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wpayen

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720 commentaires

Le 05/09/2017 à 06h 37

Selon le logiciel de certain, avec mes 40h/semaine contractuelles (43h (moyenne) réelles), mes astreintes et mes soirées et/ou week-end qui sautent, je dois vraiment être soit dans la catégorie du pauvre petit qui se fait exploiter soit dans la catégorie de l’idiot utile qui ne sert que l’intérêt capitaliste ultra-libéral.

Le 30/08/2017 à 14h 21







Toorist a écrit :



Rafale => opéré par un industriel en partenariat avec les militaires après avoir compris que l’eurofighter allait dans le mur => meilleur avion multirole du monde pour le prix d’un eurofighter



C’est le même problème que les projets informatique qui sont mal géré, tu dépasses les budgets et ca marche pas bien à la fin sauf avec des rustines.

Des que tu met de la politique et des égo, tu ruines un projet.





Le Rafale dont le coût total de développement est de 45 Milliards d’€. Soit 300 appareils. Alors que la France n’en achètera que 225. Et dont le projet aura eu tellement de retard qu’on aura du moderniser des Mirage 2000D et des Super Etandard en urgence pour couvrir le manque.



Le Rafale n’est pas une catastrophe industrielle car l’Etat éponge les pertes de Dassault en achetant plus d’avion que contractuellement prévu.


Le 30/08/2017 à 14h 17







Patch a écrit :



Les failles de sécu volontairement non corrigées pour le compte de la NSA le prouvent. Aucun parti pris anti MS.





La NSA étant contributrice de produit de sécurité (par exemple les tools de sécurité de XEN Server), je t’invite à me donner une différence concrète avec Hyper-V.



Les failles présentes dans l’implémentation du protocole TLS sous Unix aussi il y a quelques années, dont on soupçonne qu’elles ont été une porte d’entrée pour la NSA.



Les exemples existent des deux côtés. Et quand tu regardes le nombre de projet OpenSource où la communauté est composée majoritairement des dév bossant dans des grandes boites américiaines (Oracle, Google, etc.), voilà la suspicion.

 


Le 30/08/2017 à 14h 11







wagaf a écrit :



Dans ce cas l’intermédiaire achète à MS ce qui revient au même…





Je vais faire plus simple.



Tu vas voir TOTO qui te vends une solution sur base de serveur Windows + IIS pour héberger ton site.

Tu vas voir TATA qui te vends une solution sur base de serveur Centos + Nginx pour héberger ton site.



(à 99.9%) Dans aucun des cas ton prestataire n’est capable de réagir par lui-même si la base technique contient un bug ou une faille à corriger. Il est systématiquement dépendant d’un tiers, que ce tiers soit Microsoft ou une communauté d’hommes merveilleux hyper-sympa.



Vu que tout les prestataires sont “interchangeables”, rien ne t’empêche de remplacer “Microsoft” par TATA pour opérer ton environnement Windows + IIS. Ton assertion qui disait qu’une fois choisi un produit propriétaire, tu ne pouvais pas changer de prestataire, c’est faux.


Le 30/08/2017 à 14h 04







Patch a écrit :



 Il faut un appel d’offre, c’est sur. Mais rien ne prouve que Microsoft n’a pas la meilleure offre…Rien ne prouve l’inverse non plus… Parce contre on est quasi certains que la sécurité sera améliorée en passant sur une solution opensource, et surtout non-américaine. 



Non, rien ne le dit.

Rien d’autre que la parti pris Anti-MS que tu reprochains (dans l’autre sens) à ton interlocuteur.


Le 30/08/2017 à 14h 01







graphseb a écrit :



&nbsp;Hum, elle me semble collector celle-là.&nbsp; <img data-src=" />

Je suis pas certain que Microsoft l’endosserait telle quelle. Le contournement sciemment mis en œuvre de ce genre de règles/processus, ça peut titiller, voir heurter la justice. Et les sommes en jeu que l’on refuse de dévoiler n’arrangent rien.

