Raknor
est avec nous depuis le 22 novembre 2011 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
258 commentaires
Log4shell : les jours d’après
Le 21/12/2021Le 21/12/2021 à 17h 47
Si on parle d’un progiciel : c’est déjà une gageure d’auditer le progiciel en lui-même. A moins de signer un NDA ou si c’est exigé par contrat (par ex, d’intégration), c’est peu probable que l’éditeur fournisse le code source, qui permettrais à l’utilisateur de “revendre” le progiciel (ou simplement, le cracker). D’autant qu’il a intérêt à obfusquer ses binaires (pour ralentir le reverse).
Donc en tant qu’acheteur final, difficile de budgéter une équipe de reverse pour juste valider la sécurité d’un logiciel.
De même qu’en tant qu’éditeur, on va juste s’assurer que les binaires de dépendances ont bien été fourni par le développeur (signature, hash, canal de téléchargement sûr). Même pour des dépendances open-source, quel budget et quels délais consacrer pour vérifier ces dépendances nombreuses?
Combien de vuln ont été reportées par des chercheurs en sécurité travaillant chez Google, IBM, etc etc??? Pas mal.
Combien de vuln ont été reportées par des ESN (très gros utilisateurs de dépendances dans leurs projets)? 0?
Le 21/12/2021 à 17h 21
log4j est une lib déclarée en dépendance. Le code est donc compilée (.jar)
Le lookup est une feature builtin, cad qu’il n’y a pas besoin de l’invoquer lors de l’utilisation du logger. Juste l’utilisation de la lib suffit.
Aucune société n’audite les dépendances, elles sont nombreuses.
Le 21/12/2021 à 17h 16
C’est même pire que ça.
Ca concerne également des systèmes embarqués, qui utiliserait du Java Embedded avec du Windows CE. Log4j peut avoir été embarqué et la GUI pourrait exposer des vecteurs d’exploitation.
Des bornes, des automates, des appliances pourraient présenter la vuln, juste par obsolescence (produit non supportés, non maintenus, constructeurs disparus…). Le problème va au-delà de la question du propriétaire.
D’ailleurs, si je reprends la citation:
“Un cas très simple pour comprendre : vous avez acheté une fortune un progiciel écrit en Java. Il est tellement cher que vous n’avez pas souscrit aux mises-à-jour et donc vous avez une vieille version qui marche très bien, qui fait ce qu’elle a à faire, mais en Java 7. Ce vieil applicatif ne peut donc loguer qu’avec la version 2.12.x de log4j avec votre vieux Java : si vous faites la mise-à-jour vers la 2.17.0 de log4j, votre applicatif va se planter au démarrage.”
90% des cas, l’acheteur n’a aucune idée de ce qu’il y a dans le progiciel. Ca m’est déjà arrivé en plein audit, que l’admin sys découvre avec nous qu’un progiciel, c’était un tomcat et postgresql derrière (ça s’affiche pourtant dans les processus). Alors parler de MAJ log4j, oubliez.
Par ailleurs, le progiciel pourrait être tellement vieux, que l’éditeur pourrait simplement ne plus le supporter. Même dans le libre, si log4j 1.x n’est même pas mis à jour, il en serait de même pour des logiciels Open en version non supportés (qui fera les tests?). Là est bien entendu la faute de l’utilisateur (logiciel obsolète).
Je ne sais pas pourquoi, ce que ce soit cet article, ou le précédent traitant du sujet, on retombe sur une saillie sur le propriétaire.
Log4Shell : derrière l’importante faille, l’éternelle question du soutien au logiciel libre
Le 13/12/2021Le 15/12/2021 à 09h 30
Ce n’est pas parce que ça l’écrit d’un côté, que ca ne va pas l’interpréter de l’autre. On l’a vu dans les mitigations pre-2.16 release : désactivation explicites du lookup. Je n’ai pas vu dans les liens une mention disant que %m implique la désactivation du lookup(ou alors quoter la phrase, j’avoue que j’ai survolé).
Et je n’ai pas dit que log4j n’était pas vuln, mais qu’il n’y a pas que lui à blâmer, ya des “${” en données entrantes qui ne sont pas filtrées.
Le 13/12/2021 à 12h 45
Jcomprends pas le sujet sur l’opensource.
Log4j est vuln, ça c’est clair.
Mais le vecteur d’exploitation, c’est l’absence de validation/d’échappement de données entrants.
