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1317 commentaires

Le 21/08/2019 à 10h 47







PSXBH a écrit :



En même temps, le principe d’un second facteur, c’est d’avoir un second facteur…



Actuellement, y’a peu de second facteurs aussi ubiquitaires que les smartphones. C’est triste mais c’est comme ça. On ne peut pas non plus obliger les gens à acheter ou posséder une clef de sécurité, et comme la carte d’identité à puce est repoussée aux calendes grecques, une application OTP reste le moindre mal, même si elle vient avec de grosses contraintes d’utilisabilité.







Je trouve la solution d’une clé de sécurité bien plus acceptable pour ma part car c’est un dispositif qu’à cet usage qui n’implique pas de mélanger affaire perso et outil d’authentification.


Le 21/08/2019 à 08h 54







PSXBH a écrit :



Allez, on répète tous ensemble :



“Le second facteur par SMS n’est pas sécurisé et ne devrait plus être déployé en 2019”.



Les navigateurs modernes supportent Webauthn et FIDO2, en plus de pouvoir proposer du TOTP classique.





On peut le répéter mais si les choses sont pas faite correctement ça peut signifier des contraintes très forte (obligation de passer par des applications smartphone spécifique, etc…). Je trouve déjà exagéré d’exiger de quelqu’un qu’il ait un téléphone.


Le 16/08/2019 à 13h 08

Je suis quasi-sûr que les problématiques de latence (qui sont le gros problème du E-Ink) sont encore plus difficiles à régler sur un écran plus grand, étant donné que la surface à mettre à jour est plus grande.

Le 11/08/2019 à 15h 58







Ceyfi a écrit :



Il y a quand même plus de chances que ce soit l’audition par le sénat d’Eric Leandri, la décision récente de changer le moteur de recherche des administrations par Qwant, ou encore le fait que le Patron se prenne d’amitié avec la majorité en place (bon ok, ça c’est plus subjectif <img data-src=" />) qui a joué dans la balance à la rédaction du canard.







Ah possible







js2082 a écrit :



Haaa, cette remarque de politicien.

L’art d’instiller un doute dans le moindre élément, de jeter l’opprobre sur le messager plutôt que sur le délinquant/criminel ou entité à la source du problème, etc…





Je ne jette ici l’opprobe sur personne, tu tappe à côté.







js2082 a écrit :



L’art de la mauvaise foi déguisée en questionnement douteux et hors à propos, celui que l’on voit constamment sur BFM et consorts, celui que tous les politiciens mettent en œuvre quand ils se font prendre la main dans le sac (dernièrement, rugy avec mediapart).

Du complotisme de bas étage, quoi.





J’ai tout à fait le droit de penser que 2 articles committant sur une même entreprise dans un temps aussi resserré amène à une probabilité non négligeable qu’il y à quelques liens.









js2082 a écrit :



Mais je vais jouer ton jeu: tu penses donc que cette concomitance n’est pas du hasard?

Ok, et quelles preuves as-tu? quels éléments matériels te permettent de le prouver ou du moins de donner un indice? un faisceau d’indices?

Quel raisonnement logique te permet de déduire un lien, une relation, une causalité?





Le fait de ne rien pouvoir prouver ne signifie pas pour autant qu’il est inutile de ne pas s’interroger sur la question. Comme je dit, il ne s’agit pas là de pointé quelqu’un du doigts, simplement considérer que la question n’a pas à se poser est à mon sens aussi stupide que de croire que la coïncidence est impossible.

Je vois tout un tas de raison qui pourrait expliquer consciemment ou inconsciemment que ces 2 articles arrivent à si brève échéances, cela n’a rien de complotiste.



Le gros de mon propos n’est pas d’accabler le journaliste, mais plutôt de pointé le fait qu’il modifie lui aussi le milieu qu’il étudie. Bref, qu’il n’est pas responsable en soit et dans le cas là, y’a vraiment pas de problème, mais il faut mieux en être conscient.







js2082 a écrit :



Tu accuses. A toi donc de montrer que ton accusation est bonne, qu’elle est pertinente et justifiée?

Autrement, ta réflexion ne sera à considérer que comme du fiel envers NxI et ne mérite rien d’autre que l’oubli.





Mais j’accuse rien, ni personne c’est quoi cette aggressivité ?


Le 08/08/2019 à 19h 14







Nightlight a écrit :



Il dit que cela fait un mois qu’il travaille sur le sujet. Il aurait dû attendre parce qu’un autre a fait une publication ? Comme ça lorsqu’en plus le soufflet serait un peu retombé du fait de l’attente (alors que lui-même t’assure que c’est une coïncidence), vous l’auriez accuser de rallumer les braises.

 Bref, aucune bonne solution de publier cette article à vous lire.





C’est pas du tout ce que je dit, je dit simplement que le fait que l’article de Nextinpact soit publié voir même le fait qu’il pose des question à Qwant, peut amener certains à transmettre x ou y informations au canard ou tout simplement que le canard soit plus ouvert à faire un sujet, dessus ,etc…



Je pense assez vraisemblable mais pas certain que la concomitante des deux articles ne soit pas du pure hasard.


Le 08/08/2019 à 17h 17

Faute non, néanmoins j’ai un peu du mal à croire que ça soit totalement de la coïncidence. Il n’est pas inenvisageable que la remise d’un sujet à l’agenda médiatique ai bougé quelques lignes ici ou là.

