qui est déjà bien dommage.



Le 27/03/2019 à 12h 53

Franchement, à la lecture du (62) de ce document, il semble que le risque soit bien circonscrit aux seuls YouTube, DailyMotion et autres grosses plateformes du même type : du coup, ça pourrait aider à l’émergence de concurrents associatifs (qui ne seraient, eux, pas touchés par cette directive et donc uniquement sous le coup de la LCEN) !

 

J’ai toujours autant en horreur les ayants droits, mais je dois avouer que le travail fait sur le texte semble plutôt bien taillé pour ne pas avoir trop d’effets de bord.


Le 27/03/2019 à 12h 34

En même temps, et ça me fait mal au * de le dire, Youtube (le TF1 d’Internet) est actuellement un passage obligé pour la liberté d’expression : si tu as un message à passer en vidéo mais que tu le fait sur autre chose que Youtube (exemple : DailyMotion), ça ne sera pas vu ; un peu comme un citoyen aura plus de poids s’il dit quelque chose sur un plateau de TF1 que s’il le fait sur Télé Bocal (ou même sur Arte).



Je vais lire un peu plus en détail l’article 17, mais on peut dire ce qu’on veut : s’il y a effectivement responsabilité de la plateforme dès l’upload, la seule solution à ma connaissance est le filtrage (et donc une entorse obligée, même si minime, à la liberté d’expression). Si vous avez d’autres idée de mise en place d’un système permettant de soustraire les plateformes de leur responsabilité sans filtrage, j’attends !


Le 26/03/2019 à 13h 58

De ce que j’ai lu, seules les plateformes exerçant une activité de partage de contenus AVEC BUT LUCRATIF sont touchées. Donc si YouTube France se transformait en Association Loi 1901, ça serait bon.

Et du coup, si je dis pas de bêtises, ça veut dire que des instances PeerTube associatives seraient exclues. Et pour le coup, ça serait cool.



Mais j’aimerais bien qu’on me valide ou me détrompe là-dessus. ;-)


Le 15/03/2019 à 12h 37

Personnellement, je n’ai pas trouvé de lien ou de méthodologie pour exploiter la faille, donc même si des hackers vont se presser de chercher la porte ouverte, elle ne semble pas non plus être très visible.


Le 08/03/2019 à 18h 10

Dommage que YouTube y trouve son compte : j’aurais bien voulu voir un “jour noir” où toutes les vidéos ayant un risque d’être filtré le soit effectivement, pour montrer ceque ça donnerait…


Le 28/02/2019 à 13h 12

Seulement 5,7Meuros ? Tu m’étonnes qu’ils s’en fichent…

J’attends la même news pour une affaire sous le régime du RGPD ! :-)


Le 07/02/2019 à 10h 59

Et euh… Un ministre qui ment aussi ouvertement au parlement, ça peut pas être répréhensible et casser la loi ?


Le 16/01/2019 à 23h 54

Du coup, avec cette loi, Wikipedia devra payer pour les sources de ses articles ?!

Déjà que Wikipedia ne roule pas sur l’or… Ils veulent sa mort ?


Le 11/01/2019 à 12h 43

As-tu des sources pour affirmer que ces associations n’ont pas, justement, essayer de passer par les voies de recours normaux ?

De plus, même si c’était le cas, il n’est pas normal qu’il devienne “habituel” de faire un recours : cela montrerai une régression qu’il faut combattre politiquement… Et donc via les outils qu’il y a à la disposition de telles associations, à savoir les réseaux sociaux.


Le 08/01/2019 à 10h 11

Ce n’est pas compliqué à vérifier : il suffit de vérifier le code source.

Je n’en ai pas le temps, malheureusement, et je m’étonne qu’il n’y ai pas eu cette vérification de faite avant de parler de cette “affaire”.


Le 25/12/2018 à 10h 53

Mais du coup, le mashup peut-il aussi avoir les mêmes problèmes ?

Quelle est la différence entre le sampling et le mashup ?

J’ai beaucoup aimé “Pop culture” de Madeon https://youtu.be/lTx3G6h2xyA) et le Essential Mix de Justice (06/10/2007) : j’espére que ce type d’œuvre sera toujours possible dans le futur (et, non, demander l’autorisation à chaque ayant droit n’est pas une solution : imaginez devoir demander à chaque éditeur de logiciel libre si vous avez le droit d’utiliser leur soft, à chaque fois que vous souhaitez l’utiliser, ça serait juste trop galère et tout le monde ferait du propriétaire).


Le 05/10/2018 à 09h 22

C’est un journal fiable Bloomberg?

Parce que là, ça pue grave le fake tout de même… Et vu la guerre économique que se livre les USA et la Chine, je serais pas étonné que ça serve les intérêts des uns au détriment des autres.


Le 24/09/2018 à 16h 13

Merci Marc pour cet article éclairant… Et un peu déprimant pour qui veut croire à la VRAIE presse.