C’est pourtant aujourd’hui le B-A-BA.
Quand je vois le début de la payload “${”, c’est un peu du standard dans pas mal de langage et qui dans 99% des cas, n’est pas attendu dans des requêtes. Et pour le coup, un coup d’échappement et pas de résolution.
Et pour le coup, tout le monde est en train de mettre log4j en coupable, alors qu’eux-mêmes ne font pas du code propre.
EDIT : quand j’ai vu un POC, avec un service qui logguait directement une donnée utilisateur par concaténation directe sans contrôle préalable dans un string, je me suis dit, “ah ben les SQLi n’ont rien fait apprendre”.
L’association Interhop demande au gouvernement de prouver l’efficacité de TousAntiCovid
Le 13/12/2021Le 13/12/2021 à 16h 21
BTW, il y a eu du relachement en termes de gestes barrières.
Et dire qu’à côté, en Asie, des applications de traçage, voire de délation, nominative sont présents, utilisés, et plébiscités.
Le 13/12/2021 à 15h 38
Le problème dépasse largement le cadre sanitaire si on veut bien faire les choses.
La société (et nos habitudes) sont à des années lumières en terme de préparation à ce genre de risque.
Les dernières décennies ont permis d’éradiquer ou de contrôler des maladies précédemment mortelles. En conséquence, une certaine forme d’arrogance de la résilience humaine face aux risques biologiques s’est instaurée.
La preuve, ce passe sanitaire qui mixe 2 profils de risque différents (fait moins de forme grave, n’a pas eu récemment la Covid). Soit il ne fallait mettre que les vaccinés, soit que ceux qui ne font que des tests (rien n’empêche aux vaccinés de se faire tester, sauf le prix). Mais vu que ça gueulait des 2 côtés…
Mais dans l’absolu, je suis d’accord, c’est bien la circulation qu’il faut limiter (cela réduit l’apparition de mutations).
Sauf que le contrôle de la circulation, c’est quoi? En Asie, dès que des cas sont détectés, ce sont des quartiers qui sont directement confinés pour 2 semaines.
A Taipei, ils ont forcé le télétravail pour 2 semaines, fermé les établissements le soir (resto/bars..) sur toute la région de Taipei (7m habitant dans la zone), pour un cluster de 10 cas.
Note : Il n’y a pas vraiment de politique vaccinale la-bas comme en Europe.
Le Japon a fermé ses frontières depuis l’apparition d’Omicron. La Chine, c’est 5 semaines de quarantaine obligatoire au total pour les arrivants.
Comparé à eux, la France, c’est le club Med, et il y en a qui s’en plaignent encore.
Le 13/12/2021 à 13h 52
A partir du moment où chacun revendique sa liberté de circuler (je ne le condamne pas), un cluster est difficile à circonscrire.
La majorité de la population fait des dizaines de km par jour, avec de la proximité par ci par là avec du public (transport en commun, lieux public). Tracer les chaînes est quasi impossible (TousAnticovid t’enregistre comme contact après 15 minutes de proximité, quand il te faut 1s (une bise) pour te faire contaminer..).
Quand il y a un lieu de contamination, il est quasi certain que les concernés viennent dans un rayon de 30km minimum.
Circonscrire des clusters, ca a du sens en début d’épidémie. Aujourd’hui, c’est quasi partout, et a priori, des animaux sont détectés comme contaminés (et donc, des réservoirs de virus).
Le nucléaire dans les transitions énergétique et numérique
Le 30/11/2021Le 01/12/2021 à 13h 48
L’absence de données c’est:
-EDf n’a pas encore terminé de démanteler un premier réacteur REP ==> l’estimation de cout réel n’est pas encore finie
-les perspectives d’économies d’échelle ne sont pas connues (vu qu’on n’a pas encore fini le premier, on ne sait pas encore vraiment ce qu’on peut gagner en mutualisant)
En plus, votre citation ne parle que de l’EPR, vu que le doc que vous mentionnez ne traite de l’EPR. On n’a même pas fini de construire le premier, quel estimation de démantèlement vous pouvez fournir pour un EPR?
Donc vous intervenez en total HS.
Le 01/12/2021 à 10h 48
Oublié le mot “historique”.
Pas mal de site annonce que la CC a dit qu’en 2021, le cout était de 60€/MWh (par contre, retrouver la source du CC, je cherche)
Dans tous les cas, ce cout de revient reste moins cher que le rachat de l’éolien.