&nbsp;







Cela s’appelle du commentaire. Bien sûr que Microsoft ne le dira jamais, ça revient à plaider coupable. Il n’empêche que ce type de contrat remplit parfaitement ce dessein.



&nbsp;



graphseb a écrit :



Peut-être que c’est un coup de com’, je ne sais pas. En tout cas ils avaient (et ont, je pense) le droit de candidater. Quitte à être disqualifié aux premières vérifications. C’est la règle. Si la règle ne convient pas, on fera différemment après l’avoir changé.





Je ne dis pas le contraire.

Mon propos c’est : Il est illégal de les empêcher de candidater, ils ont raison de se plaindre. Toutefois, c’est un marché sur lequel ils ont aucune chance et leur plainte ne sert pas à permettre de se battre sur un marché où ils ont une chance mais de s’offrir de la pub.



En aucun cas je ne dédouane Microsoft de leurs agissements.


Le 30/08/2017 à 13h 57







wagaf a écrit :



Bah oui justement, c’est le principe.



“n’importe quelle boite” ne peut pas corriger un problème dans n’importe quel logiciel, mais si une boite vend un service de support pour un logiciel X c’est qu’il y a (supposément) l’expertise derrière pour aller corriger un bug.





Encore une fois, non.

Il y a plusieurs couches de support.



Tu peux très bien avoir un contrat de service pour du support de L1 à L3 et avoir le support du fournisseur pour le L4 (géré par toi ou directement par ton partenaire). 95% des entreprises n’achètent pas leur produit Microsoft chez Microsoft.


Le 30/08/2017 à 13h 17







wagaf a écrit :



Seul MS ou Oracle sont en mesure d’offrir du support pour leurs produits, càd de corriger un bug éventuel dans le produit et de distribuer une màj.

En plus du coût de la licence comme tu le mentionne.

Ces marchés sont verrouillés et ne permettent pas de concurrence.



Et hélas l’administration, aidée par MS et Oracle qui leur fournissent toute l’aide légale nécessaire, savent très bien comment rédiger leurs justification et appels d’offre pour empêcher de fait l’accès à ces marchés à d’autres fournisseur, même si en théorie c’est sensé être illégal.





Genre n’importe quelle boite qui opère des produits OpenSource a les capacités de corriger un éventuel bug et de faire une MAJ. Y’a qu’à voir la tonne de serveur qui opère des distribs qui ont 15 ans, avec des versions d’applicatif datant du siècle dernier.



Toute société de service reste dépendante de son fournisseur. La seule différence entre le monde OpenSource et les sociétés comme MS ou Oracle, c’est que le fournisseur a sa propre entité de Service.


Le 30/08/2017 à 13h 13







graphseb a écrit :



De toute façon, tenter de justifier l’absence de mise en concurrence, c’est déjà avouer à moitié l’infériorité de la solution retenue : quand on est objectivement le meilleur, on ne craint pas de se frotter aux autres. Et au final, se montrer aussi inféodé à une marque commerciale étrangère, s’agissant de la Défense Nationale, je trouve ça plus que douteux, sur le principe.





Ils n’ont absolument pas peur des produits concurrent.

Ils ont juste voulu économiser les 14 ans d’administratif et de commercial en échange avec l’administration durant un appel d’offre.



Si tu me trouves une solution concurrente à ces produits capables de gérer un environnement de plusieurs milliers de poste de manière centralisée par une boite qui amène et le produit, et le service, je suis preneur.

Tant je suis parfaitement d’accord que les solutions type LibreOffice et autres sont des concurrents sérieux à MSOffice, tant sur une telle échelle, les outils d’intégrations MS tuent toutes formes de concurrence. Et ils le savent très bien, des deux côtés.