Le 02/08/2019 à 11h 44







ProFesseur Onizuka a écrit :



Ou quant la loi interdit de dire la vérité ! Faut pas s’étonner que les mensonges prolifèrent ensuite… <img data-src=" />





Dans le cas présent là comme dit par d’autres, le soucis c’est que c’est un concurrent. Je suis pas sûr qu’il est acceptable que par exemple, airbus suite au scandale de boeing se mettent à faire plein de communication en mode “nous, nous ne fournissons pas des cercueils volant” .


Le 02/08/2019 à 11h 40







iFrancois a écrit :



Bravo, tu viens d’écrire 2 paragraphes pour strictement ne rien dire. Autant dire une comm’ équivalente à celle officielle de Qwant : vide. On allume des contre-feu un peu partout histoire de détourner l’attention et le tour est joué.





Qu’attend tu qu’il dise ? J’en suis curieux.







iFrancois a écrit :



En plus ton discours sonne très, mais alors très sectaire, et avec la petite touche “théorie du complot”, c’est encore plus savoureux.





Je ne suis pas sûr de savoir ou tu trouve un complot ici. Tout ce que dit champeau ici me semble vraisemblable.



Je précise que je n’utilise pas vraiment Qwant et que j’ai aucun lien avec. Juste je comprend pas forcément bien cette agressivité.


Le 29/05/2019 à 13h 46







recoding a écrit :



Il y a un équilibre à trouver. Une énorme part du budget des musées nationaux français provient de la vente des images des œuvres de ces musées. Et trois musées sont bénéficiaires pour tous les autres.



On peut retirer tout commerce de ces lieux de culture, libérer totalement l’accès et les photos. Mais il faudra augmenter les impôts, ou faire plus de partenariats avec airBnB, fermer les petits musées… Perso je suis pour la solution des impôts, mais c’est pas à la mode.





la question que je pose c’est pas ça, c’est la justification légale actuelle. Le domaine public ça à un sens.







misterB a écrit :



A la tate Modern?

tu as des oeuvres qui ne sont pas dans le domaine publique, ensuite c’est un lieu privé donc si l’ouvre est dans le domaine publique ce n’est pas le cas de l’endroit ou il est accroché par exemple





Pour les œuvre qui sont pas dans le domaine public effectivement mais je parle du fait spécifique des œuvres du domaine public.

Je suis pas certain que ça soit valable légalement ton explication, je doute fort qu’on puisse considérer que les mur blanc du musée x sont sous droit d’auteur. le lieu privée peut t’interdire l’accès voir peut être de prendre des photos, pas à ma connaissance mettre des limites sur l’usage des photos prises.


Le 29/05/2019 à 11h 21

c’est quoi qui justifie “non commercial purpose only” pour des oeuvre du domaine public ?

Le droit d’auteur sur les cadre ? L’éclairage ? sur la restauration ?

Le 05/03/2019 à 17h 43







KP2 a écrit :



Bouygues est vraiment la tête de pont du TSF (Tout Sauf Free). C’est dingue comme les mecs sont vénères…

Ils ont fait tout ce qu’il y a de plus sale pour pas que Free obtienne ses fréquences : chantage à l’emploi, actions judiciaires absurdes, campagne de comm’ puante, etc… Il manque les lettres de menaces et l’enlevement des enfants de Niels et c’était le pompon (il a reçu des menaces… je me demande maintenant si…)





Oui enfin pendant que tu t’inquiète de manoeuvre au niveau des entreprises et de la santé de la famille Niels, l’empire Free se permet de temps en temps des pratiques plus que douteuses envers ses propres salarié, on peut cité le plan marco polot et quelques autres… Je me permet de le signalé parce que bon présenté comme tu le dit, on à l’impression que Free sont une boîte de gentils dans un océan de requins… Free est lui aussi un requins aux dents longues et j’ai pas plus confiance en Niels qu’en les autres pour respecter ses salariés et les consommateurs.


Le 26/02/2019 à 08h 27

c’est assez “amusant” de voir denis Olivienne dans l’histoire : twitter.com Twitter

Le 13/02/2019 à 19h 47

Effectivement sous linux tu peut te retrouver dans des situations amusantes si ton gestionnaire de paquet n’as plus assez d’espace, mais c’est un peu le soucis de toute façon quand on atteint les limites de d’une partition, tout se coince facilement.  J’ai déjà eu des cas comme ça mais j’ai jamais réussi à casser pour autant le système, il y avati toujours un truc quelque-part à vider sur le système pour retrouver la lumière.



J’ai remarquer que ça arrivais relativement sous linux à cause de deux raisons :





  • l’habitude de séparér /home (grande partition) et / (petite partition)

  • docker qui prend un espace monstrueux dans la partition /.



    Dans un genre similaire de truc rigolo que j’ai eu sous linux, c’est le système sans swap. Ça marche très bien, jusqu’à que tu tombe sur un truc un peu consommateur qui compte sur l’existence de celle-ci.

Le 13/02/2019 à 08h 00

Ce n’est pas être parano que de pointer qu’il y aura à coup sûr des abus, comme il y en à toujours.

Le soucis réside plutôt dans la mise à disposition de plus en plus large de ce type d’outils.

Le 03/02/2019 à 14h 24

Sinon pour ajouter au débat, l’exemple coréen est intéressant :

twitter.com Twitter

Le 03/02/2019 à 13h 58







Romaindu83 a écrit :



Une personne qui s’inscrit sous pseudo sur un réseau social qui demande tes prénoms et noms de famille lors de l’inscription prémédite ses commentaires.





Moi je considère qu’un réseau social n’a pas à te demander tes nom et prénom, mais c’est un autre débat.