Pour l’instant, je ne prends pas en compte la bouilloire de Flamanville. On connait son cout (19M, voire plus), par contre, on ne connait pas ses performances en production encore, ni son facteur de charge effectif. S’il faut l’arrêter tous les 3 jours pendant 1 jours pour changer un joint qui pête, loul. Pour FA3, on avait même projeté un MWh à 110€. Par contre, c’est le but d’en construire plusieurs pour réduire les coûts globaux. AMHA, l’EPR apporte plus de problèmes que de solution. en l’état, j’aurais préféré qu’on fasse d’autres REP + SMR. Après il faut bien faire une tête de série. C’est en faisant la tête de série qu’on sera fixé. Après tout, ITER, mêmes problématiques.
Et les USA ont bien mis plus de 1000Mrd$ pour un avion qui à ce jour n’est toujours pas combat ready.
Quoiqu’il en soit, le cout du MWh est une moyenne, entre les centrales, sur leurs durées de vie, considérant les projections basées sur les données historiques de production et de maintenance.
Je n’appelle pas ça de l’opacité, mais de la difficulté de projeter de manière réaliste l’ensemble des couts réels sur 60 ans.
Sur 60 ans, beaucoup de variabilité économique peuvent faire évoluer ce cout.
C’est également valable pour les ENR.
Le 01/12/2021 à 10h 12
https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/04/FS_select_authors_fr.pdf
https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/04/FS_ipcc_assess_fr.pdf
Opinion personnel : en tant que particulier, à part de faire le même boulot fait par des centaines de personnes par le monde sur des années, à part de remettre en cause la probité du GIEC, je me vois mal remettre en cause le travail réalisé. Par conséquence, je décide et j’assume d’accepter les données du GIEC
. Vous êtes bien entendu libre (et heureusement) de faire votre opinion sur le sujet.
Jcomprends pas votre laius onshore/offshore. Toute la documentation distingue bien les 2 domaines. Le Giec sépare bien les 2. L’ADEME aussi (https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/impacts-environnementaux-eolien-francais-2015-rapport.pdf). Je n’ai pas lu ce rapport (sauf les ACV en conclusion, 12 et 15gCO2/kWh). Votre avis sur ce rapport?
Le 01/12/2021 à 09h 34
J’ai mis les chiffres ACV fourni par le GIEC dans son rapport de 2018.
En attente de la publication finale du rapport 2021.
Le 01/12/2021 à 01h 10
EDF, c’est désormais une SA, avec publication des bilans financiers et auditabilité (EDF est noté par les agences de notation financier, qui scrutent ses comptes).
Par ailleurs, depuis la libéralisation du marché de l’énergie, les autres producteurs européens scrutent toute forme de subvention (même principe que Boeing vs Airbus). Pourquoi croyez-vous que la commission européenne s’est mêlée du marché français?
Il est certes possible de maquiller les comptes, autant pour une SA privée, mais pour EDF, avec la participation publique de l’Etat, et l’audit par la cour des comptes (qui est indépendante et prends joie de taper sur quasi toutes les administrations), à moins de prouver une corruption généralisée, gardez vos insinuations stériles.
Quand il fait froid, on n’exporte pas vraiment (il y a certes des échanges du fait des spécificités réseaux). On a du couper des sites industriels en début d’année (certes, plus de centrales étaient en maintenance que prévue en raison de la crise). Les parcs de production sont dimensionnés pour supporter le pic de consommation hivernal national en full pilotable (voir figure 5 https://allemagne-energies.com/bilans-energetiques/). Tant qu’on a les capacités pilotables pour répondre au pic, pas la peine de quémander de l’électricité étranger au prix fort. Quand l’Allemagne a trop d’ENR, on prends volontiers. Ca permet de couper les centrales thermique ou d’économiser l’eau des barrages.
L’effet cliquet? Depuis la libéralisation, il y a des producteurs, et des fournisseurs. EDF n’est plus tout seul. Seuls RTE et ENEDIS (transport et distribution) sont seuls (par monopole naturel) mais leurs couts sont régulés par la CRE.
En réalité, le système actuel met plus EDF en difficulté que l’inverse.
Dans la figure 6 du lien, on voit que les prix spot moyens n’ont pas dépassé les 50€ le MWh.