Nexedi ne cherchent pas à gagner ce marché là. Dans un appel d’offre ouvert et impartial, ils se font laminer. Ils cherchent à se faire passer pour des chevaliers blancs afin d’obtenir une publicité financé par la justice pour leur marché primaire.

&nbsp;

Et sur la forme (attaquer le manque d’appel d’Offre par l’Etat), ils ont parfaitement raison.


Le 30/08/2017 à 13h 09

Connaissant le système de contrat Openbar de Microsoft, c’est même pas dit.

Justement parce que si le coût via un vrai appel d’offre était moins cher, le contrat serait encore plus attaquable.



Le point de vue de Microsoft, c’est :

“On n’a pas vendu de produit, on offre un accès complet notre catalogue contre des investissements consentis par l’état Français dans nos services”.



C’est du contrat à vomir mais extrêmement légal :)

Le 30/08/2017 à 12h 59

Juste non en fait.



Rien ne t’empêche d’aller voir la société Tata qui fait de la gestion de DB et qui sait gérer et MSSQL ou Oracle ou n’importe quel autre système libre. La seule différence sera un coût de licence éventuel.



Si le client dit :




  • Je veux de la gestion de mon système Oracle préexistant.

    et que tu réponds :

  • Je peux vous proposer du myssql parce que Oracle c’est des méchants.



    Tu as :




  1. Rien compris au principe de marché libre

  2. Tu fais parti de la classe des Ayatolas qui considère qu’en dehors de leurs vérités, il n’y a que des moutons.



    La grosse différence ici, c’est que le client (l’état) dit :




  • Je veux des produits opérés par Microsoft. Et en plus, je demande pas d’offre à d’éventuels concurrents capables d’opérer mon infrastructure.&nbsp;



    Sauf qu’un état n’a pas le droit de faire ça. Si il y a avait un appel d’offre pour gérer un parc basé sur des produits Microsoft mais que la société Tata pouvait participer, il n’y aurait aucun problème.

Le 30/08/2017 à 11h 11

Les avions russes ou chinois ne sont pas compatible avec la matériel certifié OTAN que nous avons.

Un exemple tout simple : Le ravitaillement, les “pompes” à kérozène sont pas les mêmes.



Par ailleurs, cette comparaison avec le domaine militaire est juste extrêmement bancal. C’est juste l’un des domaines par excellence où la gestion de brevet et de système non-libre est le plus présent.

Un avion américain vendu à un autre pays que les US est vendu en version Export sans les équipements les plus récents, pareil pour les Rafales.

Le 24/08/2017 à 16h 22







Amrac a écrit :



“la&nbsp;convention fiscale&nbsp;signée entre la France et l’Irlande, texte d’une valeur juridique supérieure à la loi française” &nbsp;

&nbsp;sérieux?&nbsp;:eek:&nbsp;





Les accords internationaux sont systématiquement plus “haut” que la loi dans la hiérarchie. Certains, la déclaration universelle des droits de l’homme, sont mêmes intégrés à notre constitution.&nbsp;


Le 03/08/2017 à 07h 35

Parce qu’il est clair qu’un produit fait USA =&gt; Europe sans que tu ais à payer les taxes de douane (en plus de ta TVA) ou les frais de transfert.




  • la marge du distributeur ici.



    Bref, ce débat a toujours été le même, quelque soit le taux de change.

    Prix € != Prix US + TVA €

Le 03/08/2017 à 05h 27

La question que je me pose c’est qu’en est-il des applications Win32 qui seraient déployées via SSCM ?

Le 20/07/2017 à 10h 22

<img data-src=" />Mais puisque l’on te dit que l’Union Européenne c’est des vendus.

Le 13/07/2017 à 09h 40

Il n’y a pas de lois anti-trust en France. Uniquement une obligation de concurrence (quand un acteur dépassera 30% du marché).&nbsp;L’état n’a qu’un pouvoir dans les entreprises qu’il contrôle.

Le 12/07/2017 à 13h 23

Ai-je dit que la situation était parfaite ?