D’ailleurs, s’il y en a qui ont un nom de site indépendant et fiable pour de l’information généraliste, ça m’intéresse. ;-)


Le 13/09/2018 à 14h 42

C’est pas un abus de position dominante, ce truc ?


Le 31/08/2018 à 12h 35

Peut-être que si tous les lecteurs de cet article envoyait un beau petit mail à “son” député pour lui dire ce qu’il en pense, nos représentants pourraient essayer de faire quelque chose… Par exemple, allouer 75% à la culture et 25% aux “majors”… Et plus l’inverse.

Ou plus simple : interdire les versements de plus de 10 000 euros (par exemple) à autre chose qu’un festival français…


Le 31/08/2018 à 07h 31

Ce qui me choque le plus, c’est le financement des albums déjà rentables des “gros” artistes… C’est des sommes sensés aider les petits artistes, non ?!


Le 11/07/2018 à 17h 06

Pour moi, PC Inpact, c’était une source d’information de qualité, complétant bien les informations que je lisais sur Numerama.

Et puis PC Inpact a évolué, et moi aussi. J’ai délaissé Numerama au profit de PC Inpact, plus “pro”, moins sujet au sensationnalisme et avec une bonne ambiance.

Finalement, je suis devenu fan de ce site et de son équipe, dévouée, sympathique et de grande qualité.

Next INpact est pour moi un site de référence en bonnes pratiques journalistique : de l’info de qualité, un peu de parti pris, mais toujours honnête et non masqué, une ligne éditorial respectueuse (en témoigne, par exemple, la couverture de “l’affaire Lionel Tardy” malgré la forte opposition de PC Inpact face à la Hadopi).

Mais plus important, il y a l’éthique : Next INpact ne baisse pas les bras face aux difficultés au profit de la simplicité, trop souvent suivie par le journalisme français actuel, si celle-ci devait coûter à leurs lecteurs.



Pour tout cela, et pour la suite, je vous dit merci, et un grand BRAVO !



Vive Next INpact ! :-)


Le 09/07/2018 à 14h 42

Du coup, on peut dire que le cocktail Molotov prend feu ? :-P


Le 02/07/2018 à 17h 17

N’existe t-il pas de moyen de mettre en place un système permettant de stocker une clé de déchiffrage dans quelque chose ressemblant à une blockchain, mais où toute tentative de récupération de cette clé serai forcément publique ? Seules les autorités judiciaires auraient la possibilité de demander la récupération de cette clé, et chaque demande serai visible.

Ainsi, toute tentative de flicage généralisée serait bloquée ou au moins visible, et les autorités auraient leur porte dérobée, mais avec une alarme.

Bien sûr, il faut cependant que la personne pour qui on souhaite récupérer la clé ne puisse pas trouver facilement que c’est lui qu’on surveille.



Après, je dis ça, mais c’est peut-être pas une bonne idée et même impossible…

Je trouve cependant qu’au lieu de chercher une solution philosophique, on devrait plutôt proposer des solutions techniques, voir laquelle serait acceptable.


Le 21/06/2018 à 17h 30

Tu as plus d’informations stp ?


Le 18/06/2018 à 17h 05

Si faire un lien peut être un acte de contrefaçon, est-ce que ça veut dire que Google devra demander au propriétaire du site qu’il est en train d’indexer s’il a le droit de faire un lien vers la page qu’il indexe ?

Si oui, il y en a qui vont pleurer…


Le 14/06/2018 à 17h 29

Sauf qu’une “information” qui n’est pas basée sur un fait n’est rien de plus qu’une opinion…

Et un journaliste n’est pas obligé de publier une “info” dès qu’il en a connaissance : il a le droit (et le devoir, normalement) de la vérifier avant publication. Donc les 48h de référés n’est pas un bon argument, car si on en arrive à questionner la véracité d’une information, c’est que les éléments qui l’accompagnent ne sont pas très probants ou solides.

Alors, oui, cette loi favoriserai le journalisme d’investigation au détriment du flash info à la BFM TV… Mais est-ce un mal ?


Le 14/06/2018 à 17h 24

Que M. Le Pen dise quelque chose, c’est un fait. Le contenu importe peu : c’est le fait qu’il ai dit quelque chose qui compte.

Si le journaliste ne déforme pas l’information, il n’a rien à craindre de la justice, même si M. Le Pen dit quelque chose de répréhensible : c’est ce dernier qui risque un procès.


Le 14/06/2018 à 17h 21

C’est justement l’objet de cette loi, entre autres : forcer la presse à faire correctement son travail.


Le 14/06/2018 à 17h 18

Le fait que M. Le Pen dise quelque chose est, en soit, un fait. Le contenu importe peu : s’il dit quelque chose de répréhensible, c’est lui qui risque un procès, pas le journaliste.