Le cout de revient d’EDF est estimé à 42€ le MWh. Donc quand il vend son électricité, c’est benef (pas ouf le benef)
EDF doit par obligation racheter l’éolien onshore à 82€ le MWh et plus de 150€ le MWh offshore. Quand EDF doit revendre cet électricité, au prix spot, il le fait donc à perte.
Et quand il doit se débarrasser d’électricité ENR en trop (prix spot négatif), il paye pour s’en débarrasser (donc il perds encore plus).
Donc depuis qu’on a des ENR en France, EDF se fait plutôt entuber (et ses clients au passage).
Avoir plus de centrale nucléaire ne garantie pas qu’on va pouvoir exporter cet électricité. Si les voisins n’en veulent pas, on ne produit pas ou on brade/perd. La règle dans l’électricité : électricité consommée = électricité produite.
Vous êtes littéralement à 20000km de la réalité.
Le 30/11/2021 à 23h 49
Vous ne racontez que des incohérences.
On vous a déjà dit que le nucléaire français émet moins de CO2 que l’éolien en cycle de vie, cad Y COMPRIS la construction de la centrale (avec son béton) l’extraction, le transport, le traitement de l’uranium, jusqu’au traitement des déchets (https://www.ademe.fr/expertises/consommer-autrement/passer-a-laction/dossier/lanalyse-cycle-vie/quest-lacv).
Donc pas la peine de radoter CO2 béton, ci, truc par là. Vous pouvez débattre de la justesse des études ACV réalisée, mais conceptuellement, elles traitent de l’extraction de toutes les ressources (béton, acier, uranium), le transport, construction, vie, déconstruction, déchet, dans la limite des connaissances à jour.
Idem pour les éoliennes, onshore ou offshore. L’ADEME a extrait les chiffres (9 et 10g/kWh respectivement). Les chiffres retenue par le GIEC pour 2018, sont, pour les valeurs médianes, presque les mêmes (11 et 12). Le chiffre du nucléaire est resté le même, 12, en moyenne mondiale, donc en France, c’est inférieur.
On construit des moyens de production pour répondre à la demande. Si on demande tant de MWh, on compare l’un (EPR), ou l’autre (Eoliennes). Sans même considérer la problématique de stockage pour concurrencer le pilotable, l’éolien consomme plus d’acier et de béton par MWh à produire que le nucléaire. Le facteur de charge de l’éolien est à chier. Vous faites une fixette sur le CO2 du béton, l’article vous donne une idée de la consommation de matériaux pour un même résultat, sans même ajouter les contraintes de pilotabilité (qui ne font qu’aggraver l’éolien)
Pour les éoliennes offshore, le gain n’est pas ouf (cf chiffre retenu par le GIEC, différence de 1g/kWh en ACV). Donc stop vos “je pense que”. Si vous pensez que le GIEC se trompe, soumettez, argumentez et défendez vos études et non des opinions.
Pour le solaire, en médiane mondiale, c’est beaucoup plus polluant, du fait que le leader mondial est chinois, avec une production des panneaux basée sur le charbon. Avec une santé financière morose pour les fabricants français, on ne peut pas vraiment appliquer une spécificité du solaire français comme pour le nucléaire français.
La question première ne porte pas sur le smartgrid, mais sur la rationalisation de nos investissements dans les moyens de production d’électricité.
Petits parcs ou pas, à l’échelle national, l’éolien a pour défauts:
-de consommer plus de ressources (béton acier, qui concurrence la construction classique)
-d’avoir un facteur de charge bas
-extrêmement diffus (les chantiers de raccordements sont très nombreux).
-les éoliennes ont une durée de vie plus faible que les centrales nucléaires, y compris SMR (les réacteurs du CDG tournent grosso modo 10 ans avant qu’on ne change le combustible). Une eolienne c’est 15 ans max, et le socle n’est pas réutilisable.
Le 30/11/2021 à 16h 38
Je n’ai pas dit le contraire.
Sauf que coté nucléaire, depuis la libéralisation du marché de l’énergie, la commission est venue taper EDF et la France à ce sujet.
Et des compensations ont été décidées.
EDIT : je vois le com de ntree, alors un article rapide
https://www.lepetitjuriste.fr/letat-aide-t-il-edf-retour-sur-10-ans-daides-detat-qui-ont-faconne-electricite-de-france/
Le 30/11/2021 à 16h 06
https://doseequivalentbanana.home.blog/2019/06/18/tout-ce-beton-tout-cet-acier-pour-construire-un-reacteur-nucleaire/
Pour que des éoliennes produisent autant qu’un EPR, voici les ordres de grandeurs.