Non, mais la France n’est clairement pas une dictature.



Quant aux différents classement que tu cites :




  • Pour RSF, la chute est due à la grande concentration des médias en France. Je ne vois pas ce que l’état a à faire là-dedans.

  • Pour Amnesty, ils dénoncent : Les mesures de privation de liberté issue de l’état d’urgence ? ça tombe bien, la justice est revenu sur la plupart, montrant une séparation des pouvoirs et une autonomie. Les expulsions de migrants ? Pareil, les arrêtés contestés ont été supprimés.



    La situation n’est pas rose, la France a un exécutif qui est en mode réponse non-contrôlée (dans le domaine sécuritaire, mais pas que) mais la Justice a systématiquement assumé son rôle de contre pouvoir chaque fois que cela a été nécessaire. La France n’est pas une dictature, c’est par contre un pays dans lequel plusieurs camps se déchirent de plus en plus violemment.&nbsp;

Le 12/07/2017 à 12h 00

Laisse, il faut pas arrêter les réflexions qui amènent à croire que la France se situe au niveau de la Corée du Nord, de la Chine ou du Venezuela niveau dictature.

Le 13/07/2017 à 05h 45







deepinpact a écrit :



Dans la réalité, établissement stable ou pas 5055 millions de français utilisent quotidiennement des OS, appstores, outils de recherche, messagerie, de travail ou de divertissement issus de la galaxie Google. Google qui est tout sauf une ONG de solidarité et humanitaire gagne forcément de l’argent sur ces millions de clients français tout en ne s’acquittant pas de la TVA ou de l’IS adéquat. Dire le contraire serait mentir de façon éhonté.





C’est le grand débat de l’internet.

Tu imposes ça où pour la TVA.

En France parce que le consommateur est français ? Même si il a peut-être acheté son app pendant ses vacances à l’étranger.

Dans le pays d’achat, ce qui signiefierai une connaissance par l’état de la position de chacun des acheteurs.

Dans le pays dans lequel sont les serveurs, ils sont partout à la fois c’est le principe d’un Cloud.



La seule solution logique et utilisable, c’est de taxer l’entreprise dans le pays où se situe sa représentation légale, l’Irlande dans le cas de Google ou de Microsoft. Dans le monde dématérialisé, les entreprises ont le loisir de choisir où sera leur représentation légale en fonction des avantages qu’on leur donnera. C’est un fait existant depuis 15 ans. Le problème n’est pas ce mécanisme.



Le problème, c’est le mécanisme qui fait que Google Ireland a payé 42Millions de taxe pour 24 Milliards de Revenu parce qu’ils déclarent 18 Milliards de royalties à payer à Google Bermuda (Qui elle ne paye pas de taye).


Le 12/07/2017 à 06h 49

Oui, c’était le fond de mon commentaire.

On tord le droit pour faire rentrer un cas dans une définition qui ne va pas.

Le 11/07/2017 à 10h 51

Je ne comprends pas comment l’extraction peut être du vol, je ne pourrais jamais le saisir.

Je constate juste une chose, c’est que ces amalgames fallacieux sont en fait issu d’un seul manque : Il n’y a pas de constatation sur la sacralité des données en France.



Les mêmes agissements en Suisse auraient été couvert par les lois sur le secret des données.



. Violation du secret de fabrication ou du secret commercialCelui qui aura révélé un secret de fabrication ou un secret commercial qu’il était tenu de garder en vertu d’une obligation légale ou contractuelle,

celui qui aura utilisé cette révélation à son profit ou à celui d’un tiers,

sera, sur plainte, puni d’une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire.

Le 07/07/2017 à 05h 39

#Analyseenbois

Le 28/06/2017 à 05h 28

Si tu as reçu une liste sympa, je suis preneur.



J’ai un abo Spotify, un Netflix et je bénéficie de la bonne couverture TV de la SSR mais clairement, y’a des séries (surtout celles d’HBO ou de la BBC) qu’on verra jamais en France ou alors avec 25 ans de retard.