Romaindu83 a écrit :



Elle sait déjà que ce qu’elle sera amenée à écrire peut lui amener divers ennuis, notamment judiciaires et pas que. Cette personne a peur mais veux pouvoir utiliser à l’extrême la liberté d’expression que lui confère le réseau social. Bref, elle n’assume pas ce qu’elle pourrait écrire.





Non, le pseudonymat ne signifie pas ne pas assumer vis à vis des autorité. C’est toi qui l’interprète comme ça, les pouvoirs publics peuvent aisément remonter à la personne dans 90% des cas. Les cas restant étant soit des personnes étrangère, soit l’usage systématique de technique type vpn, etc…

Donc dire pseudonymat = j’assume pas. c’est totalement faux, D’autant que les personnes sous pseudo utilise aussi souvent leur adresse mail nominative, encore un moyen de remonter à la source.







Romaindu83 a écrit :



Cela est mon point de vue sur l’anonymat sur les réseaux sociaux et je n’ai jamais changé d’avis d’une seule once.





L’anonymat n’est pas le pseudonymat.







Romaindu83 a écrit :



Dit plus vulgairement, les personnes sous pseudos sur les réseaux sociaux se pissent dessus, pas ceux qui sont sous leurs véritables identités.





Dit plus vulgairement, tu raconte n’importe quoi sur des gens dont du te dit ne pas faire partie.







Romaindu83 a écrit :



Sur les réseaux sociaux, les personnes sous pseudo sont des lâches, qui projettent sur les autres la responsabilités de leurs propos qu’ils refusent d’assumer.





Non. Rien n’empêche la police de contacter les personnes sous pseudonyme pour leur signifier explicitement qu’elle sont sous le coup d’une plainte. La lacheté ici serait de refusé de délivré l’information nominative aux autorités dans le cas présent (si on part du principe que l’état dont on parle est régulier et la plainte aussi, je parle pas des pays autoritaire ici et là). Être lâche c’est le fait de décamper, pas le fait de s’autoriser quelques précaution vis à vis du tout venant. Comme je le dit, le problème n’est pas vis à vis des autorité mais vis à vis du monde entier.


Le 01/02/2019 à 20h 32







Romaindu83 a écrit :



Et jusqu’à preuve du contraire, nous sommes régit par un système républicain et non pas un système dictatorial, quand bien même il y aurait bien à redire sur le fonctionnement de notre Veme République, régime présidentiel.





Ça veut rien dire ce que tu dit, une dictature peut être une “république”. Et on peut tout à fait être dans un régime de “démocratie” qui sont autoritaire et liberticide. Le choix pour des raisons de “faut de l’efficacité” de vouloir remplacer la discussion en justice par des procédé administratif qui sont l’arbitraire absolu, est un choix de société.

Pour ma part, je ne pense pas qu’on doit prendre le risque brader nos principes sous ce type de prétexte.



             







Romaindu83 a écrit :



C’est une excuse facile.





Ce n’est pas une excuse c’est ce qui arrive et qui va continuer d’arriver. Refuser au gens le pseudonymat, c’est leur refuser d’avoir une vie privée numérique. Les gens avec qui je discute ici n’ont pas à savoir que j’habite à bidule, que je m’appelle machin ou encore que suis de tel sexe. Si le pseudonymat est ce qui permet de facilement attaqué les gens sans risqué grand chose c’est aussi une méthode défensive permettant d’utilisé l’outil informatique de façon plus sécurisante.







Romaindu83 a écrit :



Sous Twitter et Facebook, je suis identifié sous ma véritable identité. Ici, vous en avez une partie.



Qui n’a pas deviner que je m’appelle Romain et que je vis dans le Var ? E puis, même sous pseudonyme, à moins que tu te connectes via un VPN, les enquêteurs peuvent te démasquer grâce à ton adresse IP. C’est juste un rappel…





Le problème n’est pas nécessairement que tu puisse être démasquer mais que ça soit facile. Si c’est trop facile, alors ça signifie que le hacker bidule ou que jean jacque le tordu peu faire de même. Stocker des identifiants de ce type est dangereux, très dangereux. Vouloir prendre ce risque pour des trucs aussi futile que la connerie des autres c’est se mettre une balle dans le pied, les gens trouverons d’autre façon d’importuner les gens et on se retrouvera bien embêter quand de mauvaise mains mettrons la main sur ces informations.







Romaindu83 a écrit :



Je suis clair. Ou tu assumes ce que tu écris ou tu ne l’assumes pas. Sur Twitter, Facebook et d’autres réseaux sociaux, il est demandé de fournir ton prénom et nom de famille lors de ton inscription. Fournis tes informations et assumes tes propos !





Être sous pseudonymat n’empêche pas d’assumer ses propos. Et Twitter, Facebook and Co ont des politiques de modérations.







Romaindu83 a écrit :



Sauf que, sur les réseaux sociaux, beaucoup s’inscrivent sous pseudo, puis écrivent des énormités, n’assumant absolument pas leurs publications.





Les gens avec leur nom écrivent aussi beaucoup d’énormité et n’assume pas beaucoup leurs publications, suffit de regarder un peu sur twitter.







Romaindu83 a écrit :



Mais bon… ça ne gêne personne que les réseaux sociaux deviennent un défouloir de haine et de complotisme, avec des conséquences sur la vraie vie du quotidien. Cela peut aller très loin, jusqu’au suicide de certaines personnes qui ne supportent plus les publications à leur encontre. Très facile de dire que c’était des personnes psychologiquement faible. Il faut avoir une bonne armure pour supporter certains propos. Je plains les personnes concernées. Quand au complotisme, là aussi, ça ne semble gêner personne que des conneries monumentales sur les illuminatis, entre autre, circulent sur les réseaux sociaux.