Or il y a bien des procédés industrielles sur les éoliennes (nacelle, pales en composites, glycol pour les dégivrer…), du monde pour les installer, les entretenir..
Pas pour rien qu’on est obligé de subventionner les ENR autrement elles ne sont pas rentables face au cout de revient du nucléaire.
Le 30/11/2021 à 15h 49
Expliqué dans https://new.sfen.org/rgn/confusion-chiffres-emissions-co2-nucleaire
La part prépondérante du nucléaire dans le mix électrique français réduit l’empreinte carbone dans nombre de procédés industriels.
Dans les autres pays du monde, cette part décarbonnée du mix est plus faible.
Le 30/11/2021 à 15h 27
Justement vous vous trompez.
Pour que la réaction en chaine soit possible, il faut que la concentration en éléments fissile soit supérieure à un certain pourcentage (d’ou on parle de centrifugeuse pour enrichir le combustible).
Pour les déchets, c’est l’inverse, on solidifie en le vitrifiant. Ca n’empeche pas la radioactivité naturelle, mais aucun risque que ça s’emballe.
C’est ce qui est prévu pour le stockage longue durée. On vitrifie déjà les déchets à faible et moyenne radioactivité.
“Mais bon , bref, faut avoir confiance, dans les scientifiques et les géologues mais aussi dans les dirigeants…..”
En quoi ça change des armes chimiques, biologiques?
Le 30/11/2021 à 15h 13
L’ADEME (anti nucléaire) a déjà réalisé ces comparaisons d’émission en cycle de vie (y compris l’extraction des combustibles).
https://www.bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/conventionnel.htm => statistiques françaises.
Comparé à l’hydroélectrique (https://www.bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/renouvelable.htm, statistiques mondiales), comme vous dites, un barrage, la quantité de béton est phénoménale.
Probablement qu’il faut mettre à jour ces données.
Copie privée : dôme de fer autour du régime français
Le 15/11/2021Le 22/11/2021 à 13h 33
Je ne vois pas le problème.
Une société dépose une marque pour protéger son identité et ses marchés.
Je ne vois pas l’intérêt pour une commission de déposer une marque. Quelle “préjudice” elle aurait?
Le 15/11/2021 à 16h 48
La commission fixe le barême (probablement via un decret, je ne sais plus).
Copie France ne fait que collecter les sous.
Le 15/11/2021 à 15h 52
Pourquoi Imation ne fait pas son recours directement à la CJUE?
Dire que Copie France est une société privée quand:
-ses seuls revenus proviennent de dispositifs législatifs et non d’une activité commercial d’ordre privée
-elle n’a aucun concurrent dans le secteur privée (position monopolistique? c’est interdit sous l’UE sauf dispositif législatif légal et justifiée)
-la fixation des assiettes de taxation (= revenu de Copie France) relève de la compétence de la commission copie privée, qui est une administration publique, et non privée
-le conseil d’état est déjà intervenu pour retoquer l’assiette de taxation. Si les intérêts étaient privées, pourquoi le conseil d’état intervient?
Difficile de ne pas voir la délégation de service public.
Le dur combat d’un photographe pour obtenir les données d’un compte Instagram
Le 22/11/2021Le 22/11/2021 à 13h 25
Internet offre à possibilité de nuire, sous couvert d’anonymat.
A l’inverse, même sur NXi, quand on proposerait une loi interdisant l’utilisation de pseudonymes, on s’offusquerait de l’atteinte aux libertés individuelles.
Ce qui est promulgué, dans un sens, peut être utilisé à dessein dans un autre.
Dans tous les cas, ce qui est clair ici, c’est que des moyens de défense réels (main courante, porte plainte pour dénonciation calomnieuse) n’ont pas leur équivalent dans le numérique.
La tâche de modérer un réseau social est quasi impossible (on voit déjà la dérive des commentateurs sur des sites grands publics).
Autant, dans la vie réelle, les institutions font office d’autorités sociétaux (enfin, sont censés).
Alors que dans le numérique, il n’y en a pas. S’ils font de la modération (quand c’est possible), on les accusera de dérives dictatorials, ou de censure, ou d’être partial.
Tipeee : le plaidoyer de Michael Goldman pour la liberté d’expression
Le 22/09/2021Le 22/09/2021 à 10h 37
Concernant le porno, ce n’est un problème de liberté d’expression mais un problème d’audience (et notamment le contrôle à son accès).