Le 11/06/2018 à 17h 59

En effet, le fait que la Terre est ronde est un fait ! ;-)



OK pour l’adhésion à une idéologie, mais quand cela a t’il été fait ? Est-ce vérifiable ?


Le 11/06/2018 à 17h 46

Pourquoi parler de vérité ?

La définition ne parle pas de “vrai” ou de “faux” mais de faits. Un fait est vérifiable car un fait est physique.


Le 11/06/2018 à 17h 40

Dans les prospectus électoraux, il y a des promesses (“je vais faire ceci”) et très peu d’informations (“j’ai fait cela”).

Et quand bien même un candidat devait mentir sur sa propagande, serait il négatif de pouvoir lui tomber dessus ?


Le 11/06/2018 à 17h 38

S’ils sont uniquement basés sur la Foi et non pas sur des faits, oui.

Est-ce un mal ?


Le 11/06/2018 à 17h 35

Tu peux protéger tes sources tout en rapportant des faits vérifiables.

la différence entre une théorie du complot et une véritable “affaire”, c’est que la seconde est étayée de preuves vérifiables et vérifiées.


Le 11/06/2018 à 17h 31







Radithor a écrit :



La couleur du cheval Blanc d’Henri IV.







Une information volontairement floue est-elle du journalisme ou de la propagande ? En l’occurrence, la question “Quelle est la couleur du cheval Blanc d’Henri IV ? ” peut être aisément clarifiée en “Quelle est la couleur générale du cheval d’Henri 4 nommé Blanc ?”.

C’est donc, me semble-t-il, un mauvais exemple.



Le 11/06/2018 à 17h 26







127.0.0.1 a écrit :



Cette définition est tout à fait bonne. Mais ce n’est pas la définition d’une fake news.





  1. “Macron est de gauche”

  2. “Macron est de droite”

  3. “Macron n’est ni de gauche, ni de droite”

  4. “Macron est à la fois de gauche et de droite”



    En terme de logique des prédicats, au moins l’une de ces allégation est exacte et au moins l’une est inexacte.

    Donc d’après la définition, au moins l’une de ces allégations constitue une fausse information.



    Question: Si on choisit une allégation au hasard, un magistrat est-il capable de dire si elle constitue une fausse information ?

    Réponse: non, surement pas.



    Par conséquent, pour un magistrat, aucune de ces allégation ne constitue une fausse information alors que la logique indique qu’au moins l’une est forcément inexacte. En conclusion, même si la définition est bonne, elle est inutile.



    Merci de votre attention.







    J’ai un problème avec cet exemple : en quoi “être” est-il un fait ? Dit autrement : “être de gauche” (par exemple), c’est faire quoi ?

    Ça ressemble beaucoup trop à un jugement (les notions même de “côtés politiques” sont elles même très subjectives) pour être un “fait” à mon avis.



Le 08/06/2018 à 17h 18

Quelqu’un aurait un exemple qui mettrait la seconde définition (« Toute allégation ou imputation d’un fait, inexacte ou trompeuse, constitue une fausse information ») en défaut ?

J’entends par là que quelqu’un me donne un exemple d’une “vrai news” pouvant être vraisemblablement réputée comme “fausse” devant les tribunaux (pour de la censure, par exemple) ?

J’ai beau en chercher, j’en trouve pas.


Le 24/04/2018 à 07h 40

En même temps, j’ai l’impression que les algorithmes de calcul des impôts ne sont pas très bien compris en interne…

Je leur ai déjà demandé de me faire une simulation de taxe d’emménagement pour savoir à quelle sauce je serais mangé en cas de construction d’une nouvelle maison, mais ils ont été incapables de me la faire (me renvoyant vers la commune, me renvoyant elle-même vers la DGFIP…).

Autant je suis plutôt pour les impôts, autant une telle gestion est plus que limite.


Le 17/04/2018 à 20h 44

En effet, c’est pas mal ! Ça a un petit goût de “laisse la politique à ceux que ça regarde et occupe toi de tes affaires”. :-P


Le 02/03/2018 à 18h 35

En fait, le râteau marche pas super bien partout, et ne propose pas de pause du direct… Et ça nécessite souvent un décodeur TNT, souvent intégré dans les box, qui sont peut-être configurées par défaut pour afficher le flux via l’IP et non pas via la TNT (justement pour la pause du direct).

Du coup, de moins en moins de personnes passent par la TNT… Après, je serais curieux de connaître les statistiques.


Le 15/02/2018 à 08h 25

C’est pas contestable devant une instance (le Conseil Constitutionnel, par exemple), une disposition votée dans de telles conditions ?

Ça me fait penser aux cavaliers législatifs, qui sont censurés par le CC.

Là, c’est les parlementaires (et donc le peuple qu’il représente) qui ont étés induits en erreur par les mensonges du gouvernement. Ça serait autorisé ?