Le problème n’est pas les réseaux sociaux mais les gens. Penser qu’on peut résoudre un problème de méchanceté des gens entre eux par des systèmes techniques de ce type est une bétise sans nom.

Pour ma part, j’ai justement vécu l’inverse, une vie ou les gens que je rencontrais physiquement pouvais être très méchants là ou le pseudonymat du net me permettais d’être juger uniquement sur ce que je disait dans des environnement numérique plutôt sain.


Le 03/02/2019 à 14h 16







Faith a écrit :



La différence libre/fermé a ici l’épaisseur d’un cheveu (en particulier après ce que je dis ci-dessous)





Pour toi oui, pour moi je trouve que ça reste une différence assez fondamentale. Tu passe d’un état ou tu est dépendant obligatoirement d’un acteur à un modèle ou même si c’est très difficile et coûteux c’est de l’ordre du possible. Tu gagne aussi en capacité d’auditabilité du code, etc.

Effectivement, c’est pas ça qui va faire une différence énorme, mais ça fait une différence non négligeable.







Faith a écrit :



C’est une garantie purement théorique.





Comme bon nombre de garantie.







Faith a écrit :



Dans une application utilisée en production, à grande échelle, il est en pratique excessivement difficile de changer d’entreprise pour la maintenance et l’évolution de ce programme.

Il faut déjà trouver un repreneur, et ensuite ça coute une fortune en formation et en passation de connaissance. Passation de connaissance source d’énormément de pertes (en particulier si l’entreprise d’origine n’est pas très contente de perdre le marché).





Dans le cas d’une perte de marché effectivement c’est délicat, mais je pense par contre que dans le cas ou l’entreprise met la clé sous la porte, y’a un intérêt non négligeable, l’entreprise peut embauché quelques anciens salariés du logiciel pour garantir la maintenance du bazar, ça me paraît compliqué à gérer dans le cas d’un logiciel propriétaire.


Le 02/02/2019 à 17h 16







kwak-kwak a écrit :



La mesure est particulièrement mal amenée, d’autant plus que les équivalences sont parfois “pas si équivalente” : C’est par exemple le cas entre GIMP et Photoshop, où l’équivalence dépend avant tout de l’usage que l’on compte en faire.





Je pense qu’il y à effectivement des cas compliqué, notamment pour les FPGA ou les logiciels liée à des question hardware ou il n’existe pas d’équivalent sérieux.



Par contre sur le cas de Gimp et Photoshop, je pense que c’est dans ce cas présent, un mauvais exemple. La différence entre les deux logiciels à de l’intérêt si on se place en contexte directement professionnel, dans le cas de l’enseignement, étant donné que l’élève doit apprendre des principes plus que des raccourcis claviers ou de la “productivité”, je ne vois pas trop quel fonctionnalité “importante” pour le monde éducatif pourrait exister dans l’un mais pas dans l’autre.







kwak-kwak a écrit :



Il me semblerait plus sage, non pas d’imposer le libre mais plutôt de proposer un catalogue applicatif adapté aux usages spécifiques de l’éducation nationale, quitte à le développer soit même. C’est par exemple ce que fait Framasoft en s’efforçant de fournir une offre adaptée aux besoins des particuliers. Quand l’offre existera, les écoles iront piocher dedans, ravies de faire des économies.





Vouloir du logiciel libre pour faire des économies, c’est de toute façon une mauvaise idée.







kwak-kwak a écrit :



Mais pour cela , il va falloir que l’état se sorte les doigts du c, en montrant un minimum d’ambition, d’initiative et de vision à moyen terme. Bref, c’est loin d’être gagné.





Ça nécessite une vision, des gens motivé avec du temps et un investissement financier de départ conséquent. Autant dire qu c’est pas prêt d’arriver.


Le 02/02/2019 à 16h 55







Faith a écrit :



Et pourtant si.

L’entreprise XXX telle que je l’ai décrite n’a pas pour coeur de métier de bosser sur TuxEN.





Justement voilà un biais que je trouve gênant, je parle clairement d’éditeur de logiciel pas de société de service en informatique. Si XXX est à l’origine/ à une longue expérience sur TuxEn, je ne vois pas de raison de penser que l’on pourrait facilement la concurrencer sur du support ou du développement spécifique (potentiellement mutualisable) sur le produit.



Peut être qu’on se comprend pas, mais des éditeurs de logiciel libre existe (par exemple XWiki) et selon les produits qu’il réalisent, il n’ont pas toujours beaucoup de concurrent sur leur même produit, tout simplement parce qu’il ont acquis une dose de savoir faire importante sur le dit produit.







Faith a écrit :



(si XXX peut devenir expert sur TuxEN le temps d’un projet, n’importe quelle boite peut faire de même assez rapidement)





Pas nécessairement, même dans le cas d’un logiciel ancien, il suffit que TuxEN soit composé de développeurs originaux du logiciel pour qu’il devienne compliqué de monter aussi rapidement en compétence.







Faith a écrit :



Ce qui me fait tiquer, c’est que tu n’as pas compris mon post: j’indique que libre ou pas libre, il faudra passer par une grosse boite. Et que libre ou pas libre, l’EN sera dépendante de lui.





Je pense que l’intérêt du libre est bien différent de cela. Le libre est une garantie en plus, de pérennité, il faut ensuite en faire quelque-chose.