Le porno, en France, n’est pas interdit, juste son accès est restreint.
Tout comme la vente d’alcool est interdite aux moins de 18 ans.
Le 22/09/2021 à 10h 10
La perception de l’information a toujours été un sujet mal traité en France.
Beaucoup sont incapables de distinguer l’objectivité du militantisme, la réalité du complotisme.
Ce n’est pas la présence de fake news, ou autres qui me pose problème, mais que des individus ou groupe avalent ces thèses ou informations sans recul critique et les diffusent et les défendent comme vérité.
Les réseaux sociaux n’ont pas créé plus de complostime. Ils n’ont fait que leur donner plus d’exposition.
La solution tient plus de l’éducation des individus, en leur présentant une démarche de critique de l’information.
Concours GeForce RTX 3060 Ti : et le gagnant est…
Le 27/09/2021Le 16/09/2021 à 09h 00
Je vois 128 pages de commentaires.
Evitez de spammer, c’est pour voir le nombre d’abonné actifs.
Données des pharmacies et IQVIA : la CNIL s’explique et va mener des contrôles
Le 18/05/2021Le 20/05/2021 à 23h 18
Tant que c’est bien les données du patient en tant que telles qui sont anonymisées.
Afin de faire des études épidémiologiques géographiques, il faut bien avoir la localisation des pharmacies.
Confinement : les drones de la préfecture de police de Paris attaqués en justice
Le 04/05/2020Le 04/05/2020 à 16h 07
En soit, à part légiférer pour cadrer l’utilisation des drones par les pouvoirs publiques (objectifs/cas d’usage, restriction d’accès aux données des caméras/micros, durée de rétention des données, identification strictement nécessaore)…
Ya quoi qu’ils pourraient faire de plus?
Linky : quand un client refuse l’accès au compteur, les équipes ne peuvent l’installer
Le 04/02/2020Le 05/02/2020 à 13h 49
Votre interprétation de vos calculs est fausse (page 7).
Si je reprends votre calcul pour 9kVA, vous aviez 0.78 = Nc/Np.
Ce n’est pas 78% de votre conso totale que vous devez avoir en HC mais 78% de votre conso en HP qui doit être en HC
0.78xNp = Nc
0.78xNp/(Np+Nc) = Nc/(Np+Nc) représente bien votre part de consommation HC par rapport à votre conso totale.
Mais comme Nc=0.78 Np
0.78xNp/(1.78xNp)=Nc/(Np+Nc)
Nc/(Nc+Np) = 0.78⁄1.78 = 44% environ.
Pour le 6KVA, on a donc Nc(Nc+Np) = 1.12⁄2.12 = 52%. Effort beaucoup plus conséquent qu’en 9kVA certes, mais pas insurmontable.
Le 05/02/2020 à 12h 43
Même avec un thermostat sur un ballon bien isolé, c’est quand même idiot qu’il se mette à chauffer, 30 minutes avant de passer en HC. Payer plus cher pour 30 minutes…
Pour ma part, le mien est cablé avec le fil pilote. Il ne chauffe qu’en période HC. Le thermostat régule en plus.
Le 04/02/2020 à 23h 32
Mode de facturation différent.
On considère qu’on s’exprime en VA.
Quand on consomme, le compteur relève la puissance instantanée en kVA.
Avec la courbe de consommation en kVA, on applique la tarification suivante:
-de 0 à 3kVA, on applique un tarif de base.
-de 3kVA à 5kVA, on applique le double du tarif de base.
-de 5kVA à 6kVA, on applique le quadruple du tarif de base.
Cela revient, sur la courbe de consommation en kVA, à tracer les lignes d’ordonnées 3kVA, 5kVA, 6kVA.
On calcule alors 3 puissances consommées:
La puissance consommée de 0 à 3kVA, qui sera exprimé en kVAh.
La puissance consommée de 3kVA à 5kVA.
La puissance consommée au dessus de 5kVA.
Et on applique la règle de tarification exprimée ci-dessus.
Un tel mode de facturation inciterai littéralement à lisser sa consommation pour éviter de monter en puissance instantanée.
Bénéfice ENEDIS/RTE : réduction des effets de pics.