Le 26/06/2017 à 11h 14

Cette tempête dans un verre d’eau… C’est pas l’impartialité qui t’étouffe.



Oui, la publication incontrôlée de source peut mener à des soucis de sécurité.&nbsp;L’intérêt d’une publication contrôlée des sources n’est pas de ne pas avoir de faille de sécurité mais d’être capable de les identifier (et donc de les corriger) rapidement. Dans ce cadre précis, et Vincent n’a pas utilisé de formule générique, c’est un potentiel problème de sécurité.



Après c’est Microsoft et c’est Vincent donc on va avoir toute la clique pour qui ça va être la fête du slip dans les commentaires.

Le 22/06/2017 à 13h 40







anagrys a écrit :



Je ne suis pas sûr que le Conseil d’Etat ait été impliqué, ou alors j’ai raté un truc - il s’occupe de justice administrative, qui est distincte en France de la justice pénale. Mais passons.

Pour ce qui est des décisions des différentes Cour, elles sont parfaitement cohérentes (sauf peut-être le refus de la Cour de Cassation de transmettre la QPC) : le tribunal d’instance, la cour d’appel et la Cour de Cassation jugent en droit uniquement, donc par rapport à la loi telle qu’elle est écrite. Pour la Cour de Cassation si un jugement est conforme à la loi, ce jugement n’a pas lieu d’être revu, indépendamment des faits ou même de la loi. Donc l’origine du problème se trouve effectivement dans une loi mal rédigée, ou rédigée en sachant qu’elle sera invalide au regards des accords internationaux que la France a signés mais “si personne ne soulève le problème, il n’existe pas, n’est-ce pas…?”

Donc si responsables il y a, ce sont les politiques qui ont voté une loi trop large, non conforme, malgré les mises en garde éventuellement&nbsp; reçues par ailleurs. Et malheureusement ce ne sont pas ces politiques qui vont payer l’amende à laquelle leur incompétence a soumis le pays, mais l’ensemble des contribuables. Qui au passage ont aussi dû payer le travail des juristes chargés de “défendre” la France dans ce dossier, le coût va bien au-delà des 6000€ de peine.





Le conseil d’état est l’équivalent de la cour de cassation dans le domaine de la justice administrative.


Le 22/06/2017 à 13h 37

<img data-src=" />Non.



La CEDH dit que la Loi est une violation trop grande de la vie privée.



La cour de justice dit que le gus a enfreint la loi, elle ne la qualifie pas.

La cour d’appel dit que le gus a enfreint la loi, elle ne la qualifie pas.

La cour de cassation dit que la condamnation se fait en respectant la loi, elle ne la qualifie pas.



Ce n’est pas le rôle de la justice de dire si une loi est bonne ou mauvaise. La France n’a pas de cour suprême qui dit le droit.



Le seul point est le refus par la cour de cassation de faire questionner de la loi par la constitution (la QPC) en arguant d’une vision différente que la CEDH a rendu. Vu que la CEDH apparaît dans le modèle Français comme une sorte de cour d’appel de la cour de cassation (pour la partie consitutionnel, la CEDH ne peut intervenir sur un point de procédure), il n’y a eu aucune bêtise.

&nbsp;

Edit : C’est toujours “grilled” quand c’est 10min avant ?&nbsp;

&nbsp;<img data-src=" />

Le 09/06/2017 à 13h 24

Windows 10 ARM permet de faire tourner des app x86 via une couche d’abstraction, ce que Windows 10 Phone ne fait pas.

Le 08/06/2017 à 10h 01

La solution simple est de savoir faire la différence entre majuscule et capitale.

Les lettres capitales ne sont pas accentuées, les majuscules si.



Mais l’utilisation des majuscules réponds à des règles (nom propre, début de phrase, d’alinéa, etc.).