Le 01/02/2019 à 20h 53







Faith a écrit :



Oui, c’est ce que je disais (peut-être pas clairement)

Qui dit interlocuteur privilégié fiable dit grosse boite, gros contrats, asservissement à cet interlocuteur, etc… donc aucune différence fondamentale avec le passage par des éditeurs de logiciels propriétaires (sauf que du coup il faut payer des développements spécifiques alors que les éditeurs propriétaires ont la possibilité de mutualiser le besoin pour plusieurs clients)





Les éditeurs de logiciel libre/open-source peuvent aussi mutualiser le besoin…









Faith a écrit :



Ca dépend de ce dont on parle.

Pour le libre “en général”, tu as raison.



Mais dans le cas présent, je ne pense pas. L’EN a besoin d’une adaptation pour le logiciel libre “TuxEN”, logiciel permettant de gérer les plannings d’une école, mais sans entreprise derrière le développement.

L’EN lance un appel d’offre, et l’entreprise XXX (qui n’est pas spécialisée sur TuxEN) obtient le marché (développement + forfait assistance + forfait maintenance). Elle effectue le développement et continue la maintenance.

Quelque temps plus tard, l’Education nationale allemande a une demande proche. Quelle chance a-t-elle de trouver le développement de l’entreprise XXX ? Celle-ci aura-t-elle conservé les ressources expertes sur le sujet ? Et si les modules développés sont-ils libres, est-ce que XXX sera choisie pour la maintenance, ou une entreprise allemande reprendra le marché ? 

 

A coté de ça, une entreprise ayant développé le logiciel propriétaire “MyEN” va se poser en intervenant mondial et contacter activement les écoles de par le monde. Elle va pousser son nouveau développement auprès d’autres écoles, voir l’intégrer à sa branche principale.

(j’extrapole ici ce que je rencontre sur un autre sujet dans mon entreprise)







Rien n’empêche l’entreprise XXX de s’internationaliser et de faire de TuxEN un leader mondial du planning.









Faith a écrit :



Il faut surtout être un pur idéologue pour vouloir imposer une solution, même si elle n’est pas la meilleure.

Privilégier les logiciels libre à cout/fonctionnalités équivalents, c’est une bonne chose, mais imposer les LL par principe, c’est juste absurde.





Absurde pour toi, mais les principes sont les principes.







Faith a écrit :



Surtout que l’EN nécessite parfois des développements spécifiques, il faut bien avoir un interlocuteur pour les réaliser et pas simplement s’appuyer sur “la communauté”.





Tu semble nié la possibilité d’existence d’éditeurs de logiciels libres, ça me fait tiqué.


Le 28/01/2019 à 20h 28

En attendant avec Rust et le défunt b2g, Mozilla garde une capacité d’innovation remarquable.

Le 05/12/2018 à 08h 11

Pas d’accord du tout sur l’aspect “ très discutable”, OSM est un très bon service de cartographie au sens ou il est capable de rendre des cartes très complète avec des informations bien plus riche qu’un google maps.



Il est vrai cependant que son support des fonctionnalité habituelle d’un google map , autour de la recherche d’adresse et la création d’itinéraire, est assez moyen.

Le 21/09/2018 à 15h 08







nodulle a écrit :



Éviter de chercher sur quel bouton appuyer / se rappeler comment ça fonctionne ? Il a des micro-ondes qui ont une foule de fonction. Quand je vois celui de ma mère qui a bien une douzaine de bouton sur la façade dont on ne sait pas vraiment à quoi ils servent…





j’ai quelque-doutes que les systèmes comme alexa vont rendre les fonctionnalité derrières ces boutons plus utilisés qu’habituellement. à par via un système déductif, je vois assez mal le grand public se prendre la tête à l’oral ou avec des boutons avec la cuisson via micro-onde.


Le 21/09/2018 à 10h 03

tu peut faire ça sans avoir besoin de “parler” à ton micro-onde.

Le 21/09/2018 à 10h 02







Patch a écrit :



Je dirais fainéantise. Comme toi, en dehors de cas particulier, je ne vois aucun intérêt.





même dans une logique de fainéantise, je ne suis pas certain que ça soit super efficace, le langage (à l’image de la ligne de commande) à l’avantage de permettre un éventail très large d’action en un minimum d’effort, mais c’est plein d’ambiguïté. Une interface bien plus limité à l’image des interface graphique d’aujourd’hui me semble bien plus pertinent pour tout un tas d’usage, dont le micro-onde.


Le 21/09/2018 à 07h 36

J’avoue que je n’arrive pas à comprendre, hors cas d’usage vraiment particulier, l’intérêt de parler à son micro-ondes plutôt que d’appuyer sur 2, 3 boutons.

Le 17/09/2018 à 17h 19







numerid a écrit :



Il s’agit du non -respect de la loi par le site de la présidence de la République, sachant que le président de la République est gardien de la loi. Non ce n’est pas mineur.







Effectivement, avec tous les rigolos comme NextInpact prétendument scandalisés et qui s’estiment légitime à embêter la méchante officine qu’est la boutique de l’Élysée (je fais court, mais on a lu tellement pire), ça a dû pourrir les statistiques de la CNIL, qui a autre chose à faire à mon avis (qu’elle donne son avis sur la boutique de l’élysée, c’est utile, mais pas besoin de harceler la CNIL avec ça).



(toute similarité avec un commentaire déjà vu ici ne serait que purement fortuite)



<img data-src=" />



Le 12/09/2018 à 18h 17







js2082 a écrit :



Ha?

Une amende administrative pouvant aller jusqu’à 20 millions, c’est une requête inutile?

Cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende, c’est une “erreur”?



Tu es sur de savoir ce qui est “bien naze” du coup? <img data-src=" />





Suffit de lire le propos de carbier pour que tout s’éclaire, la question n’est pas l’affaire en elle même mais comment trouver à dire du mal des militants qui ont été victime de cette affaire.


Le 10/09/2018 à 20h 11







OlivierJ a écrit :



Du gouvernement <img data-src=" />

L’affaire est liée au fonctionnement particulier de l’Élysée, le gouvernement n’a rien à voir là-dedans. Un type bossant pour l’Élysée et qui a pris la grosse tête (le fait divers), et a bénéficié d’une certaine complaisance, c’est ce dernier point qui est au débit de l’Élysée globalement (et son secrétaire général plus particulièrement).







On ne sera vraisemblablement pas d’accord, mais c’est nier les fait que de résumer ça un un problème de l’Élysée seulement, l’affaire concerne aussi en grande partie les services de polices qui sont sous la direction du ministre de l’intérieur, ministre de l’intérieur qui à toute capacité d’avoir les informations nécessaire et de les donner à la commission des lois mais qui préfère jouer à l’autruche. C’est aussi beaucoup ça qui rend à l’affaire une dimension politique. Le gouvernement à pas jouer franc jeux, il à été très complaisant avec l’Élysée, sa parole n’a plus aucune crédibilité.


Le 08/09/2018 à 12h 10







bloossom a écrit :



ça reste un fait divers, et la part qui méritait un traitement médiatique a été noyée dans les cris et les hurlements des “responsables” politiques.







Pour moi non clairement pas, c’est toute la crédibilité du gouvernement qui est en cause dans cette affaire.

Je n’appelle pas ça un fait divers. Pour être franc, je ne comprend pas qu’on puisse penser que ça c’est un fait divers.







bloossom a écrit :



Je trouve beaucoup plus intéressant l’information découlant de disnifolab, bien que je suis attristé de leur choix de communication: tout ça aurait été bien plus sérieux s’ils n’avaient pas fait n’importe quoi niveau données personnelles.





Perso je vois rien la dedans qui est particulièrement original. Les résultats sont prévisible, je suis persuadé que tu as le même type de résultat pour tout type d’évènements sur les réseaux sociaux.



Le 06/09/2018 à 19h 12







OlivierJ a écrit :



À titre personnel j’ai trouvé délirant le temps occupé par l’affaire Benalla, que ce soit sur Twitter ou dans la presse (incluant radios et télés) en général.







C’est vrai que c’est délirant de passer un peu du temps sur le fait que personne au gouvernement n’est capable d’expliquer pourquoi le gouvernement soutient des délinquants notoires. C’est vraiment anecdotique.



Avec une pensée de la sorte, je comprend que l’affaire disinfo lab te paraisse abusé, alors qu’elle ne l’est pas et qu’il ont récolté ce qu’il ont semé, en s’amusant à cataloguer arbitrairement des personnes sur un réseau social.


Le 09/07/2018 à 09h 11

Ce qui est intéressant avec Pcinpact c’est qu’il font de l’information plus que de la promotion de produit comme cela se fait trop souvent dans le domaine. J’apprécie particulièrement l’effort sur tout ce qui est législatif et politique, notamment durant la fameuse loi hadopi.

Le 28/06/2018 à 07h 05

La grosse différence entre Peertube et git, c’est que peertube est un outils fédéré de base.

Du coup ça sera toujours un peu le bazar entre les différentes instances mais rien de comparable à git ou tout le monde à son instance privée (de gitlab ou autre) ou utilise github.

Bref on est déjà beaucoup plus avancé sur la question qu’avec git (ou gitlab n’a pas encore de fonctionnalité de fédération).

Le 26/06/2018 à 07h 08







6128 a écrit :



Belle initiative, mais maintenant que les médias font connaître le site nul doute qu’il sera interdit à cause de l’histoire de la plaque (alors qu’elle est affichée publiquement dans l’espace public, donc ne devrait pas être une donnée personnelle, car les données personnelles on les affiche pas sur sa voiture !..)







Donc si je prend une photo de toi dans la rue, ça n’a strictement rien à voir avec une donnée personnelle. Drôle de conception des choses.


Le 19/06/2018 à 09h 05







anagrys a écrit :



quel est le problème avec le container ? Avoir la possibilité de grouper plein de produits dans une boîte standardisée qui peut voyager sur des bateaux transportant des milliers de boîtes identiques poserait quel problème ? Et vous proposez quoi pour améliorer la chose ? Le retour au Pony Express ? Remplacer un seul porte container par une armada de camion, de trains, d’avions…?



Sinon, au final, un texte mal gaulé, mal écrit (qui irait payer 15€ de taxe pour une clé USB vendue 5€ à tout casser - hors machin copie privée évidemment), imprécis et qui n’a d’autre but que de faire le buzz en espérant qu’il se fasse dégommer à l’Assemblée. Ce qui permettra aux sénateurs de se faire mousser un peu sur le dos de l’Assemblée Nationale au passage, c’est toujours bon à prendre.



Enfin, petit passage sur le fait de taxer sur une taxe : ce n’est pas un problème en France. Quelques exemples choisis : la CSG “non déductible”, qui est prélevée sur les revenus mais incluse quand-même dans le calcul du revenu imposable. La TIPP (ou quel que soit son nom actuellement) qui s’ajoute au prix hors taxe des produits pétroliers et est donc assujetie à la TVA… L’imagination de nos énarques étant sans limite, je suis sûr qu’il y en a d’autres.