Bénéfice consommateur : Au pire, aucune incidence sur la puissance consommée, mais en ayant lissée la consommation, la facture demeure minimale. Au mieux, dans le souci d’éviter les pics, éviter de mettre four+plaque+bouilloire etc etc
Si le consommateur ne change rien : facture carabinée à cause des pics.
Les compteurs classiques ne permettent pas un tel fonctionnement incitatif (ne renvoie qu’un index). Par exemple, quand on est en HC/HP, on se sent “libre” de consommer en HC, ce qui est contradictoire avec la transition écologique et l’objectif de réduire notre empreinte énergétique.
Linky le pourrait, puisqu’il peut renvoyer la courbe.
Le 04/02/2020 à 10h 54
Le problème demeure pour les vieux compteurs encore déployé (à disque par exemple).
Et cela ne donne pas la possibilité de coupure à distance (delestage précis en cas d’incident, déja mentionné en commentaire).
Le 04/02/2020 à 10h 42
Pas nécessairement.
Si on suppose qu’Enedis a provisionné le changement de tous les compteus (comme il est prévu), un compteur n’ayant pas été changé n’aura pas été payé et donc, les coût de changement demeure provisionnés.
De plus, l’interêt est de basculer vers Linky. Donc autant ne pas le facturer en plus.
Le 04/02/2020 à 10h 24
Juste un changement de facturation.
Actuellement, les relevés sont inclus dans les frais de fonctionnement et donc dans le tarif/tax qu’Enedis fait payer aux fournisseurs (et donc au consommateur).
Dans le futur mode, Enedis facturera directement le relevé. Ceci apparaitra sous forme d’une ligne dédiée dans la facture probablement.
Autant qu’aujourd’hui, le releveur se taper la même ville, le même quartier, etc etc (mutualisation), demain, le même releveur devra se taper des km entre 2 compteurs pour relever. Cela devient une prestation spécifique pour un consommateur spécifique.
Enfin c’est comme cela que je comprends.
Le 04/02/2020 à 09h 49
D’un côté, vu les vieilleries qu’on trouve encore par ci par là = remplacement d’équipement non précis/non calibré.
De l’autre, ceux qui avaient trafiqué leur compteur (cf google) = lutte contre la fraude.
Pour la transition energétique, il ne suffit pas de coller un linky, mais analyser sa consommation histoire de la réduire ou de la lisser (trop de variabilité implique d’utiliser les centrales à énergie fossile pour compenser, les centrales nucléaires ayant une grosse inertie). Et pour cela, avoir ses propres statistiques de consommation dans la journée, dans la semaine, dans le mois etc etc etc
La distribution d’un boitier à brancher sur la téléinfo (on peut le faire soit même, ou via la domotique) est beaucoup plus pertinente. Seulement, les anciens compteurs encore en place ne le proposent pas.
La place de marché de LDLC est ouverte
Le 19/12/2019Le 19/12/2019 à 15h 13
A l’inverse, pour les vendeurs, c’est de bénéficier:
-d’un site web de ecommerce dont le développement et la maintenance est faite par le site hébergeur (le faire en propre serait couteux et exigeant)
-de la réputation/attractivité (le faire en propre demanderait un gros effort markering)
L’impression systématique des tickets de caisse et de CB en passe d’être interdite par les députés
Le 28/11/2019Le 29/11/2019 à 10h 35
Ou seulement, ne pas prendre de ticket = assumer ne pas pouvoir faire ni de réclamation, ni de demande de remboursement.
Prendre le ticket = se garder ces possibilités.
Après on a des choses compliqués, comme pour le rappel des produits alimentaires/dangereux. Est-ce qu’il faut un ticket ? Mais est-ce que le ticket est vraiment nécessaire ? L’identification du lot incriminé est suffisant non?
Le 28/11/2019 à 14h 06
Mettre simplement la non impression du ticket par défaut.
Laisse le terminal demander si le client veut l’impression du ticket ou non.
C’est déjà le cas avec les distributeur de carburant.
Pour les caisses de magasin, rebelote, soit l’hote de caisse appuie/soit un bouton sur la caisse automatique.
Devoir légiférer sur ça, c’est quand même débile.
Ariane 6 face à « un effondrement » du marché géostationnaire et à la montée en flèche du New Space
Le 22/11/2019Le 22/11/2019 à 14h 50
Yora plus rien à envoyer dans le ciel.
On se fera tellement polluer par les constellations en orbite basse (starmachin) qu’on aura du mal à communiquer avec les satellites derrières.