Le 06/06/2017 à 11h 04







WereWindle a écrit :



tu parles d’un détachement de combien de temps là ?

Si tu es absent “juste au moment de l’élection”, tu as la procuration qui sert à ça. (durée maxi : 1 an)





Pour info, tu ne peux pas faire de procuration dans une circonscription métropolitaine si tu es inscrit sur les listes consulaires, ce que, dans le cadre d’un détachement à l’étranger, je vous invite à faire.


Le 06/06/2017 à 11h 03

Tu as beau vivre depuis 15 ans dans un autre pays que ton pays de naissance/nationalité d’origine, cela ne t’enlève pas ta citoyenneté pour autant.&nbsp;Tant je peux comprendre (et je partage) cette considération du vote des français de l’étranger pour les élections d’un organe exécutif alors qu’ils ne vivent pas sur place, tant il est de notre droit de vouloir voter pour un représentant législatif.



Je rentre pleinement dans ta description.

Je suis citoyen français ayant fait toute mon enfance sur place et y ayant subit tout ma scolarité (avant de découvrir les écoles d’ingénieur à l’étranger) et je vis à l’étranger depuis maintenant 10 ans. Je n’ai pas la nationalité de mon pays d’accueil (et pour ceux qui connaissent le principe de la taxe “armée” en Suisse, pas besoin d’expliquer :) ), mais qu’est-ce qui me rendrait “moins français” que toi ?



Je suis et resterai citoyen français même si c’est parfois beaucoup plus un fardeau qu’un honneur durant ces dernières années.



&nbsp;

Le 01/06/2017 à 15h 17







Commentaire_supprime a écrit :



Non. Un RAID 5 ou un pool ZFS, ça prend au moins quatre disques, et il faut bien les brancher quelque part.





Pas sur ceux de la carte mère. Les chipsets sont pas forcément les plus véloces et les ports sont pas forcément tous dans les mêmes normes.

Si tu fais dans le RAID ou ZFS et que tu mets ce prix là en CM, tu as un carte SAS.


Le 30/05/2017 à 13h 19

Il a été condamné pour avoir propagé “un jugement de valeur en l’approuvant. Un avis positif est lié avec un ‹like›”.



Clairement, c’est le fonctionnement du Like sur Facebook.




  1. Tu montres ton approbation (même si c’est un clic irréfléchi)

  2. Tu propages parce que tes contacts verront ton like même si ils ne peuvent pas voir la publication initiale (modulo les paramètres de vie privée).



    Sachant qu’en Suisse un jugement en diffamation avait été rendu dans le sens inverse puisque l’accusé avait pu prouver qu’elle avait “diffamé” dans un cercle restreint (groupe fermé avec paramètre de confidentialité en ordre), je trouve la réflexion juste.&nbsp;



    De plus, comme indiqué, ce n’est pas le premier jugement de l’affaire. Un Thurgovien ayant liké les mêmes propos &nbsp;a eu le droit à la même chose. Il s’agit bien d’une réflexion argumentée, précise techniquement, et relative au fait.






  • Si tu tiens des propos diffamants ou si tu les propages ou si tu montres ouvertement ton approbation à de tel propos.

  • Si ces propos sont réellement diffamants

  • Si ces propos sont publiques



    Alors tu peux être condamner pour diffamation.

    Facebook n’est qu’un moyen technique.

Le 30/05/2017 à 11h 25

Au sens de la loi, un like permet à une publication visible dans un cercle donné de sortir de ce cercle. (modulo les paramètres de vie-privée).



Il y a bien “publication” au sens de la loi parce que ton action de like “publie” un contenu pour des personnes qui ne l’auraient pas vu avant.

Le 30/05/2017 à 11h 02

Si j’ai bien tout compris :





  1. Il a liké 8 contenus et commenté certains. Vis-à-vis des règles de vie privée de Facebook, il a donc partagé les-dits contenus en dehors du cercle privé initial (ce qui est retenu dans le cas d’une diffamation).