Le problème c’est de produire tout pour la totalité du globe à des milliers de kilomètres. C’est par exemple écologiquement un non-sens de produire des tomates en masse en chine (qui n’en consomme pas ou presque).


Le 19/06/2018 à 07h 02







kwak-kwak a écrit :



J’ai un peu du mal à comprendre : depuis quand la Droite s’oppose-t’elle au libre marché et à la libre circulation des marchandises ?



En quoi acheter son produit dans un supermarché (produit qui est donc lui aussi passé par les centrales d’achat, les entrepôts géants, l’emploi précaire, etc) est-il meilleur pour les centre-villes ?



Depuis quand acheter son produit de manière efficace est-il un frein pour l’économie ? En effet, à titre personnel, tout l’argent et le temps que je ne dépense pas en transport, essence et temps pour aller chercher mes produits, pourra l’être dans dans des activités locales. (Un aller-retour à LDLC pour moi c’est 20km : 1 heure de voiture et 2 litres de SP95 ou 2h30 de transport en commun.) Depuis quand, faire 20 bornes de bouchons en bagnole pour récupérer 1 unique colis est-il plus écologique que de faire venir le colis jusqu’à moi (lui-même “covoiturant” avec bien d’autres colis) ?



Et enfin, pourquoi le fait de rapprocher les entrepôts des villes serait-il plus écologique ? Puisque de toute manière la marchandise en provenance du Havre, Marseille ou Roissy, passera quoiqu’il en soit par les entrepôts du vendeur et par ceux du livreur.



Et dernière question : Pourquoi vouloir absolument mettre des bâtons dans les roues de La Poste, alors que c’est une des rares entreprises qui passe par le fret ferroviaire ?







C’est des remarques pertinentes, j’ai l’impression que le gros du problème en la matière est plutôt à l’échelle internationale avec le transport par container notamment.

Après ce qui est pertinent pour certains produit l’est moins pour d’autres.


Le 12/06/2018 à 11h 54

Pour le payement je sais pas mais actuellement le rythme de l’ AN n’a pas grand chose d’humainement soutenable, c’est tout bénéf pour l’exécutif.

Le 08/06/2018 à 11h 51

C’est surtout toi qui à un rapport très très particulier à la notion de vérité.

Personne n’est objectif, le gouvernement est clairement pas bien placé pour définir la vérité.

Le 29/05/2018 à 12h 12

La question que je me pose souvent dans ce genre de cas, à l’instar d’un Steve Jobs, c’est si l’ont ne met pas beaucoup trop de poids à un individu dirigeant dans la réussite de l’entreprise, là ou il est probable que le Serge a surtout tirer profit, assez intelligement certes, d’un très bon personnel.

Le 21/05/2018 à 15h 48







Arcy a écrit :



En tout cas, c’est Framasoft qui doit être content, ça fait un bon coup de pub.

J’aurais plutôt imaginer l’EN partir chez les poids lourds genre Github et co.







Oui enfin je trouve pas ça super réglo que les structure étatiques utilise les infrastructure d’une association comme framasoft, j’éspère à minima qu’il font des dons pour gérer ce point là, parce qu’autant j’aime beaucoup framasoft, autant un état doit avoir des obligation de résultat (accessibilité du dit-code) qui coincide assez mal avec un service en ligne porté par une association dont le but est plus le “proof of concept” que l’hébergement professionnel.


Le 20/04/2018 à 07h 00

Si je ne m’abuse Matrix est une surcouche de HTTP là ou XMPP est un protocole de même niveau que celui-ci .

Je ne sais pas trop quoi penser de cette mode à tout contruire par dessus http.

Le 20/04/2018 à 06h 56

À ce propos, quelquechose comme Colibri est prévu pour matrix ?

https://xmpp.org/extensions/xep-0340.html

C’est ce qu’utilise Jitsi-meet, il me semble.

Le 19/04/2018 à 19h 00

La différence c’est surtout que l’un est un standard relativement ancien, alors que l’autre n’est pas standardisé à ma connaissance et est plus récent.



L’autre différence c’est qu’XMPP est “Extensible”, c’est une boite à tout faire, là ou Matrix à un champ d’action bien plus réduit. Ainsi je ne suis pas certain que Matrix soit un choix envisageable pour un système de messagerie interne dans un jeux vidéo, là ou XMPP fait bien le taff. À l’inverse le côté extensible et le manque de moyen pour de bon outils standardisé sur XMPP font que les clients existant sont quelque-peu décevant (avec matrix, t’as pas 36 clients existant).

Le 07/04/2018 à 16h 18

Ce traitement médiatique est suffisant pour avoir un poids politique considérable. Les médias par leur traitement médiatiques, invente un monde peuplé de gréviste sans sujet et de personnalité politique, acteur psychologique d’une sorte de thriller politique.



Le problème n’est pas qu’il raconte de “grosse merde” mais plutôt comme je dit, le ton général de l’histoire raconté. Il se trouve que la plupart des médias ont grosso-modo les même travers, du fait même que les journalistes qui y sont, … sont souvent les mêmes (y’a un jeu de chaise-musicale chez les journalistes “stars”). Bref, c’est un peu trop du circuit fermé.

Le 06/04/2018 à 17h 23

Je parlais de la partie du texte que tu as cité, la proposition de la FI est à des kilomètres de celle de RSF,

bref tu répond bien à l’article mais ta citation me semble un peu hors sujet.

Le 06/04/2018 à 16h 49

Il y à une décalage sérieux entre ce que tu cite et ton commentaire.