Voiture autonome : l’accident mortel d’Uber ou la « bêtise » de l’intelligence artificielle
Le 07/11/2019Le 12/11/2019 à 10h 55
Perso je considère que tant qu’il n’y a pas d’infrastructure dédiée pour les véhicules autonomes (et interdits au reste), ben on aura toujours les cas imprévus.
Chute de pierres, sanglier, branches…..
Faire du développement pour essayer de gérer tout ça c’est se prendre encore plus la tête. Dans un environnemen maitrisé, c’est beaucoup plus simple (cf métro automatique).
Face à Google, Édouard Philippe au chevet des éditeurs de presse
Le 02/10/2019Le 03/10/2019 à 09h 48
Ils auraient déjà pu se mettre en association, et avec les subventions, financer leur propre agrégateur commun de contenu qui pourrait faire de l’ombre à gnews.
Ah nan, ils sont en concurrence pour attraper les clics.
Quand la France se lance dans la reconnaissance faciale
Le 02/10/2019Le 02/10/2019 à 17h 07
Le 02/10/2019 à 16h 23
Le 02/10/2019 à 14h 31
Pour ceux qui gouine sur l’argument
“Car sinon, la technologie sera mûrie à l’étranger et nos industriels, pourtant leaders mondiaux, perdront cette course.”
Quand la reconnaissance faciale aura un usage prépondérant dans la vie de tous les jours
Dans bien des pays, la population ne privilégie pas la liberté individuelle en tant que telle, mais voit l’avantage dans la vie de tous les jours.
Numériser sa vie (smartphone+réseaux sociaux+tout compte individuel/fidélité) n’était que la première étape.
La seconde est de développer tout ce qui est bots/assistants (home, siri, alexa…). Hors ceux-ci sont pour l’instant lié au compte utilisateur paramétré. Actuellement, ils travaillent à interconnecter l’étape 1 aux assistants (vous pourez questionner l’assistant sur vos comptes associés)
La 3eme, est de généraliser la reconnaissance faciale (ou vocale ou autre) et de les lier aux assistants (qui auront accès à tous les comptes+vie des utilisateurs), pour les déployer dans l’espace publique afin de fournir un service personnalisé n’importe où sans avoir à décliner notre identité.
Devinez qui sont en avance…
En ce sens, les entreprises FR qui sont leaders mondiaux de l’identification et de la gestion d’identité pourront, eux et leurs sous-traitants, aller se faire voir (impact licenciements, économie ..). Parce que ces fonctions pourront être étendues au régalien.
Frais de mandat des députés : le Conseil d’État rejette le recours de Regards Citoyens
Le 02/07/2019Le 02/07/2019 à 11h 40
Pourquoi la directive Droit d’auteur peut aboutir à un filtrage de l’upload
Le 11/12/2018Le 12/12/2018 à 12h 32
Ca reste toujours mieux que les USA avec les équipes de type swat constituées partout, même ds les villes de campagnes, grâces aux surplus de l’armée et qui interviennent sur tout et n’importe quoi, et tirent mêmes sur des gens désarmés et inoffensifs.
Je ne parle même pas de la libre circulation des armes pourtant.
De nouveaux crans d’opacité en Commission Copie privée
Le 10/12/2018Le 11/12/2018 à 13h 27
Justement, d’où la déclaration de l’utilisation.
Soit c’est un professionnel qui vends des supports one shot de type CD/DVD (auquel cas on sort du contexte de la copie privée) et donc se fait rembourser et peut revendre sa production.
Soit il distribution des supports comme les disques durs, auquel cas il doit répercuter la RCP (d’où la notion de taxe copie privée dans les produits que le particulier achète).
Dans les 2 cas, il se fait rembourser, soit par copie privée, soit par le particulier (qui lui paye la taxe).
Le 11/12/2018 à 12h 28
si j’ai bien compris :
A la base c’est l’utilisateur FINAL (qui utilise les supports pour copie) qui paye la taxe. L’intermédiaire qui ne fait que la revente, ne paye pas la taxe, puisqu’il ne fait pas de copie….
Et pour se faire rembourser, faut déclarer l’utilisation professionnelle. Un revendeur n’ayant pas d’usage, ne pourra pas se faire rembourser.
Open Data des décisions de justice : Regards Citoyens s’inquiète de la réforme votée à l’Assemblée
Le 04/12/2018Le 05/12/2018 à 13h 28
Le 05/12/2018 à 11h 18