  2. “La défense n’a pas été en mesure de prouver que les accusations proférées sur Internet contre Erwin Kessler sont vraisemblables, malgré une condamnation du défenseur des animaux en 1998, pour discrimination raciale.



    Il n’a pas réussi à prouver que ces dires n’étaient pas de la diffamation.



  3. “Erwin Kessler était également accusé d’avoir des contacts avec des négationnistes et des néo-nazis, ce qui avait poussé des organisations de protection des animaux à exclure toute collaboration avec VgT. Les faits remontent à la période allant de juillet 2015 à mars 2016.”

    Ses partages ont pu participer à avoir un impact.



  4. Il n’a pas été condamné à 4000 francs mais à 40 jours-amende à 100 francs. Ce n’est pas pareil, s’il ne paye pas ses jours en cas de suppression du sursis, il peut aller en prison.



  5. 8 personnes ont été accusée par le plaignant. Ce n’est pas une accusation isolée.



    &nbsp;

Le 19/05/2017 à 08h 17

Envie de dire “seulement maintenant” ?



https://www.sbb.ch/fr/abonnements-et-billets/abonnements/swisspass.html

Les app mobile des CFF. Les app business avec des centres de coûts (quand je prends un billet, ça arrive directement facturé sur une entitée interne), etc.

Le 15/05/2017 à 09h 13

La problématique d’Uber est la suivante :

En plus de prendre une marge (qui est là pour rentabiliser le service qu’il offre), ils te fixent les prix et les ajustent sans que tu aies le droit de dire quoi que ce soit.



Un service qui :




  • te fournit les missions

  • te fournit les tarifs des missions

  • te paye pour les missions en encaissant une marge

  • te vends aux clients (via une application)



    Ce service n’est pas un intermédiaire, ce service est la plateforme de transport et tu es son employé. Ou alors tout les employés de l’IT en délégation sont des auto-entrepreneurs.

Le 15/05/2017 à 09h 10

On en revient au même point.



C’est le rôle de l’état de définir les bases d’un marché libre.&nbsp;Si l’état avait pris ses responsabilités et avait ouvert le marché, on aurait pu voir des initiatives du type que tu cites.



Dans le cas présent, l’état français a failli face un corporatisme. Mais ce n’est pas la première fois, ni la dernière malheureusement.

Le 15/05/2017 à 08h 01

Libéralisation ne veut pas dire appauvrissement ou exploitation. Il faut sortir de vos carcans de pensée.



Une libéralisation sur un marché spécifique veut dire :





  • Entrée libre sur le marché : En finir avec le coup des licences artificiels.

  • Atomicité : En finir avec les groupes qui monopolisent les licences (G7, etc.)

  • Homogénéité : Une course de taxi est une course de taxi. (Fin des zones, des taxis parisiens qui ne veulent pas t’amener en banlieue parce qu’ils ne peuvent pas prendre de client au retour. etc.)

  • Transparence : Pas de surcoût spécial “Je t’aime pas et tu payes en CB”.



    Des chauffeurs indépendants, ayant un profil indépendant, affilié s’ils le souhaitent ou non à une ou plusieurs centrales (entreprises et ou coopérative de taxi).&nbsp;

Le 15/05/2017 à 07h 41







jackjack2 a écrit :



Comme d’hab, tapons sur ceux qui font bouger les choses sans faire changer ce qui va pas





Sauf qu’Uber ne “fait pas avancer” les choses.



Ce dont le marché français a besoin, c’est une libéralisation des licences de taxi (avec toutes les emmerdes qui viennent avec vu qu’ils ont monétisé quelque chose qui n’a pas de valeur (Au passage, c’est le principe des produits financiers secondaires)).



Mais avoir des chauffeurs qui roule 17h/jour pour sortir un SMIC en envoyant 20% de leurs revenus à une société étrangère ne payant ni impôt ni cotisation sociale sur place, je n’appelle pas ça une évolution.&nbsp;


Le 12/05/2017 à 11h 44

Laptop du boulot dans la liste des modèles impactés.