Je vois une différence fondamentale entre une autorité ayant pour but de régler les conflits de déontologie de l’existant et une autorité de certification, qui en plus, dans le cas précis, veut donner des avantages aux certifié.



Dans un cas, c’est plutôt le bâton, dans l’autre plutôt la carotte.

Le 26/03/2018 à 20h 16







Faith a écrit :



Gauche et droite ont le même objectif: le bonheur du plus grand monde.





Non.


Le 26/03/2018 à 19h 59







Faith a écrit :



“Assez différent” uniquement parce que tu méprises le libéralisme.

Si tu avais l’esprit ouvert, tu le verrais comme une utopie aussi intéressante (et irréaliste) que le communisme.





Gauche et droite ne sont contraires que dans la bouche des politiques qui ont besoin de mobiliser des électeurs contre un méchant de “l’autre bord”. Ca évite de laisser les électeurs réfléchir.

Dans la vie, la plupart de ce que tu fais, c’est avec tes deux mains, gauche et droite. Se priver de l’une par idéologie, c’est rigolo, mais ça n’aide pas à aller loin.







Oui enfin ça c’est un discours totalement idéologique aussi. Penser que la division des partis politique n’est pas lié à des divergence de fond et qu’il suffirait de faire travailler tout le monde ensemble pour que toit soi résolu me paraît une théorie bien douteuse. Je ne vois pas bien comment on peut être cohérent en piochant un peu partout sans avoir de ligne politique et d’objectif clair, les idéaux de gauche et de droite étant antagonistes, je ne vois pas bien comment tu peut mélanger tout ça, sans que ça deviennent autre chose qu’une politique de l’un ou de l’autre bord qui ne dit pas son nom.



Mais bon, on ne tombera probablement pas d’accord.


Le 26/03/2018 à 19h 13







Faith a écrit :



Donc on ne pourrait pas être de gauche et conservateur ?





Je ne pense pas.







Faith a écrit :



Un communiste dans un pays communiste n’est plus de gauche mais de droite ?





Tout dépend ce qu’il défend. Si le gros de son propos est de rester sur les acquis obtenu et de ne pas aller plus loin pour résoudre les problèmes qu’il se pose, oui, on peut tout à fait le caractériser de droite.







Faith a écrit :



Est-ce qu’être de gauche est synonyme de ne jamais être satisfait ?





Je ne suis pas certain qu’il s’agit réellement d’être satisfait ou non à titre individuel, mais plutôt d’une vision différente des choses.







Faith a écrit :



Pourquoi pas, mais j’ai toujours considéré gauche et droite comme des valeurs en soi, pas comme des valeurs relatives. Me confirmes-tu que c’est ce que tu penses ?





Je n’ai pas d’avis pleinement arréter sur la question, mais oui je pense qu’il y à une certaine relativité dans ces notions.







Faith a écrit :



Je vois là plusieurs confusions, dénotant que tu as une faveur pour la gauche, et une incompréhension de la droite.





Personne n’a aucun avis et est objectif politiquement.







Faith a écrit :



Ainsi, les gens de droite n’auraient pas envie d’arriver à une utopie ?





Bah vraisemblablement non.







Faith a écrit :



Ainsi, un ultra-libéral ne serait pas de droite. Encore quelque chose qui me surprend grandement, mais peut-être que tu considères effectivement les choses ainsi.





Je ne suis pas convaincu qu’on puisse sérieusement considérer un ultra-libérale comme un utopique, du moins l’utopie d’un ultra-libéral ne passe vraisemblablement pas par le politique, mais pas une forme d’entité supérieure qui serait la nature, le marché ou je ne sais quoi. Bref, c’est assez différent.







Faith a écrit :



Quant à penser que “le politique peut tout”, est-ce que ça a un sens ? et je ne vois pas en quoi la droite ne pourrais pas estimer que le politique puisse tout…





Pourtant il n’est pas rare que la droite prétende justement que le politique ne puisse pas tout, sous-entendu que son action est néfaste, et qu’au lieu de pouvoir résoudre les choses, elle l’est empirerais, en d’autre terme, le politique ne doit pas s’occuper de certaines choses . Au contraire la gauche aurait plutôt tendance à tout politisé.







Faith a écrit :



Si on devait aller sur ce terrain, j’aurais plus tendance à penser que la gauche considère que l’état doit s’occuper de tout, tandis que la droite estime que l’état doit faire le minimum.





Sauf que c’est assez faux vu que c’est plutôt une question de bien commun/bien privée dont il est question. Le mouvement anarchistes par exemple peut difficilement est placé à droite, pourtant l’état c’est pas sa tasse de thé.







Faith a écrit :



Mas là, c’est assimiler l’opposition gauche/droite à une opposition communisme/libéralisme.

Est-ce ce là la vrai différence entre les deux ?





C’est une différence, ce n’est pas le seul point, mais c’est pas négligeable.







Faith a écrit :



Mais si c’est le cas, il reste un gouffre entre les deux: le gouffre du socialisme (à la française dira-t-on), qui est alors à la fois de gauche et de droite, et qui est au final ce qui est utilisé par à peu près tous les régimes.

 

Bref, de mon point de vue droite et gauche sont des concepts utilisés uniquement pour s’opposer aux autres en faisant appel à un réflexe pavlovien (de part et d’autre). Ca évite que les gens ne s’intéressent trop au détail, c’est plus simple d’influencer les masses quand on leur balance 2 camps bien distincts, où on met n’importe quoi en fonction de ce qui nous arrange le moment venu.





Je ne crois justement pas que l’on puisse être une chose et son contraire.