Fichier présent mais aucun des deux POC ne remontent quelque chose.

Le 12/05/2017 à 11h 35

Massimo Lorenzi‏&nbsp;@Mass_Lorenzi&nbsp;&nbsp;2 minil y a 2 minutesSFR supprimerait 5000 postes (13 de ses effectifs !) pour “économiser” 400 mios d’euros par an et se payer ainsi la Ligue des Champions…

Le 03/05/2017 à 16h 13







zombie1871 a écrit :



Merci pour la réponse. Donc cela veut dire qu’ils n’utilisent aucune application “maison”. Malgré ta réponse, je trouve que le parc est bien réduit. Mais j’entends l’argument.







N’ayant pas d’information sur le fonctionnement de centenial, je ne saurai dire si il est aisé de packager son application dans le store windows privé interne à la boîte.



Ni si une app serait deployable via SCCM.


Le 03/05/2017 à 16h 11







wagaf a écrit :



Les étudiants sont parfois intéressés à installer Steam et aimeraient pouvoir définir Google comme moteur de recherche.







Un pc mis à disposition par une université dans le cadre des etudes n’est pas une station de jeu. Tu veux un Pc pour jouer, tu te l’achètes.


Le 03/05/2017 à 15h 52

A voir si les apps win32 peuvent arriver hors store via SCCM aussi. La dualité sur un parc homogène, c’est juste le pieds.

Le 03/05/2017 à 15h 51







zombie1871 a écrit :



En abordant cette news, je me disais que cela pouvait m’intéresser. Un Windows “léger” permettant d’avoir un W10 en dual boot avec Linux, juste pour faire tourner les app que Linux ne gère pas ou pas bien. Mais arrivé à la fin de l’article, j’en suis arrivé à me demander qui était la cible réelle de cette&nbsp; version ? Déjà pas moi.



Bon mais au delà de ma petite personne qui va s’intéresser à un W10 bridé, avec un Store peu rempli et des limitations à tout bout de champs ? Je me suis dit que j’avais toutes les données en main mais en lisant les réactions de la communauté NI, je vois qu’en fait la même question demeure. Qui ?







Toutes les entreprises dans lesquelles le coeur de metier n’est pas l’informatique. Des commerciaux avec juste office, leur erp ou crm via une appli win32 lourde issue du store et une app web. Tu divises par quatre la maintenance de ton parc.



Tout les étudiants dans des études hors de l’informatique.



Bref, toutes les entreprises pour lesquelles le PC n’est qu’un outil.


Le 27/04/2017 à 12h 46

Si on pouvait aussi arrêter de parler de Fake news.

Il ne s’agit pas de nouvelles qui seraient fausse par inadvertance ou pour le plaisir de dire du faux. Il s’agit ni plus ni moins de propagande.



Trump, LePen et tout les politiques qui ratissent de manière large usent de propagande, de la même manière que le préconisait Goebels (Je ne compare pas les personnes, juste les moyens). Tordre la vérité jusqu’à ce qu’elle entre dans ce que l’on souhaite dire.

Le 24/04/2017 à 09h 10

Parce que c’est bien connu qu’un Allemand, quand tu le laisses tranquille trop longtemps, il se met à écouter du Wagner et il a envie d’envahir la Pologne.

Le 24/04/2017 à 08h 44

Le repli frontalier non mais la création de norme pour les entreprises manipulant des données privées.



Par exemple, un établissement certifié Finma (certification bancaire) a largement un intérêt à faire héberger ses données en Suisse. L’extra-territorialité n’est pas interdite mais implique énormément de choses et reste très problématique.

Le 24/04/2017 à 08h 33

#Toutceuxquipensentpascommemoisontdescons



Sinon, le respect de l’opinion de l’autre, c’est devenu une option ?